1908

 

 

8 affiches :

 

    [Aux travailleurs du bâtiment, 3 meetings]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Aux travailleurs du bâtiment, 3 meetings]. — Paris : [s.n.], . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (une  : noir , papier de couleur ) ; x × y cm.

    • Affiches par pays  : France
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    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  : meetings et manifestations
    notes :
    descriptif :


    [ texte ]

    texte :

    Fédération nationale des travailleurs de l’industrie du bâtiment de France et des Colonies

    Aux travailleurs du bâtiment

    L’action particulière […] des corporations du Bâtiment n’exclue en rien la nécessité de l’action […] de la Fédération.

    Déjà […] des meetings, cette action s’est manifestée, demandant la parfaite adhésion des aux travailleurs de l’industrie du Bâtiment.

    Nous devrons aujourd’hui la continuer !

    Il faut que […] bien que de l’apparition de la

    Carte fédérale

    […] dissimulée, va essayer d’embrigader au service de sa mauvaise […] les camarades arrivent de la province et qui, peu ou pas au courant des conditions de travail et d’existence à Paris, pourraient se laisser prendre aux fallacieuses promesses.

    Notre devoir est de les mettre en garde !

    C’est dans ce but, et afin de prouver que pas un travailleur ne sera dupe des intentions patronales, que vous assisterez nombreux à l’un des

    3 meetings

    Jeudi 5 mars 1908, à 8 heures et demi du soir

    Salle du Progrès Social, 92, rue de Clignancourt ; Salle de l’Alcazar, 190, avenue de Choisy ; Salle Gost, 60, r. Victor-Hugo, Pantin

    [Derniers inscrits ?] : Victor, Duras, Thomas, Guyot, Ebers, Bruon, Michaud, Palher, Hubert, Floussiot, Clément, Ricordeau, Lougare, Nicolai.

    Placement gratuit

    […]


    sources :
     


    [Élections municipales : à l’homme qui veut voter]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Élections municipales : à l’homme qui veut voter] / Eugène Petit « Strix ». — Paris : L’ Anarchie (1905-1914), (Causeries populaires, impr. des). — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (une  : noir , papier de couleur ) ; 62 × 43 cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  : IISG (Amsterdam)
    • Liste des thèmes  : délégation de pouvoir (élections)
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  : Anarchie (L’ : 1905-1914)  ; Libertaire (1895-1939), Le
    • Vie des mouvements  :
    notes :
    descriptif :
    Symbole(s) utilisé(s) :

    [ texte ; dessin (« Le maître et ses valets » : des oies amenant leur bulletin dans l’urne gardée par un cochon gras près d’un baquet “retraites”, sous une bannière « La servitude volontaire : lois ouvrières ») par Eugène Petit ]

    texte :

    Élections municipales

    À l’homme qui veut voter

    À nouveau, l’heure de choisir les bergers a sonné. Elle retentit gravement au beffroi de toutes les politiques, afin que tu ne l’oublies pas :

    Tous aux urnes, pas d’abstentions

    voici le refrain final des sonneries diverses.

    Ne pas voter, c’est un pêché, dit le catholique. — Ne pas voter, c’est être un mauvais citoyen, dit le républicain. — Ne pas voter, c’est trahir ses frères, dit le socialiste.

    Qu’est-ce donc que voter ? C’est choisir soi-même le maître qui vous donnera le fouet, qui vous volera.

    L’ouvrier forge les chaînes qui l’attachent, bâtit les prisons qui l’enferment, fabrique les fusils qui le tuent. Il pétrit la brioche qu’il ne mangera pas, il tisse les vêtements qu’il ne portera pas… Mais cela ne lui semble pas suffisant. Il veut paraitre le maitre, le peuple souverain, et il choisit lui-même ceux qui lui tondront la laine sur le dos. Il est le bétail, le troupeau qui nomme ses bergers.

    Il croit qu’il est impossible de ne pas être dirigé, aussi veut-il se payer le chic de choisir les bergers qui frapperont son échine et les chiens qui mordront ses mollets.

    Homme qui veux voter, réfléchis.

    Réfléchis bien. Les riches ne sont puissants que par leurs bergers et leurs chiens, et la force du berger et du chien ne vient que de ton acceptation, de ton obéissance, de ton vote.

    Ne va plus jeter ton bulletin dans l’urne. Reste chez toi ou va te balader. Tu verras alors la tête des maîtres et des candidats. Moque toi du vote. Ta force n’est pas dans un carré de papier. Elle est dans ton cerveau, dans tes bras, dans ta volonté, lorsque tu sauras les employer à faire tes affaires et non celle des autres.

