GARI (Groupes d’action révolutionnaire internationalistes, 1974)
Les GARI sont créé en 1974 pour soutenir les ex-militants du MIL (1970-1973). Ces groupes autonomes s’autodissoudent la même année.
Au moins 6 ouvrages recensés dans le Catalogue général des éditions et collections anarchistes francophones.
Au moins 2 revues francophones parues sous ce nom (voir sur le site Bianco).
21 affiches :
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
[ texte (manuscrit) ; vignettes ]
- texte :
De la démocratie au fascisme
en réponse aux luttes :
révolte dans les prisons
Foulquemont, PTT, SEAT Barcelone, FASA-Renault Valladilid, etc.
le capital envoie ses flics, torture, emprisonne, garrotte…
pour avoir répondu à la violence du capital : séquestration de membres du MIL, assassinat d’Antich et Chez,
sachons qu’en luttant pour la libération des prisonniers politiques : Éva Forest, Duran et leurs camarades, on se doit de lutter pour ceux qui en France ou ailleurs (GARI, Baader, Fraction Armée Rouge, Brigade de la colère) sont en prison pour être intervenus en révolutionnaires.
le soutien aux emprisonnés passe par la recherche de la destruction du capital sous toutes ses formes (fasciste, pseudo-démocratique, étatique-
Par la violence révolutionnaire
pour avoir osé lutter contre l’exploitation et l’oppression en s’attaquant aux liens économiques entre la France et l’Espagne
• en séquestrant un représentant du franquisme, B. Suarez
• en expropriant des banques (soutien aux luttes)
• en transportant des armes,
des camarades des GARI sont inculpés d’atteinte à la sûreté de l’État et se voient refuser la statut politiqueGAL
[… impr. ?]
Couleurs ?
Paru en novembre 1974 d’après Les GARI, 1974 : la solidarité en actes (CRAS, 2013).
Peut-être de l’Imprimerie 34 et/ou AAEL, d’après Affiches contre… de 68 à nos jours (AAEL, 2010), p. 138- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
[ bande dessinée (en deux affiches) de Willem ? ]
- texte :
Pour avoir refusé d’être des esclaves silencieux pour le profit de quelques-uns…
…Pour avoir compris que, dès aujourd’hui, dans leurs luttes contre le système, les hommes ne peuvent et ne doivent compter que sur eux-mêmes…
…Pour avoir nié à des bureaucrates patentés le droit de parler en leur nom…
…Et de réclamer le droit à une mort décente là où nous réclamons le droit à une vie fondée sur la jouissance créatrice et non sur le sacrifice au profit
…Refusé qu’on assassine un anarchiste à Barcelone… [Puig Antich]
…Et souligné que sous le masque de ses déclarations, la démocratie, cette vieille pute, à un visage de comptable sans âme, débit, crédit, profit, visage de capital…
…Pour avoir interrompu ce qui, plus que la vie humaine, compte pour lui, le trafic économique… [GARI]
…On nous a embastillé et inculpé, d’atteinte à la sureté
du profitde l’État……Accusé d’être de dangereux terroristes
…Sans autre but que la destruction pour elle-même
[un capitaliste :] « Tous ceux qui menacent notre pouvoir et la bonne marche de notre société sont des terroristes, des délinquants ou des fous… Et notre justice se doit de les écarter d’un milieu que leur mal pourrait contaminer… »
[un militaire :] « Inculpés par le Cour de sureté de l’État, tribunal politique d’exception. Cela nous permet de prolonger 6 jours durant la garde à vue. Mais privés des possibilités qu’ils devraient avoir pour se défendre »
Kolossale finesse…
Les marins de Cronstadt au musée de la marine… …manquait plus que ça
Ils font la grève de l’instruction depuis le début de leur arrestation, ça fait cinq mois…
…Et la grève de la faim, depuis le 25 décembre 1974
Pour pourvoir se défendre et affirmer ce pourquoi ils luttent, ils exigent… le statut politique
[des politiciens ou des journalistes :] « Et ensuite que voudront-ils ? Je me le demande… J’ai peur… »
Impr. AAEL
BD sur les GARI, parue en novembre 1974, d’après Les GARI, 1974 : la solidarité en actes (CRAS, 2013) pour les procès de janvier et mars 1981.
Dessin de Willem ?
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
[ dessin (défilé de personnages sans visage, dessous un panneau d’interdiction de sourire) de Soulas ; texte (annonce d’un gala) ]
- texte :
Gala de solidarité aux emprisonnés en France et en Espagne
soutien aux inculpés des GARI
Association Ébène et Acajou
Alain Bert & Epsy’s Band, Jacques Debronckart, Évariste, Higelin, Henri Gougaud, Olivia, Serge Utgé-Royo & Carlos Andreou, Anne Vanderlove
Samedi 29 nov. à 20 h 30
Mutualité
(ouverture des portes à 20 heures)Billets en vente, 15 F
Jargon libre, 6, rue de la Reine Blanche, 75013, de 14 h à 19 h
Mutualité, 24, rue St-Victor, 75005, de 11 h à 18 hImprimerie 34 - rue des Blanchers - Toulouse
Association Ebène et Acajou [= Noir et Rouge ?].
