Berlan, Aurélien (1976-....)

 

Présentation sur le site de la librairie La Gryffe (Lyon, mars 2022) :

À propos de l’auteur

Né en 1976, Aurélien Berlan a étudié la philosophie et la sociologie en France (École normale supérieure Lettres et sciences humaines, universités de Nanterre et de Rennes) et en Allemagne, à Berlin puis à Francfort où il a fait sa thèse sous la direction d’Axel Honneth (publiée en partie sous le titre La Fabrique des derniers hommes. Retour sur le présent avec Weber, Simmel et Tönnies, La Découverte, 2012).

Malgré l’obtention du prix de la meilleure thèse de philosophie décerné tous les trois ans à Francfort, il s’est ensuite installé à la campagne pour vivre de manière plus cohérente avec ses analyses du monde industriel. Depuis, il vit de vacations dans diverses universités, de traductions (il a traduit Fabian Scheidler, La Fin de la mégamachine : sur les traces d’une civilisation en voie d’effondrement, Le Seuil, 2020, ainsi que Max Weber, La Ville, La Découverte, 2014) et d’activités vivrières et artisanales. Il consacre aussi une partie de son temps aux luttes contre la dévastation du monde (il s’est notamment engagé dans la lutte contre le barrage de Sivens : voir Sivens sans retenue. Feuilles d’automne 2014, La Lenteur, 2015). Depuis 2003, il contribue aux écrits du groupe Marcuse : De la misère humaine en milieu publicitaire : comment le monde se meurt de notre mode de vie, La Découverte, 2004 ; La Liberté dans le coma : essai sur les motifs de l’identification électronique et les moyens de s’y opposer, La Lenteur, 2013.

 

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