éducation

 

 

Affichage par année

211 affiches :

 









    [Scuola : né di Stato né privata, per una trasmissione antiautoritaria del sapere, noi non smobilitiamo]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Scuola : né di Stato né privata, per una trasmissione antiautoritaria del sapere, noi non smobilitiamo] / Clifford Peter Harper. — Bologna Bologne  ; Carrara Carrare : FAI_ (Federazione anarchica italiana) : Umanità nova, . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (deux  : rouge , noir ) ; 84 × 56 cm.

    • Affiches par pays  : Italie
    • Lieux d’archivages  : CIRA (Lausanne)
    • Liste des thèmes  : éducation  ; fédérations anarchistes  ; mouvement anarchiste : congrès
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  : Umanità Nova (1920-…)
    • Vie des mouvements  : meetings et manifestations
    notes :
    descriptif :
    Symbole(s) utilisé(s) :

    [ texte ; gavure (une ville dans laquelle il y a une manifestation, un chat noir au premier plan) : dessin de Clifford Harper ]

    texte :

    Scuola : né di Stato ni Privata

    per una trasmissione antiautoritaria del sapere

    Come ogni anno, il nuovo governo, spalleggiato dalle burocrazie di CGIL-UIL, impone nuovi tagli alla scuola e all’università, a scapito dei ceti meno abbienti e dello stesso valore pedagogico dell’insegnamento.

    Come ogni anno, si mobilita per alcune settimane il movimento studentesco, che come al solito viene fermato attorno a Natale dalle forze politiche che, dietro l’ipocrisia dell’"apolitica", nascondono i loro tentativi egemonici sul movimento.

    Noi non crediamo che la riposta di chi vive la scuola sia la società, perché non ci va bene lo Stato né il Privato : vogliamo autogestire la scuola, la società e la nostra esistenza. Perché l’autogestione non è un surrogato dell’"okkupazione", ma l’autogoverno delle scuole, delle fabbriche e dei quartieri, senza la sfruttamento dell’uomo sull’uomo, sulla donna e sull’ambiante.

    Per rovesciare in senso antiautoritario l’intera istruzione, ci mobilitiamo dal basso, lontano dai partiti e dalle burocrazie, per un progetto rivoluzionario che riguardi tutti coloro, studenti, lavoratori della scuola e genitori, che vogliono impegnarsi nella scuola per costruire in prima persona un mondo nuovo.

    Il nostro metodo è antiautoritario e assembleare. E proprio per combattere l’autorità, non ci basta discutere una legge, ma tutto un sistema, e per questo non ci limitiamo a rivendicazioni settoriali ma sosteniamo, tramite i meccanismi della solidarietà, le lotte sociali espresse dai sindacati di base contro i padroni e contro i sindacati di Stati CGIL-CISL-UIL, e le lotte antimilitariste ed antiautoritarie espresse dai relativi movimenti.

    Una riforma cambia solo la forma.

    noi non smobilitiamo !

    Umanità nova : settimanale anarchica - Per copie saggio, diffusione, abbonamenti : CCP 12 93 15 56 intestato a Italino Rossi, CP 90-55046 Querceta (LU) — FAI - Federazione Anarchica Italiana - Convegnio di Bologna del 3-4 dic. ’94, Commissione di Corrispondenza : CP 14-54033 Carrara


    sources :

    Pubblicato in pagine centrale di Umanità nova anno 74 n. 36 (18 dicembre 1994)


    [s.d.]
    Affiche liée




    [Gratte le prof, tu trouveras… un cochon !]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Gratte le prof, tu trouveras… un cochon !]. — [S.l.] : [s.n.], . — 1 affiche (photocop. ) : n. et b. ; 42 × 30 cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  :
    • Liste des thèmes  : autonomie  ; éducation  ; étudiants (et luttes étudiantes)  ; insurrectionnalisme  ; révolution
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  : Maupin, Andry (1972-1994)  ; Rey_, Florence (1975-....)
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  :
    notes :
    descriptif :
    Symbole(s) utilisé(s) :

    texte

    texte :

    Gratte le prof, tu trouveras… un cochon !

