2009

 

 

115 affiches :

 

    [ Week-end sur les genres]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Week-end sur les genres]. — Saint-Imier : Espace noir, . — 1 affiche (photocop. ) : n. et b. ; 42 × 30 cm.

    • Affiches par pays  : Suisse
    • Lieux d’archivages  : CIRA (Lausanne)
    • Liste des thèmes  : culture  ; femmes  ; sexualité et genre
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  :
    notes :
    descriptif :


    [ texte ; sigles (Espace noir, sigle masculin-féminin-trans) ]

    texte :

    [logo] Espace noir

    Rue Francillon 29, 2610 St-Imier — www.espacenoir.ch 032/ 941.35.35

    Week-end sur les genres

    Cabaret, disco, ateliers débats, exposition, ciné

    Vendredi 27 et samedi 28 février 09

    Vendredi 19 h 00 : vernissage exposition, 20 h 00 : débat

    Vendredi & samedi 20 h 00 : cinéma : Priscilla

    Samedi 21 h 00 : cabaret suivi d’une disco

    Nos corps sont des scandales

    Cabaret performatique

    Julien Cadoret : Didasaclie and some glasses

    Marqueritte Bobey & Cornelia Schneider : Ukraina mon Amour

    Anne Zimmermabb & Grib Borremans : Joute…

    King’s queer : concert électro-punk militant

    Et on s’finit avec une disco débile


    sources :
     



    [10th Montreal anarchist bookfair, 2009]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    10th Montreal anarchist bookfair, 2009] / Christina Xydous. — [S.l.] : [s.n.], . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (quadri  : texte en défonce ) ; x × y cm.

    • Affiches par pays  : Canada
    • Lieux d’archivages  :
    • Liste des thèmes  : édition
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  : salon, foire
    notes :
    descriptif :

    [ texte ; dessin (bouquet de poings levés sur une étoile noire au milieu d’un timbre-poste à 0 c) de Christina Xydous ]

    texte :

    10th

    Montreal

    Anarchist Bookfair

    ★★ Welcome to all ! ★★

    Saturday, May 16 2009
    10am-6pm

    0 c Free !

    ★ The Bookfair is a child-friendly space with activities for kids ★ Main floor est wheelchair accessible — conct us for further accessibility needs ★ Day of workshops on Sunday, May 17 2009 ★

    www.anarchistbookfair.ca

    2515 rue Delisle, Montréal (metro Lionel-Groulx)

    poster design by Christina Xydous


    sources :
     

    2009
    Affiche liée


    [10 000 tonnes de déchets radioactifs dans la Meuse]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    10 000 tonnes de déchets radioactifs dans la Meuse]. — [S.l.] : [s.n.], . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (deux  : noir , vert , texte en défonce ) ; 64 × 42 cm.

    • Affiches par pays  : Belgique  ; France
    • Lieux d’archivages  :
    • Liste des thèmes  : nucléaire
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  : Non fides (2007-2009-....)
    • Vie des mouvements  :
    notes :
    descriptif :


    [ texte (en défense) ; photo (plongeon d’un vieillard dans la mer) ]

    texte :

    10 000 tonnes de déchets radioactifs dans la Meuse

    Le démantèlement de la centrale nucléaire de Chooz A dans la pointe des Ardennes françaises a commencé. Si avec les deux centrales, les habitants de la région bouffaient et crevaient déjà du nucléaire depuis des décennies, cette fois ce sera surtout la Belgique et la Hollande qui seront touchées par le démantèlement via les rejets dans la Meuse de 10 000 tonnes de déchets toxiques et radiotoxiques liquides.

    Si l’on voit la merde que rejette l’industrie dans la Meuse et ses différents affluents depuis plus d’un siècle, on comprend vite que ce n’est que la énième couche de pollution et pourtant les ordures radiotoxiques les rejets soi-disant « limités » et « inévitables » en provenance de Chooz causeront une pollution autrement plus durable et charrieront à leur tour cancers et leucémies.

    Mais tout cela importe peu aux industriels, car les enjeux vont bien au-delà de la pollution d’une zone spécifique. En terme de marchés, si EDF cherche à devenir le spécialiste mondial en démantèlement, les entreprises spécialisées dans le nettoyage de zone contaminées, telles qu’Onet-Industries et Techman, feront leur lard, tandis que Adecco et Manpower se chargeront de recruter des liquidateurs.

    Contrairement au discours des écolos qui cherchent encore à nous vendre leur bonheur éolien, le démantèlement ne prépare en rien une sortie du nucléaire mais garantit son acceptation centrale comme énergie « la plus propre ». Il s’inscrit ainsi dans sa relance au niveau international. Tandis que partout dans le monde ils nous construisent de nouvelles centrales pour satisfaire les besoins dévorants du capitalisme, à Chooz, on parle de transformer une poubelle nucléaire en parc naturel.

    Comme après la fuite d’isotopes à Fleurus l’été dernier, l’État et les industriels mettent en marche leur machine à propagande pour nous faire avaler la pilule d’iode. Le démantèlement n’est en fait que la vitrine du service après-vente du nucléaire. Mais comme toute vitrine, elle n’est jamais à l’abri d’un pavé.

    Avant qu’ils aient fini de nous pourrir définitivement la vie, Attaquons le nucléaire et son monde !


    sources :

    Affiche diffusée sur http://www.non-fides.fr/?10-000-tonnes-de-dechets : « Affiche trouvée sur les murs de plusieurs villes de France et de Belgique, juillet 2009 » (16 juillet 2009).









    [À Gaza comme ailleurs…]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    À Gaza comme ailleurs…]. — [S.l.] : [s.n.], . — 1 affiche (impr. photoméc.) : n. et b. ; [38 ?] × [27 ?] cm.

