photocop.

 

 
 

Affichage par année

686 affiches :

 

    [Le travail]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Le travail]. — Bruxelles = Brussels Bruxelles : [s.n.], . — 1 affiche (photocop. ) : n. et b. ; 42 × 30 cm.

    • Affiches par pays  : Belgique
    • Lieux d’archivages  : CIRA (Lausanne)
    • Liste des thèmes  : désobéissance civile  ; travail, emploi
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  : Non fides (2007-2009-....)
    • Vie des mouvements  :
    notes :
    descriptif :


    [ texte ; photo (portrait d’homme avec chapeau) ]

    texte :

    Le travail

    Le travail est avant tout un compromis que nous acceptons pour pouvoir survivre financièrement. Parce que nous n’avons jamais choisi le fonctionnement de ce monde, et parce que nous avons été élevés avec le message qu’il nous fallait ou marcher ou crever.

    Le travail nous vole notre temps et notre énergie ! Il essaye de déterminer une partie hallucinante de nos occupations et sollicite en permanence nos corps et nos esprits.

    Le travail tend de plus en plus à se confondre avec notre identité. Lorsqu’on nous demande qui nous sommes, on veut en fait savoir ce qu’est notre boulot. Parce qu’en dehors du travail, il ne reste plus grand chose.
    Notre statut social est aussi jaugé à la hauteur de notre travail. La société nous fait bien sentir que nous ne valons rien tant que nous ne travaillons pas, et que nous ferions mieux de rentrer dans le rang au plus vite, comme tout le monde.

    Le travail s’efforce continuellement à semer la confusion en nous faisant croire que les intérêts des patrons sont aussi nos propres intérêts ; que nous faisons partie prenante de l’entreprise, que nous devons nous réjouir quand les affaires vont bien (et que l’entreprise fait beaucoup de bénéfices), et que nous devons fournir des efforts supplémentaires quand ça va moins bien.

    Le travail nous considérera pourtant toujours comme de la matière jetable. Lorsque les chiffres le demandent on nous jette à la poubelle et nous pouvons alors à nouveau mettre notre dignité de côté pour nous vendre à quelqu’un d’autre.

    Le travail est cette chose pour laquelle nous restons à transpirer dans les salles d’attente d’Actiris ou dans les salles d’auditions de l’ONEM. Comme une armée de réserve, nous devons toujours nous montrer prêts à aller au casse-pipe de l’offre et de la demande. Et si nous ne le faisons pas, la menace financière revient vers nous au galop.

    Le travail est cette chose sur laquelle les travailleurs crachent quand ils sabotent les machines pour pouvoir rester un jour à la maison.

    Le travail est ce que les chômeurs essayent d’éviter par tous les moyens imaginables, que ce soit à l’aide de fausses sollicitations ou d’ingénieux mensonges.

    Le travail est cette chose que les braqueurs rejettent quand ils vont chercher l’argent là où il est. Chez les banquiers ou les bijoutiers, chez ceux qui s’enrichissent sur le dos des autres.

    Le travail est ce à quoi ils essayent, encore et encore, de nous contraindre. En tant que soldats à la rescousse de la sainte économie et de son déclin. Une économie de produits et services qui ne nous intéresse peut-être pas, mais qui nous fait quand même un odieux chantage et qui essaye de nous faire plier tous autant que nous sommes.

    Refusons ce chantage. Fraudons, volons et sabotons ! Foutons en l’air l’économie et changeons le monde… Pour qu’à travers notre résistance nous puissions redécouvrir ce que respirer librement veut dire.


    sources :

    Affiche diffusée sur http://www.non-fides.fr/?Affiche-de-Belgique-contre-le (23 avril 2010).



    [LOPPSI 2 : le meilleur moyen de l’éviter, c’est encore de lutter !]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    LOPPSI 2 : le meilleur moyen de l’éviter, c’est encore de lutter !]. — Lille : [s.n.], . — 1 affiche (photocop. ) : n. et b. ; 42 × 30 cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  :
    • Liste des thèmes  : contrôle social  ; répression
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  : conférence, débat…
    notes :
    descriptif :


    [ texte noir sur blanc et blanc sur noir ; dessin (personnage en imperméable, cravate et chapeau mou avec œil à la place de la tête) ]

    texte :

    Chasse aux pauvres, restriction des libertés publiques, surveillance généralisée…

    Fichage de la population ; Criminalisation des vendeurs-ses à la sauvette ; Généralisation de la vidéo-surveillance ; Surveillance des échanges électroniques ; Couvre-feu pour les mineur-es de moins de 13 ans ; Installation de « mouchards » informatiques ; Expulsion et destruction des habitats alternatifs ; Impunité pour les agents de renseignement

    LOPPSI 2* : le meilleur moyen de l’éviter, c’est encore de lutter !

    * Loi d’Orientation et de Programmation Pour la Sécurité Intérieure

    Réunion publique mercredi 5 janvier [2011], dans les locaux de Solidaires, 84 rue de Cambrai à Lille, à partir de 19 h

    Plus d’infos sur : http://antiloppsilille.herbesfolles.org ; http://abasloppsi.flext.net/ ; http://www.syndicat-magistrature.org/

    Contact : antiloppsilille@herbesfolles.org


    sources :
     


    [Manif de nuit féministe]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Manif de nuit féministe]. — Lille : [s.n.], . — 1 affiche (photocop. ) : n. et b. ; 42 × 30 cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  :
    • Liste des thèmes  : féminisme
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  :
    notes :
    descriptif :
    Symbole(s) utilisé(s) :

    [ texte ; montage photo (Fantomette, portraits, textes [À nos mortes, Women, Marchons la nuit, Révoltées, Pour ne plus jamais nous faire marcher dessus, Sex Workers of the World Unite !], logo miroir de Vénus avec femme au poing levé, etc.) ]

    texte :

    Manif de nuit féministe

    non-mixte

    femmes, lesbiennes, gouines, bisexuelles, asexuelles, hétérosexuelles, pansexuelles (que nous soyons trans ou cisgenres)

    Rendez-vous le samedi 29 mai 2010 à 21 h devant l’opéra de Lille


    sources :

    Série de [deux ?] affiches (avec Manif de nuit féministe). Voir aussi : http://lille.cybertaria.org/article1725.html


    2010
    Affiche liée



    [Manif de nuit féministe]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Manif de nuit féministe]. — Lille : [s.n.], . — 1 affiche (photocop. ) : n. et b. ; 42 × 30 cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  :
    • Liste des thèmes  : féminisme  ; sexisme et homophobie
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  :
    notes :
    descriptif :
    Symbole(s) utilisé(s) :

    [ texte ; montage photo ]

    texte :

    Manif de nuit féministe

    Non-mixte pour les gouines et les femmes,

    Que nous soyons trans ou cisgenres, quelles que soient nos sexualités, nos couleurs, nos cultures, nos classes sociales…

    Rendez-vous devant l’Opéra de Lille
    jeudi 25 novembre 2012 à 20 h 30


    sources :

    Existe une version en livret 4 p. A4 (30 cm).



