rose

 

 
 

Affichage par année

56 affiches :

 

    [Dynamite et Panama]

    notice :
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    [
    Dynamite et Panama]. — London Londres : un groupe anarchiste, [ ?]. — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (une  : noir , rose ) ; x × y cm.

    • Affiches par pays  : Grande-Bretagne / Royaume-Uni
    • Lieux d’archivages  :
    • Liste des thèmes  : économie (généralités)  ; économie : transports  ; parlementarisme et antiparlementarisme  ; terrorisme
    • Géographie, géopolitique et Histoire  : France **  ; Panama
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  :
    notes :
    descriptif :


    [ texte ]

    texte :

    Dynamite et Panama

    Il y a quelques semaines, la dynamite parlait. Sa forte voix, agréable à nos oreilles, faisait défaillir toute la haute pègre des dirigeants et des exploiteurs. La bande des politiciens à étiquette socialiste, genre Ferroul, fantoches révolutionnaires d’autrefois, braves encore loin du danger, opportunistes devant l’assiette au beurre, se montrait, dans sa lâcheté, plus abjecte encore que les bourgeois. Un de ces ôte-toi-de-là-que-je-m’y-mette, — son nom, Lons mérite de passer à la postérité, — ne proposait-il pas d’organiser l’assommade des anarchistes qui osent s’attaquer à la police ! Touchante fraternisation de la préfecture et du socialisme autoritaire.

    Le presse des pots-de-vin et des mouchardages, la presse des escrocs de finance, des charlatans politiques et des fonds secrétiers de tout poil, la presse qui s’agenouille devant Carnot, s’aplatit devant Q. de Baurepaire et couvre de fleurs le brigand galonné Dodds, massacreur de négresses, énumérait avec une hypocrite pitié les mouchards étripés. Elle larmoyait toute son encre, la gueuse qui enregistre froidement, chaque jour, les drames de la misère, les suicides de la faim, l’agonie des malheureux, broyés par notre organisation sociale.

    Une fois de plus, les gens honnêtes, — honnêtes à la façon du Grand Français de Lesseps, — hurlaient à l’anarchiste et demandaient l’extermination pure et simple du seul parti qui, luttant contre toute autorité, toute exploitation, tout mensonge, poursuive l’émancipation des êtres humains, l’affranchissement du travail, l’avènement d’une société sans maîtres.

    Ils ne parlaient pas, ces honnêtes gens, des victimes autrement intéressantes du patron, du propriétaire, du juge, des martyrs de la caserne dont on fait peu à peu des assassins après en avoir fait des souffre-douleurs. Ils ne rappelaient ni les trente cinq mille assassinés de la Semaine sanglante, ni les fusillés de Fourmies, ni les Tonkinois qu’on dépouille et les Dahoméennes qu’on éventre à l’ombre du frapeau français et au nom de la civilisation.

    Qu’ils ravalent leurs glapissements de chacals, car un commissariat pulvérisé et une demi-douzaine de mouchards écrabouillés sont un bien faible avant-goût des représailles qui les attendent. Les coups des justiciers seront d’autant plus terribles qu’ils sont dictés non par l’amour du sang, — que les bourgeois conservent le monopole de ce goût animal, — mais par l’amour de l’humanité que les anarchistes veulent rendre libre en la débarrassant des maîtres, heureuse en la purgeant des exploiteurs.

    Et comme la tourbe des policiers patentés et amateurs, des prostitués de la plume, des dirigeants et de ceux qui aspirent à le devenir foudroyait de loin l’anarchie, bredouillant les vieux clichés : patrie, ordre social, honneur, morale, voici qu’éclate, comme un coup de tonnerre, le scandale du Panama.

    Donc vous avez volé, vertueux Floquet, vous avez volé, inflexible Reinach, tout comme papa beau-père, vous avez volé révisionniste Laguerre, vous avez volé ex-ministre Proust, vous avez volé radical Clémenceau, vous avez volé Béral, vous avez volé Cassagnac, vous avez volé Sans-Leroy, vous tous, soutiens et souteneurs de la famille, la religion et la propriété (!) vous volé, tripoté, trafiqué, ruinant les crédules qui avaient mordu à l’hameçon de vos promesses.

    Elle va bien la valse des millions ! Monarchistes, conservateurs, opportunistes, radicaux, paillasses diversement bariolés qui se combattent sur les [tréteaux ?] de la Chambre, se désaltèrent, dans la coulisse, au même pot-de-vin.

    Et cependant, la Seine coule à deux pas du Palais-Bourbon. Peuple, qu’attends-tu pour y pousser cete racaille ?

    Eh bien, nous anarchistes, que les honnêtes gens de cette espèce appellent bandits et pourchassent comme des fauves, nous venons, une fois de plus, dire aux exploités, aux bernés, aux miséreux ce que nous voulons.