    Les écoles ( lycées et facs ) sont le plus grand obstacle à l’éducation aujourd’hui. L’école est la suite naturelle de régulation des habitudes intestinales des bébés. Passer un examen, c’est la même chose que chier. On retient ça pendant des semaines, on mémorise en attendant le bon moment. Puis, c’est l’heure d’aller s’asseoir sur son pot.

    AAAh !
    Hummm !

    C’est si bon.
    On chie exactement ce qu’il faut - pour la bonne note. Quand l’examen est fini, on a la tête plus légère. On s’est débarrassé de toute la merde qui constipait ce malheureux cerveau. Enfin, on peut desserrer les muscles.
    Le papier qui sert à l’examen écrit, c’est très exactement du papier à chiottes.

    Les bébés sont comme des sages Zen, ils sont curieux de tout et joueurs. Les grandes personnes sont sérieuses, elles s’ennuient. Que s’est-il passé entre temps ? Il y a eu l’école, c’est à dire la lobotomie.

    L’IDEOLOGIE EST UNE TUMEUR AU CERVEAU !
    Les cours de lettres m’ont fait perdre le goût de la lecture. Les cours de langues celui des langues étrangères. Les cours de biologie m’ont fait perdre tout intérêt à la biologie.
    Y’a qu’à voir à quoi ressemblent les bâtiments universitaires. On dirait des usines, des aéroports, des casernes, des cartes I.B.M. en suspens, des hôpitaux et des prisons. Ils ont été conçus pour effacer toute individualité, pour émousser les sens, pour que les gens s’y sentent écrasés.

    CREVE SALOPE !
    La "pensée critique" ou "abstraite" est le piège à cons de l’enseignement. Critique, critique, critique.
    Examiner chaque question par les deux bouts, ne jamais agir, ne jamais prendre position, ne jamais s’engager, parce qu’on cherche toujours plus d’arguments, plus d’informations, et je te critique, et je t’analyse, sans fin.

    La pensée abstraite fait de l’intelligence une prison. C’est elle qui permet aux profs d’éviter de regarder en face leur impuissance sociale.
    Notre génération doit se révolter contre l’intellectualisme abstrait et la pensée critique.
    Nous admirons le snipper, le combattant des Chiapas et les camarades Jacques, Georges, Audry et Florence, l’iconoclaste, le casseur mais pas le légume pondeur d’abstractions.

    Les profs, c’est de la frime ; ils écrivent et ils parlent à l’aide de grandes chiasses de mots scientifiques et ronflants, afin que la plèbe n’y pige que dalle et ne voient pas qu’ils ne bavent que du vent. Ils sont si satisfaits de leur "liberté intellectuelle" qu’ils ne vont pas la gaspiller à se battre contre le capitalisme, pour la fin de l’économie et la révolution. Ils insistent sur la liberté d’être inopérants.
    Nous jugeons d’abord nos professeurs en tant qu’hommes, en tant que profs ensuite. Comment peut-on faire cours sur le XXe siècle, sur notre société quand on est allé voter.
    La révolution éliminera l’intellectuel et créera une société où il n’existera plus de distinction entre travail manuel et intellectuel - une société sans intellectuels. Notre tâche est de détruire l’université et de transformer le pays entier en une vaste école où tout s’apprendra sur te tas.

    BRULEZ LES PRISONS !
    L’école intoxique ; elle initie à l’héroïne de la vie bourgeoise on y gratte pour avoir une bonne note (l’argent) qui figurera sur votre livret (de caisse d’épargne) et sera utile dans l’avenir (la mort). On y apprend à devenir un bon rouage de notre formation sociale capitaliste.

    L’école nous donne de misérables trophées ( notes et diplômes ) en échange de nos consciences. Il faudrait qu’on soit vraiment content d’avoir eu une meilleure note que quelqu’un d’autre ! Elle nous enseigne l’esprit de compétition ; elle nous enseigne à nous satisfaire du malheur des autres.

