armée
158 affiches :
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[ texte ; dessin (soldat cavalier sur un champ de bataille couvert de cadavres) par Maximilien Luce]
- texte :
Psychologie du militaire professionnel
volume in 16
Prix 3fr50
En vente au bureau de la revue socialiste
10, rue Chabanais, Paris[…]
Affiche de vente pour le livre Psychologie du militaire professionnel d’Augustin Hamon, 1894 (éd. Rozez) ou 1895 (A. Savine, éd. augm.).
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- notes :
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[ imagerie en 13 vignettes : dessin de Lapiz, texte de Jean Grave ]
- texte :
Imagerie des Temps nouveaux — Planche n° 1
Chauvinard
[vignettes numérotées]
1. Chauvinard tire au sort. — 2. Le jour du départ arrivé, les parents commencent à s’apercevoir que la Mère-Patrie prend plus qu’elle ne donne. — 3. Chauvinard commence à prendre un avant-goût du troupeau. — 4. I1 s’initie aux intelligentes manœuvres et à la politesse militaire. — 5. Il s’habitue de plus en plus à être mené en troupeau comme le bétail. 6. Et aux longues stations stupides. — 7. L’État lui sert généreusement la pâtée. — 8. Mais la cantine est là pour aider à l’abrutissement. — 9. Aux colonies, il est un héros ! — 10. Mais le nègre est un animal méchant qui, parfois, se défend. — 11. Sa maigre pension étant insuffisante, il mendie. — 12. Les gendarmes l’arrêtent. 13. Emprisonné, il commence à comprendre que l’organisation sociale ne profite aux uns qu’au détriment des autres.
J. GRAVE, Imprimeur-Éditeur, 140, rue Mouffetard, Paris.
Affiche parue insérée dans Les Temps nouveaux, 4e année, n° 15 (6-12 aout 1898).
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[ texte ]
- texte :
Le Libertaire
Théâtre Moncey
50, avenue de ClichyLe samedi 3 septembre 1898, à 8 heures et demie du soir
Conférence publique et contradictoire par Sébastien Faure
sujet traité
Dreyfus est innocent !
Aux hommes libres !
Oui, Dreyfus est innocent !
Tous ceux qui ont impartialement étudié l’affaire sont acquis à cette conviction.
La vérité éclaté aujourd’hui si lumineuse, si écrasante, que l’État-Major et ses complices en sont épouvantés.
Les feuilles Saint-Dominicaines auront beau mettre tout en œuvre pour perpétuer l’erreur, elles auront beau couvrir d’insultes les défenseurs du droit, il faudra bien que le monument de mensonges et de crimes édifié par les Mercier, les Henry, les du Paty de Clam et les Esterhazy s’effondre un jour ou l’autre.
Il dépend des hommes de cœur et d’énergie que ce jour soit proche. C’est à ceux-là, à tous, quelles que soient leur religion, leur race, leurs opinions politiques et leur situation sociale, que je m’adresse.
* * *
Il faut que toutes les responsabilités soient établies.
Il faut que chacun — si haut placé qu’il soit — supporte le poids de ses fautes.
Il faut que la conscience publique se soulève et exige la vérité tout entière.
Des décisions prises par des militaires, j’en appelle au bon sens des hommes libres. Des arrêts prononcés par les Conseils de guerre, j’en appelle à la justice du Peuple.
* * *
Ma certitude est complète, ma conviction inébranlable. J’irai partout propager la vérité et je ne m’arrêterai que lorsque celle-ci sera triomphante.
Que tous ceux qui sont pénétrés de la confiance qui m’anime fassent de même, et bientôt si formidable sera l’effort, que l’indignation universelle réclamera et accomplira la liquidation sociale démontré.
Sébastien Faure
Mes conférences sont toujours contradictoires. J’invite tout spécialement à celle-ci — et pour y prendre la parole si bon leur semble — les Nationalistes et les Antisémites.
S’ils ont confiance en leurs affirmations, qu’ils viennent les soumettre à la discussion publique.
Sébastien Faure.Entrée : Premières, 1 fr. — Secondes, O fr. 50
Nota. — Cette liage ne peut être affichée que revêtue d’un timbre de 0 fr. 12 centimes.
Imprimerie spéciale du Libertaire, 10, rue Flocou, Paris
Parue au dos du Libertairen° 145 (4-10 septembre 1898).
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[ texte ]
- texte :
Salle Chayne
12, rue d’Allemagne, 12
Le samedi 22 janvier 1898, à 8 heures et demie du soir
Grand meeting public & contradictoire
organisé par le journal Le libertaire
ordre du jour
Sabre et goupillon
orateurs inscrits
Sébastien Faure, Broussouloux, Henri Dhorr, etc,Les derniers avènements ont eu l’heureux résultat de faire tomber les masques et de préciser nettement la situation.
On sait aujourd’hui que sous les impostures : Patrie, Drapeau, Honneur de l’Armée, Antisémitisme, se dissimule une honteuse alliance entre
Le sabre le goupillon
Cette alliance avait mobilisé, lundi soir, ses troupes de première ligne : Sociétés de tir et de gymnastique ; organisations patriotiques, groupements antisémites, cercles catholiques, petits braillards rive-gauche de la réaction.
Ils étaient des milliers, au Tivoli Vaux-Hall, réunis dans le but de réclamer au gouvernement de curés que nous subissons des poursuites contre tous ceux qui refusent de collaborer à leur odieux projet de dictature.
Quelques centaines d’hommes de courage et de conviction ont réduit à l’impuissance leurs ardeurs belliqueuses ; mais leur fureur de répression n’a lait que puiser une force nouvelle dans la rage de cette mémorable raclée.
Camarades,
Nous offrons à ces incorrigibles souteneurs de l’Église et du Militarisme l’occasion d’exprimer publiquement les sentiments qui les animent et le but qu’ils poursuivent.Celle intéressante discussion mettra en présence : les partisans de l’éteignoir et ceux de la lumière, les individus qui tentent de ressusciter un passé de despotisme, de misère, et les hommes spis aspirent à un avenir de bien-être, d’affranchissement.
Ceux qui assisteront à cette instructive rencontre d’opinions contradictoires verront, sans difficulté, de quel coté se trouve la raison.
