papier violet
9 affiches :
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
- /B_tout>
[ texte ; papier lilas ]
- texte :
Des anarchistes au électeurs
Nous crions toujours la même chose : il ne faut pas voter, parce que voter, c’est se donner un maître, par suite se condamner à lui obéir. — Du jour où un homme est investi d’une fonction quelconque : — 1° Il se pourrit dans le milieu gouvernemental — absolument comme une belle et saine fille, que l’on mettrait dans une maison de tolérance. — 2° Il se sert de l’autorité que vous lui avez concédée, et par conséquent en abuse : de même un camarade qui passe chef à l’usine, vous traite bientôt en chien, et à l’occasion vous met à la porte. — Un soldat qui obtient un grade, vous met à la salle de police, après avoir été votre meilleur camarade.
D’ailleurs, que nous a donné le suffrage, dit universel, depuis 40 ans que nous en usons ? Rien. — Notre misère, au contraire, augmente de plus en plus.
Nous pourrons voter des siècles et des siècles, sans obtenir le moindre changement : donc, refusons notre sanction à l’Autorité ; passons-nous de gouvernement.
Oui, dira-t-on, mais par quoi remplacerez-vous le gouvernement ? — C’est comme si l’on demandait par quoi l’on remplacerait une bande de brigands organisée, qui pillerait, rançonnerait toute une contrée.
Mais comment une société sans gouvernement pourra-t-elle fonctionner ? — Comme aujourd’hui ! Les ouvriers porteront leurs produits dans des magasins appropriés pour leur métier, et prendront tout ce qui leur est nécessaire dans les magasins des autres professions. Ce mode de faire, supprimera la monnaie, une des causes principales de toutes les iniquités qui se commettent.
Oui, mais dans les villes, on ne fabrique que des objets manufacturés, comment subsistera-t-on ? — En faisant l’échange avec les travailleurs des campagnes : on leur fournira les produits manufacturés, habillements, instruments aratoires, etc., et ils nous fourniront les produits de la terre.
Les produits sont-ils assez abondants ? — Les produits pour la consommation, sont plus du double des besoins : les objets manufacturés, sont plus du triple des demandes. Qu’est-ce que ça sera, quand l’on aura intérêt à mettre la machine partout ?
Mais les hommes sont méchants, ils ne s’accorderont pas, ils se disputeront les produits ? — Est-ce qu’on se dispute, près d’une rivière, pour puiser de l’eau ; se bat-on, pour respirer plus d’air que son voisin ? — Quand tous les produits seront à discrétion, comme l’eau et l’air, on ne se disputera plus.
Et cette manière de faire supprimera le fonctionnarisme : police, gendarmes, armée, douane, etc., et donnera, par ce fait, des bras de plus au travail utile ; — supprimera le vol dans sa base. Là où il n’y a rien à voler, il n’y a pas de voleur. — Le fonctionnarisme n’a sa raison d’être que parce que la propriété individuelle existe, et qu’il faut empêcher aux déshérités de prendre le fruit de leur travail.
Mais l’on gaspillera les produits ? — Cela nous représente l’apprenti pâtissier rentrant chez un patron et mangeant des gâteaux à s’en rendre malade ; il arrive à se modérer tout seul et bientôt à ne plus en abuser. — Une chose ne fait plus envie, quand on peut l’avoir à discrétion.
Mais il y aura des paresseux ? — On calcule que dans l’état actuel du machinisme (tiré des statistiques officielles), il suffirait à chacun, pour vivre, de travailler une demi-heure par jour, au maximum. — Quel est celui qui ne le fera pas de bonne volonté, ayant la faculté de la faire quand ça lui fera plaisir, et en reconnaissant la nécessité ?
Pour arriver à cette société, il faut se « passer* » des gouvernements, de la même manière que nos pères de 89 ont abattu l’Autorité du Clergé et des Nobles — c’est-à-dire par la force, par la Révolution Sociale, — et non par un bulletin de papier.
Il faut s’emparer de la terre et de l’usine et produire :
Un pour tous, tous pour un
Comme la révolution s’avance à grands pas, étudions la Questions sociale, pour ne pas la laisser escamoter — comme les précédentes — par les rastaquouères de la Politique, — se diraient-ils socialistes-révolutionnaires.
