meetings et manifestations
1005 affiches :
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Ministère de proscription
Les Français emprisonnés ou révoqués, les Russes expulsés
Les prisons de la République sont remplies de travailleurs coupables d’avoir exprimé des opinions de liberté.
Les gouvernants qui les emprisonne n’ont gagné le pouvoir qu’en reniant et trahissant ces mêmes idées.
Des enfants même sont frappés.
Le gouvernement ravale le pays en se mettant au service du tzar et satisfaisant son désir de vengeance contre les réfugiés Russes.
Camarades
Nous vous convions à venir protester avec nous contre ces infamies répétées.
Grand meeting
Palais du travail
13, rue de Belleville, 13
Vendredi 20 mars, à 8 h 1/2 du soir
Orateurs dont la présence est actuellement assurée : J. Grave, J. Bonzon, R. de Marmande, Janvion, E. Merle, Grandjouan, Almereyda.
Entrée : 0,25 cent. pour les frais
[…]
La date pourrait être aussi 1903 ou 1914.
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Fédération révolutionnaire (section du 15e Arrt)
Églantine Parisienne/ — 61, rue Blomet, 61On peut préconiser la grève des soldats, on peut même essayer de la préparer, et vous avez raison de ma rappeler que nos jeunes militants s’emploient à faire comprendre à l’ouvrier qui va quitter l’atelier, au paysan qui va déserter les champs pour aller à la caserne qu’il y a des devoirs supérieurs à ceux que la discipline voudrait leur imposer…
Et alors, si l’ordre de tirer persistait, si l’officier [tenace ?] voulait quand même contraindre la volonté du soldat. Ah ! sans doute, les fusils pourraient partir, mais ce ne serait peut-être pas dans la direction indiquée.
Aristide Briand (décembre 1899)
président du Conseil, ministre de l’IntérieurConscrits, vous qui partez, méditez ces grands conseils, venez-tous au grand
meeting antimilitariste
Samedi 2 octobre
Salle Feuillade, 18, rue Croix-Nivert, à 8 heures 1/2 du soir
Orateurs : — Ce qu’ils développeront :
Miguel Almereyda, de La Guerre sociale — L’attitude de la classe ouvrière en cas de guerre.
Fr. Marie — Le mensonge patriotique, la caserne.
Delpech, de la Fédération Révolutionnaire — L’attitude des soldats aux grèves.
Métivier — Pourquoi les femmes doivent aux antimilitaristes.
Entrée : 0 fr. 30 pour les frais
Les conscrits seront admis gratuitement sur présentation de leur feuille de route
La section du quinzième arrondissement de la FR se réunit tous les vendredis, 61, rue Blomet
Lire : tous les mercredis La Guerre sociale, tous les quinze jours Les Temps nouveaux.
Imprimerie spéciale de la Fédération révolutionnaire - [marque syndicale ?]
Affiche éditée en 1909 (source : tropjeunespourmourir.com).
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Spaansche gruwelen !
De moord op Ferrer
Arbeiders, naar “Plancius”
Zaterdag 16 october,
des avonds hal negen, spreekt in en
Openbare vergadering
in “Plancius”, Plantage Kerklaan,
Mr. M. Mendels
over de Spaansche gruwelen in het algemeen en in het bijzonder over
de moord op Ferrer.
Entrée 10 cent. — Debat vrij.
Arbeiders, komt Zaterdagavond in massa
naar “Plancius” !
Voor de Federatie Amsterdam SDAP :
Th. van der Waerden, voorzitter.
G. H. Pieters, secrataris.- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
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Appel aux travailleurs
[…]
À la coalition des classes possédantes, nous devons répondre par la cohésion des forces révolutionnaires, par l’union de tous les révoltés. C’est dans ce but que tous les communistes-révolutionnaires ont décidé de s’unir dans une fédération.
[…]]
[…]
Cette affiche a été collée vers le 9 décembre 1910 et « Un meeting de présentation se tient le lendemain au Foyer populaire de Belleville, avec Durupt, Dauthuille et Henry Combes. » d’après : Guillaume Davranche, Trop jeunes pour mourir : ouvriers et révolutionnaires face à la guerre, 1909-1914, L’Insomniaque, Libertalia, 2014, p. 128.
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Debout !
Ouvriers, honnêtes gens !
La mesure est comble. La bourgeoisie, dans sa haine implacable contre la classe des travailleurs, vient de condamner un des vôtres, innocent du crime monstrueux qui lui est imputé, à la peine de mort !
C’est l’ère des répressions qui commence, la porte est ouverte à tous les abus !
Laisserez-vous s’accomplir et se perpétuer de telles infamies ? Non.
Ne relèverez-vous pas ce défi lancé à toute la classe prolétarienne organisée ? Oui.
Aussi, vous protesterez tous contre cette condamnation inique et vous répondrez au verdict des jurés bourgeois, haineux et sans entrailles,
en désertant lundi vos bureaux, ateliers et chantiers vous vous ferez un devoir d’assister au meeting qui se tiendra, le lundi 28 novembre, à 10 heures du matin, dans la grande salle du cercle Franklin et à la manifestation qui aura lieu le même jour, à 2 heures de l’après-midi (rendez-vous au Rond-Point).Et souvenez-vous, pour sauver un innocent, de notre devise : Tous pour un ! Un pour tous !
L’Union des syndicats
Affiche parue au lendemain de la condamnation à mort de Jules Durand à la cour d’assises de Rouen (25 novembre 1910) :
http://fr.calameo.com/read/002814565621aad8dac46.- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
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Confédération générale du travail
Le Premier Mai
En dehors des ambitions politiques, en des disputes intéressées des arrivistes et des politiciens de toutes nuances, pour conserver ou conquérir les sièges parlementaires, voici que surgit, une fois de plus, pour les travailleurs, l’occasion de s’affirmer résolus et conscients : Voici le Premier Mai !
Travailleurs, ce jour là, tous debout ! Manifestons !
Oui, manifestons notre mépris des palinodies parlementaires !
Manifestons notre indignation des répressions et des crimes de la police, de la magistrature et du gouvernement, domestiques serviles du Capital !
Travailleurs,
Rappelons que l’État-Patron a toujours entravé la liberté de penser et d’agir de ses exploités. Il a révoqué, réduit à la faim, les meilleurs et les plus courageux des travailleurs des Postes Télégraphes et Téléphones. Il a frappé, très durement, les instituteurs. C’est par nécessité politique, par crainte des électeurs, que des réintégrations — bien incomplètes — ont été récemment opérées. Rattachant, par une sournoise combinaison financière, les chemins de fer de l’Ouest au réseau de l’État, il n’a pas encore donné à ses cheminots, à ses esclaves de la voie ferrée, la malheureuse pièce de cent sous quotidienne que ceux-ci réclament et lui arracheront peut-être de force.
