Bruxelles = Brussels
Bruxelles
343 affiches :
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Manifeste anarchiste
Liberté, Égalité, Fraternité
À vous qui produisez tout et qui n’avez rien que ce que vous laissent ceux qui ne produisent rien et qui ont tout.
COMPAGNONS,
Les hommes que s’intitulent « Parti ouvrier » viennent de nous adresser un manifeste, dans lequel nous invitent à nous rendre à Bruxelles le 15 août pour y réclamer le suffrage universel.Examinons donc froidement et, sans parti-pris, la situation, et demandons-nous : Que peut suffrage universel pour améliorer notre sort ?
À cette question nous répondrons catégoriquement : Rien !
En effet :
Considéré en lui-même, il ne changera absolument rien aux conditions sociales qui nous écrasent.
Considéré dans ses effets législatifs, il nous assurera, nous dit-on, une diminution des heures de travail, une augmentation des salaires, etc, etc. Et c’est surtout ici que la duplicité de ceux qui aspirent à nous gouverner est parvenue à fausser le jugement de certains d’entre nous, et à leur faire attribuer aux suffrage universel une vertu qu’il n’a pas.Il est pourtant de la dernière évidence — même, en ne tenant pas compte de l’évolution des idées des masses souffrantes, qui, nous menant nécessairement et à très proche échéance, à une commotion violente, dépassera d’un bond l’évolution parlementaire — il est évident que le suffrage universel ne pourrait nous devons à bref délai la majorité ;
Les exemples de la France, l’Allemagne, de la Suisse, de l’Amérique sont là pour le prouver.
Et sans majorité, quelle amélioration espérer à notre situation ? Mais cependant, nous dit-on, il y a des pays où il existe des lois quelque peu protectrices du travailleur.
Voici où éclate la mauvaise foi de nos aspirants députés : Nous savons nous pas, Compagnons, que jamais une loi sur le travail n’a été obtenue par l’intermédiaire des députés, et que toutes ce lois, si anodines qu’elles soient, n’ont été obtenues par l’agitation, extraparlementaire ?
Le suffrage universel ne nous avancerait donc en rien.
⁂
« Nous voulons le suffrage universel » dit leur manifeste.
Eh bien ! nous ne nous soucions pas de votre suffrage universel !
Il nous importe peu.
Ce que nous voulons, nous, c’est du pain et du travail pour tous.
Nous voulons mettre réellement en pratique les grands principes proclamés par nos pères, les paysans révolutionnaires de 89-93 : Nous voulons non pas une vaine égalité politique, non pas cette hypocrite formule inscrite par la bourgeoisie sur ses drapeaux, et dont on voudrait, encore aujourd’hui, nous faire un idéal ; mais l’Égalité réelle — le communisme, la vraie Liberté — l’anarchie ; et, par là, la véritable Fraternité, c’est-à-dire la solidarité de tous les intérêts.
Plus de Propriété ! Plus d’État ! Nous voulons une société qui, suivant la parole de Platon, pratique à la lettre le vieux proverbe : « Tout est véritablement commun entre amis ».
Voilà ce que nous voulons.
Et nous prenons pour nous ce que le parti soit-disant ouvrier dit de lui-même :
« Nous luttons, pour notre droit, pour obtenir justice, et nous réussirons :
« Rien ne peut arrêter un peuple qui veut une chose et la veut fermement. »Rappelons-nous ces lignes de l’un des nôtres, le compagnon Kropotkine :
Qu’on ne vienne pas nous dire que nous ne sommes qu’une petite poignée, trop faible pour atteindre le but grandiose que nous visons.Comptons-nous, et voyons combien nous sommes à souffrir de l’injustice.
Paysans, qui travaillons pour autrui et qui mangeons l’avoine pour laisser le froment au maître, nous sommes des millions d’hommes ; nous sommes si nombreux qu’à nous seuls nous formons la masse du peuple. Ouvriers qui tissons la soie et le velours pour nous vêtir de haillons, nous sommes aussi des multitudes ; et quand les sifflets des usines nous permettent un instant de repos, nous inondons les rues et les places, comme une mer mugissante. Soldats qu’on mène à la baguette, nous qui recevons les balles pour que les officiers aient les croix et les pompons, nous, pauvres sots, qui n’avons su jusqu’à maintenant que fusiller nos frères, il nous suffira de faire volte-face pour voir pâlir ces quelques personnages galonnés qui nous commandent. Nous tous qui souffrons et qu’on outrage, nous sommes la foule immense, nous sommes l’océan qui peut tout engloutir. Dès que nous en aurons la volonté, un moment suffira pour que justice se fasse.
Vive l’Anarchie !
Les groupes anarchistes de la partie de l’Humanité parquée sur la portion de territoire appelée « Belgique » par ceux qui nous exploitent.
Vive la Révolution sociale !
L’éditeur responsable : Ferdinand Monier
https://bianco.ficedl.info/article4069.html
http://www.socialisme-libertaire.fr/2020/09/manifeste-anarchiste.html
https://www.libertarian-labyrinth.org/anarchist-beginnings/ferdinand-monier-manifeste-anarchiste-1886/
https://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/6/62/Manifeste_anarchiste%2C_15-8-1886.jpegSur l’article « Ferdinand Monier-Monnier » du dictionnaire des anarchistes du Maitron [1] :
Lors de la campagne menée à l’été 1886 par les socialistes en faveur du suffrage universel, Monier fut l’auteur d’un Manifeste anarchiste dont les 6.000 exemplaires furent saisis par la police et qui lui valurent d’être condamné le 12 novembre à trois mois de prison par la Cour d’assises du Brabant.
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texte
gravures (le député Émile Basly touchant une commission ; un médaillon avec des figures anarchistes ; une scène ou un homme, August Reinsdorf, est conduit à l’échafaud)
Au dos :
[…]
Notre gravure
Notre dessin montre la différence qui existe entre les anarchistes, ces hommes qui prêchent la propagande révolutionnaire par le fait, et les révolutionnaires-parlementaires qui préfèrent le suffrage universel comme unique remède aux mots dont souffre le prolétariat.
Basly, touchant son indemnité parlementaire, 25 francs par joiur ; Reindorf, l’anarchiste, marchant au supplice.
Au milieu se trouvent les portraits de Sophie Pérowska, Stellmacher et Lieske, morts pour la cause du peuple. Cyvoct, condamné à mort, peine commuée en travaux forcés à perpétuité, et Kropotkine, le grâcié d’hier.
[…] - texte :
Le prix de la propagande révolutionnaire parlementaire ?
Basly
Nos propagandistes
A. - Julius Lieske
B. - Antoine Cyvoct
C. - Sophie Pérowska
D. - Pierre Kropotkine
E. - Hermann Stellmacher
Le prix de la propagande révolutionnaire par le fait !
ReinsdorfPlacard paru en page centrale du n° 7 de la 2e année de Ni Dieu ni Maître (Bruxelles, 18 mars 1886).
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[ texte ]
- texte :
Pourquoi sommes-nous anarchistes ?
Nous sommes révolutionnaires parce que nous voulons la justice et que partout nous voyons l’injustice régner autour de nous. C’est en sens inverse du travail que sont distribués les produits du travail. L’oisif a tous les droits, même celui d’affamer son semblable, tandis que le travailleur n’a pas toujours le droit de mourir de faim en silence on l’emprisonne quand il est coupable de grève. Des gens qui s’appellent prêtres essaient de faire croire au miracle pour que les intelligences leur soient asservies ; des gens appelés rois, se disent issus d’un maître universel pour être maître à leur tour ; des gens armés par eux taillent, sabrent et fusillent à leur aise ; des personnes en robe noire qui se disent la justice par excellence condamnent le pauvre, absolvent le riche, vendent souvent les condamnations et les acquittements ; des marchands distribuent du poison au lieu de nourriture, ils tuent en détail au lieu de tuer en gros et deviennent ainsi des capitalistes honorés. Le sac d’écus, voilà le maître, et celui qui le possède tient en son pouvoir la destinée des autres hommes. Tout cela nous paraît infâme et nous voulons le changer. Contre l’injustice nous faisons appel à la révolution.