    Révision, non de la constitution, — que nous importe ce torche-cul ! — mais de l’ordre social tout entier. Plus de gouvernants nous emprisonnant dans leurs lois faites en dehors de nous et contre nous, plus de juges valets de tous les pouvoirs, plus d’armée, école d’assassinat, plus de prêtres abrutisseurs du peuple, plus de financiers et de patrons vivant en oisifs du labeur des esclaves.

    On peut subsister sans maîtres, n’en déplaise aux amoureux de la servitude, — ce n’est pas le gouvernement qui fait pousser le blé : il se contente de le taxer. les patrons, ô ouvriers bénévoles ! n’ont inventé ni le travail ni les machines, mais ils en profitent : le jour où vous prendrez possession de l’atelier où l’on vous exploite, pour travailler en commun à votre compte, vous n’aurez que des parasites de moins à nourrir, et la production, organisée par vous-même selon vos besoins, n’en sera que plus abondante.

    En place de toutes ces tyrannies, libre association des groupes travailleurs, se donnant la main par-dessus les cités et les frontières, reprise par tous de ce qui doit être à tous, possession commune (et non partage) de tout ce qui sert à produire, terre, mines, usines, outillage industriel, procédés scientifiques ; bien-être pour tous, pour tous aussi liberté, liberté tout entière, dussent quelques-uns en être aveuglés au début, comme des prisonniers rendus à la lumière du soleil !

    Pour arriver à la réalisation de cet idéal, esclaves, révoltez-vous. Les seules libertés que l’on obtienne sont celles qu’on prend, non celles qu’on mendie. Espérer des puissants qu’ils renonceront à leurs privilèges, des gouvernants, gardiens forcés du statu quo, qu’ils aideront les gouvernés à s’émanciper, est un leurre : leur situation même les enchaîne, Rothschild ne peut pas plus faire le bonheur de ceux qu’il vole, que Carnot réaliser la devise liberté — égalité, que Léon XIII proclamer la vérité scientifique. De par leur fonction, prolétaire ! ces hommes sont les ennemis naturels et tous ceux, quels qu’ils soient, qui les remplaceraient dans la même fonction, seraient tes ennemis aussi.

    Ce n’est pas seulement l’individu, c’est le rouage, l’institution même qu’il faut briser. Renverse le dirigeant mais non pour en établir un autre à la place ; chasse le patron de l’atelier mais pour en prendre possession avec tes frères de travail et non pour te donner un nouveau maître, même déguisé ; vomis le mensonge religieux mais que ce ne soit pas pour t’éprendre d’une religion nouvelle.

    Révoltez-vous ; en masse lorsque vous le pouvez ; individuellement quand le cœur, ou l’occasion fait défaut au plus grand nombre. Protestation soit, mais autrement que par ce dérisoire bulletin de vote. Grèves oui, mais grèves offensives, menaçantes, forçant les tyrans industriels à capituler, et non point grèves de mendiants. Guerre, certes, mais contre ceux qui vous oppriment à l’intérieur et non contre des peuples inoffensifs.

    Et ne vous dites pas que ce sont efforts perdus ; toutes ces insurrections, si infimes soient-elles, finiront, en se totalisant, par hâter l’heure de la révolution vengeresse.

    Un groupe anarchiste

    Imprimerie N. [Saish/Satish ?], Woburn Place, Londres


    sources :

    IN : dossier 4 M 2695 (archives départementales de Seine-Maritime).








    [Le cul entre deux chaises ou la farce tranquille de M. Faure]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Le cul entre deux chaises ou la farce tranquille de M. Faure]. — Toulouse : [s.n.], (Imprimerie 34__ (Toulouse : 1973-2014)). — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (deux  : noir , rose ) ; x × y cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  : CDA (FA, Paris)
    • Liste des thèmes  : justice  ; prison
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  : Action directe  ; GARI (Groupes d’action révolutionnaire internationalistes, 1974)
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  : soutien à militants
    notes :
    descriptif :


    [ texte (long) ; dessin (bas de personne se tenant assise à cheval sur deux chaises) ]

    texte :

    Le cul entre deux chaises

    ou la farce tranquille de M. Faure

    Un gouvernement de gauche doit proclamer une Amnistie Générale !

    J’ai lutté sous Giscard contre le nucléaire, l’expulsion des immigrés, le QHS, la peine de mort, le franquisme, le centralisme ; on m’a bâillonné et on m’a jeté en prison.

    Je me suis dit « Comment la droite autoritaire et liberticide une fois balayée, les socialistes me traiteraient-ils en ennemi ! »

    Pourtant, Maurice Faure a parlé de simple remaniement de ce tribunal d’exception, la Cour de Sûreté de l’État. Pourtant Maurice Faure envisage que pour des actes de même nature on puisse amnistier ceux d’entre nous condamnés à 8 ans et garder en prison ceux d’entre nous condamnés à 8 ans et un jour. Alors il suffira que les Tribunaux aient prononcé des peines de 8 ans et un jour ! Pourtant Maurice Faure a permis aux flics d’arrêter et de faire inculper six camarades libertaires comme le pouvoir précédent se l’est toujours permis grâce à cette juridiction.