    • Affiches par pays  : Belgique
    • Lieux d’archivages  :
    • Liste des thèmes  : guerre (généralités)
    • Géographie, géopolitique et Histoire  : Congo (Kinshasa, République démocratique du)  ; Israël  ; Palestine  ; Tchétchénie
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  : Non fides (2007-2009-....)
    • Vie des mouvements  :
    notes :
    descriptif :


    [ texte (en défonce sur fond rouge brique) ; photo (ruines) ]

    texte :

    À Gaza comme ailleurs…

    De Gaza en Palestine à Nasiriya en Iraq, du Kivu au Congo à Grozny en Tchétchénie, les massacres de milliers d’êtres humains sont quotidiens. Sous les différentes formes qu’il prend aux quatre coins du monde, ce système capitaliste et autoritaire dévaste des zones entières par la famine, la privation, la pollution, la guerre. Qu’ils servent à fixer la main d’œuvre ou à la déporter, les camps sont désormais la condition de millions de personnes : camps de réfugiés, zones franches, centres de déportation, bidonvilles...

    Comme à Gaza, ce camp bombardé et encerclé par l’armée israélienne ; dominé par les autorités religieuses, nationalistes ; soumis à la misère et au désespoir. Opposer une logique de guerre contre tout un « peuple » à la terreur de l’État israélien ne sert qu’à faire oublier aux rejetés de Gaza comme aux exploités de Tel Aviv qu’il ne leur reste qu’une possibilité pour s’en sortir : se battre contre toute autorité, que ce soit celle de l’uniforme du soldat israélien ou du policier palestinien, de la camisole religieuse — ce vieil ennemi de la liberté —, du costume des capitalistes démocratiques et des usuriers qui, dans les camps comme ailleurs, spéculent sur la misère.

    Comme en Tchétchénie, où dans les décombres suite aux bombardements de l’armée russe vient s’ajouter à la terreur de l’État russe un régime de seigneurs de guerre.

    Comme au Congo, où des affamés travaillent dans les mines de métaux précieux aux avancées technologiques du capital et crèvent dans des conditions d’esclavage. Ces mêmes mineurs et leurs familles sont massacrés à coups de fusils et de machettes par des armées (officielles ou non) qui s’y battent pour garantir les profits de leurs maîtres. Tandis que les banques belges financent les deux partis rivaux pour faire baisser les coûts de production.

    Avec une autre intensité, mais suivant la même logique, en Europe, des milliers d’indésirables sont raflés, incarcérés et déportés selon les besoins de l’économie et du contrôle social. Des milliers de personnes trouvent la mort sur leur lieu de travail ou des suites de l’exploitation (cancers, dépressions, etc.). Dans les quartiers où les conditions sont de plus en plus dures, il n’y a pas que la police qui tabasse et assassine, mais aussi le développement toujours plus accentué de la guerre entre pauvres. La logique de la concurrence règne passant par différents rackets religieux, nationalistes ou mafieux : s’arnaquer, se vendre de la came, s’allier au premier chef de bande venu pour mieux survivre dans la jungle du capital où viols et autres brutalités font partie intégrante de la misère qui rend ce monde insupportable.

    Dans ce monde, il est dans l’intérêt des puissants et des exploiteurs que la guerre civile éclate partout… Cette guerre entre pauvres leur va très bien, parce qu’elle fait oublier qu’une autre guerre est possible : celle contre ce monde de fric et d’autorité et celle pour la liberté de chacun.

    Il est urgent d’opposer à la guerre entre États, entre religions, entre ethnies, la guerre sociale contre toute exploitation et toute domination.

    Désertons les guerres des États et des puissants, refusons la guerre entre pauvres !

    Armons-nous contre les manipulations nationalistes, démocratiques et religieuses !

    Attaquons ici et maintenant tout ce qui nous rend esclaves !

    Des anarchistes


    sources :

    Affiche diffusée sur http://www.non-fides.fr/?A-Gaza-comme-ailleurs : « Affiche trouvée sur les murs de plusieurs villes en Belgique, janvier 2009 » (12 janvier 2009).



    [À propos de la destruction du quartier d’isolement à la prison de Bruges]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    À propos de la destruction du quartier d’isolement à la prison de Bruges]. — [S.l.] : [s.n.], . — 1 affiche (photocop. ) : n. et b. ; 42 × 30 cm.

    • Affiches par pays  : Belgique  ; France
    • Lieux d’archivages  :
    • Liste des thèmes  : prison  ; révolte
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  : Non fides (2007-2009-....)
    • Vie des mouvements  :
    notes :
    descriptif :


    [ texte ; photo (femme allongée sur le dos, fumant une cigarette) n&b ]

    texte :

    Trois années de mutineries dans les prisons

    À propos de la destruction du quartier d’isolement à la prison de Bruges

    La prison n’est rien d’autre que le reflet de la société dans laquelle on vit. La société elle-même est une vaste prison où la plupart des gens sont enfermés dans la nécessité de trouver de l’argent, dans l’absence de perspectives de vie, dans des rôles de servitude et de soumission que les valeurs dominantes leur ont donnés. Tout comme dans la rue, il y a dans les prisons, les asiles psychiatriques et les centres fermés, des personnes qui ne se résignent pas et qui ne perdent pas un certain goût pour la liberté et pour une vie meilleure simplement parce qu’un juge l’a ordonné. Des personnes qui, quotidiennement, refusent l’humiliation d’obéir aux matons et aux chefs. Des personnes dans les cerveaux desquelles les murs et les barbelés de la prison ne sont pas encore imprimés et qui, bien au contraire, les considèrent plutôt comme des obstacles à franchir. Car la punition que la société, à travers ses juges et sa justice, leur a offerte, n’est que la conséquence d’un monde basé sur l’exploitation et l’oppression.

    Alors, depuis trois ans déjà, une petite tempête de révolte a laissé des traces dans des dizaines de prisons et de centres fermés en Belgique. En se mutinant, en boutant le feu à l’infrastructure carcérale, en attaquant les gardiens, en s’évadant, certains prisonniers ont retrouvé ce que le système a voulu leur enlever définitivement : le courage, un désir de liberté et une audace qui rêve de balayer toute la merde que cette société produit.