Vive la Révolution sociale & l’Anarchie !
Élections législatives du 22 septembre 1889.
Vu : le candidat (pour la forme) :
Arrondissement.
Circonscription.
(*) Les électeurs comprendront ce que nous avons voulu dire par « se passer » de… — La liberté de la presse donne la liberté d’écrire « moyennant que l’on ne dise pas ce qu’il faut faire de cette latrine »
N.-B. — Les quelques idées émises ci-dessus méritent d’être approfondies ; à cet effet, nous convions tous les ouvriers à venir les étudier avec nous, ainsi que beaucoup d’autres, que faute de place, nous n’avons pu donner un aperçu.
Impr. G. Brunet. 25, rue Stephenson.
Archives de la préfecture de police (Paris).
Affiche (APP : Ba 76) citée dans la note 38 de la page 235 de : Angenot, Marc.— Topographie du socialisme français, 1889-1890. — nouvelle éd. — Montréal : Discours social, 2005. — 347 p.
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
- /B_tout>
[ texte ; papier lilas ]
- texte :
Mort aux juges !
Mort aux jurés !
Les misérables enjuponnés auxquels échoit de défendre une société de une société de brigands, — celle où trônent les Rothschild, viennent, une fois de plus, de montrer de quoi ils étaient capables.
Multipliez la férocité du bourreau par la lâcheté du bourgeois et l’hypocrisie du prêtre, ajoutez la luxure du cochon, vous aurez l’âme d’un magistrat.
Ces collègues et émules du pédéraste Rabaroust, assistés de douze jurés pourvoyeurs d’échafaud, — y a-t-il plus sanguinaires que les imbéciles ? — viennent de vouer au couperet de Deibler un homme coupable d’avoir tenté de voler des lapins.
Il est vrai que cet homme est la fois un travailleur et un anarchiste : donble titre à la haine des ces misérables.
Oui, les mêmes républicains qui, jouant la comédie de l’opposition en régime monarchique et clérical, flétrissaient les seigneurs d’autrefois faisant pendre les paysans pont avoir touché au gibier du maitre, les mêmes qui, durant vingt ans de pouvoir, n’ont su prouver leur amour du peuple qu’en le fusillant, les mêmes qui ont acquitté Wilson, fraternisé avec les Panamistes, et comblé d’honneurs l’assassin Galliffet, les mêmes par l’organe de leurs immondes valets, le juges, déclarent que Forest, pour le crime de n’avoir pas voulu se laisser mourir de faim, doit porter la tête sur l’échafaud !
C’est que, contre les prolétaires réclamant leur droit à la vie, cherchant à reprendre une parcelle de ce juste nécessaire que leur ont volé les riches, pour l’ajouter à leur superflu qu’ils ont aussi volé, tous les moyens sont bons.
Forest et trois de ses amis, manquant à la fois de nourriture et d’argent, an lieu de dépouiller quelques travailleurs, comme le font chaque jour, en toute impunité, nos honorables députés et ministres, ont es l’idée très logique de s’attaquer à la propriété des exploiteurs. Ils ont essayé, ayant au estomac à alimenter, tout comme les bourgeois, de prendre quelques lapins appartenant aux richissimes patrons de la compagnie l’Urbaine.
Parmi les abrutis et les ignorante, malheureux qui ne se sont jamais donné la peine de réfléchir sur les causes de leur misère, il n’y a que trop de chiens de garde de la propriété bourgeoise. Trois de ces inconscients surprirent Forest et ses amis en train d’attenter à la sacro-sainte propriété des exploiteurs ils les attaquèrent et, dans la lutte, l’un d’eux fut quelque peu blessé. La police accourut : Forest fut arrêté et, est-il besoin de le dire, martyrisé au poste, passé à tabac de la façon la plus ignoble.
