1997

 

 

76 affiches :

 

    [Per i Senza volto]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Per i Senza volto]. — Lucca Lucques : Coordinamento Toscano di sostegno alla lotta zapatista, (Grafitalia (Peccioli)). — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (deux  : rouge , noir , papier blanc ) ; 69 × 49 cm.

    • Affiches par pays  : Italie
    • Lieux d’archivages  : CIRA (Lausanne)
    • Liste des thèmes  : art : musique  ; art : théâtre  ; économie : mondialisation
    • Géographie, géopolitique et Histoire  : Mexique
    • Noms cités (± liste positive)  : Compagnia Sdrammatika  ; Miniera Matilde  ; Yo Yo Mundi
    • Presse citée  : Senza Volto
    • Vie des mouvements  : conférence, débat…  ; spectacle, concert, fête…
    notes :
    descriptif :


    [ texte sur photo d’un zapatiste ]

    texte :

    Coordinamento toscano di sostegno alla lotta zapatista

    Per i Senza volto

    Musica, spettacoli teatrali e dibattiti verso il 2° incontro intercontinentale per l’umanità e contro il neoliberismo.

    venerdì 27
    ore 18 - Apertura
    ore 21 - La compagnia “Sdrammatika” di San Miniato presenta : Pedro e il capitano e Lo scarabeo ribelle

    sabato 28
    ore 10 - Tavoli di discussione :

    • Economia, neoliberismo e politica del Fondo Monetario Internazionale
    • Cooperazione, solidarietà e internazionalismo
    • Per una diversa economia : consumo critico, economie alternative ecc.

    ore 21,30 - concerto Yo Yo Mundi

    domenica 29
    ore 15 - Assemblea generale di tutte le realtà presenti all’incontro
    ore 21,30 - concerto Miniera Matilde

    Stand delle associazioni e dei centri sociali con libri, oggetti di artigianato, gastronomia e due mostre fotografiche : Chiapas, immagini dal 1° incontro intercontinentale - Sarajevo e non solo (1993-1996

    Sarà attivo un punto di raccolta moduli di pre-iscrizione per la Spagna.

    Montecarlo (Lucca), 27-29 giugno 1997

    Per raggiungere Montecarlo dall’autostrada “Firenze-Mare”, uscire ad Altopascio oppure a Chiesina Uzzanese e seguire le indicazioni.

    Tip. Lit. Moduli Continui Grafitalia - Peccioli - Tel. 0587/636322


    sources :
     


    [Pinksterlanddagen ’97]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Pinksterlanddagen ’97]. — Appelscha (Ooststellingwerf) ; Utrecht : [s.n.], . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (deux  : rouge , noir , papier blanc ) ; 42 × 60 cm.

    • Affiches par pays  : Pays-Bas
    • Lieux d’archivages  : Anarchief (Gent)
    • Liste des thèmes  :
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  : camping  ; conférence, débat…  ; spectacle, concert, fête…
    notes :
    descriptif :
    Symbole(s) utilisé(s) :

    [ tekst ]

    texte :

    Pinkster landdagen ’97

    Drie dagen anarchistisch kamperen met info en discussie over
    Maatschappelijke uitsluiting (illegalen, vluchtelingen, daklozen), Arbeid (uitkeringsstrijd, baanvrijheid, arbeidsethos), Natuurbeheer (natuurbeleid, natuurbeeld en alternatieven), Anarchisme in je eigen leven (feminisme, mannenstrijd, vrije liefde, positie van kinderen, relatie tot dieren)

    En verder o.a. Vuile Mong, Jojo MacAspro, Disco, Kinderprogramma en Infomarkt

    16 t/m 19 mei 1997 Aekingaweg 1a Appelscha (tent meenemen)
    Kosten : f 15,- (Eten, drinken en maaltijden goedkoop verkrijgbaar, ook veganistisch/ biologisch)
    Informatie : Postbus 24083, 3502 MB Utrecht (voor programma enz.

