galas et actions de soutien

 

 
 

Affichage par année

397 affiches :

 

    [Grand concert donné par le 119e bataillon]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Grand concert donné par le 119e bataillon]. — Paris : Commune de Paris (1871), . — 1 affiche (impr. photoméc.) : n. et b. ; x × y cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  :
    • Liste des thèmes  : art : musique
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  : Blin, Antoine (1822-....)  ; Régère, Dominique (1816-1893)
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  : galas et actions de soutien
    notes :
    descriptif :


    [ texte ]

    texte :

    RÉPUBLIQUE FRANÇAISE

    LIBERTÉ — ÉGALITÉ — FRATERNITÉ

    FÉDÉRATION DE LA GARDE NATIONALE

    COMMUNE DE PARIS
    Mairie du Panthéon — 5e arrondissement

    sous la présidence du citoyen Régère, membre de la Commune et du citoyen Blin, colonel de la 5e légion

    Grand concert

    donné par le 119e bataillon, au bénéfice des blessés, prisonniers, veuves et orphelins de la 5e légion

    au grand amphithéâtre de la Sorbonne, le jeudi 25 mai 1871, à 7 heures et demie

    Avec le concours

    Des citoyennes Gabrielle Hurel, du Théâtre de Bruxelles ; Marion, des Concerts de Paris.

    Des citoyens P. Joissant, du Théâtre-Français ; Auguste Verdure, Guichard, Bonel, père, Bonel fils, C. Alexandre, Bidon, improvisateur, Williams des Concerts de Paris.

    Des citoyens Richard, Auger et Menu, élèves du Conservatoire.

    La musique sera dirigée par le citoyen Goujon, des Persévérants de Paris, chef de musique du 119e bataillon

    Le piano sera tenu par les citoyens Ernest Cordier et Boulard

    Le prix d’entrée est fixé à 50 centimes

    Les bureaux ouvriront à 7 heues. — On commencera à 7 heures 1/2

    [519] — Association générale typographique, rue du Faubourf-Saint-Denis, 49.


    sources :

    Texte d’après Les Murailles politiques françaises, tome II : la Commune, Paris, Versailles, la Province (Paris : Le Chevalier, 1874), p. 565.










    [Grande fête familiale organisée par Le Libertaire]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Grande fête familiale organisée par Le Libertaire]. — Paris : Le Libertaire (1895-1939), . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (une  : noir , papier de couleur ) ; [54 ?] × [40 ?] cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  :
    • Liste des thèmes  : art : chanson  ; presse
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  : Faure, Sébastien (1858-1942)  ; Lapurge, le père (1838-1910)  ; Lemanceau, E.  ; Paillette, Paul (1844-1920)  ; Rictus, Jehan (1867-1933)  ; Tennevin, Alexandre (1848-1908)
    • Presse citée  : Libertaire (1895-1939), Le
    • Vie des mouvements  : conférence, débat…  ; galas et actions de soutien
    notes :
    descriptif :


    [ texte ]

    texte :

    Deuxième année. — n° 53 — dix centimes — du 13 au 19 novembre 1896

    Le Libertaire 

    Journal hebdomadaire paraissant le samedi

    abonnement pour la France […]
    administration et rédaction : 8, rue Briquet (Montmartre) — Paris
    abonnement pour l’étranger […]

    Grande fête familiale

    organisée par le “Libertaire”
    dans les salons du restaurant Vantier, 8, avenue de Clichy

    le dimanche 15 novembre 1896, à 2 heures après midi

    programme

    Première partie. — concert. — on entendra :
    Mesdemoiselles Alphonsine et Jane dans leur répertoire ;
    Le philosophe Paul Paillette dans ses œuvres ;
    Mévisto aîné (du Tréteau de Tabarin) dans ses œuvres ;
    Les chansonniers Xavier*Privas, Gaston Sécot, Yon Lug (du Cabaret des Quat’-z’-Arts) dans leurs œuvres ;
    Le poète Jehan Rictus dans ses “Soliloques du Pauvre" ;
    Le chansonnier anarchiste Le Père Lapurge dans ses œuvres ;
    Le chanteur populaire Buffalo dans son répertoire.

    Deuxième Partie. Causerie sans façon par le camarade A. Tennevin.

    Troisième Partie. — Bal avec orchestre
    (Le piano d’accompagnement sera tenu par le compositeur Clément.)

