trios (justice/armée/Église ; etc.), quatuors…

 

 
 

Affichage par année

57 affiches :

 

    [Le Père Peinard au populo : ballottage du 22 mai 1898]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Le Père Peinard au populo : ballottage du 22 mai 1898]. — Paris : le Père Peinard (1889-1900), . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (une  : noir , papier de couleur ) ; 65 × 41 cm.

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    descriptif :

    [ texte sur papier de couleur ; dessin (frontispice du Père Peinard, le cordonnier « À la botte au cul, Peinard, gniaff, journaleux » mettant en fuite : clergé, magistrature, police, capitalisme, …) ]

    texte :

    Ballotage du 22 mai 1898

    Le Père Peinard au populo

    Ça ballotte, ça ballotte… Mais ça ne boulotte guère, nom de dieu !

    Pauvre populo, t’es rudement ballot ! À preuve, l’indigestion de votaillerie que tu t’es foutue la semaine dernière.

    Tu savais pourtant de quoi il retourne ? Tu étais fixé sur les candidats ! Tu n’ignorais pas que c’est tous fripouille et Compagnie !

    Avant l’élection, les mendigots de suffrages t’ont promis la lune sur un plat, — après, une fois élus, ils se foutent de ta fiole dans les grands prix !

    Tu savais ça, cré pétard !

    Pourtant, tu as fait kif-kif les cabots qui retournent à leur vomissement : tu as pris au serieux ton couillon de devoir électoral et tu as coupé dans

    La Foire aux Mensonges !

    Et ce n’est fichtre pas fini : voici la ressucée électorale qui s’amène, — tu vas ballotter !

    Ensuite ?… En seras-tu plus bidard ?

    Je t’en fous, le pain sera toujours cher, la bidoche inaccessible et tu restera le jacque — plumé vif, tondu ras, écorché jusqu’à la gauche ! Les riches et les gouvernants la mèneront joyeuse, s’empiffreront de bons morceaux et toi, créateur de toutes les richesses, frusqué de guenilles, logé des turnes malpropres, tu te calleras des briques.

    Tu seras donc voté pour la peau !

    À peine te restera-t-il la maigre satisfaction d’avoir usé de ta souveraineté.

    Ta souveraineté ?… Parlons-en !… Une sacrée manivelle qu’on t’as foutue là !

    Ça dure trois secondes. Moins longtemps que les amours d’un moineau. T’es souverain — juste le temps de lâcher ton torchecul dans l’urne. Puis, bonsoir, en voilà pour 4 ans.

    Pour s’offrir dix minutes de souveraineté réelle il faudrait vivre aussi vieux que Mathusalem.

    Inutile d’en savoir plus pour comprendre ce qu’est la votaillerie : c’est comme qui dirait le

    muselage universel

    un outil de domination inventé par les jean-foutre de la haute, afin de nous laisser confire à perpète dans la mistoufle et mijoter dans l’abrutissement avec l’illusion de la liberté.

    Comment de dépêtrer de ce fourbi dégueulasse ?

    Y a pas à chercher midi à quatorze heures. Il n’y a qu’un joint efficace : un chambardement aux petits oignons.

    Il s’agit d’épousseter — à grand renfort d’éventails à bourriques — la putain de société actuelle, car tout y va de guinguois, — au point que les pauvres bougres qui triment le plus sont ceux qui bouffent le moins ;

    Il s’agit d’envoyer paître la vermine dirigeante : accapareurs, banquiers, ratichons, jugeurs et toute la marloupaille chameaucratique.

    Cela fait, mon bon populo, tu seras à la noce !

    Tous les esclavages auront été fichus à l’égout : l’esclave patronal, l’esclavage familial et aussi le hideux esclavage militaire.

    Et donc, après on vivra en frangins, sans chichis ni emmiellement, — sans patrons ni gouvernants !

    Mais foutre, je le rengaine : pour que ça vienne, il faut fiche la taillerie au rancard et se farcir de nerf et d’initiative.

