2022

 

 

43 affiches :

 









    [Colloque autogestion, 15 octobre 2022, Lycée autogéré de Paris]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Colloque autogestion, 15 octobre 2022, Lycée autogéré de Paris]. — Paris : FA__ [2] (Fédération anarchiste : 1953-....) : FA__. Groupe Commune de Paris 1871 (Paris), . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (quadri ) ; x × y cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  :
    • Liste des thèmes  : autogestion
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  : Almehdi, Meytham  ; Georgi, Frank  ; Lenoir, Hugues  ; Marcellan, Aimé (1948-....)  ; Marker, Chris  ; Richard, Jean-Claude (1947-....)  ; Savadkouhi, Fereydoun  ; Teyf, Nader
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  : colloque
    notes :
    descriptif :
    Symbole(s) utilisé(s) :

    texte

    vignettes

    photos (grève à LIP)

    affiches

    fond rouge et noir

    texte :

    Colloque autogestion

    5 octobre 2022

    au Lycée Autogéré de Paris
    393, rue de Vaugirard - 75015 Paris

    Métro / tram : Porte de Versailles

    Programme

    9h30 Accueil café-thé et thé-li

    10h-11h Franck Georgi : Une approche historique de l’autogestion

    11h-12h Jean-Claude Richard : La Fédération des coopératives alimentaires autogérées

    12h-13h30 Pause repas organisée en autogestion par les lycéens et lycéennes du LAP

    13h30-14h30 Aimé Marcellan : L’autogestion dans l’Espagne libertaire (1936-1939)

    14h30-15h30 L’autogestion pédagogique : acteur du LAP et du Lycée expé de St-Nazaire, Hugues Lenoir

    15h30-16h Pause

    16h-17h L’autogestion ouvrière en Iran (1979-1980) :
    Fereydoun Savadkouhi : L’expérience de comités de quartiers et de conseils d’ouvriers qui se sont constitués en 1979
    Nader Teyf : Les ouvriers pétroliers et leurs conseils d’autogestion à la même période
    Meytan Almehdi : ouvrier métallurgique anarchiste parlera de discussions et décisions ouvrières à l’époque actuelle en particulier où il a travaillé et mené beaucoup de luttes avec ses collègues dans les aciéries d’Ahvaz

    17h-18h 2 ateliers :
    1) La coopérative ouvrière Ambiance bois animé par l’un.e des coopérateur.ices
    2) Quelle autogestion des luttes dans la sous-traitance hôtelière ?

    18h-19h Projection “Puisqu’on vous dit que c’est possible !” documentaire de Chris Marker sur LIP

    19h-20h-30 Pause repas organisée en autogestion par les lycéennes et les lycéenes du LAP

    20h30-22h30 Concert : Houlenn Tann et Dubamix

    Organisé par :
    Groupe Commune de Paris 1871

    Programme détaillé sur notre blob :
    http://federation-anarchiste-groupe-commune-de-paris.over-blog.com


    sources :
     








    [Il n’y a pas d’incendiaire isolé·e]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Il n’y a pas d’incendiaire isolé·e]. — [S.l.] : [s.n.], . — 1 affiche (photocop. ) : n. et b. ; 42 × 30 cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  :
    • Liste des thèmes  : insurrectionnalisme  ; sabotage / sabottage
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  : soutien à militants
    notes :
    descriptif :


    texte

    dessin (ville où une voiture — d’où sort un tentacule de pieuvre — flambe)

    texte :

    Il n’y a pas d’incendiaire isolé·e

    Un compagnon anarchiste, Ivan, a été arrêté en région parisienne le 11 juin 2022. Il est soupçonné de plusieurs incendies de voitures : plaques diplomatiques, voitures de riches et d’Enedis, entre autres. Nous reconnaissons l’incendie et le sabotage de voitures, d’antennes-relais, de pylônes électriques et d’enseignes comme une stratégie de la lutte anarchiste internationale.

    L’omniprésence de nos ennemis fait leurs failles. Certaines cibles nous paraissent inatteignables, et pourtant, toutes leurs tentacules sont autant de talons d’Achille. Si le siège de telle entreprise est difficilement accessible, nous pouvons cramer une de ses nombreuses voitures, ses filiales et son alimentation électrique. Nous nous réjouissons de sectionner ces tentacules, seul·es ou en groupe, avec ou sans revendication, avec les moyens du bord ou des techniques plus perfectionnées. Ainsi, nous attaquons certaines structures de la domination.

