police

 

 

Affichage par année

145 affiches :

 

    [Grand meeting public et contradictoire : le socialisme en danger ; le P.O. contre la liberté ; Socialisme et anarchie]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Grand meeting public et contradictoire : le socialisme en danger ; le P.O. contre la liberté ; Socialisme et anarchie]. — Bruxelles = Brussels Bruxelles : Union libertaire (Bruxelles : ca 1900-1902), (Roman (impr. Louis : Namur)). — 1 affiche (impr. photoméc.) : n. et b. ; x × y cm.

    • Affiches par pays  : Belgique
    • Lieux d’archivages  :
    • Liste des thèmes  : parlementarisme et antiparlementarisme  ; polémique, controverse  ; police  ; répression
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  : Bataille (Namur : 1895-1902), La  ; Chapelier, Émile (1870-1933)  ; Hardy, Jean  ; Hénault, Lucien (1870-1914)  ; L’Ourthe, Jean de (1867-19..)  ; Mestag, Julius (1874-....)  ; Thonar, Georges (1876-1919)
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  : meetings et manifestations
    notes :
    descriptif :


    [ texte ]

    texte :

    Prolétaires, Socialistes, Anarchistes

    Quand nous disions que les menées politiques devaient forcément profiter au régime social établi, nonobstant toutes les dénégations des chefs de la sociale démocratique, […] [criant ?] à l’infamie.
    Quand nous disions que les socialistes de gouvernement seraient d’aussi affreux tyrans que nos maîtres actuels, ils protestèrent avec indignation.

    Peuple,
    En Belgique, les députés socialistes fraternisent avec des massacreurs. Le 24 mai 1901, à la Chambre des députés, le socialiste Troclet, député jeune garde, s’est écrié avec l’approbation de ses collègues du Parti ouvrier :
    Quand les socialistes seront en majorité, ils sauront payer convenablement les gendarmes.

    Ouvriers prolétaires,
    L’histoire de la gendarmerie, c’est un martyrologe de la classe ouvrière. (Anseele).
    Sur le calvaire de vos douleurs, que sont donc les gendarmes ? Vos bourreaux.
    Dans les luttes pour votre salaire et votre émancipation, qui sont les domestiques du patronat ! Les gendarmes.
    Qui trouvez-vous partout comme suppôts de l’autorité ? Les gendarmes

    Hommes de liberté,
    Le parti ouvrier vient d’échouer dans les bras de cette gendarmerie !
    Le parlementarisme est donc bien pourrisseur !

    Peuple,
    Laisserez-vous passer cette suprême injure sans crier votre indignation ?
    Cette dernière infamie du socialisme politicien se fera-t-elle en ton nom ? Non ! Non ! Non !
    Vous tous, ouvriers miséreux, prolétaires exploités, vous tous esclaves de la terre, de la mine, de l’atelier, vous tous socialistes sincères, anarchistes en révolte, tous enfin, de ce grand peuple en réveil, vous ferez entendre votre indignation et votre réprobation énergiques, et vous viendrez protester avec nous contre pareille infamie.

    Révoltés,
    Les gendarmes font leur entrée au parti ouvrier, au moment où l’on exclut les anarchistes de leurs Maisons du Peuple.
    Le parti ouvrier prend à l’égard de certains camarades propagandistes une attitude provocante que nous entendons flétrir.

    À bas les traîtres ! À bas le parlementarisme !
    Vivie le Révolution sociale ! Vive l’anarchie !

    L’Union anarchiste de Bruxelles


    Ville de Bruxelles

    Mardi, 11 juin 1901, à 8 h du soir

    Grand meeting

    public et contradictoire

    à L’Éden (ancienne Maison du Peuple) rue de Bavière
    ordre du jour :
    le socialisme en danger ; le P.O. contre la liberté ; Socialisme et anarchie

    Orateurs inscrits : Émile CHapelier, ex-forçat, Bruxelles ; Armand Binet, membre du P.O., Sprimont ; Jean de L’Ourthe, collaborateur à La Bataille, Namur ; Jean Hardi, collaborateur au journal De Noodkreet d’Anvers ; Dr Lucien Hénault, rédacteur au Réveil des travailleurs, membre du P.O., Liège ; Julius Mestag, du Comité révolutionnaire d’Anvers ; Georges Thonar, collaborateur à La Bataille, Bruxelles.

    Entrée : 10 cent. pour couvrir les frais

    MM. les députés et personnalités politiques dont les noms suivent, ont reçu de la part des organisateurs du meeting, une lettre les invitant à la contradiction, ou à justifier vis-à-vis du public leur attitude contre les anarchistes : Bertrand, abbé Daens, Defnet, Dewinne, Horlait, Hubin, Meymans, Vandervelde.

    L’Union libertaire de Bruxelles.