Pour faire patienter les cheminots, le gouvernement fait brutaliser, assommer par son abjecte police et condamner par ses valets de cour ceux qui revendiquent dans la rue leur droit à la vie.
Reppelons-nous que la Magistrature, en ces derniers temps, a distribué sans scrupules, les peines les plus variées aux militants, aux travailleurs, sous l’hypocrite raison de faire respecter la liberté du travail. C’est la liberté de la lâcheté et de la trahison que la justice protège et encourage ! C’est pour cela qu’aux années et aux mois de prison, cette justice de classe applique à des travailleurs l’infamante interdiction de séjour, réservée jusqu’alors à ceux qui vivent de la prostitution.
Voilà ce que les souteneurs d’un régime d’exploitation, de honte de sang, ont osé faire !
Travailleurs !
Pour accomplir de tels forfaits, police, magistrature, gouvernement s’appuient sur l’armée. Ils font de nos fils et de nos frères, des traîtres à leur cause, des jaunes ou des assassins.
Dénonçons alors les cruautés sans nom des brutes galonnés ; dénonçons les infamies, les forfaitures de Biribi ; donnons aux soldats une conscience.
Un trio de renégats, un trio de traîtres à leur passé, à leur parti, au peuple, s’est fait stipendier pour accomplir une œuvre néfaste au prolétariat qu’il veut tromper, corrompre ou massacrer, pour le profit des parasites et des exploiteurs du travail : Crachons-lui notre haine !
Pour masquer tous leurs crimes, pour voiler leurs mauvaises intentions, pour arriver à leur but, ces gens-là ont fait voter, par un Parlement sans conscience, une loi de bluff électoral, d’escroquerie et de vol : les retraites ouvrières.
La classe ouvrière n’en est pas dupe, et contre l’application de cette loi, les travailleurs se révolteront.
Contre tout cela, au souvenir de tant d’infamie, la classe des exploités doit
Au Premier Mai, se lever et protester
Ce jour-là, les travailleurs affirmeront leur volonté de conquérir de leurs propres forces, le bien-être, la liberté auxquels ils ont droit, pour être des hommes fiers et dignes.
Dans ce but, dans leurs meetings publics, dans leurs réunions éducatives, les Syndicats, les Bourses du travail ont fait appel à leurs militants pour dénoncer au peuple les crimes des gouvernants, les hontes du régime capitaliste et l’espoir d’en finir.
[Le Comité confédéral]
Appel [à afficher ?] lancé dans les Bourses du travail pour le 1er Mai 1910 (d’après Rapports des comités & des commissions pour l’exercice 1908-1910, présentés au XVIIe congrès corporatif, XIe de la CGT, tenu à Toulouse, du 3 au 10 octobre 1910, p. 20-21) :
« Le 1er Mai 1910 : la grève générale à Marseille et à Dunkerque.
Le 1er mai 1910, comme les années précédentes, fut, dans tous les centres ouvriers, une journée de protestation ouvrière :
— contre l’interdiction de séjour pour faits syndicalistes ;
— Contre les crimes policiers et militaires ;
— Contre la non-application des lois ouvrières ;
— Contre l’interprétation donnée par le jurisprudence à la loi sur les accidents de travail ;
— Contre la violation de la liberté de pensée ;
Contre tous les projets de loi liberticides que les parlementaires s’apprêtaient à voter, y compris la loi sur les retraites ouvrières.
Le Comité confédéral lança dans toutes les Bourses l’appel suivant. »- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
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- texte :
Fédération communiste révolutionnaire
Mercredi 12 juillet, à 8 h 1/2 du soir
Salle des fêtes de la Bellevilloise, 21-23, rue Roger. (XXe)
Grand meeting contre la guerre
Orateurs inscrits :
Ch. Malato, publiciste
Fr. Delaisi, rédacteur à La Bataille syndicaliste
Beaulieu, rédacteur au Pamphlet du vieux Diogène
Thuilier, de l’Union des syndicats
P. Martin, du Libertaire
M. Lejeune, du Foyer populaire
G. Yvetot
Jacquemin, de la FRCAux ennemis de la guerre
En présence des événements qui se déroulent, la Fédération Communiste Révolutionnaire croit devoir lancer un cri d’alarme.
Les orateurs vous feront comprendre par des détails précis le danger qui nous menace et vous demanderont d’être prêts à toute éventualité.
S’il faut nous battre que ce soit pour notre propre cause.
Nos camarades du Mexique nous ont donné l’exemple et leurs luttes que nus vous feront connaître sont pour notre action les meilleurs enseignements.
Nous comptons sur votre présence.
Entrée 30 centimes pour couvrir les frais
La Fédération Communiste Révolutionnaire
Lire chaque jour La Bataille syndicaliste, et chaque semaine Le Libertaire, La Guerre sociale, […] et Le Pamphlet du Vieux Diogène.
[…]
[ Impr. … ?]
Affiche éditée à l’époque du « Coup d’Agadir (1911) (Source : tropjeunespourmourir.com. Source : Archives de la préfecture de police de Paris).
le nom « G. Yvetot » a été collé sur un autre nom.
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Les funerailles d’Aernoult
Le Comité de Défense sociale a fait apposer sur les murs de Paris l’affiche suivante :
Au peuple de Paris !
Le 2 juillet 1909, un crime effroyable se passait à Djenan-ed-Dar (Algérie).
Un homme, un disciplinaire, était affreusement torturé par les chaouchs de ce détachement.
Pendant des heures, il lui fallut exécuter, par une chaleur épouvantable, une marche au pas gymnastique, sac au dos.
Harassé, ne pouvant plus marcher, les tortionnaires l’attachèrent aux fers, lui remplirent la bouche de sable, puis non contents de ces exploits, le frappèrent avec rage dans sa cellule.
Le soir, le pauvre enfant rendait le dernier soupir, en appelant sa mère…
Cet homme, ce soldat envoyé aux compagnies de discipline pour faits de grève, c’était :
Aernoult
***
Lorsque ces événements furent connus en France, grée au dévouement et à la dénonciation formelle du courageux Rousset, démasquant les assassins, il n’y eut qu’un cri dans le monde ouvrier et parmi la presse — qui s’indigna à cette époque — du crime de Djenan-ed-Dar.
Ici, un père et une mère pleuraient l’enfant qu’ils avaient vu grandir et partir à 20 ans, plein de force et de santé.
***
Des hommes appartenant à toutes les classes de la société entreprirent la campagne pour dénoncer les coupables et faire revenir en France la dépouille de celui qui, dans le Sud-Algérien, reposait loin des siens.
La campagne fut longue. Pendant deux années, avec une persévérance inlassable, sans se laisser rebuter par les refus réguliers que leur opposaient les gouvernants, ces hommes continuèrent la lutte.
