Israël

 

 

Affichage par année

12 affiches :

 


    [Fermare la guerra, fermare il massacro]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Fermare la guerra, fermare il massacro]. — [S.l.] : USI_ (Unione sindacale italiana), [ ?]. — 1 affiche (impr. photoméc.) : n. et b. ; x × y cm.

    • Affiches par pays  : Italie
    • Lieux d’archivages  : CDA (FA, Paris)
    • Liste des thèmes  : armée
    • Géographie, géopolitique et Histoire  : guerres : Guerre du Golfe , 2 (1990-1991) *  ; Irak  ; Israël  ; Koweït *  ; Kurdistan  ; Liban  ; Palestine  ; Proche et Moyen-Orient
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  :
    notes :
    descriptif :


    [ texte ; photo (massacre d’Halabja ?, Kurdistan)

    texte :

    Fermare la guerra

    fermare il massacro

    Ogni giorno di più la guerra del Golfo mostra il suo volto : non « operazione di polizia internazionale » ma strage di civil inermi ed innocenti.

    Non ripristino del diritto internazionale violato ma guerra da parte del nord del mondo per il controlo delli fonti energetiche e dell’assetto futuro della regione mediorentale. Tutto questo a prezzo di decine di migliale di vite umane e un’enorme catastrofe ambientale.

    [photo]

    La guerra deve cessare immediatamente ed il diritto internazionale deve essere ristabilito con un’urgente azione diplomatica
    — Per garantire libertà, sicurezza e autodeterminazione del popolo del Kuwait, al popolo curdo, al popolo palestinese, al popolo libanese ed a quello israeliano.
    — Per costruire in Medio Oriente un assetto pacifico e giusto nella solidarietà e nel dialogo. Contro ogni sopraffazione, dominio e distruzione.
    — Per il ritiro di tutte le forze militari dal Golfo Per una informazione non deformata e mutilata dalla censura dei signori della guerra.

    Presidio ogni sabato

    Piazza Mentana — Dalle ore 16.00

    […]


    sources :
     


    [Mobilitazione contro la guerra, 22 febbraio 1991]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Mobilitazione contro la guerra, 22 febbraio 1991]. — [S.l.] : Coordinamento cittadino contro la guerra : USI_ (Unione sindacale italiana) ; [et al.], ([…] in proprio). — 1 affiche (impr. photoméc.) : n. et b. ; x × y cm.

    • Affiches par pays  : Italie
    • Lieux d’archivages  : CDA (FA, Paris)
    • Liste des thèmes  : armement  ; guerre (généralités)
    • Géographie, géopolitique et Histoire  : guerres : Guerre du Golfe , 2 (1990-1991) *  ; Israël  ; Koweït *  ; Palestine  ; Proche et Moyen-Orient
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  :
    notes :
    descriptif :


    [ texte ]

    texte :

    22 febbraio 1991

    Mobilitazione contro la guerra

    Il Coordinamento cittadina contro la guerra sostiene lo scopero generale intercategoriale indetto da
    COBA Scuola, Confederazione Italiana di Base UniCobas, Unione Sindacale Italiana, CdF, Metalmeccanici Autoconvocati dell’Emilia Romagna, Coordinamento Metalmeccanici Autoconvocati di Roma, RdB ecc.

    Per :
    — Il ritiro immediato del contingente italiano ;
    — l’immediata cessazione di tutti i bombardamenti e la fine di ogni forma di ostilità ;
    — l’immediata conseguente, convocazione di una conferenza di pace medio-orientale, sotto l’egida dell’ONU ed il contestuale ritiro delle forze di occupazione irakene dal Kuwait, di quelle israeliane dai territori occupati, di tutte le forze straniere a qualsiasi titolo presenti dallo scacchiere medio-orientale ;
    — il disarmo multilaterale.

    Invitiamo tutti i lavoratori, gli studenti, i cittadini a partecipare alla Manifestazione di venerdi 22 febbraio (concentramento in Piazza S. Antonio ore 9) e all’assemblea cittadina che si terrà nell’aula magna della Sapienza a termine del corteo.

    A pontedera nel pomeriggio, ore 17 incontro fra il lavoratori alla Biblioteca Comunale.

    Per ulteriori informazioni [rivolgetti ?] alla tenda del Coordinamento presso le legge dei Banchi.

