Malato, Charles (1857-1938)
Né à Foug (Meurthe-et-Moselle), le 3 juillet 1856 — mort le 7 novembre 1938 — Correcteur ; écrivain ; publiciste — CGT — Paris — Londres
Charles Malato, né le 3 juillet 1856 selon son acte de naissance (et non le 7 septembre 1857 comme indiqué dans de nombreuses sources), était le fils d’un sicilien, ancien combattant de la révolution italienne de 1848 qui s’était réfugié en France dans la région de Toul (Meurthe-et-Moselle) où il avait épousé une Lorraine. Sa participation active à la Commune de Paris lui valut d’être condamné à la déportation en Nouvelle-Calédonie où son fils, après avoir abandonné ses études de médecine, (…)
Au moins 24 ouvrages recensés dans le Catalogue général des éditions et collections anarchistes francophones.
Au moins 75 revues francophones parues sous ce nom (voir sur le site Bianco).
Au moins 2 cartes postales anarchistes parues avec ce nom. Voir sur Cartoliste.
Almeno 12 periodici in lingua italiana pubblicati su questo nome (vedere sul sito Bettini).
Au moins 7 périodiques espagnols publiés avec ce nom entre 1869 et 1939 (vedere sul sito Madrid-Santos).
18 affiches :
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
- /B_tout>
[ texte ]
- texte :
Grand meeting révolutionnaire
Organisé par les groupes anarchistes du XXe arrondissement
au profit des victimes de la police
Le jeudi 9 août 1888, à 8 heurs 1/2 du soir
Salle du Commerce
84, faubourg du Temple, 94
Ordre du jour :
La grève générale, sa nécessité, son but et ses conséquences
Les assommades policières et gouvernementales
Les expulsions des ouvriers étrangersOrateurs inscrits : Louise Michel, Tortelier, Leboucher, Tennevin, Malato, Gouzien, J. Prolo, Espagnac, etc.
entrée 30 centimes
Lire tous les samedis La Révolte organe communiste anarchiste — En vente chez les libraires : 0,05 cent., le numéro
Paraît tous les 15 juins la Ça ira organe anarchiste — En vente chez les libraires : 0,10 cent., le numéro
Paris. — Typographie Vert Aîné, 8, rue François-Miron
Autres orateurs : Pausader, Lutz, et G. Roussel d’après le Dictionnaire internationale des militants anarchistes.
https://militants-anarchistes.info/?article3188
https://militants-anarchistes.info/IMG/jpg/meeting_1888.jpg- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
- /B_tout>
[ texte ]
- texte :
Le Groupe parisien de propagande anarchiste
organise pour les jeudis
desConférences
à la salle Rousseaux
rue Montmartre, et 36, rue Étienne-Marcel
La première des conférences aura lieu le jeudi 31 décembre 1891, à 9 heurs du soir, par Michel Zevaco
Sujet : la séparation de l’Église et de l’ÉtatLe 7 janvier 1892, deuxième conférence, par Jacques Prolo
Sujet : tactique et groupement révolutionnaireTroisième conférence, le 14 janvier 1892
Sujet : matérialisme et spiritualisme
par Ch. MalatoQuatrième conférence, le 21 janvier 1892
Sujet ; solution de la question sociale par le communisme anarchiste
par LeboucherToutes ces conférences sont publiques. Nous invitons les socialistes de toutes les écoles, ainsi que tous les travailleurs, à venir discuter avec nous les questions économiques et philosophiques qui concernent l’affranchissement humain.
Entrée libre par le rue Étienne-Marcel, en face de la Poste.
256. — Paris. Imp. C. Goudineau, 58, rue Greneta.
affichette :
https://militants-anarchistes.info/?article3188
https://militants-anarchistes.info/IMG/jpg/affiche_groupe_parisien_de_propagande_1891.jpg- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
- /B_tout>
[ texte ]
- texte :
Michel Bakounine
Œuvres
Fédéralisme, socialisme et antithéologisme
Lettres sur la patriotisme. — Dieu et l’État
Un volume in-18. Prix . . . 3 50
Ont déjà paru dans cette Bibliothèque sociologique :
La Conquête du pain, par Pierre Kropotkine. Un volume in-18, avec préface par Élisée Reclus, 4 édition. Prix . . . 3 50
De la Commune à l’anarchie, par Charles Malato. Un volume in+18, 12e édition. Prix . . . 3 50
Anarchistes, mœurs du jour, roman, par John-Henry Mackay, traduction de Louis Hessem. Un volume in-18. Prix . . . 3 50
La Société mourante et l’anarchie, par Jean Grave. Un volume in-8, avec préface par Octave Mirbeau, prix . . . 3 50
5168. — Dijon, imp. Darantiere.
Affichette de vente des éditions Stock.
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
- /B_tout>
[ texte ]
- texte :
Au Tivoli-Waux-Hall, reu de la Douane, le mardi 5 janvier 1897, à 8 h 1/2 du soir
Grand meeting public
Organisé par la Libertaire
sur l’Inquisition en Espagne
Conférence
par Charles Malato et Sébastien Faure
Prendront également la parole :
Buteaud, Girault, Murmain, Prost, Tennevin, Tortelier, etc., etc.Camarades !
Il se passe en Espagne des choses épouvantables dont, à part l’Intransigeant, la presse quotidienne n’a presque pas parlé.
Voici les faits :
On n’a pas oublié qu’au cours d’une procession religieuse, à Barcelone, une bombe éclata. L’auteur de cet attentat restant inconnu, le Gouvernement Espagnol profita de la circonstance pour arrêter plusieurs centaines de personnes suspectes de tendances républicaines ou de convictions anarchistes.
Incarcérés dans la forteresse de Montjuich, ces malheureux y subirent les horribles tortures en usage durant les siècles maudits de l’Inquisition : les prisonniers furent soumis au régime de la morue salée et privés de toute boisson ; on les força à marcher nuit et jour et, quand la fatigue les terrassait, c’est à l’aide des lanières déchirant la peau des suppliciés, des tisons rougis pénétrant dans leur chair, des ongles arrachés, des testicules comprimés et broyés, des lèvres tailladées, qu’on leur faisait rouvrir les yeux et reprendre leur marche. Bref, le récit plein d’horreur des raffinements barbares auxquels recoururent les tortionnaires dépasse l’imagination.