Le Libertaire
Cette page ne peut être affichée
Prix d’entrée : 50 centimes
L’imprimeur-Gérant : Lafond, 5, rue Briquet
Parue au dos du Libertaire n° 114 (22-29 janvier 1898).
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[ texte ]
- texte :
Pour les familles des récentes victimes des lois scélérates
Maison du Peuple, 47, rue Ramey (impasse Pers)
Le samedi, 26 novembre 1898, à 8 h. 1/2 du soir
Grand meeting
public et contradictoire de protestation contre
les lois scélérates
Avec le concours assuré de
Aristide Briand — Antoine Cyvoct — Émile Janvion — Charles Malato —Pierre QuillardÀ tous !
Les lois de décembre 1893 et de juillet 1894 sont une honte.
On les a dénommées « scélérates », on a eu raison.
Elles constituent un attentat permanent à la sécurité de chacun.
Véritable prime inerte à la délation, elles convertissent ce pays en une nation de mouchards.
Les Gouvernants prétendent quelles elles n’ont été faites qu’en vue de circonstances exceptionnelles et que, présentement, elles ne sont pas appliquées.
Avec leur ordinaire impudeur, les Gouvernants mentent.
La conférence anti-anarchiste se propose la généralisation des lois scélérates aggravées. Par des mesures internationales, d’une rigueur sans précédent dans l’histoire, les réacteurs de tous pays s’apprêtent à traquer impitoyablement les hommes d’indépendance et de Vérité.
Camarades !
Se taire, s’incliner serait ta pire des fautes en même temps que la plus déshonorante des lâchetés.
Nous ne commettrons ni cette faute, ni cette lâcheté.
Nous protesterons.
Et vous joindrez à notre cri d’indignation l ’expression de votre colère et de voire révolte.
Ce sera le moyen le plus sûr de conjurer le système d’oppression par lequel les Dupuy de toutes les nations se préparent à étouffer la propagande et l’action de ceux qui veulent l’Indépendance libre dans la Concorde universelle.
Entrée : 50 centimes
Imprimerie spéciale du Libertaire, 10, rue Flocon, Paris
Parue au dos du Libertaire n° 157 (27 novembre-3 décembre 1898).
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[ texte ]
- texte :
Coalition révolutionnaire
Manifeste
Un coup de force se prépare :
C’est à vous, hommes libres, à vous qui êtes résolus à défendre le présent et à sauvegarder l’avenir, à vous tous, républicains, démocrates, penseurs libres, socialistes, révolutionnaires, libertaires, que nous nous adressons.
Écoulez :
Citoyens,
Les mêmes hommes qui ont voulu étrangler la justice veulent étrangler la liberté.
Peu nombreux, mais hardis et prêts à tout, ils ont fondu tous les partis de réaction en un seul : cléricaux, royalistes, césariens, antisémites, nationalistes.
Ils sont les forces déchues du passé en lutte avec les forces émancipatrices de l’avenir.
Hommes libres,
Si vous laissiez passer, si vous laissiez faire, demain le parti nationaliste égorgerait la liberté.
Ce crime ne s’accomplira pas !
Dans ce berceau d’humanité affranchie qu’est la France, vous ne tolérerez pas la glorification du gourdin, le triomphe du sabre, la tyrannie du goupillon.
Les nationalistes disent : le pays est avec nous.
Ils mentent !
Le pays c’est vous, c’est nous, c’est le travail fécond. Ils n’ont pas le pays. Ils en sont les exploiteurs.
Leur force, c’est notre inertie.
Républicains, démocrates, socialistes, révolutionnaires, libertaires :
il n’est pas question aujourd’hui de marquer le triomphe d’un parti sur un autre. il s’agit de défendre le patrimoine commun : la liberté.Courons tous à failli le plus proche et tendons lui la main. que toutes rivalités de groupes et de partis disparaissent. sous le bourgeron comme sous le paletot, cherchons le cœur qui bat à l’unisson du nôtre.
Formons une armée de résistance, compacte.
Combinons nos forces pour l’action.
L’heure décisive a sonné. soyons prêts. sachons disputer aux bandes réactionnaires et liberticides la rue glorieuse, la rue des revendications énergiques, la rue des barricades et des révolutions.
Alerte, camarades ! debout pour la liberté !
Allemand, Charles Albert, Pierre Bertrand, Aristide Briand, Broussouloux, Cyvoct, Faberot, Sébastien Faure, Janvion, Joindy, Henri Leyret, Charles Malato, Matha, octave Mirbeau, Pellerin, Pell0ut1er, Pouget, Valéry.
Le dimanche, 23 octobre 1898, à 2 heures de l’après-midi
Salle Chayne, 12s rue d’AllemagneGrand meeting
public et contradictoire
Ordre du jour : « l.a liberté en péril »
Orateurs inscrits : Allemand, Pierre Bertrand, Aristide Briand, Broussouloux, Cyvoct, Faberot, Sébastien Faure, Janvion, Joindy, Charles Malato, Valéry, Girault, etc.
Pour couvrir les frais, entrée : 3o centimes.
Ce manifeste ne pourra être affiché que revêtu d’un, timbre de 0 fr. 12.
Parue au dos du Libertaire n° 152 (23-29 octobre 1898).
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[ texte ]
- texte :
Manifeste aux soldats
Le Conseil de guerre de Nantes vient de condamner à un jour de prison le colonel de Saint-Rémy. Cet officier avait refusé d’obéir à l’ordre que lui avait transmis le général Frater de frire marcher le 2e régiment de chasseurs placé sous son commandement.
La raison que ce colonel a donnée de son indiscipline, c’est que « sa conscience de chrétien lui interdisait d’obéir ».
Nous estimons qu’en refusant d’agir contre les « Sœurs » le catholique de Saint-Rémy a bien fait.
Nous estimons qu’en tenant compte du sentiment, qui a dicté à cet officier son acte d’insubordination et en rendant un arrêt qui équivaut à un acquittement, le Conseil de guerre a bien fait.
(Ce n’est jamais nous qu’on trouvera favorables au prononcé de jugements sévères.)Soldats ! Retenez bien cet arrêt et faîtes en votre profit !
Il se peut que vos chefs vous donnent, quelque jour, l’ordre d’agir contre des travailleurs en grève ou des hommes en révolte.