    Si tu votes, tant pis pour toit. Tu deviens notre adversaire, car

    Notre ennemi c’est notre maître,
    Or, l’électeur nomme le maître
    Donc l’électeur, voilà l’ennemi.

    Les abstentionnistes

    Vu le candidat : — Impr. des Causeries Populaires, 22, rue du Chevalier-de-la-Barre, Paris — Demandez tous les jeudis : l’anarchie


    sources :

    Affiche parue pour les élections municipales de 1908 Même texte publié en 1906, avec une autre illustration.
    Elle réapparait pour les élections législatives de 1910.

    Le texte de l’hebdomadaire L’Anarchie n° 149 (13 février 1908) annonce : «  À l’homme qui veut voter
    Le cent d’affiches assorties de couleurs vives, en deux dessins, est expédiée en gare pour 2fr.50. Nous complétons le poids avec des invendus. (Réduction
    [reproduction de l’affiche sur la même page] ci-dessus) »
    il y a donc peut-être eu deux versions, une avec ce dessin de Strix (Eugène Petit) et une avec le dessin de Léon Israël. De même en 1906 ?


    1910

    1910

    1906

    1906

    1914
    Affiches liées


    [Gouvernement d’assassins !]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Gouvernement d’assassins !]. — Paris : CGT_ Comité confédéral (Confédération générale du travail : 1895-1914-…), . — 1 affiche (impr. photoméc.) : n. et b. ; x × y cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  :
    • Liste des thèmes  : répression
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  : soutien à militants
    notes :
    descriptif :


    [ texte ]

    texte :

    Confédération générale du travail

    Gouvernement d’assassins !

    Après les massacres de Narbonne, de Raon-l’Étape, le gouvernement assassine à Vigneux.

    Depuis un mois, les ouvriers des sablières de Seine-et-Oise sont en grève. Averties de ce conflit les autorités ont eu une attitude provocatrice, conséquence des excitations ministérielles. On ne saurait trop rappeler, en effet, que ces dernières années, chaque fois que les agents du Pouvoir ont commis un crime contre la Classe Ouvrière, ils ont recueillis honneurs, décorations, avancements…

    Aussi est-il compréhensible qu’au moindre conflit les autorités redoublent de zèle provocateur.

    Pour suivre l’exemple donné — et mériter à leur tour les honneurs de Clemenceau — sous-préfet et gendarmes de l’arrondissement de Corbeil ont cherché une journée.

    cette journée, ils l’ont eue mardi.

    Vers les 3 heures de l’après-midi, une quinzaine de gendarmes, après avoir eu soin, à une distance que les témoins évaluent à 200 mètres, de charger leurs révolvers et carabines, se présentèrent devant l’établissement où siège le Comité de grève. Sous le prétexte d’arrêter, sans mandat, un gréviste qu’ils supposèrent réfugié dans la salle de réunion, ils tentèrent de pénétrer de force.

    Les grévistes s’opposèrent à l’invasion de ces brutes. Étant chez eux, dans un domicile privé, en réunion privée, ils n’avaient pas à obtempérer aux injonctions des gendarmes.

    Cependant, les pandores rendus fous de rage par l’attitude défensive des grévistes, — obéissant sans doute à un mot d’ordre, — se divisèrent en deux groupes : l’un qui resta posté face à la porte d’entrée ; l’autre qui alla se mettre devant les croisées de la salle de réunion.

    Et la fusillade commença !

    Tandis que la première bande fusillait les grévistes par la porte, la deuxième bande les mitraillait à l’intérieur, au travers des fenêtres.

    Les assassins tirèrent jusqu’à épuisement de leurs munitions !

    Les grévistes, qui étaient complètement démunis d’armes, — aucun n’ayant le moindre révolver dans sa poche, — ne purent que très insuffisamment se défendre.

    Et pourtant, qui donc eut pu critiquer, s’ils avaient répondu du tac au tac à la fusillade ? Ils avaient, légalement, le droit de repousser les assaillants par la force.

    Qui donc leur eut fait un crime de s’être défendus ?

    Qui donc leur eut reproché d’avoir répondu à coups de révolvers aux carabines et aux révolvers des gendarmes ?