Sans autres preuves que les vagues aveux et dénonciations arrachés aux patients entre deux cris de douleur ou deux râles d’agonie, une Cour Martiale vient de condamner huit accusés à la peine de mort, quarante à vingt ans de prison et vingt-sept à huit années de la même peine
Camarades !
C’est contre cet arrêt infâme et les procédés qui en ont été la préface que nous en appelons à vos sentiments de justice.
Il ne s’agit pas seulement d’exprimer la pitié que nous ressentons pour les victimes et l’horreur que nous inspirent les bourreaux.
Cette manifestation — qu’il faut imposante — doit surtout avoir pour objet : d’affirmer à la face des oppresseurs l’étroite union des foules opprimées ; d’affermir et de développer dans le peuple Espagnol ses sentiments de fierté, de révolte et de haine contre l’Espagne monarchique et catholique ; enfin de faire savoir à notre gouvernement de curés que, s’il était jamais tenté de raire revivre en France la tradition des Torquemadas que le clérical Canovas acclimate en Espagne, il trouverait devant lui debout et insurgé, le peuple des journées révolutionnaires.
Si nous voulons, camarades, que notre clameur d’indignation soit entendue, il faut que des milliers de poitrines la profèrent.
Soyez donc en foule au meeting public du mardi 5 Janvier.
Les organisateurs
Pour couvrir les frais, entrée : 50 centimes.— (Nota : les dames sont admises)
Cette page ne peut être affichée que revêtue d’un timbre de 12 centimes.
Paris. — Imprimerie spéciale du Libertaire, 58, rue Greneta.
Dernière page de : Le Libertaire n° 60 (31 décembre 1896-5 janvier 1897).
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
- /B_tout>
[ texte ]
- texte :
Conférence publique et contradictoire par Charles Malato et Sébastien Faure sur « l’absurdité criminelle des religions »
Salle du Trianon (ancien Élysée-Montmartre), 80, Boulevard Rochechouart
Le samedi 9 janvier 1897, à huit heures et demie du soir
Conférence publique et contradictoire par Charles Malato et Sébastien Faure sur « l’absurdité criminelle des religions »
Prendront également la parole :
Buteaud, Girault, Murmain, Prost, Tennevin, Tortelier, etc., etc.Aux libres-penseurs ; aux penseurs libres !
Le péril clérical grandit chaque jour. Le flot noir menace de nous engloutir.
Il n’est que temps de conjurer le danger, d’endiguer le flot. Toute hésitation, toute faiblesse pourraient être grosses de conséquences.
Pour répandre le poison de ses bruissantes stupidités, l’Église possède des milliers de temples. Prestige, influence, argent, elle tire parti de tous les avantages quelle a hérités d’un passé d’ignorance et de superstition et que notre époque de lâcheté et d’indécision n’a pas su lui arracher.
Des hommes se sont levés qui ont résolu d’opposer à l’audace croissante des disciples de Loyola la force de leurs convictions antireligieuses.
Établir scientifiquement l’absurdité de la foi et dénoncer, histoire en main, les crimes fomentés de tout temps par les prêtres, tel est leur but.
Cette réunion inaugurera la vigoureuse campagne qu’ils se proposent de mener à Paris et en province pour provoquer un mouvement de résistance anticléricale urgent et indispensable.
Nous faisons appel à toutes les personnes de sincérité et de progrès qui ont, voué à l’esprit religieux la haine et le mépris que méritent ses infâmes procédés.
Leur présence à Trianon (ancien Élysée-Montmartre), le samedi 9 janvier courant, nous sera un précieux encouragement.
Les organisateurs
Pour couvrir les frais, Entrée : 50 centimes
Nota. — Les dames sont admises
Cette page ne peut être affichée que revêtue d’un timbre de 12 centimes.
Paris. — Imprimerie spéciale du Libertaire, 58, rue Greneta.
Dernière page de : Le Libertaire n° 61 (7 au 13 janvier 1897).
Buteaud ou plutôt Butaud (Georges Butaud, 1868-1926) ?
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
- /B_tout>
[ texte ]
- texte :
Au profit des martyrisés de Montjuich
et de leurs famillesThéâtre de la République
rue de MalteLe dimanche 8 août 1897, à 2 h. très-précises de l’après-midi
Matinée-spectacle
Organisée par le journal Le Libertaire
Avec le concours de L’Intransigeant, de La Lanterne, de La Justice, des Temps nouveaux, du Père Peinard, de La Revue blanche, du TrimardAllocutions
F. Tarrida Del Marmol, au nom des Martyrisés de Montjuich — Aristide Briand, au nom de La Lanterne — Marcel Sembat, au nom de La Petite République — Charles Malato, au nom de L’IntransigeantAuditions
de mesdames Duparc, de Parisiana-Consert ; Kamouna, des Quat’-z’Arts ; Louise France ; Bob Walter, des Concerts de Paris ; Jeanne Descrains, professeur de diction
de messieurs Marcel Legay, chansonnier ; Yon Lug, chansonnier ; Charles Lesbros, du Théâtre de Monte-Carlo ; Xavier Privas, chansonnier ; Paul Paillette, poète-philosophe ; F. Dufor, dans ses créations ; P. Laforest, de la Porte Saint-Martin ; Georges Tiercy, chansonnier ; Frédy, de Parisiana-Concert ; Buffalo, chanteur populaire
Les Bohémiens de MontmartreLe programme détaillé illustré par A. Willette sera vendu dans la salle au profit des Martyrisés de Monjuich et de leurs familles
Prix des places :
Avant-scène de rez-de-chaussée et de balcon : 3 fr. la place — Avant-scène de 1re galerie, loges de balcon, fauteuils d’orchestre et de balcon de face : 2 fr. — Fauteuils de balcon de côté et fauteuils de foyer : 1 fr. — Les autres places : 50 centimes
Le Bureau de Location est ouvert au Théâtre tous les jours, de 2 à 5 h.En raison du but que nous proposons et de la nécessité absolue où nous sommes de recueillir le plus d’argent possible pour les espagnols bannis, aucune place de faveur ne sera donnée pour la matinée du 8 août.