    Comme réponse, l’État a entre autre ouvert deux modules d’isolement à Lantin et à Bruges, de véritables prisons dans les prisons, pour mieux isoler et briser les « réfractaires ». Mais même dans ces cages, certains n’ont pas perdu le goût du combat. Le 2 avril 2009, des prisonniers à Bruges ont inondé les cellules de ce module et l’ont détruit presque entièrement. À l’heure où le gouvernement a annoncé ses plans de construction de sept nouvelles prisons, ils se retrouvent contraints de fermer le module d’isolement de Bruges. La machine carcérale n’est donc pas si bien rodée qu’elle parait.

    Force et courage et pour rous ceux qui se battent pour le liberté, dehors comme dedans !

    Attaquons, nous aussi, tout ce qui nous enferme, exploite et opprime !


    sources :

    Affiche diffusée sur http://www.non-fides.fr/?Affiche-a-propos-de-la-destruction (29 avril 2009).


    2009
    Affiche liée


    [About the destruction of the isolation unit in Brugge]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    About the destruction of the isolation unit in Brugge]. — [S.l.] : [s.n.], . — 1 affiche (photocop. ) : n. et b. ; 42 × 30 cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  :
    • Liste des thèmes  : prison  ; révolte
    • Géographie, géopolitique et Histoire  : Belgique
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  : Non fides (2007-2009-....)
    • Vie des mouvements  :
    notes :
    descriptif :


    [ texte ; photo (femme allongée sur le dos, fumant une cigarette) n&b ]

    texte :

    Three years of mutineries in Belgian prisons

    About the destruction of the isolation unit in Brugge

    The prison is nothing more than a reflection of the society in which we live. A society that resembles a great prison in which the majority of the population are locked up because of the necessity to find money, because of the lack of perspective in life, because of roles of submission and servitude that are being imposed by the ruling values. Just like in the street there are people in the prisons, psychiatric institutions, detention centres who do not come to peace with this, that do not burry a certain taste for freedom, for a better life, because the judge imposes that. People that refuse the humiliation every day to obey the guards and chiefs. For whom the walls and the barbwire of the prisons are not yet marked in their brains, and rather observe them as obstacles that have to be overcome. Because the punishment society gave them, through its judges, only is a consequence of a world that is based on the exploitation and obedience.

    Since three years a small storm of revolt blows through the tens of Belgian prisons and detention centres. By rising up, by burning the prisons infrastructure, by attacking guards, by escaping, some prisoners found back what the system tried to take from them period : courage, a desire for freedom, a rebellion that dreams of finishing with at least a part of the mess this society brings.

    Answering to this, the State opened two new isolation units in Brugge and Lantin, real prisons inside the prison, to be able to better isolate and break the ‘unruly’. But even in these cages, some haven’t lost the taste of combat. On the 2nd of April 2009, prisoners in Brugge have flooded the cells of this unit after which they smashed the unit almost completely. On the moment that the government is announcing its plans to construct seven new prisons, they are obliged to close down their showpiece, the isolation unit in Brugge. The prison machine isn’t that well oiled as it seems.

    Strength and courage for all those who fight for freedom, inside and outside !

    Let us, we as well, attack everything which is locking us up, exploiting us and oppressing us up !


    traduction :

    Trois années de mutineries dans les prisons

    À propos de la destruction du quartier d’isolement à la prison de Bruges

    La prison n’est rien d’autre que le reflet de la société dans laquelle on vit. La société elle-même est une vaste prison où la plupart des gens sont enfermés dans la nécessité de trouver de l’argent, dans l’absence de perspectives de vie, dans des rôles de servitude et de soumission que les valeurs dominantes leur ont donnés. Tout comme dans la rue, il y a dans les prisons, les asiles psychiatriques et les centres fermés, des personnes qui ne se résignent pas et qui ne perdent pas un certain goût pour la liberté et pour une vie meilleure simplement parce qu’un juge l’a ordonné. Des personnes qui, quotidiennement, refusent l’humiliation d’obéir aux matons et aux chefs. Des personnes dans les cerveaux desquelles les murs et les barbelés de la prison ne sont pas encore imprimés et qui, bien au contraire, les considèrent plutôt comme des obstacles à franchir. Car la punition que la société, à travers ses juges et sa justice, leur a offerte, n’est que la conséquence d’un monde basé sur l’exploitation et l’oppression.

    Alors, depuis trois ans déjà, une petite tempête de révolte a laissé des traces dans des dizaines de prisons et de centres fermés en Belgique. En se mutinant, en boutant le feu à l’infrastructure carcérale, en attaquant les gardiens, en s’évadant, certains prisonniers ont retrouvé ce que le système a voulu leur enlever définitivement : le courage, un désir de liberté et une audace qui rêve de balayer toute la merde que cette société produit.

    Comme réponse, l’État a entre autre ouvert deux modules d’isolement à Lantin et à Bruges, de véritables prisons dans les prisons, pour mieux isoler et briser les « réfractaires ». Mais même dans ces cages, certains n’ont pas perdu le goût du combat. Le 2 avril 2009, des prisonniers à Bruges ont inondé les cellules de ce module et l’ont détruit presque entièrement. À l’heure où le gouvernement a annoncé ses plans de construction de sept nouvelles prisons, ils se retrouvent contraints de fermer le module d’isolement de Bruges. La machine carcérale n’est donc pas si bien rodée qu’elle parait.

    Force et courage et pour rous ceux qui se battent pour le liberté, dehors comme dedans !

    Attaquons, nous aussi, tout ce qui nous enferme, exploite et opprime !


    sources :

    Affiche diffusée sur http://www.non-fides.fr/?Affiche-a-propos-de-la-destruction (29 avril 2009).


    2009
    Affiche liée











    [Camp 2009 village]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Camp 2009 village]. — Strasbourg : [s.n.], . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (quadri ) ; 60 × 42 cm.