Vous aurez, alors, vous aussi, à consulter et à écouler votre conscience.
Votre conscience vous dira, jeunes gens, elle devra vous dire que vous n’avez pas été arrachés à votre famille, à votre atelier, à vos champs, à vos affections, à la vie libre, pour marcher contre vos parents, vos frères, vos camarades de travail.
Votre conscience vous dira, elle devra vous dire que ces basses besognes incombent aux forces de police et de gendarmerie, pas à vous.
Votre conscience vous dira, elle devra vous dire que vous ne pouvez pas vous servir de vos armes de mort contre ceux qui vous ont donné la vie, et qui, depuis votre enfance, vous ont chéris, soignés, nourris, élevés.
Aimeriez-vous moins vos mères que le colonel de Saint-Rémy n’aime les congréganistes ?
Votre conscience d’homme serait-elle moins ferme que celle de ce chrétien ?
Écoute, soldat !
Si jamais l’ordre t’est donné de massacrer tes camarades de travail, de tirer sur le peuple, tu refuseras désormais, tu dois refuser d’obéir à ce commandement infâme.
Jusqu’à ce jour, l’énormité du châtiment que tu avais à redouter était de nature à te faire reculer devant les conséquences d’une telle désobéissance.
À daters d’aujourd’hui, tu sauras qu’elle t’expose, tout au plus, à un jour de prison. M. de Saint-Rémy a librement choisi le métier militaire ; toi, c’est par force, que tu es à la caserne.
M. de Saint-Rémy était à la tête d’un Régiment ; son refus d’obéir s’étendait à toutes les unités dont il était le chef. Toi, Frère, sans gradée, sans autorité sur tes camarades, tu n’engageras que toi-même.
On n’ordonnait pas à M. de Saint-Rémy de commander le feu sur des femmes désarmées. Il s’agissait — on l’a bien vu — de crocheter quelques serrures, d’enfoncer quelques portes. Toi, soldat, quand tes chefs te feront marcher contre la foule ouvrière, ce sera pour cracher la mort — rappelle-toi Fourmies, la Martinique, Chalon — sur des poitrines de grévistes las de souffrir de misère ou de manifestants las de subir le joug !…
En réfléchissant à ces circonstances et en considérant que la règle et l’équité proportionnent la peine au rang qu’occupe le délinquant, tu comprendras, soldat, que ce n’est pas un jour de prison, mais un jour de consigne que, pour être juste, le Conseil de Guerre devra t’infliger.
Et ce jour de punition te paraîtra infiniment doux, puisque pour un châtiment aussi bénin, tu auras l’inexprimable joie de ne t’être pas associé à ce crime abominable :
Fils d’assassiner ton Père ! — Frère, de ter ton Frère !
Travailleur, de mitrailler tes Camarades !
Soldat, souviens-toi !
Le Libertaire
Nota. — Il se pourrait que le Ministère anticlérical « Combes et Cie », découvrît dans ce manifeste une provocation à la désobéissance des soldats et en déférât les auteurs aux tribunaux.
Comme il n’est pas plus dans nos habitudes que dans notre caractère de décliner les responsabilités que VOLONTAIREMENT nous assumons, nous ajoutons nos propres signatures à celle-ci : Le Libertaire , qui n’engage juridiquement que notre ami Philippe, gérant de ce journal, et nous invitons toutes les personnes qui approuvent ce manifeste, à nous envoyer leur nom que dans le prochain numéro, nous joindrons aux nôtres : Sébastien Faure, Louis Matha, Pierre Monatte, Émile Bans, Jean Marestan, Robert Depalme, Georges Durupt, Fernand Després, Daniel Gerbault, Victor Méric, Maurice Robin, Georges Séverac, Georges Gauthier, Gaston Syffert, Paraf-javal, Pierre Lejeune, Georges Régnier, Francis Jourdain, Miguel Almereyda.
Parue au dos du Libertaire 4e série, 8e année, numéro 45 (du 13 au 20 septembre 1902).
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texte
- texte :
Aux soldats !
Savez-vous quelque chose de plus navrant que l’existence de de malheureux qu’on enlève à son champ, à son village et qu’on jette pour trois ans, dans une caserne, loin des siens, loin de tout ce qu’il aime, condamné à vivre avec d’autres hommes aussi à plaindre que lui ? Que voulez-vous qu’il reste, à un pays, de vigueur en réserve lorsque, dans vingt ans, tous les hommes auront passé par cette terrible filière ?
Édouard Drumont.L’alcoolisme, la prostitution et l’hypocrisie, voilà ce qu’apprend la vie à la caserne.
Charles Richet, professeur à l’Université de Paris.Le soldat entre au, régiment ignorant et honnête, il en sort trop souvent aussi ignorant mais corrompu.
de Freycinet, ministre de la guerre.L’armée est l’école du crime.
Anatole France, de l’Académie Française.Nos vainqueurs ne sont pas plus féroces envers nous que nous n’avons été féroces envers nos vaincus.
Les chefs, ces bourreaux imbéciles s’étonnent du nombre toujours croissant des désertions. Parbleu ! on aime autant traîner à l’étranger une existence, même précaire et misérable que d’aller, pour un geste, immédiatement assimilé à une voie de fait, se faire égorger dans les chiourmes de Tunis ou de Constantine.
…
Une combinaison favorable m’a empêché de faire partie de cette française, où je n’aurais, d’ailleurs, donné peut-être d’autre exemple que celui de la désertion.
Henri Rochefort.Faites donc comprendre à l’ouvrier qui va quitter l’atelier, (au paysan qui va déserter les champs, pour aller à la caserne, (qu’il y a des devoirs supérieurs à ceux que la discipline voudrait imposer… Et si l’ordre de tirer persistait, si l’officier tenace voulait quand même contraindre la volonté du soldat, les fusils pourraient partir,
mais ce ne serait pas dans la direction indiquée.
Aristide Briand, ministre de l’instruction Publique.Si les peuples se servaient de leurs armes contre ceux qui les ont armés, la guerre serait Morte.
Guy de Maupassant.Soldat, réfléchis et conclus toi-même !
