éducation

 

 

Affichage par année

200 affiches :

 

    [Commune de Paris — 8e Arrondissement — Écoles communales]

    notice :
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    [
    Commune de Paris — 8e Arrondissement — Écoles communales]. — Paris : Commune de Paris (1871), . — 1 affiche (impr. photoméc.) : n. et b. ; x × y cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  :
    • Liste des thèmes  : éducation
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  : Allix, Jules (1818-1897)
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  :
    notes :
    descriptif :


    [ texte ]

    texte :

    RÉPUBLIQUE FRANÇAISE
    LIBERTÉ — ÉGALITÉ — FRATERNITÉ — SOLIDARITÉ

    COMMUNE DE PARIS — 8E ARRONDISSEMENT
    ÉCOLES COMMUNALES

    Aux parents, aux amis de l’enseignement, aux enfants

    Les Écoles communales de notre Arrondissement sont nombreuses et bien tenues. Elles sont pourtant insuffisantes pour les Élèves à instruire

    Statistique de l’Arrondissement

    D’après le relevé que nous avons fait faire sur les cartes de boucherie, — le nombre des enfants à instruire dans notre Arrondissement, — garçons et filles, de 7 à 15 ans s’élève à. . . . 6251

    Nos Écoles communales, au nombre de 14, laïques, congréganistes eu protestantes, ne reçoivent pourtant que 1453 garçons et 1577 filles, ensemble 2730 élèves . . . . 2730

    Différence. . . 3251

    C’est uns différence de 3,251 enfants, dont il faut maintenant retrancher les enfants que les parents font instruire à leurs frais.

    Quoique considérable, cette différence s’augmenterait si nous avions calculé les enfants de 3 à 5 ans et de 5 à 7 ans. Mais nous ne parlons ici que des Écoles communales, les Asiles et les Écoles maternelles devant être l’objet d’une autre étude.

    Toutefois, trois Écoles congréganistes, celles des garçons, qui comptaient de nombreux élèves, sans que nous en sachions la cause, ont suspendu leur enseignement. Nous avons dû, pour éviter de laisser les enfants dans la rue aviser à faire faire les classes par des professeurs libres.

    Cependant nous avons compté dans le nombre des 2,730 élèves ci-dessus, 271 enfants indiqués comme fréquentant les deux asiles de l’Arrondissement qui reçoivent des enfants de 3 à 7 ans.

    Les Écoles communales organisées dans notre arrondissement sont donc insuffisante !, et cependant l’École des filles de la rue de la Bienfaisance est vacante et fermée : nous la faisons rouvrir.

    D’autre part, au temps où nous sommes, les Écoles libres fonctionnant peu, il y a urgence à hâter l’entrée de tous enfants aux Écoles publiques ou libres. Nous allons aviser, dès cette semaine, à cette
    œuvre sérieuse. Tous les enfants de 3 à 12 ans doivent être, bon gré mal gré, mis à l’école immédiatement, à moins de prouver qu’on les instruit ou fait instruire.

    En cet état toutes es Écoles communales étant en activité, moins une, il y a lieu d’aviser à la transformation de l’Enseignement lui-même. Nous nous proposons de profiter, dans ce but, de la réorganisation nécessaire des deux Écoles vacantes.

    Écoles Nouvelles

    L’École des filles de la rue de la Bienfaisance sera la première des Écoles nouvelles et la Base dont nous espérons voir sortir la Réforme. Nous nous proposons dans ce but de contribuer Nous-mème à l’Enseignement pratique, et nous avons choisi pour Directrice Mme GENEVIÈVE VIVIEN, Institutrice d’un grand mérite, et celle de nos élèves qui sait mieux que personne l’importance de notre Enseignement de l’ÉDUCATION NOUVELLE.

    Dès que les arrangements préparatoires seront terminés, le Programme en sera publié ; mais les enfants y seront admis depuis l’âge de 3 ans, pour commencer à la première enfance.