    Ces attaques ont lieu partout, tout le temps, parce qu’elles sont reproductibles et que les cibles sont à chaque coin de rue.

    Nous attaquons parce que nous n’acceptons pas l’horreur de ce monde, parce que c’est un moyen de manifester notre solidarité, parce que nous voulons mettre un grain de sable dans l’engrenage du pouvoir. Pour toutes ces raisons, ces attaques nous donnent de la joie.

    Solidarité avec les prisonnièr·e·s anarchistes !

    Liberté pour tous·te·s !

    À l’attaque !

    Des anarchistes, juillet 2022


    sources :

    https://lille.indymedia.org/spip.php?article34872&lang=fr
    https://mtlcontreinfo.org/il-ny-a-pas-dincendiaire-isole-e/
    https://mtlcontreinfo.org/wp-content/uploads/2022/07/incendiaire.pdf


    2022

    2022
    Affiches liées










    [Mener notre guerre]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Mener notre guerre]. — Paris : [s.n.], . — 1 affiche (impr. photoméc.) : n. et b. ; x × y cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  :
    • Liste des thèmes  : guerre (généralités)  ; sabotage / sabottage
    • Géographie, géopolitique et Histoire  : Ukraine
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  :
    notes :
    descriptif :


    texte

    photo (sabotage d’une voie ferrée)

    texte :

    Mener notre guerre

    Des villes entières rasées au sol. Des soldats tuant des gens sans défense et terrorisés. L’exode de millions de personnes. Face à tant d’horreurs, la condamnation de la guerre est unanime. Notre estomac ne peut que protester, submergé par une sensation de nausée.

    Ce qui n’empêche pas la plupart d’entre nous de vivre au milieu des dispositifs et des infrastructures qui rendent ces massacres possibles. Car oui, en effet, la guerre commence ici, chez nous. Dans les centaines d’usines, de fabriques et de laboratoires qui produisent en permanence les instruments de mort. Dans la logistique meurtrière qui permet l’acheminement ininterrompu d’armes et d’équipements. Dans les systèmes énergétiques qui alimentent la machine de guerre. Autant dire que tous les discours larmoyants pour la fin de la guerre sont une véritable hypocrisie, aussi longtemps qu’il y aura des industriels pour la produire, des politiciens pour la déclarer, des scientifiques pour l’innover, des généraux pour la gérer, bref tant que fleuriront les intérêts de ceux qui de près ou de loin y collaborent.

    Est-ce que l’industrie militaire est protégée des regards indiscrets par d’épais écrans de fumée ? Toute cette production se déroule-t-elle dans de lointains bunkers souterrains ? Mais non, tout est là ! Exposé au regard de n’importe qui.

    Si nous voulons encore communiquer quelque chose sans rester prisonniers du vacarme des jours, il ne reste alors qu’à hurler de tout notre souffle cette vérité inconfortable. Le massacre, le sang et la violence de la guerre ne sont pas l’exception ; ce sont des données centrales de cette société infâme pour en garantir la survie.

    La logique de toute guerre est de nous plonger dans l’apathie et le désarroi. En effet, face à la force militaire qui paraît sans limites, toute intervention humaine peut sembler impossible. Comment agir dans un sens qui soit le nôtre lorsque les États et les armées s’entrechoquent férocement pareils à des géants sur la surface de la Terre ?

    Se hasarder à des questions différentes peut être un bon point de départ pour sortir de notre impuissance et entrevoir des possibilités d’interventions. Où commence la guerre ? Qui sont ceux qui la produisent, l’innovent, la gèrent… et de quelle manière ? À partir de là, comment faire ?