    Le Père Peinard

    Vu, le candidat pour la frime :

    Bons bougres, pour plus d’explications, payez-vous chaque dimanche, le Père Peinard réflecs d’un gniaff, pour deux ronds, chez tous les libraires, on en voit la farce. — Ceux qui voudront s’offrir la présente affiche n’ont qu’à acheter le numéro du dimanche 22 mai.

    Paris. — Imp. Grandidier, 15, rue Levieuville.


    sources :

    Paru dans Le Père Peinard n° 83 (22-29 mai 1898).



    [Le Père Peinard au populo : élections aux conseil généraux et d’arrondissement]

    notice :
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    [
    Le Père Peinard au populo : élections aux conseil généraux et d’arrondissement]. — Paris : le Père Peinard (1889-1900), . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (une  : noir , papier de couleur ) ; 65 × 41 cm.

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    • Presse citée  : Père Peinard (1889-1902), le
    • Vie des mouvements  :
    notes :
    descriptif :

    [ texte sur papier de couleur ; dessin (frontispice du Père Peinard, le cordonnier « À la botte au cul, Peinard, gniaff, journaleux » mettant en fuite : clergé, magistrature, police, capitalisme, …) ]

    texte :

    élections aux conseil généraux et d’arrondissement

    Le Père Peinard au populo

    Encore une foire électorale ! Rien d’époilant ce coup-ci : il ne s’agit que des Conseils Généraux et d’Arrondissement.

    De la roupie, donc !

    Mais de la sale roupie, de l’infecte poison, — comme d’ailleurs toutes les fumisteries votardes.

    En effet, pourquoi nous fait-on voter ?

    Pour escamoter nos droits et (par le tour de passe-passe qu’est une élection) nous faire gober que si nous sommes malheureux et opprimés, c’est que nous aimons l’être.

    Quand nous avons donné pleins pouvoirs aux jean-fesse que nous qualifions « nos élus les chameaucrates se paient notre tête : « Vous êtes dans la purée ? À vous la faute !… Il fallait voter mieux… »

    Et, bonne poire, le populo se laisse foutre de soi ! Il se console en se promettant de mieux voter le prochain coup.

    Quelle infecte couleuvre ! Voter bien ou mal ne change rien à l’alignement social : ce n’est pas la façon
    dont on abdique qui est mauvaise, — c’est l’abdication elle-même.

    On s’imagine, en changeant les types qui font tourner la manivelle sociale, empêcher cette garce de mécanique de nous dégraisser et de nous broyer.

    Erreur, nom d’une pipe !

    C’est les institutions qui sont dégueulasses, et c’est à elles qu’il faut s’en prendre 1 Non pour les réviser et les rafistoler, — mais pour les fiche carrément au rancard.

    Et comme, dans le fumier social, les institutions s’étayent l’une l’autre et concourent toutes à notre écrabouillage, c’est à toutes qu’il nous faut faire la guerre.

    C’est pourquoi, malgré que les Conseils Généraux et ceux d’Arrondissement ne soient guère que la trente-sixième roue de la guimbarde gouvernementale, il n’y faut pas ménager les bâtons, afin de paralyser tant et plus leur satané fonctionnement.

    Que sont ces cochonnes de parlottes ?

    L’antichambre de l’Aquarium !

    C’est là que se concentrent les politicards en herbe, les pognonistes en graine et autres mauvaises gales ambitieuses. C’est là que ces marloupiers lient des relations et tirent des plans, — tant pour nous masturber que nous voler.

    Et ce n’est pas tout ! En plus de cette besogne immorale, qui vise à perpétuer l’abrutissement du populo, les Conseils Généraux et d’Arrondissement s’éduquent au chapardage en répartissant l’impôt et en nous soutirant la belle galette pour engraisser les rentiers et les budgétivores.

    Ces parlottes sont donc des nids de malfaiteurs de La haute, — de même que toutes les parlottes de l’État.