Ils viennent enfin de triompher. Le corps du malheureux disciplinaire Aernoult nous est enfin rendu.
Dans quelques jours nous pourrons nous grouper derrière son cercueil et conduire à sa dernière demeure la victime des tortionnaires, des hideux chaouchs de Biribi.
Les obsèques d’Aernoult auront lieu le dimanche 11 février.
***
Le Comité de Défense sociale, qui a rempli une partie de sa tâche, ne s’arrêtera pas là. Il lui reste une autre besogne à accomplir : celle d’empêcher de faire un second cadavre d‘Émile Rousset, que le conseil de guerre d’Alger a osé condamner à 20 ans de travaux forcés pour un meurtre dont il est innocent.
Le Comité de Défense sociale fait appel au Paris ouvrier, au Paris qui pense et qui vibre pour tout ce qui touche ses enfants, au Paris qui ne permettra pas qu’une iniquité s’accomplisse sans que s’élève sa grande voix populaire et qui voudra, par sa présence aux Funérailles d’Aernoult, rappeler qu’il est de tout cœur avec celui qui, le premier, dénonça. le crime : avec Rousset, qui devrait être au premier rang derrière le corps de son camarade.
Il faut que dette manifestation populaire soit grandiose !
Il faut que le peuple travailleur, qui fournit chaque année l’impôt militaire, et dont les fils — pour des peccadilles — sont expédiés aux compagnies de discipline, vienne affirmer sa résolution de ne plus servir de jouet aux gradés alcooliques et que les Biribi ont assez vécu.
Par sa présence en masse aux funérailles de la victime, la classe ouvrière prouvera que l’époque des bagnes militaires est terminée et que les conseils de guerre — qui condamnent par ordre — ont fait leur temps.
Peuple de Paris !
Le Comité de Défense sociale compte sur toi !
Ta présence derrière le corps d’Aernoult lui donnera la force nécessaire pour poursuivre la lutte et faire rendre la liberté au héros de Djenan-ed-Dar :
à Émile Rousset
Le Comité de Défense sociale.
Le Comité de défense sociale annonce dans Le Libertaire du 3 février 1912 (18e année, n° 15) : « Le comité a décidé de faire poser sur les murs de Paris un manifeste demandant à la population ouvrière d’assister en masse aux funérailles du jeune Aernoult, assassiné par les chaouchs en Algérie. Les obsèques auront lieu à Paris, le dimanche 11 février […] »
Le texte de l’affiche parait dans Le Libertaire du 10 février 1912 (18e année, n° 16).
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- texte :
Fédération communiste anarchiste
Ce n’est pas assez de faire et salir nos idées par une presse de boue, émargeant aux fonds secrets ; ce n’est pas assez pour les sinistres gredins Briand et Millerand de faire torturer, à Brest et à l’ile Madame, nos camarades Gourmelon et Bintz, dont le premier agonise paut-être en ce moment, après 60 jours de pain sec au fond d’un infect cachot.
Il fallait encore qu’au mépris de tous les usages on poursuive at arrête préventivement, pour délit de parole et de presse, nos camarades Boudot et Lecoin, secrétaires de la Fédération Communiste Anarchiste, Ruff, du Mouvement anarchiste, et Parmeland, du Comité d’Entraide des Jeunesses Syndicalistes.
C’est l’aveu flagrant que la propagande contre la Guerre et le Militarisme, menée par les Anarchistes porte ses fruits.
Contre les coups du pouvoir affolé, contre cette répression forcenée nous nous lèveront tous !
Il faut que tous les gens de cœur que révoltent de telles mœurs gouvernementales joignent leurs protestations aux nôtres !
Il faut que ces protestations soient entendues, que nos camarades soient remis en liberté !Plus jamais debout contre la guerre et tous en masse au
Grand meeting
qui aura lieu le
Mercredi 11 décembre, à 8 h 30 du soir
aux Sociétés Savantes, 8, rue DantonDelaisi de la Bataille syndicaliste - Mournaud de la FCA - Durupt du Mouvement anarchiste - Pierre Martin du Libertaire - Lacotte du Comité Bintz
[marque syndicale] Imprimerie spéciale pour affiches
Affiche éditée en 1912.
Source : Archives de la préfecture de police de Paris
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[ texte ]
- texte :
Fédération communiste anarchiste
[marque] Le mercredi 9 octobre 1912 — Salle des Sociétés savantes
à 8 heures 1/2 du soir — 8, rue Danton, 8
Meeting public et contradictoire contre tout militarisme
sujets traités & orateurs
Le militarisme bourgeois et la parie bourgeoise, F. Delaisi
Le militarisme révolutionnaire et la patrie révolutionnaire, E. Boudot de la Fédération communiste anarchiste
La révolution par la grève générale, Mournaud du Club communiste anarchiste
Le militarisme est à l’ordre du jour. Les uns veulent le modifier et le rendre démocratique ; les autres veulent le « conquérir » aux aspirations révolutionnaires.
Nous, nous affirmons et nous démontrons que tout militarisme est une force essentiellement réactionnaire créée pour écraser les mouvements populaires d’affranchissements. Et nous dirons pourquoi nous sommes plus que jamais antipatriotes.
Entrée : 0 fr. 50 pour couvrir les frais
[marque syndicale] Imprimerie […]
Les portes ouvriront à 8 heures
Tous aux Sociétés savantes !
Affiche éditée en 1912 en réponse à une conférence de Gustave Hervé en faveur du « militarisme révolutionnaire », (source : tropjeunespourmourir.com. Source : Archives de la préfecture de police de Paris).
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[ texte ]
- texte :
Fédération communiste anarchiste — Groupe libertaire du XVe
Jeudi 14 novembre 1912, à 8 h 30 du soir
Maison des Syndiqués — Rue Cambronne, 18
Si la guerre éclate, ce que nous ferons
Les évènements sont graves. Il y a des mesures à prendre, des actions à déterminer pour empêcher le crime de la guerre. L’indifférence serait coupable ; nous laisser conduire à un carnage serait une lâcheté.
Baudot de la Fédération Communiste Anarchiste - Delaisi de la Bataille syndicaliste — Rauze du comité de la Ligue des Droits des Femmes — Mournaud du Club Anarchiste Communiste
Tous au meeting !
Entrée : 0 fr. 30 pour les frais.
[marque syndicale] Imprimerie spéciale pour affiches
Affiche éditée en 1912.
Source : Archives de la préfecture de police de Paris- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
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[ texte ]
- texte :
[marque] Fédération communiste anarchiste
Si la guerre éclate… ce que nous ferons
Les évènements sont graves. Il y a des mesures à prendre, des actions à déterminer pour empêcher le crime de guerre. L’indifférence serait coupable : nous laisser conduire à un carnage serait une lâcheté.
