soutien à militants

 

 
 

Affichage par année

433 affiches :

 

    [Solidarietà per Lorenzo Santi]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Solidarietà per Lorenzo Santi]. — [S.l.] : Comitato di lotta antimilitarista, [ca ]. — 1 affiche (impr. photoméc.) : n. et b. ; x × y cm.

    • Affiches par pays  : Italie
    • Lieux d’archivages  : CDA (FA, Paris)
    • Liste des thèmes  : antimilitarisme  ; armée  ; justice
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  : Santi, Lorenzo
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  : meetings et manifestations  ; soutien à militants
    notes :
    descriptif :


    [ texte ; montage photo (défilé de manifestants, de dos, collé sur un défilé de soldats, de dos) ]

    texte :

    Solidarietà per Lorenzo Santi

    martedì 23 ore 9 processo nel Tribunale Militare di La Spezia

    Qual’è il grave crimine che avrebbe commesso Lorenzo per cui è segregato in una cella di isolamento da mesi ? omicidio ? rapina ? no, molto peggio ! obiezione totale al servizio militare : il voler rifiutare la divisa, l’annientamento della propria identità, la spersonalizzazione dell’individuo, l’umiliazione quotidiana di non poter rispondere a chi nasconde dietro 4 strisce e 3 stellette la propria impotenza, il proprio squallore dei leccaculo di regime. Lorenzo da compagno anarchico si è voluto opporre a tutto ciò che questo rappresenta : la violenza dello stato, evidenziata maggiormente nelle forze armate e nelle sue carceri speciali.

    Mobilitiamoci tutti per manifestare la nostra solidarietà di antifascista militante al compagno Lorenzo per trasformare questa giornata in un momento di lotta contro i codici fascisti e contro questo stato “antifascista” che li applica.

    troviamoci martedì 23 ore 8,30-piazza Chiodo, La Spezia

    Comitato di lotta antimilitarista

    [… impr. ]


    sources :
     























    [Lettre de prison des inculpés des GARI]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Lettre de prison des inculpés des GARI]. — [S.l.] : [s.n.], (Imprimerie quotidienne (Fontenay-sous-Bois)). — 1 affiche (impr. photoméc.) : n. et b. ; 56 × 27 cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  : CIRA (Lausanne)
    • Liste des thèmes  : justice  ; prison
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  : Camilleri, Michel  ; Cuadrado, Floréal  ; Delgado, Raymond  ; GARI (Groupes d’action révolutionnaire internationalistes, 1974)  ; Ines Torres, Mario  ; Martinez, Jean-Michel  ; Menrique, Victor  ; Rouillan, Jean-Marc (1952-....)
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  : soutien à militants
    notes :
    descriptif :


    [ Lettre des inculpés et communiqué n° 2 ]

    texte :

    Lettre de prison des inculpés des GARI

    Après avoir vainement tenté d’obtenir le statut politique par la voie normale et par la grève de l’instruction, après avoir été victimes de la répression pénitentiaire quand nous avons refusé de subir de nouvelles brimades, nous sommes contraints de faire la grève de la faim, bien que nous soyons hostiles à ce mode d’action.

    Mais c’est tout ce qu’il nous est possible de faire : la grève de la faim ou la soumission aux injustices et à l’arbitraire des autorités politiques, judiciaires et pénitentiaires.

    Il va de soi pour nous :
    — que les hommes ne peuvent vivre pleinement quand leur liberté est fortement entravée dans tous les systèmes politiques existants.
    — qu’il est absolument criminel d’enfermer un individu 22 h sur 24 dans une cellule malsaine de 6 m2 en leur refusant volontairement la satisfaction des besoins les plus élémentaires (air, nourriture, sexualité, contacts humains, etc.).
    — que la délinquance et les délinquants sont produits par la société actuelle.
    — que tous les délinquants sont d’abord des hommes et qu’en tant que tels, ils ont tous des besoins vitaux à satisfaire, quelles que soient leurs motivations (« politiques » ou de « droit commun »), la nature ou la gravité de leur délit.