    [Méningeons le bouillon : 1]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Méningeons le bouillon : 1]. — Lille : CCL_ (Centre culturel libertaire Benoît-Broutchoux. Lille), . — 1 affiche (photocop. ), coul. (quadri ) ; 42 × 30 cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  :
    • Liste des thèmes  : art : musique  ; art : théâtre
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  : exposition
    notes :
    descriptif :


    [ texte ; montage photo ]

    texte :

    Méningeons le bouillon

    Le 3 avril 2010, à 20 h - au CCL, 4, rue de Colmar, à Lille

    Prix libre

    Brassetaferraille, dubnoiserock — Les Lubies cuitées, théâtre noisy — Les Brûle-Saison, intervention pasolinienne — XXX Orchestras, spoken words delirium sonore — Luminocolor, évasive électronicuivre et cordes

    Expos • Maxmanach • Olfactiv’ • Klairon

    Concerts, théâtre + des surprises

    [loge] Locomotiv’ asso.locomotiv@gmail.com www.myspace.com/moteurdesouf


    sources :

    Diffusé aussi en flyers N&B.









    [Repas des gueux et café libertaire, 15 janvier 2010]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Repas des gueux et café libertaire, 15 janvier 2010]. — Périgueux : Collectif libertaire Marius Jacob (Dordogne), (ipns). — 1 affiche (photocop. ), coul. (quadri ) ; 30 × 42 cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  :
    • Liste des thèmes  :
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  : Brient, Jean-François  ; Fuentes, Victor Leon
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  : repas, cantine, …
    notes :
    descriptif :
    Symbole(s) utilisé(s) :

    [ texte ; dessin : repas de quartier ; photo : salle de cinéma, années ’50 avec lunettes à relief ]

    texte :

    Vendredi 15 janvier 2010

    À partir de 19 h 00, viens bouffer, on est devant le NTP (Périgueux)

    Repas des gueux

    [dessin]

    Le repas sera suivi de la projection-débat au local des Thétards

    Collectif libertaire Marius Jacob

    http://collectif-libertaire.net — collectif.libertaire@no-log.org — [étoile noire]

    Permanences premier et troisième mercredi du mois de 20 h à 22 h, au 7 rue de la Bride, Périgueux


    À 20 h 30 — Soiré projection-débat

    De la servitude moderne

    film de Jean-François Brient et Victor Leon Fuentes

    [photo]

    « L’objectif central de ce film est de mettre à jour la condition de l’esclave moderne dans le cadre du système totalitaire marchand et de rendre visible les formes de mystification qui occultent cette condition servile. Il a été fait dans le seul but d’attaquer frontalement l’organisation dominante du monde. »

    Au café associatif Les Thétards, 7 rue de la Bride à Périgueux — [logo] Café libertaire : débats - projections - discussions

    Imprimé par nos soins


    sources :
     

    2009

    2010

    2010

    2010

    2010
    Affiches liées


    [Repas des gueux et café libertaire, 16 avril 2010]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Repas des gueux et café libertaire, 16 avril 2010]. — Périgueux : Collectif libertaire Marius Jacob (Dordogne), (ipns). — 1 affiche (photocop. ), coul. (quadri ) ; 30 × 42 cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  :
    • Liste des thèmes  : art : cinéma  ; économie : argent et monnaie
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  : Grignon, Paul
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  : repas, cantine, …
    notes :
    descriptif :


    [ texte ; dessin : repas de quartier ; photo ]

    texte :

    Vendredi 16 avril 2010

    À partir de 19 h 00, viens bouffer, on est devant le NTP (Périgueux)

    Repas des gueux

    [dessin]

    Le repas sera suivi de la projection-débat au local des Thétards

    Collectif libertaire Marius Jacob

    http://collectif-libertaire.net — collectif.libertaire@no-log.org — [étoile noire]

    Permanences premier et troisième mercredi du mois de 20 h à 22 h, au 7 rue de la Bride, Périgueux


    À 20 h 30 - Film-débat

    L’Argent dette

    film d’animation de Paul Grignon

    [photo]

    D’où vient l’argent ? Sa valeur ne repose sur aucun fondement rationnel. L’argent et la création monétaire résultent d’une vaste arnaque portée par le prêt bancaire. Le capitalisme se moque du peuple en assurant son asservissement…

    « Sache que ton pire ennemi, Prolétaire, c’est le crédit ! »

    Au café associatif Les Thétards, 7 rue de la Bride à Périgueux — [logo] Café libertaire : débats - projections - discussions

    Imprimé par nos soins


    sources :
     

    2009

    2010

    2010

    2010

    2010
    Affiches liées


    [Repas des gueux et café libertaire, 19 février 2010]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Repas des gueux et café libertaire, 19 février 2010]. — Périgueux : Collectif libertaire Marius Jacob (Dordogne), (ipns). — 1 affiche (photocop. ), coul. (quadri ) ; 30 × 42 cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  :
    • Liste des thèmes  : sexualité et genre
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  : Avellis, Alessandro  ; Ferluga, Gabriele
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  : repas, cantine, …
    notes :
    descriptif :
    Symbole(s) utilisé(s) :

    [ texte ; dessin : repas de quartier ; photo ]

    texte :

    Vendredi 19 février 2010

    À partir de 19 h 00, viens bouffer, on est devant le NTP (Périgueux)

    Repas des gueux

    [dessin]

    Le repas sera suivi de la projection-débat au local des Thétards

    Collectif libertaire Marius Jacob

    http://collectif-libertaire.net — collectif.libertaire@no-log.org — [étoile noire]

    Permanences premier et troisième mercredi du mois de 20 h à 22 h, au 7 rue de la Bride, Périgueux


    À 20 h 30 - Soirée projection-débat

    La Révolution du désir

    film d’Alessandro Avellis et de Gabriele Ferluga

    [photo]

    La « Révolution du désir » évoque la lutte de libération homosexuelle à travers la constitution du FHAR (Front Homosexuel d’Action Révolutionnaire) dans les années 70. Cette lutte va s’organiser en parallèle avec celle des mouvements féministes et mettre à mal l’ordre moral capitaliste. Elle s’inscrit pleinement dans le mouvement révolutionnaire d’alors.