    Namur. — Imprimerie à vapeur Louis Roman, rue du Fer, 59.


    sources :
     











    [Lettre de Richard Deshayes]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Lettre de Richard Deshayes]. — Paris : VLR_ (Vive la révolution : 1969-1971), (NPP (Paris)). — 1 affiche (impr. photoméc.) : n. et b. ; 62 × 44 cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  : FACL (Fonds d’archives communistes libertaires)
    • Liste des thèmes  : police  ; répression
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  : Deshayes, Richard (ca1951-....)
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  :
    notes :
    descriptif :


    texte manuscrit

    photo (visage tuméfié de Richard Deshayes)

    texte :

    Lettre de Richard Deshayes

    Camarades

    Les flics ont souvent eus des morts. Pourquoi n’essaieraient-ils pas de nous tuer ?

    Cette fois ci ils n’ont fait que m’arracher un œil mais cela n’est pas suffisant car nous sommes des milliers et nous avons des milliers d’yeux pour voir.

    Dans cet hôpital, les docteurs, les infirmiers, le peuple est avec nous.

    À Nancy je crois que des ouvriers séquestrent des patrons.

    De plus en plus rien ne pourra empêcher les gens de se dresser compacts pour vivre et pour vaincre.

    Ils ne pourront jamais nous abattre même s’ils tuent des frères car nous sommes trop nombreux et nous nous aimons.

    Non rien ne nous arrêtera mes frères.

    Bientôt je serais debout avec vous.

    Richard
    Salpêtrière le 12/2/71 14 h30

    Imprimerie NPP — Paris (20e)


    sources :

    Non signé (VLR Vive la révolution ?)


    1971
    Affiche liée


    [Que celui qui n’a jamais pensé « Flics S…, F… le camp » nous écrive, il a gagné]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Que celui qui n’a jamais pensé « Flics S…, F… le camp » nous écrive, il a gagné] / Jean-Marc (1941-1983) Reiser. — Paris : VLR_ (Vive la révolution : 1969-1971), (Abexpress). — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (une  : bleu ) ; 55 × 41 cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  : FACL (Fonds d’archives communistes libertaires)
    • Liste des thèmes  : censure  ; police  ; presse  ; procès
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  :
    notes :
    descriptif :


    texte

    strip (un policier disant « Y’a des insultes qui font plus mal que des pavés », puis recevant un pavé : « Enfin presque ») signé Reiser

    texte :

    Que celui qui n’a jamais pensé « Flics S…, F… le camp » nous écrive, il a gagné

    J.P. Lecardonnel, directeur du journal « Vive la révolution », passe en jugement le 27 avril pour des articles parus il y a un an. Incapables de se lancer à la défense de leur société, les minables qui nous gouvernent s’en tiennent à l’accusation Injures à la police pour un reportage sur les événements du 27 mai 1970 à Paris et pour la phrase les gens se battaient et disaient « Flic S… F… le camp ».

    À l’heure où des milliers de lycéens ont crie dans la rue « Pleven S… le peuple aura ta peau ! », les fonctionnaires « Malaud S…, le peuple aura ta peau », les paysans, les ouvriers injurient et combattent les C.R.S., où la jeunesse et la police s’injurient quotidiennement, voilà tout ce que trouve Marcellin pour justifier sa guerre contre la presse libre.

    Ah I Raymond on te savait méchant mais on ne te pensait pas aussi c…

    J.P. Lecardonnel doit être acquitté !

    Les pointillés sont destinés à faire travailler votre imagination.

    Imprimerie Abexpress - 72, rue du Château-d’Eau, Paris


    sources :
     




    [DST-SAC, ce qu’ils nous préparent]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    DST-SAC, ce qu’ils nous préparent]. — [S.l.] : [s.n.], [ca ]. — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (une  : rouge ) ; x × y cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  : CDA (FA, Paris)
    • Liste des thèmes  : police  ; Non anarchisme
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  :
    notes :
    descriptif :


    [ texte ; photos ]

    texte :

    DST-SAC, ce qu’ils nous préparent :

    [photos]

    La preuve :

    [photos de documents]

    Ces documents ont été publiés par le quotidien Libération.

    Exigeons toute la vérité sur les agissements secrets du pouvoir !

    Faites parvenir au journal toutes informations utiles…

    Libération […]

    […]


    sources :
     






    [Ponia réalise le rêve d’Henri IV : un poulet pour chaque Français]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Ponia réalise le rêve d’Henri IV : un poulet pour chaque Français]. — Paris : OCL_ (Organisation communiste libertaire : 1976-....), (Edit 71 (Paris)). — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (une  : brun , papier blanc ) ; 63 × 46 cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  : FACL (Fonds d’archives communistes libertaires)
    • Liste des thèmes  : contrôle social  ; police  ; presse
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  : Front libertaire des luttes de classes (1970-1979)
    • Vie des mouvements  :
    notes :
    descriptif :


    texte

    bande dessinée (cabinet du ministre : le ministre de l’intérieur Michel Poniatowski et un conseiller)

    texte :

    Ponia réalise le rêve d’Henri IV :