Mais « la justice n’est qu’un mot, une convention pure » nous dit-on. « Ce qui existe, c’est le droit de la force ! » Eh bien, s’il en est ainsi, nous n’en sommes pas moins révolutionnaires. De deux choses l’une : ou bien la justice est l’idéal humain et, dans ce cas, nous la revendiquons pour tous ; ou bien la force seule gouverne les sociétés et, dans ce cas, nous userons de la force contre nos ennemis. Ou la liberté des égaux ou la loi du talion.
Mais pourquoi se presser ? nous disent tous ceux qui, pour se dispenser d’agir eux-mêmes, attendent tout du temps. La lente évolution des choses leur suffit ; la révolution leur fait peur. Entre eux et nous l’histoire a prononcé. Jamais aucun progrès soit partiel, soit général ne s’est accompli par simple évolution pacifique, et s’est toujours fait par révolution soudaine. Si le travail de préparation s’opère avec lenteur dans les esprits, la réalisation des idées a lieu brusquement : l’évolution se fait dans le cerveau, et ce sont les bras qui font la révolution.
Et comment procéder à cette révolution que nous voyons se préparer lentement clans la Société et dont nous aidons l’avènement par tous nos efforts ? Est-ce en nous groupant par corps subordonnés les uns aux autres ? Est-ce en nous constituant comme le monde bourgeois que nous combattons en un ensemble hiérarchique, avant ses maîtres responsables et ses inférieurs irresponsables, tenus comme des instruments dans la main d’un chef ? Commencerons-nous par abdiquer pour devenir libres ? Non, car nous sommes des anarchistes, c’est-à-dire des hommes qui veulent garder la pleine responsabilité de leurs actes, qui agissent en vertu de leurs droits et de leurs devoirs personnels, qui donnent à un être son développement naturel, qui n’ont personne pour maître et ne sont les maîtres de personne.
Nous voulons nous dégager de l’étreinte de l’État, n’avoir plus au-dessus de nous de supérieurs qui puissent nous commander, mettre leur volonté à la place de la nôtre.
Nous voulons déchirer toute loi extérieure, en nous tenant au développement conscient des lois intérieures de toute notre nature. En supprimant l’État, nous supprimons aussi toute morale officielle, sachant qu’il ne peut y avoir de la moralité dans l’obéissance à des lois incomprises, dans l’obéissance de pratique dont on ne cherche pas, même à se rendre compte. Il n’y a de morale que dans la liberté. C’est aussi par la liberté seule que le renouvellement reste possible.
Nous voulons garder notre esprit ouvert, se prêtant d’avance à tout progrès, à toute idée nouvelle, à toute généreuse initiative.
Mais, si nous sommes anarchistes, les ennemis de tout maitre, nous sommes aussi communistes internationaux, car nous comprenons que la vie„ est impossible sans groupement social. Isolés, nous ne pouvons rien, tandis que par l’union intime nous pouvons transformer le monde. Nous nous associons les uns aux autres en hommes libres et égaux, travaillant à amie œuvre commune et réglant nos rapports mutuels par la justice et la bienveillance réciproque. Les haines religieuses et nationales ne peuvent nous séparer, puisque l’étude de la nature est notre seule religion et que nous avons le monde pour patrie. Quand à la grande cause des férocités et des bassesses, elle cessera d’exister entre nous. La terre deviendra propriété collective, les barrières seront enlevées et désormais le sol appartenant à tous pourra être aménagé pour l’agrément et le bien-être de tous. Les produits demandés seront précisément ceux que la terre peut le mieux fournir, et la production répondra exactement aux besoins, sans que jamais rien ne se perde comme dans le travail désordonné qui se fait aujourd’hui. De même la distribution de toutes ces richesses entre les hommes sera enlevée à l’exploiteur privé et se fera par le fonctionnement normal de la Société tout entière.
Nous n’avons point à tracer d’avance le tableau de la Société future : C’est à l’action spontanée de tous les hommes libres qu’il appartient de la créer et de lui donner sa forme, d’ailleurs incessamment changeante comme tous les phénomènes de la vie. Mais ce que nous savons, c’est que toute injustice, tout crime de lèse-majesté humaine, nous trouveront toujours debout pour les combattre. Tant que l’iniquité durera, nous anarchistes communistes internationaux, nous resterons en état de révolution permanente.
Élisée Reclus.
À lire
Le Libertaire, organe bi-mensuel, à St-J.t.-N. (Bruxelles), rue Vonck, 39. Le n° : 2 centimes.
La Revolte, hebdomadaire avec supplément littéraire, à Paris, rue Mouffetard, 14o. Le n° : 10 centimes.
Revue Libertaire, bi-mensuelle, rue Gabrielle, 3o, Paris. Le n° : 15 centimes.On peut s’y procurer des ouvrages traitant de l’Anarchie :
Les Paroles d’un Révolté, de Pierre Kropotkine, préface par Élisée Reclus. Prix : 1 fr. 25.
La Conquête du Pain, par les mêmes. Prix : 2 fr. 75.
La Société mourante et l’Anarchie, de J. Grave, préface par Octave Mirbeau. Prix : 1 franc.
Évolution et Révolution, par Élisée Reclus, 0 fr. 10.
Etc., Etc.Imprimerie du Libertaire […]
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[ teste ; dessin (Zo d’Axa et gendarme devant personnage assis [juge ?]) ]
- texte :
Le Grand trimard par Zo d’Axa
H. Kistemaeckers, éditeur, Bruxelles
[signature :] Sylvestre 95
lithographie publicitaire pour un livre de Zo d’Axa.
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[ texte ]
- texte :
Prolétaires, Socialistes, Anarchistes
Quand nous disions que les menées politiques devaient forcément profiter au régime social établi, nonobstant toutes les dénégations des chefs de la sociale démocratique, […] [criant ?] à l’infamie.
Quand nous disions que les socialistes de gouvernement seraient d’aussi affreux tyrans que nos maîtres actuels, ils protestèrent avec indignation.Peuple,
En Belgique, les députés socialistes fraternisent avec des massacreurs. Le 24 mai 1901, à la Chambre des députés, le socialiste Troclet, député jeune garde, s’est écrié avec l’approbation de ses collègues du Parti ouvrier :
Quand les socialistes seront en majorité, ils sauront payer convenablement les gendarmes.Ouvriers prolétaires,
L’histoire de la gendarmerie, c’est un martyrologe de la classe ouvrière. (Anseele).
Sur le calvaire de vos douleurs, que sont donc les gendarmes ? Vos bourreaux.
Dans les luttes pour votre salaire et votre émancipation, qui sont les domestiques du patronat ! Les gendarmes.
Qui trouvez-vous partout comme suppôts de l’autorité ? Les gendarmesHommes de liberté,
Le parti ouvrier vient d’échouer dans les bras de cette gendarmerie !
Le parlementarisme est donc bien pourrisseur !Peuple,
Laisserez-vous passer cette suprême injure sans crier votre indignation ?
Cette dernière infamie du socialisme politicien se fera-t-elle en ton nom ? Non ! Non ! Non !
Vous tous, ouvriers miséreux, prolétaires exploités, vous tous esclaves de la terre, de la mine, de l’atelier, vous tous socialistes sincères, anarchistes en révolte, tous enfin, de ce grand peuple en réveil, vous ferez entendre votre indignation et votre réprobation énergiques, et vous viendrez protester avec nous contre pareille infamie.Révoltés,
Les gendarmes font leur entrée au parti ouvrier, au moment où l’on exclut les anarchistes de leurs Maisons du Peuple.
Le parti ouvrier prend à l’égard de certains camarades propagandistes une attitude provocante que nous entendons flétrir.À bas les traîtres ! À bas le parlementarisme !