    • Affiches par pays  : Allemagne  ; France  ; Grande-Bretagne / Royaume-Uni
    • Lieux d’archivages  :
    • Liste des thèmes  : antimilitarisme
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  : camping  ; meetings et manifestations
    notes :
    descriptif :
    Symbole(s) utilisé(s) :

    [ texte ; photo (camping militant) ; vignettes ]

    texte :

    sink NATO / coulons l’OTAN / NATO versenken

    Camp 2009 village

    Earth - Europe - France - Strasbourg - Neuhof - 207, rue de Ganzau

    1.-5. april/avril

    camp / vegan kitchens / workshops / children’s space / barrios / party / festival / concerts / theatre / art / discussions / out of action / and the things you do.
    (bands: Guts Pie Earshot, Chaoze One, Lotta C, D’Onderhond, Paul Geigerzähler, Bobby Sixkillers, Laplacedukif, Putschversuch, Egopilot, Pebblestones, Skwaattack, Fidl Kunterbint, Domb, a.m.m.)

    village / cuisines vegan / ateliers / espace enfants / barrios / fête / festival / concerts / théâtre / art / discussions / out of action / et les choses, que tu fais.
    (bands : Guts Pie Earshot, Chaoze One, Lotta C, D’Onderhond, Paul Geigerzähler, Bobby Sixkillers, Laplacedukif, Putschversuch, Egopilot, Pebblestones, Skwaattack, Fidl Kunterbint, Domb, a.m.m.)

    camp / vegane voküs / workshops / platz für kinder / barrios / party / festival / konzerte / theater / kunst / diskussionen / out of action / und die dinge, die du tust.
    (bands: Guts Pie Earshot, Chaoze One, Lotta C, D’Onderhond, Paul Geigerzähler, Bobby Sixkillers, Laplacedukif, Putschversuch, Egopilot, Pebblestones, Skwaattack, Fidl Kunterbint, Domb, a.m.m.)

    village2009.blogsport.de (F) — camp09.blogsport.de (D) — village09.blogsport.de (GB)

    sommet.otan2009@gmail.com — natogipfel2009@riseup.net — camporga@riseup.net — kulturorga@riseup.net


    sources :

    Sommet OTAN Strasbourg-Kehl 2009

    http://fastrasbg.lautre.net/?Affiche-du-village-alternatif


    2009
    Affiche liée











    [Droit dans l’mur ! « ordre moral »]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Droit dans l’mur ! « ordre moral »] / Gil_. — Bordeaux : GAB_ (Groupe anarchiste Bordelais) : Ovaires et Contre Tout !, . — 1 affiche (photocop. ) : n. et b. ; 60 × 42 cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  :
    • Liste des thèmes  : famille  ; religion et spiritualité (en général)  ; sexisme et homophobie  ; sexualité et genre
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  : Shaw, George Bernard (1856-1950)  ; Vian, Boris (1920-1959)
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  : journal mural
    notes :
    descriptif :
    Symbole(s) utilisé(s) :

    [ texte ; dessins (« Dieu est amour » par Gil ([rabbin, évêque et imam armés jusqu’au dents s’écriant : « Bisoux ! », « Calins ! » « Poutoux ! » ; prêtre se mortifiant ; panneau routier d’interdiction avec « grenouille de bénitier » priant devant une croix) frise d’une manifestation en silhouette sous le texte ]

    texte :

    Droit dans l’mur !

    Journal du Groupe Anarchiste Bordelais avec la participation exceptionnelle cette-fois du collectif Ovaires et Contre Tout !

    On a eu chaud aux miches

    Créé dans les années 1970, issu des luttes féministes, le MFPF (Mouvement Français pour le Planning Familial) s’est donné pour missions d’accueillir, soutenir et informer toute personne, mineure ou majeure, qui en ressent le besoin et de favoriser l’accès à la contraception et à l’avortement :
    en proposant des consultations gynécologiques
    en intervenant dans les établissements scolaires
    en organisant des permanences et des groupes de parole.

    À travers ces différentes actions, il travaille ces thèmes :
    sexisme, viols et violences faites aux femmes, prostitution, maternité, sexualité, accouchement, sida, et bien sûr contraception et avortement.

    On aurait pu penser que l’existence des plannings était acquise, mais à l’image de tous les droits des femmes, elle est menacée. Cette année, l’État avait prévu de diminuer drastiquement leurs subventions, ce qui aurait à terme causé la fermeture de plusieurs centres. La mobilisation a fait reculer les autorités, mais ce n’est qu’un répit. Nous sommes habitué.es à la présence des plannings, nous ne pouvons pas imaginer qu’ils disparaissent. Et pourtant, ça peut se produire, ça a failli se produire… C’est pourquoi, dès aujourd’hui,
    il faut se réapproprier les luttes et les questionnements féministes
    qui avaient mené à leur création.

    Pour contacter le MFPF Bordeaux : 05 .56.44.00.04

    Fini la mauvaise haleine : Dieu vous aime !!!

    Il n’y a pas si longtemps, chacun.e devait choisir son camp : soit on était bigot, soit on bouffait du curé. Le bon vieux temps, quoi ! Puis les anticléricaux ont cru qu’ils avaient gagné et leur lutte est tombée dans l’oubli. Erreur : l’ordre moral en a profité pour revenir aussi vite que la conscience de classe régressait.

    L’État aide de moins en moins les services publics et les associations de solidarité. Dans ce contexte, il n’est pas étonnant de voir débouler des institutions religieuses et caritatives (Réseau Solidarité Familles, Dies Irae — toutes deux fortement teintées d’intégrisme catholique et réactionnaire — ou encore les Frères musulmans — pas vraiment modérés non plus) : elles prennent la place de l’État-providence et multiplient les initiatives « d’entraide » bien ciblées vers la famille.

    Aujourd’hui, il est devenu quasi impossible de critiquer une religion sans être accusé.e d’intolérance et/ou de racisme. Ainsi, par exemple, empêcher « SOS tout petits » de prier pour le fœtus qu’on assassine, c’est ne pas respecter la liberté d’opinion et d’expression, et critiquer le port du voile relève de la discrimination raciale.

    Pourtant, restons réalistes : les intolérants, ce sont eux !

    Patriotisme, opinion publique, devoir parental, discipline, religion, morale ne sont que des jolis noms pour le mot « intimidation ». (G.B. Shaw).