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
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[ texte ; dessin (complexe) ]
- texte :
Le puzzle anational
En solidarité avec les prisonniers des GARI, du MIL, de la Bande à Baader, et à Martchenko d’URSS
Los individualistas libertarios esperantistas
[Dessin de sculpture avec drapeaux Marx et de Gaulle, chars phalus, etc. texte parodique : "Alerte ! Alerte ! Mobilisation de toutes les forces armées de l’air de mer et des États socialistes et démocratiques unis du monde : l’état de guerre contre la contrerévolution planétaire « organa » est déclarée sur toute la surface du globe…"]
Affiche en 2-3 parties ?
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
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[ Lettre des inculpés et communiqué n° 2 ]
- texte :
Lettre de prison des inculpés des GARI
Après avoir vainement tenté d’obtenir le statut politique par la voie normale et par la grève de l’instruction, après avoir été victimes de la répression pénitentiaire quand nous avons refusé de subir de nouvelles brimades, nous sommes contraints de faire la grève de la faim, bien que nous soyons hostiles à ce mode d’action.
Mais c’est tout ce qu’il nous est possible de faire : la grève de la faim ou la soumission aux injustices et à l’arbitraire des autorités politiques, judiciaires et pénitentiaires.
Il va de soi pour nous :
— que les hommes ne peuvent vivre pleinement quand leur liberté est fortement entravée dans tous les systèmes politiques existants.
— qu’il est absolument criminel d’enfermer un individu 22 h sur 24 dans une cellule malsaine de 6 m2 en leur refusant volontairement la satisfaction des besoins les plus élémentaires (air, nourriture, sexualité, contacts humains, etc.).
— que la délinquance et les délinquants sont produits par la société actuelle.
— que tous les délinquants sont d’abord des hommes et qu’en tant que tels, ils ont tous des besoins vitaux à satisfaire, quelles que soient leurs motivations (« politiques » ou de « droit commun »), la nature ou la gravité de leur délit.Cependant, nous sommes conscients de la fonction de la Justice et de la prison qui consiste à contribuer au maintien du système politico-économico-social existant, basé sur l’exploitation et l’oppression.
Tant que subsistera ce système, les prisons existeront et les hommes seront considérés comme u bétail qui produit et qui consomme selon les exigences du capital, et que l’on enferme quand ils s’écartent du troupeau et refusent d’aller tristement, résignés, à l’abattoir.
Dans ce système, on distingue les détenus de « droit commun » des détenus « politiques ». En ce qui nous concerne, nous avons été incarcérés pour des raisons politiques et nous avons été traités d’une manière particulière :
— garde à vue de six jours (avec interrogatoire policier sans pouvoir bénéficier d’une assistance quelconque, ou communiquer avec l’extérieur).
— tribunal d’exception (Cour de sureté de l’État).Or, si l’on nous fait subir ce traitement spécial, on nous refuse les droits que cela implique au niveau de la détention.
C’est-à-dire que l’on nous refuse le droit de nous exprimer et de nous défendre politiquement.
C’est pour cela que nous réclamons un véritable statut politique applicable à tous les prisonniers politiques, conscients que nous pouvons, dans le cadre de notre action, exiger une reconsidération générale du régime de détention en France (ce qui n’empêche pas que nous soyons solidaires de tout mouvement de détenus de « droit commun » réclamant une amélioration des conditions de détention).
Par véritable statut politique, nous entendons :
— droit de réunion libre dans une salle spéciale pour tous les détenus politiques d’une même prison avec possibilité de prendre des repas en commun.
— parloir libre pour la famille et les amis quotidiennement.
— droit de visite libre.
— droit de communiquer librement avec l’extérieur (abolition de la censure du courrier, correspondance secrète).
— droit d’assistance juridique durant la garde à vue.Nous réclamons en outre :
— le rapprochement, dans l’immédiat, dans des cellules contiguës, de tous les individus inculpés dans les « affaires » concernant le GARI.
— une amélioration et un contrôle radical de la nourriture ainsi qu’une amélioration du régime des promenades, le manque de vitamines et d’oxygénation provoquant chez tous les détenus des troubles aisément constatables.Les emprisonnés du GARI
communiqué n.2 — 12 janvier 1975
Cour de sureté de l’État
Un véritable statut politique
Quatre militants des GARI (Groupes d’action révolutionnaire internationaliste), actuellement incarcérés à la prison de la Santé, ont entamé une grève de la faim pour obtenir le statut de prisonniers politiques. Ils font partie des sept inculpés, reconnus ou présumés membres des GARI, ayant reconnu ou étant soupçonnés d’avoir participé à certaines actions antifranquistes : Jean-Michel Martinez, Victor Menrique, Mario Ines, Michel Camilleri, Jean-Marc Rouillant, Raymond Delgado, Floréal Cuadrado.