Vivie le Révolution sociale ! Vive l’anarchie !L’Union anarchiste de Bruxelles
Ville de Bruxelles
Mardi, 11 juin 1901, à 8 h du soir
Grand meeting
public et contradictoire
à L’Éden (ancienne Maison du Peuple) rue de Bavière
ordre du jour :
le socialisme en danger ; le P.O. contre la liberté ; Socialisme et anarchieOrateurs inscrits : Émile CHapelier, ex-forçat, Bruxelles ; Armand Binet, membre du P.O., Sprimont ; Jean de L’Ourthe, collaborateur à La Bataille, Namur ; Jean Hardi, collaborateur au journal De Noodkreet d’Anvers ; Dr Lucien Hénault, rédacteur au Réveil des travailleurs, membre du P.O., Liège ; Julius Mestag, du Comité révolutionnaire d’Anvers ; Georges Thonar, collaborateur à La Bataille, Bruxelles.
Entrée : 10 cent. pour couvrir les frais
MM. les députés et personnalités politiques dont les noms suivent, ont reçu de la part des organisateurs du meeting, une lettre les invitant à la contradiction, ou à justifier vis-à-vis du public leur attitude contre les anarchistes : Bertrand, abbé Daens, Defnet, Dewinne, Horlait, Hubin, Meymans, Vandervelde.
L’Union libertaire de Bruxelles.
Namur. — Imprimerie à vapeur Louis Roman, rue du Fer, 59.
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[ texte ]
- texte :
Prolétaires, Socialistes, Anarchistes
Assistez tous à la
Grande conférence publique et contradictoire
Mardi 2 juillet, à 8 heures du soir
Salle de l’Éden (ancienne Maison du peuple) rue de Bavière, Bruxelles
Orateurs ; Jean Hardy & Julius Mestag
Sujets : La banqueroute du parlementarisme — L’inévitable révolution
Appel fait à la contradiction
Entrée : dix centimes pour couvrir les frais
Pour le groupe : Julius Mestag.
Namur. — Imp. Roman, rue de Fer, 59
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[ texte ]
- texte :
Entente révolutionnaire pour la grève générale
Au Peuple,
La classe ouvrière de Belgique vient de faire une nouvelle et sanglante expérience de la politique de compromissions, pratiquée, à l’encontre de ses intérêts, par les dirigeants de la social-démocratie.
Un lent travail d’émasculation du peuple habilement mené par des arrivistes, avait dès longtemps asservi le prolétariat aux pires caprices d’une campagne honteuse de bassesses, ce, pendant que les intérêts de classe des travailleurs étaient sacrifiés aux ambitions politiques des meneurs.
Les derniers évènements en sont un nouveau mais douloureux témoignage.
Ceux-là même qui, il y a quelques mois, poussaient les prolétaires à la révolte, sans détours, sans phrases ; ceux-là qui ne voyaient d’autres remèdes aux misères des ouvriers que la conquête immédiate du Suffrage universel, même par la force insurrectionnelle ; ceux-là, au bout de quelques jours de luttes, retournèrent leurs papiers, changeaient de procédés et s’appliquaient à faire crouler la grève dont ils étaient les fiers apôtres au début.
Et c’est an moment suprême, alors que le sang ouvrier coulait, que les chefs ordonnent au servilisme populaire de cesser la lutte.
Peuple,
Il faut en finir avec ces mauvais bergers qui osent préparer des candidatures avec le sang des travailleurs.
Il faut en finir avec cette tactique renouvelée de Gribouille qui consiste à crier : Debout, à l’esclave à genoux, pour le précipiter ensuite à plat ventre sous le talon de l’exploiteur.
Il faut en finir avec ces politiciens, et que la situation sociale apparaisse claire et nette au monde travailleur.
En haut, les classes dirigeantes, représentant le principe d’autorité, accaparant toutes les branches de l’activité humaine.
En bas, le peuple représentant le travail et réclamant la liberté, le peuple esclave de l’autorité, esclave de l’industrie, esclave de la loi, le peuple gouverné et exploité qui lutte perpétuellement contre la hideuse misère, les monstruosités du pouvoir et contre les vexations humiliantes dlu patronat.
Dans la lutte des classes, la légalité est sans issues, il faut en revenir aux actions viriles.
Travailleurs,
L’ouvrier de quelque côté qu’il se tourne n’a que la misère pour horizon.
Le Suffrage égalitaire ne lui donne pas à manger, cela profite aux seuls élus. C’est aux patrons et aux gouvernants, ainsi qu’à tous les soutiens de la société : juges, policiers, ministres et députés, que nous devons nous en prendre de ces crimes de lèse-humanité.
C’est en supprimant toutes leurs institutions que nous arriverons à la liberté absolue et à l’égalité sociale.
Nous ne devons pas discuter avec ceux qui nous font mourir de faim, nous devons les abattre.
Ouvriers,
Ce n’est que par la violence que vous arriverez à vous faire écouter !
Ce n’est que devant la force que vous verrez trembler et pâlir ces bourgeois aussi lâches que féroces qui, aujourd’hui, insultent à nos souffrances. Ce n’est que lorsqu’ils auront à. craindre l’assaut de leurs usines et de leurs propriétés que les exploiteurs feront droit aux-revendications du peuple.
Compagnons, Camarades,
Il n’y a qu’un moyen pour réduire la réaction à l’impuissance, c’est
LA GRÈVE GÉNÉRALE
avec toutes ses conséquences révolutionnaires.
La grève s’étendant à tous les métiers, à toutes les industries ; la grève englobant dans un même mouvement de révolte les insoumis au patronat et les réfractaires à la caserne.
Tout le peuple debout, la classe ouvrière en lutte contre ses exploiteurs, avec tons les moyens trouvés par la science.
Les éternels exploités abandonnent enfin la résistance passive, vaine et criminelle, pour se dresser, résolus à, l’action, au, devant de leurs oppresseurs, feront table rase du régime odieux de despotisme, de tyrannie et d’exploitation qui pèse sur le prolétariat.
Telle doit être la signification de l’idée de la Grève générale.
Peuple ouvrier,
Au milieu de cet état social où tout est contrainte, où le travailleur est ravalé au rang de la brute faite pour mange, trimer et dormir, l’Entente révolutionnaire vous adresse un ardent appel à la lutte émancipatrice d’où jaillira l’étincelle donnant au monde du travail le signal de la Rénovation sociale par
la Grève générale révolutionnaire et libératrice.
Camarades, tous debout.
À bas l’oppression. Vive la Grève générale.Pour l’Entente Révolutionnaire de Bruxelles,
Laupy, Jean Hardy.Namur. — Imp. L. Roman, rue de fer 59.
Le texte de cette l’affiche est aussi paru dans Le Réveil socialiste-anarchiste, IIIe année n° 61 (1er novembre 1902) de Genève :
Monarchie et République
Ce n’est pas sans hésitation que nous nous sommes décidés à publier l’appel suivant, que le Groupe d’entente révolutionnaire pour la grève générale, fondé récemment en Belgique, a bien voulu nous communiquer. En effet, quoiqu’il ait été librement publié, répandu et reproduit par deux journaux dans une monarchie cléricale, nous ne sommes pas sûrs que dans le pays le plus libre du monde, dans la Suisse républicaine, les autorités judiciaires ne s’en émouveront pas. L’essai vaut la peine d’être tenté. Il est certain que si la justice genevoise avait pu produire un pareil document pour prouver sa fantastique accusation de crime contre la sûreté intérieure de l’État, toutes les peines prévues parles différents codes, cantonaux et fédéral, auraient paru insuffisantes. L’avis de M. Kronauer sur l’appel de nos camarades belges ne nous déplairait pas, pourvu qu’il n’entende pas le formuler en un réquisitoire de trois heures. Rien de plus terrifiant que l’éloquence du procureur fédéral, s’attachant à prouver le délit d’avoir répandu la terreur !