    Toutes les religions se rejoignent sur un point : la domination et l’acceptation par l’individu.e de condition et de son rôle dans la société.

    Unanimement, elles enlèvent à la personne tout libre arbitre : c’est une entité « supérieure » (comprendre : imaginaire !) qui décide de ce que tu es et du rôle que tu as sur terre, à condition bie sûr que tu acceptes l’existence de cette entité imag… supérieure et que tu lui délègues tout pouvoir sur ta vie.

    Supprimez le conditionnel et vous aurez détruit dieu. (B. Vian).
    Nous qui sommes d’indécrottables athées, nous ne nous contenterons pas de regarder le religieux prendre de plus en plus de place sans rien faire. À nous de développer une entraide réelle, qui ne dépende ni des patrons, ni de l’État, ni des Églises ! À nous de continuer à nous battre partout où l’ordre moral sévit, essaie de se mettre en travers de nos vies, car nos vies nous appartiennent

    Sauvons les âmes : bouffons les curés !

    On pourrait dire de l’ordre moral que c’est un ensemble de valeurs conservatrices et réactionnaires imposée au plus grand nombre dans le but de mettre en place un standard de vie ou de pensée.

    Cet ordre moral constitue une « norme sociale » indiquant notamment la façon dont nous devons gérer nos vies, nos sexualités, nos corps. Il est intimement lié à l’organisation de la domination des hommes sur les femmes et au caractère obligatoire de l’hétérosexualité.

    C’est une morale dictée par les pensées puritaines et religieuses que quelques lois proclamant « l’égalité hommes/femmes » ne peuvent dissimuler.

    Car en même temps que l’État proclame « lutte contre les inégalités », il révise le « statut du fœtus », pour lui donner une existence juridique : la même que celle d’un être humain. Combat de ceux/celles qui voudraient que l’avortement soit considéré comme un meurtre.

    Car en même temps que l’État chante les louanges de « l’égalité des chances », il menace de supprimer une grande part des subventions aux plannings familiaux. Rare réseau d’information sur l’accès à la contraception, à l’avortement. Rare réseau de soutien aux femmes victimes de violences conjugales.

    Car en même temps que l’État pond des lois sur la « laïcité », ses représentants-e-s affichent leurs affinités avec des chefs de file religieux. La morale religieuse étant un élément non négligeable du respect de la norme imposée (sinon on est dans le péché) et de la soumission.

    Car la société ne se défait pas de l’organisation sociale autour de la famille. Le schéma « un papa - une maman - des enfants » structure les représentations et pèse sur les choix de vie. Voir les avantages conférés par l’État aux familles nombreuses.

    Car le schéma familial est celui d’un couple hétérosexuel, refusant à cette occasion l’adoption aux couples homosexuels. La justification est la peur de faire des enfants « anormaux », c’est-à-dire qui auraient grandi dans un milieu relativisant l’hétérosexisme.

    Car le couple est toujours la norme. Le désir ne devrait ainsi se porter que sur une seule personne, actant une possession réciproque des deux individu.e.s.

    Mais l’ordre moral est d’autant plus fort et complexe à combattre que chacun-e d’entre nous en est un relais, conscient ou non. Notre société normée a fait de nous des individu-e-s normé-e-s. Notre individualité a de profondes racines qui nous échappent car elles ne nous appartiennent pas : d’autres les ont cultivées pour nous.

    Et on peut faire confiance aux manuels scolaires, à la publicité et aux médias pour faire perdurer la transmission de ces valeurs.

    L"objectif d’une lutte contre l’ordre moral est de permettre à chacun.e de mener sa vie comme il.le l’entend : de disposer librement de son corps, de choisir sa sexualité, de choisir d’avoir ou non un/des enfant/s, de choisir quand et comment en avoir, etc.

    Seule une déconstruction (longue, radicale et au sein même de la lutte contre le patriarcat) des préjugés qui nous ont été inculpés pourrait laisser espérer qu’un jour, on mette à mort définitivement l’ordre moral et les normes sociales.


    sources :

    Journal mural Droit dans l’mur (Bordeaux, mai 2009).
    https://gabx.noblogs.org/post/2011/09/24/droit-dans-lmur-ordre-moral/ (site créé en 2011)
    mai 2009 d’après : http://www.atheneelibertaire.net/index.php/gab




    [En cette fin aout 2009, il n’y aura pas de Resto Trottoir]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    En cette fin aout 2009, il n’y aura pas de Resto Trottoir]. — Besançon : Food not bombs : Resto Trottoir (Besançon), (Imprimerie spéciale [Impr. spéc.]). — 1 affiche (impr. photoméc.) : n. et b. ; 42 × 30 cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  :
    • Liste des thèmes  : alimentation
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  : repas, cantine, …
    notes :
    descriptif :
    Symbole(s) utilisé(s) :

    [ texte ]

    texte :

    collectif Food not bombs, Besançon
    http://restotrottoir.blogspot.com

    Les trottantEs organisateuRIces… sont en vacances… ne sont pas assez nombreuXes… sont au potager… se sentent un peu fatiguéEs mais motivéEs… déménagent dans le Jura… ouvrent leurs droits au chômage… on “pas mal” de boulot personnel… partent pour des festivals ou rendre visite à la famille, aux amiEs… Bref,

    … en cette fin août, il n’y aura pas de Resto Trottoir

    « Là où on partage un repas gratuit pour toutes et tous »

    Non à la politique d’exclusion et de répression !
    Nous voulons : de la bouffe, pas des bombes, des maisons, pas des prisons…

    Retrouvons-nous le dimanche 27 septembre 2009
    avec la zone de gratuité : vêtements, chaussures, objets, livres, jouets… + infokiosque : tracts et brochures… + discussions, échanges…
    + exceptionnellement un défilé de mode de la zone de gratuité

    Vous trouvez dommage qu’il n’y en ait pas cette fois-ci… Vous souhaitez nous rencontrer, participer à l’information, à la collecte, à la cuisine, à la distribution et au repas… Rejoignez-nous ou contactez-nous :
    à la réunion d’organisation : les 1res mercredis du mois à 18 h à Besançon - Rendez-vous dans la cour de la fac de lettres, au 32, rue Mégevand ou par mail : resto-trottoir@herbesfolles.org


    sources :

    https://restotrottoir.blogspot.com/2009/08/pas-de-resto-trottoir-cette-fin-aout.html


    2011

    2010
    Affiches liées


    [En lutte contre les élites]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    En lutte contre les élites]. — Bruxelles = Brussels Bruxelles : [s.n.], . — 1 affiche (impr. photoméc.) : n. et b. ; x × y cm.