    Pour les enfants de 5 à 7 ans, la Lecture, l’Écriture et le Calcul, ainsi que l’Orthographe, doivent être des faits acquis ; — or, par les règlements, les Écoles communales ne reçoivent les élèves qu’à l’âge de sept ans : il y a donc dans la réforme à faire un Enseignement entièrement nouveau à établir.

    Les Cours de cette École, dès qu’ils seront organisés, seront publics, afin que les parents et les professeurs puissent y assister à leur gré.

    Écoles Normales

    Avec cette fondation d’une sorte d’École normale primaire, nous avons déjà établi une École normale gymnastique.

    Dans quelques jours nous serons en mesure de faire faire la gymnastique comme enseignement régulier pour toutes les Écoles communales.

    Nous ferons aussi bientôt de même pour la musique et le dessin.

    Inscriptions et Réceptions

    Dans l’usage les inscriptions des élèves se faisaient aux Mairies. En ce moment ce serait une perte de temps et une impossibilité. Les Enfants allant à l’École seront inscrits et reçus directement aux
    Écoles mêmes. Nous prions les Parents et les Enfants d’aller faire faire eux-mêmes leur inscription sans aucun retard.

    Pour l’École des filles de la rue de la Bienfaisance, les inscriptions seront admises pour les enfants à partir de l’âge de cinq ans.

    Nous aviserons ensuite et peu à peu à l’organisation de tous les Cours.

    Enfin, et pour conclure, nous faisons un appel instant à toutes les consciences, ainsi qu’ à toutes les intelligences, pour nous seconder dans cette œuvre, — le rêve de notre vie, que nous espérons enfin
    voir fleurir : —« La réforme à la fois scientifique et pratique de l’enseignement pour les Enfants. »

    La Société « la Commune Sociale de Paris, » dont nous sommes le fondateur, nous secondera de ses lumières et de ses membres. C’est pourquoi nous la recommandons, en même temps que noire œuvre
    même, — aux bons désirs de tous, — pour les enfants et les familles, — que nous voulons instruire, et que bientôt aussi nous ferons travailler.

    Paris, le 26 Avril 1871.

    Le Membre de la Commune de Paris, faisant fonction de Maire, JULES ALLIX.

    9125. — Paris, imprimerie Jouaust. vue Saint-Honoré, 338.


    sources :

    Texte d’après Les Murailles politiques françaises, tome II : la Commune, Paris, Versailles, la Province (Paris : Le Chevalier, 1874), p. 370-371.







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    [Les abrutisseurs]

    notice :
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    [
    Les abrutisseurs]. — Paris : L’ Anarchie (1905-1914), (Causeries populaires, impr. des). — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (une  : noir , papier de couleur ) ; x × y cm.

    • Affiches par pays  : France
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    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  : Anarchie (L’ : 1905-1914)
    • Vie des mouvements  :
    notes :
    descriptif :


    [ placard ]

    texte :

    Les abrutisseurs

    L’école religieuse abrutit !

    Les cléricaux et les congréganistes abrutissent l’enfant à l’aide des principes d’une religion mensongère et d’un dieu irréel.

    Ils empoisonnent le cerveau des gosses avec des absurdités sur la vie future, le paradis, l’enfer. On en fait des résignés, des esclaves qui engraissent les exploiteurs de tous les cultes.

    L’école des ignorantins fabrique des brebis cléricales, des esclaves religieux. On y abrutit au nom de Dieu !

    L’école laïque abrutit !

    Les dogmes sont différents, mais la besogne est la même. On inculque aux petits bambins les notions de la Patrie, de la Propriété, de l’Autorité, aussi mensongères que celle de Dieu.

    Dieu n’existe pas, disent les anticléricaux. Mais pour le miséreux, la Patrie n’existe pas davantage et la Propriété et l’État ne sont que les remparts derrière lesquels s’abritent les repus et les parasites, bénéficiaires de l’ignorance et de la bêtise ouvrières.

