Espagne : histoire : 1939-1975

 

 

Affichage par année

42 affiches :

 

    [19 juillet 1936]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    19 juillet 1936]. — Cordes : JEL_ (Junta española de liberación), [ ?]. — 1 affiche (impr. photoméc.) : n. et b. ; x × y cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  :
    • Liste des thèmes  : exil et exilés  ; fascisme et antifascisme  ; politique internationale
    • Géographie, géopolitique et Histoire  : Espagne : histoire : 1936-1939  ; Espagne : histoire : 1939-1975
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  :
    notes :
    descriptif :


    [ texte ]

    texte :

    Junta española de liberación

    Cordes (Tarn)

    19 juillet 1936

    Jour historique pour le peuple espagnol, celui qui fit face à la plus grande bataille contre le fascisme international, pour la défense de sa République et de la démocratie mondiale.

    Voici l’héritage laissé au peuple espagnol par le dictateur nazi, Franco, depuis son triomphe obtenu grâce à l’aide de ses maîtres-criminels, Hitler et Mussolini :
    — des milliers de morts ;
    — des milliers d’emprisonnés ;
    — des bataillons de travailleurs forcés.

    Partout des geôles, de la misère, des camps de concentration comme à Buckenwald [Buchenwald].

    Sa politique extérieure : Division bleue… Tanger… Gibraltar… et 1.000.000 de baïonnettes pour défendre Berlin…

    Pour la libération de la République espagnole, pour la liberté de l’Espagne, nous, la JLE demandons au gouvernement du Général de Gaulle la rupture immédiate des relations diplomatiques avec la dernière demeure du fascisme international : l’Espagne franquiste.

    Vive les Nations Unies !

    La délégation de Cordes de la JLE


    sources :

    Affiche signalée dans le livre Républicains espagnols en Midi-Pyrénées : exil, histoire, et mémoire, ouvrage collectif, Presses Universitaires du Mirail, Toulouse, 2005, p. 323, avec cette présentation :

    Dans les années 1944-1945.
    Une affiche des Jeunesses Libertaires Espagnoles de Cordes-sur-Ciel [1]. Les réfugiés espagnols croyaient encore à une chute imminente de la dictature franquiste….

    Si des anarchistes ont participé à la Junte anti franquiste et anti-communiste, il n’est toutefois pas sur que JLE signifie Jeunesse(s) libertaire(s) espagnole(s).

    Notes

    [1Ce nom est une création littéraire de 1947 et le nom officiel de la commune depuis 1993




    [Comment ils sont morts]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Comment ils sont morts]. — Paris : CNT_ (España) : Le Libertaire (1944-1956), (ICC (Imprimerie Centrale du Croissant)). — 1 affiche (impr. photoméc.) : n. et b. ; [54 ?] × [37 ?] cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  :
    • Liste des thèmes  : procès
    • Géographie, géopolitique et Histoire  : Espagne  ; Espagne : histoire : 1939-1975
    • Noms cités (± liste positive)  : Adrover Font, Pere (....-1952)  ; Mir Gruana, Santiago (....-1952)  ; Përe, Pedredo, José “Tragapanes” (1926-1952)  ; Pons Argiles, Jorge “Tarantula” (1912-1952)  ; Urrea Piña, Ginés (1897-1952)
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  : soutien à militants
    notes :
    descriptif :


    [ texte ]

    texte :

    Comment ils sont morts

    Le jeudi 13 mars à minuit, nos cinq camarades anarchistes :
    GINES URREA PINA - JORGES PONS ARGELES JOSE FEREZ PEDRERO - PEDRO ADROVER FONT
    SANTIAGO MIR GRUANA
    furent isolés à la prison modèle de Barcelone où la garde fut renforcée d’éléments militaires.

    Jusqu’au dernier moment on laissa les entraves aux condamnés à mort.

    Seul José Ferez Pedrero, quelques instants avant l’exécution, put voir son frère.
    Soumis aux sarcasmes et aux insultes des policiers de la brigade politico-sociale, nos camarades surent garder leur dignité.