À tous
La forteresse de Montjuich s’est ouverte devant le peloton d’exécution, puis de nouveau pour les départs au bagne, enfin sur la route de l’exil !
Après les victimes dont le sang rougit l’aube du 4 mai, après l’enchainement définitif des forçats, après le renvoi des acquittés comme innocents, brisés et mutilés par un an d’épuvantables tortures, on aurait pu croire le monstre satisfait.
Non pas ! Son appétit de souffrances est insatiable et les malheureux, qua les bourreaux ou la chiourme épargnent, sont condamnés à la plus désespérante des libertés.
Ceux d’entre eux d’abord qui ne peuvent trouver, chez leurs parents et leurs amis, des ressources suffisantes pour le paiement de leurs frais d’exil, sont gardés dans l’effroyable prison toute pleine encore de cris d’agonies et de sanglots douloureux.
Ils sont encore cent-vingt neuf malheureux attendant qu’un effort de splidarité leur ouvre des cachots où ils sont détenus acquittés ! attendant qu’une main humaine les arrache des griffes monstrueuses d’une justice (!) qui dut les reconnaitre innocents !
Quant à ceux qui, plus favorisés par leurs ressources personnelles, ont pu tenter leur délivrance en exil, leurs yeux ont du chercher quel pays voisin voudrait bien les accueillir. C’est à qui, des Maîtres de peuples civilisés, affirmerait haut et vite sa volonté formelle de leur refuser tout abri.
Un État ou le mot de liberté est écrit sur tous les murs, un autre État où cette liberté, sans être écrite est accordée parfois, protestèrent contre l’invasion de ces douleurs, et dénoncèrent à leurs polices l’arrivée’ des martyrs.
Et les membres encore endoloris, les plaies à peine refermées, le corps labouré de meurtrissures cuisantes, affaibli par d’horribles mutilations, secoués d’accès de fièvre, les plus heureux (!) de ces acquittés sont parvenus tant bien que mal à quitter leur pays.
Tous naturellement sans travail, la plupart à peine vêtus et ne parlant aucune langue étrangère, arrivent ici ou là, dans l’impossibilité même de conter leur infortune et de solliciter un outil ou un refuge.
Presque tous appartiennent aux familles les plus pauvres de Barcelone. Quand la justice a besoin de victimes, razzia ou rafles sont toujours faites aux quartiers de misère.
Aussi quand des groupes se formèrent pour venir en aide à ces abandonnés et ces traqués, les premiers efforts furent-ils bien insuffisants pour tant à panser, tant à soulager, tant à nourrir, tant à loger !
À Paris, des fonds recueillis pour les exilés qui arrivaient et pour ceux qui restent à délivrer de Montjuich, la plus large part fut promptement dépensée.
En faisant appel dimmanche prochain, d’une part au concours des paroles les plus indépendantes, d’autre part aux talents les plus généreux, en faveur de cette œuvre de solidarité humaine, nous faisons aussi, nous faisons surtout appel au concours de tous. Au concours non pas seulement de nos camarades et des amis de notre cause qui n’est point seule en jeu, mais de tous les hommes sans exception, quel que soit leur pays, la place qu’ils peuvent y occuper et dont le cœur n’est pas fermé à tout sentiment de pitié, d’indépendance et de dignité.
Nous faisons appel à tous pour un double concours.
La présence à cette manifestation sera la plus éloquente façon de protester contre une des plus sauvages atteintes de l’Autorité, et qu’on ne s’y trompe pas aussi, une de ses plus cyniques menaces ! Les sommes versées à cette réunion pour chaque entrée, permettront de faire faxe aux nécessités les plus immédiates, intéressant l’existence des bannis et la libération (!) du plus grand nombre possible de ceux que Montjuich retient encore.
Nous convions donc, au nom de l’humanité, tous ceux qui ne connurent pas, grâce au silence généreusement payé de certaine Presse, l’affreux et trop indéniable réveil de l’Inquisition espagnole, à s’informer des témoignages que nous en avons fournis et que nous pouvons en fournir.
Ceux qui connurent le drame de Barcelone, nous les convions, à plus juste titre encore, à répandre autour d’eux l’horreur et l’indignation que soulèvent de tels crimes !
Et les uns et les autres, et tous, au nom de l’Humanité, nous les convions par leur présence au théâtre de la République, le dimanche 8 août, par leur participation payante, à protester contre l’infamie de l’inquisiteur Canovas et de la sanguinaire Christine, en même temps qu’ils assureront notre œuvre de libération et de véritable fraternité.
Le peuple d’Espagne, qui pourra comme nous au jour de son émancipation, arracher de son histoire tant de pages souillées et sanglantes, n’apprendra pas sans émotion ni joie que les fiers amants et les courageux lutteurs de la Pensée arrachés à ses rangs, ont trouve chez les autres peuples l’accueil hospitalier, gage de solidarité dans la haine de leurs maîtres et dans la marche à la conquête des libertés !
Les organisateurs
lm. Léon Barrier, 120, rue Lafayette, Paris.
(Cette feuille ne peut être affichée que revêtue d’un timbre de 12 centimes).
Dernière page de : Le Libertaire n° 91 (du 7 au 14 août 1897).
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
- /B_tout>
[ texte ]
- texte :
Pour les familles des récentes victimes des lois scélérates
Maison du Peuple, 47, rue Ramey (impasse Pers)
Le samedi, 26 novembre 1898, à 8 h. 1/2 du soir
Grand meeting
public et contradictoire de protestation contre
les lois scélérates
Avec le concours assuré de
Aristide Briand — Antoine Cyvoct — Émile Janvion — Charles Malato —Pierre QuillardÀ tous !
Les lois de décembre 1893 et de juillet 1894 sont une honte.
On les a dénommées « scélérates », on a eu raison.
Elles constituent un attentat permanent à la sécurité de chacun.
Véritable prime inerte à la délation, elles convertissent ce pays en une nation de mouchards.
Les Gouvernants prétendent quelles elles n’ont été faites qu’en vue de circonstances exceptionnelles et que, présentement, elles ne sont pas appliquées.
Avec leur ordinaire impudeur, les Gouvernants mentent.
La conférence anti-anarchiste se propose la généralisation des lois scélérates aggravées. Par des mesures internationales, d’une rigueur sans précédent dans l’histoire, les réacteurs de tous pays s’apprêtent à traquer impitoyablement les hommes d’indépendance et de Vérité.