Voici cet appel : […]- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
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[ texte ]
- texte :
L’Union libertaire, local : chaussée de Forest, 18
Travailleurs !
assistez tous au
Grand meeting anarchiste
qui aura lieu le mardi 24 juin à 8 1/ du soir
à la Salle St-Pierre, ancien Mouton bleu — 343, rue Haute, 343
Ordre du jour :
La leçon des derniers évènements.
La banqueroute du parlementarisme.
Le communisme anarchiste.Orateurs :
Goovaerts, Jean Hardy, Émile ChapelierEntrée libre
Imprimerie J. Keyaert, 12, rue Van Artevelde, Bruxelles
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[ texte ]
- texte :
Salle Rubens, rue des Brigittines
Mardi 22 décembre, à 8 heures du soir
Meeting de protestation
Ordre du jour :
Atrocités commises contre les socialistes libertaires ;
Affaires de BarceloneDes orateurs de diverses écoles socialistes y prendront la parole
L’élite du prolétariat est outrageusement traquée ! Le gant sera relevé.
Tous au meeting
Les citoyens Vandervelde et Lorand et M. l’abbé Daens sont invités. par lettre recommandées, à prendre la parole au Meeting.
La jeunesse libertaire
Bruxelles. - Impr. Vve Brismée, rue de la Prévôté, 7.
dates : 1903 ou 1896 ou 1891 ?
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[ texte ]
- texte :
Comité de Défense Internationale Anarchiste
Contre la répression mondiale
pour la libération de Sacco et Vanzetti ; pour la mise en liberté de Ascaso, Durutti, Jover ; contre les expulsions ; pour le droit d’asile ; contre les traitements inhumains et barbares qui se commettent journellement sur les prisonniers en Pologne, en Bulgarie, en Roumanie, en Hongrie, en Espagne et en Italie, etc., etc. ; pour l’amnistie généralement en Russie également, des emprisonnés politiques, assistez au
Grand meeting
de protestation qui se tiendra dans la salle du “Lion d’Or” place Saint-Géry, 23
le samedi 23 avril 1927, à 8 heures du soir
y prendront la parole :
Férandel, du comité International de Défense Anarchiste.
Marchand, du Syndicat du bâtiment.Pour la Fédération anarchiste de Belgique,
in het vlaamsch Adamas
en français Hem DayComité International de Défense Anarchiste
Fédération belge - Groupe de Bruxelles
Secrétariat : Taverne des Alliés, rue de l’Amigo, 19Les Arts Graphiques [??] imp. 201, chaussée de Haecht, Shaerbeek - Téléphone : [586-78 ??] - Gérant : J. De [Wil. ?]
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[ texte ]
- texte :
Comité International de Défense Anarchiste et Comité Italien PVP
Pire qu’à Léo Moulin
Oubliettes bolcheviques !
Où est Alfonso Pétrini ?
L’abominable machine policière dont se servent les dictatures russes pour exercer leur tyrannie sanglante — une poignée d’hommes de parti contre tout un peuple — a fait, ou veut faire, une nouvelle victime.
Comme pour Ghezzi, qui, sans la pression de l’indignation populaire du monde serait, lui aussi, disparu dans les infâmes oubliettes russes, il faut que toutes les consciences libres exigent justice pour l’infortuné ouvrier antifasciste Alfonso Petrini.
Le passé de cet homme est sans tache. Traqué à mort par les fascistes — frères d’infamie des bolchevistes — il crut pouvoir trouver un asile sur en Russie, mais bientôt ses idées libertaires le vouèrent à la persécution.
Vers le milieu de 1927, sans la moindre présomption de délit, il fut arrêté administrativement par le Guépéou.
Depuis 4 ans on ignore tout de lui
Non seulement il n’a pas été jugé mais :
1° Le Guépéou a fait ignoblement courir le bruit qu’il était au service du fascisme ;
2° On n’a jamais pu connaitre ni les accusations formelles, ni la prison où il était enseveli ;
3° En 1929, nouvelle officieuse de sa mort (contredite depuis) fut communiquée à sa famille, en Italie ;
4° Le chef de l’État, Staline, le directeur du Guépéou, le commissaire à la justice, ainsi que toutes les représentations soviétiques à l’étranger, se sont refusées systématiquement depuis 4 ans, à donner la moindre explication.Cela doit finir. On a fait mordre le frein au triste Mussolini pour Léo Moulin :
l’angoissante tragédie de Alfonso Petrini
doit également arracher à tous les esprits libres le cri d’indignation pour que :Alfonson Pétrini soit, au moins, jugé publiquement ;
qu’il puisse correspondre avec sa famille et ses amis ;
s’il est mort, qu’on exige une enquête sur son assassinat.C’est à désespérer de l’avenir si l’on en est réduit à formuler des revendications aussi élémentaires et, de plus, à un gouvernement qui se dit prolétarien.
Avec Alfonso Pétrini
c’est le principe même de la vie et de la dignité humaine que nous défendons… Debout !Pour le Comité International :
Hem Day.Bruxelles, le 3 octobre 1931.
Les Arts Graphiques, s.c., 201, chaussée de Haecht, Shaerbeek-Bruxelles -Gérant : J. Van Trier
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[ texte ]
- texte :
Comité International de Défense Anarchiste
Prolétaires !
Une nouvelle affaire Sacco-Vanzetti bolcheviste
Francesco Ghezzi
Le courageux militant anarchiste ayant tenté d’échapper à 16 ans de travaux forcés, dont le frappaient les tribunaux de Mussolini, se réfugia en Russie qu’il croyait libre. Le gouvernement de ce pays l’a enfermé, voici bientôt deux ans, dans une cellule moisie de l’antique couvent de Souzdal sans lui avoir accordé une défense publique.
Un dernier appel lancé par dessus les murs du bagne signale que notre camarade se meurt rongé par la tuberculose.
Une lueur d’espoir de le sauver subsiste encore :
C’est votre intervention collective, votre protestation vigoureuse parvenant jusqu’aux oreilles des dictateurs moscovites qui les obligera, sinon à libérer Ghezzi, tout au moins à le laisser partir vers des pays où le prolétariat se fera une joie de l’accueillir à bras ouverts.
Pour empêcher l’assassinat qui se prépare
ouvriers belges
Imposez la libération de Ghezzi aux bourreaux staliniens !
Le Comité International de Défense Anarchiste de Bruxelles
Les Arts Graphiques
201, chaussée de Haecht, Shaerbeek-Bruxelles - Gérant : J. Van Trier- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
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[ texte ]
- texte :
SIA
Solidarité Internationale Antifasciste (asbl)
Local : Aux deux bécasses, 40, rue au Beurre, Bruxelles
Le dimanche 23 mars 1947, à 15 h précises
dans la
Grande Salle des Fêtes des Tramwaymen
17, rue du Poinçon, BruxellesGrande
Fête de solidarité
en faveur des œuvres de la SIA
Au programme :
Elsa Goetschalck, soprano
Willy Jackont, basse chantante
Claudine Franche, du Théâtre des Galeries
Maruxina, danseuse classique
Paquita Cuaetero, chanteuse espagnole
Les Mandolinistes de Bruxelles
Pianiste accompagnateur : René Jacop
Le Spectacle sera présenté par Marcel AntoineLe Cercle philodramatique « Aurore » interprètera “Scrupule”
Le spectacle sera suivi de Redoute
[impr. … ?]
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[ texte ]
- texte :
Union des anciens étudiants de l’Université libre de Bruxelles
Grande conférence
Lundi 18 février 1957
à 20 h 30dans la Salle Arlequin de la Galerie Louise
Madame Sol. Ferrer
parlera du
Message de Francisco Ferrer devant le nouveau visage du MondeParticipation aux frais : 30 fr. - 15 fr. pour les étudiants de l’ULB
Réservation moyennant 5 fr. de supplément : tél. 38.40.55 — CCP 110.19 de l’Union des anciens étudiants de l’ULB, 29, rue Blanche.
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- notes :
- descriptif :
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[ texte ; logo (« penseur ») ]
- texte :
Hommage à Francisco Ferrer
Pédagogue et Libre Penseur
à l’occasion du centième anniversaire de sa naissance et du cinquantième anniversaire de son exécution.