    À la laïque on abrutit au nom du Drapeau et du Capital. On fabrique des brebis anticléricales, des moutons patriotes, des esclaves républicains. C’est toujours du bétail à tondre et à égorger.

    C’est pour avoir l’assiette au beurre que les partis se disputent le droit d’abrutir les enfants !

    Pourtant il n’est pas plus intéressant d’être exploité par un patron radical que par un patron clérical, d’âtre sacrifié pour une Patrie mensongère que pour un Dieu imaginaire !

    Ce que nous voulons c’est ne plus être exploités du tout, c’est ne plus être écrasés. Nous voulons être libres !

    L’éducation rationnelle consisterait à fournir à l’enfant un bagage de connaissances scientifiques le préservant des préjugés et le rendant capable de se passer d’autorité et d’exploitation.

    C’est la mise en pratique de cette éducation qui a valu à Ferrer sa condamnation à mort en Espagne.

    L’éducation laïque ou religieuse fait des suiveurs, des abrutis.

    L’éducation anarchiste formera des hommes conscients qui démasqueront les charlatans et les menteurs, pour instaurer une vie plus fraternelle et plus belle.

    L’émancipation intégrale ne sera obtenue que par la destruction de tous les préjugés, laïques ou religieux.

    […]


    sources :

    Affiche annoncée dans L’Anarchie n° 251 (jeudi 27 janvier 1910) et n° 252 (jeudi 3 février 1910). Format demi-colombier.



    [Jeu de la fraternité]

    notice :
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    [
    Jeu de la fraternité]. — Paris : [s.n.], . — 1 affiche (lithogr. ), coul. (quatre ou plus ) ; 55 × 42 cm.

    • Affiches par pays  :
    • Lieux d’archivages  : CIRA (Lausanne)
    • Liste des thèmes  : éducation
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  : Demailly
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  :
    notes :
    descriptif :


    Groupe de propagande éducative DEMAILLY

    [ jeu de l’oie. Voir répertoire Bianco 1235 ]

    texte :

    Jeu de la fraternité

    “Éduquer, c’est évoluer.” : Édité par le Groupe de propagande éducative de l’enfance : “Après le pain, l’éducation est le premier besoin du peuple.” Danton.

    [« Jeu de l’oie »] :

    [Case 1 : Écolier — Case 2 : Mère de Famille — Case 3 : Enfant Studieux — Case 4 : Laboureur — Case 5 : GUTENBERG (Découverte de l’imprimerie, 1450) — Case 6 : Jeu du Cerceau — Case 7 : La paresse — Case 8 : Caserne — Case 9 : PAPIN (Découverte de la vapeur, 1647-1714) — Case 10 : Sauvetage — Case 11 : Charité — Case 12 : Jeu de Saut-de-Mouton — Case 13 : Aéroplane — Case 14 : VOLTA (Découverte de la pile électrique, 1754-1827) — Case 15 : Instituteur — Case 16 : Hôpital — Case 17 : Jeu de la Poupée — Case 18 : JACQUART (Invention du Métier à tisser, 1804) — Case 19 : Locomotive — Case 20 : Accident du travail — Case 21 : Jeu de barres — Case 22 : Asile d’Aliénés — Case 23 : THIMONNIER (Invention de la machine à coudre, 1830) — Case 24 : Soldat — Case 25 : Natation — Case 26 : Deux Dés — Case 27 : NIEPCE (Découverte de la photographie) — Case 28 : Misère au logis — Case 29 : Verre d’Absinthe — Case 30 : Marin — Case 31 : Jeu de la corde — Case 32 : LEBON (Découverte du gas d’éclairage, 1802) — Case 33 : La Bicyclette — Case 34 : Cabaret — Case 35 : Mineur — Case 36 : SAUVAGE (Invention de l’hélice 1785-1857) — Case 37 : Jeu de Colin-Maillard — Case 38 : Forgeron — Case 39 : Gymnastique — Case 40 : Jeu de Quilles — Case 41 : PALISSY (Découverte de la céramique, 1510-1589) — Case 42 : Rentier — Case 43 : Terrassier — Case 44 : Jeu de billes — Case 45 : STEPHENSON (Inventeur de la machine a vapeur, 1781-1848) — Case 46 : Amour des animaux — Case 47 : Patinage — Case 48 : Couvreur — Case 49 : Jeu du ballon — Case 50 : JENNER (Découverte du vaccin, 1749-1828) — Case 51 : Canotage — Case 52 : Moissonneur — Case 53 : Deux Dés — Case 54 : EDISON (Invention du phonographe, 1878) — Case 55 : Skating — Case 56 : Boulanger — Case 57 : Jeu du Traineau — Case 58 : La guerre — Case 59 : ROENTGEN (Découverte des Rayons X, 1895) — Case 60 : Travailleur conscient — Case 61 : Famille heureuse — Case 62 : Semeur — Case 63 : Allégorie LA PAIX.]