    Cependant, nous sommes conscients de la fonction de la Justice et de la prison qui consiste à contribuer au maintien du système politico-économico-social existant, basé sur l’exploitation et l’oppression.

    Tant que subsistera ce système, les prisons existeront et les hommes seront considérés comme u bétail qui produit et qui consomme selon les exigences du capital, et que l’on enferme quand ils s’écartent du troupeau et refusent d’aller tristement, résignés, à l’abattoir.

    Dans ce système, on distingue les détenus de « droit commun » des détenus « politiques ». En ce qui nous concerne, nous avons été incarcérés pour des raisons politiques et nous avons été traités d’une manière particulière :
    — garde à vue de six jours (avec interrogatoire policier sans pouvoir bénéficier d’une assistance quelconque, ou communiquer avec l’extérieur).
    — tribunal d’exception (Cour de sureté de l’État).

    Or, si l’on nous fait subir ce traitement spécial, on nous refuse les droits que cela implique au niveau de la détention.

    C’est-à-dire que l’on nous refuse le droit de nous exprimer et de nous défendre politiquement.

    C’est pour cela que nous réclamons un véritable statut politique applicable à tous les prisonniers politiques, conscients que nous pouvons, dans le cadre de notre action, exiger une reconsidération générale du régime de détention en France (ce qui n’empêche pas que nous soyons solidaires de tout mouvement de détenus de « droit commun » réclamant une amélioration des conditions de détention).

    Par véritable statut politique, nous entendons :
    — droit de réunion libre dans une salle spéciale pour tous les détenus politiques d’une même prison avec possibilité de prendre des repas en commun.
    — parloir libre pour la famille et les amis quotidiennement.
    — droit de visite libre.
    — droit de communiquer librement avec l’extérieur (abolition de la censure du courrier, correspondance secrète).
    — droit d’assistance juridique durant la garde à vue.

    Nous réclamons en outre :
    — le rapprochement, dans l’immédiat, dans des cellules contiguës, de tous les individus inculpés dans les « affaires » concernant le GARI.
    — une amélioration et un contrôle radical de la nourriture ainsi qu’une amélioration du régime des promenades, le manque de vitamines et d’oxygénation provoquant chez tous les détenus des troubles aisément constatables.

    Les emprisonnés du GARI

    communiqué n.2 — 12 janvier 1975

    Cour de sureté de l’État

    Un véritable statut politique

    Quatre militants des GARI (Groupes d’action révolutionnaire internationaliste), actuellement incarcérés à la prison de la Santé, ont entamé une grève de la faim pour obtenir le statut de prisonniers politiques. Ils font partie des sept inculpés, reconnus ou présumés membres des GARI, ayant reconnu ou étant soupçonnés d’avoir participé à certaines actions antifranquistes : Jean-Michel Martinez, Victor Menrique, Mario Ines, Michel Camilleri, Jean-Marc Rouillant, Raymond Delgado, Floréal Cuadrado.

    Tous ces militants faisaient la grève de l’instruction (en refusant de répondre aux interrogations du juge) ; ils désiraient obtenir les droits qu’implique le statut de « politique » pour pouvoir se défendre à ce niveau.

    Nou spublions aujourd’hui une lettre des grévistes de la faim de la Santé dans laquelle ils s’expliquent sur ce qu’ils réclament. Dans la nuit du réveillon du Nouvel An, plusieurs prises de parole ont eu lieu au mégaphone à l’extérieur de la prison pour soutenir leur action.

    Comité « Pour une amnistie générale »

    L’Imprimerie Quotidienne — Val-de-Marne


    sources :
     


    [Libération immédiate !]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Libération immédiate !]. — Paris : ORA_ (Organisation Révolutionnaire Anarchiste : 1967-1976), (Edit 71 (Paris)). — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (deux  : noir , bleu , papier blanc ) ; 37 × 59 cm.

