travail, emploi

 

 

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    [Non à la désintégration du Code du travail !]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Non à la désintégration du Code du travail !]. — Paris : CNT_F (France), . — 1 affiche (impr. photoméc.) : n. et b. ; x × y cm.

    • Affiches par pays  : France
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    Symbole(s) utilisé(s) :

    [ texte ; dessin (affiche aux poissons vue en plongée : « C’est toutes et tous ensemble qu’il faut lutter : grève générale ! ») ]

    texte :

    « C’est toutes et tous ensemble qu’il faut lutter : grève générale ! — www.cnt-f.org »

    Non à la désintégration du Code du travail !

    Malgré les quelques miettes concédées aux syndicats réformistes pour acheter leur adhésion, rien n’a changé, l’objectif reste le même I Ce projet de loi est une véritable régression historique en matière de droits sociaux : de nombreux acquis des travailleurs pourront être renégociés à l’échelle des entreprises où le rapport de force sera systématiquement défavorable aux salariés.

    Décryptage :
    les principes fondamentaux du code du travail remis en cause

    1- L’inversion de la hiérarchie des normes, c’est livrer les pleins pouvoirs au patronat
    Un accord d’entreprise est un accord conclu entre un employeur et une ou plusieurs organisations syndicales en vue de fixer des règles relatives aux conditions de travail, à l’emploi ou aux garanties sociales des salariés. Jusqu’ici la loi primait sur l’accord de branche qui primait sur l’accord d’entreprise, sauf si l’accord de branche ou d’entreprise étaient plus favorables. Avec le projet de loi, c’est l’accord d’entreprise qui prévaut sur l’accord de branche, même si celui-ci est moins favorable aux salariés.

    2- Recours au référendum pour bâillonner les syndicats de lutte
    Les règles de la négociation collective ont été également modifiées pour recourir au référendum afin de contourner la discussion syndicale. Cette pratique, qui veut faire croire à plus de démocratie, prendra en réalité la forme d’un chantage pour les salariés en leur proposant de renoncer à une part plus ou moins importante de leurs acquis sociaux en échange du maintien de leur activité. La démocratie ne fonctionne qu’entre égaux, or dans une entreprise, il n’y a pas d’égalité entre le salarié et son patron, donc pas de démocratie réelle possible. De plus, le référendum d’entreprise sera également un outil formidablement pratique pour repérer et isoler les éléments contestataires puis briser l’action collective.

    3- Temps de travail et salaires modulables en fonction des besoins de l’entreprise
    Sur simple accord d’entreprise, les congés et les heures supplémentaires pourront être modifiés, assouplis, imposés. De plus désormais, refuser une modification de son contrat de travail (salaire, temps et lieux de travail) pourra mener à un licenciement pour faute grave sans contestation possible. Combien de salariés oseront encore s’opposer à leur employeur ? Combien de salariés oseront encore lutter pour de nouveaux droits ?

    4- Légalisation des licenciements abusifs
    Ce projet de loi a prévu de redéfinir le licenciement économique. Une entreprise pourra faire un plan social sans avoir de difficultés économiques. Une baisse ponctuelle des commandes ou du chiffre d’affaires permettra d’effectuer des licenciements. L’introduction à titre indicatif d’un barème des indemnités prud’homales en cas de licenciement illégal permettra à l’employeur de prévoir à l’avance les dépenses d’un licenciement sans motif réel, lui permettant ainsi de limiter les risques financiers. Combien de salariés oseront encore saisir les prud’hommes ?

    Confédération nationale du travail Nord Pas-de-Calais

    [logo « chat cerclé »] CNT


    sources :

    http://www.cnt-f.org/59-62/wp-content/uploads/affiche-cnt-decryptage-loi-travail.pdf












    [Nouvelle assurance chômage : une guerre ouverte contre les travailleurs !]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Nouvelle assurance chômage : une guerre ouverte contre les travailleurs !]. — Toulouse : CLASSE (Collectif de Liaison pour l’Autodéfense et la Solidarité de clasSE), . — 1 affiche (impr. photoméc.) : n. et b. ; 42 × 30 cm.

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    [ texte ; dessin (façade « Pôle emploi » cachant une usine dépeçant les chômeur·euse·s : « Les gens, je crois que là, ça serait bien qu’on la joue collectif… ») ]

    texte :

    nouvelle assurance chômage : une guerre ouverte contre les travailleurs !

    Restriction des conditions d’accès aux indemnités chômage
    Il faudra avoir travaillé 6 mois sur les 24 derniers mois, au lieu de 4 sur 28.

    Fin des droits rechargeables
    Il faudra travailler au moins 910 heures pour une « recharge », soit autant que pour ouvrir des droits.
    le nouveau calcul du salaire journalier tous les jours sur une période donnée seront pris en compte pour calculer les indemnités journalières, y compris les jours non travaillés, ce qui a pour effet de réduire violemment leur montant.

    Introduction de la dégressivité des indemnités
    Après 6 mois d’indemnités touchées, celles ci diminueront de 30 %. Cela ne concerne – pour l’instant – que les gros salaires (supérieurs à 4500 euros).