    Est-ce que le fait d’être contre la guerre signifie que nous voulons uniquement nous y opposer de manière pacifique ? Certainement pas. L’indignation passive ne nous sera d’aucun secours pour éviter que beaucoup d’autres morts suivent ceux de l’Ukraine et d’ailleurs. Si nous voulons oeuvrer à faire disparaître la guerre des États et tout ce qui va avec, il n’y a qu’une seule façon. Déclarer, nous, la guerre aux personnes, aux usines, aux laboratoires de recherche et aux infrastructures qui la rendent possible : les pieds d’argile de ce gigantesque corps écraseur.

    des anarchistes


    sources :

    https://sansnom.noblogs.org/archives/13377 (« Reçu par mail, 12 août 2022 »)





    [Non à la casse des conventions collectives !]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Non à la casse des conventions collectives !]. — Marseille : CNT_F (France) ; [et al.], . — 1 affiche (photocop. ) : n. et b. ; 42 × 30 cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  :
    • Liste des thèmes  : éducation  ; grève  ; luttes sociales (mouvement social)  ; santé
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  :
    notes :
    descriptif :
    Symbole(s) utilisé(s) :

    texte

    texte :

    Non à la casse des conventions collectives !

    Dès aujourd’hui, commençons à préparer la riposte nationale du 31 mai et 1er juin !
    Grève et manifestation le 31 mai à 10h à la préfecture !
    Soirée de lutte à partir de 17 h 30

    En février 2022, le premier ministre annonçait l’élargissement du Ségur de la santé à l’ensemble du personnel éducatif dans le médico-social et le social. Plusieurs décrets publiés ce début mai montrent bien que le gouvernement nous a enfumé avec de "belles promesses" pour endormir la lutte.
    1. Il s’agit d’une prime calquée sur les accords Laforcade et non d’une revalorisation de salaire : pas de cotisation pour les retraites, et elle peut être supprimée à tout moment.
    2. Le secteur privé ne sera pas concerné par la prime Ségur sans accord préalable de fusion des conventions collectives.
    3. Ne sont concernés que les 3 fonctions publiques (d’État, hospitalière et territoriale)
    4. Pour ce qui est de la fonction publique territoriale, le choix est laissé aux départements et collectivités de verser ou non cette prime et de définir qui en seront les bénéficiaires.
    5. De nouvelles listes de professions ont été établies. Un tiers des profesionnel.les en seraient encore exclus.

    Destruction des conventions

    1- Les conventions collectives sont les textes qui définissent les règles particulières du droit du travail pour un secteur. Pour le social et médico-social, il existe 5 conventions principales garantissant certains droits (salaires, congés trimestriels etc).
    Il s’agit des CCNT66, Accords CHRS, CCNT 51, CCNT Croix Rouge et CCNT CLCC (en cas de doutes, votre convention de rattachement est indiquée sur vos fiches de paye).

    2 - La fusion de ces 5 conventions en une Convention Collective Unique Étendue est autorisée par la loi de 2014 (dite loi travail ou El Khomri). En réponse à cette initiative de l’État, les organisations patronales (NEXEM et FEHAPS rassemblées en AXESS) orchestrent cette fusion dans la continuité de la marchandisation de notre secteur.

    3- Aujourd’hui, AXESS dévoile son programme et ses grandes orientations : "réalisme" et "modularité". Des orientations libérales qui paraissent bien éloignées de nos demandes de fincancements pérennes à hauteur des besoins du public et de la valorisation de nos métiers.

    Un salaire à la "compétence"

    La CCUE instaure un isolement toujours plus grand des professionnel.les face à leur direction en instaurant une logique de négociation individuelle de son salaire (à partir de compétences évaluées directement par l’employeur).

    1- "Une rémunération minimale conventionnelle de l’emploi" calculée à partir des attendus de chaque poste. C’est la base de la rémunération mais à cela s’ajoute une part de salaire négociée au cas par cas.

    2- "Un complément de maîtrise de l’emploi" laissé à la liberté de la négociation employeur/salarié.e, ce complément vise à différencier les salarié.es selon des compétences non mesurables (aptitudes relationnelles, adaptabilité, travail en équipe etc). Ce complément "peut s’appuyer en partie sur le nombre d’années d’expériences", c’est-à-dire "une vision remaniée de l’ancienneté" dont on ne sait rien pour l’instant…

    En concret, c’est donc la mise en compétition des travailleur.euses du social sur un libre marché de l’emploi, où la négociation même de son salaire se fait seul.e face à son patron ! Accepter cette convention c’est aller vers des recrutements et des salaires injustes et inégaux. C’est aussi accepter la mise en danger des droits des personnes accompagnées et la baisse de qualification du personnel.