    • Affiches par pays  :
    • Lieux d’archivages  : FACL (Fonds d’archives communistes libertaires)
    • Liste des thèmes  : antimilitarisme
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  : Pottier, Eugène (1816-1887)
    • Presse citée  : Front libertaire des luttes de classes (1970-1979)
    • Vie des mouvements  : soutien à militants
    notes :
    descriptif :


    texte (dont un extrait de « L’Internationale » d’Eugène Pottier)

    photo (manifestation de soldats masqués avec banderole « Soldats solidaires de la jeunesse et des ouvriers »)

    filigrane ((symbole cerclé de paix avec poing enfermant un fusil d’assaut)

    texte :

    Libération immédiate !

    • soutien aux luttes des soldats insoumis, objecteurs, déserteurs

    • non aux juridictions d’exception

    • oui à un mouvement national des comités de soldats

    • contre l’offensive du pouvoir, riposte de masse

    vive l’antimilitarisme révolutionnaire

    Les rois nous saoûlaient de fumée
    Paix entre nous, guerre aux tyrans
    Appliquons la grève aux armées,
    Crosse en l’air, et rompons les rangs !
     
    S’ils s’obstinent ces cannibales
    À faire de nous des héros,
    Ils sauront bientôt que nos balles
    Sont pour nos propres généraux.

    Organisation Révolutionnaire Anarchiste

    Supplément à FL n°46

    Imprimerie Edit 71. 75020 Paris


    sources :

    Supplément à Front libertaire des luttes de classes n° 46 (5 décembre 1975).





    [L’État arnaque ; la démocratie bourgeoise vient de reconnaître un statut spécial pour les 5 emprisonnés pro-GARI]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    L’État arnaque ; la démocratie bourgeoise vient de reconnaître un statut spécial pour les 5 emprisonnés pro-GARI]. — Dijon : [s.n.], (Imprimerie autonome (Dijon)). — 1 affiche (impr. photoméc.) : n. et b. ; 42 × 30 cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  : CIRA (Lausanne)
    • Liste des thèmes  : prison  ; répression  ; sexualité et genre
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  : Camilleri, Michel  ; Delgado, Raymond  ; GARI (Groupes d’action révolutionnaire internationalistes, 1974)  ; Ines Torres, Mario  ; Martinez, Jean-Michel  ; Menrique, Victor  ; Rouillan, Jean-Marc (1952-....)
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  : soutien à militants
    notes :
    descriptif :
    Symbole(s) utilisé(s) :

    [ texte ; dessin (prisonnier nu se masturbant) ]

    texte :

    L’État arnaque

    La démocratie bourgeoise vient de reconnaître du bout des lèvres (cf ci-contre), un statut spécial nominatif, pour les 5 emprisonnés pro-GARI ; peut-on vraiment parler d’un statut politique, comme ce fut le cas lors de la guerre d’Algérie ou pendant d’autres périodes d’agitation gauchiste (Geismar, Krivine, etc.).

    Les militants du GARI ont cessé la grève de la faim. — Les cinq membres des Groupes d’action révolutionnaire internationalistes (GARI). MM. Michel Camilleri, Raymond Delgado. Mario Ines, Jean-Michel Martinet, Victor Menrique et Jean-Marc Rouillan, inculpés d’atteinte à la sûreté l’État et incarcérés à la Santé, ont interrompu, le 7 février. la gréve de la faim qu’ils avaient commencée le 27 décembre dernier. Ils ont, en effet, obtenu satisfaction de leurs revendications : repas en commun, réunion libre et une heure de parloir pu jour. (le Monde du 9 janvier)
    [logo :]Le Monde - 15 février 1975

    Pourquoi ne veut-elle pas reconnaitre cette réalité politico-sociale ?
    — Parce qu’elle veut sauvegarder le mythe des libertés politiques sous le règne de la démocratie.
    — Parce qu’elle veut garder un "prestige de la liberté" sous sa défroque libérale.

    Pour nous la démocratie n’est que la dictature de la bourgeoisie sur le prolétariat et un système de gestion du capital quelle que soit la clique de droite ou de gauche au pouvoir.

    Car sous son règne l’oppression par le salariat sur la classe exploitée demeure la même.

    Pour elle la dictature c’est : Franco le partenaire d’Hitler et on lui tend la main. Notre but étant la destruction de toutes les prisons (Famille, Écoles, Casernes, Usines, Prisons), etc. Mais cela ne peut être le fait que de la Révolution Sociale.

