torture

 

 

Affichage par année

25 affiches :

 

    [Grand meeting public sur l’Inquisition en Espagne, par Charles Malato et Sébastien Faure]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Grand meeting public sur l’Inquisition en Espagne, par Charles Malato et Sébastien Faure]. — Paris : Le Libertaire (1895-1939), . — 1 affiche (impr. photoméc.) : n. et b. ; [54 ?] × [40 ?] cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  :
    • Liste des thèmes  : religion et spiritualité (en général)  ; répression  ; terrorisme  ; torture
    • Géographie, géopolitique et Histoire  : Espagne
    • Noms cités (± liste positive)  : Butaud, Georges (1868-1926)  ; Faure, Sébastien (1858-1942)  ; Girault, Ernest (1871-1933)  ; Malato, Charles (1857-1938)  ; Murmain, Élie (1862-1913)  ; Prost, Francis (1873-1948)  ; Tennevin, Alexandre (1848-1908)  ; Tortelier, Joseph (1854-1925)
    • Presse citée  : Libertaire (1895-1939), Le
    • Vie des mouvements  : conférence, débat…  ; soutien à militants
    notes :
    descriptif :


    [ texte ]

    texte :

    Au Tivoli-Waux-Hall, reu de la Douane, le mardi 5 janvier 1897, à 8 h 1/2 du soir

    Grand meeting public

    Organisé par la Libertaire

    sur l’Inquisition en Espagne

    Conférence

    par Charles Malato et Sébastien Faure

    Prendront également la parole :
    Buteaud, Girault, Murmain, Prost, Tennevin, Tortelier, etc., etc.

    Camarades !

    Il se passe en Espagne des choses épouvantables dont, à part l’Intransigeant, la presse quotidienne n’a presque pas parlé.

    Voici les faits :

    On n’a pas oublié qu’au cours d’une procession religieuse, à Barcelone, une bombe éclata. L’auteur de cet attentat restant inconnu, le Gouvernement Espagnol profita de la circonstance pour arrêter plusieurs centaines de personnes suspectes de tendances républicaines ou de convictions anarchistes.

    Incarcérés dans la forteresse de Montjuich, ces malheureux y subirent les horribles tortures en usage durant les siècles maudits de l’Inquisition : les prisonniers furent soumis au régime de la morue salée et privés de toute boisson ; on les força à marcher nuit et jour et, quand la fatigue les terrassait, c’est à l’aide des lanières déchirant la peau des suppliciés, des tisons rougis pénétrant dans leur chair, des ongles arrachés, des testicules comprimés et broyés, des lèvres tailladées, qu’on leur faisait rouvrir les yeux et reprendre leur marche. Bref, le récit plein d’horreur des raffinements barbares auxquels recoururent les tortionnaires dépasse l’imagination.

    Sans autres preuves que les vagues aveux et dénonciations arrachés aux patients entre deux cris de douleur ou deux râles d’agonie, une Cour Martiale vient de condamner huit accusés à la peine de mort, quarante à vingt ans de prison et vingt-sept à huit années de la même peine

    Camarades !

    C’est contre cet arrêt infâme et les procédés qui en ont été la préface que nous en appelons à vos sentiments de justice.

    Il ne s’agit pas seulement d’exprimer la pitié que nous ressentons pour les victimes et l’horreur que nous inspirent les bourreaux.

    Cette manifestation — qu’il faut imposante — doit surtout avoir pour objet : d’affirmer à la face des oppresseurs l’étroite union des foules opprimées ; d’affermir et de développer dans le peuple Espagnol ses sentiments de fierté, de révolte et de haine contre l’Espagne monarchique et catholique ; enfin de faire savoir à notre gouvernement de curés que, s’il était jamais tenté de raire revivre en France la tradition des Torquemadas que le clérical Canovas acclimate en Espagne, il trouverait devant lui debout et insurgé, le peuple des journées révolutionnaires.

    Si nous voulons, camarades, que notre clameur d’indignation soit entendue, il faut que des milliers de poitrines la profèrent.

    Soyez donc en foule au meeting public du mardi 5 Janvier.

    Les organisateurs

    Pour couvrir les frais, entrée : 50 centimes.— (Nota : les dames sont admises)

    Cette page ne peut être affichée que revêtue d’un timbre de 12 centimes.