    Een uitgave van PL-voorbereidingsgroep - vormgeving D.O.G. Utrecht -druk : Drukkerij Adelante, den Haag


    sources :
     


    [Plaisirs sous haute surveillance médicale]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Plaisirs sous haute surveillance médicale]. — Bruxelles = Brussels Bruxelles : Liaison Antiprohibitionniste, (22_mars, impr. du (Bruxelles)). — 1 affiche (impr. photoméc.) : n. et b. ; [60 ?] × [43 ?] cm.

    • Affiches par pays  : Belgique
    • Lieux d’archivages  : IISG (Amsterdam)
    • Liste des thèmes  : contrôle social  ; hygiène  ; médecine  ; santé
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  : Roelandt, Micheline
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  : conférence, débat…
    notes :
    descriptif :


    [ texte ]

    texte :

    Liaison antiprohibitionniste
    61, rue Marie-Thérèse - 1210 Bruxelles - 02/230.45.07

    présente son cycle de conférences 1997

    Plaisirs sous haute surveillance médicale

    25 mars - Les plaisirs, sources de toutes les santés
    • orateur : Claude Javeau, docteur en sociologie, professeur à l’Université Libre de Bruxelles
    • présidence : Serge Zombek, psychiatre

    17 avril - Maudit tabac, maudite bouteille, maudite médecine
    • orateur : James Mac Cormick, professeur au Trinity College de Dublin
    • présidence : Édouard Delruelle, philosophe, chargé de cours à l’Université de Liège

    15 mai - Contrôle social et autonomie
    • orateur : Jean-François Malherbe, docteur en théologie et en philosophie, professeur à l’Université de Montréal
    • présidence : Thierry Poucet, journaliste médical

    19 mai - De la volonté de savoir au contrôle par la maîtrise hygiéniste, une histoire de la médecine (titre sous réserve)
    • orateur : Carl Havelange, docteur en histoire, chercheur FNRS à l’Université de Liège
    • présidence : Lise Thiry, virologue

    Toutes les conférences se déroulent à 20 h 15
    Auditorium Shell, 60 rue Ravenstein à 1000 Bruxelles

    PAF 100/200 frs
    Avec le soutien de la Commission Communautaire Française de la région Bruxelles-Capitale

    Éd. resp. : Micheline Roelandt
    61, rue Marie-Thérèse à 1210 Bruxelles


    sources :
     








    [Senza volto... Le parole sono armi]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Senza volto... Le parole sono armi]. — Lucca Lucques : Coordinamento Toscano di sostegno alla lotta zapatista, . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (deux  : rouge , noir , papier blanc ) ; 69 × 49 cm.

    • Affiches par pays  : Italie
    • Lieux d’archivages  : CIRA (Lausanne)
    • Liste des thèmes  : presse
    • Géographie, géopolitique et Histoire  : Mexique
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  : Senza Volto
    • Vie des mouvements  :
    notes :
    descriptif :


    [ texte sur photo de combattants zapatistes ]

    texte :

    Senza volto

    Mensile del Coordinamento Toscano di sostegno alla lotta zapatista

    Le parole sono armi

    Ogni 20 del mese lo puoi trovare presso :

    Firenze : CSA Ex Emerson, via Niccolò Da Tolentino, 19

    Lucca : Viva Zapata c/o Lucca Libri, Corte Campana, 15
    Collettivo di iniziativa e controinformazione sociale, via S. Andrea, 41

    Montecatini (PT) : Collettivo Spettro

    Pisa : Comitato per il Chiapas insorto c/o Biblioteca Franco Serantini, Largo Concetto Marchesi
    CSOA Macchia Nera, piazza S. Michele degli Scalzi, 176

    Poggibonsi (SI) : CSOA la Realidad, via San Gallo, 56

    Ponte a Elsa (FI) : CSA Intifada, via XXV Aprile, 1

    E : … … … 

    Top. Lit. Moduli Continui Grafitalia - Peccioli


    sources :
     







    [Sur la Commune]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Sur la Commune]. — [S.l.] : Elle n’est pas morte !, . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (deux  : noir , brun ) ; 64 × 45 cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  : CIRA (Lausanne)  ; FACL (Fonds d’archives communistes libertaires)
    • Liste des thèmes  : situationnisme
    • Géographie, géopolitique et Histoire  : France : histoire : 1871 (La Commune)
    • Noms cités (± liste positive)  : Blanqui, Auguste (1805-1881)  ; Debord, Guy-Édouard (1931-1994)  ; Kotànyi, Attila  ; Vaneigem, Raoul (1934-....)
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  :
    notes :
    descriptif :