    • Affiches par pays  : Belgique
    • Lieux d’archivages  :
    • Liste des thèmes  : capitalisme et anticapitalisme  ; contrôle social  ; répression
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  :
    notes :
    descriptif :


    [ texte (long) ; dessin (personnage masqué de BD, bras croisés) ]

    texte :

    En lutte contre les élites

    Depuis qu’ils nous ont annoncé leur crise, le capital, les patrons et toutes les machines à se faire du fric sur le dos des autres sont passés à une offensive encore plus sauvage, dévoilant sans trop de complexe leurs vrais visages.

    Licenciement à gogo, chômage technique, travail le week-end, délocalisation… Voilà le quotidien de milliers de personnes utilisées comme de vulgaires pièces interchangeables qui devraient faire fonctionner la machine à fric sans jamais en voir le moindre sous.

    On nous dit de nous serrer la ceinture, d’être responsables et que cela va passer, alors qu’au même moment la plupart des chiffres d’affaires des entreprises continuent à être conséquents. Ce genre de mépris ne peut rester sans réponse.

    Loin de la résignation, des formes de lutte à la hauteur de l’exploitation et de l’affront subi réapparaissent : séquestration de patrons, occupation du lieu de travail, blocage, sabotage… Autant de moyen jugés adéquats par les personnes qui les mettent en place ; sans trop se préoccuper de la notion de légalité, mais parce que dans ce corps à corps qui les oppose à leurs patrons, c’est ce qui leur a semblé utile et nécessaire.

    Évidemment, la justice — fidèle aux logiques de ce système — viendra vite sanctionner les personnes qui s’organisent, sonnant ainsi le rappel à l’ordre. Tout comme — à travers ses prisons, ses centres fermés pour étrangers et sa Constitution — elle rappelle à l’ordre chaque personne qui ne suit pas les règles du jeu imposées par le capitalisme. Mais cet ordre c’est celui de vies de restrictions au profit de quelques exploiteurs alors, franchement, cet ordre-là ils peuvent bien se le garder.

    La pression sur les personnes qui se mettent en lutte est de plus en plus pesante. Les astreintes sont en passe de devenir monnaie courante pour toutes formes d’actions sortant de la fameuse “table des négociations”. La marge de manœuvre se restreint de plus en plus, dans l’idée d’affaiblir rapport de force qui se constitue.

    En renvoyant chacun au “dialogue démocratique”, aux libertés individuelles ou en jouant des pressions financières, ils voudraient nous laisser manifester notre mécontentement tout en s’assurant que notre voix soit inoffensive.

    Il est important de montrer notre solidarité avec les personnes qui tombent sous les différentes sanctions judiciaires. Non pas parce que ces sanctions porteraient atteintes aux quelques “droits” que le pouvoir à bien voulu nous laisser, mais pour que la lutte puisse continuer et s’étendre à toutes les sphères de nos vies.

    Parce que l’État, le patronat et le capital veulent nous priver de nos vies, osons lutter sans entraves et de manière autonome.

    Nous n’aurons que ce que nous prendrons


    sources :

    Affiche annoncée dans Tout doit partir n° 5 (juil. 2009) : « Affiche collée dans Bruxelles. »



    [Et toi ! T’as pris parti ?]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Et toi ! T’as pris parti ?]. — Bruxelles = Brussels Bruxelles : [s.n.], . — 1 affiche (photocop. ) : n. et b. ; 40 × 28 cm.

    • Affiches par pays  : Belgique
    • Lieux d’archivages  :
    • Liste des thèmes  : guerre (généralités)
    • Géographie, géopolitique et Histoire  : Israël  ; Palestine
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  : Non fides (2007-2009-....)
    • Vie des mouvements  :
    notes :
    descriptif :

    [ texte ; dessin (homme, mains dans les poches, tapant du pied dans une cannette) ]

    texte :

    Et toi ! T’as pris parti ?

    Pour qui tu préfères te sacrifier ? Pour l’État colonial d’Israël ou pour les autorités religieuses et nationalistes de Palestine ?

    Sous quel drapeau meurtrier tu préfères tuer ou être tué ? Quelle idéologie va te recruter pour anéantir tous ceux qui n’appartiennent pas à ton camp ? Dans les deux cas tu devras obéir aux autorités de l’un ou l’autre. Tu devras t’allier avec ton pire ennemi : ton patron, le flic, le général, l’autorité religieuse...

    Sous prétexte que les inégalités sociales auraient disparu. La Nation, le Peuple avant tout !

    Il n’y a pas de place pour la liberté dans ce genre de choix. En Israël, l’armée réprime les actions anti-guerre, enferme ceux qui refusent de faire le service militaire ; à Gaza, le Hamas recrute tous ceux qui se révoltent contre les chars israéliens et élimine ceux qui le contestent.

    Dans les deux cas cette guerre profite aux chefs !

    Et ici ? Pareil. Les chefs religieux et politiques profitent de la rage et de la révolte pour asseoir leur pouvoir, d’autant plus quand la misère s’accentue et que chacun cherche une cible à sa rage.

    Mais justement, il s’agit de ne pas se tromper de cible. Peu importe notre origine, notre but c’est la liberté de chacune et chacun, c’est d’en finir une fois pour toute avec les profiteurs, en finir avec les autorités de tous bords qui voudraient nous recruter, nous soumettre et nous réprimer quand on ne les sert plus ou qu’on s’avise de les contester.

    Guerre à la guerre !