    Les prêtres complices du crime

    Les curés et les religieuses se dépensaient pour essayer d’obtenir qu’un camarade, pendant un instant, montrât sa faiblesse. Devant leur insistance l’un des nôtres répondit :
    Ma conscience forgée librement et pour la liberté constitue le meilleur juge que je puisse désirer, et au fond de moi-même, j’ai la conviction que je quitte cette vie avec la nette conduite des militants qui ont tout donné pour l’humanité de demain.

    Le camarade Urrea répondit aux assassins de la brigade politique :
    On me tue pour le seul fait d’appartenir à la CNT. Après moi, après nous, beaucoup d’autres lutteront et beaucoup d’autres continueront à se battre pour la cause pour laquelle mes camarades et moi donnons notre vie :
    LA LIBERTÉ DU PEUPLE ESPAGNOL

    À 6 h. 15, l’assassinat eut lieu. Cinquante balles coupèrent ces cinq cris de foi et d’héroïsme :
    Tirez sur nos poitrines ! Mort aux bourreaux de l’Espagne ! Vivent la CNT et la FAI ! Vive la liberté ! Vive l’anarchisme !

    Et les bourreaux se virent dans l’obligation de donner trois coups de grâce à trois corps qui se tordaient atrocement.

    L’intégrité montrée par nos cinq héros, maintenus dans les tortures jusqu’à leur exécution, laisse dans le cœur de chacun la volonté de continuer, quoi qu’il arrive, la lutte

    POUR LA LIBERTÉ

    Barcelone, 14 mars 1952 — Le Comité National de la CNT clandestine en Espagne

    Tous les jeudis lisez le “LIBERTAIRE”

    Pour être apposée à l’extérieur, cette affiche doit être rayée d’un trait de couleur

    [marque syndicale] Impr. Centrale du Croissant 19. rue du Croissant, Paris-2e
    P. Rochon imprimeur


    sources :

    Le conseil de guerre qui se réunit à Barcelone le 6 février 1952 contre une trentaine de membres et collaborateurs des groupes d’action libertaire, condamne à mort huit des inculpés, dont cinq (Santiago Amir Gruañas, Pedro Adrover Font, Jorge Pons Argilés, José Pérez Pedrero, Ginés Urrea Piña) seront exécutés le 14 mars. (D’après : http://losdelasierra.info/spip.php?article3787).

    Cette affiche est paru dans Le Libertaire n° 310 (11 avril 1952).


    1952
    Affiche liée





    [Asilo ai perseguitati spagnoli, esperti militari italiani e spagnoli si cambiano visite, perché ?]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Asilo ai perseguitati spagnoli, esperti militari italiani e spagnoli si cambiano visite, perché ?]. — Trieste : FAI_ (Federazione anarchica italiana) : Federazione anarcica giuliana, . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (deux  : rouge , noir , papier blanc ) ; 100 × 70 cm.

    • Affiches par pays  : Italie
    • Lieux d’archivages  : CIRA (Lausanne)
    • Liste des thèmes  : exil et exilés  ; fascisme et antifascisme
    • Géographie, géopolitique et Histoire  : Espagne  ; Espagne : histoire : 1939-1975  ; France : histoire : 1945-1968
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  :
    notes :
    descriptif :


    [ texte ]

    texte :

    Federazione Anarchica Italiana

    Asilo ai perseguitati spagnoli

    Una minaccia grave incimbe sugli uomini liberi.

    L’intensa liberticida e forcaiola tra De Gaulle e Franco chiude la via di scampo, già precaria, che era rimasta ancore ai difensori più strenui della libertà del popolo spagnolo.

    Bisogna che vigili, contro questa minaccia, il senso internazionale di solidarietà. Bisogna far si che, specialmente in Italia, resti aperta la porta ai profughi spagnoli.

    Il popolo italiano, non dimentico delle sofferenze e delle oppressioni patite sotto la dittatura, dimostrerà ancora una volta che non vi possono essere compromessi od accomodamenti tra l’antifascismo e le forze dell’illibertà.