    L’action réformiste juridique entreprise par certains révolutionnaires aujourd’hui pour arracher un statut politique social à la bourgeoisie française ne s’inscrit pas comme une volonté de privilège de la part de ceux-ci.

    Mais plutôt son but est d’ouvrir une brèche dans l’expression extrémiste de la société de classe : La prison.

    Cette brèche pouvant être utilisée par tout ce qu’on appelle "les droits communs" à la condition qu’ils s’expliquent politiquement et socialement leurs actes. Qu’ils accèdent par eux-mêmes et pour eux-mêmes à la conscience de classe de leurs actes. Contribution nécessaire,à l’accentuation des luttes de classe dans les taules. Dans la mesure où 95 % des prisonniers sont des prolétaires qui enfreignent la loi capitalo-bureaucratique de la propriété privée et de la morale liée à celle-ci. Les 596 étant des capitalistes trop expéditifs dans l’exploitation de la force de travail (maquereaux, escrocs, truands de la drogue et du rackett, etc.).

    Pratiquement :
    La lutte se poursuit pour :
    a) Amnistie générale pour les copains libertaires emprisonnés.
    b) assistance juridique pendant la garde à vue.
    c) Droit à la liberté d’expression pour les révolutionnaires emprisonnés (camarades pro-GARI et les divers Autonomistes).
    d) Droit de pouvoir rencontrer d’autres personnes que leur famille (journaliste, médecin, copains).
    e)Droit de rapport sexuel en prison (hétéro et homo) ceci par l’établissement de chambre sexuelle comme dans les taules du capitalisme avancé. Cela étant une exigence humaine minimale. Ceci avec l’application des possibilités contraceptives et avortives.
    f) Droit au SMIG comme pécule pour tous les emprisonnés quel que soit leur régime, unification des deux catégories sous l’appellation de Travailleurs. Ceci implique pour les travailleurs restés à l’extérieur des murs une lutte commune contre les mêmes exploiteurs. (Qu’ils s’appellent Parti Communiste avec les boulots sur-exploités sur les gadgets du journal Pif ou les épingles Bonus etc...) travaux exécutés dans les prisons.

    Des individualistes libertaires solidaires

    Le 15/2/75 Imp. Autonome Dijon


    sources :

    Texte commentant une coupure du Monde du 15 février 1975. Image déjà parue dans CAP : journal des prisonniers, n° 38 (juillet 1976).









    [Avis de recherche... Les 4 bandits des GARI ont profité de leur transfert...]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Avis de recherche... Les 4 bandits des GARI ont profité de leur transfert...]. — [S.l.] : [s.n.], . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (une  : brun , papier blanc ) ; 56 × 40 cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  : CIRA (Lausanne)
    • Liste des thèmes  : prison  ; procès  ; répression
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  : GARI (Groupes d’action révolutionnaire internationalistes, 1974)
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  : soutien à militants
    notes :
    descriptif :


    [ faux texte du juge d’instruction, orné des photos de Giscard-d’Estaing et de trois de ses ministres (Poniatowski, Lecanuet, Chirac) ]

    texte :

    Avis de recherche

    Les 4 bandits des GARI ont profité de leur transfert de la Cour de sûreté de l’état aux assises, pour s’évader

    Récompense

    Ceux qui nous gouvernent manipulent la juridiction au fil des évènements et de leur inspiration. Il y a 2 ans, pour faire plaisir à Franco, ils inculpent les GARI (Groupes d’action révolutionnaire internationalistes) en Cour de sûreté de l’État — aujourd’hui, Franco est mort, il s’agit de dépolitiser leur combat : la raison d’État les transforme en bandits, transfère leur dossier aux assises et nomme un juge à sa dévotion.

    On a pensé en haut lieu que je me prêterais à ces manœuvres. Bien que juge, j’ai ma dignité. Je me déclare donc incompétent sur un dossier aussi clairement politique. Je porte l’affaire à la connaissance de tous et vous laisse juge.