    Coordinamento cittadino contro la guerra

    [… impr.]


    sources :
     



    [Paix]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Paix]. — Strasbourg : FA__ [2] (Fédération anarchiste : 1953-....) : FA__. Groupe de Strasbourg, . — 1 affiche (photocop. ) : n. et b. ; 30 × 21 cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  :
    • Liste des thèmes  :
    • Géographie, géopolitique et Histoire  : Israël  ; Palestine
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  :
    notes :
    descriptif :
    Symbole(s) utilisé(s) :

    [ texte : logos (fusil brisé ; A cerclé) ]

    texte :

    Paix

    Parqués dans l’immense prison à ciel ouvert que sont les territoires occupés, la vie quotidienne des Palestiniens est, depuis 50 ans, un enfer. Chômage massif, harcèlement permanent, checkpoints, répression, camps de réfugiés. Tout développement économique, tout avenir, leur est interdit. Dans ces conditions, les révoltes se succèdent, les représailles s’accentuent, le désespoir aussi.

    Mais les médias persistent à vouloir renvoyer israéliens et palestiniens dos à dos. C’est aberrant, d’un coté une puissance économique(1) et militaire(2), de l’autre une économie de survie(1), et des armes rudimentaires. C’est une situation similaire à celle de la France en Algérie : un rapport colonial. À terme une seule solution pourra amener la paix : que chacun puisse librement déterminer son propre avenir.

    Aujourd’hui, la fuite en avant de l’extrême droite au pouvoir en Israël fait replonger la région dans l’horreur. La confrontation ne pourra amener que souffrance aux populations des deux cotés. Rien ne peut justifier le massacre de civils.

    De part et d’autre, des femmes et des hommes courageux, juifs, arabes, et volontaires internationaux, osent se lever pour s’opposer à la loi du plus fort, et exiger une paix juste, sans domination, loin de tout fanatisme religieux.

    1 PIB/habitant : Israël 17 500 $ (entre la France et l’Espagne). Palestine 1 500 $ (chiffres 1997)
    2 Dépenses militaires israéliennes : 11 % du PIB (France : 2,5 % USA : 3 %)

    [logo “fusil brisé”] — [logo : A cerclé] Fédération Anarchiste — Strasbourg
    http://www.fa-strasbourg.fr.st


    sources :

    http://fastrasbg.lautre.net/?Paix
    http://fastrasbg.lautre.net/IMG/jpg/doc-76.jpg



    [À Gaza comme ailleurs…]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    À Gaza comme ailleurs…]. — [S.l.] : [s.n.], . — 1 affiche (impr. photoméc.) : n. et b. ; [38 ?] × [27 ?] cm.

    • Affiches par pays  : Belgique
    • Lieux d’archivages  :
    • Liste des thèmes  : guerre (généralités)
    • Géographie, géopolitique et Histoire  : Congo (Kinshasa, République démocratique du)  ; Israël  ; Palestine  ; Tchétchénie
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  : Non fides (2007-2009-....)
    • Vie des mouvements  :
    notes :
    descriptif :


    [ texte (en défonce sur fond rouge brique) ; photo (ruines) ]

    texte :

    À Gaza comme ailleurs…

    De Gaza en Palestine à Nasiriya en Iraq, du Kivu au Congo à Grozny en Tchétchénie, les massacres de milliers d’êtres humains sont quotidiens. Sous les différentes formes qu’il prend aux quatre coins du monde, ce système capitaliste et autoritaire dévaste des zones entières par la famine, la privation, la pollution, la guerre. Qu’ils servent à fixer la main d’œuvre ou à la déporter, les camps sont désormais la condition de millions de personnes : camps de réfugiés, zones franches, centres de déportation, bidonvilles...

    Comme à Gaza, ce camp bombardé et encerclé par l’armée israélienne ; dominé par les autorités religieuses, nationalistes ; soumis à la misère et au désespoir. Opposer une logique de guerre contre tout un « peuple » à la terreur de l’État israélien ne sert qu’à faire oublier aux rejetés de Gaza comme aux exploités de Tel Aviv qu’il ne leur reste qu’une possibilité pour s’en sortir : se battre contre toute autorité, que ce soit celle de l’uniforme du soldat israélien ou du policier palestinien, de la camisole religieuse — ce vieil ennemi de la liberté —, du costume des capitalistes démocratiques et des usuriers qui, dans les camps comme ailleurs, spéculent sur la misère.

    Comme en Tchétchénie, où dans les décombres suite aux bombardements de l’armée russe vient s’ajouter à la terreur de l’État russe un régime de seigneurs de guerre.