    [ Texte de l’Internationale situationniste de 1962 sur la Commune de Paris de 1871 ]

    texte :

    Sur la Commune

    1

    « Il faut reprendre l’étude du mouvement ouvrier classique d’une manière désabusée, et d’abord désabusée quant à ses diverses sortes d’héritiers politiques ou pseudo-théoriques, car ils ne possèdent que l’héritage de son échec. Les succès apparents de ce mouvement sont ses échecs fondamentaux (le réformisme ou l’installation au pouvoir d’une bureaucratie étatique) et ses échecs (la Commune ou la révolte des Asturies) sont jusqu’ici ses succès ouverts, pour nous et pour l’avenir. »

    « Notes éditoriales », Internationale situationniste, n° 7

    2

    La Commune a été la plus grande fête du XIXe siècle. On y trouve, à la base, l’impression des insurgés d’être devenus les maîtres de leur propre histoire, non tant au niveau de la déclaration politique "gouvernementale" qu’au niveau de la vie quotidienne dans ce printemps de 1871 (voir le jeu de tous avec les armes ; ce qui veut dire : jouer avec le pouvoir). C’est aussi en ce sens qu’il faut comprendre Marx : « la plus grande mesure sociale de la Commune était sa propre existence en actes ».

    3

    Le mot de Engels : « Regardez la Commune de Paris. C’était la dictature du prolétariat » doit être pris au sérieux, comme base pour faire voir ce que n’est pas la dictature du prolétariat en tant que régime politique (les diverses modalités de dictatures sur le prolétariat, en son nom).

    4

    Tout le monde a su faire de justes critiques des incohérences de la Commune, du défaut manifeste d’un appareil. Mais comme nous pensons aujourd’hui que le problème des appareils politiques est beaucoup plus complexe que ne le prétendent les héritiers abusifs de l’appareil de type bolchevik, il est temps de considérer la Commune non seulement comme un primitivisme révolutionnaire dépassé dont on surmonte toutes les erreurs, mais comme une expérience positive dont on n’a pas encore retrouvé et accompli toutes les vérités.

    5

    La Commune n’a pas eu de chefs. Ceci dans une période historique où l’idée qu’il fallait en avoir dominait absolument le mouvement ouvrier. Ainsi s’expliquent d’abord ses échecs et succès paradoxaux. Les guides officiels de la Commune sont incompétents (si on prend comme référence le niveau de Marx ou Lénine, et même Blanqui). Mais en revanche les actes « irresponsables » de ce moment sont précisément à revendiquer pour la suite du mouvement révolutionnaire de notre temps (même si les circonstances les ont presque tous bornés au destructif — l’exemple le plus connu est l’insurgé disant au bourgeois suspect qui affirme qu’il n’a jamais fait de politique : « c’est justement pour cela que je te tue »).

    6

    L’importance vitale de l’armement général du peuple est manifestée, dans la pratique et dans les signes, d’un bout à l’autre du mouvement. Dans l’ensemble on n’a pas abdiqué en faveur de détachements spécialisés le droit d’imposer par la force une volonté commune. La valeur exemplaire de cette autonomie des groupes armés a son revers dans le manque de coordination : le fait de n’avoir à aucun moment, offensif ou défensif, de la lutte contre Versailles porté la force populaire au degré de l’efficacité militaire ; mais il ne faut pas oublier que la révolution espagnole s’est perdue, et finalement la guerre même, au nom d’une telle transformation en « armée républicaine ». On penser que la contradiction entre autonomie et coordination dépendait grandement du degré technologique de l’époque.