Séance solennelle : vendredi 4 septembre 1959, à 20 h.
Auditoire P.-E. Janson de l’ULB, 48, av. F. Roosevelt, Bruxelles
Manifestation d’action laïque et d’hommage à F. Ferrer
Dimanche 6 septembre 1959
Concentration à 10 heures, au Grand Sablon
À 10 h 45 Hommage au monument Paul Janson - À 11 h Hommage au monument Ferrer
Conférences publiques
À l’auditoire P.-E. Janson de l’ULB, 48, av. F. Roosevelt, Bruxelles
« Actualité de la libre pensée à la lueur de la science »
Samedi 5 septembre à 20 h
Orateurs :
sénateur Dr J.-E. Vandervelde, major-général Dr Brock Chrisholm, professeur H. Laugier, professeur Finocchiaro-Aprile, laître H. Fremling, professeur G.-A. Homes.Dimanche 6 septembre à 15 h
Orateurs :
prof. Lucie de Brouckère, prof. J.-M. Romein, gén. Dr Siurob Raùirez, prof. E. Kahane, prof. P. A. Nowell-Smith.33e congrès international de la Libre Pensée
Sous la présidence d’honneur de Bertrand Russell
Bruxelles - 4 au 8 septembre 1959
Auditoire P.-E. Janson de l’ULB, 48, av. F. Roosevelt, Bruxelles.
Éditeur responsable : J. Davin, rue Puits-en-Sock - Liège
Exempt de timbre
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- notes :
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[ texte ]
- texte :
Le Cercle du Libre examen de l’Université libre de Bruxelles
[flamme de l’ULB]organise
le mercredi 11 janvier 1967 à 20 h 30
une conférence-débat surL’Idéologie provo en Belgique
Engagement ?
Free sex ?
Liberté individuelle ?
par Thomas et BarnabéAuditoire Lameere — Entrée square Groupe G.
Imp. par Presse-Éclair, av. de Roi, […] Bruxelles - T. 34.12[…]
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[ texte ; dessin ]
- texte :
Galerie Govaerts
255, avenue Louise, Bruxelles
Malkine
du 11 mars au 4 avril 1970
[…]
[…]
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- notes :
- descriptif :
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[ dessin des partis belges — sous forme de rats — se ruant sur une poubelle ; texte ]
- texte :
Chassons le vermine parlementaire
Ne votons pas, créons des comités populaires de quartier
Groupe Communiste Libertaire
Ed. responsable Desmet, 17 r. Commune 1040 Br.
verso de l’affiche- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
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[ texte ]
- texte :
Débat contradictoire anti-élections
mercredi 27-10 à 20 h, rue Van Elewijck 35
Réunion à Bruxelles - Ixelles (adresse de la Maison de la Paix). Date : 1993, 1982, 1976, 1971 ou 1965
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
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[ texte ; montage photo (visage(s)) ]
- texte :
Le Grand Soir
Le mensuel du quotidien
20 F
Faites-vous de plus en plus jouir
Affiche publicitaire pour le journal de l’Internationale Unitaire.
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- descriptif :
[ texte (manuscrit et tapuscrit) ]
- texte :
[« A cerclé »]
Nous avons dit non aux élections… les 7 et 21 novembre
Nous avons brûlé publiquement nos convocations. Par ce geste, nous dénonçons la supercherie du système « démocratique » bourgeois, où seule une minorité capitaliste détient la pouvoir de décision au niveau de la gestion économique et sociale de la communauté.
Seules les luttes ouvrières seront capables de renverser le système d’exploitation et de profit, au travers des comités d’action dans les quartiers et les usines créés et gérés par les travailleurs.
Le socialisme, c’est tous ensemble que nous le construiront.
Groupe Communiste Libertaire
Périodique n° 1
22 novembre 1971éditeur responsable Desmet, 17 rue de la Commune, 1040 Bruxelles
Périodique n° 1 (novembre 1971).
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
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[ texte ; dessin (caricature de Jésus Christ en bermuda sur la croix, « BOF » en lieu et place de « INRI », parasol sur la croix, soleil borgne, seau et pelle de plage) ]
- texte :
Vacances en Israël
Non, je préfère Graffitis
journal hebdo relativement mensuel
20 balles, gnia… gnai… gnia !
En vente nulle part encore
Éditeur responsable :
Denijs : 106, rue KeyenveldVoir répertoire Bianco, Graffiti (Bi 1080).
Adresse à Bruxelles - Ixelles.
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- notes :
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[ dessin (deux mains tenant un coupe-boulons) ; texte ]
- texte :
Action internationale Espagne
Internationale Aktie Spanje
1936 à 1973
le peuple espagnol lutte contre le fascisme, et vous ?
1936 tot 1973
het Spaanse volk strijdt tegen het fascisme, en u ?
• Liberté pour les détenus politiques et objecteurs emprisonnés
• Liberté d’expression
• liberté politique et syndicale• Vrijheid voor de politieke en de dienstweigeraars gevangenen
• Vrijheid van meningsuiting
• Politieke en syndikale vrijheidinformation et dossier
Permanences :
35 rue Van Elewyck - Exposition - et ULB (CISCOD) 22 av. Paul Neger, 1050 Bruxelles • Namur : 8 rue J. Arnould, 5270 Flawinne • 75 rue de la gare, 670 Arlon • 36 rue Louvrex, 4000 Liège • 15, rue des Rabots, 6220 Fleurus • 8 rue du Pontneuf, 6000 Charleroi •Éditeur resp. Marc Wagener, r. de la Poudrière 60, Brux. 1000
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- notes :
- descriptif :
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texte
- texte :
Journal libertaire
VDB rapplique
Il dit “sursis au sursis” ; pourtant tout le monde a craché sur l’intégralité de son plan.
Soulevons-nous
contre
les plans Vranckx-VDB,
la militarisation de la société.pour
le droit à l’insoumission,
la radicalisation des luttes par la formation de comités de base autonomes (prélude aux conseils révolutionnaires, base du socialisme d’autogestion libertaire)Refusons l’armée
(armée de métier y compris), soutien de tout État.
Mouvement Communiste Libertaire — Groupe Lycéen Libertaire
éditeur responsable : F. Destrycker - 3, av. Neuray, 1050 Bruxelles
VDB : Paul Vanden Boeynants (1919-2001), Premier ministre de Belgique lors de la parution de l’affiche.
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- notes :
- descriptif :
[ BD ]
- texte :
La Fiche antimilitariste
[BD :]
Les colonies de vacances forment la jeunesse, la vie de groupe développe les facultés mentales et… [soldats au pas]
… bien que les monitrices doivent parfois sanctionner les trouble fête [la “Loi”]
les jeux de plein air… [char d’assaut en forêt]
et les longues promenades ne perdent rien de leur charme. [garde devant des barbelés]
Mais la nourriture, il faut bien le reconnaitre, laisse parfois à désirer !!! [manifestants avec « A cerclé », « Peace & love », pancartes, poing levé etc.][signé XXXX ? 74]
Exempt de timbre loi
Éd. resp. Marc Wagener - 55, rue St-Alphonse - 1030 Bruxelles
[au dos :]
Ordre de mobilisation générale
Tous les objecteurs, de conscience, pacifistes, antimilitaristes de tous poils sont appelés à participer à une vaste entreprise de propagande auprès de nos populations mal informées sur les dangers du militarisme, de la guerre et du conformisme.
[…]
• Prise de parole de tous les militants de l’IRG-MIR sur les divers champs d’action possible ;
[…]Où ? : 35, rue Van Elewijck, Bruxelles
Quand ? dimanche 24 mars[…]
[…]
La Fiche antimilitariste n° 0.
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
[ texte ; dessin (BD sur l’exploitation des travailleurs) ]
- texte :
Les patrons sont-ils indispensables ?