    Nous n’en pouvons plus d’avoir combattu pour plus de liberté et d’être encore dans les cachots du pouvoir giscardien devenu socialiste parce que Faure écoute flics et juges de l’ancien régime.

    On ne danse pas à la Bastille. On la détruit.

    Amnistie généreuse : non

    Amnistie générale : oui

    [… impr. ?]


    sources :
     







    [Animals ? Yeah, scape goats !]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Animals ? Yeah, scape goats !]. — London Londres : Unite !, . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (une  : rose , papier rose ) ; 42 × 30 cm.

    • Affiches par pays  : Grande-Bretagne / Royaume-Uni
    • Lieux d’archivages  : CIRA (Lausanne)
    • Liste des thèmes  : répression
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  :
    notes :
    descriptif :


    [ texte (sur les morts du Heysel en 1985 et autres, procès en cours) ; photo (supporters de foot) ]

    texte :

    Animals ?

    Yeah, scape goats !

    On 29 May 1985, 39 people died at Heysel Stadium in Belgium
    -Due to repairs not carried out to save money
    -Due to cramming people in to make more money
    -Due to the cops attacking and rounding up the fans, making them stay in the ground for hours before the match with nothing to do
    -Due to stupid nationalism
    -Due to the media that encourages nationalism and fear -Due to the cops stopping people from escaping onto the pitch
    -Due to a system that doesn’t care about our lives, but only about controlling us

    And now 26 young men are to be sacrificed to this same murderous system

    In May ’85 Bradford Stadium burnt down, killing 56 because the gates were locked to stop people getting in without paying. The ground was known to be a fire-risk but doing it up would have cut their profits. Verdict — death for the economy. No arrests.

    On the same day Birmingham and Leeds fans united to take on the cops. When the cops charged, fans crowded against a wall Lo escape the flying truncheons. The wall collapsed, killing one and injuring many others. Verdict --- death for ’law & order’. No arrests.

    They call us animals when we refuse to be herded around and caged up like animals. They don’t care about us fighting each other (except when it puts people off coming to matches, so they lose money), they’re just worried about our violence finding the right tarp is -the shop windows where what we have produced is displayed beyond our reach, the managers who cage us in to stop us interfering with their money-making shows and kill with their lack of repairs, and the cops who control us so the show can go on, at our expence.

    Football fans, strikers, black people, squatters, ’scroungers’, gays and lesbians part of the long list of scapegoats that the state pretends to protect us from. But as the list gets longer, as the boot goes in harder, as money gets tighter, we realise that its us, our families, friends, neighbours, workmates that the system is being protected against. Against our anger at our poverty and humiliation. Against our desire and struggle to take back what’s ours - the goods we produce in their factories and can’t afford, our power to produce and to decide how and what to produce, our dignity, our lives, our world.

    When we’re together we feel stronger, we want to do something to feel our power. Sometimes we just hit out at what’s nearest, but that changes nothing. Some fans are morons, psychopaths, racist scum - we have to deal with them ourselves, not let the state use them as an excuse to step up their attack on all of us. The state is scared cos they know we’re a threat to them, cos they know we can win.

    The 26 charged will appear in court next_ on 10th November, 3.30 at Bow Street. Come and show solidarity.

    produced by UNITED ! c/o BM-CRL London WC1N 3XX


    sources :
     



    [Les politiques de santé mentale à l’épreuve du changement]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Les politiques de santé mentale à l’épreuve du changement]. — Bruxelles = Brussels Bruxelles : Alternative libertaire mensuel (Bruxelles) ; [et al.], . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (une  : rose ) ; 61 × 42 cm.

    • Affiches par pays  : Belgique
    • Lieux d’archivages  :
    • Liste des thèmes  : psychiatrie
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  : colloque  ; repas, cantine, …
    notes :
    descriptif :


    [ texte ; fond rose-mauve chiné ]

    texte :

    L’Autre « lieu »
    Commission française de la culture
    Avec la collaboration du GERM

    “Les politiques de santé mentale à l’épreuve du changement”

    Journées de réflexion

    9-10 juin 1989

    avec la participation du ministre Charles Piqué
    et entre autres
    Léon Cassiers, Madeleine Mouin, Yves-Luc Conreur, Silvana Pavone, Albert Faust, Alain Roba, Patrick Gilson, Micheline Roelandt, Guy Lebeer, Isabelle Stengers, Robert Maier, Élie Vamos

    Maison des associations internationales
    40, rue de Washington, 1050 Bruxelles

    Inscription avant le 1er mai 1989 ) l’Autre « lieu » 53, rue Saint-Alphonse, 1030 Bruxelles - Téléphone 218 31 94
    PAF 800 frs (+ repas :400 frs) à verser à l’Autre « lieu »n asbl RAPA 310-1286605-63

    Affichage culturel exempt de timbre • Éd. responsable : D. Limmelette, 108, Bd. A. Max, 1000 Bruxelles • Lazer Graphic 02/649 05 02


    sources :

    L’affiche parait également insérée dans Alternative libertaire n° 110 (mai 1989). Est-elle imprimée par l’imprimerie du 22 mars, par Lazer Graphic (entreprise disparue) ?