    Contre les chefs, liberté de chacune et chacun !


    sources :

    Affiche diffusée sur http://www.non-fides.fr/?Et-toi-T-as-pris-parti : « Affiche trouvée sur les murs de Bruxelles en période de manifs pro-palestiniennes » (18 septembre 2009). Extrait de Tout Doit Partir n° 4.



    [Face à la guerre aux pauvres…]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Face à la guerre aux pauvres…]. — Paris : [s.n.], . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (deux  : noir , bleu ) ; x × y cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  :
    • Liste des thèmes  : logement, habitat  ; pauvreté
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  : Non fides (2007-2009-....)
    • Vie des mouvements  :
    notes :
    descriptif :


    [ texte ; image (sommets de tours vues depuis le sol) ]

    texte :

    Face à la guerre aux pauvres…

    Hausse des loyers, expulsion des logements, transformation du mobilier urbain en repoussoir anti-SDF, occupation policière, multiplication des caméras de vidéo-surveillance, chasse aux sans-papiers, aux prostituées, aux vendeurs à la sauvette...

    La rénovation n’a qu’un but : faire du fric. Elle permet de virer les pauvres pour installer des populations plus riches.

    La mairie et l’état organisent la spéculation immobilière et en tirent profit au côté des promoteurs. Ils construisent spécialement pour cette nouvelle population : 104, MK2, cafés-bobos, boutiques de mode...

    Flics, politiciens, artistes branchés, spéculateurs…

    Dégageons-les !


    sources :

    Affiche diffusée sur http://www.non-fides.fr/?Face-a-la-guerre-aux-pauvres : « Affiche trouvée sur les murs du Nord-Est de Paris, juin 2009 » (12 juin 2009).




    [Feira do livro anarquista : 2a, Liboa, 2009]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Feira do livro anarquista : 2a, Liboa, 2009]. — Lisboa Lisbonne : [s.n.], . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (deux  : noir , jaune , papier blanc ) ; x × y cm.

    • Affiches par pays  : Portugal
    • Lieux d’archivages  :
    • Liste des thèmes  : art : cinéma  ; édition
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  : conférence, débat…  ; exposition  ; salon, foire  ; spectacle, concert, fête…
    notes :
    descriptif :


    [ texte (noir, fond jaune) ; dessin (homme lisant sur une pile de livres) ]

    texte :

    Feira do livro anarquista

    22-23 e 24 maio 2009, Lisboa
    R. Luz Soriano 67A
    Bairro Alto

    Sexte-feira
    15h Workshop Práticas de resistência.Partilha de conhecimentos de medicina de prevenção e emergência.
    16h Conversa “Anarquismo e movimentos populares”
    18h A brecha (SpokenWord) 20h Repasto Sazonal
    21.30h Filme “Memória Subversiva” seguido de conversa

    Sábado
    15h Conversa sobre O caso dxs detidxs por uma “vivenda digna”, Madrid 2006
    16h Apresentação “A luta de imigrantes contra a empresa de trabalho temporário Groen Flex”
    18h Workshop de encadernação com Imprenta del Runk
    20h Jantar com Gang do avental
    21.30h Concerto de K.O.senso (Cantautorxs libertárixs) e Hezbolah

    Domingo
    15h British Columbia Anarchist Tour : apresentação e discussão
    17.30h Documentário “Revoltas nas prisões gregas” com conversa
    20h Jantar com declamação de poesia como sobremesa
    21.30h Conversa sobre “Grupos de afinidade, lutas intermédias e insurreição”

    :: : Permanentemente Ciclo “Cinema & Anarquia” :: :
    :: : Mostra de cartazes Anarquistas :: :

    mais informação :
    feiradolivroanarquista@gmail.com — feiradolivroanarquisma.blogspot.com


    sources :

    http://feiradolivroanarquista09.blogspot.pt/2009/05/cartaz-com-o-programa.html





    [Fête de la CNT Gard, 2009]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Fête de la CNT Gard, 2009]. — Nîmes : CNT_F (France), . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (deux  : rouge , noir , texte en défonce , papier blanc ) ; 61 × 28 cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  :
    • Liste des thèmes  : art : cinéma  ; art : musique
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  : Berthuin, Jérémie (1972-....)  ; Cartouche  ; Mathurin, Michel  ; Rigouste, Mathieu (1980-....)  ; Savia, al  ; The Hop la !  ; Wakkan Tribu
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  : galas et actions de soutien  ; meetings et manifestations  ; soutien à militants
    notes :
    descriptif :
    Symbole(s) utilisé(s) :

    [ texte ; photos (manifestations, groupes musicaux) ; étoiles taillées noires et rouges ; filigrane « sabocat » ]

    texte :

    Fête de la CNT Gard

    & soutien à Pascal suite aux violences policières du 1er Mai

    19 sept. 2009 à Montignargues

    Programme

    Films, conférences, débats en salle

    14 h

    Projection du film documentaire sur la répression suite aux révoltes populaires de juin 2008 à Sidi Ifni (Maroc) + débat « Pour un Maghreb des luttes sociales » animé par Jérémie Berthuin, secrétaire international de la CNT.

    16 h

    Projection du film documentaire de Michel Mathurin « Et pourtant ils existent », histoire du syndicalisme d’action directe + débat « Quelle alternative syndicale à la crise » animé par la CNT Gard

    18 h

    Conférence de Mathieu Rigouste, sociologue, auteur du livre « L’Ennemi intérieur » sur la justification des politiques sécuritaires de l’État français. Coorganisé avec le SCALP No Pasaran.

    Tables de presse d’organisations militantes, du comité de soutien à Pascal

    19 h 30 : apéro

    flamenco-rumba avec Al Savia

    21 h : concerts

    en plein air s’il fait beau, en salle s’il pleut !

    Intervention publique de la CNT Gard

    Wakkan Tribu (rock français)

    The Hop la ! (punk-rock français)

    Cartouche (rock’n’punk)

    Entrée prix libre de soutien

    Restauration sur place : boissons, assiettes, sandwich petits prix !