    Au café associatif Les Thétards, 7 rue de la Bride à Périgueux — [logo] Café libertaire : débats - projections - discussions

    Imprimé par nos soins


    sources :
     

    2009

    2010

    2010

    2010

    2010
    Affiches liées


    [Repas des gueux et café libertaire, 19 mars 2010]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Repas des gueux et café libertaire, 19 mars 2010]. — Périgueux : Collectif libertaire Marius Jacob (Dordogne), (ipns). — 1 affiche (photocop. ), coul. (quadri ) ; 30 × 42 cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  :
    • Liste des thèmes  : histoire
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  : Picqueray, "May" Marie-Jeanne (1898-1983)  ; Sacco, Nicola (1891-1927)  ; Vanzetti, Bartolomeo (1888-1927)
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  : repas, cantine, …
    notes :
    descriptif :


    [ texte ; dessin : repas de quartier ; photos : May Picqueray, manifs, peinture ]

    texte :

    Vendredi 19 mars 2010

    À partir de 19 h 00, viens bouffer, on est devant le NTP (Périgueux)

    Repas des gueux

    [dessin]

    Le repas sera suivi de la projection-débat au local des Thétards

    Collectif libertaire Marius Jacob

    http://collectif-libertaire.net — collectif.libertaire@no-log.org — [étoile noire]

    Permanences premier et troisième mercredi du mois de 20 h à 22 h, au 7 rue de la Bride, Périgueux


    À 20 h 30 - Soirée projection-débat

    Sacco et Vanzetti, un crime d’État

    [photos]

    Le 23 aout 1927, Nicolas Sacco et Bartolomeo Vanzetti, deux militants anarchistes ouvriers américains, sont exécutés par la justice d’État, malgré un mouvement international de protestation. Ils seront officiellement réhabilités cinquante ans plus tard par le gouverneur du Massachussetts.

    Au café associatif Les Thétards, 7 rue de la Bride à Périgueux — [logo] Café libertaire : débats - projections - discussions

    Imprimé par nos soins


    sources :
     

    2009

    2010

    2010

    2010

    2010

    2017

    2011

    1977

    1985
    Affiches liées


    [Repas des gueux et café libertaire, 21 mai 2010]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Repas des gueux et café libertaire, 21 mai 2010]. — Périgueux : Collectif libertaire Marius Jacob (Dordogne), (ipns). — 1 affiche (photocop. ), coul. (quadri ) ; 30 × 42 cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  :
    • Liste des thèmes  : contrôle des naissances  ; féminisme  ; procès
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  : Le Masson, Yann
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  : repas, cantine, …
    notes :
    descriptif :


    [ texte ; dessin : repas de quartier ; photo ]

    texte :

    Vendredi 15 janvier 2010

    À partir de 19 h 00, viens bouffer, on est devant le NTP (Périgueux)

    Repas des gueux

    [dessin]

    Le repas sera suivi de la projection-débat au local des Thétards

    Collectif libertaire Marius Jacob

    http://collectif-libertaire.net — collectif.libertaire@no-log.org — [étoile noire]

    Permanences premier et troisième mercredi du mois de 20 h à 22 h, au 7 rue de la Bride, Périgueux


    À 20 h 30 - Film-débat

    Regarde elle a les yeux grands ouverts

    film de Yann Le Masson

    Ce documentaire exceptionnel relate l’expérience vécue par des femmes du MLAC (association féministe fondée en 1973 et luttant pour le droit à l’avortement et la contraception) d’Aix-en-Provence, inculpées et jugées pour avoir pratiqué elles-mêmes des avortements (procès du 10 mars 1977). Leur lutte consistait non seulement à pratiquer des avortements, mais aussi des accouchements à domicile. Ces femmes militaient pour que l’accouchement et l’avortement soient contrôlés et voulus par les femmes elles-mêmes.

    Au café associatif Les Thétards, 7 rue de la Bride à Périgueux — [logo] Café libertaire : débats - projections - discussions

    Imprimé par nos soins


    sources :
     

    2009

    2010

    2010

    2010

    2010
    Affiches liées








    [Turbulences sociales : solidaires, égalitaires, libertaires]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Turbulences sociales : solidaires, égalitaires, libertaires]. — Lille : Turbulences sociales, [ca ]. — 1 affiche (photocop. ) : n. et b. ; 43 × 30 cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  : CIRA (Lausanne)
    • Liste des thèmes  : égalité et inégalité  ; liberté  ; organisation  ; propagande  ; solidarité
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  : Centre culturel libertaire (CCL, Lille)
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  :
    notes :
    descriptif :


    [ texte ; logo du groupe ]

    texte :

    Turbulences sociales : solidaires, égalitaires, libertaires

    Turbulences Sociales, c’est un groupe politique libertaire dont l’objectif est de bâtir une société :
    — où les libertés individuelles et collectives ne seront pas entravées
    — où les richesses et le travail seront partagés de façon égalitaire
    — sans classes sociales, sans État ni bureaucratie ; sans chefs ni hiérarchies
    — fondée sur les principes d’autogestion, de collectivisme, de décentralisation, de fédéralisme et d’acologie

    Révolutionnaires et internationalistes, nous pensons que seule la guerre des classes, qui amènera la grève générale expropriatrice et l’abolition du salariat, nous permettra d’atteindre le but.

    Nous luttons contre l’ensemble des formes de dominations de discriminations et d’oppressions, qu’elles soient économiques, sociales, raciales, sexistes, carcérales ou religieuses.

    Nous participons et organisons des grèves, manifestations, rassemblements ainsi que des évènements contre-culturels.