Tous ces militants faisaient la grève de l’instruction (en refusant de répondre aux interrogations du juge) ; ils désiraient obtenir les droits qu’implique le statut de « politique » pour pouvoir se défendre à ce niveau.
Nou spublions aujourd’hui une lettre des grévistes de la faim de la Santé dans laquelle ils s’expliquent sur ce qu’ils réclament. Dans la nuit du réveillon du Nouvel An, plusieurs prises de parole ont eu lieu au mégaphone à l’extérieur de la prison pour soutenir leur action.
Comité « Pour une amnistie générale »
L’Imprimerie Quotidienne — Val-de-Marne
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
- /B_tout>
[ texte ; photo (buste d’homme, avec béret) ; extrait de presse d’Impulso, revista de la emigración) ]
- texte :
Español:
[…]
Liberté pour les inculpés du GARI
Groupe d’entraide aux inculpés du GARI
Couleurs ?
Paru en 1975 d’après Les GARI, 1974 : la solidarité en actes (CRAS, 2013).- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
[ texte ; dessin (prisonnier nu se masturbant) ]
- texte :
L’État arnaque
La démocratie bourgeoise vient de reconnaître du bout des lèvres (cf ci-contre), un statut spécial nominatif, pour les 5 emprisonnés pro-GARI ; peut-on vraiment parler d’un statut politique, comme ce fut le cas lors de la guerre d’Algérie ou pendant d’autres périodes d’agitation gauchiste (Geismar, Krivine, etc.).
• Les militants du GARI ont cessé la grève de la faim. — Les cinq membres des Groupes d’action révolutionnaire internationalistes (GARI). MM. Michel Camilleri, Raymond Delgado. Mario Ines, Jean-Michel Martinet, Victor Menrique et Jean-Marc Rouillan, inculpés d’atteinte à la sûreté l’État et incarcérés à la Santé, ont interrompu, le 7 février. la gréve de la faim qu’ils avaient commencée le 27 décembre dernier. Ils ont, en effet, obtenu satisfaction de leurs revendications : repas en commun, réunion libre et une heure de parloir pu jour. (le Monde du 9 janvier)
[logo :]Le Monde - 15 février 1975Pourquoi ne veut-elle pas reconnaitre cette réalité politico-sociale ?
— Parce qu’elle veut sauvegarder le mythe des libertés politiques sous le règne de la démocratie.
— Parce qu’elle veut garder un "prestige de la liberté" sous sa défroque libérale.Pour nous la démocratie n’est que la dictature de la bourgeoisie sur le prolétariat et un système de gestion du capital quelle que soit la clique de droite ou de gauche au pouvoir.
Car sous son règne l’oppression par le salariat sur la classe exploitée demeure la même.
Pour elle la dictature c’est : Franco le partenaire d’Hitler et on lui tend la main. Notre but étant la destruction de toutes les prisons (Famille, Écoles, Casernes, Usines, Prisons), etc. Mais cela ne peut être le fait que de la Révolution Sociale.
L’action réformiste juridique entreprise par certains révolutionnaires aujourd’hui pour arracher un statut politique social à la bourgeoisie française ne s’inscrit pas comme une volonté de privilège de la part de ceux-ci.
Mais plutôt son but est d’ouvrir une brèche dans l’expression extrémiste de la société de classe : La prison.
Cette brèche pouvant être utilisée par tout ce qu’on appelle "les droits communs" à la condition qu’ils s’expliquent politiquement et socialement leurs actes. Qu’ils accèdent par eux-mêmes et pour eux-mêmes à la conscience de classe de leurs actes. Contribution nécessaire,à l’accentuation des luttes de classe dans les taules. Dans la mesure où 95 % des prisonniers sont des prolétaires qui enfreignent la loi capitalo-bureaucratique de la propriété privée et de la morale liée à celle-ci. Les 596 étant des capitalistes trop expéditifs dans l’exploitation de la force de travail (maquereaux, escrocs, truands de la drogue et du rackett, etc.).