Texte du placard paru dans L’Anarchie n° 80 (jeudi 17 octobre 1906)
L’annonce est faite le numéro précédent (n° 79 du 11 octobre) : « Par l’affiche
Nous recevons de quelques camarades le texte d’une affiche Aux soldats
Ceux qui trouvent bon ce travail et qui ne veulent aider à son édition sont priés de nous dire par retour du courrier le nombre d’exemplaires qu’ils prendront.
Plus grand sera le tirage, plus bas seront les prix. Nous de pouvons les fixer à l’avance, étant encore sous la griffe de l’imprimeur. Le format est celui des affiches à 0 fr. 18 [1] (Colombier)
La rédaction en a été confiée à nos mais Édouard Drumont, Charles Richet, général de Freycinet, Anatole France, Henri Rochefort, Aristide Bruand et Guy de Maupassant.
Nous pensons qu’elle fera du beau travail. Qui en désire ? ».Finalement, l’affiche est imprimée par les Causeries Populaires au format 1/2 Colombier et nécessite un timbre de 0,12 fr.
Nouveau tirage en 1908 : voir L’Anarchie n° 181 (24 septembre 1908).
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[ texte ]
- texte :
Fédération communiste révolutionnaire
Une scélératesse !
Les traîtres et les bourreaux qui nous gouvernent ne veulent épargner aucune honte à ce pays. La République a déjà à son actif :
les fusillades des travailleurs en grève ; l’application des lois scélérates ; des lois d’exception contre les fonctionnaires ; des centaines de militants emprisonnés.
Mais à la réaction politique et sociale devait inévitablement s’associer la réaction militariste.
Non seulement nos gouvernants ont maintenu les Conseils de guerre et Biribi, qu’ils avaient promis de supprimer, mais encore, par le bluff des aéroplanes, le clinquant des revues et retraites, le projet de rétablissement du service de trois ans, la conscription forcée des noirs, ils essaient de réveiller l’esprit militaire et fortifier l’armée.
Pour couronner tout cela, le Parlement républicain a voté — sans aucune opposition — une loi odieuse qui envoie nos jeunes camarades coupables d’opinions antimilitaristes aux Bat’ d’Af’ et à Biribi.
On va donc faire subir aux jeunes gens ayant un idéal élevé de justice sociale, aux jeunes ouvriers condamnés pour délit de grève, le sort du malheureux Aernoult, lâchement assassiné par les officiers [de] l’armée française, le martyre de l’héroïque Rousset.
Camarades ! Nous ne vous convions pas à de vaines protestations. Nos jeunes camarades seront dans l’obligation de choisir : la mort lente, loin des leurs, sous le soleil d’Afrique, sous les to[…]les chao[…]bs, ou l’insoumission et la désertion.
Auront-ils le droit […]siter ?
À leurs frères de […]il de les soutenir en luttant contre le militarisme barbare.
Travailleurs ! [un]issez-vous aux anarchistes pour propager l’esprit de révolte et d’indiscipline dans les armées dont nous poursuivons la destruction.
Nous vous invitons au
Grand meeting
qui aura lieu
jeudi 13 juin 1912, à 8 h 1/2 du soir
Salle de la Maison commune, 19, rue de Bretagne
G. Yvetot, F. Delaisi, Pierre Martin, A. Laisant, Ch. Malato, [A.] Togny, A. Mournaud
Il sera perçu 0 fr. 20 pour couvrir [les frais]
Placement gratuit au siège
[marque syndicale] Imp. spéciale pour Affiches
Affiche éditée en 1912 contre le loi Berry-Millerand (source : tropjeunespourmourir.com. Source : Archives de la préfecture de police de Paris).
Est-ce Albert ou Charles-Albert Laisant ?
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[ texte ]
- texte :
Comité d’action libertaire
Lyon et banlieueSalle des fêtes de l’Unitaire
127, rue Boileau, 127Vendredi 22 janvier 1926, à 20 h 30
grande conférence publique et contradictoire
sur : l’objection de conscience et le service militaire obligatoire
par
Georges Pioch
La contradiction a été sollicitée par lettres recommandées auprès de l’Action française, de la Légion et de la Ligue des Droits de l’Homme
Participation aux frais : un franc
[marque syndicale] Imprimerie Nouvelle Lyonnaise - 3, rue Sainte-Catherine - Lyon.
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[ texte ]
- texte :
Fédération anarchiste
Aux grévistes
Depuis quelques jours, par centaines de mille, vous laissez l’outil, affirmant par un geste superbe votre solidarité envers vos camarades cheminots lancés dans la lutte pour obtenir la nationalisation des chemins de fer, c’est-à-dire le profit pour la collectivité des efforts de nos camarades du Rail.
Nous, anarchistes, qui clamons depuis si longtemps notre idéal de justice, de paix et de fraternité humaine, nous avons toujours eu la conviction que le jour où le peuple aurait la volonté, il briserait complètement ses chaines, vaincrait le capitalisme hideux qui nous accule à la misère, et instaurerait enfin cette ère de justice tant rêvée.
Puisse-t-il être commencé de jour de libération du peuple par un grand geste de grève générale.
Mais dans la lutte que vous menez contre le gouvernement, n’oubliez pas que depuis bientôt deux années, c’est-à-dire bien avant qu’il ne soit question de nationalisation, vous réclamiez dans les réunions et meetings
l’amnistie
Jusqu’ici, nous n’avons jamais obtenu des maîtres qui nous gouvernent avec tant d’incapacité, que des caricatures de cette amnistie que nous voulions si large puisqu’elle n’eut représenté qu’une simple mesure de justice.
Peuple souviens-toi
qu’à l’heure où tu liras ces lignes, tes enfants, tes fils, tes pères crèvent là-bas sous le soleil d’Afrique.
À l’instant précis où ton cœur palpitera, souviens-toi que d’autres hommes, tes frères meurent sous les coups de gardes-chiourmes en France !
C’est en leur nom que nous venons te supplier, peuple si docile aux heures de guerre et chez le percepteur, peuple tant bafoué, tant invoqué, nous avons encore confiance en toi et quand même.
Écoute les hurlements de douleur de Biribi ! Écoute les complaintes d’épouvante des bagnards ! Écoute les cris de rage qui sortent des pénitenciers ! On égorge en Afrique ! On assassine dans les cachots ! Là-bas, derrière les murs des prisons, le sang coule à plains flots, les yeux sont arrachés, les poitrines défoncées, les bras tordus.