Les magistrats et les jurés viennent de compléter l’œuvre des policiers. Notre ami ayant en le courage de leur crier : « Voleur, je ne le suis pas : les voleurs sont ceux qui nous ont dépouillés de tout, nous mettant dans l’obligation de leur reprendre par parcelle, au péril de notre vie et de notre liberté ce qui nous est nécessaire par ne pas mourir. » Ils l’ont, au mépris même de leurs lois, qu’ils savent violer quand ils y ont intérêt, condamné à la peine de mort ; surtout parce que Forest leur a dit « J’approuve hautement tous les actes de Ravachol et du camarade inconnu de l’explosion de la rue des Bons Enfants, et je regrette de ma vie de n’avoir jamais fait sauter ici des personnes, ni des choses. »
Qui donc d’entre nous ne sentirait son sang bouillir à la pensée d’une telle infâme ! Oui, Forest, tu a eu raison d’en appeler de la justice des assassins eu jupons ronges à la justice des anarchistes, qui s’exercera impitoyablement. Les petites marmites ne sont pas faites pour les chiens et, avant peu, juges et jurés en sauront quelque chose.
Combien n’en avons-nous pas à venger ! Faut-il rappeler nos braves amis Meyrueis et Chapulot, récemment accusés du meurtre d’un agent provocateur, et envoyés an bagne, sans preuves, sur la déposition de deux immondes mouchards ? Faut-il rappeler Descamps et ses amis, martyrisés au poste de Levallois, le 1er Mai 1890, par des brutes ivres d’alcool et aussi sodomistes que les magistrats ? Fant-il rappeler ceux dont on a pris la tête, comme Ravachol, et ceux qui sont an bagne comme Cyvoct, Gallo, Duval, Lorion, Pini, Simon, et combien d’antres en France et ailleurs !
Voici, reproduit par un journal bourgeois cependant, L’Éclair, un extrait de lettre envoyée par un de nos amis, forçat aux iles du Salut, où sont dirigés les anarchistes parce qu’on y souffre davantage et qu’on y meurt plus vite :
« Je ne puis pas vous dépeindre tontes les vexations dont nous sommes l’objet, toutes les cruautés qu’on imagine contre nous. Il faudrait pour cela entrer dans tous les détails de la vie du bagne ça me mènerait trop loin et ça serait trop écœurant. Mais ce qu’il importe que vous sachiez, c’est d’abord la barbarie avec laquelle l’administration nous prive de nos correspondances, qui sont pourtant notre unique consolation. Je n’ai donc pas le droit, parce que je suis anarchiste, de recevoir des nouvelles de ma vieille mère ? Il y en a parmi nous à qui on n’a voulu remettre aucune lettre depuis dix-huit mois...
»Pour vous signaler tout ce qui se passe ici, il faudrait des volumes. Si je pouvais tout raconter, alors, vous verriez défiler sous vos yeux, des malheureux enchaînés, roués de coups. Vous verriez, chose incroyable et pourtant vrai, vous verriez un malheureux attaché à un arbre au pied duquel se trouve une fourmilière, et les gardiens, aidés par des forçats plus lâches encore, lui faire enduire les jambes et les cuisses de cassonade, destinée à attirer les fourmis-manioc, armées d’antennes aiguës et puissantes. Je pourrais vous en dire plus. Mais à quoi bon ! »Et lorsque de telle infamies s’exercent couramment, on ose verser des pleurs hypocrites sur Very, justement puni pour sa délation, et les argousin de la rue des Bons-Enfants écrabouillés par une bombe vengeresse !
Qne les hypocrites larmoyeurs préparent donc leur mouchoir et leur sensibilité, car, nous le leur déclarons, tout assassinat, toute torture infligée à nos amis seront impitoyablement vengés. Œil pour œil, dent pour dent ! En attendant que la masse avachie se réveille pour prendre à la gorge gouvernants et exploiteurs, l’action individuelle des justiciers continuera son cours, frappant sans s’arrêter et répondant aux assassinats juridiques par l’arme de Padlewski on par la bombe de Ravachol.