    7

    La Commune représente jusqu’à nous la seule réalisation d’un urbanisme révolutionnaire, s’attaquant sur le terrain aux signes pétrifiés de l’organisation dominante de la vie, reconnaissant l’espace social en termes politiques, ne croyant pas qu’un monument puisse être innocent. Ceux qui ramènent ceci à un nihilisme de lumpenprolétaire, à l’irresponsabilité des pétroleuses, doivent avouer en contrepartie tout ce qu’ils considèrent comme positif, à conserver, dans la société dominante (on verra que c’est presque tout). « Tout l’espace est déjà occupé par l’ennemi... Le moment d’apparition de l’urbanisme authentique, ce sera de créer, dans certaines zones, le vide de cette occupation. Ce que nous appelons construction commence là. Elle peut se comprendre à l’aide du concept de trou positif forgé par la physique moderne. » (« Programme élémentaire d’urbanisme unitaire », Internationale situationniste n° 6.)

    8

    La Commune de Paris a été vaincue moins par la force des armes que par la force de l’habitude. L’exemple pratique le plus scandaleux est le refus de recourir au canon pour s’emparer de la Banque de France alors que l’argent a tant manqué. Durant tout le pouvoir de la Commune, la Banque est restée une enclave versaillaise dans Paris, défendue par quelques fusils et le mythe de la propriété et du vol. Les autres habitudes idéologiques ont été ruineuses à tous propos (la résurrection du jacobinisme, la stratégie défaitiste des barricades en souvenir de 48, etc.).

    9

    La Commune montre comment les défenseurs du vieux monde bénéficient toujours, sur un point ou sur un autre, de la complicité des révolutionnaires ; et surtout de ceux qui pensent la révolution. C’est sur le point où les révolutionnaires pensent comme eux. Le vieux monde garde ainsi des bases (l’idéologie, le langage, les mœurs, les goûts) dans le développement de ses ennemis, et s’en sert pour regagner le terrain perdu. (Seule lui échappe à jamais la pensée en actes naturelle au prolétariat révolutionnaire : la Cour des Comptes a brûlé.) La véritable « cinquième colonne » est dans l’esprit même des révolutionnaires.

    10

    L’anecdote des incendiaires, aux derniers jours, venus pour détruire Notre-Dame, et qui s’y heurtent au bataillon armé des artistes de la Commune, est riche de sens : elle est un bon exemple de démocratie directe. Elle montre aussi, plus loin, les problèmes encore à résoudre dans la perspective du pouvoir des conseils. Ces artistes unanimes avaient-ils raison de défendre une cathédrale au nom de valeurs esthétiques permanentes, et finalement de l’esprit des musées, alors que d’autres hommes voulaient justement accéder à l’expression ce jour-là, en traduisant par cette démolition leur défi à une société qui, dans la défaite présente, rejetait toute leur vie au néant et au silence ? Les artistes partisans de la Commune, agissant en spécialistes, se trouvaient déjà en conflit avec une manifestation extrémiste de la lutte contre l’aliénation. Il faut reprocher aux hommes de la Commune de n’avoir pas osé répondre à la terreur totalitaire du pouvoir par la totalité de l’emploi de leurs armes. Tout porte à croire qu’on a fait disparaître les poètes qui ont traduit à ce moment la poésie en suspens de la Commune. La masse des actes inaccomplis de la Commune permet que deviennent « atrocités » les actes ébauchés, et que les souvenirs soient censurés. Le mot « ceux qui ont fait les révolutions à moitié n’ont fait que se creuser un tombeau » explique aussi le silence de Saint-Just.

    11

    Les théoriciens qui restituent l’histoire de ce mouvement en se plaçant du point de vue omniscient de Dieu, qui caractérisait le romancier classique, montrent facilement que la Commune était objectivement condamnée, qu’elle n’avait pas de dépassement possible. Il ne faut pas oublier que, pour ceux qui ont vécu l’évènement, le dépassement était là.

    12

    L’audace et l’invention de la Commune ne se mesurent évidemment pas par rapport à notre époque mais par rapport aux banalités d’alors dans la vie politique, intellectuelle, morale. Par rapport à la solidarité de toutes les banalités parmi lesquelles la Commune a porté le feu. Ainsi, considérant la solidarité des banalités actuelles (de droite et de gauche) on conçoit la mesure de l’invention que nous pouvons attendre d’une explosion égale.