Tous au grand meeting
qui aura lieu mardi 12 novembre, à 8 h 1/2 du soir
salle des Sociétés savantes, 8, rue Danton
prendront la parole :
Boudot, de la FCA ; Dumoulin, de la CGT ; Mournaud, de la FCA ; Pierre Martin, du Libertaire
Il sera perçu 0 fr. 50 à l’entrée pour couvrir les frais
imprimerie spéciale [d…]
Affiche éditée en 1912 lors de la 1re Guerre balkanique, (source : tropjeunespourmourir.com ; Source : Archives de la préfecture de police de Paris).
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[ texte ]
- texte :
Fédération communiste révolutionnaire
Une scélératesse !
Les traîtres et les bourreaux qui nous gouvernent ne veulent épargner aucune honte à ce pays. La République a déjà à son actif :
les fusillades des travailleurs en grève ; l’application des lois scélérates ; des lois d’exception contre les fonctionnaires ; des centaines de militants emprisonnés.
Mais à la réaction politique et sociale devait inévitablement s’associer la réaction militariste.
Non seulement nos gouvernants ont maintenu les Conseils de guerre et Biribi, qu’ils avaient promis de supprimer, mais encore, par le bluff des aéroplanes, le clinquant des revues et retraites, le projet de rétablissement du service de trois ans, la conscription forcée des noirs, ils essaient de réveiller l’esprit militaire et fortifier l’armée.
Pour couronner tout cela, le Parlement républicain a voté — sans aucune opposition — une loi odieuse qui envoie nos jeunes camarades coupables d’opinions antimilitaristes aux Bat’ d’Af’ et à Biribi.
On va donc faire subir aux jeunes gens ayant un idéal élevé de justice sociale, aux jeunes ouvriers condamnés pour délit de grève, le sort du malheureux Aernoult, lâchement assassiné par les officiers [de] l’armée française, le martyre de l’héroïque Rousset.
Camarades ! Nous ne vous convions pas à de vaines protestations. Nos jeunes camarades seront dans l’obligation de choisir : la mort lente, loin des leurs, sous le soleil d’Afrique, sous les to[…]les chao[…]bs, ou l’insoumission et la désertion.
Auront-ils le droit […]siter ?
À leurs frères de […]il de les soutenir en luttant contre le militarisme barbare.
Travailleurs ! [un]issez-vous aux anarchistes pour propager l’esprit de révolte et d’indiscipline dans les armées dont nous poursuivons la destruction.
Nous vous invitons au
Grand meeting
qui aura lieu
jeudi 13 juin 1912, à 8 h 1/2 du soir
Salle de la Maison commune, 19, rue de Bretagne
G. Yvetot, F. Delaisi, Pierre Martin, A. Laisant, Ch. Malato, [A.] Togny, A. Mournaud
Il sera perçu 0 fr. 20 pour couvrir [les frais]
Placement gratuit au siège
[marque syndicale] Imp. spéciale pour Affiches
Affiche éditée en 1912 contre le loi Berry-Millerand (source : tropjeunespourmourir.com. Source : Archives de la préfecture de police de Paris).
Est-ce Albert ou Charles-Albert Laisant ?
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- notes :
- descriptif :
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[ texte ]
- texte :
Fédération communiste anarchiste
La répression gouvernementale et policière ne connaît plus de limites.
Depuis un mois, huit de nos militants ont récolté plus de 25 années de prison, pour des délits de presse et de parole.
D’autre part, la folie patriotique envahit tout : la presse, le beuglant et la rue. Le résultat en est : le budget de la guerre augmente de 600 millions et le rétablissement prochain de la loi de 3 ans.
Devant ce recul de la civilisation, devant cette menace guerrière et malgré la répression, nous restons
Antipatriotes… Quand même !
[marque]
Nous expliquerons pourquoi et comment au grand meeting public et contradictoire
lundi 3 mars 1913, à 8 heures trente du soir
Salle des Sociétés Savantes — 8, rue Danton, 8
Présence assurée des orateurs :
Émile Aubin ; Édouard Boudot ; Benoît Broutchoux ; Eugène Jacquemin de la Fédération Communiste Anarchiste
Les protes ouvriront à 8 heures. — Métro : Odéon, Saint-Michel — Entrée : 0,50 pour couvrir les frais.
[marque syndicale] [impr. …] L’Espérance […]
Affiche éditée en 1913 pour contrer la répression — avec 8 militants condamnés — suite à une campagne antimilitariste en novembre 1912, (source : tropjeunespourmourir.com ; Source : Archives de la préfecture de police de Paris).
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[ texte ]
- texte :
[marque] Fédération communiste anarchiste
Droit d’asile !
Des penseurs de génie ont écrit des chef-d’œuvre où était exalté le Droit d’asile.
Hernani a recueilli la louange et les honneurs officiels.
Cependant, en plein Paris moderne, au centre même de la grande cité qui fut si généreuse à certaines heures de son histoire, des juges prétendent fouler aux pieds le Droit d’asile, au nom duquel Jourdan, Godorewski, Reinert et Gauzy vont comparaître devant les Assises de la Seine.
Allons-nous laisser s’accomplir cette iniquité judiciaire ?
N’allons-nous pas tenter d’arracher au bourreau la tête de Gauzy, hôte généreux et noble ?
C’est pour faire connaître à l’opinion publique le crime qui se prépare que nous invitons toute la population à assister au
Grand meeting
samedi 1er février, à 8 h 1/2, Manège Saint-Paul, rue Saint-Paul, 30
présence assurée des orateurs
Sébastien Faure — Dumoulin — Pierre Martin, du Libertaire — Francis Delaisi de La Bataille syndicaliste — Leguerry — Eugène Jacquemin de la Fédération Communiste Anarchiste
[marque syndicale] [… Imprimerie L’Espérance …]
Métro : St-Paul — Les portes ouvriront à 8 heures du soir précises. — Entrée : 0 fr. 50
Affiche éditée en 1913 quelques jours avant l’ouverture d’un procès où Gauzy, Jourdan et Reinert accusés d’avoir caché les « bandits tragiques » (ou « bande à Bonnot ») risquent leur tête. Godorewski / Godoresky est lui en fuite au Maroc. Présents sur l’affiche Delaisi, Dumoulin et Le Guéry (CGT) feront faux bond au meeting, (source : tropjeunespourmourir.com ; Source : Archives de la préfecture de police de Paris).
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- notes :
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[ texte ]
- texte :
Fédération communiste anarchiste — Groupe du XVe
Les bandits continuent !!
Pendant que la mère sur son lit de souffrance est aux prises avec les douleurs de l’enfantement, des bandits, qui n’ont pas l’excuse d’un Bonnot, travaillent à la perfection des engins de massacre.
Le meurtre est à l’ordre du jour.