    C’est pourquoi, d’ici que l’on soit assez costauds pour leur couper la chique, soyons au moins assez marioles pour entraver leur recrutement.

    Torchons-nous des bulletins de vote !

    Mais, fichtre, ne nous montons pas le job : ce geste ne suffira pas à foutre en l’air la mistoufle !

    Tant qu’on n’aura pas déblayé le plancher social des gouvernants, des capitalos, des galonnards, des ratichons et de toute la fripouille parasiteuse, nous mijoterons dans la dèche et notre seul espoir sera de crever à la peine, ou — si on a des protections à l’hôpital…

    Cet avenir n’a rien de champêtre !

    À nous d’y mettre un bouchon, en alignant, — à la force du poignet, — nue société galbeuse, échenillée de dirigeants et d’exploiteurs, et où, par conséquent, on se la coulera bougrement douce !

    Le Père Peinard

    Vu, le candidat pour la frime : Grandidier

    Bons bougres, pour plus d’explications, payez-vous chaque dimanche, le Père Peinard réflecs d’un gniaff, pour deux ronds, chez tous les libraires, on en voit la farce. — Ceux qui voudront s’offrir la présente affiche n’ont qu’à acheter le numéro du dimanche 31 juillet.

    Paris. — Imp. Grandidier, 15, rue Levieuville.


    sources :

    Paru dans Le Père Peinard, 2e série, n° 93 (31 juillet au 7 aout 1898) qui la présente : «  L’Affiche anti-votarde . L’affiche ci-contre peut-être, — telle quelle, — détachée du journal et collée, sans timbre, n’importe dans quel patelin où il y a une élection soit au Conseil Général, soit à celui d’Arrondissement. Comme je l’ai expliqué la semaine dernière, pas ici besoin de déclaration pour être candidat à ces garces d’élections et on peut l’être en même temps dans plusieurs patelins. C’est très légal ! Les copains qui n’auraient pas encore fait leurs demandes d’affiches n’ont qu’à se patiner : c’est toujours 2 francs le cent ».

    Le numéro précédent (le n° 92 du 24-31 juillet 1898) annonçait donc :

    Toujours des affiches !

     
    L’affiche est un trop galbeux moyeu de propagande pour ne qu’on ne profile pas des rares occases où elle est libérée du timbre.
    Or, voici que s’amènent des élections pour le Conseil général qui vont avoir lieu le dimanche 31 juillet.
    À nous de ne pas rater le coche !
    Pour la circonstance je vais me fendre d’une nouvelle affiche du
    Père Peinard au Populo
    qui sera contenue dons le prochain numéro et s’étalera à la page 4 et S du caneton.
    Les copains qui voudront coller celle cette moitié du caneton le pourront d’autant plus facilement que pour les élections au Conseil général c’est franc : peut être candidat qui veut, n’importe où et dans plusieurs patelins à la fois. Donc l’affiche en question, qui sera signée d’un candidat pour la frime, sera toute prête à être collée.
    Il va être fait un tirage à part de l’affiche et elle sera expédiée à raison de
    2 francs le cent.
    Seulement, il y a un cheveu : on n’a guère de temps devant soi !
    C’est dimanche prochain qu’a lieu la foire électorale des Conseils généraux. Or, il faut se patiner ! Que les copains écrivent illico — et illico on leur enverra les affiches qui seront prêtes dès lundi.
    De la sorte, avec de l’activité, on parera au manque de temps et on ne laissera pas défiler, — sans la saisir par la tignasse — l’occasion do servir au populo, et à bon marché, un plat de vérités.
     