Écoute encore peuple
[…]
Camarades, […]
Conscients de votre force, vous prendrez l’engagement de ne reprendre le travail qu’à cette condition formelle et vous imposerez à nos gouvernants
l’amnistie générale
[…] […]
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- notes :
- descriptif :
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[ texte ; image : 2 gravures et 4 photos de dirigeants (Mao Zedong, Mariano Rumor [?], Lyndon B. Johnson [?], Pie VI) ]
- texte :
1 Maggio
Operai le fabbriche sono vostre !
Contro ogni oppressore, contro ogni padrone, contro ogni esercito, contro ogni burocrazia : questo è il nostro 1° Maggio.
Non à la festa per sfilate di potenti eserciti come ormai accade a Mosca, e Pechino e in tutti gli altri paesi socialisti, perché gli eserciti sono sempre contro il popolo e festeggiare un giorno di lotta operaia e rivoluzionaria con l’esibizione della potenza delle armi atomiche significa tradire i valori della eroica guerriglia dei popoli e accettare la logica del terrore dei blocchi di potenze voluto dall’imperalismo del denaro.
Svegliamoci : i partiti vogliono solo il nostro voto, i sindacati fanno gli interessi del padrone, i burocrati sono contro di noi, i dirigenti frenano le nostre lotte.
Rifiutiamo il sistema della pseudo democrazia parlamentare, rifiutiamo ogni dirigenza e ogni tatticismo dei sindacati e dei partiti, ogni mitizzazione di uomini e di fatti, ma uniamoci per abbattere i vertici e arrivare alla gestione collettiva dal basso, alla uguaglianza assoluta e alla affermazione della dignità dell’uomo.
Lavoratore ti ingannano !
Oggi non è la festa del Cristo lavoratore !
Oggi non è una festa patriottica con sfilate di eserciti !
Oggi è invece l’anniversario del sacrificio di cinque lavoratori impicciati per avec proclamato, il 1° Maggio del 1886 a Chicago.
Da oggi non lavoreremo che otto ore !
Da allora il Primo Maggio sarebbe stato giorno di lotta degli sfruttati contro gli sfruttatori, secondo l’incitamento dei cinque lavoratori anarchici morti sul patibolo.
Sono gli stessi sfruttati che nel ’98 a Milano, cadono sotto il piombo monarchico rivendicando il diritto al pane. Diritto che riaffermò due anni dopo a Monza Gaetano Bresci, giustiziando Umberto I° il « re buono ». Lotta che continua nel ’14 nella Settimana Rossa, che avvampò tutta Italia, precedendo l’ancor più grande fiammata della Rivoluzione Russa, avanti la lunga oppressione nazi-fascista, dapprima contrastata dalle coraggiose occupazioni armate delle fabbriche nel ’21, e successivamente, in Italia, dai generosi attentati anarchici di Zamboni, Lucetti e Schirru. Ieri la Resistenza dei lavoratori ebbe ragione degli oppressori monarchici e nazi-fascisti, oggi è necessario l’energico intervento popolare nelle piazze, come nel Luglio del ’60, e come gli studenti, nuova classe di sfruttati, contro i ricorrenti tentativi autoritari dei padroni e dei governanti.
Circolo internazionale di cultura popolare - 5, Polo 2718 - Venezia — Tip. Vargen - Venezia
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texte
dessin (char d’assaut)
- texte :
Salaires légers
Chars lourds
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- notes :
- descriptif :
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[ texte (solidarité avec Don milani, imprisonné) ; dessin (grenadiers au garde-à-vous sur les côtés) ]
- texte :
I prestiti delle guerre sono molteplici :
però la causa immediata ne è una sola :
l’esistenza d’un esercito.No alle armi
Collettiva dei pittori
inaugurazione della mostra, giovedì 16 dicembre, ore 19Boscolo - Pontiti - Di Venere - Pregnolato - Guadaguino - Toffolo - Pagnacco
I pittori si uniscono alle proteste di Don Milani, che subisce in questi giorni un processo, per aver solidarizzato con gli obiettori di coscienza di oggi e di sempre, reclamando il diritto, per ogni individuo libero, di rifiutarsi ad impugnare le armi.
[logo] Galleria Internazionale — Venezia - S. Polo 2756
Tip. Veneta - Venezia
Esante da Bollo - D.L. 342, art. 19 - 16-4-1
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- notes :
- descriptif :
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[ texte (inutilité du service militaire et encouragement aurefus de servir la patrie) ; dessin (« carabiniere » tenant une affiche ]
- texte :
All’esercito dei padroni si risponde signor NO : L’esercito è un pilastro del sistema
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- notes :
- descriptif :
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[ texte ; dessin en deux parties : officier criant sur soldats ; alignement de croix d’un cimetière militaire ]
- texte :
Garde à vous !
Repos.
Fédération anarchiste
3, rue Ternaux — 75011 Paris
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
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[ texte ; dessin en deux parties (officier criant sur soldats - alignement de croix d’un cimetière militaire) ]
- texte :
Garde à vous ! Repos
Fédération anarchiste
3, rue Ternaux - Imprimerie spéciale du Monde libertaire
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
- /B_tout>
[ texte ]
Membres du Comité central provisoire
- texte :
Aux gardes nationaux du VIe arrondissement
Citoyens,
Toute armée permanente est destructive des institutions républicaines. Elle ne peut que conduire le pays tantôt à d’effroyables désastres, tantôt à la gloire militaire, s’élevant toujours sur la ruine des libertés publiques et l’oppression des autres peuples.
Elle favorise les coupables entreprises des prétendants et des ambitieux ; sert à écraser le pays d’impôts, à entraver la production en consommant sans produire. L’armée permanente prend des hommes et rend des esclaves. Elle dégrade le caractère des citoyens, fait perdre le goût du travail et fournit des recrues à l’odieuse police qui engendre la corruption au lieu de sauvegarder les mœurs, et prête la main à tous les crimes contre la liberté des citoyens.
Après la longue série d’infamies dont la plupart des chefs militaires se sont couverts en haine de la République, la garde nationale ne peut, sans trahir la patrie à son tour, conserver le commandement à des chefs imposés. Elle ne doit obéir qu’aux chefs choisis par elle et constamment révocables.
