2015

 

 

214 affiches :

 
















    [Le Resto Trottoir présente la Coopérative Intégrale Catalane]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Le Resto Trottoir présente la Coopérative Intégrale Catalane]. — Besançon : Resto Trottoir (Besançon), . — 1 affiche (impr. photoméc.) : n. et b. ; 42 × 30 cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  :
    • Liste des thèmes  : coopération  ; économie (généralités)
    • Géographie, géopolitique et Histoire  : Espagne
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  : conférence, débat…
    notes :
    descriptif :


    [ texte ; dessins (logos d’organismes) ]

    texte :

    Le Resto-Trottoir propose dans le cadre de la rentrée libertaire une discussion-débat sur la

    Coopérative Intégrale Catalane

    avec un coopérant

    La Coopérative Intégrale Catalane (CIC) est une initiative de transition pour permettre de construire un mode de vie où, ni la banque ni l’État ne sont nécessaires, reposant sur des formes juridiques différentes pour répondre aux besoins de ceux qui la font.

    [logo] AureaSocial — [logo] integrarevolució — [logo] Coop funding — [logo] Oficina d’educació — [logo] moneda social — [logo] CASX Cooperativa d’autofinançament en xarxa — [logo] Oficina de transport — [logo] mercat cooperatiu : projecte de la Cooperativa integral catalana — [logo] oficines de canvi

    Vendredi 18 septembre — 20 h
    Librairie L’Autodidacte - 5, de la rue Marulaz.


    sources :
     




















    [Non aux expropriations, l’ilot Pépinière aux habitants]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Non aux expropriations, l’ilot Pépinière aux habitants]. — Lille : collectif Pépinière (Lille), . — 1 affiche (photocop. ) : n. et b. ; 30 × 21 cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  :
    • Liste des thèmes  : art : cinéma  ; luttes urbaines  ; urbanisme
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  : Brigade des tubes
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  : conférence, débat…  ; meetings et manifestations  ; repas, cantine, …
    notes :
    descriptif :
    Symbole(s) utilisé(s) :

    [ texte ; dessin (panneau routier d’interdiction : tour de bureaux — par Christian de Portzamparc (« Le Flipper » ou « La Chaussure de ski » — du quartier Euralille écrasant maison, habitant et végétation) ]

    texte :

    Non aux expropriations

    L’ilot Pépinière aux habitants

    Pour plus d’informations : pepiniere@riseup.net


    sources :

    http://lille.cybertaria.org/?article2733

    Affiche diffusée sous le nom d’« Affiche porte ». Texte du tract correspondant :

    Repas et après midi à propos de l’avenir de la « ZAC pépinière »

    Depuis 20 ans, Euralille et LMCU opèrent de la même manière, ici en prévision du projet de l’Ilot Pépinière : après un rachat à bas coût et l’expulsion des habitants, le temps et les intempéries pourrissent les maisons. Après démolition, les bétonneuses bétonnent : les deux derniers hectares de bois restant dans cette ville seront remplacés par 250 logements et des centaines de voitures.

    En dépit de la prose fleurie des urbanistes et des architectes — remplacez « Béton, expulsion, pollution » par un « trait d’union entre la modernité d’Euralille et le quartier traditionnel de Saint Maurice » — ce projet n’est rien d’autre qu’une basse opération de promotion immobilière dans l’une des villes les plus chères de France. À cinq minutes de la gare TGV, les cadres mettront le prix pour aller à Paris à pied. Les autres devront faire place nette.

    Nous connaissons déjà le projet d’Euralille. C’est le même type d’urbanisme standardisé et moche que du côté impair de la rue, que sur le Boulevard Hoover ou Porte de Valenciennes. Aux anciennes rues modestes mais vivantes, une ville anesthésiée par leurs « mètres carrés de bureau », leurs « espaces résidentialisés » et leurs « aménagements paysagers ». Au regard de ce qui se fait déjà, souhaitons-nous vraiment que « La ville continue », pour reprendre le slogan municipal ? Les enjeux financiers d’une telle opération sont colossaux. Face à cela, les derniers habitants et tritons qui habitent l’îlot Pépinière ne suffiront pas. Mais nous pouvons nous réunir, discuter de la ville que nous voulons et, qui sait, stopper l’avancée d’Euralille.

    Rendons-nous sur la place du Triangle Désirée Boucher, le dimanche 15 février à partir de 12h30, pour un repas participatif (amenez ce que vous voulez) et une après midi en fanfare avec la brigade des tubes !

    Une réunion publique aura lieu à 16h pour approfondir ensemble le sujet de la « ZAC Pépinière » et ce qu’il est possible de faire !