    Ogni discriminazione o ’distingo’, nell’ambito dei movimenti antifasciti, non può che indebolire la linea di resistenza contro le insidie del nemico comune, palese o nascoto.

    Lavoratori, studenti, intellettuali antifascisti !

    È già troppo che tra i criminali di Francia, Germania e Spagna spunti la minaccia di un nuovo asse militarista europeo, ma che l’Italia stenda l amano a questi signori, assetati di tirannide, è il colmo.

    Esperti militari italiani e spagnoli si cambiano visite, perché ?

    Bisogna vigilare ed operare con ogni energia, affinché il diritto d’asilo per i rifugiati spagnoli rimanga e si estenda ancor più, ad onore dei popoli democratici di Francia, d’Italia e di tutto il mondo.

    Bisognia prepararsi quindi allo spirito di resistenza e lotta contro i politicanti ed i militaristi cospiranti ai danni della vita dei perseguitati politici spagnoli, che è anche vita nostra.

    A cura della Federazione Anarchica Giuliana - CP 1507 Trieste (4)

    Trieste, febbraio 1963

    Tipographia Graphis - TS


    sources :
     






















    [Dieu et maître présente Otro Futuro]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Dieu et maître présente Otro Futuro]. — [S.l.] : [s.n.], . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (trois  : rouge , noir , vert , papier blanc ) ; 42 × 30 cm.

    • Affiches par pays  : Suisse
    • Lieux d’archivages  : CIRA (Lausanne)
    • Liste des thèmes  : art : cinéma
    • Géographie, géopolitique et Histoire  : Espagne : histoire : ->1907  ; Espagne : histoire : 1908-1923  ; Espagne : histoire : 1923-1931  ; Espagne : histoire : 1931-1936  ; Espagne : histoire : 1936-1939  ; Espagne : histoire : 1939-1975
    • Noms cités (± liste positive)  : Netchaiev, Serge (1847-1882)  ; Prost, Richard  ; Proudhon, Pierre-Joseph (1809-1865)
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  :
    notes :
    descriptif :
    Symbole(s) utilisé(s) :

    [ photomontage (texte, dessin [gravures Renaissance], photos [Netchaïev, Proudhon]) ]

    texte :

    Dieu et maître présente :

    Otro Futuro

    1989
    un film de Richard Prost sur l’Espagne de la guerre civile, en présence du réalisateur

    Le film, découpé en 3 parties de 50 minutes, relate les événements qui ont marqué l’Espagne avant et pendant la guerre civile ; il a été produit par les hommes et les femmes de l’exil anarcho-syndicaliste qui ont été les acteurs de la guerre :

    1re partie : Des racines idéologiques (introduction des idées bakouninistes en Espagne) au soulèvement franquiste de juillet 1936).
    Création de la CNT en 1910 _ La dictature de Primo de Rivera — L’avènement de la république en 1931 — Le soulèvement des Asturies en 1934 — Le communisme libertaire ici et maintenant…

    2e partie : L’écrasement du soulèvement militaire dans la majeure partie de la péninsule et la mise en pratique en Catalogne, Levant, Aragon, Castille du « programme » communiste libertaire : les colonnes de miliciens, les collectivisations agraires d’Aragon, les collectivisations industrielles en Catalogne, etc.

    3e partie : Difficultés et contradictions politiques de la fin de 1936 à la fin de la Seconde guerre mondiale : Les journées de mai 1937, la liquidation progressive de la révolution — Victoire franquiste } L’exil et les camps de concentration espagnols, français et allemands — La résistance.

    Au Relais des Chasseurs
    Aux Écorcheresses

    le vendredi 16 février 1996, à 18 heures


    sources :
     












    [In de ban van het subversieve boek]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    In de ban van het subversieve boek]. — Bruxelles = Brussels Bruxelles : [s.n.], . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (deux  : noir , brun , papier blanc ) ; 48 × 36 cm.