Camarades !
Se taire, s’incliner serait ta pire des fautes en même temps que la plus déshonorante des lâchetés.
Nous ne commettrons ni cette faute, ni cette lâcheté.
Nous protesterons.
Et vous joindrez à notre cri d’indignation l ’expression de votre colère et de voire révolte.
Ce sera le moyen le plus sûr de conjurer le système d’oppression par lequel les Dupuy de toutes les nations se préparent à étouffer la propagande et l’action de ceux qui veulent l’Indépendance libre dans la Concorde universelle.
Entrée : 50 centimes
Imprimerie spéciale du Libertaire, 10, rue Flocon, Paris
Parue au dos du Libertaire n° 157 (27 novembre-3 décembre 1898).
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
- /B_tout>
[ texte ]
- texte :
Coalition révolutionnaire
Manifeste
Un coup de force se prépare :
C’est à vous, hommes libres, à vous qui êtes résolus à défendre le présent et à sauvegarder l’avenir, à vous tous, républicains, démocrates, penseurs libres, socialistes, révolutionnaires, libertaires, que nous nous adressons.
Écoulez :
Citoyens,
Les mêmes hommes qui ont voulu étrangler la justice veulent étrangler la liberté.
Peu nombreux, mais hardis et prêts à tout, ils ont fondu tous les partis de réaction en un seul : cléricaux, royalistes, césariens, antisémites, nationalistes.
Ils sont les forces déchues du passé en lutte avec les forces émancipatrices de l’avenir.
Hommes libres,
Si vous laissiez passer, si vous laissiez faire, demain le parti nationaliste égorgerait la liberté.
Ce crime ne s’accomplira pas !
Dans ce berceau d’humanité affranchie qu’est la France, vous ne tolérerez pas la glorification du gourdin, le triomphe du sabre, la tyrannie du goupillon.
Les nationalistes disent : le pays est avec nous.
Ils mentent !
Le pays c’est vous, c’est nous, c’est le travail fécond. Ils n’ont pas le pays. Ils en sont les exploiteurs.
Leur force, c’est notre inertie.
Républicains, démocrates, socialistes, révolutionnaires, libertaires :
il n’est pas question aujourd’hui de marquer le triomphe d’un parti sur un autre. il s’agit de défendre le patrimoine commun : la liberté.Courons tous à failli le plus proche et tendons lui la main. que toutes rivalités de groupes et de partis disparaissent. sous le bourgeron comme sous le paletot, cherchons le cœur qui bat à l’unisson du nôtre.
Formons une armée de résistance, compacte.
Combinons nos forces pour l’action.
L’heure décisive a sonné. soyons prêts. sachons disputer aux bandes réactionnaires et liberticides la rue glorieuse, la rue des revendications énergiques, la rue des barricades et des révolutions.
Alerte, camarades ! debout pour la liberté !
Allemand, Charles Albert, Pierre Bertrand, Aristide Briand, Broussouloux, Cyvoct, Faberot, Sébastien Faure, Janvion, Joindy, Henri Leyret, Charles Malato, Matha, octave Mirbeau, Pellerin, Pell0ut1er, Pouget, Valéry.
Le dimanche, 23 octobre 1898, à 2 heures de l’après-midi
Salle Chayne, 12s rue d’AllemagneGrand meeting
public et contradictoire
Ordre du jour : « l.a liberté en péril »
Orateurs inscrits : Allemand, Pierre Bertrand, Aristide Briand, Broussouloux, Cyvoct, Faberot, Sébastien Faure, Janvion, Joindy, Charles Malato, Valéry, Girault, etc.
Pour couvrir les frais, entrée : 3o centimes.
Ce manifeste ne pourra être affiché que revêtu d’un, timbre de 0 fr. 12.
Parue au dos du Libertaire n° 152 (23-29 octobre 1898).
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
- /B_tout>
[ texte ]
- texte :
Famine… et arrestation de mille républicains, socialistes et anarchistes en Italie. — Le peuple espagnol trompé, enrégimenté et poussé à une guerre nationale par les dirigeants. — De Montjuich à Cuba — Duperie du suffrage universel — Le pain cher.
Meeting public
Salle de l’harmonie, 94, rue d’Angoulême
Samedi 11 juin, à 8 h 1/2 du soir
avec le concours de
Louise Michel
Laurent Tailhade, Charles Malato
Les accapareurs de blé, financiers, valets des despotes,ajoutent la famine à la guerre. Les révoltes des prolétaires italiens et espagnols,qui veulent vivre sont noyés dans le sang. La réaction internationale affame et saigne séparément les peuples. Le tour de la France est arrivé. Les gens de l’ordre moral et clérical se démasquent à la Chambre et dans le pays.
Le suffrage universel est une duperie atroce. — Ne comptons que sur nous-mêmes, ne nous laissons pas surprendre.
Les organisateurs
Entrée : 0 fr. 50 centimes
Paris — Imprimerie [… ?] Marchal, [96 ?], rue d’H[… ?]
http://www.iisg.nl/collections/louisemichel/inventory59fr.php
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
- /B_tout>
[ texte ]
- texte :
[Le Libertaire]
À partir du 6 février 1899
Le Journal du peuple
grand quotidien à 5 centimes
Rédaction et administration : 17, rue du Faubourg-Montmartre, Paris
Directeur : Sébastien Faure
Rédaction :
Tribune : Jean Ajalbert, Jean Allemane, Bernard Lazare, Pierre Bertrand, Mme Bradamante, Aristide Briand, Henry Leyret, Charles Malato, Octave Mirbeau, Francis de Pressensé, Pierre Quillard, Adolphe Retté, Zo d’Axa.
Chronique : Zo d’Axa, Laurent Tailhade, Xavier de Ricard, Adolphe Retté, H. Rainaldy, Jean Psichari, É. Pouget, Lucien Perrin, Ludovic Malquin, Louis Lumet, Théodore Jean, André Girard, J. Ferrière, Raphaël Dunois, J. Degalvès, René Chaughi, Charles Albert.