    Ils ne le firent pas ! Ils n’avaient pas d’armes !… Et puis, il faut le dire, il y a chez eux encore la foi en le mensonge démocratique. Ne leur avait-on pas toujours dit, à ces travailleurs nouvellement venus à la vie syndicale, que la République est un régime de liberté ? Que, sous ce régime, les ouvriers ont le droit de grève, de réunions, de discussion ?

    Et voici que, brutalement, sans sommations, les balles des gendarmes noient leurs illusions dans leur propre sang !

    À qui incombent les responsabilités de ce nouveau crime ?

    Nous l’avons dit : au gouvernement – au trio Clemenceau-Briand-Viviani.

    Clemenceau-le-tueur osera prétendre que les ouvriers ont provoqué. Il suffit de voir où sont les victimes pour constater que ce criminel joint à la scélératesse l’impudence du mensonge.

    Travailleurs !

    En présence de ce massacre, la classe ouvrière se doit de manifester son indignation contre le gouvernement et d’affirmer sa solidarité avec les victimes.

    De leur côté, les syndicats doivent organiser une agitation protestataire, sous forme de réunions, de manifestations, etc. Ils doivent, par un redoublement de propagande et d’actions, répondre à la fuite sanguinaire de pouvoir.

    Le comité confédéral.

    Placement gratuit aux sièges des syndicats adhérents

    [ … impr. ?] [marque syndicale]


    sources :

    Affiche parue après la tuerie de la salle Ranque :
    http://www.alternativelibertaire.org/?Juillet-1908-Draveil-Villeneuve-la


    1907
    Affiche liée


    [Grande conférence : la limitation des naissances et la révolution]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Grande conférence : la limitation des naissances et la révolution]. — Paris : Régénération consciente, (Imprimerie spéciale [Impr. spéc.]). — 1 affiche (impr. photoméc.) : n. et b. ; x × y cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  :
    • Liste des thèmes  : contrôle des naissances  ; Révolution [sociale]
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  : Croizé, J.-A.  ; Humbert, Eugène (1870-1944)  ; Tiran  ; Yvetot, Georges (1868-1942)
    • Presse citée  : Génération consciente (1908-1914)
    • Vie des mouvements  :
    notes :
    descriptif :


    [ texte ]

    texte :

    Groupe de Régénération consciente
    27, rue de la Duée - Paris-XXe

    Section du 20e Arrondissement

    Salle de la Maison du Peuple
    37, rue des Gatines, 37
    Face au Square Tenon — Métro : Place Gambetta

    Samedi 6 juin à 8 h 1/2 du soir

    Grande conférence

    par Georges Yvetot, Tiran, J.-A. Croizé
    sujet traité
    la limitation des naissances et la révolution

    Camarades,
    Les politiciens et les écrivains réactionnaires, les gros patrons, les galonnés, tous ceux qui ont intérêt au maintien de la société bourgeoise et capitaliste vous exhortent à faire beaucoup d’enfants…
    Pourquoi ? Est-ce en vue du bonheur de ces enfants et du vôtre ? Ils s’en moquent bien. Non ! c’est pour en faire des exploités, des esclaves, de la chair à travail ou de la chair à canon.
    Vous répondrez à ces gens en ne procréant des enfants que si vous avez es moyens de bien les nourrir et élever pour qu’ils soient solides, intelligents et bons, capables, par conséquent, d’instaurer bientôt une société plus équitable.

    Prix d’entrée : 030
    Nota. — Les dames sont particulièrement invitées

    Abonnez-vous à Génération consciente (mensuel)
    Organe populaire propageant la limitation volontaire des naissances.
    Abonnement : 1.50 par an.
    Administration : 27, rue de la Duée, Paris-XXe
    Envoi gratuit d’un numéro sur demande

    Imprimerie Humbert, 27, rue de la Duée


    sources :

    1908 ou 1914. Repéré aux Archives de la Préfecture de police (Paris).



    [Les victoires de la IIIe République : Villeneuve-Saint-Georges]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Les victoires de la IIIe République : Villeneuve-Saint-Georges] / Jules Grandjouan. — Paris : CGT_ Comité confédéral (Confédération générale du travail : 1895-1914-…), . — 1 affiche (lithogr. ), coul. (quatre ou plus ) ; 110 × 75 cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  :
    • Liste des thèmes  : grève  ; répression
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  :
    notes :
    descriptif :


    [ texte ; citation (de 1899, par Aristide Briant, 1862-1932) ; dessin (cavaliers — entourant le ministre de la justice en juge [A. Briant] — sabrant et fusillant des manifestants) par Jules Grandjouan ]

    texte :

    Allez à la bataille avec des piques, des pioches et des pistolets, des fusils : loin de vous désapprouver, je me ferai un devoir, le cas échéant de prendre une place dans vos rangs. !!!
    Aristide Briand
    décembre 1899

    Les victoires de la IIIe République !!!