    13

    La guerre sociale dont la Commune est un moment dure toujours (quoique ses conditions superficielles aient beaucoup changé). Pour le travail de « rendre conscientes les tendances inconscientes de la Commune » (Engels), le dernier mot n’est pas dit.

    14

    Depuis près de vingt ans, en France, les chrétiens de gauche et les staliniens s’accordent, en souvenir de leur front national anti-allemand, pour mettre l’accent sur ce qu’il y eut dans la Commune de désarroi national, de patriotisme blessé, et pour tout dire de « peuple français demandant par pétition d’être gouverné » (selon la « politique stalinienne » actuelle), et à la fin poussé au désespoir par la carence de la droite bourgeoise apatride. Il suffirait, pour recracher cette eau bénite, d’étudier le rôle des étrangers venus combattre pour la Commune : elle était bien, avant tout, l’inévitable épreuve de force où devait se mener l’action en Europe depuis 1848 de « notre parti », comme disait Marx.

    18 mars 1962

    Attila Kotànyi, Guy Debord, Raoul Vaneigem

    Ces thèses sur la Commune, dont l’actualité ne devrait échapper à personne, parurent le 21 février 1963 dans un tract de L’internationale situationniste intitulé Aux poubelles de l’histoire ! Il révélait un plagiat vraiment démesuré de ces thèses qu’Henri Lefebvre avait fait paraître dans l’ultime numéro de la répugnante revue Arguments paru au début de 1963, plagiat que ce versaillais de la culture réitérera en 1965 dans son livre sur La Proclamation de la Commune. Ce tract fut réédité en fac-similé dans le n° 12 de la revue Internationale situationniste en septembre 1969.

    Achevé d’imprimer le 18 mars 1997. © anticopyright des éditions Elle n’est pas morte !


    sources :
     






    [Una mostra per il / sul Chiapas]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Una mostra per il / sul Chiapas] / Francesco Moretti ; Fabrizio Tronfi. — Pisa Pise : Biblioteca Franco Serantini (BFS_), (Grafitalia (Peccioli)). — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (quadri ) ; 70 × 30 cm.

    • Affiches par pays  : Italie
    • Lieux d’archivages  : CIRA (Lausanne)
    • Liste des thèmes  : art : dessin  ; art : photographie  ; art : vidéo
    • Géographie, géopolitique et Histoire  : Mexique
    • Noms cités (± liste positive)  : Licastro, P.  ; Lucarelli, U.  ; Volterrani, A.
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  : exposition
    notes :
    descriptif :


    [ dessin : combattant zapatiste fumant une pipe ; texte ] couleurs

    texte :

    Una mostra per il / sul Chiapas

    Pisa 22/29 marzo 1997, "Palazzo della Limonaia", Vicolo del Ruschi, ore 17.00-20.00, ingresso libero

    Mostra collettiva di grfica (permanente)

    Mostra fotografica (permanente)

    Performance del gruppo "IGT" (sabato:22 ore:21)

    Proiezione del video "Fossimo fatti d’aria" (sabato:29 ore:21)

    Libri


    Mostra collettiva di grafica : Acconci, Ashour, Atzori, Becker, Burroni, Cambi, Cammellini, Capobianco, Curti, Cecchi, Dolfo, Gerace, Massei, Moretti, Olivotto, Pacini, Pinto, Pierallini, Revenda, Rigacci, Roberto, Sandroni, Tombini, Torrigiani, Tronfi, Vanni, Xhafa.

    Mostra fotografica sul 1° Incontro internazionale contro il neoliberismo (Chiapas, estate ’96), di : A. Volterrani

    "Fossimo fatti d’aria", impressioni di un viaggio a Cuba. In collaborazione con Università di scenografia di Clermont-Ferrand. Filmato di cartoni animati di : P. Licastro, U. Lucarelli.

    Comitato per il Chiapas insorto, Biblioteca "Franco Serantini", in collaborazione con il Circolo Jackson Pollock

    Informazioni presso : Biblioteca "Franco Serantini" - Tel. 050-57.09.95 - Lun/ven Ore : 15-19

    Stampa : Grafitalia-Peccioli (Pi)/Disegno di : Francesco Moretti/Grafica di : Fabrizio Tronfi


    sources :