    Pour la vente des images et la Propagande éducative, s’adresser au secrétaire du Groupe, Demailly, 36, rue Sedaine, Paris-11e


    sources :

    Voir Bianco Bi 1235 : https://bianco.ficedl.info/spip.php?article1235

    Voir : http://www.giochidelloca.it/scheda.php?id=127 (vu le 29/12/2012).





















    [Warning]

    notice :
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    [
    Warning]. — Maastricht Maastricht / Maëstricht : Luuks : Ontbijt op Bed, . — 1 affiche (sérigr. ), coul. (une  : vert , papier blanc ) ; 70 × 25 cm.

    • Affiches par pays  : Pays-Bas
    • Lieux d’archivages  :
    • Liste des thèmes  : art (généralités)  ; éducation  ; étudiants (et luttes étudiantes)  ; provo
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  : Ontbijt op Bed (Maastricht : 1966-1967)
    • Vie des mouvements  :
    notes :
    descriptif :


    [ texte (contre les écoles d’art) ]

    texte :

    Warning

    De Kunstakademie leidt jonge mensen op tot een geïsoleerde plaats in de samenleving.
    Daaraan worden duizenden guldens subsidie besteed door rijk, provincie en gemeente.
    De Jan van Eyck Akademie verbruikt het komende jaar zes honderd duizend gulden (6 ton).
    Sinds de oprichting in 1948 zijn er 128 afgestudeerden losgelaten.

    Zodra de opleiding klaar is, staan ze in de kou. Niemand heeft nog behoefte aan hun producten.

    Het instituut bevordert de vervreemding.
    Ze gaat uit van de laksheid van leerlingen die te vaak de school bezoeken omdat ze er een beurs kunnen krijgen. Van de beurzenstop heeft men op de akademie weinig gemerkt.
    De besten onder de afgestudeerden maken nu speciale ouderwetse contra-prestatie — schilderijen op een verloren namiddag om centen te krijgen. De eigen research van de beeld. Kunstenaars wordt door de contra P. Negatief gewaardeerd.
    De opleiding daagt de studenten niet uit tot het zoeken naar nieuwe vormen voor het dagelijks leven : dat betekent het faillissement van deze opleiding. Er is een nieuwe mentaliteit nodig in het kunst ? Onderwijs (ook konservatorium en toneelakademie)

    Er moet niet langer worden opgeleid tot schilderijtjes makers, notenbalkers en tekstwakers. Kunstenaars moeten worden opgeleid tot vormgevers van een ludieke samenleving. Alleen dan wordt subsidiëring van de opleiding en kunstenaars gerecht vaardigt.

    Waar wacht u nog op, socialistische minister Maeerten vrolijk :
    dit is nieteens een experiment.
    Het is de enige mogelijkheid.

    Leesverder Ontbijt op Bed over de mogelijkheden, die een akademie toch heeft.