    Le collectif pépinière - pepiniere@riseup.net


    2015

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    Affiches liées







    [Occupy the streets]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Occupy the streets] / Eric Drooker. — Besançon : Resto Trottoir (Besançon), . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (deux  : rouge , noir , papier blanc ) ; 42 × 30 cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  :
    • Liste des thèmes  : capitalisme et anticapitalisme  ; édition
    • Géographie, géopolitique et Histoire  : États-Unis
    • Noms cités (± liste positive)  : Bray, Mark
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  : conférence, débat…
    notes :
    descriptif :
    Symbole(s) utilisé(s) :

    [ texte ; dessin (gravure de femme en marche au dessus d’une ville) par Eric Drooker (titre : « Tomorrow ») ; couverture du livre ]

    texte :

    Occupy the streets

    OccupyTogether.org

    Discussion avec Mark Bray, auteur du livre « Translating Anarchy The Abarchism of Occupy all Street »,

    ou comment les pratiques anti-capitalistes et anti-autoritaires du mouvement Occupy Wall Street ont pu être diffusées à un public plus large, de façon accessible et révolutionnaire.

    Conférence proposée par le collectif Resto Trottoir

    Lundi 12 janvier — 20 h — Le Grenier — 48, place du Jura


    sources :
     








    [Parce que nos lieux de vie ne sont pas le parc de jeu de leur économie]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Parce que nos lieux de vie ne sont pas le parc de jeu de leur économie]. — Lille : [s.n.], . — 1 affiche (photocop. ) : n. et b. ; 42 × 30 cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  :
    • Liste des thèmes  : luttes urbaines  ; urbanisme
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  : meetings et manifestations
    notes :
    descriptif :


    [ texte ]

    texte :

    Parce que nos lieux de vie ne sont pas le parc de jeu de leur économie

    Quotidiennement, l’État et les multinationales gèrent et aménagent le territoire. Sous couvert d’utilité publique, ce qui est visé c’est plus de croissance, de réduction des terres cultivables et d’espaces non productifs. C’est toujours la promotion du même mode de vie : allez plus vite, consommer plus, produire plus, contrôler tout. Les concertations et les dites « enquêtes publiques » ne sont que de la communication sur des projets déjà ficelés par l’État, les entreprises et les collectivités territoriales.

    La résistance à ces projets imposés a pris ces dernières années la forme de luttes de territoire. De Val Suza à Notre-Dame-des-Landes, en passant par Sivens et d’autres luttes moins médiatiques, il s’agit toujours de se dresser contre la course à la bétonisation et à la marchandisation de nos espaces de vies. Mensonges médiatiques, procès, emprisonnement et meurtres sont les réponses de l’État aux opposant.e.s.

    Dans le Nord Pas-de-Calais, région déjà ravagée par des siècles d’industrialisation, la logique capitaliste suit son cours. La ligne THT Avelin-Gavrelle, le canal Seine Nord, la ferme des 1000 vaches, le grand port de Boulogne… participent de ce même « progrès ». Ici aussi, l’emploi, le transport, la sortie de la crise et les énergies et construction dites durables servent à noyer toute(s) contestation(s). A travers cette ligne toute tracée, la soumission de tous les partis politiques à l’injonction capitaliste, leur mépris affiché pour les classes populaires et la résignation ambiante, font le jeu des idées réactionnaires et des groupuscules fascistes. Ces groupes et le FN sont tout autant parties prenantes de ce jeu de Monopoly géant.

    Plus localement à Lille, Aubry applique la même recette de développement de la métropole : densifier, homogénéiser, chasser les pauvres. « L’eurométropole » lilloise ne fait que suivre ses consœurs européennes avec comme arme la construction du Grand Stade, les pôles d’excellence (Euratechnologie, Eurasanté…), ses machines culturelles (Lille 3000, Maisons Folie, Centre Européen des Cultures Urbaines…). Dans les quartiers et maisons laissées à pourrir, la Communauté Urbaine et la Société Publique Locative (SPL) « Euralille » poursuivent leur conquête : Euralille 1, 2, 3, puis l’îlot Pépinière, son bail rural et ses habitant.e.s dégagé.e.s, puis Ekla Life et ses familles roms délogées. Pour enjoliver tout ça, le nouveau temple de la consommation « Lillénium » va prendre place sur les terres plombées de Lille Sud.

    Contact : manif14fevrier@riseup.net

    Manifestation contre la chasse aux pauvres et pour la réappropriation de nos quartiers, terres et moyens de subsistance !

    À Lille le 14 février 2015 à 14 h, Grand Place


    sources :

    http://lille.cybertaria.org/?article2748

    Parait parfois, en format A4, au dos de la série « Parce que nos lieux de vie ne sont pas le parc de jeu de leur économie : manifestation contre la chasse aux pauvres » ou en format A3 au dos de chutes.


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