    Animations pour enfants (sous la responsabilité des parents)
    dès 14 h - contes, jeux, château gonflable
    16 h 30 - goûter offert

    [carte de situation]

    Avec le concours et le soutien du collectif Caméléon

    [logo chat noir cerclé CNT] Pour aider aux frais juridiques, adresser chèques de soutien à :
    CNT 6 rue d’Arnal 3000 Nîmes aec la mention : « solidarité inculpé du 1er mai 2009 » au dos.

    Graphisme : LOX - myspace.com/netlox


    sources :

    http://www.cnt-f.org/fedeptt/documents/2009/2009-05-01_Solidarite.Pascal_Fete.Montignargues.19-09-2009_Affiche.pdf







    [Frost Punx Picnic V]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Frost Punx Picnic V]. — Mülheim an der Ruhr : Frost Punx, . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (une  : noir , texte en défonce ) ; [42 ?] × [59 ?] cm.

    • Affiches par pays  : Allemagne
    • Lieux d’archivages  :
    • Liste des thèmes  : art : musique
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  : spectacle, concert, fête…
    notes :
    descriptif :


    [ texte blanc sur noir (programme du 5e festival Frost Punx Picnic) ; dessin (heroic-fantasy, 5 punks sans brasero) ]

    texte :

    Frost Punx Picnic V

    Worst Case Scenario ([… ?])
    Shades of Grey ([… ?])
    Silence Means Death ([… ?])
    Sandcreek Massacre ([… ?])
    Black Freighter ([… ?])
    Golden Gorilla ([… ?])
    Brat Pack ([… ?])
    Moho ([… ?])
    Finisterre ([… ?])
    Cyness ([… ?])
    + special guest

    13.+14.02.09 — AZ Mülheim

    Disco+ Essen+Kickerturnier+Chinaball+Heizung und Bier
    Schlafplätze vorhanden (Isomatte mitbringen)
    Info : 0208/4445633 und www.frostpunk.de


    sources :
     



    [Il faut que tout ça serve à quelque chose]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Il faut que tout ça serve à quelque chose]. — Montreuil (Montreuil-sous-Bois) : Envolée (l’), [ & post]. — 1 affiche (impr. photoméc.) : n. et b. ; x × y cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  : Tanneries (Dijon)
    • Liste des thèmes  : insurrectionnalisme  ; prison
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  : Khider, Christophe (1971-....)
    • Presse citée  : Envolée, L’
    • Vie des mouvements  :
    notes :
    descriptif :
    Symbole(s) utilisé(s) :

    [ texte ; photos (maillons de chaines) ]

    texte :

    “Il faut que tout ça serve à quelque chose”

    Christophe Khider, évadé de la prison de Moulins le 15 février 2009
    blessé par balles lors de son arrestation après deux jours de cavalez,à son avocate, seule autorisée à le visiter a l’hôpital.

    Pour en finir avec toutes les prisons

    Une évasion ou une tentative d’évasion, ce n’est pas un fait divers, c’est le geste de survie d’un enfermé que l’on tente de faire mourir à petit feu en prison.

    Une évasion ou une tentative d’évasion ce n’est pas un jeu, c’est l’acte de prisonniers qui mettent leur vie dans la balance même s’ils savent que de toutes façons, dans la plupart des cas, il y a un mur ou une balle devant eux ; car les agents de l’administration pénitentiaire et les policiers ont ordre de tuer les candidats à la belle. Lors d’un procès, un directeur de prison a affirmé qu’il préférait dix « suicidés » à un évadé ; à l’inverse, aucun blessé chez les surveillants lors de l’évasion d’Antonio Ferrara de la prison de Fresnes en 2003. Aucun blessé, aucune violence pendant l’évasion et la courte cavale de Christophe Khider et Omar Top El Hadj : dans les deux évasions, les seuls blessés sont des évadés ou leurs amis.

    Une évasion ou une tentative d’évasion ce n’est pas un mauvais film balancé à des millions de téléspectateurs pour les faire frémir, c’est le refus de l’hypocrisie d’une justice qui condamne à des peines sans limite, à des peines de mort à peine déguisées. Il y a peu, dix prisonniers longues peines de la centrale de Clairvaux ont même réclamé qu’on rétablisse pour eux la peine de mort parce qu’ils préféraient l’« euthanasie » à une agonie infinie. Avant son évasion de la prison de Moulins, Christophe Khider était libérable en 2045.

    Une évasion ou une tentative d’évasion ce n’est pas une provocation : c’est des années d’isolement, de transferts aux quatre coins de l’hexagone et un traitement « spécial » pour les prisonniers repris ; cela fait plus de six ans qu’Antonio Ferrara supporte l’isolement dans l’isolement sans jamais voir la lumière du jour, menotté et entravé pour le moindre de ses déplacements, privé de tout contact physique si ce n’est avec vingt-huit surveillants lourdement armés.

    Une évasion ou une tentative d’évasion ce n’est pas un coup pour rire, c’est de lourdes peines infligées aux familles et aux proches même lorsqu’ils ne sont pas déclarés complices. C’est le début d’un calvaire carcéral et judiciaire pour ceux qui ont cherché à arracher un emmuré de son tombeau. Comment ne pas comprendre qu’une mère, un frère, des amis, une compagne refusent de laisser crever un proche ?

    Une évasion ou une tentative d’évasion c’est des êtres humains enfermés qui veulent retrouver un peu de liberté. Et si on les présente comme des « monstres dangereux et sanguinaires » lâchés dans la nature, c’est pour essayer de faire accepter à tous la prison comme remède aux maux d’une société fondée sur le profit et la soumission. ils construisent dans l’urgence de nouvelles prisons comme hier ils bâtissaient les barres des cités de banlieue : des prisons-école pour les enfants, des prisons-hospice pour les grabataires, des prisons-hôpital pour les « malades mentaux », des prisons-bunker pour les prisonniers dits « dangereux »…

    Fin des longues peines

    Fermeture des quartiers d’isolement

    Solidarité avec les évadés leurs familles et leurs proches

    contact : envoleejournall@yahoo.fr


    sources :

    Avant 2018