Les dirigeants foulent aux pieds la fraternité et nous mettent des baïonnettes dans les mains pour que nous satisfaisions leurs bas instincts, en massacrant nos camarades grévistes on nos frères d’Outre-Rhin.
pour mieux encrer en nous l’amour de la patrie derrière lequel ils abritent leurs meurtres infâmes, ils veulent réappliquer le service de trois ans.
Voilà l’aboutissement de quarante ans de parlementarisme, de quarante ans de promesses.
Le peuple en a assez d’être dupe, il n’acceptera pas ce retour au chauvinisme idiot.
Ce que les bourgeois appellent patrie, c’est ce qu’ils possèdent ; leurs coffre-forts, leurs champs, leurs forêts, leurs habitations d’où ils expulsent les ouvriers quand ils sont dans la misère.
Ce que les ouvriers appellent leur patrie, c’est aussi ce qu’ils possèdent et comme ils n’ont rien, ils n’ont donc pas de patrie.
Ah ! Les prolétaires ont des enfants et ce sont ces enfants que les bourgeois veulent prendre pour défendre leurs biens ou a[… voler ?] celui des autres.
Et bien que les dirigeants le sachent, les enfants du peuple ne marcheront pas, parce que les enfants du peuple ne sont pas des assassins.
Tu viendras, camarade, le crier bien haut, avec nous, à la
Conférence publique et contradictoire
Le samedi 29 mars 1913, à 8 heures 30 du soir
Maison des Syndiqués du XVe, rue Cambronne, 18
sera traité
les crimes de la patrie
orateurs inscrits
F. Delaisi — E. Girault — Pierre Martin — E. Aubin — Jacklon — Jacquemin
Entrée : 1,25 pour les frais. Gratuite pour les femmes et les enfants
[marque syndicale] Imprimerie spéciale pour affiches
Affiche éditée en 1913 après le verdict des assises dans l’affaire des « bandits tragiques » (ou « bande à Bonnot »), (source : tropjeunespourmourir.com. Source : Archives de la préfecture de police de Paris).
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- descriptif :
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[ texte ]
- texte :
[marque] Fédération communiste anarchiste
Ont-ils été soldats
Les […]
Mercredi 25 juin 1913, Salle des Sociétés Savantes
Grand meeting
où prendront la parole
Broutchoux, […] ; Laisant, […] ; C. Dooghe, […], P. Martin, du Libertaire ; Taugourdeau, […] ; Legrand, de la FCA, Jacquemin, de la FCA
Pour éviter l’encombrement, les portes seront ouvertes à 8 heures. Rue Danton, 8.
[marque syndicale] [impr. … ?]
Entrée : 0,50 pour les frais
Affiche éditée en 1913 contre le projet de loi portant le service militaire de deux à trois ans, (source : tropjeunespourmourir.com. Source : Archives de la préfecture de police de Paris).
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
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[ texte ]
- texte :
Groupe anti-parlementaire du XVe arrondissement
Aux électeurs !
Les élections approchent… Des gens venus de tous les points de l’horizon politique, vont quémander, auprès de vous, la faveur de faire votre bonheur, moyennat 15.000 balles par an.
Serez-vous les éternelles dupes de ces politiciens sans vergogne ?
Voudrez-vous essayer de percer à jour leurs duplicités et leurs canailleries ?
Si oui, venez tous au
Grand meeting
qui aura lieu le
samedi 14 mars 1914, à 8 h. 1/2 du soir
Grande salle Allilaire
33, rue Blomet (XVe)
prendront la parole
Mauricius, de l’Anarchie — G. Butaud, de la Vie anarchiste — Courty, de la Maçonnerie pierre — Thuillier, du Comité de défense socialeLes élus sont convoqués par lettre recommandée pour la contradiction.
Entrée : 0 fr. 30 pour couvrir les frais.
Spécialité d’affiches. Imp. E. Montier, 39-41, rue de Bretagne - Paris
https://militants-anarchistes.info/?article7829
https://militants-anarchistes.info/IMG/jpg/groupe_antiparlementaire_xv_2.jpg- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
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[ texte ]
- texte :
Grande salle communale de Plainpalais
Mardi 4 juin 1918, à 8 h 30 du soir
Meeting
Les bombes de Zurich
L’arrestation de BertoniOrateurs
Alfred Amiguet - Paul Golay , de Lausanne
J. Humbert-Droz, de Chaux-de-Fonds - E. BrunnerCordiale invitation à tous
Fédération des syndicats ouvriers. — Union ouvrière.
groupe du Réveil. — Jeunesse socialiste.Genève — Imprimerie des Unions ouvrières
Arrestation d’anarchistes italiens après la découverte d’armes et explosifs chez certains d’entre-eux (grâce/à cause de services secrets allemands). E. Brenner [Emil Brenner ??] fait partie de de l’Union ouvrière (cf. Louis Bertoni : une figure de l’anarchisme ouvrier à Genève de Gianpiero Bottinelli (Entremonde, 2012), p. 79-83.
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
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[ texte ]
- texte :
Bourse du Travail de Lyon
Syndicat des métallurgistes de Lyon
Comité de Défense Sociale
(section lyonnaise)Aux travailleurs !
Au lendemain de l’hécatombe sans nom, de l’assassinat en masse de centaines de mille des nôtres, nous étions en droit d’attendre de la part des responsables de ce crime de lèse-humanité un geste qui eût apporté au peuple de France meurtri, un peu de calme et la guérison d’une de ses multiples souffrances.
En accordant une amnistie pleine et entière, les gouvernants eussent racheté une petite part des multiples qu’ils ont sur leur conscience.
Leurs victimes sont toujours dans les bagnes et les prisons, souffrant tous les maux que les féroces tortionnaires galonnés et alcooliques, dignes représentants du militarisme français, font souffrir à nos malheureux camarades, qui attendent que la mort vienne les délivrer.
Les gouvernants n’ont pas assez de victimes à leur actif ; ils en augmentent le nombre déjà grand en emprisonnant de nouveaux camarades, sous le fallacieux prétexte de complot, et appliquant les infâmes Lois scélérates de 1893-1894, pour obtenir des condamnations en étouffant la Défense.