[BD]
-- Qu’est-ce que vous avez dit à cet homme ?-- Je lui ai dit de travailler plus vite…-- Combien le payez-vous ?-- 15 dollars par jour…-- Où prenez-vous l’argent pour le payer ?-- Je vends les produits !!-- Qui fabrique les produits ?-- Lui !-- Combien de produits fabrique-t-il en un jour ?-- Pour une valeur de 50 dollars !-- Ainsi ce n’est pas vous qui le payez. C’est lui qui vous paye 35 dollars par jour pour lui dire de travailler plus vite !-- Hum !-- …-- Mais c’est moi le propriétaire des machines !!-- Et comment avez-vous eu ces machines ?-- J’ai vendu les produits et je les ai achetées !!-- Et qui a fabriqué ces produits-là ?-- Silence ! Il pourrait vous entendre ![…]
ATPOPLG
ca 1974 ?
Une autre version [plus ancienne ?] — d’Yves Giroud — a été éditée par la Ligue marxiste révolutionnaire (1969-1980, Suisse) :
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
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[ affiche recto verso : photos des dégâts de l’attentat, témoignage et texte invitant à la solidarité ]
- texte :
Attentat criminel contre l’asbl 22 mars
Quatre coktails molotov ne nous empêcheront pas de continuer
Éditeur responsable : Noël Roger, 35 rue de la Seconde Reine, 1180 Bruxelles
Imprimé en soutien par l’asbl Octobre
Témoignage
Ce jeudi 20 octobre […]
Comment nous aider ?
1. En versant votre soutien financier au compte 310-0596068-89 de Noël Roger avec le mention « le 22 mars continue ».
2. En venant nous voir à l’imprimerie, 2 rue de l’Inquisition, 1040 Bruxelles, tél. 02/7362776.
3. En venant nombreux à la fête de soutien organisée en collaboration avec la MJ Forest, à la Maison des Jeunes de Forest (19, pl. St Denis, 1190 Bruxelles) le 29/10/77Cette soirée est également organisée par l(AJMB, la Maison des Jeunes Le Clou, Infor Jeunes et l’Agence de Presse Libération Belgique.
22 mars, 2 rue de l’Inquisition 1040 B
Attentat criminel contre l’asbl 22 mars
Com001
attentat criminel contre l’asbl 22 mars [photo]
Ce jeudi 20 octobre, à 2h00 du matin, deux cocktails molotov ont été lancés à travers les vitres de la porte d’entrée de l’asbl "22 mars" située 2 rue de l’Inquisition à 1040 Bruxelles, 02/7362776.
L’asbl "22 mars" a été fondée le 22 mars 1977 (statuts déposés au Moniteur belge). Elle a pour objectifs : "promouvoir la prise en charge par les jeunes et les travailleurs de leurs luttes quotidiennes" et "promouvoir les idées se rattachant au mouvement anti-autoritaire et libertaire". Les services de l’asbl se composent comme suit : une bibliothèque socio-politique, des animations conférences-débats, une imprimerie mise au service de ses membres.
Les dégâts s’élèvent à plusieurs dizaines de milliers de francs. Pour une petite ASBL comme la nôtre (elle repose totalement sur le bénévolat de ses membres) cela représente un coup important qui sans nous être fatal creusera de grands vides dans la caisse. C’est pourquoi nous lançons dès aujourd’hui une campagne de soutien financier. Tous les dons sont à verser au compte Nr 310 - 0596068 - 89 de Noël Roger avec la mention "Le 22 mars continue".
L’asbl 22 mars organisera ce 20 octobre sur les lieux à 11h00 une conférence de presse pour les journalistes désireux de voir les résultats de cet acte criminel ou de recevoir de plus amples informations.
Il faut ajouter qu’il y a quelques jours, nous avions eu sur la vitrine un collage de papiers fascisants réclamant notamment l’expulsion de tous les arabes de Belgique, appelant les gens à écraser le communisme.
Nous sommes profondément indignés par cet acte criminel. Deux personnes dormaient dans les locaux de l’asbl au moment de l’attentat. Elles auraient pu y laisser leur vie.— le collectif de l’asbl 22 Mars —
./.dr.el
xyxybelga 20/10 05.03 h- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
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[ texte ; dessins ; pétition ]
- texte :
Libération — Alternative
L’appel du 18 joint
Cigarettes, pastis, aspirine, gros rouge, calmants, font partie de notre vie quotidienne. En revanche, un simple « joint » de cannabis (sous ses différentes formes : marijuana, haschich, kif, huile) peut vous conduire en prison ou chez un psychiatre.
Des dizaines de documents officiels (notamment les rapports La Guardia aux États-Unis, Wootton en Grande-Bretagne, Le Dain au Canada) ont démontré que le cannabis n’engendre aucune dépendance physique, contrairement aux drogues dites « dures », telles que l’héroïne, mais aussi au tabac ou à l’alcool, et n’a aucun effet nocif comparable (« Pas même une bronchite, sauf chez les grands fumeurs », a écrit aux États-Unis le directeur de l’Institut national contre l’abus des drogues). Le contenu de ces documents n’a jamais été porté à la connaissance du public français, on a préféré laisser la grande presse mener des campagnes d’intoxication fondées sur des mensonges ineptes.
Dans de nombreux pays déjà — États-Unis (Californie, Oregon, Alaska), Pays-Bas, Canada…, la législation sur le cannabis a été considérablement adoucie. En France, on continue d’entretenir la confusion entre drogues dures et drogues douces, gros trafiquants, petits intermédiaires et simples usagers. Cela permet de maintenir et de renforcer une répression de plus en plus lourde : depuis 1969, la police peut perquisitionner chez n’importe qui, sans mandat, à toute heure du jour ou de la nuit, sous prétexte de drogue. Cela permet des arrestations massives de jeunes et des quadrillages policiers. Cela sert à justifier la détention de centaines de personnes, petits revendeurs ou fumeurs de cannabis, quand tout le monde sait que des gros bonnets de l’héroïne sont en liberté. Ces emprisonnements, bien sûr, sont sélectifs et frappent en priorité la jeunesse, surtout la jeunesse ouvrière et les immigrés, particulièrement dans les régions.
Or, des milliers et des milliers de personnes fument du cannabis aujourd’hui en France, dans les journaux, les lycées, les facultés, les bureaux, les usines, les ministères, les casernes, les concerts, les congrès politiques, chez elles, dans la rue. Tout le monde le sait. C’est pour lever ce silence hypocrite que nous déclarons publiquement avoir déjà fumé du cannabis en diverses occasions et avoir éventuellement, l’intention de récidiver. Nous considérons comme inadmissible toute forme de répression individuelle, soumise à l’arbitraire policier et entendons soutenir activement tout ceux qui en seraient les victimes. Nous demandons que soient prises les mesures suivantes :
— dépénalisation totale du cannabis, de son usage, sa possession, sa culture (autoproduction) ou son introduction sur le territoire français en quantités de consommation courante.
— ouverture de centres d’information sur les substances psychotropes, en ordre alphabétique : alcool, cannabis, cocaïne, héroïne, LSD, médicaments, tabac, etc.Nous n’avons que faire de la légalisation de la marijuana, ni de sa commercialisation. Si des trusts à joints s’en emparent, c’est une question de société. Ce texte n’est pas un appel à la consommation. Il vise seulement à mettre fin à une situation absurde.
Affichez-moi !