    Entrée : un franc par personne

    La date de cette fête coïncidant avec le premier anniversaire de la fondation du Libertaire, nous espérons que nos collaborateurs, nos abonnés, nos lecteurs et nos amis se feront un plaisir d’y assister.

    Nota. — Cette page ne peut être affichée que revêtue d’uin timbre de 12 centimes.

    L’Imprimeur-Gérant : E. Lemanceau.


    sources :

    Première page de : Le Libertaire n° 53 (du 13 au 19 novembre 1896).



    [Matinée-spectacle au profit des martyrisés de Montjuich]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Matinée-spectacle au profit des martyrisés de Montjuich] / Willette, Adolphe (1857-1926) "> Adolphe Willette. — Paris : Le Libertaire (1895-1939), . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (une  : noir , papier de couleur ) ; [54 ?] × [40 ?] cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  :
    • Liste des thèmes  : art : chanson  ; répression
    • Géographie, géopolitique et Histoire  : Espagne
    • Noms cités (± liste positive)  : Barrier, Léon  ; Briand, Aristide (1862-1932)  ; Malato, Charles (1857-1938)  ; Paillette, Paul (1844-1920)  ; Tarrida Del Mármol, Fernando (1861-1915)  ; Willette, Adolphe (1857-1926)
    • Presse citée  : Libertaire (1895-1939), Le  ; Père Peinard (1889-1902), le  ; Revue blanche (1891-1903), La  ; Temps nouveaux (1895-1914), les  ; Trimard (1897-1897), le
    • Vie des mouvements  : conférence, débat…  ; galas et actions de soutien
    notes :
    descriptif :


    [ texte ]

    texte :

    Au profit des martyrisés de Montjuich
    et de leurs familles

    Théâtre de la République
    rue de Malte

    Le dimanche 8 août 1897, à 2 h. très-précises de l’après-midi

    Matinée-spectacle

    Organisée par le journal Le Libertaire
    Avec le concours de L’Intransigeant, de La Lanterne, de La Justice, des Temps nouveaux, du Père Peinard, de La Revue blanche, du Trimard

    Allocutions
    F. Tarrida Del Marmol, au nom des Martyrisés de Montjuich — Aristide Briand, au nom de La Lanterne — Marcel Sembat, au nom de La Petite République — Charles Malato, au nom de L’Intransigeant

    Auditions
    de mesdames Duparc, de Parisiana-Consert ; Kamouna, des Quat’-z’Arts ; Louise France ; Bob Walter, des Concerts de Paris ; Jeanne Descrains, professeur de diction
    de messieurs Marcel Legay, chansonnier ; Yon Lug, chansonnier ; Charles Lesbros, du Théâtre de Monte-Carlo ; Xavier Privas, chansonnier ; Paul Paillette, poète-philosophe ; F. Dufor, dans ses créations ; P. Laforest, de la Porte Saint-Martin ; Georges Tiercy, chansonnier ; Frédy, de Parisiana-Concert ; Buffalo, chanteur populaire
    Les Bohémiens de Montmartre

    Le programme détaillé illustré par A. Willette sera vendu dans la salle au profit des Martyrisés de Monjuich et de leurs familles

    Prix des places :
    Avant-scène de rez-de-chaussée et de balcon : 3 fr. la place — Avant-scène de 1re galerie, loges de balcon, fauteuils d’orchestre et de balcon de face : 2 fr. — Fauteuils de balcon de côté et fauteuils de foyer : 1 fr. — Les autres places : 50 centimes
    Le Bureau de Location est ouvert au Théâtre tous les jours, de 2 à 5 h.

    En raison du but que nous proposons et de la nécessité absolue où nous sommes de recueillir le plus d’argent possible pour les espagnols bannis, aucune place de faveur ne sera donnée pour la matinée du 8 août.


    À tous

    La forteresse de Montjuich s’est ouverte devant le peloton d’exécution, puis de nouveau pour les départs au bagne, enfin sur la route de l’exil !

    Après les victimes dont le sang rougit l’aube du 4 mai, après l’enchainement définitif des forçats, après le renvoi des acquittés comme innocents, brisés et mutilés par un an d’épuvantables tortures, on aurait pu croire le monstre satisfait.

    Non pas ! Son appétit de souffrances est insatiable et les malheureux, qua les bourreaux ou la chiourme épargnent, sont condamnés à la plus désespérante des libertés.

    Ceux d’entre eux d’abord qui ne peuvent trouver, chez leurs parents et leurs amis, des ressources suffisantes pour le paiement de leurs frais d’exil, sont gardés dans l’effroyable prison toute pleine encore de cris d’agonies et de sanglots douloureux.