    [Wir greifen nach den Sternen = Nous décrochons la lune : Internationale Aktionstage - 10-11 mai = Journées internationales des squatts]

    notice :
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    [
    Wir greifen nach den Sternen = Nous décrochons la lune : Internationale Aktionstage - 10-11 mai = Journées internationales des squatts]. — [S.l.] : [s.n.], . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (deux  : noir , rose , texte en défonce , papier blanc ) ; 48 × 68 cm.

    • Affiches par pays  : Suisse
    • Lieux d’archivages  : CIRA (Lausanne)
    • Liste des thèmes  : luttes urbaines  ; squatt
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  :
    notes :
    descriptif :
    Symbole(s) utilisé(s) :

    [ texte ; dessin (flèche cerclée rose) ]

    texte :

    Die Tendenz in unseren Städten ist klar : Die Wirtschaftsinteressen bestimmen die Stadtentwicklung, die Bedürfnisse der Mieterinnen werden dabei übergangen. Bestehender Wohnraum wird luxussaniert oder in Büros und Geschäftsräume umgewandelt und die Mieten werden immer mehr erhöht, denn günstigen Wohnraum zu erhalten ist für Hausbesitzer und Spekulanten oft zu wenig rentabel. Die Folge davon ist die Verdrängung von immer mehr Menschen in die Schlafstädte und Agglomerationen. Nur gutverdienende Einzelpersonen, Paare oder Kleinfamilien können sich noch Wohnraum in den Städten leisten. Soziales, nachbarschaftliches Leben wird verdrängt, Isolation und Vereinsamung sind die Folgen. Diese Ghettos sind die besten Nährböden für Gewalt und Anonymisierung des Alltags : welche sich vorallem gegen Frauen richtet. Um die Hilflosigkeit zu überwinden schliessen sich betroffene Menschen in Gruppen zusammen :

    — Quartiere organisieren sich gegen Ueberbauungsprojekte und Umstrukturierung und versuchen gemeinschaft-liches Leben zu erhalten.
    — Von Kündigung und Mietzinserhöhung bedrohte Mieterinnen wehren sich mit Mieterstreckung undAuszugsboykott.
    — Menschen,die keine Wohnung finden, kaufen genossenschaftlich Wohnraum oder besetzen gemeinsam lee stehende Häuser.

    Es gibt also verschiedene Formen sich zu organisieren und Widerstand zu leisten. Das Besetzen von Häusern uns selbstbestimmte Zentren ist eine radikale und direkte Antwort auf die Verknappung und Spekulation mit Wohnraum und die permanente Verteuerung von Mieten. Deshalb wird diese Form des Widerstandes zunehmend kriminalisiert. Dabei wird versucht die Besetzerinnen zu isolieren und sie als "asoziale und gewaltätige Chaotlnnen" abzustempeln um ihre wirklichen Anliegen und Forderungen in der breiten Oeffentlichkeit zu verschweigen.

    Wir greifen nach den Sterne

    Wir sind Leute aus der Bewegung für besetzte Häuser und selbstbestimmte Zentren in Europa. Auch wenn uns oft tausende von Kilometern trennen gibt es viele gemeinsame Erfahrungen, Wünsche und Vorstellungen, die uns verbinden. Der lebensfeindlichen und grauen Entwicklung in unseren Städten wollen wir ein buntes, sellbstbestimmtes Leben entgegenhalten. in "unseren" Häusern hat es Platz für eigene Kultur und für eine Vielfalt von Menschen. Wir brauchen diese Räume, um uns zu entwickeln. Wir verstehen uns als Teil der Gesellschaft und versuchen, diese auch aus unseren Häusern heraus zu verändern.

    Die europäischen Regierungen haben beschlossen, dass es uns so nicht mehr geben soll.