    Ce que sont les Conseils généraux les bons fieux le savent : c’est l’antichambre de l’Aquarium. Là se maquillent des alliances entre ambitieux, on y tire des plans pour maintenir le populo dans l’abrutissement et on y prépare le terrain pour les élections futures.
    Outre ce larbin dégueulasse, le principale besogne des Conseils généraux est de répartir l’impôt.
    Jolie besogne, nom de dieu !
    Rien que ça suffirait à les faire exécrer du populo.
    Cela, l’affiche du Père Peinard au Populo l’expliquera par le menu, afin de faire toucher du doigt aux plus bouchés qu’il n’y a rien de bon à attendre des assemblées délibérantes : pas plus des Conseils généraux que des autres !



    [À tous les travailleurs, élections législatives, peuple réveille toi !]

    notice :
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    [
    À tous les travailleurs, élections législatives, peuple réveille toi !]. — [S.l.] : [s.n.], [ ?]. — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (une  : noir , papier orange ) ; 85 × 62 cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  : CIRA (Lausanne)
    • Liste des thèmes  : action directe  ; délégation de pouvoir (élections)  ; parlementarisme et antiparlementarisme  ; patriotisme  ; Révolution [sociale]
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  :
    notes :
    descriptif :

    [ texte ; dessin humoristique (candidats escaladant le dos des bonnes poires pour s’asseoir sur le pouvoir et la patrie) ]

    texte :

    À tous les travailleurs, élections législatives

    Les Semailles : Quels qu’ils soient ! des promesses, encore des promesses, toujours des promesses

    La Récolte : de touts temps ! Scandales politiques financiers, 6 février ---, 12 février — décrets lois — misère — chômage — persécutions — Brest — Toulon — Limoges

    Surarmement, chauvinisme patriotique, menaces permanentes de guerres, dictatures des Banques et du Comité des Forges au service des 200 familles maitresses du patrimoine des Français

    Peuple réveille toi !

    Debout pour la libération totale. Réfléchis, agis, ne te donne plus de maîtres ! de chefs ! N’attends nul messie déiste ou politicien. La force est en toi-même, ta libération ne dépend que de ta propre volonté, tu peux disposer de l’arme la plus redoutée de tous les exploiteurs et des politiciens, brise leur dernier rempart et leur suprême espoir « qui est ta chaîne », le bulletin de vote. Fais la grève des électeurs, tout comme dans le cadre économique il n’y a que l’action directe : la grève expropriatrice.

    À toi de choisir ton sort ! être libre en faisant tes affaires toi-même ou être encore et toujours tondu, plumé, bafoué, sacrifié, à l’usine, aux champs, partout, en attendant les prochains champs de batailles de la guerre. « Si tu ne réagis pas. »

    S’il en était ou devait en être ainsi, aie la pudeur de ne plus gémir, de ne plus te plaindre, mais celle de te taire. Plus de frontières ni d’État. Contre la SDN des gouvernements autoritaires, pour la fédération internationale libertaire des peuples, la sereine Anarchie.

    Vive la Révolution sociale !

    Vu : le candidat.

    les Anarchistes.


    sources :
     

































    [Et toi ! T’as pris parti ?]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Et toi ! T’as pris parti ?]. — Bruxelles = Brussels Bruxelles : [s.n.], . — 1 affiche (photocop. ) : n. et b. ; 40 × 28 cm.

    • Affiches par pays  : Belgique
    • Lieux d’archivages  :
    • Liste des thèmes  : guerre (généralités)
    • Géographie, géopolitique et Histoire  : Israël  ; Palestine
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  : Non fides (2007-2009-....)
    • Vie des mouvements  :
    notes :
    descriptif :

    [ texte ; dessin (homme, mains dans les poches, tapant du pied dans une cannette) ]

    texte :

    Et toi ! T’as pris parti ?

    Pour qui tu préfères te sacrifier ? Pour l’État colonial d’Israël ou pour les autorités religieuses et nationalistes de Palestine ?

    Sous quel drapeau meurtrier tu préfères tuer ou être tué ? Quelle idéologie va te recruter pour anéantir tous ceux qui n’appartiennent pas à ton camp ? Dans les deux cas tu devras obéir aux autorités de l’un ou l’autre. Tu devras t’allier avec ton pire ennemi : ton patron, le flic, le général, l’autorité religieuse...