    Ils sont encore cent-vingt neuf malheureux attendant qu’un effort de splidarité leur ouvre des cachots où ils sont détenus acquittés ! attendant qu’une main humaine les arrache des griffes monstrueuses d’une justice (!) qui dut les reconnaitre innocents !

    Quant à ceux qui, plus favorisés par leurs ressources personnelles, ont pu tenter leur délivrance en exil, leurs yeux ont du chercher quel pays voisin voudrait bien les accueillir. C’est à qui, des Maîtres de peuples civilisés, affirmerait haut et vite sa volonté formelle de leur refuser tout abri.

    Un État ou le mot de liberté est écrit sur tous les murs, un autre État où cette liberté, sans être écrite est accordée parfois, protestèrent contre l’invasion de ces douleurs, et dénoncèrent à leurs polices l’arrivée’ des martyrs.

    Et les membres encore endoloris, les plaies à peine refermées, le corps labouré de meurtrissures cuisantes, affaibli par d’horribles mutilations, secoués d’accès de fièvre, les plus heureux (!) de ces acquittés sont parvenus tant bien que mal à quitter leur pays.

    Tous naturellement sans travail, la plupart à peine vêtus et ne parlant aucune langue étrangère, arrivent ici ou là, dans l’impossibilité même de conter leur infortune et de solliciter un outil ou un refuge.

    Presque tous appartiennent aux familles les plus pauvres de Barcelone. Quand la justice a besoin de victimes, razzia ou rafles sont toujours faites aux quartiers de misère.

    Aussi quand des groupes se formèrent pour venir en aide à ces abandonnés et ces traqués, les premiers efforts furent-ils bien insuffisants pour tant à panser, tant à soulager, tant à nourrir, tant à loger !

    À Paris, des fonds recueillis pour les exilés qui arrivaient et pour ceux qui restent à délivrer de Montjuich, la plus large part fut promptement dépensée.

    En faisant appel dimmanche prochain, d’une part au concours des paroles les plus indépendantes, d’autre part aux talents les plus généreux, en faveur de cette œuvre de solidarité humaine, nous faisons aussi, nous faisons surtout appel au concours de tous. Au concours non pas seulement de nos camarades et des amis de notre cause qui n’est point seule en jeu, mais de tous les hommes sans exception, quel que soit leur pays, la place qu’ils peuvent y occuper et dont le cœur n’est pas fermé à tout sentiment de pitié, d’indépendance et de dignité.

    Nous faisons appel à tous pour un double concours.

    La présence à cette manifestation sera la plus éloquente façon de protester contre une des plus sauvages atteintes de l’Autorité, et qu’on ne s’y trompe pas aussi, une de ses plus cyniques menaces ! Les sommes versées à cette réunion pour chaque entrée, permettront de faire faxe aux nécessités les plus immédiates, intéressant l’existence des bannis et la libération (!) du plus grand nombre possible de ceux que Montjuich retient encore.

    Nous convions donc, au nom de l’humanité, tous ceux qui ne connurent pas, grâce au silence généreusement payé de certaine Presse, l’affreux et trop indéniable réveil de l’Inquisition espagnole, à s’informer des témoignages que nous en avons fournis et que nous pouvons en fournir.

    Ceux qui connurent le drame de Barcelone, nous les convions, à plus juste titre encore, à répandre autour d’eux l’horreur et l’indignation que soulèvent de tels crimes !

    Et les uns et les autres, et tous, au nom de l’Humanité, nous les convions par leur présence au théâtre de la République, le dimanche 8 août, par leur participation payante, à protester contre l’infamie de l’inquisiteur Canovas et de la sanguinaire Christine, en même temps qu’ils assureront notre œuvre de libération et de véritable fraternité.

    Le peuple d’Espagne, qui pourra comme nous au jour de son émancipation, arracher de son histoire tant de pages souillées et sanglantes, n’apprendra pas sans émotion ni joie que les fiers amants et les courageux lutteurs de la Pensée arrachés à ses rangs, ont trouve chez les autres peuples l’accueil hospitalier, gage de solidarité dans la haine de leurs maîtres et dans la marche à la conquête des libertés !

    Les organisateurs

    lm. Léon Barrier, 120, rue Lafayette, Paris.

    (Cette feuille ne peut être affichée que revêtue d’un timbre de 12 centimes).


    sources :

    Dernière page de : Le Libertaire n° 91 (du 7 au 14 août 1897).