    Paris. — Imprimerie spéciale du Libertaire, 58, rue Greneta.


    sources :

    Dernière page de : Le Libertaire n° 60 (31 décembre 1896-5 janvier 1897).



    image indisponible

    [Au peuple de Paris ! : manifeste-appel aux funérailles d’Aernoult]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Au peuple de Paris ! : manifeste-appel aux funérailles d’Aernoult]. — Paris : CDS_ (Comité de défense sociale : 1903-....), . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (une  : papier de couleur ) ; x × y cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  :
    • Liste des thèmes  : antimilitarisme  ; procès  ; torture
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  : Aernoult, Albert Louis (1886-1909)  ; Rousset, Émile (1883-1961)
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  : meetings et manifestations  ; nécrologie
    notes :
    descriptif :


    [ texte ]

    texte :

    Les funerailles d’Aernoult

    Le Comité de Défense sociale a fait apposer sur les murs de Paris l’affiche suivante :


    Au peuple de Paris !

    Le 2 juillet 1909, un crime effroyable se passait à Djenan-ed-Dar (Algérie).

    Un homme, un disciplinaire, était affreusement torturé par les chaouchs de ce détachement.

    Pendant des heures, il lui fallut exécuter, par une chaleur épouvantable, une marche au pas gymnastique, sac au dos.

    Harassé, ne pouvant plus marcher, les tortionnaires l’attachèrent aux fers, lui remplirent la bouche de sable, puis non contents de ces exploits, le frappèrent avec rage dans sa cellule.

    Le soir, le pauvre enfant rendait le dernier soupir, en appelant sa mère…

    Cet homme, ce soldat envoyé aux compagnies de discipline pour faits de grève, c’était :

    Aernoult

    ***

    Lorsque ces événements furent connus en France, grée au dévouement et à la dénonciation formelle du courageux Rousset, démasquant les assassins, il n’y eut qu’un cri dans le monde ouvrier et parmi la presse — qui s’indigna à cette époque — du crime de Djenan-ed-Dar.

    Ici, un père et une mère pleuraient l’enfant qu’ils avaient vu grandir et partir à 20 ans, plein de force et de santé.

    ***

    Des hommes appartenant à toutes les classes de la société entreprirent la campagne pour dénoncer les coupables et faire revenir en France la dépouille de celui qui, dans le Sud-Algérien, reposait loin des siens.

    La campagne fut longue. Pendant deux années, avec une persévérance inlassable, sans se laisser rebuter par les refus réguliers que leur opposaient les gouvernants, ces hommes continuèrent la lutte.

    Ils viennent enfin de triompher. Le corps du malheureux disciplinaire Aernoult nous est enfin rendu.

    Dans quelques jours nous pourrons nous grouper derrière son cercueil et conduire à sa dernière demeure la victime des tortionnaires, des hideux chaouchs de Biribi.

    Les obsèques d’Aernoult auront lieu le dimanche 11 février.

    ***

    Le Comité de Défense sociale, qui a rempli une partie de sa tâche, ne s’arrêtera pas là. Il lui reste une autre besogne à accomplir : celle d’empêcher de faire un second cadavre d‘Émile Rousset, que le conseil de guerre d’Alger a osé condamner à 20 ans de travaux forcés pour un meurtre dont il est innocent.

    Le Comité de Défense sociale fait appel au Paris ouvrier, au Paris qui pense et qui vibre pour tout ce qui touche ses enfants, au Paris qui ne permettra pas qu’une iniquité s’accomplisse sans que s’élève sa grande voix populaire et qui voudra, par sa présence aux Funérailles d’Aernoult, rappeler qu’il est de tout cœur avec celui qui, le premier, dénonça. le crime : avec Rousset, qui devrait être au premier rang derrière le corps de son camarade.

    Il faut que dette manifestation populaire soit grandiose !

    Il faut que le peuple travailleur, qui fournit chaque année l’impôt militaire, et dont les fils — pour des peccadilles — sont expédiés aux compagnies de discipline, vienne affirmer sa résolution de ne plus servir de jouet aux gradés alcooliques et que les Biribi ont assez vécu.

    Par sa présence en masse aux funérailles de la victime, la classe ouvrière prouvera que l’époque des bagnes militaires est terminée et que les conseils de guerre — qui condamnent par ordre — ont fait leur temps.

    Peuple de Paris !