Vulgarisation : Atome, Henri Dagan, J. Degalvès, J. Ferrière, André Girard, Eugène Guérard, Ludovic Malquin, Élie Murmain, Jacques Liber, F. Pelloutier, É. Pouget, Pierre Quillard, André Veidaux.
Divers : Mme Véra, J. Valéry, A. Tennevin, Louise Michel, M. Jollit, E. Joindy, L. Grandidier, E. Girault, Henri Dhorr, H. Couthier, P. Comont, Broussouloux, A. Antignac.
Secrétaire de rédaction : Hugues Moreau
Échos : Michel Zévaco. — Vie parlementaire : J. Ferrière. — Faits-divers : Constant Martin. — Tribunaux : Lucien Perrin. — Informations et départements : J. Degalvès. — Reportage : Perfettini. — Mouvement social : Eugène Guérard et Fernand Pelloutier. — Critique dramatique : Laurent Tailhade. — Critique musicale : Jean Séver. — Correspondants particuliers : en Algérie, Angleterre, Hollande, Belgique, Suisse, Autriche, Roumanie, Allemagne, Russie, Italie, Espagne, Amérique et dans toutes les grandes villes de France.
Feuilletons écrits spécialement pour Le Journal du peuple :
La Prochaine, par Charles Malato ; Le Chevalier de La barre, par Michel Zèvaco.À tous :
Le Peuple n’a pas, il n’a jamais eu son journal.
Celui-ci sera le sien, parce qu’il exprimera ses intérêts, ses indignations, ses révoltes, ses besoins, ses revendications.
Le Journal du Peuple écrira au jour le jour, simplement, sans la dramatiser, la sombre histoire des miséreux, des prolétaires, des déshérités.
N’ayant rien à ménager, ni personne, Le Journal du Peuple dira toujours la vérité, toute la vérité, même quand celle-ci lui sera défavorable.
Le Journal du Peuple fera une large place au mouvement social ; il s’occupera de la vie des ateliers ; il sera l’organe du monde travailleur.
Le Journal du Peuple s’éloignera scrupuleusement de cette horrible et répugnante chose qui toujours et fatalement condamne à mentir, qui fatalement et toujours souille et stérilise : La Politique.
Le Journal du Peuple combattra sans défaillance et sur tous les terrains les sottises du Nationalisme, le banditisme antisémite, l’hypocrisie cléricale, les mensonges des politiciens, l’exploitation capitaliste, l’oppression sous toutes ses formes.
Le Journal du Peuple disputera le cœur et l’esprit des foules aux criminels qui les empoisonnent.
Il disputera la rue — cette patrie du révolutionnaire et du sans-toit — aux bandes des réacteurs.
Telle est la tâche magnifique à laquelle, mes amis et moi, nous allons consacrer la fermeté de nos consciences, l’ardeur de nos convictions, notre vie, s’il le faut.
Hommes de bonne volonté, de vérité et de justice, aidez-nous !
Sébastien Faure.
Dernière page de Le Libertairen° 167 (5-11 février 1899).
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
- /B_tout>
[ texte ]
- texte :
À partir du 6 février 1899
Le Journal du peuple
grand quotidien à 5 centimes
Rédaction et administration : 17, rue du Faubourg-Montmartre, Paris
Directeur : Sébastien Faure
Rédaction :
Tribune : Jean Ajalbert, Jean Allemane, Bernard Lazare, Pierre Bertrand, Mme Bradamante, Aristide Briand, Henry Leyret, Charles Malato, Octave Mirbeau, Francis de Pressensé, Pierre Quillard, Adolphe Retté, Zo d’Axa.
Chronique : Zo d’Axa, Laurent Tailhade, Xavier de Ricard, Adolphe Retté, H. Rainaldy, Jean Psichari, É. Pouget, Lucien Perrin, Ludovic Malquin, Louis Lumet, Théodore Jean, André Girard, J. Ferrière, Raphaël Dunois, J. Degalvès, René Chaughi, Charles Albert.
Vulgarisation : Atome, Henri Dagan, J. Degalvès, J. Ferrière, André Girard, Eugène Guérard, Ludovic Malquin, Élie Murmain, Jacques Liber, F. Pelloutier, É. Pouget, Pierre Quillard, André Veidaux.
Divers : Mme Véra, J. Valéry, A. Tennevin, Jacques Prolo, Louise Michel, M. Jollit, E. Joindy, L. Grandidier, E. Girault, Henri Dhorr, M. Couthier, P. Comont, J.-B. Broussouloux, A. Antignac.
Secrétaire de rédaction : Hugues Moreau
Échos : Michel Zévaco. — Vie parlementaire : J. Ferrière. — Faits-divers : Constant Martin. — Informations et départements : J. Degalvès. — Tribunaux : Lucien Perrin. — Reportage : Perfettini. — Mouvement social : Eugène Guérard & Fernand Pelloutier. — Critique dramatique : Laurent Tailhade. — Critique musicale : Jean Séver.
Correspondants particuliers : en Algérie, Angleterre, Hollande, Belgique, Suisse, Autriche, Roumanie, Allemagne, Russie, Italie, Espagne, Amérique et dans toutes les grandes villes de France.
Feuilletons écrits spécialement pour “Le Journal du peuple” :
“La Prochaine”, par Charles Malato ; “Le Chevalier de La Barre”, par Michel Zèvaco.À tous :
Le Peuple n’a pas, il n’a jamais eu son journal.
Celui-ci sera le sien, parce qu’il exprimera ses intérêts, ses indignations, ses révoltes, ses besoins, ses revendications.
“Le Journal du Peuple” écrira au jour le jour, simplement, sans la dramatiser, la sombre histoire des miséreux, des prolétaires, des déshérités.
N’ayant rien à ménager, ni personne, “Le Journal du Peuple” dira toujours la vérité, toute la vérité, même quand celle-ci lui sera défavorable.
“Le Journal du Peuple” fera une large place au mouvement social ; il s’occupera de la vie des ateliers ; il sera l’organe du monde travailleur.
“Le Journal du Peuple” s’éloignera scrupuleusement de cette horrible et répugnante chose qui toujours et fatalement condamne à mentir, qui fatalement et toujours souille et stérilise : La Politique.
“Le Journal du Peuple” combattra sans défaillance et sur tous les terrains les sottises du Nationalisme, le banditisme antisémite, l’hypocrisie cléricale, les mensonges des politiciens, l’exploitation capitaliste, l’oppression sous toutes ses formes.