    L’éducation pour nous, c’est la création d’une société libre. Quiconque veut enseigner doit pouvoir "enseigner". Quiconque veut apprendre doit pouvoir apprendre. Il n’y a pas de différence entre enseignant et enseigné, nous sommes tous à la fois enseignants et enseignés.

    Les lycéens forment la première minorité opprimée.
    On donne tout son sens au mot liberté quand on entend la sonnerie de fin de cours.
    "L’école est finie ! Je suis enfin libre !" Les profs savent que s’ils ne gouvernaient pas déjà la régulation de nos intestins, nous ne resterions pas une seconde de plus dans leurs écoles. Quoi, lever le doigt pour demander l’autorisation de chier ? Les chiottes sont la seule zone libérée d’une école.

    LACHEZ TOUT !
    Pourquoi rester là-dedans ’ ? Pour le diplôme ? Que chacun imprime son propre diplôme ! Est-ce que ça se fume un diplôme ? Alors ?

    COCHONS ! CRAPULES ! TU VAS CREVER !
    Nous distribuerons des balais et des serpillières aux membres des conseils d’administration pour qu’ils puissent enfin se rendre utiles en nettoyant les lieux.
    Au cul les bureaucrates, les petit-chefs. les chefs, les responsables, les délégués, les syndicalistes !
    Nous prendrons tous les dossiers, tous les carnets, toute la chiasse administrative et nous les foutrons aux chiottes.

    LE VENTRE DE LA BETE !
    Les universités sont des autocraties féodales.
    Les profs y jouent le rôle de nègres domestiques et les étudiants celui de nègres agricoles.
    Les manifs d’étudiants ne doivent plus être des "manifestations" mais des mutineries - des révoltes d’esclaves.
    La guerre des campus doit être la guerre du peuple, la guérilla.
    La seule avant-garde c’est l’avant garde dans l’action !

    La liberté est illégale ! La révolution est illégale ! Faites-vous illégaliser ! ★

    commando du 8 mai 1995.
    Jacques, on t’a compris.


    sources :

    Le 8 mai 1995 est aussi le lendemain de l’élection présidentielle, en France, qui voit la victoire de Jacques Chirac.

    Allusions à Jacques [Mesrine ?], Georges [Abdallah], Audry [Maupin] et Florence [Rey].












    [I Jornadas "Enseñanza, Sistema educativo y Anarcosindicalismo"]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    I Jornadas "Enseñanza, Sistema educativo y Anarcosindicalismo"]. — Madrid : CNT_ (España), . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (quadri ) ; x × y cm.

    • Affiches par pays  : Espagne
    • Lieux d’archivages  : CIRA (Lausanne)
    • Liste des thèmes  : éducation
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  : colloque
    notes :
    descriptif :
    Symbole(s) utilisé(s) :

    [ texte ; peinture (tableau noir et "A cerclé" sur globe, parmi des symboles mathématiques, texte à la craie : « Los [op…] »), signé Aeme ? ]

    texte :

    I Jornadas "Enseñanza, Sistema educativo y Anarcosindicalismo"

    Ateneo de Madrid, 24 y 25 de enero de 2004

    Día 24
    — Enseñanza Primaria e Infantil - Enseñanza Secundaria
    — Enseñanza Superior y Universidad - Formación Técnico Profesional y otras enseñanzas

    Día 25

    — Conclusiones
    — Experiencias actuales alternativas en sistemas educativos

    Debate Sala de Conferencias
    Exposición fotográfica : Galería de Retratos - Ateneo de Madrid, c/Prado, 21
    Organiza : Federación de Enseñanza de CNT - Pza. Tirso de Molina, 5, 2° y 6°
    91 369 09 72 - 91 420 08 56 - más información : cnt.es

    CNT-AIT


    sources :
     





















    [Pour le soutien aux sans-papiers, contre la pénalisation de la solidarité]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Pour le soutien aux sans-papiers, contre la pénalisation de la solidarité]. — Aix-en-Provence ; Marseille : AL__ (Alternative libertaire : 1991-2019) : CNT_F (France) ; [et al.], . — 1 affiche (photocop. ) : n. et b. ; [30 ?] × [21 ?] cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  :
    • Liste des thèmes  : contrôle social  ; éducation  ; émigration et immigration  ; procès  ; solidarité
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  : soutien à militants …
    notes :
    descriptif :
    Symbole(s) utilisé(s) :