    Rejoins-nous ! Réunion un lundi sur deux au Centre Culturel Libertaire (4, rue de Colmar, Lille)/

    Les dates et le reste sur http://lille.indymedia.org


    sources :
     


    [Usines en lutte… et après ?]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Usines en lutte… et après ?]. — Lille : CCL_ (Centre culturel libertaire Benoît-Broutchoux. Lille), . — 1 affiche (photocop. ) : n. et b. ; 42 × 30 cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  :
    • Liste des thèmes  : économie : industrie  ; luttes ouvrières
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  : Levaray, Jean-Pierre (1955-....)  ; Pitten, Alain  ; Ricordeau, Rémy
    • Presse citée  : Brique, La (Lille)
    • Vie des mouvements  :
    notes :
    descriptif :


    [ texte ; dessin (foule à casquette) ]

    texte :

    Usines en lutte… et après ?

    Les licenciements vont bon train, et rien ne garantit qu’ils vont cesser. En riposte à la multiplication de ces « plans sociaux », des mouvements s’organisent comme à Continental, Goodyear, Molex, Philips ou plus récemment Total. Souvent en rupture avec les directions syndicales, ces luttes semblent renouer avec des méthodes de démocratie directe (assemblées générales, comités de grève, tentatives d’autogestion, etc.) et suscitent de plus en plus d’intérêt.

    Si les questions de l’emploi, du pouvoir patronal ou financier et de la répartition des richesses sont au coeur de ces conflits, nous vous proposons de venir discuter d’une autre question : celle de la production.

    Comment imaginer un monde plus libre sans nous réapproprier la maîtrise des moyens de production mais aussi de leur finalité ? Pouvons nous espérer une société qui nous rende plus joyeux et plus dignes si nous nous laissons noyer par un flot de marchandises inutiles voire néfastes ?

    Allons-nous laisser quelques élus, quelques scientifiques et autres industriels décider à notre place de ce que nous devons fabriquer ? Des innovations technologiques aux machines polluantes en passant par l’industrie du divertissement, il n’est rien de tout cela qui doive fatalement être produit ou consommé. à nous donc de discuter des valeurs que nous voulons défendre et de la société dans laquelle nous souhaitons vivre.

    mercredi 31 mars, 19 h, au CCL • 4, rue Colmar • M° Porte des Postes • Lille

    Discussion après la projection du film Putain d’usine, en présence des réalisateurs

    Des salariés en lutte de la raffinerie Total de Dunkerque, seront également présents

    Cette discussion est proposée par le revue itinérante Z à l’occasion de la sortie de son n° 3 et le journal La Brique


    sources :

    Putain d’usine : le film / réal. Rémy Ricordeau, Alain Pitten ; comp. Dominique Lafontaine,







    [Arrêtons l’industrie nucléaire avant quelle ne nous détruise…]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Arrêtons l’industrie nucléaire avant quelle ne nous détruise…]. — [S.l.] : les Liquidateurs du vieux monde, . — 1 affiche (photocop. ) : n. et b. ; 42 × 30 cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  :
    • Liste des thèmes  : écologie  ; nucléaire
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  :
    notes :
    descriptif :


    [ long texte ; dessin (bagnard ampoule-électrique, abattu dans un fauteuil, un fer nucléaire au pied) signé Sak ? ]

    texte :

    Arrêtons l’industrie nucléaire avant quelle ne nous détruise…

    L’industrie nucléaire tout autant qu’elle propage la mort a le don de nous faire oublier que derrière elle il y a des hommes et des femmes en chair et en os et des choix.

    L’industrie nucléaire c’est notamment :
    • Des exploitants EDF, ANDRA et AREVA qui exploitent centrales, centre de retraitement, mines d’uranium ou centre d’enfouissement.
    • Des constructeurs comme BOUYGUES, ou VINCI.
    • Des actionnaires ou des soutiens financiers comme TOTAL ou BNP-PARISBAS.
    • Des agences d’intérim qui recrutent des intérimaires envoyés sur les zones et les travaux les plus « sensibles », comme RANDSTADT, ADECCO, CRIT-INTERIM, SYNERGIE.
    • Des formations d’ingénieurs ou de travailleurs comme APAVE, l’ENSI, INSTN-CEA, l’Université de Caen, etc.
    • La construction de sous marins atomiques ou d’armement comme à la DNCS.
    • Des promoteur de l’énergie nucléaire comme le nouveau pôle de compétitivité nucléaire bas-normand NUCLEOPOLIS.
    • Des partis politiques qui soutiennent le programme nucléaire comme l’UMP, le FN, le PS, le PC, etc.
    • L’État et les collectivités locales comme les conseils régionaux, municipaux ou généraux qui participent activement au développement du nucléaire.
    • La police et l’armée qui aident à museler l’opposition au nucléaire.
    • Des entreprises sous traitantes de maintenance connue SPIE-NUCLEAIRE, ENDEL, DERICHEBOURG, etc.
    • Des pseudo contrôleur du nucléaire comme l’ASN.
    • De la recherche nucléaire comme pour ITER, CYCERON, le CERN ou le GANIL.

    Face au nucléaire et au monde dans lequel il ne cesse de proliférer, nous n’avons d’autres alternatives que de nous mobiliser. Parce que face au désastre, il ne suffit pas de s’indigner. Les « révoltes arabes » comme les récents mouvements contre les mesures d’austérité en Europe nous ont montré qu’il existe un au-delà de la résignation et que le goût de la liberté reste bien vivant. Nous auto-organiser dans des assemblées, mettre en place des actions qui permettent de montrer que derrière la machine nucléaire, il y a des hommes e des choix, contrecarrer les gestionnaires du désastre, voilà ce que nous entendons faire et ce que nous appelons à faire partout ■


    sources :

    https://lesliquidateursduvieuxmonde.wordpress.com/2011/05/24/arretons-l%e2%80%99industrie-nucleaire-avant-qu%e2%80%99elle-ne-nous-detruise%e2%80%a6affiche/





    [Catastrophe nucléaire… au Japon ?]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Catastrophe nucléaire… au Japon ?]. — [S.l.] : les Liquidateurs du vieux monde, [ca ]. — 1 affiche (photocop. ) : n. et b. ; 42 × 30 cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  : CIRA (Lausanne)
    • Liste des thèmes  : écologie  ; nucléaire  ; révolte
    • Géographie, géopolitique et Histoire  : Japon
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  :
    notes :
    descriptif :


    [ long texte ; photos (personne en blouse blanche portant un masque tendant un objet à un enfant ; centrale nucléaire de Cruas derrière une élienne) ]

    texte :

    Catastrophe nucléaire… au Japon ?

    Mais rassurons-nous, il paraît que ce genre de cataclysme n’arrive que dans les zones sismiques ou dans les États soviétiques en déroute comme en Biélorussie en 1986.