Dans la société de la norme et de la grande déprime…
on a les plaisirs qu’on veut bien se donner …
Les premiers signataires
Abrahams Jean-Jacques, Annabel, Areski, Dr. Atlan H., Alessandrini Paul. Alessandrini Marjorie. Arietta Adolfo, Anquetil Gilles. Backman René, Bourgeade Pierre. Béranger François. Berger Claude. Bizot Jean-François, Baratier Jacques. Bastide Jean-Pierre. Bouteille Romain, Bardet Vincent. Bodevent Jean-Louis, Barouh Pierre, Bost Jacques-Laurent, Bok Philippe (médecin), Colombel Jeannette, Coste Patricia, Chesneaux Jean, Copi, Clémenti Pierre. Castagnet Paul, Copferman Émile, Carpentier Jean (médecin), Cahiers du Cinéma, Calvet Louis-Jean, Cullaz Maurice, Deleuze Gilles, Duits Charles, Dollé Jean-Paul, Dupré Jean-Louis, Dubois Bernard, Davezies René, Devy Michel, Dachy Mare, Dautin Yvan, Delessert Philippe, Dosse Roger, Druillet Philippe, Dietlin Éric, Dubenton Anne, Erlinguer Serge (médecin), Fromanger Gérard, Font Patrick, Ferré René, de Fréminville Bernard (médecin), Fluence, Fourastié Philippe, Glucksman André, Grasset Jean-Baptiste, Geismar Alain, Guattari Félix, Gotlib, Gébé, Gir Moebius, Haines Jim, Held Jean-Francis, Houdart Blandine, Huppert Isabelle, Isserman Dominique, Ithurriaque Jean (médecin), Jaubert Alain, Jacquot Benoît, Kalfon Jean-Pierre, Kouchner Bernard (médecin), Karsentv Serge, Kan Alain, Levy-Leblond Jean-Marc, Levy-Leblond Élisabeth (médecin), Le Forestier Maxime, Landau Maria (médecin), Letté Jean-Paul, Lyotard Jean-Francois, Lauten Élodie, Lacroix Hugo, Levaillant Yvan, Lagrange Valérie, Laperrousaz Jérôme, Laffont Bernadette, Leclerc Henri (avocat), Mandryka, Mallerin Daniel, Marc’0, Matricon, Mercadet Léon, Matzis Costa, Meunier Jean-Louis, Magny Colette, Muchnik Nicole, Morello Dominique, Maulineux Maud, Mercanton Isabelle, Morin Edgar, Manceaux Michèle, Mémmi Michael, Merleau-Ponty (avocate), Negroni François, Najman C., Nicoulaud Gilles, Oswald P.J., Oswald Hélène, Ogier Bulle, Orla, Pinhas Richard, Pleyney Marcellin, Pradalié Philippe, Pasquet Sylvaine, Rauch Alain, Revault d’Allonnes, Reed Will, Renault Philippe, Rouzaud Jean, Ribbes Jean-Paul, Rochefort Christiane, Roche Raguenés Jean, Righini Marielle, Rosso Serge-Bruno, Richard Jean-Vincent, Sollers Philippe, Saint-James Daniel, Sarduy Severo, Sery Patrick, Samuel Laurent, Savary Jérôme, Simmonet Dominique, Szejer Myriam (méd.), Tavernier B., Timsit (avocat), Topor, Tobias, Thérame Victoria, Verthomme Hugo, Vannoni Patrice, Varela José, Van Eersel, Patrice, Vasca Jean, Verdier Joan Pau, Val Philippe, Yelnik Jean-Benoît, Zouiou, France Léa, Sami Avari, François Chatelet.
Nous ! et vous ?
Affiche en page centrale du journal Alternative libertaire n° 30 (1er décembre 1977), publié sans doute conjointement avec Libération.
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
[ texte ; dessin (avocat en robe devant son double derrière des barreaux) ; photo (visage de Denis Van Hecke) ]
- texte :
avec la participation de Denis Van Hecke (violoncelle branché)
le Cercle du Libre-Examen de l’ULB, le Groupe Information Asile, le Réseau International “Alternative à la psychiatrie”
présentent
Les nouvelles voies de la répression en Europe occidentale
Conférence débat avec la participation de
David Copper, auteur de Psychiatrie et anti-psychiatrie et Qui sont les dissidents ?
Mony Elkaïm, coordinateur international du réseau “Alternative à la psychiatrie”
Félix Guattari, psychanalyste “Rencontres de Trieste” et “Journées de Bologne”
Gérard Soulier, professeur de droit à Amiens, membre du “Comité de soutien à Klaus Croissant”
Groupe Information Asile
Michel Graindorge, membre du “Comité international pour la défense des droits des prisonniers politiques en Europe occidentale”
des animatrices de Radio Alice
Mercredi 7 déc. - 20 h précises
auditoire P.-E. Janson - avenue Roosevelt 48 — 1050 B
PAF : 100 F
membres : 70 F[signature ?]
[impression ?]
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
- /B_tout>
[ texte ; dessin (bonhomme tenant un journal devant sa presse) signé Pascal Dancie/Dancle ? ]
- texte :
Un journal de quartier,
un tract pour une manif, une affiche,
un bulletin syndical
ou un dépliant culturel…ça ne doit pas forcément être bâclé.
« 22 mars », photocomposition, photogravure, impression
Imprimerie tél. 736.27.762, rue de l’Inquisition 1040 BXL
Prix avantageux pour travaux militants, culturels, collectivités.
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
[Manifeste anarchite : liberté, égalité, fraternité]
[Manifeste anarchite : liberté, égalité, fraternité]. — Bruxelles = Brussels Bruxelles : [s.n.], . — 1 affiche (impr. photoméc.) : n. et b. ; x × y cm.
sources :Notes
[1] https://maitron.fr/spip.php?article153748, notice MONIER (ou MONNIER) Ferdinand, Alfred [Dictionnaire des anarchistes] par Rolf Dupuy, version mise en ligne le 31 mars 2014, dernière modification le 10 août 2020.
[Nos propagandistes]
[Nos propagandistes]. — Bruxelles = Brussels Bruxelles : Ni Dieu ni Maître (1885-1886), . — 1 affiche (impr. photoméc.) : n. et b. ; x × y cm.
sources :
[Pourquoi sommes-nous anarchistes ?]
[Pourquoi sommes-nous anarchistes ?]. — Bruxelles = Brussels Bruxelles : le Libertaire (1893-1894), [ca ]. — 1 affiche (impr. photoméc.) : n. et b. ; x × y cm.
sources :
[Le Grand trimard par Zo d’Axa]
[Le Grand trimard par Zo d’Axa] / Sylvestre. — Bruxelles = Brussels Bruxelles : [s.n.], . — 1 affiche (lithogr. ), coul. (deux : rouge , noir , papier blanc ) ; 45 × 55 cm.
sources :
[Grand meeting public et contradictoire : le socialisme en danger ; le P.O. contre la liberté ; Socialisme et anarchie]
[Grand meeting public et contradictoire : le socialisme en danger ; le P.O. contre la liberté ; Socialisme et anarchie]. — Bruxelles = Brussels Bruxelles : Union libertaire (Bruxelles : ca 1900-1902), (Roman (impr. Louis : Namur)). — 1 affiche (impr. photoméc.) : n. et b. ; x × y cm.
sources :
[Grande conférence publique et contradictoire : la banqueroute du parlementarisme ; l’inévitable révolution]
[Grande conférence publique et contradictoire : la banqueroute du parlementarisme ; l’inévitable révolution]. — Bruxelles = Brussels Bruxelles : [s.n.], (Roman (impr. Louis : Namur)). — 1 affiche (impr. photoméc.) : n. et b. ; x × y cm.
sources :
[Entente révolutionnaire pour la grève générale]
[Entente révolutionnaire pour la grève générale]. — Bruxelles = Brussels Bruxelles : Entente révolutionnaire, (Roman (impr. Louis : Namur)). — 1 affiche (impr. photoméc.) : n. et b. ; x × y cm.
sources :
[Grand meeting anarchiste : la leçon des derniers évènements ; la banqueroute du parlementarisme ; le communisme anarchiste]
[Grand meeting anarchiste : la leçon des derniers évènements ; la banqueroute du parlementarisme ; le communisme anarchiste]. — Bruxelles = Brussels Bruxelles : Union libertaire (Bruxelles : ca 1900-1902), [ ?]. — 1 affiche (impr. photoméc.) : n. et b. ; x × y cm.
sources :
[Meeting de protestation : atrocités commises contre les socialistes libertaires ; affaires de Barcelone]
[Meeting de protestation : atrocités commises contre les socialistes libertaires ; affaires de Barcelone]. — Bruxelles = Brussels Bruxelles : Jeunesse libertaire (Ixelles ?), [ ?] (Brismée, impr. Vve). — 1 affiche (impr. photoméc.) : n. et b. ; x × y cm.
sources :
[Contre la répression mondiale : grand meeting]
[Contre la répression mondiale : grand meeting]. — Bruxelles = Brussels Bruxelles : CIDA (Comité International de Défense Anarchiste) : Fédération anarchiste de Belgique, (Arts graphiques (Bruxelles)). — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (une : noir , papier de couleur ) ; 55 × 73 cm.
sources :
[Oubliettes bolcheviques ! : où est Alfonso Pétrini ?]