Juges et jurés,
Croyez-vous, misérables ! que nous allons nous laisser assassiner et envoyer pourrir en bagne sans représailles ? Eh bien, non ! Mille fois non ! Vous, croyant les plus forte avec vos gendarmes, vos juges, vos prisons, vos bagnes et guillotines, voue avez osé nous déclarer la guerre et rêvé de nous supprimer ; vous avez voulu vous essayer par l’envoi au bagne d’une foule de nos amis et l’exécution de Ravachol ; grisés par une première victoire (qui vous a déjà coûté cher) vous avez par l’arrêt rendu contre Forest, prononcé votre propre condamnation à mort. Car, nous vous connaissons tous messieurs les jurés, juges et témoins, qui ont trempé dans ce procès Forest, et soyez certain que le fer, le poison et surtout le feu et la dynamite sont entant d’épées de Damoclès suspendues au-dessus de sou têtes et pas un n’en réchappera, car ce n’est pas en vain que Forest a dit ces paroles :
Compagnons, la. vengeance est un devoir !
Vous nous verrez à l’œuvre.
Compagnons ! Mort aux juges ! Mort aux jurés ! Mort aux policiers en uniforme et aux policiers amateurs !!!
lmpr. Dupont, Clichy.
Forest = Foret
Affiche collée à Angers : AD49 4 M 6 29
https://revolutionnairesangevins.wordpress.com/tag/angers/
https://revolutionnairesangevins.files.wordpress.com/1893/01/20150708_104727.jpg- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
- /B_tout>
[ texte (mars 1948) ]
- texte :
Federazione Anarchica Italiana ; Al popolo italiano : Migliaia di manifesti strillano dai muri d’Italia le solite promesse dei politicanti...
La Commissione di Corrispondenza della FAI
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
- /B_tout>
[ texte ; dessin (tête d’enfant) ]
- texte :
Acratie
Association culturelle régionale d’anthropologie théorique et d’intervention expérimentale
La Papillonne
Pour en finir avec l’école, l’éducation, la soumission, l’enfance
Comme notre temps est à la recherche du nom qui pourrait le mieux en exprimer l’esprit, bien des termes ont été proposés, qui tous prétendent être le bon. De quelque côté qu’on se tourne, l’époque actuelle présente le spectacle le plus chaotique des tumultes partisans et les grands hommes du temps se rassemblent, tels des vautours, autour de l’héritage caduc du passé. Partout abondent les dépouilles politiques, sociales, ecclésiastiques, artistiques, morales et autres, et tant qu’elles ne seront pas consumées, l’air ne sera pas pur et les êtres vivants resteront oppressés.
Sans notre intervention, notre temps ne donnera pas naissance au terme adéquat ; nous devons tous y travailler ensemble. Pourtant, si cette œuvre dépend de nous, il est bon que nous nous demandions ce que l’on a fait de nous et ce que l’on se pro-pose de faire de nous ; quelle est donc cette éducation grâce à laquelle on tente de faire de noua les créateurs de ce terme ?
Si notre époque, après avoir conquis la liberté de pensée, désire la parfaire en liberté de volonté pour faire de celle-ci le principe , d’une ère nouvelle, l’objectif final de l’éducation ne peut plus être le Savoir, mais le Vouloir né du Savoir et, pour exprimer de façon frappante le but des efforts de l’éducation, nous dirons qu’il est l’homme personnel ou libre. La vérité même de l’homme n’est rien d’autre que la révélation de sa nature propre et pour cela il lui faut se découvrir lui-même, se libérer de tout ce qui lui est étranger, s’abstraire à l’extrême ou se débarrasser de toute autorité, reconquérir sa naïveté. L’école ne forme pas d’hommes aussi foncièrement trais ; s’il y en a cependant, c’est bien malgré l’école.
En pédagogie, comme dans d’autres domaines, la liberté n’a pas droit de cité, notre faculté d’opposition ne peut pas s’exprimer ; on ne veut que de la soumission. Le but est seulement de dresser à comprendre la forme et la matière : des ménageries des humanistes ne sortent que des lettrés, de celles des réalistes que des citoyens utilisables et, dans les deux cas, rien que des individus soumis. On étouffe par la force notre saine tendance à l’indiscipline et l’on empêche en même temps le Savoir de se développer en Volonté libre.