Devant toutes ces iniquités, et pour que disparaissent à jamais les conseils de guerre militaires et maritimes, les camps de répression de France et d’Algérie ;
Amnistie pleine et entière
Contre les poursuites envers les militants syndicalistes et révolutionnaires et l(abrogation des Lois scélérates de 1893-1894
Vous assisterez en masse au
Grand Meeting
qui aura lieu le samedi 19 juin 1920, à 20 heures 30, Gde Salle de la Bourse du travail
où prendront la parole les camarades :
Berthet, du Comité de Défense Sociale de Lyon
Larapidie, du Comité de Défense Sociale de Paris
Burdet, du Comité de Défense Sociale des marins
Fourcade, de l’Union des syndicats ouvriers du Rhône
C. Journet, du groupe des Causeries PopulairesIl sera perçu un droit d’entrée de 0 fr. 25 pour participation aux frais
[marque syndicale] Lyon. — Imprimerie de Perrache. A. Traquet, cours Suchet, 13
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
- /B_tout>
[ texte ; timbre ]
- texte :
Les mercredis du « Foyer du XIe »
Groupe d’études, de propagande et d’éducation
Salle du groupe, 95, rue de Charonne
à 20 h 30 précisesConférence
mercredi 8 décembre 1920
par le savant
Albert Mary
Sujet traité :
Comment on devient naturalisteentrée libre et gratuite
Tous les vendredis, lisez « Le Libertaire »
[ … impr. ?]
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
- /B_tout>
[ texte (avec lignes à compléter) ]
- texte :
Comité de Défense Sociale, section lyonnaise - 86, cours Lafayette, 86
Vous êtes invités à assister au
Grand meeting antimilitariste
Qui aura lieu le ……………………
………………………………………avec le concours des camarades
Berthet, Fourcade
du Comité de Défense Sociale
[marque] Lyon. — Imprimerie A. Traquet, cours Suchet, 13
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
- /B_tout>
[ texte ]
- texte :
Bourse du Travail
Comité de Défense Sociale
section lyonnaiseCamarades
le militarisme, que l’on croyait vaincu sur les charniers humains, jette à nouveau son cri de victoire.
Des milliers d’hommes, qui avaient eu l’espérance de devenir libres, sont toujours sous ses griffes, et le Moloch en absorbe à nouveau des dizaines de milliers sous sa férule, pendant que les bras manquent de partout pour subvenir aux besoins des humains.
Cependant, la militarisme n’est facteur que de haines et de guerres, et l’exemple est encore récent à la mémoire de tous de ses crimes innombrables.
Le laisser subsister n’est pour la classe ouvrière que l’annonce de nouveaux deuils et pour le monde de plus grandes misères.
Ses victimes :
Ceux des prisons militaires, ceux des bagnes d’Afrique et de France, les morts crient justice et châtiment.Pour marquer votre haine et votre mépris de cette institution surannée, vous assisterez tous au
Grand meeting antimilitariste
qui aura lieu le
samedi 27 mars 1920, à 20 h 30
Grande salle de la Bourse du travailavec le concours des camarades
Georges Pioch
du Comité de Défense Sociale de Paris
Berthet, Fourcade
du Comité de Défense Sociale de Lyon
et des camarades du Comité de Défense Sociale
Participation aux frais : 0,50
[marque] Lyon. — Imprimerie de Perrache, A. Traquet, cours Suchet, 18
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
- /B_tout>
[ texte ]
- texte :
Syndicat des métallurgistes de Lyon
Comité de Défense Sociale (section lyonnaise), 86, cours Lafayette
Le règne de la barbarie continue !
Jugez-en plutôt
Quinze mois après la signature de l’armistice couronné finalement par une paix bâtarde, les soldats et civils condamnés par les tribunaux d’exceptions sont toujours embastillés ; l’amnistie, mot magique qui fit naitre tant d’espoir est lettre morte pour la plupart.
La France plus réactionnaire que les monarchie de l’Entente, arme et entretient tous les réacteurs cyniques qui combattent la Russie des soviets et conserve dans les camps les soldats russes, coupables de na pas vouloir combattre la révolution.
La paix qui devait donner aux peuples la “liberté de disposer d’eux-mêmes” voit se dresser dans tous les pays la réaction capitaliste et militariste.
La Hongrie écrasée dans sa Révolution est le pays de la torture pour tous ceux qui sont soupçonnés de quelques sympathies pour le communisme.
L’Irlande, l’Égypte, la Syrie, le Maroc, sont le siègent de sanglantes répressions.
L’Amérique, l’Espagne, voient les arrestations, les déportations, les pendaisons, les fusillades en masse pour ceux qui défendent leur droit à la vie et à la liberté.
Et devant ce tableau édifiant, que disent, que font les 1.700.000 électeurs du PSU et les 2.500.000 syndiqués de la CGT ?
Rien… ou si peu de chose.
C’est l’avilissante et dégradante complicité du silence qui rend possible la continuation de tels crimes contre lesquels se doit de protester tout homme qu n’a pas abdiqué toute dignité personnelle, au sein de l’aveulissement général des volontés, de abâtardissement des énergies, de l’aveuglement des cerveaux.
C’est donc à ceux qui entendent crier haut et fort leur mépris pour de tels procédés et ne pas se solidariser par un silence approbateur des crimes ci-dessus énumérés, que nous nous adressons en les conviant au
Grand Meeting
qui aura lieu le samedi 14 février 1920, à 20 heures 30
Grande salle de la Bourse du Travail
avec le concours des orateurs
Berthet, Comité de DS, section de Lyon
Tomasi, CDS à Paris
Marguerite Marion, Union des syndicats ouvriers du Rhône
Georges Levy, Fédération socialiste du Rhône
Branche-Vérillac, Association républicaine des anciens combattants [ARAC]
Perrins, groupe “Clarté”
Pavy, Comité 3e Internationale
Roche, Fédération Libre PenséeRéunion tous les jeudis à 20 heures 30, Salle Chevrolat, 54, rue Moncey.
[marque syndicale] Association Typographique, Lyon et Villeurbanne. — H. Gabrion, directeur [marque]
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
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[ texte ]
- texte :
Mercredi 22 décembre 1920
par le camarade Salvator
sujet traité : « Rabelais anarchiste ? »
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
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[ texte (avec espace à compléter) ]
- texte :
Comité de Défense Sociale
Redoublons d’énergie
Toujours des demi-mesures !
À le suite de l’ardente campagne de nos comités et d’autres groupements, le gouvernement sentant la volonté populaire vient de prendre, en faveur des marins de la Mer Noire, quelques mesures de grâce et des commutations de peine.
Cinq sur vingt-trois de nos camarades sont libérés ; les autres — et quelques-uns pour 15 ans encore — restent à souffrir dans les prisons.
Nous ne pouvons accepter cela !
Les enrichis de la guerre, les généraux assassins (et nous prouverons qu’ils sont nombreux), tous les tripoteurs, les fourbes, sont en liberté pendant que leurs victimes innocentes souffrent dans les prisons.
C’en est assez !
Tous, unis, il nous faut redoubler d’énergie.
Il faut que toutes ces courageuses victimes, de Badina à Cottin, en passant par Paul Meunier, soient arrachées des griffes de leurs bourreaux.