    Guy-Louis Pia, juge d’instruction au tribunal de grande instance de Paris


    sources :

    Paru en 1976 et en format 52 × 40 cm — et non 56 × 40 cm — d’après Les GARI, 1974 : la solidarité en actes (CRAS, 2013).







    [Imprimerie 34 : c’est reparti !]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Imprimerie 34 : c’est reparti !]. — Toulouse : [s.n.], (Imprimerie 34__ (Toulouse : 1973-2014)). — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (trois  : rouge , noir , jaune , papier blanc ) ; 60 × 45 cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  : CIRA (Lausanne)
    • Liste des thèmes  : presse  ; terrorisme
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  : soutien à militants
    notes :
    descriptif :


    [ texte ; dessin (caricature des membres de l’Imprimerie 34) par Didier De Jaeger ]

    texte :

    Imprimerie 34

    c’est reparti !

    Il y a plusieurs façons de faire taire les gens.
    — en parlant à leur place, c’est le rôle des élus ;
    — en disant n’importe quoi sur eux, c’est le rôle de la presse ;
    — en les empêchant de s’exprimer, c’est le rôle des barbouzes.

    Ainsi tous ceux qui se sont imaginés qu’à coup de mensonges, de faux-bruits ou de plastic, ils pouvaient y parvenir, se sont lourdement trompés.

    Quitte à tuer, ils ont cassé du matériel, c’est vrai. Mais ils n’ont pas entamé la volonté d’expression que nous avons, et souligné à tous la nécessité d’en garder les moyens.

    Alors, la fumée s’est dissipée, les gravas ont été déblayés, les fachos se sont tirés, et nous repartons…

    Typo offset, sérigraphie

    Affiche éditée en solidarité avec l’Imprimerie 34 - 34, rue des Blanchers, 31000 Toulouse. Tél. : 23.00.38


    sources :

    Redémarrage de l’imprimerie après un attentat.



    [Irlanda : due compagni anarchici condannati alla forca !]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Irlanda : due compagni anarchici condannati alla forca !]. — [S.l.] : FAI_ (Federazione anarchica italiana) : Umanità nova, [ca ] (Tipolitografica, stampa la Coop (Carrara)). — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (une  : noir , papier de couleur ) ; 83 × 60 cm.

    • Affiches par pays  : Italie
    • Lieux d’archivages  : Biblioteca Archivio Germinal (Carrara)  ; CDA (FA, Paris)  ; Libreria Anomalia (Roma)
    • Liste des thèmes  : justice  ; mort
    • Géographie, géopolitique et Histoire  : Irlande du Nord  ; Peine de mort
    • Noms cités (± liste positive)  : Mc Phillips, Marie  ; Murray, Noel
    • Presse citée  : Umanità Nova (1920-…)
    • Vie des mouvements  : soutien à militants
    notes :
    descriptif :


    [ Sur la condamnation à mort de deux anarchistes accusés d’avoir tué un policier. Dessin d’une corde ]

    texte :

    Irlanda : due compagni anarchici

    condannati alla forca !

    Il capitalismo sta vivendo un periodo di profonda crisi economica e politica dovuta alle sue difficoltà interne ed allo sviluppo delle lotte proletarie in tutte il mondo.

    L’applicazione di nuove leggi (in Italia la legge Reale) e il rafforzamento degli apparati repressivi dello Stato (magistratura, polizia, esercito) in Europa rientro nel progetto di costruzione di un sistema sempre più perfezionato di repressione e di controllo ideologica che freni le spinte delle masse sfruttate.

    In particolare nella Repubblica d’Irlanda, per opera di un governo a composizione socialdemocratica, la lotta aperta antiproletaria raggiunge punte assai elevate coll’impiego sistematico della tortura, l’uso della provocazione e l’estenzione dei poteri polizieschi. Non è quindi un caso che proprio in questo paese due anarchici, Noel Murray di 25 anni e la sua compagna, Marie Mc Phillips di 27 anni, siano stati condannati alla pena di morte mediante impiccagione perchè sospettati di aver participato, nel settembre scorso, ad una rapina in banca conclusati con la morte di un poliziotto. Il barbaro omicidio di stato verrà eseguito a Dublino il 27 luglio.