“Le Journal du Peuple” disputera le cœur et l’esprit des foules aux criminels qui les empoisonnent.
Il disputera la rue — cette patrie du révolutionnaire et du sans-toit — aux bandes des réacteurs.
Telle est la tâche magnifique à laquelle, mes amis et moi, nous allons consacrer la fermeté de nos consciences, l’ardeur de nos convictions, notre vie, s’il le faut.
Hommes de bonne volonté, de vérité et de justice, aidez-nous !
Sébastien Faure.
Imprimerie Bonne-Nouvelle. — Valéry, 97, rue de Cléry et rue Beauregard, 60. — Spécialité d’affiches.
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
- /B_tout>
[ texte ]
- texte :
À partir du 6 février 1899
Le Journal du peuple
grand quotidien à 5 centimes
Rédaction et administration : 17, rue du Faubourg-Montmartre, Paris
Directeur : Sébastien Faure
Rédaction :
Tribune : Jean Ajalbert, Jean Allemane, Bernard Lazare, Pierre Bertrand, Mme Bradamante, Aristide Briand, Henry Leyret, Charles Malato, Octave Mirbeau, Francis de Pressensé, Pierre Quillard, Adolphe Retté, Zo d’Axa.
Chronique : Zo d’Axa, Laurent Tailhade, Xavier de Ricard, Adolphe Retté, H. Rainaldy, Jean Psichari, E. Pouget, Lucien Perrin, Ludovic Malquin, Louis Lumet, Théodore Jean, André Girard, J. Ferrière, Raphaël Dunois, J. Degalvès, René Chaughi, Charles Albert.
Vulgarisation : Atome, Henri Dagan, J. Degalvès, J. Ferrière, André Girard, Eugène Guérard, Ludovic Malquin, Élie Murmain, Jacques Liber, F. Pelloutier, E. Pouget, Pierre Quillard, André Veidaux.
Divers : Mme Véra, J. Valéry, A. Tennevin, Louise Michel, M. Jollit, E. Joindy, L. Grandidier, E. Girault, Henri Dhorr, H. Couthier, P. Comont, J.-B. Broussouloux, A. Antignac.
Secrétaire de rédaction : Hugues Moreau
Échos : Michel Zévaco. — Vie parlementaire : J. Ferrière. — Faits-divers : Constant Martin. — Informations et départements : J. Degalvès. — Reportage : Perfettini. — Mouvement social : Eugène Guérard et Fernand Pelloutier. — Critique dramatique : Laurent Tailhade. — Critique musicale : Jean Séver.
Correspondants particuliers : en Algérie, Angleterre, Hollande, Belgique, Suisse, Autriche, Roumanie, Allemagne, Russie, Italie, Espagne, Amérique et dans toutes les grandes villes de France.Feuilletons écrits spécialement pour “Le Journal du peuple” :
“La Prochaine”, par Charles Malato ; “Le Chevalier de La Barre”, par Michel Zèvaco.À tous :
Le Peuple n’a pas, il n’a jamais eu son journal.
Celui-ci sera le sien, parce qu’il exprimera ses intérêts, ses indignations, ses révoltes, ses besoins, ses revendications.
“Le Journal du Peuple” écrira au jour le jour, simplement, sans la dramatiser, la sombre histoire des miséreux, des prolétaires, des déshérités.
N’ayant rien à ménager, ni personne, “Le Journal du Peuple” dira toujours la vérité, toute la vérité, même quand celle-ci lui sera défavorable.
“Le Journal du Peuple” fera une large place au mouvement social ; il s’occupera de la vie des ateliers ; il sera l’organe du monde travailleur.
“Le Journal du Peuple” s’éloignera scrupuleusement de cette horrible et répugnante chose qui toujours et fatalement condamne à mentir, qui fatalement et toujours souille et stérilise : La Politique.
“Le Journal du Peuple” combattra sans défaillance et sur tous les terrains les sottises du Nationalisme, le banditisme antisémite, l’hypocrisie cléricale, les mensonges des politiciens, l’exploitation capitaliste, l’oppression sous toutes ses formes.
“Le Journal du Peuple” disputera le cœur et l’esprit des foules aux criminels qui les empoisonnent.
Il disputera la rue — cette patrie du révolutionnaire et du sans-toit — aux bandes des réacteurs.
Telle est la tâche magnifique à laquelle, mes amis et moi, nous allons consacrer la fermeté de nos consciences, l’ardeur de nos convictions, notre vie, s’il le faut.
Hommes de bonne volonté, de vérité et de justice, aidez-nous !
Sébastien Faure.
Imp. Valéry, 97, rue de Cléry.
http://cediasbibli.org/opac/doc_num.php?explnum_id=571
affiche ou feuille volante.
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
- /B_tout>
[ texte ]
- texte :
Lundi 5 novembre 1900 à 8 h. 1/2, salle des Omnibus
Gd Meeting public et contradictoire antimilitariste
organisé par les conscrits socialistes révolutionnaires et libertaires
Ordre du jour :
Contre le militarisme ; Contre la guerre ; Pour la liberté !!Orateurs :
Urbain Gohier, Charles Malato, rédacteurs à L’Aurore
Liard-Courtois, encien forçat ; Libertad, A. Cyvoct, Octave Jehan, Francis Prost, E. Girault, Clovis Hugues, député ; Paris et Rozier, conseillers municipaux ; Legrandais.
Le conseiller nationaliste Grébauval est spécialement invité à venir défendre l’Armée, la Patrie et la Société bourgeoise, autant d’infamie qui seront combattues à cette réunion.
Le citoyen Edwards du « Petit Sou » est invité par lettre recommandée
Prix d’entrée, 0 FR. 25 pour les frais
Vu l’importance de cette réunion, les portes ouvriront à 8 heures. — Tous les conscrits sont spécialement invités.