    Le Comité de Défense sociale compte sur toi !

    Ta présence derrière le corps d’Aernoult lui donnera la force nécessaire pour poursuivre la lutte et faire rendre la liberté au héros de Djenan-ed-Dar :

    à Émile Rousset

    Le Comité de Défense sociale.


    sources :

    Le Comité de défense sociale annonce dans Le Libertaire du 3 février 1912 (18e année, n° 15) : « Le comité a décidé de faire poser sur les murs de Paris un manifeste demandant à la population ouvrière d’assister en masse aux funérailles du jeune Aernoult, assassiné par les chaouchs en Algérie. Les obsèques auront lieu à Paris, le dimanche 11 février […] »

    Le texte de l’affiche parait dans Le Libertaire du 10 février 1912 (18e année, n° 16).









    [No ai lager militari]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    No ai lager militari]. — [S.l.] : FAI_ (Federazione anarchica italiana), (Tipolitografica, stampa la Coop (Carrara)). — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (deux  : rouge , noir ) ; 84 × 60 cm.

    • Affiches par pays  : Italie
    • Lieux d’archivages  : CDA (FA, Paris)  ; Libreria Anomalia (Roma)
    • Liste des thèmes  : antimilitarisme  ; armée  ; justice  ; prison  ; torture
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  : Franceschi, Roberto (1952-1973)  ; Mondo, Bruno Igor  ; Santi, Lorenzo  ; Scanagatta, Roberto
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  : soutien à militants
    notes :
    descriptif :
    Symbole(s) utilisé(s) :

    [ texte ; dessin (juge-militaire serrant un étau sur une homme nu et rasé qui lève le poing) ]

    texte :

    No ai lager militari

    Decine,di compagni anarchici, libertari, antimilitaristi, sono detenuti nelle galere militari. Essi non vogliono servire la patria dei padroni e dei burocrati : con la diserzione, la renitenza, l’obiezione totale, esprimono il loro rifiuto.

    Centinaio di proletari sono sequestrati nelle carceri militari per essersi difesi dai soprusi dei gerarchi. Vengono condannati dalla giustizia grigioverde per “insubordinazione”, un pretesto legale che soffoco la loro volontà di libertà.

    Solidarietà con tutti i detenuti antimilitaristi !
    Aboliamo la criminale violenza degli eserciti !

    Scrivete ai compagni detenuti :
    Roberto Francesconi, Carcere Militare di Perschiera del Garda (Verona)
    Lorenzo Santi, Roberto Scanagatta, Bruno Igor Mondo, Carcere Militare di Forte Boccea Roma.
    Sottoscrivete al CAD : Gianni Costanza, CP 12, Palermo, CCP 7/762, specificando “pro detenuti militari”

    Comitato Anarchico di Difesa della FAI - Federazione Anarchica Italiana

    […]


    sources :
     



    [No alla tortura]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    No alla tortura]. — La Spezia : Comitato di controinformazione, [ & post] ([…] in proprio). — 1 affiche (impr. photoméc. ), coul. (une  : rouge ) ; 84 × 61 cm.

    • Affiches par pays  : Italie
    • Lieux d’archivages  : Biblioteca Archivio Germinal (Carrara)
    • Liste des thèmes  : prison  ; torture
    • Géographie, géopolitique et Histoire  : Brigate Rosse
    • Noms cités (± liste positive)  : Fornoli  ; Petrella  ; Rognoni, Virginio
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  : journal mural  ; soutien à militants
    notes :
    descriptif :


    Testo

    texte :

    No alla tortura

    "... il governo ha condotto, conduce, condurrà la lotta al terrorismo nell’ambito della legalità repubblicana e con tutte le garanzie democratiche..." Questa è la risposta che il D.C. Rognoni, ministro dell’Interno, ha saputo dare alle interrogazioni parlamentari sulle torture praticate nei confronti dei presunti brigatisti o tali.

    In contrapposizione a questa dichiarazione ci sono delle denunce presentate dagli avvocati di Petrella e di Rocco e quella di G. Fornoni.
    Esse dimostrano in maniera inequivocabile come anche in Italia la pratica della tortura nei confronti dei prigionieri politici, sia diventata la norma che, anche se non legalizzata, è praticamente ufficializzata. Come si legge nelle denunce, le tecniche di tortura adottate dalla polizia, hanno raggiunto livelli di annientamento psicofisico che vanno ben oltre i classici pestaggi "tradizionali" : si parla infatti di sevizie, pestaggi, spilli sotto le unghie, bruciature da sigarette, ingerimento continuo di acqua salata, e di misteriose iniezioni che fanno perdere il senso della realtà.