La Garde nationale parisienne a su, par son attitude, déjouer tous les pièges et sauver la Cité du déshonneur et du pillage. À elle incombe le devoir de veiller sur la ville, de la préserver des calamités que lui préparent dans l’ombre les souteneurs de princes, les généraux de coups d’État, les ambitieux cupides et éhontés de toutes sortes.
Le force doit rester au service du droit. Nous avons l’un et l’autre, conservons-les. Les ennemis de la patrie et de la République seront impuissants.
Citoyens de la Garde nationale, pour constituer rapidement une force compacte, pour avoir des chefs sûrs, capables, dévoués, républicains, ayant notre confiance, il faut prêter notre concours au Comité central, dans lequel vient de se fondre le Comité fédéral, et que reconnaissent plus de deux cents bataillons.
Les bataillons du VIe arrondissement sont invités à envoyer, jeudi 9 mars, à 8 heures du soir, 10, rue St-Benoît, trois délégués par compagnie, élus sans distinction de grade, et un officier par bataillon, élu par le corps des officiers.
Les chefs de bataillon sont également invités à cette réunion.
Ordre du jour :
Organisation de la Fédération républicaine de la Garde nationale. — Formation des cercles de bataillon, des conseils de légion et nomination des délégués au Comité central.
Vive la République !
Jules Bergeret. — V. Frontier. — H. Chouteau. — L. Lacord. — E. Varlin. — Henri Verlet, membres du Comité central provisoire.
1131 — Paris. Association générale typographique, rue du Faubourg-Saint-Denis, 19. Barthélémy et Cie.
facsimilé : quatorze affiches de la Commune de Paris éditées par « Les Yeux ouverts »
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
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[ texte ; dessin (soldat "étranglant" des appelés) ]
- texte :
À quoi sert l’armée ?
Avec D. Guérin, P. Vidal-Naquet, RP Cardonnel, F. Janin, D. Putemans
Soutenu par CLAM (Collectif de Lutte Anti-Militariste), CSI (Comité de Soutien aux Insoumis), CSOC (Comité de Soutien aux Objecteurs de Conscience), des militants de la CNT, GAN (Groupe d’Action Nonviolente), Ligue Communiste, MDPL, MIR (Mouvement International pour la Réconciliation), Objectif Socialiste, PSU, ORA, Ligue Rouge, UPF (Union Pacifiste de France), Soldats en lutte, Révolution !
9 novembre, Mutualité, 20 h 30
AIE Moriamé, 61, fg Poissonnière, Paris — Supplément à Alerte - Directeur de la publication : Claude Bourdet - n° 41 780
Supplément à Alerte n° 41.
1973 pour le FACL.
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
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[ Photo Massu sur fond de sang ]
- texte :
Ce général de l’armée française est un
criminel de guerre
il fait l’apologie de la torture, son chef, Debré, le protège
Inculpez Massu !
Comité pour le procès au général Massu — CCP Monique Hervo 12 98 629 Paris — Toute correspondance : François Maspéro ; 1, place Paul-Painlevé - Paris 5e
supplément à Rouge numéro 143
SAIE Moriamé 61 Fg Poissonnière Paris
Supplément à Rouge (Ligue Communiste). Reçu en 1972.
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
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[ texte ]
- texte :
À bas toutes les armées, bourgeoises ou populaires
Fédération anarchiste
3, rue Ternaux, Paris 11eImprimerie AbexPress — supplément au Monde libertaire — n° 193 — septembre 1973
Supplément au Monde libertaire.
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
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texte
photo solarisée (char d’assaut lance-roquettes et soldats servants)
- texte :
L’armée contre la jeunesse
À l’initiative du Comité de Défense des Appelés
- le CDA
- le Comité Antimilitariste
- le Comité de Soutien aux Objecteurs de Conscience
- le Mouvement International pour la Réconciliat
- le MDPL
- la Ligue Communiste
- Révolution !
MeetingMutualité Mo Maubert
mardi 27 février 20 hQuatre heures sur l’armée
forum-débats
projection du film "Les Marines"[…] Paris — supplément à Alerte
https://museris.lausanne.ch/SGCM/Consultation.aspx?id=120811&Source=search_result.aspx#
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- notes :
- descriptif :
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[ texte ; montage photo (défilé de manifestants, de dos, collé sur un défilé de soldats, de dos) ]
- texte :
Solidarietà per Lorenzo Santi
martedì 23 ore 9 processo nel Tribunale Militare di La Spezia
Qual’è il grave crimine che avrebbe commesso Lorenzo per cui è segregato in una cella di isolamento da mesi ? omicidio ? rapina ? no, molto peggio ! obiezione totale al servizio militare : il voler rifiutare la divisa, l’annientamento della propria identità, la spersonalizzazione dell’individuo, l’umiliazione quotidiana di non poter rispondere a chi nasconde dietro 4 strisce e 3 stellette la propria impotenza, il proprio squallore dei leccaculo di regime. Lorenzo da compagno anarchico si è voluto opporre a tutto ciò che questo rappresenta : la violenza dello stato, evidenziata maggiormente nelle forze armate e nelle sue carceri speciali.
Mobilitiamoci tutti per manifestare la nostra solidarietà di antifascista militante al compagno Lorenzo per trasformare questa giornata in un momento di lotta contro i codici fascisti e contro questo stato “antifascista” che li applica.troviamoci martedì 23 ore 8,30-piazza Chiodo, La Spezia
Comitato di lotta antimilitarista
[… impr. ]
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
texte ; dessin (manifestation de soldats appelés dans une rue) signé Atarpop73 ; cadre vide (à remplir)
- texte :
Ils revendiquent
Ils manifestent
Ils s’organisentSoutenons les luttes des soldats
comité antimilitariste
Daniel Guérin - BP 247 16 - 75765 Paris cedex 16
Supplément à Lutte antimilitariste n° 17 — Roto-technic-offset - Aubervilliers
L’affiche comprend un cadre vide à compléter localement. Supplément au n° 17 (septembre 1974) de Lutte antimilitariste. Le visuel était aussi repris en couv. à un numéro « spécial Draguignan-Nice » de cette revue, lui aussi supplément au n° 17.
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- notes :
- descriptif :
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- texte :
Fédération anarchiste
bourgeoise ou populaire
une seule réforme de l’arméesa suppression !