    Vraiment ? Alors pourquoi l’Union européenne élabore-t-elle des programmes de réhabilitation des zones contaminées à partir d’expériences sur les populations vivant autour de Tchernobyl ?

    Pourquoi l’Union européenne et la France en particulier, elle qui possède l’un des plus grand lobby nucléaire (AREVA), investissent tellement d’argent dans les projets de développements économiques durables en zone contaminée ?

    Pourquoi existe-t-il notamment près de Gand, des fermes expérimentales pour créer une cellule agricole de base en milieu contaminé ?

    Pourquoi ces dernières années ont eu lieu en Europe des simulations grandeur nature d’accidents nucléaires où les populations étaient obligées de jouer la comédie à savoir se soumettre à l’autorité des militaires et des experts en blouse blanche ?

    Pourquoi si ce n’est pour nous habituer à la catastrophe ; celle déjà présente de la poubelle nucléaire et industrielle dans laquelle nous vivons et celle de l’accident nucléaire présenté désormais comme un risque à envisager.

    Pourquoi si ce n’est pour que même dans les pires conditions de survie nous continuions à attendre d’être gérés et à obéir ?

    Tout cela n’est pas secret, au contraire la nouvelle politique en matière nucléaire est la pseudo-transparence, la démocratie et la participation citoyenne.

    La transparence pour les élus et les nucléocrates cela consiste à prévenir (parfois) des incidents nucléaires tout en exigeant que nous subissions sans réagir.

    La démocratie est un paravent utile à légitimer les décisions des nucléocrates, mais cette façade tombe facilement quand il s’agit de réprimer par la force armée les oppositions au nucléaire.

    La participation citoyenne c’est valider des décisions déjà prises et, maintenant que le nucléaire est imposé et les dégâts inévitables, à nous responsabiliser sur ses effets. Nous pouvons gérer la poubelle radioactive, culpabiliser sur nos déchets ménagers à trier tandis que le lobby nucléaire relance mondialement son programme !
    Le problème c’est que le nucléaire est un marché trop juteux pour les nucléocrates, un enjeu stratégique trop important et une force d’annihilation sans mesure pour les États qui en profitent.
    Il est temps que nous devenions un sérieux problème pour ceux qui nous utilisent, nous exploitent, nous contaminent pour assurer leurs privilège et leurs portefeuilles bien fournis.

    À tous ceux qui ne se résignent pas à vivre sous la menace constante d’un cataclysme ;
    À tous ceux qui veulent inverser la tendance de cette société sans avenir ;
    À tous ceux qui ne se résignent pas à devenir les liquidateurs citoyens de la merde radio-active des nucléocrates ;
    À tous ceux qui ne veulent pas vivre à genoux ;

    Imposons l’arrêt immédiat du nucléaire et bouleversons radicalement la société qui va avec

    Tout, ou presque, ce que vous n’avais jamais voulu savoir sur le nucléaire et son monde sur :
    lesliquidateursduvieuxmonde.wordpress.com


    sources :
     




    [Cineclube Terra Livre apresenta Anarquismo e sindicalismo]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Cineclube Terra Livre apresenta Anarquismo e sindicalismo]. — São Paulo : Terra livre (biblioteca), . — 1 affiche (photocop. ), coul. (deux  : noir , orange ) ; [42 ?] × [30 ?] cm.

    • Affiches par pays  : Brésil
    • Lieux d’archivages  : Biblioteca Terra Livre (São Paulo)
    • Liste des thèmes  : mouvement anarchiste : histoire  ; syndicalisme
    • Géographie, géopolitique et Histoire  : Brésil : histoire
    • Noms cités (± liste positive)  : Escorel Filho, Lauro (1950-....)  ; Puccini, Fernando  ; Ricardo, João
    • Presse citée  : Plebe, A
    • Vie des mouvements  :
    notes :
    descriptif :
    Symbole(s) utilisé(s) :

    [ texte ; photos (N&B) ]

    texte :

    Cineclube Terra Livre
    apresenta

    Anarquismo e sindicalismo

    filmes :

    Libertários (26min, 1976) ★
    Deu n’A Plebe (17min, s/d) ★

    ★★★

    21/08*Dom
    18h * Grátis

    ★★★

    Mostra “Olhares sobre o Movimento Anarquista no Brasil”
    Centro Cineclubista de São Paulo
    Rua Augusta, 1239, c. 13 e 14
    Metrô Consolação ★ São Paulo


    sources :

    mail (11/08/2011) :

    CARTAZ:
    http://i1113.photobucket.com/albums/k519/bibliotecaterralivre/CARTAZCINECLUBELIBERTARIOSPLEBE.jpg

    O CINECLUBE TERRA LIVRE retoma suas atividades e tem o prazer de anunciar a primeira sessão da Mostra “Olhares sobre o Movimento Anarquista no Brasil”, em parceria com o Centro Cineclubista de São Paulo, local de exibição dos filmes.

    Nossa intenção é compreender e debater a relação entre anarquismo e sindicalismo e seu papel na formação da classe operária no Brasil.

    Para isso selecionamos dois filmes que tratam da presença anarquista no movimento operário em São Paulo e no Brasil no início do século XX.

    * Libertários, Lauro Escorel Filho, Brasil, 1976, 26min

    Libertários é o mais antigo documentário sobre o tema produzido no Brasil e foi exibido nos circuito de cineclubes em São Paulo durante a ditadura militar. Não podia haver melhor filme para estrearmos a nova mostra do Cineclube Terra Livre. A película retrata as primeiras organizações dos trabalhadores e suas mobilizações, fortemente influenciados pelos ideais anarquistas.

    * Deu N’A Plebe – A Greve Geral Anarchista de 1917, Fernando Puccini e João Ricardo, s/d, 17 min

    Já o curta Deu n’A Plebe foca a atenção na Greve Geral de 1917 e nas páginas do periódico libertário A Plebe. Contém entrevistas com pesquisadores e é baseado em documentos da época.

    DOMINGO, 21/08, 18 horas

    LOCAL: Centro Cineclubista de São Paulo
    Rua Augusta, 1239, sala 13 – São Paulo
    Próximo ao Metrô Consolação
    Entrada Gratuita

    * * *
    […]

    — 
    Biblioteca Terra Livre
    […]






    [Da Sidi Bouzid a Bab-el-Oued : contro il regno dello Stato, del potere e dei soldi]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Da Sidi Bouzid a Bab-el-Oued : contro il regno dello Stato, del potere e dei soldi]. — [S.l.] : [s.n.], . — 1 affiche (photocop. ) : n. et b. ; 42 × 30 cm.