    Le social brûle

    facebook : le social brûle
    collectif 13 des travailleur-euses du social et du médico-social
    lesocialbrule@gmail.com


    sources :

    https://www.cnt-f.org/sam/IMG/png/34.png
    https://www.cnt-f.org/sam/IMG/png/34.png










    [Solidarité avec Libre Flot : crève la taule et l’isolement !]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Solidarité avec Libre Flot : crève la taule et l’isolement !]. — Rennes : Soutien aux inculpé·e·s du 8 décembre, . — 1 affiche (photocop. ) : n. et b. ; x × y cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  :
    • Liste des thèmes  : lutte armée  ; répression
    • Géographie, géopolitique et Histoire  : Kurdistan
    • Noms cités (± liste positive)  : Libre Flot
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  : soutien à militants
    notes :
    descriptif :


    texte

    texte :

    Solidarité avec Libre Flot

    Crève la taule et l’isolement !

    Arrêté avec 8 autres personnes (aujourd’hui libérées) le 8 décembre 2020, Libre Flot est toujours en détention provisoire et à l’isolement depuis maintenant 15 mois.

    Les 8 sont accusés d’association de malfaiteur à visée terroriste.

    Libre Flot a fait une demande de mise en liberté qui vient d’être rejetée. C’est pourquoi il s’est déclaré en grève de la faim. Voici des extraits de la lettre qui a été rendue publique et qui explique sa situation :
    “je me déclare en grève de la faim depuis le dimanche 27 février 2022 à 18 heures, je ne réclame à l’heure actuelle que ma mise en liberté en attendant de démontrer le côté calomnieux de cette honteuse accusation.”

    Concernant le refus de le remettre en liberté en attendant le jugement :
    “Pour ce faire, ils reprennent presque en copier / coller le rapport de la DGSI (*) du 7 février 2020, base de toute cette affaire dont nous ne savons pas d’où viennent les informations et dont la véracité n’a pas été démontrée.”

    “Cela fait plus de 14 mois que je comprends que ce sont mes opinions politiques et ma participation aux forces kurdes des YPG (**) dans la lutte contre Daech qu’on essaie de criminaliser.”

    ”Cela fait plus de 14 mois que sans jugement on m’impose la détention dite provisoire que je subis dans les plus terribles conditions possibles : le régime d’isolement considéré comme de la « torture blanche » et un traitement inhumain ou dégradant par plusieurs instances des droits humains.
    Cela fait plus de 14 mois que je suis enterré vivant dans une solitude infernale et permanente sans avoir personne à qui parler, à juste pouvoir contempler le délabrement de mes capacités intellectuelles et la dégradation de mon état physique et ce, sans avoir accès à un suivi psychologique.”

    “Cela fait plus de 14 mois que (…) je croupis dans les geôles de la République”

    “J’ai récemment appris de la bouche même du directeur des détentions de la maison d’arrêt des Yvelines (Bois d’Arcy), (…) que mon placement et mon maintien à l’isolement étaient décidés depuis le premier jour par des personnes très haut placées et que quoi je dise ou que lui-même dise ou fasse, rien n’y ferait, que cela le dépasse, le dossier ne sera même pas lu et je resterai au quartier d’isolement et que de toute façon rien ne pourrait changer avant les élections présidentielles.”

    150 personnes étaient présentes à Toulouse le 9 mars pour montrer leur solidarité, le rassemblement a pu se tenir, nous n’avons pas pu manifester, bloqués par la police, mais notre détermination reste intacte.

    Nous n’attendrons pas sans réactions, la fin des élections pour qu’enfin ils le libèrent !