Pratiquement :
La lutte se poursuit pour :
a) Amnistie générale pour les copains libertaires emprisonnés.
b) assistance juridique pendant la garde à vue.
c) Droit à la liberté d’expression pour les révolutionnaires emprisonnés (camarades pro-GARI et les divers Autonomistes).
d) Droit de pouvoir rencontrer d’autres personnes que leur famille (journaliste, médecin, copains).
e)Droit de rapport sexuel en prison (hétéro et homo) ceci par l’établissement de chambre sexuelle comme dans les taules du capitalisme avancé. Cela étant une exigence humaine minimale. Ceci avec l’application des possibilités contraceptives et avortives.
f) Droit au SMIG comme pécule pour tous les emprisonnés quel que soit leur régime, unification des deux catégories sous l’appellation de Travailleurs. Ceci implique pour les travailleurs restés à l’extérieur des murs une lutte commune contre les mêmes exploiteurs. (Qu’ils s’appellent Parti Communiste avec les boulots sur-exploités sur les gadgets du journal Pif ou les épingles Bonus etc...) travaux exécutés dans les prisons.Des individualistes libertaires solidaires
Le 15/2/75 Imp. Autonome Dijon
Texte commentant une coupure du Monde du 15 février 1975. Image déjà parue dans CAP : journal des prisonniers, n° 38 (juillet 1976).
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
[ texte ; dessin : défilé de quatre personnages identiques, moustachus défilant de droite à gauche, le poing levé ou le bras sur l’épaule et portant les lettres G A R I ]
- texte :
Le 13 février à 20 h 30
44 rue de Rennes, M° : St-Germain des Prés
Meeting de soutien aux inculpés des GARI
Comité de défense - Coordination anarchiste - Marge - Organisation révolutionnaire anarchiste (Rég. Paris)
[…]
Affiche signalée aussi in : Espagne 1936-1975 : les affiches des combattant-e-s de la liberté : tome 2. Éditions libertaires, 2007. p. 115.
Tirage de 10.000 exemplaires selon Confrontation anarchiste n° 27 ([été] 1975), p. 2.
Paru en supplément au Réfractaire.
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
[ bande dessinée par Willem ? ]
- texte :
On nous a embastillé et inculpé d’atteinte à la sureté
au profitde l’État……Accusé d’être de dangereux terroristes
sans autre but que la destruction pour elle-même
Tous ceux qui menacent notre pouvoir et le bonne marche de notre société sont des terroristes, des délinquants ou des fous…
Et notre justice se doit de les écarter d’un milieu que leur mal pourrait contaminer…Inculpés par la Cour de sureté de l’État, tribunal politique d’exception. Cela nous permet de prolonger 6 jours durant la garde à vue
Mais privés des possibilités qu’ils devraient avoir pour se défendre
Kolossale finesse…Les marins de Cronstadt au Musée de la Marine…
…manquait plus que ça
Ils font la grève de l’instruction depuis le début de leur arrestation, ça fait cinq mois……et la grève de la faim depuis le 25 décembre 1974
Pour pouvoir se défendre et affirmer ce…
…pourquoi ils luttent, ils exigent…
le statut politiqueEt ensuite que voudront-ils ?
Je me le demande…
J’ai peur…AAEL
Couleurs ?
Paru en 1975 à Toulouse d’après Les GARI, 1974 : la solidarité en actes (CRAS, 2013).- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
- /B_tout>
[ texte ; dessin (paquet postal surprise « statut politique » frappant un personnage policier ?) par ? ] ]
- texte :
Paris : prison de la Santé
4 membres des Groupes d’Action Révolutionnaires Internationalistes sont déférés depuis le 24 septembre 1974 devant la Cour de sureté de l’État : tribunal politique d’exception
Le pouvoir (par l’intermédiaire du ministre de la Justice) les maintient sous un régime spécial pour mieux les isoler politiquement : aucune possibilité de se rencontrer…
ils exigent le statut politique et refusent l’instruction tant qu’ils ne l’obtiendront pas.
Groupe d’entraide aux inculpés
Impr. [… ?]
Couleurs ?
Paru en janvier 1975 d’après Les GARI, 1974 : la solidarité en actes (CRAS, 2013).- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
- /B_tout>
[ faux texte du juge d’instruction, orné des photos de Giscard-d’Estaing et de trois de ses ministres (Poniatowski, Lecanuet, Chirac) ]
- texte :
Avis de recherche
Les 4 bandits des GARI ont profité de leur transfert de la Cour de sûreté de l’état aux assises, pour s’évader
Récompense
Ceux qui nous gouvernent manipulent la juridiction au fil des évènements et de leur inspiration. Il y a 2 ans, pour faire plaisir à Franco, ils inculpent les GARI (Groupes d’action révolutionnaire internationalistes) en Cour de sûreté de l’État — aujourd’hui, Franco est mort, il s’agit de dépolitiser leur combat : la raison d’État les transforme en bandits, transfère leur dossier aux assises et nomme un juge à sa dévotion.
On a pensé en haut lieu que je me prêterais à ces manœuvres. Bien que juge, j’ai ma dignité. Je me déclare donc incompétent sur un dossier aussi clairement politique. Je porte l’affaire à la connaissance de tous et vous laisse juge.