    Un poulet pour chaque Français

    Chez le ministre
    -- Les travailleurs acceptent de moins en moins leur situation. Il faut augmenter les effectifs de la police, au cas où…
    -- Mais c’est impopulaire ça
    -- Asseyez-vous, je vais vous exposer ma petite idée …
    -- Il faut que ce soit les travailleurs eux-mêmes qui le demande. Il faut donc créer un climat d’insécurité, et pour cela nous comptons sur les mas-media …
    -- … Carlos, les anarchistes, tout ça, c’est qu’un début. Les opérations « coup de poing » donnent l’habitude de voir les flics partout.
    -- Oui, mais c’est insuffisant
    -- Exact ! Et c’est là que la presse intervient : il, s’agit pour elle de monter en épingle chaque rapt, agression, … Ainsi chacun se sentira personnellement en danger permanent
    -- ?
    -- Et il demandera une meilleure protection, donc davantage de flics. Mais… et l’opposition ?
    -- Elle protestera bien sûr. Mais elle dénoncera comme provocateurs ceux qui voudront s’opposer à la police

    Organisation Communiste Libertaire

    supplément à Front libertaire 56
    33, rue des Vignoles, Paris 20

    imprimerie Edit 71 - 9, rue Métivier, Paris 20


    sources :

    Supplément à Front libertaire des luttes de classes n° 56 (octobre 1976).















    [Être gouverné]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Être gouverné]. — Antony : FA__ [2] (Fédération anarchiste : 1953-....) : FA__. Groupe de Fresnes-Antony, . — 1 affiche (impr. photoméc.) : n. et b. ; 58 × 46 cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  : CDA (FA, Paris)
    • Liste des thèmes  : police
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  : Proudhon, Pierre-Joseph (1809-1865)
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  :
    notes :
    descriptif :


    Poster édité pour aider au financement de Philosophie de la misère de Pierre-Joseph Proudhon et Misère de la philosophie de Karl Marx (annoté par Proudhon) aux éditions du groupe de Fresnes-Antony de la Fédération anarchiste.

    [Visuel : femme arrêtée par des policiers « cadre dans cadre ».]

    texte :

    Être gouverné

    c’est, sous prétexte d’utilité publique, et au nom de l’intérêt général, être rançonné, exploité, monopolisé, mystifié, volé : puis au premier mot de plainte, jugé, condamné, emprisonné, fusillé, déshonoré…

    Fédération anarchiste — 145, rue Amelot 75001 Paris


    sources :

    D’après Le Monde libertaire n° 477 (3 mars 1983).

    Citation de Pierre-Joseph Proudhon ?

    Photo tirée d’une série imprimée dans le n° 481 (31 mars 1983) du Monde libertaire illustrant un article tiré de Noir de l’Alliance libertaire de Belgique.


    1993

    [s.d.]

    2006

    1984

    [ca  1982]

    2013

    2013

    2013
    Affiches liées












    [Il CSA Kronstadt vive !!!]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Il CSA Kronstadt vive !!!]. — La Spezia : [s.n.], [ ?]. — 1 affiche (impr. photoméc.) : n. et b. ; x × y cm.

    • Affiches par pays  : Italie
    • Lieux d’archivages  : CDA (FA, Paris)
    • Liste des thèmes  : logement, habitat  ; police  ; squatt
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  : lieux — librairies...
    notes :
    descriptif :
    Symbole(s) utilisé(s) :

    [ texte ; photo (immeuble en flammes) ; sigle squatt (flèche cerclée) ]

    texte :

    Il CSA Kronstadt vive !!!

    Il 26 gennaio l’assessore socialista al patrimonio Quber annuncia con un articolo su La Nazione che ha intenzione di vendere a privati l’ex scuola del Vignale, sede del Centro Sociale Autogestito Kronstadt (?!?).

    Dalle settimane successive iniziano raid di teppisti per danneggiare il centro.

    28 marzo, ignoti con metodo tipicamente fascista appiccano fuoco al CSA distruggendo il tetto e parte del salone.

    2 aprile, nonostante le feste di pasqua e pasquetta, superando ogni lungaggine burocratica, l’amministrazione comunale spezzina, famosa per i tempi secolari con cui si appresta a riparare le strade, ordina lo sgombero del CSA, perizia di inagibilità alla mano per il tetto, muri e pavimenti (?!?).

    Noi rivendichiamo il diritto nostro e di tutti di avere spazi sociali autogestiti, dove i soggetti sono protagonisti nella loro realtà, in una città dove i giovani sono costretti alla disoccupazione, alla noia e all’eroina, dove mancano strutture per iniziative culturali e dove vengono invece spesi 54 miliardi per il nuovo inutile palazzo di giustizia e 13 per la questura.

    Non sarà certo il fuoco dei fascisti e lo sfratto del comune ad interrompere l’esperienza di questi 5 anni di occupazioni.

    Invitiamo tutti ad un dibattito aperto su questi problemi.
    Sabato 20/4, al pomeriggio, al Palco della Musica, Giardini Pubblici SP


    sources :

    1985 ou 1991 ?