    Ontbijt op Bed . Tijdschrift van de Luuks beweging [logo "Luuks"]


    sources :

    http://provo-images.info/ontbijtopbedposters.html
    parue en octobre 1966


    1967

    1966
    Affiches liées







    [La révolte des esclaves. Pourquoi des écoles brûlent dans de nombreux pays ?]

    notice :
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    [
    La révolte des esclaves. Pourquoi des écoles brûlent dans de nombreux pays ?]. — [S.l.] : [s.n.], . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (une  : bleu , papier blanc ) ; 50 × 33 cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  : CIRA (Lausanne)
    • Liste des thèmes  : éducation
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  :
    notes :
    descriptif :


    Spartacus

    [ texte après l’incendie du collège Pailleron à Paris, en 1973 ]

    texte :

    La révolte des esclaves

    Pourquoi des écoles brûlent dans de nombreux pays ?

    Le CES Édouard Pailleron est celui qui illustre spectaculairement le tragique de la condition d’écolier.

    À force d ’endurer des brimades et une répression, constante, dans tout les moments de leur vie ; famille, école, orphelinat, et sans aucun droit les gosses se révoltent légitimement en détruisant ce qui les oppresse : à force de recevoir des coups un chien finit par mordre.

    Il y a dans chaque école un grand nombre potentiel d’incendiaires, cette « criminalité critique » est sur le chemin historique de la liberté, et passe par la destruction des écoles et autres prisons.

    On considère les gosses comme irresponsables dès qu’ils veulent prendre en main leur propre vie ou dès qu’ils accomplissent un acte radical qui n’offre aucune possibilité de défense au pouvoir que celle de dire qu’ils sont fous — (cf les lycéens que l’on envoie dans les hôpitaux psychiatriques). Mais si ce même acte radical contient une faille (ici la mort de 20 gosses), le pouvoir l’utilise pour sa défense, en disant cette fois-ci, que le môme est responsable, qu ’il a tout son bon sens etc., car c’est pour lui le moyen de dissimuler, ses propres responsabilités, et le système qui le soutient.

    Il ne faut pas oublier, que c’est le mouvement du capital qui fait produire des constructions vulnérables et horribles et que cela se traduit par la surentabilisation du m2et de l’emploi de matière première de substitution (plastique).

    Le système capitaliste ,étatique et autoritaire, avec sa logique du profit maximum est donc responsable de la mort des 20 élèves, responsables aussi ses larbins que sont les architectes et les promoteurs…

    Ce ne sont pas 20 ans de prison pour M. et P... qui résoudrons le problème, mais c’est la destruction du système capitaliste et de l’État, qui mettra fin à l’oppression et à l’ exploitation.

    Spartacus

    Reproduction libre


    sources :
     













    [Coordinamento nazionale lavoratori scuola]

    notice :
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    [
    Coordinamento nazionale lavoratori scuola]. — Firenze Florence : CNLS (Coordinamento Nazionale Lavoratori Scuola), ([…] in proprio). — 1 affiche (impr. photoméc. ), coul. (une ) ; 60 × 84 cm.

    • Affiches par pays  : Italie
    • Lieux d’archivages  : Biblioteca Archivio Germinal (Carrara)
    • Liste des thèmes  : contestation  ; éducation  ; grève : grève générale  ; grève  ; luttes ouvrières
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  : protesta
    notes :
    descriptif :


    Testo

    texte :

    Anche nella scuola :
    No ai licenziamenti !

    Venerdì 23 aprile sciopero nazionale di tutti i lavoratori della scuola con delegazione di massa a Roma, al Ministero della Pubblica Istruzione (viale Trastevere - ore 11).

    Contro
    — il DDL. 2777 che prevede il concorso come forma di selezione e licenziamento
    — lo straordinario obbligatorio
    — i peggioramenti delle condizioni di lavoro e del servizio
    — blocco salariale imposto dai sindacati
    — la legge quadro che limita i diritti sindacali dei lavoratori.