    Derrière cette réforme, l’État nous pousse à travailler à n’importe quel prix, sous n’importe quelle condition, jouant ainsi son rôle de commissaire de l’exploitation. Plus d’un million de personnes sont directement touchées par la réforme et ce n’est qu’un début. La réforme du chômage et celle des retraites nous donnent un goût de l’avenir que les patrons et l’État nous promettent : notre misère pour leurs profits.

    Ce qu’on peut leur promettre, c’est une résistance acharnée contre notre écrasement. entre amis, au sein de collectifs d’autodéfense de classe ou dans le cadre des mouvements de lutte qui existent ou s’annoncent (gilets jaunes, retraites), nous pouvons la jouer collectif et imposer un rapport de force. rien ne se fera sans nous.

    www.classeenlutte.org — [CLASSE] — classe@riseup.net — f:collectifclasse


    sources :

    http://www.classeenlutte.org/2019/11/13/nouvelle-assurance-chomage-une-guerre-ouverte-contre-les-travailleurs/
    https://i2.wp.com/www.classeenlutte.org/wp-content/uploads/2019/11/Affiche-PE-NB.png

























    [Werken is misdaad]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Werken is misdaad]. — [S.l.] : [s.n.], . — 1 affiche (impr. photoméc.) : n. et b. ; 60 × 21 cm.

    • Affiches par pays  : Pays-Bas
    • Lieux d’archivages  : Anarchief (Gent)
    • Liste des thèmes  : travail, emploi
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  :
    notes :
    descriptif :


    [ texte ; photo (homme masqué debout au milieu d’une rue vide (après une manifestation ?)) ]

    texte :

    Werken is de grootste belediging en vernedering die de mensheid zichzelf heeft aangedaan.

    Werken is de grote verdoemenis. Het werken maakt geestloos en zielloos.

    Wanneer we niet weer werken, zal het leven pas beginnen.

    Werken is misdaad

    Ik beweer niet, dat iemand nu maar morgen bij zijn baas moet weglopen en moet zien, dat hij zonder werken aan de kost komt en dan overtuigd kan zijn dat ie aan het leven toe is. Staat men noodgedwongen op de keien, dan is dit al erg genoeg, het nu niet werken loopt meestal uit op parasiteren op de kameraden, die wel werken. Kan je door - wat fatsoenlijke mensen noemen - roven en stelen aan de kost komen, zonder je door een baas te laten uitbuiten, goed - doe het ; maar geloof dan niet, dat daarmee het grote probleem is opgelost. Het werken is een sociaal kwaad. Deze maatschappij is levensvijandig en alleen door de vernietiging van deze en volgende werkdiergemeenschappen, - d.w.z. door revolutie na revolutie - zal het werken verdwijnen.

    Dan eerst komt het leven - het volle, rijke leven - dan zal ieder door z’n zuivere levensdrift tot scheppen gebracht worden.

    Scheppen is intense levensvreugde, werken is intens levensleed.

    Alle werk is misdadig.

    Het werken is meehelpen aan winst maken en uitbuiten ; meehelpen aan vervalsing, bedrog, vergiftiging ; meehelpen aan oorlogsvoorbereiding ; meehelpen aan de vermoording der gehele mensheid.

    Werken is levensvernietigend.

    Daarom zullen wij bewust iedere kapitalistische onderneming saboteren, iedere baas zal een strop aan ons hebben. Waar wij, opstandige jongeren, werken moeten, moeten grondstoffen, machines en producten onbruikbaar gemaakt worden. Telkens weer zullen de tanden uit de raderen springen, uit messen en beitels de stukken slaan, het nodige gereedschap onvindbaar zijn - recepten en middelen zullen wij elkaar zeggen.

    Wij willen niet door het kapitalisme ten ondergaan, daarom moet het kapitalisme door ons ten ondergaan.


    sources :
     


    [¡Que no te tengan en un puño !]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    ¡Que no te tengan en un puño !]. — [S.l.] : CNT_ (España), . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (deux  : rouge , noir , papier blanc ) ; 40 × 40 cm.

    • Affiches par pays  : Espagne
    • Lieux d’archivages  : CIRA (Lausanne)
    • Liste des thèmes  : travail, emploi
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  :
    notes :
    descriptif :
    Symbole(s) utilisé(s) :

    [ texte ; photo (visage d’adolescente) ]

    texte :

    Acoso laboral, amenazas de despido, sueldos injustos, horas extras, reforma laboral continua, criminalización de l@s parad@s…

    Ante la pérdida de derechos laborales y la persecución del trabajador

    ¡Que no te tengan en un puño !

    [logo : drapeau taillé touge et noir] CNT

    Un ejemplo más : una compañera despidida en Todogar por negarse a hacer horas extras, es ahora perseguida por la Justicia por haber defendido sus derechos. El fiscal, en otro gesto de cinismo y persecución sindical, le reclama más de un millón de pesetas y arresto domiciliario por “daños y perjuicios”. ¿Suma y sigue ?


    sources :