Guy-Louis Pia, juge d’instruction au tribunal de grande instance de Paris
Paru en 1976 et en format 52 × 40 cm — et non 56 × 40 cm — d’après Les GARI, 1974 : la solidarité en actes (CRAS, 2013).
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
- /B_tout>
[ texte ; dessin (détournement de Snoopy des Peanuts : « Il vaut mieux être dehors en liberté que dedans en préventive ») ]
- texte :
En France, comme en Espagne, plus ça change… plus c’est pareil
« Il vaut mieux être dehors en liberté que dedans en préventive »
Depuis 17 mois, 3 libertaires (GARI) sont emprisonnés à la Santé
Couleurs ?
Paru en 1976 à Toulouse d’après Les GARI, 1974 : la solidarité en actes (CRAS, 2013).- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
- /B_tout>
[ texte ; dessin (jeune femme coupant un doigt d’une des trois mains — « la justice », « la police, » « les fascistes » — qui l’agressent) par Camilla Hall ]
- texte :
Arrestations arbitraires !
Quand Chirac annonce : l’ordre et la discipline !…
La Justice
Lecanuet manœuvre avec toutes ses juridictions (cour de sureté de l’État et cour d’assises…) pour une répression maximale (ex : libertaires du GARI)La Police
Ponia lance ses flics tous azimuts… Les arrestations arbitraires se multiplientLes fascistes
hommes de main du pouvoir détruisent et assassinent en toute impunitéHalte à la loi de la force
© Camilla Hall
Imprimerie 34 rue des Blanchers.
Comité contre la répression
Parait dans Basta « Spécial douce France » (2 avril 1976)
Jacques Chirac est Premier ministre du président Valéry Giscard d’Estaing ; Ponia (Michel Poniatowski) est ministre de l’Intérieur ; Jean Lecanuet est ministre de la Justice.
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
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[ dessin (étau [symbolisant un garrot], à cheval sur les carte d’Espagne et de France, enserrant le mot « GARI » entre ses mâchoires) ; texte ]
- texte :
Otages
de la Cour de sûreté de l’État pendant 2 ans pour faire plaisir au régime espagnol, en cour d’assises maintenant pour alourdir leurs peines et dénaturer le sens de leurs lutles !…
Tel est le sort réservé en France aux inculpés des GARI
© Groupes d’entraide
imprimerie 34 - rue des Blanchers - Toulouse
Parue en [mai] 1976, d’après Les GARI, 1974 : la solidarité en actes (CRAS, 2013).
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
- /B_tout>
[ texte ]
- texte :
Solidarité avec les inculpés des GARI
Déclaration des GARI
« Après l’assassinat de Puig Antich est apparue l’inefficacité de toutes les protestations pacifiques. (…) Notre action s’inscrit dans un programme de développement d’une lutte révolutionnaire continue, dépassant toute considération d’ordre nationaliste, contre toute forme d’oppression et d’exploitation.
Nous sommes convaincus que, face au terrorisme du pouvoir, une des formes de lutte les plus efficaces est l’action directe révolutionnaire et nous exprimons notre ferme décision de développer notre lutte pour le libération de l’Espagne, de l’Europe et du Monde. »L’action directe : c’est aussi, grève, occupation, séquestration, sabotage, expropriation, insoumission, etc.
Pour l’abolition du capital, de l’État & du salariat !
Liberté pour tous les inculpés en France et en Espagne
Coordination des comités d’entraide
imp. spéciale
Parue en 1976, d’après Les GARI, 1974 : la solidarité en actes (CRAS, 2013).
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
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[ texte ; dessin (3 silhouettes traversant un mur explosé) ]
- texte :
Un jour de prison c’est trop, 3 ans c’est intolérable
Liberté pour les trois des GARI
imp. 34. Supplément à Basta N° 7
Couleurs ?
Paru en 1977 à Toulouse en suppl. à Basta n° 7 (mai 1977).- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
[ texte (déclaration du GARI et prise de position de la coordination anarchiste) ; illustration (visage de Franco et bras sur fond de carte de France et Espagne, le bras vient de France et tourne le garrot d’une exécution capitale ) ]
- texte :
Procès du GARI
20 révolutionnaires passent en procès pour avoir lutté contre la dictature franquiste, contre le capitalisme, contre l’État
Déclaration du GARI :
« Après l’assassinat de Salvador Puig Antich est apparue l’inefficacité de toutes les protestations pacifiques. Notre action s’inscrit dans un programme de développement d’une lutte révolutionnaire continue, dépassant toute considération d’ordre nationaliste contre toute forme d’oppression et d’exploitation. Nous sommes convaincus que face au terrorisme du pouvoir, une des formes de lutte les plus efficaces est l’action directe révolutionnaire et nous exprimons notre ferme décision de développer notre lutte pour la libération de l’Espagne, de l’Europe et du Monde. » GARI
Parce que nous voulons rétablir la vérité sur les objectifs politiques du GARI
Parce que nous devons dénoncer la collusion franco-espagnole que révèlent ces procès.