Tous debout, unis, clamons notre volonté et notre impatience au
- Grand Meeting -
Après entente avec le Comité, les CSR, l’ARAC, l’Union anarchiste, le parti SFIC, les adhérents de ces organisations sont invités à assister à ces meetings et manifestations, à en assurer le succès et à en développer la portée.
[marque syndicale] Imp. « La Fraternelle », 55, rue Pixerécourt, Paris (20e)
Est-ce plutôt l’affiche citée dans Le Libertaire du 24 février 1922 :
Une affiche
Pour permettre aux groupe d’organiser, dans les meilleurs conditions, des réunions en faveur de notre admirable Cottin, l’Union Anarchiste vient d’éditer trois mille affiches passe-partout (format colombier) avec place en blanc, pour l’indication du lieu et du jour de la réunion, du nom des orateurs et du groupe organisateur.
L’Union Anarchiste laisse ces affiches au prix de 17 fr. le cent. Franco : 20 fr.
Adresser les commandes et les fonds à Bertelletto, 69, boulevard de Belleville, Paris (11e).- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
- /B_tout>
[ texte et annonce avec passages censurés : reproduction d’une affiche précédente ]
- texte :
Oggi 13 ottobre 1921
Unione Anarchica Italiana
(Gruppo "La Folgore" di Napoli)
Uomini di ogni classe !
Uomini di ogni fede !
Due lavoratori italiani, Nicola Sacco e Bartolomeo Vanzetti, sono stati condannati a morte nell’America repubblicana.
(Censura)
Accorrete, perciò, numerosi al primo
grande comizio di protesta
che avrà uogo la sera di gioversi 13 corr. ; alle ore 19.30, in piazza Principe Umberto.
Parleranno : Bruno Misefari per gli anarchici, Carlo Ciardiello per i comunisti ed uno per i socialisti.
Nessuno manchi … (Censura) …
Napoli — Tip. Réclame d’Affissione — Via Divino Amore 10
L’originale si trova presso il Circolo ’Pietro Mancini" di Consenza donato da Pia Zanolli Misefari
Reprint.
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
- /B_tout>
testo
fotografie (Sacco, Vanzetti, un attore)
- texte :
Columbus Theatre
170 Shrewsberry Street — Worcester, Mass.
Grande serata di varietà pro Sacco e Vanzetti
Giovedì, 20 Giugno 1921 - Ore 7,30 P.M.
La Compagnia Spartaco Darà
La Canaglia
Commoventissimo Bozzetto strappato dalla vita reale, di Mario Gino
S. Barabba interpretera “Il Pezzente” - Monologo di R. Cordiferro
Indi Concerto Canzonettistico con Francesco Habirbrak nella canzonette napoletana
et il macchiettista G. Tagliaferri - nel suo repertorio
[…]
https://picryl.com/media/columbus-theatre-grande-serata-di-varieta-pro-sacco-e-vanzetti-ce6af7
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
- /B_tout>
[ texte (avec espace à compléter) ]
- texte :
[…]
[…
Grand Meeting
…]
Affiche citée, entre autres, dans Le Libertaire du 24 février 1922 :
Une affiche
Pour permettre aux groupe d’organiser, dans les meilleurs conditions, des réunions en faveur de notre admirable Cottin, l’Union Anarchiste vient d’éditer trois mille affiches passe-partout (format colombier) avec place en blanc, pour l’indication du lieu et du jour de la réunion, du nom des orateurs et du groupe organisateur.
L’Union Anarchiste laisse ces affiches au prix de 17 fr. le cent. Franco : 20 fr.
Adresser les commandes et les fonds à Bertelletto, 69, boulevard de Belleville, Paris (11e).- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
- /B_tout>
[ text (English & Yiddish) ]
- texte :
The National tailors union of sub-divisional workers.
10, Greenfield street, E.A mass meeting
will take place at the
Pavilion Theatre
Whitechapel, E.
on Sunday, June 28th, 1925
The following speakers will address you
Emma Goldman — Mr I. Kaplan, organiser United ladies tailors union — Mr Rowlerson, of the AST — councilor Peacock.
and many other prominent speakers.
Come and hear our program. Support your own Union and do no rely on anyone doing the work that No one but yourself is capable of doing.
Doors open 1-30 p.m. — Chair taken at 2-30 p.m.
[…]
Workers Friend Printers (T.U.) 168, Jubilee street, London, E.1
AST = Amalgamated Society of Tailors and Tailoresses ?
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
[Ministère de proscription : les français emprisonnés ou révoqués, les Russes expulsés]
[Ministère de proscription : les français emprisonnés ou révoqués, les Russes expulsés]. — Paris : [s.n.], [ ?]. — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (une : noir , papier de couleur ) ; x × y cm.
sources :
[Conscrits, vous qui partez, méditez ces grands conseils, venez-tous au grand meeting antimilitariste]
[Conscrits, vous qui partez, méditez ces grands conseils, venez-tous au grand meeting antimilitariste]. — Paris : FR__ (Fédération révolutionnaire : 1909-1910), (Imprimerie spéciale [Impr. spéc.]). — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (une : papier de couleur ) ; x × y cm.
sources :
[Spaansche gruwelen ! De moord op Ferrer]
[Spaansche gruwelen ! De moord op Ferrer]. — Amsterdam : [s.n.], . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (une : papier de couleur ) ; x × y cm.
sources :
[Appel aux travailleurs]
[Appel aux travailleurs]. — Paris : FRC_ - FCR_ (Fédération communiste révolutionnaire : 1910-1912), . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (une : papier de couleur ) ; x × y cm.
sources :
[Debout ! Ouvriers, honnêtes gens !]
[Debout ! Ouvriers, honnêtes gens !]. — Le Havre : CGT_ Comité confédéral (Confédération générale du travail : 1895-1914-…), . — 1 affiche (impr. photoméc.) : n. et b. ; x × y cm.
sources :
[Le Premier Mai]
[Le Premier Mai]. — Paris : CGT_ Comité confédéral (Confédération générale du travail : 1895-1914-…), . — 1 affiche (impr. photoméc.) : n. et b. ; x × y cm.
sources :
[Grand meeting contre la guerre]
[Grand meeting contre la guerre]. — Paris : FRC_ - FCR_ (Fédération communiste révolutionnaire : 1910-1912), . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (une : papier de couleur ) ; x × y cm.
sources :
[Au peuple de Paris ! : manifeste-appel aux funérailles d’Aernoult]
[Au peuple de Paris ! : manifeste-appel aux funérailles d’Aernoult]. — Paris : CDS_ (Comité de défense sociale : 1903-....), . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (une : papier de couleur ) ; x × y cm.
sources :
[Grand meeting, plus que jamais debout contre la guerre , 11 décembre 1912]
[Grand meeting, plus que jamais debout contre la guerre , 11 décembre 1912]. — Paris : FCA_/FCAR (Fédération communiste anarchiste), . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (une : papier de couleur ) ; x × y cm.
