Amais de l’AIT

 

 
 

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1 affiche :

 

    [Conférence-débat sur la révolution espagnole avec Abel Paz]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Conférence-débat sur la révolution espagnole avec Abel Paz]. — Lausanne : Amais de l’AIT, . — 1 affiche (photocop. ), coul. (une  : noir , papier rouge ) ; 42 × 30 cm.

    • Affiches par pays  :
    • Lieux d’archivages  :
    • Liste des thèmes  :
    • Géographie, géopolitique et Histoire  : Espagne : histoire : 1936-1939
    • Noms cités (± liste positive)  : Durruti Dumange, Buenaventura (1896-1936)  ; Paz_, Abel (1921-2009)
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  : conférence, débat…
    notes :
    descriptif :


    [ texte (notices sur Durruti et Abel Paz) ; photo (barricade CNT-FAI) ]

    texte :

    Conférence-débat sur la révolution espagnole

    avec Abel Paz

    autour de son livre Durruti, un anarchiste espagnol

    mercredi 14 septembre à 20 h

    À la Kommune Libre, Maison occupée, rue Guillaume de Marcossay 19, Genève - Plainpalais

    org. : les Amis de l’AIT et Info-Bibliothèque

    Abel Paz

    Abel Paz, né à Almeria en 1921, est fils d’ouvriers agricoles. Après deux années de scolarité, il est apprenti à treize ans dans une usine textile où il découvre le syndicalisme et le mouvement anarchiste. Acteur et témoin de la révolution espagnole, il doit s’exiler en 1939, après la défaite, en France où il est interné dans différents camps (Argelès, Barcarès, Saint-Cyprien, etc.).
    En 1942, il part se battre clandestinement pour Espagne. Ce qui lui vaut d’être emprisonné jusqu’en 1953, date à laquelle il s’exile à nouveau en France sans pour autant désarmer. Il travaille en France dans l’imprimerie jusqu’à son retour à Barcelone en 1977.

    Un anarchiste espagnol, Durruti

    Buenaventura Durruti (1896-1936) fut assurément l’homme qui le mieux incarna la révolution espagnole. Sa vie, ce sont quarante années de luttes, d’exil, d’attentats, de prisons, d’activité clandestine, de grèves, d’insurrections et de guerre.
    Anarchiste, intransigeant, le chemin est long menant du jeune ouvrier révolté à l’homme qui refuse postes, honneurs, grades, et dont la mort fur pleurée par des millions d’hommes et de femmes.
    Syndicaliste de la Confédération nationale du travail (CNT), militant de la Fédération anarchiste ibérique, de Los Solidarios (avec Francisco Ascaso et Garcia Oliver…), organisateur, orateur, stratège, il est partout à l’avant-garde du combat, tant dans les luttes quotidiennes que lors de l’insurrection de Barcelone de juillet 1936 ou sur le front d’Aragon. Pour lui, comme pour ses compagnons, révolution et liberté sont les deux faces d’une même exigence.


    sources :