Imp. F. Clair, 81, rue du Mont-Cenis. — Paris
https://militants-anarchistes.info/?article2783
https://militants-anarchistes.info/IMG/jpg/jahn_meeting_1900.jpgOctave Jehan = Octave Jahn
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
- /B_tout>
[ texto ]
- texte :
La Huelga general
periódico libertario
•… Se publica el 5, 15 y 25 de cada mes …•
Colaboradores
Bonafulla - Claramunt (Teresa) - Domela Nieuwenhuis - Estévanes (Nicolé[…]) - Grave - Gustavo (Soledad) - Kropotkine - Lorenzo - Malatesta - Malato - Paraf-Javal - Reclus - Salvoches - Tarrida - UralesPrimer número el 15 de noviembre
Precio 10 centimos
[impr. …]
In Alfred Fromentin, La Vérité sur l’œuvre de Francisco Ferrer (Paris : groupe d’études scientifiques,1909)
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
[ texte Charles Malato ; dessin (image d’Épinal) Jules Hénault ]
- texte :
Propagande aux enfants
Éditée par l’Union ouvrière de l’ameublement - 4, passage Davy - Paris […]
La vie de Louise Michel
Bonne culture […] Bonne récolte […]
[…]
[…] Texte de Malato - Imprimerie Pernot […]
Affiche (impression en chromotypographie ; Épinal : Pernot, 1905))
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
- /B_tout>
[ texte ]
- texte :
Fédération communiste révolutionnaire
Mercredi 12 juillet, à 8 h 1/2 du soir
Salle des fêtes de la Bellevilloise, 21-23, rue Roger. (XXe)
Grand meeting contre la guerre
Orateurs inscrits :
Ch. Malato, publiciste
Fr. Delaisi, rédacteur à La Bataille syndicaliste
Beaulieu, rédacteur au Pamphlet du vieux Diogène
Thuilier, de l’Union des syndicats
P. Martin, du Libertaire
M. Lejeune, du Foyer populaire
G. Yvetot
Jacquemin, de la FRCAux ennemis de la guerre
En présence des événements qui se déroulent, la Fédération Communiste Révolutionnaire croit devoir lancer un cri d’alarme.
Les orateurs vous feront comprendre par des détails précis le danger qui nous menace et vous demanderont d’être prêts à toute éventualité.
S’il faut nous battre que ce soit pour notre propre cause.
Nos camarades du Mexique nous ont donné l’exemple et leurs luttes que nus vous feront connaître sont pour notre action les meilleurs enseignements.
Nous comptons sur votre présence.
Entrée 30 centimes pour couvrir les frais
La Fédération Communiste Révolutionnaire
Lire chaque jour La Bataille syndicaliste, et chaque semaine Le Libertaire, La Guerre sociale, […] et Le Pamphlet du Vieux Diogène.
[…]
[ Impr. … ?]
Affiche éditée à l’époque du « Coup d’Agadir (1911) (Source : tropjeunespourmourir.com. Source : Archives de la préfecture de police de Paris).
le nom « G. Yvetot » a été collé sur un autre nom.
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
- /B_tout>
[ texte ]
- texte :
Fédération communiste révolutionnaire
Une scélératesse !
Les traîtres et les bourreaux qui nous gouvernent ne veulent épargner aucune honte à ce pays. La République a déjà à son actif :
les fusillades des travailleurs en grève ; l’application des lois scélérates ; des lois d’exception contre les fonctionnaires ; des centaines de militants emprisonnés.
Mais à la réaction politique et sociale devait inévitablement s’associer la réaction militariste.
Non seulement nos gouvernants ont maintenu les Conseils de guerre et Biribi, qu’ils avaient promis de supprimer, mais encore, par le bluff des aéroplanes, le clinquant des revues et retraites, le projet de rétablissement du service de trois ans, la conscription forcée des noirs, ils essaient de réveiller l’esprit militaire et fortifier l’armée.
Pour couronner tout cela, le Parlement républicain a voté — sans aucune opposition — une loi odieuse qui envoie nos jeunes camarades coupables d’opinions antimilitaristes aux Bat’ d’Af’ et à Biribi.
On va donc faire subir aux jeunes gens ayant un idéal élevé de justice sociale, aux jeunes ouvriers condamnés pour délit de grève, le sort du malheureux Aernoult, lâchement assassiné par les officiers [de] l’armée française, le martyre de l’héroïque Rousset.
Camarades ! Nous ne vous convions pas à de vaines protestations. Nos jeunes camarades seront dans l’obligation de choisir : la mort lente, loin des leurs, sous le soleil d’Afrique, sous les to[…]les chao[…]bs, ou l’insoumission et la désertion.
Auront-ils le droit […]siter ?
À leurs frères de […]il de les soutenir en luttant contre le militarisme barbare.
Travailleurs ! [un]issez-vous aux anarchistes pour propager l’esprit de révolte et d’indiscipline dans les armées dont nous poursuivons la destruction.
Nous vous invitons au
Grand meeting
qui aura lieu
jeudi 13 juin 1912, à 8 h 1/2 du soir
Salle de la Maison commune, 19, rue de Bretagne
G. Yvetot, F. Delaisi, Pierre Martin, A. Laisant, Ch. Malato, [A.] Togny, A. Mournaud
Il sera perçu 0 fr. 20 pour couvrir [les frais]
Placement gratuit au siège
[marque syndicale] Imp. spéciale pour Affiches
Affiche éditée en 1912 contre le loi Berry-Millerand (source : tropjeunespourmourir.com. Source : Archives de la préfecture de police de Paris).
Est-ce Albert ou Charles-Albert Laisant ?
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
- /B_tout>
[ texte : meeting pour les 70 ans de Kropotkine, le 9 décembre 1912 ]
- texte :
[…] « Arbeiter Freund »
[…] « Temps nouveaux »ВЪ ПОНЕДВЛЬНИКЪ 9 ДЕКАБРЯ 1912 Г.
въ Salle des Sociétés Savantes, 8, rue Danton
СОСТИТСЯ ПОДЪ ПРЕДСВДАТЕЛЬСТВОМЪ ЖАНА ГРАВА [Jean Grave]
Интернаціональный Митингъ
по поводу 70-ЛѢТІЯ со дня рождеиія
П. А. Кропоткина
Ораторами выступятъ :
A. Girard & M. Pierrot отъ групп Temps nouveaux
Sebastian Faure
Charles Malato
Georges Yvetot […]
Pierre Dumas […] Fédération de l’habillement
G. Durupt отъ Club communiste libertaire
Chr. Cornelissen
Armando Borghi отъ Gruppo revoluzionario italiano,
José Negre, […]
I. Zielinska […]
М. Изядина, А. Карелвнъ К. Оргеіани, Рощинъ [M. Izjadina (Maria Isidine), A. Kareline, K. Orgheiani (Orgueiani), Roshchin (Rochtchine)]. […]
Винаверъ [Vinaven] […][…]
НАЧАЛО ВЪ 81/2 ЧАСОВЪ. двери будутъ открыты съ 8 час.