    Die wirtschaftlichen Interessen organisieren sich im Hinblick auf die EG 92 und üben einen grossen Einfluss auf die Politik der einzelnen europäischen Staaten aus. So haben die europäischen Innenminister auf der TREVI-Konferenz (Terrorisme, Radicalisme, Extrémisme, Violence internationale) unter anderem vereinbart, alle besetzten Häuser und Zentren bis 1992 räumen zu lassen. In den meisten westeuropäischen Ländern wurde damit auch schon angefangen : für die Sicherung dessen was sie "Ruhe und Ordnung, "Rechtsstaat" oder "inneren Frieden" nennen. Aber : Sie können uns und unsere Ideen nicht aus der Welt schaffen, denn auch wir befassen uns mit internationalen Entwicklungen und gemeinsamen Perspektiven ; für uns und unsere Bedürfnisse. Darum wurde am internationalen Häuserkampftag in Hamburg beschlossen, internationa e Aktionstage am 10./11. Mai gegen Wohnungsnot durchzuführen. Wir rufen Euch auf, Euch an diesen Tagen z beteiligen. Organisiert E, wehrt Euch !

    Die Wohnräume denen die darin wohnen.
    Keine Räumung bewohnter Häuser und Plätzen.
    Kein Besitz an Boden.
    Stop der Spekulation.
    Sanierung nur mit Einwilligung der Bewohnerinnen.
    Selbstbestimmung der Quartiere, stop der Quartierzerstörung.

    internationale Aktionstage am 10./11. Mai

    Wir greifen nach den Sternen

    La tendance dans nos villes est évidente — les intérêts économiques déterminent le développement urbain, sans tenir compte des besoins des locataires. Les espaces habitables existants, font l’objet de rénovations de luxe ou sont transformés soit en bureaux, soit en espace commerciaux. Les loyers peuvent ainsi être augmentés, car préserver un habitant bon marché n’est souvent pas assez rentable pour les propriétaires et les spéculateurs. De ce fait il n’ y a plusque les personnes seules, les couples et les petites familles à haut revenu qui peuvent s’offrir un habitat en villes ; les autres individus sont repoussés vers la périphérie dans des cités dortoirs. La vie sociale, les rapports de voisinage disparaissent laissant place à l’isolement et à la solitude. Ces ghettos sont les terrains favorable de violance surtout contre des femmes. Pour surmonter la détresse ainsi crée, les personnes concernées se regroupent :

    Les quartiers s’organisent contre des projets de complexes immobiliers, contre des restructurations et tentent de préserver “une vie de quartier”.
    Les locataires touchés par les augmentations de loyer ou mis a la porte se défendent a travers les prolongations de bail et en s’opposant aux expulsions.
    Les personnes ne trouvant pas d’appartement occupent, ensemble, une maison vide. Puis elles revendiquent sous forme de bail associatif ou de coopérative de pouvoir rénover et ainsi habiter l’immeuble légalement.

    Il existe donc plusieurs manières de s’organiser pour s’opposer à cette politique. L’occupation de maison et de centres autogérés est une réponse directe à la spéculation, à la crise du logement et l’augmentation permanente des loyers. Cette forme de résistance et de plus en plus reprimée. La lutte pour vivre mieux ensemle débouche sur l’illégalité et cela montre une fois de plus que nos lois protègent en priorité l’argent et ceux qui en possèdent suffisamment.

    Nous décrochons la lune

    Nous sommes issus du mouvement pour les maisons occupées et les espaces autogérés européens. Face au développement incessant des villes, qui menace notre qualité de vie, nous voulons proposer une vie multicolore et autogérée. Dans nos espaces nous avons la possibilité d’imaginer, de choisir. de créer notre propre façon d’habiter, notre propre façon de vivre avec les autres. Les intérêts économiques réorganisés en vue de la communauté européenne de 1992 exercent des pressions sur la politique des différents états. À la conférence TREVI (Terrorisme, Radicalisme, Extrémisme, Violence Internationale) il a été décidé entre autres de ne plus tolérer de nouvelles maisons occupées et de centre autogérés d’ici 1992. La plupart des pays d’Europe de l’ouest ont d’ailleurs commençé à le faire, pour assurer ce qu’ ils appellent "le calme et l’ordre, "l’état de droit", "la sécurité intérieure". Mais nous ne nous laisserons pas balayer suite à plusieurs rencontres internationales. Nous déclarons 10 et 11 Mai, journées internationales des squatts. Associez-vous à nos manifestations !

    1.Les maisons et les espaces à ceux et celles qui les occupent.
    2.Pas d’ expulsions de maisons ou d’espaces occupés.
    3.Sans proprieté foncière pas de spéculation.
    4.Halte à la destruction des quartiers.
    5.Pas de rénovations sans l’accord des habitants.

    10 et 11 Mai, journées internationales des squatts


    sources :
     



    [Gegen die Aushöhlung des bürgerlichen Freiheiten !]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Gegen die Aushöhlung des bürgerlichen Freiheiten !]. — Wien Vienne : DALF (Die Anderen — Libertäres Forum) : RBH_ (Revolutionsbräuhof) ; [et al.], . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (deux  : noir , rose ) ; 60 × 43 cm.