    [ texte ; dessin (mains serrées autour de barreaux de prison) ]

    texte :

    Instituteur et militant du RESF, Florimond Guimard risque 45 000 € d’amende et 3 ans de prison pour s’être opposé pacifiquement } — avec 200 autres — à l’expulsion d’un père de famille sans-papiers à l’aéroport de Marignane.
    Il est convoqué devant le tribunal correctionnel d’Aix le 22 octobre…

    une semaine d’action

    Pour le soutien aux sans-papiers, contre la pénalisation de la solidarité

    avec le Réseau Éducation Sans Frontière

    La solidarité n’est pas un délit — La solidarité n’est pas un délit — La solidarité n’est pas un délit —La solidarité n’est pas un délit

    Samedi 20 oct. — Marseille - Porte d’Aix - 15 h
    Manifestation unitaire « Journée de solidarité avec les étrangers », dans le cadre de la mobilisation nationale UCIJ (UniEs Contre une Immigration Jetable)

    Dimanche 21 oct. — Marseille - Parc F. Billoux (248, rue de Lyon, 15e)
    Rencontre - débat, 14 h 30, « Contre la pénalisation des actions citoyennes », suivi d’un goûter en musique

    Lundi 22 oct. — Aix - La Rotonde - 12 h

    Manifestation

    Veille citoyenne devant le tribunal (40, bd Carnot), de 14 h jusqu’à la fin de l’audience

    Retrouvez le programme complet sur http://www.educationsansfrontiere.org/redf13
    Aix solidarité, Article 13, ASTI Aix, ATTAC, ATMF, Ballon Rouge, CIMADE, FCPE, Femmes en noir, LDH, Mille Babords, MRAP, RESF, UCIJ, UJFP, Intersyndicale Éducation des BDR (FSU-CGT-CFDT-FO-UNSA-SUD), SDEN CGT, CNT, FSU SDU, SNEP, FSU SNUIPP, SNES FSU, SGEN CFDT, Solidaires, Sud Santé Sociaux, Sud STSF, Sud Éduc, UDAS, UD CGT, UD CFDT, AL, Resister, LCR, PCF, Collectifs Unitaires Anilibéraux du 13, Les Verts, LO, …


    sources :

    https://web.archive.org/web/20071025093605/http://www.cnt-f.org/fte/IMG/pdf/Affiche20octa.pdf





    image indisponible

    [Vacances à vie !]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Vacances à vie !]. — Gent Gand : [s.n.], [ca ]. — 1 affiche (impr. photoméc.) : n. et b. ; x × y cm.

    • Affiches par pays  : Belgique
    • Lieux d’archivages  :
    • Liste des thèmes  : éducation
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  : Non fides (2007-2009-....)
    • Vie des mouvements  :
    notes :
    descriptif :


    [ texte ; visuel absent ]

    texte :

    Vacances à vie !

    On est une fois de plus le premier septembre. Pour beaucoup, c’est le début d’une année éreintante et chiante derrière les bancs d’écoles. La joie d’une libération temporaire, le temps des vacances, s’achève à nouveau, et réapparaît le jeu de l’obéissance et de la punition.

    Mais on nous rabâche trop souvent les côtés « positifs » des institutions scolaires. La dite scolarité est décrite comme un privilège (alors qu’en fait, il s’agit d’un enseignement obligatoire), qui se soucierait de l’avenir des jeunes. Mais dans le monde réel, les écoles sont les lieux où l’on nous prépare à marcher comme des esclaves salariés au rythme de cette société capitaliste. On nous y apprend à accepter les ordres, à obéir ; on y est disciplinés et habitués au rythme « de 9 à 5 » dans lequel nous devons perdre notre vie. L’épanouissement personnel est soumis aux besoins du marché du travail. Aucun choix n’est laissé pour que nous puissions apprendre ce que, nous, nous trouvons important et intéressant, mais par contre on nous apprend à nous prostituer dans un bureau d’intérim ou pour des patrons. Derrière les bancs de l’école, pendant 15 ans, on nous forme à devenir les marionnettes dont ont besoin les patrons pour maintenir leurs usines, leurs firmes, leurs entreprises. Et donc à garantir l’existence de ce système capitaliste.