    Per quanto riguarda specificamente Flavio, un compagno che ha sempre diviso con noi l’esperienza politica di questi anni (dalla radio, al centro sociale, alla lotta antinucleare), ci risulta, anche se per via ufficiosa, che sia stato torturato. Sappiamo che al momento dell’arresto gli è stato impedito violentemente di avvertire l’avvocato, e che durante il suo fermo a Firenze ha subito un trattamento "speciale" : sembra che sia stato incappucciato, seviziato e sottoposto ad ogni sorta di minaccia.

    Intendiamo denunciare all’opinione pubblica l’ipocrisia di un governo che pretende di farsi paladino dei diritti umani prima in Polonia e ora in Salvador, ma in casa propria avalla dei metodi tanto cari ai regimi fascisti.

    Pensiamo che per impedire questo stato di cose servano a ben poco le interrogazioni parlamentari, (la risposta di Rognoni tra l’altro lo conferma), ma occorre che si crei nel paese una mobilitazione di massa, per difendere quei diritti e quelle libertà che anche la costituzione italiana garantisce ai detenuti.

    Comitato di Controinformazione (c/o R.P.A)

    Serig. in proprio. SP


    sources :
     



    [6 heures pour El Salvador et l’Amérique centrale]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    6 heures pour El Salvador et l’Amérique centrale]. — Paris : UTCL (Union des travailleurs communistes libertaires : 1976-1991) ; [et al.], . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (une  : bleu ) ; 61 × 43 cm.

    • Affiches par pays  :
    • Lieux d’archivages  :
    • Liste des thèmes  : art : chanson  ; art : cinéma  ; guérilla  ; littérature : poésie  ; torture
    • Géographie, géopolitique et Histoire  : Amérique Latine  ; Salvador
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  : conférence, débat…  ; meetings et manifestations
    notes :
    descriptif :
    Symbole(s) utilisé(s) :

    [ texte ; photo (femme aux mains liées par une chaine) ]

    texte :

    6 heures pour El Salvador et l’Amérique centrale

    Films, diapos, musique, chansons, poèmes, débats, exposés, témoignages de journalistes et de médecins de retour d’Amérique centrale

    avec la participation du Front démocratique révolutionnaire

    Participation aux frais : 20 F
    Étudiants, chômeurs : 10 F

    Vendredi 20 mars, de 18 h à 24 h, Mutualité

    4, rue Saint-Victor, 5e - Métro Maubert-Mutualité

    À l’appel
    du Comité de solidarité avec le peuple d’El Salvador du Collectif Guatamala ; du Comité de solidarité avec le Nicaragua et de 200 personnalités

    Avec le soutien de
    ASPAL, Association des chrétiens pour l’abolition de la torture ; CFDT ; Choisir ; Chrétiens pour le socialisme ; CIMADE ; CLA ; Club des droits socialistes de l’homme ; Comité jeunesse pour la paix ; Coordination des comités latino-américains ; France Amérique-latine ; FEN ; Frères des hommes ; Ligue internationale des droits de l’homme ; Ligue internationale des droits de l’homme ; Maison verte ; MLF ; Mouvement rural de la jeunesse chrétienne ; Service civil international : UNEF indépendante et démocratique ; Vie nouvelle ; JOC ; JOCF ; SGEN Paris ; CCA ; FER ; LCR ; OCI ; PCR ; PS ; PSU ; UTCL ; JCR ; UC JR

    Avec
    François Gèze [Guèze ?], Michel Griffon, Edmon Jouve, Laurent Schwartz, Philippe Texier, Pierre Toulat, A. Uribe

    et
    William Armijo, Daniel Gélin, Los Guaranis, Jacinta, Gilbert Lafaille, Francesca Solleville


    sources :
     

    1981
    Affiche liée



    [tortura]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    tortura]. — Milano Milan : CAF_ Vittoria : Centro Sociale Garibaldi : Centro Sociale Viale Piave : Collettivo Compagni del Ticinese : Comitato contro la repressione Circolo romana : Comitato famiglie proletari detenuti : Coordinamento Milanese Contro la Repressione : Lotta Continua per il Comunismo , ([…] in proprio). — 1 affiche (sérigr. ), coul. (une  : noir , papier blanc ) ; 84 × 61 cm.