Parce que la lutte contre la dictature franquiste ne se prépare pas la veille des assassinats (Puig Antich, Hein Chez)
Parce que la violence révolutionnaire peut être une réponse au capitalisme et à l’État.
Notre soutien aux inculpés des GARI sera total
Coordination anarchiste - CA
Imp. 34, rue des Blanchers, Toulouse
Paru en décembre 1980, d’après Les GARI, 1974 : la solidarité en actes (CRAS, 2013) pour les procès de janvier et mars 1981.
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
- /B_tout>
[ texte ; dessin (tête de mort avec calot à pompon — les yeux sont occupés par des barreaux de prison auxquels deux mains s’agrippent, le crane est graffité avec une croix celtique, une croix gammée et une potence) par Barbe ]
- texte :
Sur le procès en Assises des anti-franquistes…
Ce matin, 19 janvier 1981, nous rentrons dans nos prisons respectives, afin de comparaître comme prévenus dans un procès d’assises que jusqu’alors personne n’aurait cru possible. Nous avons été arrêtés il y a sept ans, relâchés assez rapidement. Les militants espagnols, arrêtés en Espagne en 74 ont, eux, été amnistiés.
Et en 1981, en France, notre procès sera celui d’individus qui hier ont refusé le franquisme, comme ils ont refusé le régime des colonels grecs et de Caetano.
Notre procès sera celui d’individus qui, aujourd’hui refusent le régime de Pinochet au Chili, de Videla en Argentine, de Brejnev en URSS.
Oui, nous condamnons toutes les dictatures et les états totalitaires. Oui, nous soutenons tous les mouvements de lutte qui cherchent à arrêter la main du bourreau, comme c’était le cas lors de l’affaire Suarez.
Aujourd’hui, à deux mois des élections présidentielles, le gouvernement français se dévoile :
— en faisant notre procès,
— en faisant celui de GARI le 14 mars 1981,
— en enfermant des militants anti-franquistes de l’ETA (Etchave),
- en permettant que des groupes d’extrême-droite espagnols, liés à des membres de l’OAS tuent et blessent en France en toute impunité,
— en permettant l’assassinat de Goldmann,
— en permettant l’attentat de la rue Copernic…Devant cette réalité, ce procès est d’autant plus absurde et scandaleux que c’est nous, anti-franquistes, qui sommes considérés comme des criminels et non pas Franco.
les inculpés signataires : Georges Rivière, Annie Chitti, Lucio Urtobia, Anne Urtubia, Pierre Guibert, Danièle Haas, Ariane Gransac-Sadori, Octavio Alberola
[… ?]
Couleurs ?
Paru en décembre 1980 à Toulouse d’après Les GARI, 1974 : la solidarité en actes (CRAS, 2013).- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
[ texte ; dessin (tête de mort avec calot à pompon — les yeux sont occupés par des barreaux de prison auxquels deux mains s’agrippent, le crane est graffité avec une croix celtique, une croix gammée et une potence —, sur fond tricolore (du drapeau français) de barbe, encadré des couleurs de l’Espagne ]
- texte :
1974 - Assassinat de Puig Antich, intervention des GARI
1975 - Mort de Franco
1981 10 antifranquistes aux assises à Paris
[dessin de Barbe]
du 19 au 30 janvier
Supplément à « Basta » N° 19 Imprimerie 34 : 34, rue des Blanchers - 31000 Toulouse
Affiche signalée in : Espagne 1936-1975 : les affiches des combattant-e-s de la liberté : tome 2. Éditions libertaires, 2007. p. 115. Le dessin de Barbe daterait de 1970 (d’après 100 años de anarcosindicalismo, CGT et FSS, 2010) et a été offerte pour les GARI en 1975 ( d’après Les GARI, 1974 : la solidarité en actes, CRAS, 2013).
Parue en supplément à Basta.
Ce dessin est aussi paru en Une d’Alternative libertaire (nouvelle série, n° 11, janvier 1981). Il est aussi en couverture du livre Les GARI : Groupes d’action révolutionnaires internationalistes, 1974, la solidarité en actes : enlèvement du banquier Suarez… du CRAS (Toulouse) (avril 2013, https://cgecaf.ficedl.info/article7...).
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
- /B_tout>
[ Tortue renversée avec la tête de Franco (dessin de Vazquez de Sola), dont une patte donne l’ordre de condamnation ; texte ]
- texte :
1975 - mort de Franco
1981 - Procès des anti-franquistes du GARI
Aux assises de Paris du 19 au 31 mars
Supplément à Basta n° 20 (févr.-mars 1981).
Il existe aussi une version en 64 × 43 cm.