sources :
1912 |
1912 |
[Meeting public et contradictoire contre tout militarisme, 9 octobre 1912]
[Meeting public et contradictoire contre tout militarisme, 9 octobre 1912]. — Paris : FCA_/FCAR (Fédération communiste anarchiste), . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (une : papier de couleur ) ; x × y cm.
sources :
1912 |
1912 |
[Meeting, Si la guerre éclate, ce que nous ferons, 14 novembre 1912]
[Meeting, Si la guerre éclate, ce que nous ferons, 14 novembre 1912]. — Paris : FCA_/FCAR (Fédération communiste anarchiste), . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (une : papier de couleur ) ; x × y cm.
sources :
1912 |
1912 |
1912 |
1912 |
[Si la guerre éclate… ce que nous ferons : tous au grand meeting, 12 novembre 1912]
[Si la guerre éclate… ce que nous ferons : tous au grand meeting, 12 novembre 1912]. — Paris : FCA_/FCAR (Fédération communiste anarchiste), (Imprimerie spéciale [Impr. spéc.]). — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (une : papier de couleur ) ; x × y cm.
sources :
1912 |
1912 |
[Une scélératesse !]
[Une scélératesse !]. — Paris : FRC_ - FCR_ (Fédération communiste révolutionnaire : 1910-1912), (Imprimerie spéciale [Impr. spéc.]). — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (une : papier de couleur ) ; x × y cm.
sources :
[Antipatriotes… Quand même ! : meeting public et contradictoire]
[Antipatriotes… Quand même ! : meeting public et contradictoire]. — Paris : FCA_/FCAR (Fédération communiste anarchiste), (Espérance, impr. l’ (Paris : 1910-1913)). — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (une : papier de couleur ) ; x × y cm.
sources :
[Droit d’asile ! Grand meeting]
[Droit d’asile ! Grand meeting]. — Paris : FCA_/FCAR (Fédération communiste anarchiste), (Espérance, impr. l’ (Paris : 1910-1913)). — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (une : papier de couleur ) ; x × y cm.
sources :
[Les bandits continuent !! Conférence publique et contradictoire]
[Les bandits continuent !! Conférence publique et contradictoire]. — Paris : FCA_/FCAR (Fédération communiste anarchiste), (Imprimerie spéciale [Impr. spéc.]). — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (une : papier de couleur ) ; x × y cm.
sources :
[Ont-ils été soldats : grand meeting]
[Ont-ils été soldats : grand meeting]. — Paris : FCA_/FCAR (Fédération communiste anarchiste), . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (une : papier de couleur ) ; x × y cm.
sources :
[Aux électeurs ! Grand Meeting]
[Aux électeurs ! Grand Meeting]. — Paris : Groupe anti-parlementaire du 15e arrondissement (Paris), . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (une : noir , papier de couleur ) ; x × y cm.
sources :
[Meeting : les bombes de Zurich, l’arrestation de Bertoni]
[Meeting : les bombes de Zurich, l’arrestation de Bertoni]. — Genève : le Réveil (1900-1947) ; [et al.], (Imprimerie des Unions ouvrières (Genève)). — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (une : noir , papier rouge ) ; x × y cm.
sources :
[Aux travailleurs ! : amnistie pleine et entière]
[Aux travailleurs ! : amnistie pleine et entière]. — Lyon : CDS_ (Comité de défense sociale : 1903-....), . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (une : noir , papier de couleur ) ; 124 × 85 cm.
sources :
[Comment on devient naturaliste, conférence par le savant Albert Mary]
[Comment on devient naturaliste, conférence par le savant Albert Mary]. — Paris : Foyer du XIe : Le Libertaire (1895-1939), . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (une : noir , papier de couleur ) ; x × y cm.
sources :
[Grand meeting antimilitariste]
[Grand meeting antimilitariste]. — Lyon : CDS_ (Comité de défense sociale : 1903-....), [ca ]. — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (une : noir , papier de couleur ) ; 31 × 85 cm.
sources :
1920 |
[Grand meeting antimilitariste]
[Grand meeting antimilitariste]. — Lyon : CDS_ (Comité de défense sociale : 1903-....), . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (une : noir , papier de couleur ) ; 123 × 85 cm.
sources :
[ca 1920] |
[Le règne de la barbarie continue !]
[Le règne de la barbarie continue !]. — Lyon : CDS_ (Comité de défense sociale : 1903-....), (Association typographique (Lyon & Villeurbanne)). — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (une : noir , papier de couleur ) ; 124 × 85 cm.
sources :
[Rabelais anarchiste ?]
[Rabelais anarchiste ?]. — [S.l.] : [s.n.], . — 1 affiche (impr. photoméc.) : n. et b. ; x × y cm.
sources :
[Redoublons d’énergie]
[Redoublons d’énergie]. — Paris : CDS_ (Comité de défense sociale : 1903-....) : CSR_ (Comités syndicalistes révolutionnaires : 1919-1921) : UA__ - UAC_ - UACR (Union anarchiste… [communiste] [révolutionnaire]) ; [et al.], (Fraternelle (Paris), La). — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (une : noir , papier de couleur ) ; 121 × 72 cm.
sources :
[Due lavoratori italiani, Nicola Sacco e Bartolomeo Vanzetti sono stati condannati a morte nell’america repubblicana]
[Due lavoratori italiani, Nicola Sacco e Bartolomeo Vanzetti sono stati condannati a morte nell’america repubblicana]. — Napoli Naples : UAI_ (Unione Anarchica Italiana), . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (une : noir , papier rouge ) ; 89 × 65 cm.
sources :
[Grande serata di varietà pro Sacco e Vanzetti]
[Grande serata di varietà pro Sacco e Vanzetti]. — Worcester (Mass.) : [s.n.], . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (une : noir , papier rouge ) ; x × y cm.
sources :
[meeting Cottin]
[meeting Cottin]. — Paris : UA__ - UAC_ - UACR (Union anarchiste… [communiste] [révolutionnaire]) ; [et al.], . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (une : noir , papier de couleur ) ; 90 × 63 cm.
sources :
[A mass meeting on Sunday, June 28th, 1925]
[A mass meeting on Sunday, June 28th, 1925]. — London Londres : [s.n.], (Workers Friend Printers (T.U.)). — 1 affiche (impr. photoméc.) : n. et b. ; 88 × 46 cm.
sources :
[Emma Goldman will deliver a lecture being an exposure of the trade union delegation’s report on Russia]
[Emma Goldman will deliver a lecture being an exposure of the trade union delegation’s report on Russia]. — London Londres : British Committee for the Defence of Political Prisoners in Russia, (Workers Friend Printers (T.U.)). — 1 affiche (impr. photoméc.) : n. et b. ; 77 × 51 cm.