barbelés

 

 
 

Affichage par année

104 affiches :

 

    [No se suprimen las consecuencias sin suprimir las causas]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    No se suprimen las consecuencias sin suprimir las causas] / Ron Cobb. — [S.l.] : [s.n.], . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (deux  : rouge , noir , papier blanc ) ; 53 × 40 cm.

    • Affiches par pays  : Espagne
    • Lieux d’archivages  : CIRA (Lausanne)
    • Liste des thèmes  : justice  ; mort
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  :
    notes :
    descriptif :
    Symbole(s) utilisé(s) :

    [ texte ; dessins (deux mains aux menottes brisées : « vivir libre o morir » ; francisque, en faisceau, ensanglantée ; prisonniers, dessinés par Ron Cobbb, avec le logo « Paix » sur leur uniforme, sous des barbelés) ]

    texte :

    No se suprimen las consecuencias sin suprimir las causas

    No se suprime el provecho con multas.

    No se suprimen los accidentes de trabajo con jueces rojos.

    No se suprime la violación con audiencias de lo criminal.

    No se suprime el robo con la prisión.

    No se lava la Sangre con Sangre

    No a la pena de muerte


    sources :
     


    [Non à la récupération raciste du féminisme]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Non à la récupération raciste du féminisme]. — [S.l.] : [s.n.], . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (deux  : rouge , noir , papier blanc ) ; x × y cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  : Tanneries (Dijon)
    • Liste des thèmes  : État et étatisme  ; féminisme  ; nationalisme  ; religion et spiritualité (en général)  ; sexisme et homophobie
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  :
    notes :
    descriptif :
    Symbole(s) utilisé(s) :

    [ texte ; dessin (homme qui hurle avec deux marionnettes femmes — une femme blonde (féministe ?) et une femme brune tête couverte (musulmane ?) — qui se disputent au bout de ses bras levés ; village — avec grue de chantier — barricadé de barbelés ; famille à la porte d’entrée accueillant sous le panneau « Bienvenue en France » ; frise de manifestant·e·s bombardant l’homme aux marionnettes) ]

    texte :

    Non à la récupération raciste du féminisme

    Pas besoin de chercher le sexisme ailleurs.

    Y’a ce qui faut à la maison !

    Nous n’aimons pas les faux débats sur “l’identité nationale”.
    L’État-nation s’est construit sur l’écrasement de ses minorités dans les métropoles et l’exploitation des richesses dans les colonies.
    Il a construit des hiérarchies et des catégories pour dire qui était “neutre” et reconnaître qui devait faire ses preuves et/ou en était forcément exclu-e.
    L’État-nation se veut uni et homogène pour exister.
    Pour ça il a besoin de désigner des ennemis qui permettent l’unité fictive du reste de la population.
    L’État-nation a besoin de techniques pour construire l’identité nationale. Ça passe par le langage, le sport, les traditions inventées, l’école, l’Histoire, les lois, et tout un tas de choses qui traversent nos vies quotidiennes.

    Nous pensons qu’il y a urgence à ouvrir un débat sur le passé colonial et ses conséquences actuelles.
    Il nous semble que les termes du débat devraient être définis par les minoritaires.

    des féministes contre l’islamophobie


    sources :

    Avant 2018