ЦВНА зА ВХОДЪ 50 САНТ
[…] 11, rue Vavin
http://kropotkin.ru/%d1%82%d1%80%d0%b5%d1%82%d1%8c%d1%8f-%d0%ba%d0%be%d0%bc%d0%bd%d0%b0%d1%82%d0%b0/
[Grand meeting révolutionnaire]
[Grand meeting révolutionnaire]. — Paris : [s.n.], . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (une : papier de couleur ) ; x × y cm.
sources :
[Conférences du Groupe parisien de propagande anarchiste]
[Conférences du Groupe parisien de propagande anarchiste]. — Paris : Groupe parisien de propagande anarchiste, . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (une : noir , papier de couleur ) ; x × y cm.
sources :
[Michel Bakounine : Œuvres]
[Michel Bakounine : Œuvres]. — Paris : Stock. Bibliothèque sociologique (1894-1914), [ca ]. — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (une : noir , papier de couleur ) ; 48 × 64 cm.
sources :
[Grand meeting public sur l’Inquisition en Espagne, par Charles Malato et Sébastien Faure]
[Grand meeting public sur l’Inquisition en Espagne, par Charles Malato et Sébastien Faure]. — Paris : Le Libertaire (1895-1939), . — 1 affiche (impr. photoméc.) : n. et b. ; [54 ?] × [40 ?] cm.
sources :
[Conférence publique et contradictoire par Charles Malato et Sébastien Faure sur « l’absurdité criminelle des religions »]
[Conférence publique et contradictoire par Charles Malato et Sébastien Faure sur « l’absurdité criminelle des religions »]. — Paris : Le Libertaire (1895-1939), . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (une : noir , papier de couleur ) ; [54 ?] × [40 ?] cm.
sources :
[Matinée-spectacle au profit des martyrisés de Montjuich]
[Matinée-spectacle au profit des martyrisés de Montjuich] / Willette, Adolphe (1857-1926) "> Adolphe Willette. — Paris : Le Libertaire (1895-1939), . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (une : noir , papier de couleur ) ; [54 ?] × [40 ?] cm.
sources :
[Grand meeting public et contradictoire de protestation contre les lois scélérates]
[Grand meeting public et contradictoire de protestation contre les lois scélérates]. — Paris : Le Libertaire (1895-1939), (Imprimerie spéciale [Impr. spéc.]). — 1 affiche (impr. photoméc.) : n. et b. ; [54 ?] × [40 ?] cm.
sources :
[Manifeste : un coup de force se prépare, grand meeting la liberté en péril]
[Manifeste : un coup de force se prépare, grand meeting la liberté en péril]. — Paris : Coalition révolutionnaire : Le Libertaire (1895-1939), . — 1 affiche (impr. photoméc.) : n. et b. ; [54 ?] × [40 ?] cm.
sources :
[Meeting public : Louise Michel, salle de l’Harmonie]
[Meeting public : Louise Michel, salle de l’Harmonie]. — Paris : [s.n.], . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (une : noir , papier rouge ) ; x × 21 cm.
sources :
[À partir du 6 février 1899 : Le Journal du peuple, grand quotidien à 5 centimes]
[À partir du 6 février 1899 : Le Journal du peuple, grand quotidien à 5 centimes]. — Paris : Le Journal du peuple : Le Libertaire (1895-1939), . — 1 affiche (impr. photoméc.) : n. et b. ; x × y cm.
sources :
![]() 1899 |
![]() 1899 |
[À partir du 6 février 1899 : Le Journal du peuple, grand quotidien à 5 centimes]
[À partir du 6 février 1899 : Le Journal du peuple, grand quotidien à 5 centimes]. — Paris : Le Journal du peuple, . — 1 affiche (impr. photoméc.) : n. et b. ; x × y cm.
sources :
![]() 1899 |
![]() 1899 |
[À partir du 6 février 1899 : Le Journal du peuple, grand quotidien à 5 centimes]
[À partir du 6 février 1899 : Le Journal du peuple, grand quotidien à 5 centimes]. — Paris : Le Journal du peuple : Le Libertaire (1895-1939), . — 1 affiche (impr. photoméc.) : n. et b. ; [27 ?] × [21 ?] cm.
sources :
![]() 1899 |
![]() 1899 |
[Grand meeting public et contradictoire antimilitariste]
[Grand meeting public et contradictoire antimilitariste]. — Paris : [s.n.], . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (une : noir , papier de couleur ) ; x × y cm.
sources :
[La Huelga general]
[La Huelga general]. — Barcelona Barcelone : La Huelga (1901-1903), . — 1 affiche (impr. photoméc.) : n. et b. ; 54 × 88 cm.
sources :
[La vie de Louise Michel : propagande aux enfants]
[La vie de Louise Michel : propagande aux enfants] / Jules Hénault. — Paris : Union ouvrière de l’ameublement, . — 1 affiche (lithogr. ), coul. (trois : rouge , noir , bleu ) ; 43 × 26 cm.
sources :
[Grand meeting contre la guerre]
[Grand meeting contre la guerre]. — Paris : FRC_ - FCR_ (Fédération communiste révolutionnaire : 1910-1912), . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (une : papier de couleur ) ; x × y cm.
sources :
[Une scélératesse !]
[Une scélératesse !]. — Paris : FRC_ - FCR_ (Fédération communiste révolutionnaire : 1910-1912), (Imprimerie spéciale [Impr. spéc.]). — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (une : papier de couleur ) ; x × y cm.
sources :
[Интернаціональный Митингъ : П.А.Кропоткина в Париже, 1912]
[Интернаціональный Митингъ : П.А.Кропоткина в Париже, 1912]. — Paris : [s.n.], . — 1 affiche (impr. photoméc.) : n. et b. ; x × y cm.
sources :