    • Affiches par pays  : Italie
    • Lieux d’archivages  :
    • Liste des thèmes  : révolte
    • Géographie, géopolitique et Histoire  : Afrique du Nord *  ; Algérie  ; Tunisie
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  :
    notes :
    descriptif :


    [ texte ; fond (filigrane rayonnant) ; photos (enfant regardant policier ; émeutes) ]

    texte :

    Da Sidi Bouzid a Bab-el-Oued : contro il regno dello Stato, del potere e dei soldi

    Dall’inizio dell’anno, nel Maghreb, la miseria guadagna terreno. Il prezzo dei generi alimentari di prima necessità lievita, il lavoro è sempre meno, riducendo ancor più l’impietoso spettro dei mezzi di sopravvivenza per tutti quanti. Ci viene sciorinata la solita vecchia solfa della “crisi”, facendoci credere che miseria e rivolta siano fenomeni nuovi causati proprio da essa, mentre sono antichi quanto il denaro e l’autorità. Sono bastate poche scintille in Tunisia per dare fuoco alle polveri di una situazione già esplosiva, fino in Algeria.

    Sbirri attaccati, edifici amministrativi, licei, dogane, magazzini di merci, commissariati, concessionarie di automobili, banche e negozi diventati bersagli, blocchi stradali coordinati. Contrariamente a quanto ci raccontano il potere ed i giornalisti, queste sommosse non si limitano a poche categorie immaginarie (« giovani », « diplomati », « disoccupati », « estremisti ») ma si esprimono in modo diffuso e i loro obiettivi sono chiari.
    Davanti a ciò, la risposta dello Stato è altrettanto chiara : in Tunisia gli sbirri rispondono ai sassi con gli spari dei cecchini, provocando decine di morti. Anche in Algeria, migliaia di fermi, torture, arresti e omicidi, mentre piombano le prime condanne e ancora ne arriveranno.
    Come sempre, come dappertutto, la guerra sociale divampa chiedendo a ciascuno di scegliere il proprio campo.

    Le carogne democratiche o religiose si stanno già affrettando a recuperare queste rivolte a fini politici, reclamando riforme o un cambio di regime, per dirottare questa collera che si esprime di fatto contro ogni forma di potere. Preparano già il dopo, cercando di sostituire il controllo della dittatura col controllo democratico ; ovvero, aggiustando il dominio per renderlo accettabile.
    Noi, che viviamo in democrazia, possiamo affermare che anche se nel quotidiano le condizioni di vita sono meno dure che in dittatura, le libertà democratiche non ci hanno mai reso liberi. La libertà che desideriamo è totale e incondizionata.
    Ecco perché quest’aria insurrezionale di sottofondo, come in Grecia dopo il dicembre 2008, o in Francia nel novembre 2005, ci scalda il cuore.

    Ecco perché vogliamo soffiare sulle braci e propagare questa rivolta qui, dappertutto, ora, per sempre.

    La rivoluzione deve montare dai tuguri, giacché dall’alto provengono solo pallottole e botte.


    traduction :

    De Sidi Bouzid à Bab-el-Oued : contre le règne de l’État, du pouvoir et du fric

    Depuis le début de l’année, au Maghreb, la misère gagne du terrain. Le prix des denrées alimentaires de première nécessité flambe, il y a de moins en moins de travail, réduisant encore plus le pitoyable spectre des moyens de survie de tout un chacun. On nous ressort le bon vieux coup de « la crise », nous faisant croire que misère et révolte sont des phénomènes nouveaux qu’elle seule produit, alors qu’ils sont aussi vieux que l’argent et l’autorité. Il a suffit de quelques étincelles en Tunisie pour mettre le feu aux poudres d’une situation déjà explosive, jusqu’en Algérie.

    Flics attaqués, bâtiments administratifs, lycées, douanes, entrepôts de marchandises, commissariats, concessionnaires automobiles, banques et commerces pris pour cible, barrages de route coordonnés. Contrairement à ce que le pouvoir et les journaflics racontent, ces émeutes ne se limitent pas à quelques catégories imaginaires (« jeunes », « diplômés », « chômeurs », « extrémistes ») mais s’expriment de façon diffuse, et leurs cibles sont claires.
    En face, la réponse de l’État est tout aussi claire : en Tunisie, les flics répondent aux pavés par des tirs de sniper, faisant des dizaines de morts. En Algérie aussi, arrestations par milliers, torture, détentions et meurtres, tandis que les premières condamnations tombent et tomberont encore. Comme toujours, comme partout, la guerre sociale fait rage, appelant chacun à choisir son camp.

    Déjà les charognards démocrates ou religieux s’empressent de récupérer ces révoltes à des fins politiques, réclamant des réformes ou un changement de régime, pour détourner cette colère qui s’exprime de fait contre toute forme de régime ou de pouvoir. Ils préparent déjà l’après, voulant remplacer le contrôle de la dictature par un contrôle démocratique ; en d’autres termes, aménager la domination pour la rendre acceptable.
    Nous qui vivons en démocratie, nous pouvons affirmer que même si au quotidien, les conditions de vie y sont moins dures qu’en dictature, les libertés démocratiques ne nous ont jamais rendus libres. La liberté que nous désirons, elle, est totale et inconditionnelle. C’est pourquoi ce fond de l’air insurrectionnel, comme en Grèce depuis décembre 2008, ou en novembre 2005 en France, nous réchauffe le cœur.

    C’est pourquoi nous voulons souffler sur les braises, et propager cette révolte
    Ici, partout, maintenant, tout le temps

    Il faut bien que la révolution monte des bouges, puisque d’en haut ne viennent que les balles et les coups.


    sources :

    Affiche diffusée sur http://www.non-fides.fr/?De-Sidi-Bouzid-a-Bab-el-Oued : « Affiche anonyme de solidarité avec les révoltes actuelles en Tunisie et en Algérie. L’affiche est aux formats A3/A2, elle a également été tirée sous forme de tract A5. Il est bien sûr possible de se la réapproprier où que l’on soit et de la diffuser/afficher prés de chez soi. » (11 janvier 2011).


    2011

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    Affiches liées






    [Es gibt keine Naturkatastrophen, es gibt nur soziale Katastrophen]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Es gibt keine Naturkatastrophen, es gibt nur soziale Katastrophen]. — [S.l.] : [s.n.], . — 1 affiche (photocop. ) : n. et b. ; 42 × 30 cm.