    • Affiches par pays  : Autriche
    • Lieux d’archivages  : CIRA (Lausanne)
    • Liste des thèmes  : répression
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  : meetings et manifestations
    notes :
    descriptif :


    [ texte (annonce manifestation) ; photos (police anti-émeute ; personne avec tracts) ]

    texte :

    Neues Sicherheitspolizeigesetz • Neues Wiener Landessicherheitsgesetz • Neues Meldegesetz • Geplante Novellierung des Vereinsgesetzes • Neues Regionalradiogesetz • Verbot von Demonstrationen • Massive Schikanen gegen Infotische • Flugblattsteuer geplant • Einschränkung der Auftrittsmöglichkeiten für Straßenkünstlerinnen • Novelle zum Gewerberecht gegen nichtkommerzielle Kultur- und Kommunikationszentren, sowie „AusländerInnen“ lokale • Tagtäglich Polizeiübergriffe

    Gegen die Aushöhlung des bürgerlichen Freiheiten !

    Kundgebung

    Freitag, 26. November 1993
    Ab 10.00 Uhr • Karlsplatzpassage

    Diese Kundgebung wird unterstützt von :

    Aktion RaF — Radfahren am Freitag • Anti-Atom International (AAI) • Arbeitskreis Strafvollzug • ARGE Stop Transit • Basiskoordination Österreich — Nicaragua • BG-Liesing der Alternativen Liste Wien • Bürgerinitiative „Schönes Ennstal" • Bürgerinitiative Hetzendorf • Bürgerinitiative „NETT" • Bürogemeinschaft Schottengasse • Die Anderen — Libertäres Forum (DALF) • Friends of the Earth • Gewerkschaftlicher Linksblock • Grün-Alternative Jugend • Grün-Alternative Studentinnen (GRAS) • Grüne Alternative Wien • Grüne Alternative/Bezirksgruppe 23 • Hochschülerschaft an der Universität Wien, GRUWI-Fakultätsvertretung • Homosexuelleninitiative (HOSI) • Internationaler Bund der Tierversuchsgegner • Kommunikation/Aktion/Information (KAI) • Kommunistischer Studentinnenverband (KSV) • Ökologieinstitut • Österreichischer Entwicklungsdienst (ÖED) • Revolutionsbräuhof (RBH) • Sozialistisches Patientenkollektiv (SPK) • Südwind-Buchwelt • TATblatt • Verband sozialistischer Studentinnen Österreichs (VSStÖ) • Verein gegen Tierfabriken • VIRUS

    Impressum : Hochschülerschaft an der Universitat Wien/Fakultatsvertretung GRUWI ; Rooseveltplatz 5a, 1090 Wien, Tel. : 403 40 20


    sources :
     


    [Fête de quartier à Montelly]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Fête de quartier à Montelly]. — Lausanne : Espace autogéré (Lausanne), . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (deux  : noir , rose , couleur en dégradé ) ; 42 × 30 cm.

    • Affiches par pays  : Suisse
    • Lieux d’archivages  : CIRA (Lausanne)
    • Liste des thèmes  : art : musique
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  : spectacle, concert, fête…
    notes :
    descriptif :


    [ texte (programme de la fête) ; dessins ]

    texte :

    Fête de quartier à Montelly

    Samedi 20 aout 94, dès 15 h00

    Programme :
    — carambole, échecs
    — jonglage, monocycle, clown
    — maquillage
    — musique de rue

    15 h 00 - 18 h 00 : animations enfants, jeux, gouter, en compagnie d’une jardinière d’enfants

    18 h 00 : récital de poésie, suivi d’un apéritif offert

    Dès 19 h 30 : souper

    21 h 00 : concert de folklore équatorien “Llacta y Manta”

    — Exposition : Historique des squatts lausannois
    — Bar tropical, bar info-kiosk, stands de bouffe et gâteaux

    À l’Espace Autogéré
    Ch. des Collines 2 — sauf pour les animations enfants : Montelly 39
    1007 Lausanne
    Arrêt TSOL : Montelly


    sources :
     









    [Να σαμποτάρουμε του κοινωνικό εφησυχασμό Να τελειώνουμε με το σύμπλεγμα του φόβου]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Να σαμποτάρουμε του κοινωνικό εφησυχασμό Να τελειώνουμε με το σύμπλεγμα του φόβου]. — Thessaloníki̱ = Θεσσαλονίκη Thessalonique : [s.n.], [ca ]. — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (deux  : noir , rose , texte en défonce , papier blanc ) ; x × y cm.