    Sous prétexte que les inégalités sociales auraient disparu. La Nation, le Peuple avant tout !

    Il n’y a pas de place pour la liberté dans ce genre de choix. En Israël, l’armée réprime les actions anti-guerre, enferme ceux qui refusent de faire le service militaire ; à Gaza, le Hamas recrute tous ceux qui se révoltent contre les chars israéliens et élimine ceux qui le contestent.

    Dans les deux cas cette guerre profite aux chefs !

    Et ici ? Pareil. Les chefs religieux et politiques profitent de la rage et de la révolte pour asseoir leur pouvoir, d’autant plus quand la misère s’accentue et que chacun cherche une cible à sa rage.

    Mais justement, il s’agit de ne pas se tromper de cible. Peu importe notre origine, notre but c’est la liberté de chacune et chacun, c’est d’en finir une fois pour toute avec les profiteurs, en finir avec les autorités de tous bords qui voudraient nous recruter, nous soumettre et nous réprimer quand on ne les sert plus ou qu’on s’avise de les contester.

    Guerre à la guerre !

    Contre les chefs, liberté de chacune et chacun !


    sources :

    Affiche diffusée sur http://www.non-fides.fr/?Et-toi-T-as-pris-parti : « Affiche trouvée sur les murs de Bruxelles en période de manifs pro-palestiniennes » (18 septembre 2009). Extrait de Tout Doit Partir n° 4.





    [Repas gratuit pour tous et toutes, dimanche 26 décembre 2010]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Repas gratuit pour tous et toutes, dimanche 26 décembre 2010] / Denis Pessin. — Besançon : Food not bombs : Resto Trottoir (Besançon), . — 1 affiche (impr. photoméc.) : n. et b. ; x × y cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  :
    • Liste des thèmes  : alimentation
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  : repas, cantine, …
    notes :
    descriptif :

    [ texte ; montage dessin (président Sarkozy commandant un « joueur de flûte de Hamelin / Der Rattenfänger von Hameln » (?) — suivi par armée, magistrat, technocrate ou patron et presse, notes de musique remplacées par des têtes de morts) d’après Pessin et ? ]

    texte :

    Resto Trottoir

    collectif Food not bombs, Besançon
    blog : restotrottoir.blogspot.com

    Dim. 25 déc. 2010

    Repas gratuit pour tous et toutes !

    Dès 12 h 30 place Marulaz

    Repas végétalien

    + zone de gratuité : vêtements, chaussures, objets, livres, jouets…
    + infokiosque : tracts et brochures… discussions, échanges…
    + venez avec des jeux !

    Il pleut ou neige fortement : cherchez-nous quai Vauban ou aux Arènes

    Devons-nous TOUT accepter ?

    Bonheur interruptus ! — Banques joyeusement aidées. Peuple enfoncé dans la détresse — Destruction de la solidarité populaire …Solidarité aux entreprises — Surveillance accrue de la Résistance populaire — Complicité administrative — Flicage de la vie — Vols de l’État pour la haute « classe » — Exploitation des autres peuples pour leur ressources — Mensonges sur l’Égalité — Subventions généreuses aux entreprises — Médias aux mains des entreprises — Auto-censure des Médias « de classe » — Désinformation populaire — Justice de classe — Guerre contre-révolutionnaire instituée — Retraites, Sécu… à la casse !

    Nous rejoindre : place Marulaz : participer à l’installation (11 h 30) et au repas…

    Participer librement : venir à la réunion d’organisation (pour participer à la diffusion de l’information, à la collecte, à la cuisine) : chaque premier mercredi de chaque mois à 19 h à la librairie L’Autodidacte au 5 de la rue Marulaz.

    Nous contacter : par mail : resto-trottoir@herbesfolles.org


    sources :

    https://restotrottoir.blogspot.com/2010/12/resto-trottoir-dimanche-26-decembre.html