    • Affiches par pays  : Allemagne
    • Lieux d’archivages  : CIRA (Lausanne)
    • Liste des thèmes  : écologie  ; nucléaire
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  :
    notes :
    descriptif :
    Symbole(s) utilisé(s) :

    [ long texte ; photo (skyline de ville et/ou d’usine) ]

    texte :

    Es gibt keine Naturkatastrophen

    Tausende und Abertausende von Toten und Vermissten, Millionen von Leuten, die praktisch alles verloren haben. Ganze Dörfer dahingefegt. Als ob Japan nicht von einem Erdbeben, sondern von Atombomben getroffen wurde. Als ob die Häuser nicht von einem Tsunami, sondern von einem Krieg verwüstet wurden. Und im Grunde ist dies auch der Fall. Nur, dass die Feinde, die so hart zuschlagen, nicht die Erde oder das Meer sind. Es sind nicht die Rachemittel einer Natur, an deren feindliche Betrachtung wir uns bereits gewöhnt haben. Der Krieg, der nun schon seit Jahrhunderten andauert, verläuft nicht zwischen der Menschheit und der natürlichen Umwelt, wie uns viele gerne glauben machen würden, um sich unsere Disziplin zu sichern. Der Krieg sind wir. Die Menschheit ist der Krieg. Die Natur ist bloss sein Schlachtfeld.

    Wir sind der Grund für die Überschwemmungen, indem wir mit unserer industriellen Tätigkeit das Klima veränderten. Wir haben die Dämme der Flüsse durchbrochen, indem wir ihre Betten zementierten und ihre Ufer entwaldeten. Wir haben die Brücken einstürzen lassen, indem wir sie mit billigem Material bauten, um mehr Profit zu schlagen. Wir haben ganze Dörfer vom Boden weggefegt, indem wir Häuser in Gefahrenzonen errichteten. Wir haben den Planeten verseucht, indem wir Atomkraftwerke bauten. Wir haben es unterlassen, Vorkehrungen gegen solche Ereignisse zu treffen, da unsere einzigen Sorgen die Öffnung neuer Einkaufszentren und Geschäfte sind. Wir haben es zugelassen, dass all dies geschieht und sich wiederholt, indem wir die Entscheidungen, die doch unser Leben betreffen, an andere delegierten.

    Und jetzt, nachdem wir die Welt verwüstet haben, um uns schneller fortzubewegen, um schneller zu essen, um schneller zu arbeiten, um schneller Geld zu verdienen, um schneller Fernseh zu schauen, um schneller zu leben, wagen wir es, uns darüber zu beklagen, wenn wir feststellen, dass wir auch schneller sterben ? Es gibt keine Naturkatastrophen, es gibt nur soziale Katastrophen.

    Wenn wir nicht weiterhin Opfer von unvorhergesehenen Erdbeben, von aussergewöhnlichen Überschwemmungen, von unbekannten Viren oder vielem anderem bleiben wollen, bleibt uns nichts, als gegen unseren wirklichen Feind vorzugehen : unsere Lebensweise, unsere Werte, unsere Gewohnheiten, unsere Kultur, unsere Gleichgültigkeit.

    Nicht der Natur müssen wir dringend den Krieg erklären, sondern dieser Gesellschaft und all ihren Institutionen.

    Wenn wir nicht fähig sind, ein anderes Leben zu erfinden und für dessen Realisierung zu kämpfen, dann bereiten wir uns darauf vor, in jenem zu sterben, das andere für uns bestimmt und uns aufgezwungen haben. Um in Stille zu sterben, sowie wir immer in Stille gelebt haben.

    es gibt nur soziale Katastrophen


    sources :

    Traduction de "Non esistono catastrofi naturali", affiche placardée à Florence - Italie (mars 2011). L’originale porte l’inscription : "fi p 17/3/11 - via Sievert, Un"



    [From Sidi Bouzid to Bab-el-Oued : against the state, the power and money]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    From Sidi Bouzid to Bab-el-Oued : against the state, the power and money]. — [S.l.] : [s.n.], . — 1 affiche (photocop. ) : n. et b. ; 30 × 21 cm.

    • Affiches par pays  : Grande-Bretagne / Royaume-Uni
    • Lieux d’archivages  :
    • Liste des thèmes  : révolte
    • Géographie, géopolitique et Histoire  : Afrique du Nord *  ; Algérie  ; Tunisie
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  : Non fides (2007-2009-....)
    • Vie des mouvements  :
    notes :
    descriptif :


    [ texte ; fond (filigrane rayonnant) ; photos (enfant regardant policier ; émeutes) ]

    texte :

    From Sidi Bouzid to Bab-el-Oued : against the state, the power and money

    Poverty has been growing in North Africa since the beginning of the year. The price of food staples is soaring, there is less and less work, further reducing the pitiful spectrum of everyone’s means of survival. They are bringing out the old trick of the "crisis", making us believe that misery and revolt are new phenomena produced by it, while they are as old as money and authority. It only took a few sparks in Tunisia to set fire to the powderkeg of an already explosive situation, right to Algeria.

    Cops attacked, government buildings, schools, customs, warehouses, police stations, car dealerships, banks and businesses targeted, coordinated roadblocks. Contrary to what power and journalistcops are saying, these riots are not limited to a few imaginary categories ("young", "graduates", "unemployed", "extremist") but are expressed diffusely, and their targets are clear.

    Opposite, the state’s response is equally clear : in Tunisia, the cops respond to blocks by sniper fire, leaving dozens dead. In Algeria too, thousands of arrests, torture, detentions and killings, while the convictions have started and will continue. As always, as everywhere, the social war is raging, urging everyone to choose sides.

    Already democratic or religious scavengers are rushing to recover these rebellions for political purposes, calling for reform or regime change, to divert this anger expressed de facto against any form of regime or government. They are already preparing the after, wanting to replace the control of the dictatorship by democratic control, in other words, develop power to make it acceptable.

    We who live in democracy, we can say that even if the daily living conditions are less harsh than under a dictatorship, democratic freedoms have never made us free. The freedom that we desire, that, is total and unconditional. Therefore this insurgent background air, such as in Greece since December 2008 or in France in November 2005, warms our heart.

    That’s why we want to blow on the embers, and spread the revolt.