    [Une révolution sociale]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Une révolution sociale]. — Paris : FRC_ - FCR_ (Fédération communiste révolutionnaire : 1910-1912), . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (une  : papier de couleur ) ; x × y cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  :
    • Liste des thèmes  : Révolution [sociale]
    • Géographie, géopolitique et Histoire  : Mexique
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  : Libertaire (1895-1939), Le  ; Temps nouveaux (1895-1914), les
    • Vie des mouvements  : galas et actions de soutien
    notes :
    descriptif :


    [ texte ]

    texte :

    Fédération communiste révolutionnaire

    Une

    Révolution sociale

    Quand le presse dit que la Révolution mexicaine touche à sa fin,

    la presse ment

    Si Porfirio, Diaz et Madero sont réconciliés, c’est pour mieux lutter contre les révolutionnaires dont l’action s’étend chaque jour. Monterrey, Allende, […] et presque toutes les villes du Mexique sont aux mains des insurgés. La population agricole entière est soulevée et se dresse contre tous les Pouvoirs au cri superbe de

    Terre et Liberté !

    Madero et Diaz peuvent signer la paix, ce la ne signifie nullement que la lutte est terminée. Car ce n’est pas pour un changement de personnel gouvernemental que le Parti Libéral mexicain a prix les armes ; c’est pour bouleverser l’ordre capitaliste, c’est pour faire

    la révolution

    la vraie Révolution, celle qui a pour but d’exproprier les accapareurs et les affameurs, et de remettre à tous, la richesse du sol pour être gérée en commun.

    La Révolution mexicaine est communiste

    Et le seul fait que dans un pays nouvellement né à la grande civilisation, toute une population se soit soulevée, depuis plusieurs mois pour imposer le Communisme, preuve de façon formelle que

    la révolution n’est pas une impossibilité, et que le communisme n’est pas une utopie

    Vous tous, ouvriers français qui souffrez du renchérissement du coût de la vie déterminé par l’accaparement des denrées et les exigences des propriétaires.

    Vous tous, paysans, dont les terres grevées d’hypothèques ne suffisent plus à vous nourrir, vous devez à vous-mêmes, vous devez à la grande cause de la solidarité populaire d’apporter votre aide moral et matériel aux révolutionnaires mexicains, qui passent des paroles aux actes, essayent d’implanter, chez eux un régime de

    bien-être et de liberté

    Quand à vous, petits rentiers, gogos de toutes espèces, dont les économies copiées par les aigrefins de la finance ont servi à soutenir le tyran Diaz et le démagogue Madero, apportez-vous à nous rendre des comptes.

    Vous ne reverrez plus votre argent, il est englouti dans le gouffre sans fond des finances mexicaines. Surtout ne croyez pas que les révolutionnaires seront assez naïfs pour rembourser les dettes contractées par les gouvernants officiels. Où nos amis mexicains rentrent
    les banques sont incendiées • les prisons sont démolies • les riches sont exécutés

    Gogos français, pleurez par
    la faillite imminente des fonds mexicains

    Et sur le triomphe de la
    révolution communiste au Mexique

    N’attendez pas davantage que l’intervention éventuelle de l’armée des États-Unis étouffe le mouvement de nos camarades.

    Si un gouvernement étranger manifeste l’intention de se mettre au service des capitalistes mexicains, la solidarité internationale devra s’affirmer et par tous les maoyens — même les plus violents — individuels ou collectifs. Les communistes révolutionnaires d’Europe s’opposeront à l’étranglement de la révolution mexicaine.

    Nous frères mexicains ont besoin d’argent et nous faisons appel à votre bourse pour leur envoyer des subsides que leur feront parvenir aux journaux Le Libertaire, 13, rue d’Orsel et Les Temps nouveaux, 6, rue Broca, Paris.
    Pour être bien informé, lire ces journaux et le quotidien la Bataille syndicaliste.

    [Placement gratuit …]

    [marque syndicale] Imprimerie […]


    sources :

    Affiche tirée à 2000 exemplaires en mai 1911 (Source : tropjeunespourmourir.com. Source : Archives de la préfecture de police de Paris).







    [Grande fête de solidarité]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Grande fête de solidarité]. — Bruxelles = Brussels Bruxelles : SIA_ (Solidaridad internacional antifascista - Solidarité internationale antifasciste), . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (une  : noir , papier de couleur ) ; x ×  cm.