    Nous appelions à ce que les actions en solidarité se multiplient

    RDV 16 mars 18 h Métro J.d’Arc

    et tous les mercredis qui suivent pendant sa grève de la faim

    Pour lire l’intégralité de la lettre et avoir plus d’informations : https://soutienauxinculpeesdu8decembre.noblogs.org/

    * DGSI = service spécialisé de renseignement intérieur français. sa grève de la faim
    **YPG = Unités de protection du peuple, branche armée du Parti de l’union démocratique (PYD) kurde en Syrie. Elles sont formées en 2011 lors de la guerre civile syrienne.


    sources :

    https://soutienauxinculpeesdu8decembre.noblogs.org/
    https://soutienauxinculpeesdu8decembre.noblogs.org/files/2022/03/affiche-2.png




    [There are no isolated arsonists]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    There are no isolated arsonists]. — [S.l.] : [s.n.], . — 1 affiche (photocop. ) : n. et b. ; 42 × 30 cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  :
    • Liste des thèmes  : insurrectionnalisme  ; sabotage / sabottage
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  : soutien à militants
    notes :
    descriptif :


    text

    dessin (ville où une voiture — d’où sort un tentacule de pieuvre — flambe)

    texte :

    There are no isolated arsonists

    An anarchist companion, Ivan, was arrested in the Paris region on June 11, 2022. He is suspected of several car arsons : cars with diplomatic plates, cars of the rich, of Enedis, and of others. We consider the arson and sabotage of cars, cell towers, electricity pylons and corporate targets as a strategy of the international anarchist struggle.

    The omnipresence of our enemies makes them vulnerable. Some targets seem unreachable, yet all their tentacles are Achilles’ heels. If a company’s headquarters is difficult to access, we can torch one of its many cars, its branches and its power supply. We find joy in severing these tentacles, alone or in groups, with or without claims, with the means at hand or with more sophisticated techniques. In this way, we attack specific structures of domination.

    These attacks take place everywhere, all the time, because they are reproducible and the targets are on every street corner. We attack because we do not accept the horror of this world, because it is a way to show our solidarity, because we want to put a grain of sand in the gears of power. For all these reasons, these attacks bring us joy.

    Solidarity with anarchist prisoners !
    Freedom for all !
    To the attack !

    Some anarchists, July 2022


    sources :

    From Indymedia Lille, translation by Act for Freedom Now !
    https://lille.indymedia.org/spip.php?article34872&lang=fr
    https://actforfree.noblogs.org/post/2022/07/09/en-fr-there-are-no-isolated-arsonists/
    https://mtlcounterinfo.org/there-are-no-isolated-arsonists/


    2022

    2022
    Affiches liées


    [Toufik, mort au commissariat de Lille]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Toufik, mort au commissariat de Lille]. — Lille : CRIME (Contre la Répression des Individus et des Mouvements d’Émancipation) ; [et al.], . — 1 affiche (photocop. ) : n. et b. ; 42 × 30 cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  :
    • Liste des thèmes  : justice
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  : meetings et manifestations
    notes :
    descriptif :


    texte

    photo (Toufik)

    texte :

    Toufik, mort au commissariat de Lille

    Manifestation le samedi 26 février 2022

    Départ métro Wazemmes 15 h

    Que s’est-il passé le 23 aout 2020 au commissariat de Lille ?
    18 mois plus tard, on demande toujours la vérité !

    Toufik avait 23 ans, il venait d’Algérie, avait fui la misère du bidonville où il vivait avec sa famille, était allé en Espagne, puis en Allemagne et s’était finalement retrouvé à Lille, à vivre sans papiers, sans logement. Sa galère était celle de, nombreux sans papiers et de nombreux jeunes aussi qui, comme lui, doivent trouver des moyens de survivre, de s’abriter, de s’en sortir. Si Toufik avait eu des papiers, les choses ne se seraient sans doute pas passées ainsi.

    Sans réponse sur les causes de sa mort, la famille de Toufik a porté plainte. Avec l’aide de son avocat, elle a pu se rendre compte qu’une enquête avait été réalisée par l’IGPN [1], très vite certes, mais surtout à la va-vite.
    Une fois de plus, l’IGPN s’est montrée plus soucieuse de protéger les policiers que de rendre compte de la vérité : absence dans le dossier des vidéos de la garde à vue, pas d’auditions des policiers qui ont arrêté Toufik, de ceux qui l’ont gardé les premières heures, pas d’audition du médecin de permanence. Des questions restent sans réponses après cette soi-disant enquête.

    Quelles que soient les causes médicales de la mort de Toufik, n’est-il pas mort avant tout d’un défaut de soins ? Comment un jeune homme de 23 ans peut soudainement mourir sans qu’aucun secours ne lui soit porté ? Y a-t-il même le matériel nécessaire aux premiers secours dans les geôles du commissariat ?