    Comme au Congo, où des affamés travaillent dans les mines de métaux précieux aux avancées technologiques du capital et crèvent dans des conditions d’esclavage. Ces mêmes mineurs et leurs familles sont massacrés à coups de fusils et de machettes par des armées (officielles ou non) qui s’y battent pour garantir les profits de leurs maîtres. Tandis que les banques belges financent les deux partis rivaux pour faire baisser les coûts de production.

    Avec une autre intensité, mais suivant la même logique, en Europe, des milliers d’indésirables sont raflés, incarcérés et déportés selon les besoins de l’économie et du contrôle social. Des milliers de personnes trouvent la mort sur leur lieu de travail ou des suites de l’exploitation (cancers, dépressions, etc.). Dans les quartiers où les conditions sont de plus en plus dures, il n’y a pas que la police qui tabasse et assassine, mais aussi le développement toujours plus accentué de la guerre entre pauvres. La logique de la concurrence règne passant par différents rackets religieux, nationalistes ou mafieux : s’arnaquer, se vendre de la came, s’allier au premier chef de bande venu pour mieux survivre dans la jungle du capital où viols et autres brutalités font partie intégrante de la misère qui rend ce monde insupportable.

    Dans ce monde, il est dans l’intérêt des puissants et des exploiteurs que la guerre civile éclate partout… Cette guerre entre pauvres leur va très bien, parce qu’elle fait oublier qu’une autre guerre est possible : celle contre ce monde de fric et d’autorité et celle pour la liberté de chacun.

    Il est urgent d’opposer à la guerre entre États, entre religions, entre ethnies, la guerre sociale contre toute exploitation et toute domination.

    Désertons les guerres des États et des puissants, refusons la guerre entre pauvres !

    Armons-nous contre les manipulations nationalistes, démocratiques et religieuses !

    Attaquons ici et maintenant tout ce qui nous rend esclaves !

    Des anarchistes


    sources :

    Affiche diffusée sur http://www.non-fides.fr/?A-Gaza-comme-ailleurs : « Affiche trouvée sur les murs de plusieurs villes en Belgique, janvier 2009 » (12 janvier 2009).



    [Et toi ! T’as pris parti ?]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Et toi ! T’as pris parti ?]. — Bruxelles = Brussels Bruxelles : [s.n.], . — 1 affiche (photocop. ) : n. et b. ; 40 × 28 cm.

    • Affiches par pays  : Belgique
    • Lieux d’archivages  :
    • Liste des thèmes  : guerre (généralités)
    • Géographie, géopolitique et Histoire  : Israël  ; Palestine
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  : Non fides (2007-2009-....)
    • Vie des mouvements  :
    notes :
    descriptif :

    [ texte ; dessin (homme, mains dans les poches, tapant du pied dans une cannette) ]

    texte :

    Et toi ! T’as pris parti ?

    Pour qui tu préfères te sacrifier ? Pour l’État colonial d’Israël ou pour les autorités religieuses et nationalistes de Palestine ?

    Sous quel drapeau meurtrier tu préfères tuer ou être tué ? Quelle idéologie va te recruter pour anéantir tous ceux qui n’appartiennent pas à ton camp ? Dans les deux cas tu devras obéir aux autorités de l’un ou l’autre. Tu devras t’allier avec ton pire ennemi : ton patron, le flic, le général, l’autorité religieuse...

    Sous prétexte que les inégalités sociales auraient disparu. La Nation, le Peuple avant tout !

    Il n’y a pas de place pour la liberté dans ce genre de choix. En Israël, l’armée réprime les actions anti-guerre, enferme ceux qui refusent de faire le service militaire ; à Gaza, le Hamas recrute tous ceux qui se révoltent contre les chars israéliens et élimine ceux qui le contestent.

    Dans les deux cas cette guerre profite aux chefs !

    Et ici ? Pareil. Les chefs religieux et politiques profitent de la rage et de la révolte pour asseoir leur pouvoir, d’autant plus quand la misère s’accentue et que chacun cherche une cible à sa rage.

    Mais justement, il s’agit de ne pas se tromper de cible. Peu importe notre origine, notre but c’est la liberté de chacune et chacun, c’est d’en finir une fois pour toute avec les profiteurs, en finir avec les autorités de tous bords qui voudraient nous recruter, nous soumettre et nous réprimer quand on ne les sert plus ou qu’on s’avise de les contester.

    Guerre à la guerre !

    Contre les chefs, liberté de chacune et chacun !


    sources :

    Affiche diffusée sur http://www.non-fides.fr/?Et-toi-T-as-pris-parti : « Affiche trouvée sur les murs de Bruxelles en période de manifs pro-palestiniennes » (18 septembre 2009). Extrait de Tout Doit Partir n° 4.