    Contro i compagni non c’è l’ombra di una prova, ma solo la volontà del governo in carica di presentarsi alle prossime elezioni come garante dell’ordine e dell’autorità : la loro condanna è una condanna politica comme Sacco e Vanzetti ed altri nella storia.

    Contro l’internationale della repressione rispondiamo con una vasta mobilitazione internazionale per salvare i due compagni irlandesi dalle mani del boia !

    Mobilitiamoci per dimostrare che, nonostante la censura dei giornali e dei mezzi d’informazione, gli occhi dei proletari sono puntati sui carnefici di Dublino !

    FAI-Federazione Anarchica Italiana — Umanità nova , settimanale anarchico

    Supplemento al n. 29 du Umanità Nova - Giornale murale iscritto sul Registro Stampa al n. 4891 (Trib. di Roma) - Stampa : Tipographia "Il Seme" - Carrara


    sources :
     

    [ca  1976]
    Affiche liée



    [Liberiamo i compagni condannati alla forca]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Liberiamo i compagni condannati alla forca]. — Roma Rome : Unione dei comunisti anarchici (Italie), [ca ]. — 1 affiche (impr. photoméc.) : n. et b. ; 100 × 70 cm.

    • Affiches par pays  : Italie
    • Lieux d’archivages  : CDA (FA, Paris)  ; Libreria Anomalia (Roma)
    • Liste des thèmes  : autogestion  ; mort
    • Géographie, géopolitique et Histoire  : Espagne  ; Irlande du Nord  ; Peine de mort
    • Noms cités (± liste positive)  : Mc Phillips, Marie  ; Murray, Noel
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  : soutien à militants
    notes :
    descriptif :
    Symbole(s) utilisé(s) :

    [ texte ; dessin (deux potences contre lesquelles se lèvent des poings avec ou sans clés de mécanicien et faucille) ]

    texte :

    Liberiamo i compagni condannati alla forca

    Noel Murray e Marie Mc Phillips
    due anarchici irlandesi sono stati condannati a morte per impiccagione in un processo farsa per la morte di un poliziotto. Questa condanna insieme alle leggi speciali adottate in Germania e alla legge. Reale ché da più di un anno ammazza proletari in Italia sono le conseguenze di un processo che il capitale europeo ha messo in moto per far pagare il prezzo della crisi si lavoratori da una parte alleandosi con i riformisti nella gestione dello sfruttamento, dall’altra intensificando la repressione contro ogni forma di rivolta proletaria.

    In Irlanda come in Italia e in Spagna contro la ristrutturazione dello sfruttamento, contro le aggressioni di stato costruiamo l’autogestione proletaria della società attraverso l’autodifesa militante delle lotte

    Liberiamo tutti i rivoluzionari

    Unione dei comunisti anarchici

    […]


    sources :

    1987 d’après Libreria Anomalia.


    [ca  1976]
    Affiche liée


    [Nobody for president]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Nobody for president] / Calogero. — New York : Come ! Unity Press, [ca ]. — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (deux  : bleu , brun , couleur en dégradé , papier blanc ) ; 28 × 43 cm.

    • Affiches par pays  : États-Unis
    • Lieux d’archivages  : CIRA (Lausanne)
    • Liste des thèmes  : délégation de pouvoir (élections)
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  : soutien à militants
    notes :
    descriptif :


    [ texte ; dessin répétitif (foule immense) par Calogero ]

    texte :

    Survival by sharing Come ! Unity Press 13E17 St NYC 675-3043

    Done at Come ! Unity Press (13 E 17 Street. NYC 10003 (212) 675-3043), a cooperative where we learned to do this printing. The press does not demand $ from us or other movement people who print materials that provide equal access to the poor. The press needs the broad support of many donations monthly piedges of $2, $5, $ ?, energy, food, skills, joint benefits, etc to continue movement access to printing facilities. Don’t let this be the last month ! Your Move !ment

    Nobody for president

    Survival by sharing Come ! Unity Press 13E17 St NYC 675-3043

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    sources :