    La mort de Toufik met en évidence la violence infligée lors des gardes à vue en France. L’actualité récente montre que la situation est particulièrement grave à Lille [2].
    Cela nous porte à tout envisager sur ce qui a pu arriver à Toufik, et cela nous amène à considérer que toute personne en garde à vue est potentiellement en danger.

    Nous voulons que les demandes de la famille soient entendues : accès aux vidéos, auditions de tous les policiers ayant joué un rôle dans le drame qui a conduit à la mort de Toufik, enquête complète et non à la décharge de la police.

    Collectif Vérité pour Toufik,
    Comité des Sans Papiers 59,
    Contre la Répression des Individus et des Mouvements d’Émancipation (CRIME),
    le FUIQP et le Collectif Afrique


    IGPN : Inspection générale de la Police Nationale qui est censée faire des enquêtes en interne

    [2] En 2021, le Conseil de l’Europe a retoqué la France suite à un rapport du Comité européen pour la prévention de la torture. Le Contrôleur général des lieux de privation de liberté relève aussi de nombreux dysfonctionnement dans les commissariats français


    sources :

    Une autre affiche reprend l’appel. Voir : Vérité pour Toufik

    Un tract reprend le texte des deux affiches en recto-verso.


    2022
    Affiche liée




    [« Fin du moi, début du nous ! » le mouvement des Gilets Jaunes à St-Nazaire, 2018]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    « Fin du moi, début du nous ! » le mouvement des Gilets Jaunes à St-Nazaire, 2018]. — Saint-Nazaire : les Ami·e·s de May (Saint-Nazaire) ; [et al.], . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (quadri ) ; 42 × 30 cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  :
    • Liste des thèmes  : art : photographie  ; luttes sociales (mouvement social)
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  : exposition  ; lieux — librairies...
    notes :
    descriptif :


    texte

    photos (manifestation de « Gilets jaunes »)

    texte :

    Les Pieds dans le PAF
    “Automedia. Comment garder la mémoire et s’informer depuis l’intérieur ?” Tout le mois d’octobre

    Les Palmiers
    “Luttes lumineuses” du 1/10 au 23/10 & vente de photos

    Idées larges
    “Gilets jaunes, un mouvement socio-culturel” tout le mois d’octobre

    Au Pré vert
    “Bouillon de cultureS” tout le mois d’octobre

    L’Embarcadère
    “Des femmes dans le mouvement des Gilets Jaunes” du 4/10 au 22/10

    Le Garage
    “Les mots des Gilets Jaunes” du 3/10 au 21/10
    le 4/10 à 18 h 30 : atelier Écrire dans la ville.
    Soirée autour du livre de Sophie Divry Cinq mains coupées : que font les GJ à la littérature

    Chez la Bretonne
    “Humanités” tout le mois d’octobre

    Ami.e.s de May
    “Loin d’être crad’ !! Convivialité & autogestion” tout le mois d’octobre

    Expo-photo, octobre 2022

    Mouvement des Gilets Jaunes — 8 lieux, St-Nazaire

    « Fin du moi, début du nous ! » le mouvement des Gilets Jaunes à St-Nazaire, 2018

    Novembre 2018 : une “vague jaune” déferle dans l’hexagone. Chaque samedi, des rendez-vous dans la rue met en lumière des revendications sociales : ç s’appelle les Actes. À Saint-Nazaire, ce mouvement hétéroclite a su conjuguer entre revendications sociales concrètes, positions politiques affirmées, mise en œuvre d’alternatives et de la convivialité : la cherté de la vie, l’appétence démocratique, la lutte contre les répressions, pour les solidarités, la Maison du peuple, l’Assemblée des Assemblées, le Village du peuple, les Amajaunes, les Maisons d’Hébergement Solidaire, le campement des expulsé.e.s

    Quatre années ont passé. Cette expo-photo en 9 lieux se veut une transmission, à notre échelle, des pratiques vécues d’auto-organisation de luttes, de convivialités, lorsque des aspirations sociales apparaissent loin des acteurs et actrices institutionnelles et économiques.


    sources :

    https://ladm.noblogs.org/files/2022/10/8lieux-FIN_MOI_DEBUT_NOUS-affiche-v0f-oct22-2.jpg


    2022
    Affiche liée