    • Affiches par pays  : Italie
    • Lieux d’archivages  : Biblioteca Archivio Germinal (Carrara)
    • Liste des thèmes  : torture
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  : Di Rocco, Ennio  ; Fornoni, Gianfranco  ; Petrella, Stefano
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  : soutien à militants
    notes :
    descriptif :


    testo

    texte :

    TORTURA

    Nuove norme giudiziarie sono state introdotti "segretamente" dal consiglio dei Ministri :
    - ABOLIZIONE DEI COLLOQUI SENZA VETRO NELLE CARCERI SPECIALI
    - ABOLIZIONE DELLE TELEFONATE MENSILI
    - RESTRIZIOE DEI COLLOQUI FAMILIARI
    Introduzione dell’alimentazione forzata nei casi di sciopero della fame.

    IL SEQUESTRO DI PERSONA E’ DIVENTATO PRATICA NORMALE IN ITALIA
    MANCANO NOTIZIE SUL LUOGO DI DETENZIONE DI NUMEROSI COMPAGNI

    Gli arrestati, sequestrati in luoghi segreti, spesso fuori dalle stesse caserme, in appartamenti privati vengono TORTURATI.

    Stefano Petrella ed Ennio Di Rocco sono stati incappucciati e percossi al volto, alla testa ed in ogni altra parte del corpo, è stata versata acqua salata nello stomaco e sulle ferite.
    A Gianfranco Fornoni dopo i pestaggi è stato esploso un colpo di pistola a fior di pelle.

    La tortura e gli altri criminali mezzi di coercizione sono solo l’aspetto più evidente di un progetto dello Stato di creare terra bruciata attorno ad ogni forma di espressione di antagonismo in Italia.
    L’obiettivo è criminalizzare ogni opposizione che si esprime al di fuori degli schemi istituzionali, imponendo così una pace sociale che permetta anche la riacquisizione dei margini di profitto attraverso la ristrutturazione economica, i licenziamenti, l’aumento dello sfruttamento, la riduzione dei salari.

    Coordinamento Milanese Contro la Repressione
    CAF Vittoria
    Centro Sociale Garibaldi
    Lotta Continua per il Comunismo
    Collettivo Compagni del Ticinese
    Centro Sociale Viale Piave
    Comitato Contro la Repressione Circolo Romana
    Comitato Famiglie Proletari Detenuti

    […]


    sources :
     











    [Pagherete Caro ! per una società senza galere e senza padroni !]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Pagherete Caro ! per una società senza galere e senza padroni !]. — [S.l.] : [s.n.], . — 1 affiche (impr. photoméc.) : n. et b. ; x × y cm.

    • Affiches par pays  : Italie
    • Lieux d’archivages  : CDA (FA, Paris)
    • Liste des thèmes  : autonomie  ; lutte armée  ; terrorisme  ; torture
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  : soutien à militants
    notes :
    descriptif :


    [ texte ; photo (traces de torture sur un militant) ]

    texte :

    Pagherete Caro !

    Questa sono le foto del compagno C. Di Lenardo, militante delle BR, torturato con scariche elettriche dagli aguzzini dei « Nocs ».
    La tortura, divenuta pratica sistematica e denunciata in decine e decine di casi, l’art. 90, i carceri speciali, Voghera e Sollicciano, il pentimento e la delazione, gli assassini dei compagni e tutte quelle pratiche criminali sperimentate sulla pelle dei compagni carcerati per il loro annientamento psico-fisico, tutto questo fa parte del criminale disegno da parte dello Stato di distruggere ogni fenomeno di antagonismo proletario.
    Coloro i quali si indignano per il Guatemala o gli ospedali psichiatrici russi e tacciono se Di Lenardo e Voghera, a dipingono tutto questo come degenerazioni di un ristretto numero di agenti, si rendono complici di questa pratica terroristica.
    Non sappiamo cosa diranno gli apologeti della democrazia di fronte a queste fotografie.
    Ai proletari e ai comunisti il compito di distruggere il sistema di sfruttamento capitalistico,

    Per una società senza galere e senza padroni !


    sources :