Non :
- au noyautage de l’armée
- à la démocratisation de l’armée
- à la syndicalisation de l’armée !
on n’aménage pas l’armée, on est absorbé par elle !
Oui :
- au désarmement unilatéral, à l’objection de conscience généralisée, à l’abrogation de la loi sur l’insoumission et la désertion !
imprimerie spéciale du Monde libertaire — 3, rue Ternaux 75011
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
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texte
- texte :
Dire merde à l’armée, c’est s’affirmer un homme libre
soutenons Joël Chapelle
605 284 - 349, 3e division (prévenu)
1, av. de la division Leclerc - 94 - FresnesEn tôle pour insoumission à l’armée…
Imp. Spec. Riton
Comité de soutien aux insoumis
Impr. Riton, probablement Henri Leclec, gérant de l’imprimerie lyonnaise Presse nouvelle.
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
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- texte :
Draguignan-Nice...
soutien aux soldats en lutte pour l’obtention de leurs droits
mardi 1 octobre 20 h 30
Mutualité
Comité de soutien à l’Appel des 100
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
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[ texte ; dessin (arme et casque à la poubelle) ]
- texte :
Gala de soutien aux objecteurs de conscience
[Maxime Leforestier]
Yves Simon, Gilles Servat, Zao, Nemo, Mahjun, Blue-grass Connection, Lyonesse-Glazard Skeduz, Luc de Clercq, Jean-Yves Bassuel
sous réserves
Brigitte Fontaine, Areski, Pierre Barouh29 avril au Bataclan
50, boulevard Voltaire, M° Oberkampf, à 20 h 30
prix des places : 10 F
billets de soutien : 20 F[…]
[… impr. ?]
Vers 1972-1974 ?
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
[ texte manuscrit ; dessin ]
- texte :
Insoumission totale
procès
Alain Véniat, déserteur, refuse toute armée, toute prison… toute oppression institutionnelle.
Tous au procès, 7 juin, 13 h, au tribunal permanent des forces armées, Caserne Reuilly
Contact : 20, bd. Rich. Lenoir, 2e étage à droite, tél. : 355.0948.
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
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[ Texte (en partie dessiné) ; dessin "Larzac" en brique rouge inscrivant "L’Armée" en ombre projetée ]
- texte :
Larzac = L’armée : mobilisation générale
L’armée, propriétaire du Larzac en 75 ?
Le pouvoir veut en finir
La résistance des paysans continue
Signatures : Les Paysans du Larzac - Les Comités Larzac - Le Comité Millavois de Défense du Larzac.
Imp. NPP-Projet 75020 Paris
Numérisée
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
[Psychologie du militaire professionnel]
[Psychologie du militaire professionnel] / Maximilien Luce. — Paris : [s.n.], [ ?]. — 1 affiche (lithogr. ), coul. (quatre ou plus ) ; 82 × 59 cm.
sources :
[Chauvinard]
[Chauvinard] / Lapiz. — Paris : les Temps Nouveaux, (Imprimerie spéciale [Impr. spéc.]). — 1 affiche (lithogr. ), coul. (quatre ou plus ) ; 65 × 32 cm.
sources :
[Conférence publique et contradictoire par Sébastien Faure, sujet traité : Dreyfus est innocent !]
[Conférence publique et contradictoire par Sébastien Faure, sujet traité : Dreyfus est innocent !]. — Paris : Le Libertaire (1895-1939), . — 1 affiche (impr. photoméc.) : n. et b. ; [54 ?] × [40 ?] cm.
sources :
[Grand meeting public et contradictoire : sabre et goupillon]
[Grand meeting public et contradictoire : sabre et goupillon]. — Paris : Le Libertaire (1895-1939), . — 1 affiche (impr. photoméc.) : n. et b. ; [54 ?] × [40 ?] cm.
sources :
[Grand meeting public et contradictoire de protestation contre les lois scélérates]
[Grand meeting public et contradictoire de protestation contre les lois scélérates]. — Paris : Le Libertaire (1895-1939), (Imprimerie spéciale [Impr. spéc.]). — 1 affiche (impr. photoméc.) : n. et b. ; [54 ?] × [40 ?] cm.
sources :
[Manifeste : un coup de force se prépare, grand meeting la liberté en péril]
[Manifeste : un coup de force se prépare, grand meeting la liberté en péril]. — Paris : Coalition révolutionnaire : Le Libertaire (1895-1939), . — 1 affiche (impr. photoméc.) : n. et b. ; [54 ?] × [40 ?] cm.
sources :
[Manifeste aux soldats]
[Manifeste aux soldats]. — Paris : Le Libertaire (1895-1939), . — 1 affiche (impr. photoméc.) : n. et b. ; [45 ?] × [31 ?] cm.
sources :
[Aux soldats !]
[Aux soldats !]. — Paris : L’ Anarchie (1905-1914), (Causeries populaires, impr. des). — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (une : noir , papier de couleur ) ; x × y cm.
sources :Notes
[1] Prix du timbre fiscal autorisant l’affichage public.
[Une scélératesse !]
[Une scélératesse !]. — Paris : FRC_ - FCR_ (Fédération communiste révolutionnaire : 1910-1912), (Imprimerie spéciale [Impr. spéc.]). — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (une : papier de couleur ) ; x × y cm.
sources :
[L’objection de conscience et le service militaire obligatoire : conférence publique et contradictoire]
[L’objection de conscience et le service militaire obligatoire : conférence publique et contradictoire]. — Lyon : Comité d’action libertaire (Lyon), (Imprimerie Nouvelle Lyonnaise (Lyon)). — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (une : noir , papier de couleur ) ; 86 × 62 cm.
sources :
[Aux grévistes]
[Aux grévistes]. — Paris : FAF_ (Fédération anarchiste de langue française), [ ?]. — 1 affiche (impr. photoméc.) : n. et b. ; 85 × 62 cm.
sources :
[Primo maggio]
[Primo maggio]. — Venezia Venise : Circolo internazionale di cultura popolare (Venezia), [ ?] (Carven, tip. (Venezia)). — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (deux : rouge , noir , papier blanc ) ; 67 × 47 cm.
sources :
[Salaires légers, chars lourds]
[Salaires légers, chars lourds]. — Paris : Atelier populaire des Beaux-Arts (& École nationale supérieure des Beaux-Arts), . — 1 affiche (sérigr. ), coul. (une : rouge , papier blanc ) ; 32 × 49 cm.