    • Affiches par pays  : Grèce
    • Lieux d’archivages  : Tanneries (Dijon)
    • Liste des thèmes  : répression
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  : Botzatzis [Μποτζατζής], Vangelis [Βαγγέλης]
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  : soutien à militants
    notes :
    descriptif :
    Symbole(s) utilisé(s) :

    [ texte ; photo () ]

    texte :

    Να σαμποτάρουμε του κοινωνικό εφησυχασμό Να τελειώνουμε με το σύμπλεγμα του φόβου

    που επιζητά την ασφάλεια,την Τάξη και το σωφρονισμό

    Στις 11 Οκτωβρίου μετά απο 10 μήνες προφυλάκισης αφήνεται προσωρινά ελεύθερος ο Βαγγέλης Μποτζατζής. Διώκεται με βάση τον τρομονόμο και το κατηγορητήριο στηρίζεται σε μια « ανυπόστατη, κατασκευασμένη και ανακληθείσα κατάθεση, προϊόν απειλών, εκβιασμών, ψυχολογικής βίας και πίεσης » και στον « πηγαίο καταδιωκτισμό » ενός σεκιουριτά.
    Για την ίδια υπόθεση διώκονται τρεις ακόμα αναρχικοί που επέλεξαν τη φυγή ως μία σταση άρνησης στην επερχόμενη φυλάκισή τους που τα μμε τόσο καλά προετοίμασαν και η δικαστική εξουσία είχε δρομολογήσει. Εδώ και τόσο καιρό βρίσκονται σε ένα ιδιότυπο καθεστώς ομηρίας.

    Γίνεται πλέον φανερό πως οι εξουσιαστικοί μηχανισμοί επιδιώκουν την εδραίωσή τους μέσα από την παραδειγμάτική εξόντωση των αντιφρονούντων βαφτίζοντας τους τρομοκράτες.
    Είναι, όμως, οι δεσμοί αλληλλεγγύης που μπορούν να μπλοκάρουν στην πράξη την απόπειρα να στείνονται έκτακα δικαστήρια σε βάρος αγωνιζόμενων ανθρώπων. είναι όλο αυτό το πολύμορφο σύμπαν των αντιστεκόμενων που μπορεί να ξεδιπλώσει έμπρακτα δεσμούς αλληλεγγύης και κοινωνικής δράσης ικανούς να υπονομεύσουν κάθε σχέδιο της εξουσίας να Θέσει στο περιθώριο τον αγώνα για την ελευθερία.

    αλληλεγγύη το Β. Μποτζατζή
    καμία δίωξη τους Ν. Νικολάου, Δ. Συριανού, Κ. Χάλαζα.

    πορεία

    ΠΑΡΑΣΚΕΥΗ 14.11 - 18.00 ΚΑΜΑΡΑ

    κατάληψη φάμπρικα ★ υφανέτ


    traduction :

    Na sampotároume tou koinonikó efisychasmó Na teleiónoume me to sýmplegma tou fóvou pou epizitá tin asfáleia,tin Táxi kai to sofronismó Stis 11 Oktovríou metá apo 10 mínes profylákisis afínetai prosoriná eléftheros o Vangélis Botzatzís. Dióketai me vási ton tromonómo kai to katigoritírio stirízetai se mia « anypóstati, kataskevasméni kai anaklitheísa katáthesi, proïón apeilón, ekviasmón, psychologikís vías kai píesis » kai ston « pigaío katadioktismó » enós sekiouritá. Gia tin ídia ypóthesi diókontai treis akóma anarchikoí pou epélexan ti fygí os mía stasi árnisis stin eperchómeni fylákisí tous pou ta mme tóso kalá proetoímasan kai i dikastikí exousía eíche dromologísei. Edó kai tóso kairó vrískontai se éna idiótypo kathestós omirías. Gínetai pléon faneró pos oi exousiastikoí michanismoí epidiókoun tin edraíosí tous mésa apó tin paradeigmátikí exóntosi ton antifronoúnton vaftízontas tous tromokrátes. Eínai, ómos, oi desmoí allillengýis pou boroún na blokároun stin práxi tin apópeira na steínontai éktaka dikastíria se város agonizómenon anthrópon. eínai ólo aftó to polýmorfo sýmpan ton antistekómenon pou boreí na xediplósei émprakta desmoús allilengýis kai koinonikís drásis ikanoús na yponoméfsoun káthe schédio tis exousías na Thései sto perithório ton agóna gia tin elefthería. allilengýi to V. Botzatzí kamía díoxi tous N. Nikoláou D. Syrianoú, K. Chálaza. poreía PARASKEVI 14.11 - 18.00 KAMARA katálipsi fámprika ★ yfanét

    Pour saboter sa complaisance sociale
    Terminons avec le complexe de la peur

    recherche de sécurité, d’ordre et d’emprisonnement

    Le 11 octobre, après 10 mois de détention provisoire, Vangelis Botzatzis a été temporairement libéré. Il est poursuivi pour terrorisme et l’acte d’accusation se fonde sur un « témoignage inexistant, fabriqué et révoqué, produit de menaces, de chantage, de violences et de pressions psychologiques » et de la « persécution à la source » d’un garde de sécurité.
    Pour le même cas, trois autres anarchistes sont poursuivis qui ont choisi de fuir en refusant leur emprisonnement imminent, que les médias si bien préparés et la justice avaient lancé. Ils ont été dans un régime d’otage particulier pendant si longtemps.