    Here, everywhere, now, all the time.

    Translated from french.


    traduction :

    De Sidi Bouzid à Bab-el-Oued : contre le règne de l’État, du pouvoir et du fric

    Depuis le début de l’année, au Maghreb, la misère gagne du terrain. Le prix des denrées alimentaires de première nécessité flambe, il y a de moins en moins de travail, réduisant encore plus le pitoyable spectre des moyens de survie de tout un chacun. On nous ressort le bon vieux coup de « la crise », nous faisant croire que misère et révolte sont des phénomènes nouveaux qu’elle seule produit, alors qu’ils sont aussi vieux que l’argent et l’autorité. Il a suffit de quelques étincelles en Tunisie pour mettre le feu aux poudres d’une situation déjà explosive, jusqu’en Algérie.

    Flics attaqués, bâtiments administratifs, lycées, douanes, entrepôts de marchandises, commissariats, concessionnaires automobiles, banques et commerces pris pour cible, barrages de route coordonnés. Contrairement à ce que le pouvoir et les journaflics racontent, ces émeutes ne se limitent pas à quelques catégories imaginaires (« jeunes », « diplômés », « chômeurs », « extrémistes ») mais s’expriment de façon diffuse, et leurs cibles sont claires.
    En face, la réponse de l’État est tout aussi claire : en Tunisie, les flics répondent aux pavés par des tirs de sniper, faisant des dizaines de morts. En Algérie aussi, arrestations par milliers, torture, détentions et meurtres, tandis que les premières condamnations tombent et tomberont encore. Comme toujours, comme partout, la guerre sociale fait rage, appelant chacun à choisir son camp.

    Déjà les charognards démocrates ou religieux s’empressent de récupérer ces révoltes à des fins politiques, réclamant des réformes ou un changement de régime, pour détourner cette colère qui s’exprime de fait contre toute forme de régime ou de pouvoir. Ils préparent déjà l’après, voulant remplacer le contrôle de la dictature par un contrôle démocratique ; en d’autres termes, aménager la domination pour la rendre acceptable.
    Nous qui vivons en démocratie, nous pouvons affirmer que même si au quotidien, les conditions de vie y sont moins dures qu’en dictature, les libertés démocratiques ne nous ont jamais rendus libres. La liberté que nous désirons, elle, est totale et inconditionnelle. C’est pourquoi ce fond de l’air insurrectionnel, comme en Grèce depuis décembre 2008, ou en novembre 2005 en France, nous réchauffe le cœur.

    C’est pourquoi nous voulons souffler sur les braises, et propager cette révolte
    Ici, partout, maintenant, tout le temps

    Il faut bien que la révolution monte des bouges, puisque d’en haut ne viennent que les balles et les coups.


    sources :

    Affiche diffusée sur http://www.non-fides.fr/?De-Sidi-Bouzid-a-Bab-el-Oued : « Affiche anonyme de solidarité avec les révoltes actuelles en Tunisie et en Algérie. L’affiche est aux formats A3/A2, elle a également été tirée sous forme de tract A5. Il est bien sûr possible de se la réapproprier où que l’on soit et de la diffuser/afficher prés de chez soi. » (11 janvier 2011).


    2011

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    Affiches liées



    [Het gesloten centrum 127 bis in vuur en vlam… Maak kapot wat je kapot maakt]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Het gesloten centrum 127 bis in vuur en vlam… Maak kapot wat je kapot maakt]. — [S.l.] : [s.n.], . — 1 affiche (photocop. ) : n. et b. ; 30 × 42 cm.

    • Affiches par pays  : Belgique
    • Lieux d’archivages  : CIRA (Lausanne)
    • Liste des thèmes  : action directe  ; émigration et immigration  ; nationalisme  ; prison
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  :
    notes :
    descriptif :


    [ long texte (sur l’incendie du centre fermé 127bis à Steenokkerzeel) ; photo (femme, en sous-vêtements et lunettes de plongée, tirant la langue) ; fondphoto (silhouettes écrivant « Liberté » dans la neige) ]

    texte :

    Het gesloten centrum 127 bis in vuur en vlam…

    Onlangs nog besloten enkele gevangenen kun cel in het asielkamp van Steenokkerzeel in brand te steken. Een slaapzaal gaat in vlammen op. Eens de flikken ter plaatse gekomen, werd een hele vleugel ontruimd en een veertigtal gevangenen snel overgeplaatst naar andere centra. Alles werd in het werk gesteld om ontsnappingen te voorkomen. Veel meer weten we niet. Maar we weten dat deze daad ons aanspreekt, hij heeft weinig verdere precisering nodig. Aangezien de Staat, en zijn lijkenpikkers van dienst de journalisten, tracht om de daden van rebellie aan mogelijks medeplichtige ogen te onttrekken, veranderde de versie van de feiten alvorens ze aan de marge van de nieuwtjes verdween. Het doet er ons weinig toe of één persoon dan wel vier personen gehandeld hebben die avond, of de materiële schade aanzienlijk was of niet ; wat ons inspireert is de keuze om te handelen, direct, zonder wat dan ook te vragen, tegen wat ons opsluit.

    In een poging deze uitbarstingen van revolte uit te doven, presenteert de Staat zijn antwoorden. Tien nieuwe gevangenissen worden de komende jaren gebouwd. Op enkele stapper van het bestaande gesloten centrum bouwen verbeten of net gelaten arbeiders, voor de rekening van Besix en Valens aan een nieuw kamp voor weerspannigen. Zoals diegenen die net hun cel in de fik staken. Een daad die niet alleen staat.

    Sinds jaren woedt de agitatie rondom de gevangenissen. Rebellieën volgen elkaar op, net zoals de ontsnappingen en de confrontaties met de cipiers. Buiten vinden de revoltes echo’s. Rellen breken uit in sommige buurten, de collaborateurs van de gevangeniswereld worden geviseerd. De bedrijven die de kerkers bouwen, diegenen die de deportatiemachine doen draaien, de flikken van alle slag, allen delen ze in de klappen.

    Tegenover de bedwinging van éénieders vrijheid komt het erop aan om diegenen aan te vallen die zich inspannen om deze wereld van opsluiting in stand te houden, aan de haard, in de kerk, op school en op het werk.
    Omdat het nooit te vroeg is om te revolteren, omdat een strijd tegen elke vorm van autoriteit en overheersing hetgene waar we naar verlangen reeds onthult.

    Maak kapot wat je kapot maakt


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