    Per
    — La difesa dell’occupazione e l’aumento degli organici
    — L’illicenziabilità dopo 180 giorni di servizio in un anno
    — L’immissione in ruolo di incaricati e supplenti annuali nominati dal provveditore
    — I corsi abilitanti autogestiti, non selettivi e aperti a tutti
    — La diminuzione a 20 del numero massimo di alunni per classe
    — La diminuzione dell’orario di lavoro per la scuola materna e elementare
    — Il riconoscimento a tutti i lavoratori dei diritti sindacali a partire dall’autogestione delle 10 ore di assemblee in orario di lavoro

    CNLS

    Coordinamento Lavoratori Scuola


    Lavoratori della scuola

    Per battere l’attacco all’occupazione e alle nostre condizioni di lavoro per rifiutare ogni delega su tali questioni a Governo, partiti e sindacati

    venerdì 23 aprile

    Sciopero nazionale

    con delegazione di massa a Roma al Ministero della Pubblica Istruzione

    Nel pomeriggio
    Assemblea Nazionale per organizzare il blocco degli scrutini di Giugno

    CNLS
    Coordinamento Lavoratori Scuola […]


    sources :
     


    [La papillonne : pour en finir avec l’école, l’éducation, la soumission, l’enfance]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    La papillonne : pour en finir avec l’école, l’éducation, la soumission, l’enfance]. — Marseille : Acratie (Marseille), [ca ] (Encre noire (Marseille)). — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (une  : noir , papier violet ) ; 45 × 32 cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  : CIRA (Lausanne)
    • Liste des thèmes  : éducation  ; enfants et enfance
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  :
    notes :
    descriptif :


    [ texte ; dessin (tête d’enfant) ]

    texte :

    Acratie

    Association culturelle régionale d’anthropologie théorique et d’intervention expérimentale

    La Papillonne

    Pour en finir avec l’école, l’éducation, la soumission, l’enfance

    Comme notre temps est à la recherche du nom qui pourrait le mieux en exprimer l’esprit, bien des termes ont été proposés, qui tous prétendent être le bon. De quelque côté qu’on se tourne, l’époque actuelle présente le spectacle le plus chaotique des tumultes partisans et les grands hommes du temps se rassemblent, tels des vautours, autour de l’héritage caduc du passé. Partout abondent les dépouilles politiques, sociales, ecclésiastiques, artistiques, morales et autres, et tant qu’elles ne seront pas consumées, l’air ne sera pas pur et les êtres vivants resteront oppressés.

    Sans notre intervention, notre temps ne donnera pas naissance au terme adéquat ; nous devons tous y travailler ensemble. Pourtant, si cette œuvre dépend de nous, il est bon que nous nous demandions ce que l’on a fait de nous et ce que l’on se pro-pose de faire de nous ; quelle est donc cette éducation grâce à laquelle on tente de faire de noua les créateurs de ce terme ?

    Si notre époque, après avoir conquis la liberté de pensée, désire la parfaire en liberté de volonté pour faire de celle-ci le principe , d’une ère nouvelle, l’objectif final de l’éducation ne peut plus être le Savoir, mais le Vouloir né du Savoir et, pour exprimer de façon frappante le but des efforts de l’éducation, nous dirons qu’il est l’homme personnel ou libre. La vérité même de l’homme n’est rien d’autre que la révélation de sa nature propre et pour cela il lui faut se découvrir lui-même, se libérer de tout ce qui lui est étranger, s’abstraire à l’extrême ou se débarrasser de toute autorité, reconquérir sa naïveté. L’école ne forme pas d’hommes aussi foncièrement trais ; s’il y en a cependant, c’est bien malgré l’école.

    En pédagogie, comme dans d’autres domaines, la liberté n’a pas droit de cité, notre faculté d’opposition ne peut pas s’exprimer ; on ne veut que de la soumission. Le but est seulement de dresser à comprendre la forme et la matière : des ménageries des humanistes ne sortent que des lettrés, de celles des réalistes que des citoyens utilisables et, dans les deux cas, rien que des individus soumis. On étouffe par la force notre saine tendance à l’indiscipline et l’on empêche en même temps le Savoir de se développer en Volonté libre.