    • Affiches par pays  : Belgique
    • Lieux d’archivages  : Anarchief (Gent)
    • Liste des thèmes  : édition  ; lutte armée  ; lutte des classes  ; révolte
    • Géographie, géopolitique et Histoire  : Chili  ; Espagne : histoire : 1939-1975  ; Grèce
    • Noms cités (± liste positive)  : Alberola Suriñach, Octavio (1928-....)
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  : conférence, débat…  ; salon, foire
    notes :
    descriptif :


    [ texte ; dessin (main avec cutter) ]

    texte :

    In de ban van het subversieve boek

    24-25 mei 2008

    Pianofabriek — Fortstraat 35, Brussel (Sint-Gillis)

    Vrije toegang

    zaterdag 24 mei vanaf 12u boekenbeurs

    13u Furieuse dagen, woedende nachten
    Een blik op de recente sociale explosies in Chili.

    18u Defense Interior, één mei-groep en GARI
    Discussie over de internationale revolutionaire actie in 1961-1975 met Octavio Alberola.

    zondag 25 mei vanaf 12u boekenbeurs

    13u Tegen de THT en hun wereld.
    Discussie met kameraden betrokken bij de strijd tegen de hoogspanningslijnen in Normandië en Catalonië.

    15u Rock’n roll and class struggle.
    Discussie over de stakingen, rellen en agitatie in het Verenigd Koninkrijk in de jaren 80.

    18u Discussie met Griekse kameraden over sociale strijden, staatsdepressie en solidariteit met opgesloten kameraden en gevangenen in strijd.

    voor meer informatie : thesubversivebook@gmail.com


    sources :
     




    [Homenaje a las victimas del franquismo, a los luchadores por la libertad]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Homenaje a las victimas del franquismo, a los luchadores por la libertad]. — Madrid : CNT_ (España), . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (une  : rouge , texte en défonce , papier blanc ) ; 48 × 88 cm.

    • Affiches par pays  : Espagne
    • Lieux d’archivages  : CIRA (Lausanne)
    • Liste des thèmes  :
    • Géographie, géopolitique et Histoire  : Espagne : histoire : 1936-1939  ; Espagne : histoire : 1939-1975
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  : anniversaire, commémoration
    notes :
    descriptif :


    [ Affiche en forme de plaque de rue ou de monument : plusieurs lignes de signatures de diverses organisations (PCE, IR, CNT, etc.) ]

    texte :

    Homenaje a las victimas del franquismo, a los luchadores por la libertad

    Partido Comunista de España (marxista-leninista) /PCE (m-l)/ ; Izquierda Republicana (IR) ; Confederation National del Trabajo (CNT) ; Partido Comunista de España ; Fraternidad Democrática de Militares del Ejército de la República (FDMER) ; Comisiones Obreras (CC.OO.) (Uniones de Madrid, Murcia, Valencia y otras) ; Juventud Comunista de España (marxista-leninista) /JCE (m-l)/ ; Juventud Obrera Cristiana de España (JOC-E) ; Movimiento de Objectores de Conciencia (MOC) ; Tribunal Internacional contra los Crímenes del Franquismo (TICF) ; Euskadiko Eskarra (EE) ; Unitat del Poble Valencià (UPV) ; Acción Democrática Republicana Española (ARDE) (Madrid) ; Liga Comunista Revolucionaria (LCR) (País Valenciano) ; Juventud Comunista de Madrid (JCM) ; Onda Verde ; Joven Izquierda ; Asamblea de Colectivos de Radio Klara ; Asociación de Familiares de Fusilados de Paterna ; Casal Bonavista de Barcelona ; Associació Carrabiners de la República ; Comisió de Defensa del Col·legi d’Advocats de Barcelona ; Unión Sindical de Trabajadores de la Enseñanza de Cataluña - USTEC ; Colectivo Educativa de Andalucía ; Asociación Regional "Rosario Acuña" de Viduas de la Guerra Civil (Asturias) ; Federación de Asociaciones de Vecinos de Barcelona ; decenas de organizaciones populares y miles de miembros de partidos políticos, sindicalistas, profesionales, artistas, intelectuales, …


    sources :