    On encourage la compétition entre les élèves et le contrôle social est récompensé. De sorte que les élèves se dénoncent entre eux et oublient que le véritable ennemi siège face à la classe.

    Les écoles sont les lieux où la rébellion est punie ou étiquetée comme une caractéristique de la puberté, niant ainsi que la rébellion est une conséquence de l’instinct humain de liberté. Un instinct qu’on s’efforce aussi vite que possible de contenir. Nous avons la permission d’émettre des critiques limitées sur la société mais pas d’en remettre l’existence en question. Les écoles sont les lieux par excellence où apprendre à être critique sans trop faire trembler les fondements.

    Les fondements d’une société qui use, ou mieux abuse, de ses institutions scolaires pour nous enfoncer dans le crâne ses valeurs et ses normes comme elle nous offrirait des pains sucrés ; pour construire des prisons mentales dans nos têtes et tout cela pour nous faire suivre le droit chemin. C’est une société qui réprime la différence, enferme et déporte des gens parce qu’ils n’ont pas les bons papiers, exclut les plus faibles socialement et économiquement ou les étouffe dans ses filets soi-disant sociaux mais qui veut surtout déterminer les limites dans lesquelles nos vies peuvent pourrir. Et, comme si ce n’était pas encore suffisant, elle nous harcèle avec le contrôle (comme les caméras à chaque coin de rue et des flics) et, pour les gens qui osent encore en attaquer les bases, il y a toujours les camps de punitions comme les institutions pour jeunes, les centres fermés et les autres prisons. À l’école, on nous apprend à nous contenter de ce genre de vie, une vie pleine de rêves et de désirs diminués. Une vie où les rêves consistent à faire carrière, à consommer à en crever et à finir au fond de l’oubliette.

    Il est important de ne pas se résigner pour montrer que nous ne laissons pas paralyser nos rêves et nos désirs, que nous avons décidé pour nous-mêmes de ne plus nous laisser faire la leçon ! Il est important de montrer que nous sommes bien plus qu’un rouage du processus de production de masse.

    Pense par toi-même, apprends par toi-même, fous le boxon dans ta classe !!


    sources :

    Texte d’affiche diffusé sur http://www.non-fides.fr/?Vacances-a-vie : « Texte d’une affiche trouvée sur les murs de Gand [en langue française ou néerlandaise ?] » (25 décembre 2009).




    [Pour une école émancipatrice]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Pour une école émancipatrice]. — Paris : CNT_- FTE_ (CNT-Fédération des Travailleurs de l’Éducation) : CNT_F (France), [ca ]. — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (deux  : rouge , noir , papier blanc ) ; 60 × 40 cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  :
    • Liste des thèmes  : éducation  ; syndicalisme : syndicalisme révolutionnaire
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  :
    notes :
    descriptif :
    Symbole(s) utilisé(s) :

    [ texte ; dessin (salle de classe avec adultes et enfants qui préparent une manifestation : banderoles et panneaux : « égalitaire », « autogestionnaire », « anti-autoritaire », « autogérée », « CNT-AIT agissons ») ; logo chat cerclé avec crayon dans la gueule ]

    texte :

    Fédération des Travailleurs de l’Éducation - CNT / AIT

    …Pour une école émancipatrice

    Pour une révolution sociale et pédagogique

    CNT-FTE / 33, rue des Vignoles, 75020 Paris
    Tél. - fax - répondeur : 01 43 56 84 36
    Adresse Internet : http://cnt-f.org/fte/


    sources :

    Avant 1993 d’après le signe CNT-AIT repris dans le titre et dans le dessin, mais le site cnt-f.org n’a été créé que vers mai 2000. L’affiche serait une réédition (vers 2010 ?).


    2005
    Affiche liée