    Villeneuve-Saint-Georges

    Édité par l’Union des syndicats du département de la Seine.

    [Sous l’égide de la Grève Générale et des 8 heures]

    [Imprimerie spéciale à l’Union des Syndicats ?]


    sources :

    Affiche publié après les massacres de juillet 1908, à Villeneuve-Saint-Georges, contre les grévistes.

    Le Libertaire, 15e année, n° 3 (Paris, 15 novembre 1908) a reproduit une vignette de cette affiche dans un articulet :

    Une Affiche de Grandjouan
    L’Union des syndicats de la Seine vient d’éditer une remarquable affiche de notre collaborateur Grandjouan.
    C’est la première fois, à part quelques affiches de journaux que les révolutionnaires se servent de cet admirable moyen de propagande qu’est l’affiche.
    Ce ne sera pas la dernière.
    Cette affiche de 1 m 10 sur 0 m 75, tirée en quatre couleurs doit figurer dans toutes les salles de réunion, syndicats, coopératives, restaurants, groupes socialistes ou révolutionnaires.
    En vente au bureau de La Guerre Sociale : 0 fr. 90, franco 0 fr. 60.




    [Réponse aux massacres]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Réponse aux massacres]. — Paris : CGT_ Comité confédéral (Confédération générale du travail : 1895-1914-…), . — 1 affiche (impr. photoméc.) : n. et b. ; x × y cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  :
    • Liste des thèmes  : répression
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  :
    notes :
    descriptif :


    [ texte ]

    texte :

    Confédération générale du travail

    Réponse aux massacres

    Sans longue préparation, dans un mouvement de généreuse indignation, les travailleurs parisiens ont répondu à la fusillade du 30 juillet, préméditée par le gouvernement.

    Un chômage de solidarité et de protestation, même pendant vingt-quatre heures, semblait-il possible ? Ce qu’une longue propagande n’aurait pu donner, le nouveau crime de Clemenceau l’a provoqué.

    L’affreuse tragédie qui a étreint le cœur de tout homme, animé de sentiments humains, a enfin dressé les travailleurs dans le geste de protestation qui vient de se terminer avec cette journée de chômage volontaire.

    Classe ouvrière

    Rappelle-toi les crimes de ce gouvernement.

    Nantes — Narbonne — Raon-l’Étape — Draveil-Vigneux — Villeneuve-Saint-Georges.

    Que de cadavres ! Que de deuil !

    Que de tristesse dans les cœurs ouvriers !

    Aucun gouvernement n’a si férocement servi le Capital.

    Aucun n’a plus brutalement ouvert les yeux aux exploités.

    Il leur a prouvé par le sang versé qu’ils n’ont rien à attendre que d’eux-mêmes ; leurs ennemis de classe ne leur réservent que la misère, la prison ou les balles. Mais l’organisation reste debout, invulnérable !

    Confiants dans leurs groupements syndicaux, c’est-à-dire en eux seuls, les ouvriers parisiens ont en masse répondu à leurs appels.

    La presse capitaliste, qui poussa au crime, fut la première atteinte.

    Spontanément, le province s’émeut, elle aussi.

    À Paris, malgré les provocations policières, le chômage de cette journée répondit à nos espérances !

    Avec plus de cohésion, le mouvement de réprobation eût été formidable. Désormais — l’expérience est faite — les gouvernants sauront que les massacres d’ouvriers ne resteront pas sans lendemain.

    C’est la leçon de ces tristes événements. Nous l’enregistrons. Que, pour la rendre plus profitable, les travailleurs fassent bloc dans leurs Syndicats respectifs. Plus vivante que jamais, la CGT continue son œuvre.

    Le Comité confédéral. — Le Comité général de l’Union des syndicats

    […]


    sources :

    Affiche parue après la fusillade du 30 juillet 1908 à Villeneuve-Saint-Georges qui a amenée une journée de chômage volontaire le 3 aout sur Paris (d’après Rapports des comités & des commissions pour l’exercice 1906-1908, présentés au XVIe congrès corporatif, Xe de la CGT, tenu à Marseille, du 5 au 10 octobre 1908, p. 17-18).

    Voir aussi : « Gouvernement d’assassins ! ».