[Oubliettes bolcheviques ! : où est Alfonso Pétrini ?]. — Bruxelles = Brussels Bruxelles : CIDA (Comité International de Défense Anarchiste), (Arts graphiques (Bruxelles)). — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (une : noir , papier rouge ) ; 100 × 65 cm.
sources :
[Une nouvelle affaire Sacco-Vanzetti bolcheviste : Francesco Ghezzi]
[Une nouvelle affaire Sacco-Vanzetti bolcheviste : Francesco Ghezzi]. — Bruxelles = Brussels Bruxelles : CIDA (Comité International de Défense Anarchiste), (Arts graphiques (Bruxelles)). — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (une : noir , papier rouge ) ; 100 × 65 cm.
sources :
[Grande fête de solidarité]
[Grande fête de solidarité]. — Bruxelles = Brussels Bruxelles : SIA_ (Solidaridad internacional antifascista - Solidarité internationale antifasciste), . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (une : noir , papier de couleur ) ; x × cm.
sources :
[Message de Francisco Ferrer devant le nouveau visage du Monde : grande conférence de Sol Ferrer]
[Message de Francisco Ferrer devant le nouveau visage du Monde : grande conférence de Sol Ferrer]. — Bruxelles = Brussels Bruxelles : [s.n.], . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (une : bleu ) ; 82 × 60 cm.
sources :
[Hommage à Francisco Ferrer]
[Hommage à Francisco Ferrer]. — Bruxelles = Brussels Bruxelles : Libre pensée, . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (une : bleu ) ; 55 × 37 cm.
sources :
[L’Idéologie provo en Belgique : conférence-débat]
[L’Idéologie provo en Belgique : conférence-débat]. — Bruxelles = Brussels Bruxelles : [s.n.], . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (une : noir , papier de couleur ) ; 72 × 55 cm.
sources :
[Malkine, galerie Govaerts, Bruxelles]
[Malkine, galerie Govaerts, Bruxelles]. — Bruxelles = Brussels Bruxelles : [s.n.], . — 1 affiche (impr. photoméc.) : n. et b. ; x × y cm.
sources :
[Chassons la vermine parlementaire. Créons des comités populaires de quartier]
[Chassons la vermine parlementaire. Créons des comités populaires de quartier]. — Bruxelles = Brussels Bruxelles : GCL_ (Groupe communiste libertaire : Bruxelles), [ ?]. — 1 affiche (impr. photoméc.) : n. et b. ; 61 × 45 cm.
sources :
[Débat contradictoire anti-élections, mercredi 27-10 à 20 h, rue Van Elewijck 35]
[Débat contradictoire anti-élections, mercredi 27-10 à 20 h, rue Van Elewijck 35]. — Bruxelles = Brussels Bruxelles : [s.n.], [ ?]. — 1 affiche (sérigr. ) : n. et b. ; 50 × 32 cm.
sources :
[Le Grand Soir : faites-vous de plus en plus jouir ]
[Le Grand Soir : faites-vous de plus en plus jouir ]. — Bruxelles = Brussels Bruxelles : Internationale unitaire, [ca ]. — 1 affiche (impr. photoméc.) : n. et b. ; 60 × 43 cm.
sources :
[Nous avons dit non aux élections...]
[Nous avons dit non aux élections...]. — Bruxelles = Brussels Bruxelles : GCL_ (Groupe communiste libertaire : Bruxelles), . — 1 affiche (impr. photoméc.) : n. et b. ; 42 × 30 cm.
sources :
[Vacances en Israël ? Non, je préfère Graffitis, journal hebdo relativement mensuel]
[Vacances en Israël ? Non, je préfère Graffitis, journal hebdo relativement mensuel]. — Bruxelles = Brussels Bruxelles : [s.n.], [ ?]. — 1 affiche (sérigr. ) : n. et b. ; 60 × 49 cm.
sources :
[1936-1973 ; le peuple espagnol lutte contre le fascisme, et vous ?]
[1936-1973 ; le peuple espagnol lutte contre le fascisme, et vous ?]. — Bruxelles = Brussels Bruxelles : [s.n.], . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (une : vert , papier blanc ) ; 63 × 44 cm.
sources :
[Soulevons-nous, refusons l’armée]
[Soulevons-nous, refusons l’armée]. — Bruxelles = Brussels Bruxelles : Mouvement communiste libertaire, . — 1 affiche (impr. photoméc.) : n. et b. ; 44 × 30 cm.
sources :
[La fiche antimilitariste [au dos] Ordre de mobilisation générale... dimanche 24 mars]
[La fiche antimilitariste [au dos] Ordre de mobilisation générale... dimanche 24 mars]. — Bruxelles = Brussels Bruxelles : IRG_ - MIR_ (Internationale des résistants à la guerre - Mouvement international de la réconciliation), . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (une : brun , papier blanc ) ; 43 × 30 cm.
sources :
[Les patrons sont-ils indispensables ?]
[Les patrons sont-ils indispensables ?] / ATPOPLG (Atelier populaire de Liège). — Bruxelles = Brussels Bruxelles : [s.n.], [ ?]. — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (une : bleu ) ; [59 ?] × [40 ?] cm.
sources :
![]() [ 1995 ?] |
![]() 2009 |
![]() [ 1995 ?] |
![]() [ 1995 ?] |
![]() [ 1995 ?] |
![]() [ 1995 ?] |
[Attentat criminel contre l’asbl 22 mars, quatre coktails molotov ne nous empêcheront pas de continuer]
[Attentat criminel contre l’asbl 22 mars, quatre coktails molotov ne nous empêcheront pas de continuer]. — Bruxelles = Brussels Bruxelles : [s.n.], (22_mars, impr. du (Bruxelles)). — 1 affiche (impr. photoméc.) : n. et b. ; 82 × 56 cm.
sources :
[L’appel du 18 joint]
[L’appel du 18 joint]. — Bruxelles = Brussels Bruxelles : Alternative libertaire mensuel (Bruxelles) ; [et al.], . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (une : vert , couleur en dégradé , papier blanc ) ; 43 × 31 cm.
sources :
[Les nouvelles voies de la répression en Europe occidentale]
[Les nouvelles voies de la répression en Europe occidentale]. — Bruxelles = Brussels Bruxelles : réseau Alternative à la psychiatrie : Cercle du Libre Examen : GIA_ (Groupe information asile), (22_mars, impr. du (Bruxelles)). — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (une : bleu ) ; x × y cm.
sources :
[Un journal de quartier, un tract pour une manif...]
[Un journal de quartier, un tract pour une manif...] / Pascal Dancie. — Bruxelles = Brussels Bruxelles : éditions du 22_Mars (Bruxelles), (22_mars, impr. du (Bruxelles)). — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (quadri ) ; 60 × 42 cm.
sources :
[La poudre blanche tue : plus de 30 overdoses en 1979]
[La poudre blanche tue : plus de 30 overdoses en 1979]. — Bruxelles = Brussels Bruxelles : Association contre les drogues dures (Bruxelles) : éditions du 22_Mars (Bruxelles), (22_mars, impr. du (Bruxelles)). — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (trois : rouge , bleu , orange , papier de couleur ) ; [60 ?] × [42 ?] cm.