Aussitôt que l’homme met son point d’honneur à se sentir, à se connaître, à se réaliser — ainsi donc dans le sentiment et la conscience de soi et dans la liberté — il s’efforce alors de mettre fin à son ignorance, car celle-ci fait de l’objet étranger et pour lui incompréhensible une barrière, un obstacle à la connaissance de soi. Si l’idée de liberté s’éveille chez l’homme, une fois libre il ne cesse de continuer de se libérer ; mais s’il n’est que cultivé, il s’adaptera aux circonstances en personne hautement cultivée et raffinée et ne sera plus qu’un serviteur à l’âme soumise. Que sont donc, pour la plupart, nos personnages riches d’esprit et de culture ? Des marchands d’esclaves es au sourire hautain, des esclaves eux-mêmes.
55, rue Berlioz - 13006 Marseille - Tél. (91) 47.33.39
Imprimerie Encre noire
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
- /B_tout>
[ texte ; dessin (femmes musiciennes de différentes époques et cultures) ]
- texte :
Fête des femmes
samedi 11 novembre
dès 20 hMusique
Danse
…Centre de loisir de Carouge
31, rue Jacques Grosslin- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
[ Texte (appel, manuscrit, en allemand, à participer au Cabaret Fiz) ; photo (accordéonniste) ; dessin (gnome/diablotin) ]
- texte :
Anmeldung für
Cabaret Fiz
2 Ausgabe
Salut !
Wir möchten euch über eine Sache informieren, die vom Espace Autogéré kommt.
Eine unglaubliche Veranstaltung wird hier stattfinden und das zum zweiten Mal : Das unglaubliche Cabaret Fiz #2 Ausbade.
Für diejenigen, die sagen können : « Das Cabaret Fiz ? Pfffh, ich war auch dabei ! Ihr braucht keine Erklärungen mehr. Für die anderen : Shame on you! Das Konzept ist jedenfalls einfach : Das Cabaret besteht aus vielen verschiedenen Einzelproduktionen (musikalisch oder andere) von mehreren Leuten aus dem Publikum. Die einzelnen Produktionen sollten nicht länger als 15 Minuten dauern. Voilà ! Falls euch diese Idee jetzt beflügelt hat und ihr auch teilnehmen wöllt, müsst ihr mir nur eine kleine Mitteilung schicken an die folgende Adresse
Espace Autogéré
AIS BK Fiz
Avenue de Morges #60
1004 LausanneSchreibt, wer und [wiewiele ?] ihr seid, eine kienze Beschreibung von dem was ihr macht, und wie lange es ungefähr dauern wird. Wir haben genug Materiel, um eure Stimmen zu verstärken (drei Mikros) . Wenn ihr andere Sachen benötigt, informiert uns, damit wir euch helfen können. Das Cabaret findet am Samstag, 13. Juni statt. Es wäre gut, wenn ihr uns so schnell, wie möglich schreiben könntet. Wenn wir zurviele Anmeldungen haben, werden wir die letzten Anmeldungen erst für die dritten Arisgabe das Cabarets berücksichtigen können. Das dritten Mal wird ungefähr Mitte September sein. Für alle, die was auf der Bühne zeigen, gibz im Haus Vegi-Vokü um 19 Uhr. Natürlich sind die Getränke und der Eintritt, für alle, die uns was zeigen, frei (Solange der Vorrat reicht).
Es hat genug Frühstück und Betten für alle Leute, die hier übernachten wollen. Also-gibt diese Nachricht weiter.bis balt
BK- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
[ texte ; dessins ]
- texte :
1re édition
Cabaret Fiz
multiples performances musicales (surf-punk, hip-hop ; funk, opéra, hard-core, folk, country…)…
…ainsi que d’autres délires indéfinis…
Tenue correcte de mise
Sa 28 mars, dès 20 h
À l’Espace Autogéré
av. de Morges #60, bus #7 arrêt Prélaz, Lôzane- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
[ texte (appel, manuscrit, en français, à participer au Cabaret Fiz) ; dessins (guitariste fumant la pipe ; jongleur) ]
- texte :
Inscriptions pour le
Cabaret Fiz
Édition 2
Salut !
Ce présent message est pour vous informer d’une bonne nouvelle tout droit venue de l’Espace Autogéré. En effet, un événement inoubliable est en train de s’organiser, et ce pour la deuxième fois, j’ai nommé : le Cabaret Fiz.
Pour ceux et celles qui peuvent se dire : « Le Cabaret Fiz ? Pfff, j’y étais moi ! » vous n’avez pas besoin d’explications.