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
- /B_tout>
[ texte (long) ; dessin (bas de personne se tenant assise à cheval sur deux chaises) ]
- texte :
Le cul entre deux chaises
ou la farce tranquille de M. Faure
Un gouvernement de gauche doit proclamer une Amnistie Générale !
J’ai lutté sous Giscard contre le nucléaire, l’expulsion des immigrés, le QHS, la peine de mort, le franquisme, le centralisme ; on m’a bâillonné et on m’a jeté en prison.
Je me suis dit « Comment la droite autoritaire et liberticide une fois balayée, les socialistes me traiteraient-ils en ennemi ! »
Pourtant, Maurice Faure a parlé de simple remaniement de ce tribunal d’exception, la Cour de Sûreté de l’État. Pourtant Maurice Faure envisage que pour des actes de même nature on puisse amnistier ceux d’entre nous condamnés à 8 ans et garder en prison ceux d’entre nous condamnés à 8 ans et un jour. Alors il suffira que les Tribunaux aient prononcé des peines de 8 ans et un jour ! Pourtant Maurice Faure a permis aux flics d’arrêter et de faire inculper six camarades libertaires comme le pouvoir précédent se l’est toujours permis grâce à cette juridiction.
Nous n’en pouvons plus d’avoir combattu pour plus de liberté et d’être encore dans les cachots du pouvoir giscardien devenu socialiste parce que Faure écoute flics et juges de l’ancien régime.
On ne danse pas à la Bastille. On la détruit.
Amnistie généreuse : non
Amnistie générale : oui
[… impr. ?]
[De la démocratie au fascisme]
[De la démocratie au fascisme]. — Toulouse : Groupe autonome libertaire (Toulouse), (Imprimerie 34__ (Toulouse : 1973-2014)). — 1 affiche (sérigr. ) : n. et b. ; 57 × 45 cm.
sources :
[Pour avoir refusé d’être des esclaves silencieux…on nous a embastillés et inculpés d’atteinte à la sûreté de l’État]
[Pour avoir refusé d’être des esclaves silencieux…on nous a embastillés et inculpés d’atteinte à la sûreté de l’État] / Willem (1941-....). — Toulouse : AAEL (Association pour l’art et l’expression libre : 1973-....), (Imprimerie 34__ (Toulouse : 1973-2014)). — 1 affiche (sérigr. ), coul. (deux : rouge , bleu , papier blanc ) ; 63 × 45 cm.
sources :
![]() 1975 |
[Gala de solidarité aux emprisonnés en France et en Espagne, soutien aux inculpés des GARI]
[Gala de solidarité aux emprisonnés en France et en Espagne, soutien aux inculpés des GARI] / Philippe Soulas. — Paris : Ébène et acajou : Jargon libre (Paris), (Imprimerie 34__ (Toulouse : 1973-2014)). — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (une : noir , papier rouge ) ; 62 × 45 cm.
sources :
[Le puzzle anational. En solidarité avec les prisonniers des GARI, du MIL, de la Bande à Baader]
[Le puzzle anational. En solidarité avec les prisonniers des GARI, du MIL, de la Bande à Baader]. — [S.l.] : [s.n.], . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (une : noir , papier orange ) ; 34 × 50 cm.
sources :
![]() [ 1975 ?] |
[Lettre de prison des inculpés des GARI]
[Lettre de prison des inculpés des GARI]. — [S.l.] : [s.n.], (Imprimerie quotidienne (Fontenay-sous-Bois)). — 1 affiche (impr. photoméc.) : n. et b. ; 56 × 27 cm.
sources :
[Liberté pour les inculpés du GARI : Español !]
[Liberté pour les inculpés du GARI : Español !]. — [S.l.] : [s.n.], . — 1 affiche (impr. photoméc.) : n. et b. ; 43 × 30 cm.
sources :
[L’État arnaque ; la démocratie bourgeoise vient de reconnaître un statut spécial pour les 5 emprisonnés pro-GARI]
[L’État arnaque ; la démocratie bourgeoise vient de reconnaître un statut spécial pour les 5 emprisonnés pro-GARI]. — Dijon : [s.n.], (Imprimerie autonome (Dijon)). — 1 affiche (impr. photoméc.) : n. et b. ; 42 × 30 cm.
sources :
[Meeting de soutien aux inculpés des GARI]
[Meeting de soutien aux inculpés des GARI]. — Paris : CA__ (Coordination anarchiste : 1972-1976) : Marge : ORA_ (Organisation Révolutionnaire Anarchiste : 1967-1976) : le Réfractaire, [ ?]. — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (une : noir , papier de couleur ) ; 66 × 44 cm.
sources :
[On nous a embastillé et inculpé…]
[On nous a embastillé et inculpé…] / Willem (1941-....). — Toulouse : AAEL (Association pour l’art et l’expression libre : 1973-....), (Imprimerie 34__ (Toulouse : 1973-2014)). — 1 affiche (sérigr. ), coul. (deux : rouge , bleu , papier blanc ) ; 63 × 45 cm.
sources :
![]() 1974 |
[Paris, prison de la Santé : ils exigent le statut politique]
[Paris, prison de la Santé : ils exigent le statut politique]. — [S.l.] : [s.n.], . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (une : rouge ) ; 62 × 45 cm.
sources :
[Avis de recherche... Les 4 bandits des GARI ont profité de leur transfert...]