    Aussitôt que l’homme met son point d’honneur à se sentir, à se connaître, à se réaliser — ainsi donc dans le sentiment et la conscience de soi et dans la liberté — il s’efforce alors de mettre fin à son ignorance, car celle-ci fait de l’objet étranger et pour lui incompréhensible une barrière, un obstacle à la connaissance de soi. Si l’idée de liberté s’éveille chez l’homme, une fois libre il ne cesse de continuer de se libérer ; mais s’il n’est que cultivé, il s’adaptera aux circonstances en personne hautement cultivée et raffinée et ne sera plus qu’un serviteur à l’âme soumise. Que sont donc, pour la plupart, nos personnages riches d’esprit et de culture ? Des marchands d’esclaves es au sourire hautain, des esclaves eux-mêmes.

    55, rue Berlioz - 13006 Marseille - Tél. (91) 47.33.39

    Imprimerie Encre noire


    sources :
     


    [lavoratori della scuola]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    lavoratori della scuola]. — Firenze Florence : CNLS coordinamento nazionale lavoratori scuola, [ca ] ([…] in proprio). — 1 affiche (sérigr. ), coul. (une  : noir , papier blanc ) ; 60 × 42 cm.

    • Affiches par pays  : Italie
    • Lieux d’archivages  : Biblioteca Archivio Germinal (Carrara)
    • Liste des thèmes  : éducation  ; grève
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  :
    notes :
    descriptif :


    testo

    texte :

    Lavoratori della scuola

    L’assalto statale ai nostri livelli salariali, occupazionali e normativi procede a ritmi sempre più incalzanti.

    L’inesistente opposizione del sindacalismo ufficiale si traduce in complicità con il processo di liquidazione delle esigenze fondamentali della categoria e della stessa scuola pubblica.

    La possibilità di arrestare e capovolgere questa tendenza risiede solo nell’impegno diretto di ognuno di noi e in livelli di lotta adeguati all’attacco che ci viene portato :
    — per classi di non più di 20 alunni ;
    — per l’abrogazione dello straordinario obbligatorio ;
    — contro il concorso e i licenziamenti e per immissioni in ruolo basate sull’anzianità di servizio ;
    — per il pagamento puntuale dei supplenti ;
    — contro l’infame decreto Falcucci ;
    — contro le decurtazioni della contingenza e della busta paga.

    blocco degli scrutini

    del 1° quadrimestre

    sciopero a tempo indeterminato dei primi
    o ultimi 25 minuti dell’orario di lezione

    CNLS - Coordinamento Nazionale Lavoratori Scuola

    Per organizzare la mobilitazione e contattare il CNLS : tutti i lunedì e giovedì ore 18-20 in via Palazzuolo134/R (Firenze), tel (055) 282561

    [stampa …]


    sources :
     





    [Rondel schule für Lebensnotwendige alternativen]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Rondel schule für Lebensnotwendige alternativen]. — [S.l.] : [s.n.], . — 1 affiche (impr. photoméc.) : n. et b. ; 42 × 30 cm.

    • Affiches par pays  : Allemagne
    • Lieux d’archivages  : CIRA (Lausanne)
    • Liste des thèmes  : éducation
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  :
    notes :
    descriptif :


    [ dessin (scènes de vie, de nuages, étoiles, arbres…) ; au recto bulletin de l’école avec texte explicatif ]

    texte :

    Rondel

    e.v.

    Schule für Lebensnotwendige alternativen

    Der moderne Mensch erfährt sich selbst nicht als Teil der Natur, sondern als eine von auBen kommende Kraft, die dazu bestimmt ist, die Natur zu beherrschen und zu überwinden. Er spricht sogar vom Kampf gegen die Nutur und vergißt dabei, daß er auf der Seite der Verlierer wäre, wenn er den Kampf gewänne.

    Zitat : E. F. Schumacher

    Pass Bloss AUE

    N. vmdenden vmschwenk

    U. Götz 81
    J. Schwarz 81


    sources :