Pour les autres (honte sur vous !), je dirais que le concept est très simple : soirée animée où chacunE peut venir sur scène pour une performance de son choix (musicale ou autre) pour une durée limitée à 15 min. Voilà ! L’idée vous inspire et vous voudriez vous aussi y participer ? Rien de plus simple ! Vous n’avez qu’à m’écrire un petit mot à l’adresse suivante :
Espace Autogéré
AIS BK Fiz
Avenue de Morges #60
1004 Lausanne
précisant qui vous êtes/combien, d’où vous venez, une description de ce que vous voulez faire et finalement la durée approximative de la perfo.
Notez que nous possédons la matériel pour sonoriser la voix (3 micro) mais si vous avez besoin de plus il faut le préciser.
Le cabaret est prévu pour le 13 juin, inscrivez-vous le plus tôt possible ! Les participants(es) en plus pourront être inscrits pour la 3e édition qui se déroulera à la rentrée vers mi-sept. Pour les artistes, une bouffe végétarienne sera servie vers 19 h dans la maison, l’entrée et les consommations (jusqu’à écoulement des stocks prévus) sera offert par la direction !
Pour ceux et celles qui arrivent d’outre-Lôzane, il sera possible de dormir au sleep-in de la maison et de déjeuner avec nous le lendemain matin.Voilà ! Faites passer le mot.
J’attends de vos nouvelles
BK- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
[ texte ; photos (militaires en action, ligne de policiers, banderole sur bâtiment) ]
- texte :
CNT Confédération nationale du travail — AIT Association internationale des travailleurs
Ils sont prêts
Résistons
nous proposons
la désobéissance civile et militaire
la grève générale
Solidarité entre les peuples
[…]
[…]
[Des anarchistes au électeurs]
[Des anarchistes au électeurs]. — Paris : [s.n.], . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (une : papier violet ) ; x × y cm.
sources :
[Mort aux juges ! Mort aux jurés !]
[Mort aux juges ! Mort aux jurés !]. — [S.l.] : [s.n.], . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (une : papier violet ) ; x × y cm.
sources :
[Al popolo italiano : Migliaia di manifesti strillano dai muri d’Italia le solite promesse dei politicanti...]
[Al popolo italiano : Migliaia di manifesti strillano dai muri d’Italia le solite promesse dei politicanti...]. — Bologna Bologne : FAI_ (Federazione anarchica italiana), . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (une : noir , papier violet ) ; 100 × 70 cm.
sources :
[La papillonne : pour en finir avec l’école, l’éducation, la soumission, l’enfance]
[La papillonne : pour en finir avec l’école, l’éducation, la soumission, l’enfance]. — Marseille : Acratie (Marseille), [ca ] (Encre noire (Marseille)). — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (une : noir , papier violet ) ; 45 × 32 cm.
sources :
[Fête des femmes, samedi 11 novembre]
[Fête des femmes, samedi 11 novembre]. — Genève : [s.n.], [ ?]. — 1 affiche (sérigr. ), coul. (une : noir , papier violet ) ; x × y cm.
sources :
[Anmeldung für Cabaret Fiz 2 Ausgabe]
[Anmeldung für Cabaret Fiz 2 Ausgabe]. — Lausanne : Cabaret Fiz : Espace autogéré (Lausanne), . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (une : noir , papier violet ) ; 42 × 30 cm.
sources :
![]() 1998 |
[Cabaret Fiz 1re édition]
[Cabaret Fiz 1re édition]. — Lausanne : Cabaret Fiz : Espace autogéré (Lausanne), . — 1 affiche (photocop. ), coul. (une : noir , papier violet ) ; 42 × 30 cm.
sources :
[Inscriptions pour le Cabaret Fiz Edition #2]
[Inscriptions pour le Cabaret Fiz Edition #2]. — Lausanne : Cabaret Fiz : Espace autogéré (Lausanne), . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (une : noir , papier violet ) ; 42 × 30 cm.
sources :
![]() 1998 |
[Ils sont prêts, résistons]
[Ils sont prêts, résistons]. — [S.l.] : CNT_ (France), . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (une : noir , papier violet ) ; x × y cm.
sources :