    Il devient maintenant clair que les mécanismes autoritaires cherchent à se consolider par l’extermination exemplaire de dissidents en baptisant des terroristes.
    Ce sont cependant les liens de solidarité qui peuvent en pratique bloquer la tentative d’envoyer des tribunaux d’exception au détriment des populations en difficulté. c’est tout cet univers multiforme de résistance qui peut déployer dans la pratique des liens de solidarité et d’action sociale capables de saper tout plan de pouvoir pour marginaliser la lutte pour la liberté.

    solidarité avec V. Botzatzis
    pas de persécution de N. Nikolaou
    D. Syrianou, K. Halaza.

    Manifestation

    VENDREDI 14.11 - 18.00 KAMARA

    tissu accroupi ★ tissage


    sources :
     



    [Avis de tempête]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Avis de tempête]. — Paris : No Border, [ca ]. — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (deux  : noir , rose , papier blanc ) ; 54 × 37 cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  : CIRA (Lausanne)  ; Tanneries (Dijon)
    • Liste des thèmes  : émigration et immigration  ; prison  ; révolte
    • Géographie, géopolitique et Histoire  : Égypte  ; Grande-Bretagne  ; Tunisie
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  :
    notes :
    descriptif :


    [ texte ; photo (enfant gravissant un mur surmonté d’un grillage) ]

    texte :

    Avis de tempête

    La vie n’est pas une croisière où tout le monde s’amuse : un emploi perdu, une allocation menacée par les mesures d’austérité, une centrale nucléaire qui pète, un-e proche arrêté-e par les flics, une survie toujours plus difficile. Et dans ce monde en perpétuelle transformation, on s’attend à une prochaine tempête.

    Beaucoup s’en remettent à la démocratie et font confiance à ses institutions, que ce soit les élections comme les syndicats, la police comme la justice, assurant au pouvoir la perpétuation dont il a besoin. Les sangsues nationalistes, religieuses et communautaires s’agitent, sentant que la situation peut leur être propice.

    De son côté l’État se prémunit, resserre son contrôle et construit de nouvelles prisons pour enfermer les indésirables, les récalcitrant-e-s, celles et ceux qui se révoltent, celles et ceux qui préfèrent voler dans les magasins et arnaquer les allocs plutôt que de crever la dalle.

    Mais le vent pourrait tourner.

    En Angleterre, des milliers de gens ont brisé les règles du jeu le temps de quelques nuits d’août enflammées.
    De Lampedusa à Christmas Island, des prisons pour étranger-e-s sont incendiées par les sans-papiers qui y sont enfermés.
    En Tunisie comme en Égypte, des révolté-e-s s’attaquent au pouvoir en place.
    Tout cela nous porte à croire que l’on peut changer radicalement l’existant.

    Nous ne voulons pas de leur religion, de leurs prisons, ni de leur nation et de leurs frontières. Parce que le pouvoir perpétuera toujours la domination et l’oppression, il n’y a rien à faire de leur démocratie, qu’elle soit de gauche ou de droite, représentative ou réelle.

    Comme celles et ceux gui désirent la liberté et refusent une existence réduite à la survie, au travail et à la consommation, me de pouvoir.


    sources :
     

    2010
    Affiche liée






    [Lyon Antifa Fest, 2014]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Lyon Antifa Fest, 2014]. — Lyon : Lyon antifa fest, . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (trois  : bleu , brun , rose , texte en défonce , papier blanc ) ; x × y cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  :
    • Liste des thèmes  : art : musique
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  : Méric, Clément (1994-2013)
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  : spectacle, concert, fête…
    notes :
    descriptif :
    Symbole(s) utilisé(s) :

    [ texte ; dessin (femme avec lunettes de soleil et mégaphone, doigt en l’air, loin devant une manifestation avec banderole « No pasaran ») ]

    texte :

    En soutien aux victimes de la répression

    CCO Villeurbanne - 39 rue Roger Courteline

    Lyon Antifa Fest

    2014

    12 et 13 décembre

    Vendredi 12, dès 19 h

    Singe des Rues (rap, Toulouse) — J’aurai voulu (punk rock, Colmar) — Hors Contrôle (oï, Montceau-les-Mines) — 65 Mines Street (ska, Audincourt)

    Samedi 13, dès 19 h

    La Jonction (rap, Lille) — Klasse Kriminale (oï legend, Italie) — The Valkyrians (ska, Finland) — Red Ska (ska punk, Italie)

    10 € par soir - 18 € [les deux ?] - Plus d’infos sur Facebook : Lyon Antifa Fest

    En mémoire de Clément Méric


    sources :