sources :
[No alle armi]
[No alle armi]. — Venezia Venise : Circolo internazionale di cultura popolare (Venezia) : Collettiva dei pittori : Galleria internazionale, [ca ]. — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (deux : rouge , noir , papier blanc ) ; 70 × 47 cm.
sources :
[All’esercito dei padroni si risponde signor NO]
[All’esercito dei padroni si risponde signor NO]. — [S.l.] : [s.n.], [ca ]. — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (une : bleu , papier blanc ) ; 94 × 65 cm.
sources :
[Garde à vous ! repos]
[Garde à vous ! repos]. — [S.l.] : FA__ [2] (Fédération anarchiste : 1953-....), [ca ]. — 1 affiche (sérigr. ) : n. et b. ; x × y cm.
sources :
[s.d.] |
[ 1977 ?] |
[ca 1970] |
[s.d.] |
[Garde à vous ! repos]
[Garde à vous ! repos]. — Paris : FA__ [2] (Fédération anarchiste : 1953-....), [ca ] (Imprimerie spéciale [Impr. spéc.]). — 1 affiche (sérigr. ), coul. (une : noir , papier jaune ) ; 49 × 65 cm.
sources :
[ca 1970] |
[s.d.] |
[ 1977 ?] |
[s.d.] |
[Aux gardes nationaux du VIe arrondissement. Elle ne doit obéir qu’à des chefs choisis par elle et constamment révocables]
[Aux gardes nationaux du VIe arrondissement. Elle ne doit obéir qu’à des chefs choisis par elle et constamment révocables]. — Paris : les Yeux ouverts, . — 1 affiche (impr. photoméc.) : n. et b. ; 41 × 29 cm.
sources :
[À quoi sert l’armée ? 9 novembre, Mutualité]
[À quoi sert l’armée ? 9 novembre, Mutualité] / CSI (Comité de Soutien aux Insoumis). — [S.l.] : CLAM (Collectif de Lutte Anti-Militariste) : CSOC (Comité de soutien aux objecteurs de conscience) : ORA_ (Organisation Révolutionnaire Anarchiste : 1967-1976) : UPF_ (Union pacifiste de France), . — 1 affiche (sérigr. ), coul. (deux : rouge , noir , papier blanc ) ; 88 × 58 cm.
sources :
[Ce général de l’armée française est un criminel de guerre, [...] Inculpez Massu !]
[Ce général de l’armée française est un criminel de guerre, [...] Inculpez Massu !]. — Paris : [s.n.], [ ?]. — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (deux : rouge , noir , papier blanc ) ; 86 × 58 cm.
sources :
[À bas toutes les armées, bourgeoises ou populaires]
[À bas toutes les armées, bourgeoises ou populaires]. — Paris : FA__ [2] (Fédération anarchiste : 1953-....) : le Monde libertaire, (Abexpress). — 1 affiche (impr. photoméc.) : n. et b. ; 20 × 60 cm.
sources :
1989 |
[L’armée contre la jeunesse : meeting, Quatre heures sur l’armée]
[L’armée contre la jeunesse : meeting, Quatre heures sur l’armée]. — [S.l.] : CSOC (Comité de soutien aux objecteurs de conscience) ; [et al.], . — 1 affiche (sérigr. ), coul. (une : vert ) ; 43 × 56 cm.
sources :
[Solidarietà per Lorenzo Santi]
[Solidarietà per Lorenzo Santi]. — [S.l.] : Comitato di lotta antimilitarista, [ca ]. — 1 affiche (impr. photoméc.) : n. et b. ; x × y cm.
sources :
[Soutenons les luttes des soldats]
[Soutenons les luttes des soldats] / Atarpop. — Paris : CLAM (Collectif de Lutte Anti-Militariste) : Comité antimilitariste (CAM_), [ & ante]. — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (deux : rouge , noir , texte en défonce , papier blanc ) ; 88 × 58 cm.
sources :
[Bourgeoise ou populaire, une seule réforme de l’armée : sa suppression !]
[Bourgeoise ou populaire, une seule réforme de l’armée : sa suppression !]. — Paris : FA__ [2] (Fédération anarchiste : 1953-....), [ca ]. — 1 affiche (impr. photoméc.) : n. et b. ; 42 × 30 cm.
sources :
1989 |
[Dire merde à l’armée, c’est s’affirmer un homme libre]
[Dire merde à l’armée, c’est s’affirmer un homme libre] / CSI (Comité de Soutien aux Insoumis). — [S.l.] : [s.n.], [ca ] (IPN/AIPN (Ateliers d’Impression Presse Nouvelle, Lyon)). — 1 affiche (sérigr. ) : n. et b. ; 68 × 50 cm.
sources :
[Draguignan-Nice... : soutien aux soldats en lutte pour l’obtention de leurs droits]
[Draguignan-Nice... : soutien aux soldats en lutte pour l’obtention de leurs droits]. — [S.l.] : Partis et mouvements non anarchistes, . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (une : noir , texte en défonce , papier de couleur ) ; x × y cm.
sources :
[Gala de soutien aux objecteurs de conscience au Bataclan]
[Gala de soutien aux objecteurs de conscience au Bataclan]. — Paris : [s.n.], . — 1 affiche (impr. photoméc.) : n. et b. ; x × y cm.
sources :
[Insoumission totale : procès, Alain Véniat déserteur refuse…]
[Insoumission totale : procès, Alain Véniat déserteur refuse…]. — Paris : [s.n.], [ ?]. — 1 affiche (sérigr. ) : n. et b. ; x × y cm.
sources :
[L’armée Larzac, mobilisation générale]
[L’armée Larzac, mobilisation générale]. — Millau : Comités Larzac, (NPP (Paris)). — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (deux : rouge , noir , papier blanc ) ; 88 × 58 cm.
sources :
[Soutenez Joël Chapelle]
[Soutenez Joël Chapelle] / CSI (Comité de Soutien aux Insoumis). — [S.l.] : [s.n.], [ca ] (IPN/AIPN (Ateliers d’Impression Presse Nouvelle, Lyon)). — 1 affiche (sérigr. ) : n. et b. ; 64 × 50 cm.