[Avis de recherche... Les 4 bandits des GARI ont profité de leur transfert...]. — [S.l.] : [s.n.], . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (une : brun , papier blanc ) ; 56 × 40 cm.
sources :
[Depuis 17 mois, 3 libertaires (GARI) sont emprisonnés à la Santé]
[Depuis 17 mois, 3 libertaires (GARI) sont emprisonnés à la Santé] / Charles Monroe Schulz. — Toulouse : [s.n.], . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (une : noir , papier bleu ) ; 80 × 59 cm.
sources :
[Halte à la loi de la force]
[Halte à la loi de la force] / Camilla Hall. — Toulouse : AAEL (Association pour l’art et l’expression libre : 1973-....) : Basta ! (Toulouse) : Comité contre la répression, (Imprimerie 34__ (Toulouse : 1973-2014)). — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (une : rouge , papier blanc ) ; 60 × 42 cm.
sources :
[Otages de la cour de sûreté de l’État pendant 2 ans pour faire plaisir au régime espagnol... Tel est le sort réservé en France aux inculpés des GARI]
[Otages de la cour de sûreté de l’État pendant 2 ans pour faire plaisir au régime espagnol... Tel est le sort réservé en France aux inculpés des GARI]. — Toulouse : [s.n.], (Imprimerie 34__ (Toulouse : 1973-2014)). — 1 affiche (impr. photoméc.) : n. et b. ; 60 × 40 cm.
sources :
[Solidarité avec les inculpés des GARI. L’action directe c’est aussi : grève, occupation, sabotage,...]
[Solidarité avec les inculpés des GARI. L’action directe c’est aussi : grève, occupation, sabotage,...]. — Toulouse : [s.n.], (Imprimerie spéciale [Impr. spéc.]). — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (une : violet , papier blanc ) ; 63 × 45 cm.
sources :
[Un jour de prison c’est trop, 3 ans c’est intolérable]
[Un jour de prison c’est trop, 3 ans c’est intolérable]. — Toulouse : Basta ! (Toulouse), (Imprimerie 34__ (Toulouse : 1973-2014)). — 1 affiche (impr. photoméc.) : n. et b. ; 60 × 40 cm.
sources :
[Procès du GARI, 20 révolutionnaires passent en procès pour avoir lutté contre la dictature franquiste, contre le capitalisme, contre l’État]
[Procès du GARI, 20 révolutionnaires passent en procès pour avoir lutté contre la dictature franquiste, contre le capitalisme, contre l’État]. — Toulouse : CA__ (Coordination anarchiste : 1972-1976), (Imprimerie 34__ (Toulouse : 1973-2014)). — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (une : noir , papier jaune ) ; 62 × 45 cm.
sources :
[Sur le procès en Assises des anti-franquistes…]
[Sur le procès en Assises des anti-franquistes…] / André-François Barbe. — Toulouse : [s.n.], . — 1 affiche (impr. photoméc.) : n. et b. ; 61 × 44 cm.
sources :
![]() 1977 |
![]() 1981 |
[10 antifranquistes aux assises à Paris]
[10 antifranquistes aux assises à Paris] / André-François Barbe. — Toulouse : AAEL (Association pour l’art et l’expression libre : 1973-....), (Imprimerie 34__ (Toulouse : 1973-2014)). — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (quadri ) ; 65 × 46 cm.
sources :
![]() 1981 |
![]() 1977 |
![]() 1980 |
[1975 - mort de Franco ; 1981 - Procès des anti-franquistes du GARI aux assises de Paris du 19 au 31 mars]
[1975 - mort de Franco ; 1981 - Procès des anti-franquistes du GARI aux assises de Paris du 19 au 31 mars] / Andrès Vazquez de Sola. — Toulouse : AAEL (Association pour l’art et l’expression libre : 1973-....), (Imprimerie 34__ (Toulouse : 1973-2014)). — 1 affiche (impr. photoméc.) : n. et b. ; 91 × 61 cm.
sources :
![]() 1981 |
[Le cul entre deux chaises ou la farce tranquille de M. Faure]
[Le cul entre deux chaises ou la farce tranquille de M. Faure]. — Toulouse : [s.n.], (Imprimerie 34__ (Toulouse : 1973-2014)). — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (deux : noir , rose ) ; x × y cm.
sources :