    • Affiches par pays  : Belgique
    • Lieux d’archivages  : Mundaneum (Mons)
    • Liste des thèmes  : solidarité
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  : galas et actions de soutien
    notes :
    descriptif :


    [ texte ]

    texte :

    SIA

    Solidarité Internationale Antifasciste (asbl)

    Local : Aux deux bécasses, 40, rue au Beurre, Bruxelles

    Le dimanche 23 mars 1947, à 15 h précises

    dans la
    Grande Salle des Fêtes des Tramwaymen
    17, rue du Poinçon, Bruxelles

    Grande

    Fête de solidarité

    en faveur des œuvres de la SIA

    Au programme :
    Elsa Goetschalck, soprano
    Willy Jackont, basse chantante
    Claudine Franche, du Théâtre des Galeries
    Maruxina, danseuse classique
    Paquita Cuaetero, chanteuse espagnole
    Les Mandolinistes de Bruxelles
    Pianiste accompagnateur : René Jacop
    Le Spectacle sera présenté par Marcel Antoine

    Le Cercle philodramatique « Aurore » interprètera “Scrupule”

    Le spectacle sera suivi de Redoute

    [impr. … ?]


    sources :
     


    [La nuit du Libertaire]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    La nuit du Libertaire]. — Paris : FA__ [1] (Fédération anarchiste : 1945-1953) : Le Libertaire (1944-1956), . — 1 affiche (impr. photoméc.) : n. et b. ; 116 × 80 cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  : IISG (Amsterdam)
    • Liste des thèmes  : art : chanson
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  : Campion, Léo (1905-1992)  ; Ferré, Léo (1916-1993)  ; Garçons de la rue, les  ; Noël, Léo
    • Presse citée  : Libertaire (1944-1956), le
    • Vie des mouvements  : galas et actions de soutien
    notes :
    descriptif :


    [ texte ]

    texte :

    Palais de la Mutualité — Grande salle

    24, rue Saint-Victor — Métro Maubert-Mutualité

    *

    Vendredi 11 novembre 1949

    La nuit du Libertaire

    […]

    Grand gala artistique
    avec le concours de :
    Groupe dramatique Spartacus, [du Mouvemnt Laïque des Auberges de la Jeunesse]
    de l’Orchestre José Willant [et son accordéon chantant Edmond Dumoulin]

    *

    Léo Campion, [des Deux-Ânes] — Paulette Chardin, [la délicieuse chansonnière] — Cricri et Jo, [acrobates comiques internationaux]

    Yves Deniaud, [la vedette du cinéma et de la radio] — Léo Ferré, [compositeur vedette de la radio]

    [Jane Gardon, l’émouvante réaliste] — Cuadro Flamenco del Nino de Cadiz, [ballets andalous] — […]

    Jean Marsac, [de la Lune Rousse] — Henry Murray, [de l’Odéon] — Léo Noël, [vedette de la radio]

    […] — Les Garçons de la rue — Villabella, [de l’Opéra]

    Georges Quey, [animateur du Caveau de la République] — [au piano] Nicole Ratte

    […]

    Grand bal

    [avec l’orchestre dynamique José Willant et ses huit compagnons]
    animé par les Rats de Cave de Saint-Germain-des-Prés

    […]

    […]


    sources :
     








    [Gran mitin, domingo 14 de abril 1957]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Gran mitin, domingo 14 de abril 1957]. — Lyon : CNT_ (España) : FIJL (Federación Ibérica de Juventudes Libertarias : 1932-1969-….) : SIA_ (Solidaridad internacional antifascista - Solidarité internationale antifasciste), . — 1 affiche (impr. photoméc.) : n. et b. ; 44 × 28 cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  :
    • Liste des thèmes  : exil et exilés
    • Géographie, géopolitique et Histoire  : Espagne
    • Noms cités (± liste positive)  : Lapeyre, Aristide (1899-1974)  ; Mompo, S.  ; Parra Román, Cristóbal (1912-1984)  ; Sans Sicart, Joan (....-2007)
    • Presse citée  : CNT órgano de la Confederación nacional del trabajo  ; Nueva senda (Toulouse)  ; Solidaridad obrera (Francia)
    • Vie des mouvements  : galas et actions de soutien  ; meetings et manifestations
    notes :
    descriptif :


    testo

    texte :

    Asociación Internacional de Trabajadores
    Confederación Nacional del Trabajo de España en el Exilio

    Gran mitin

    Organizado por la Comisión de relaciones del Núcleo Rhône-Loire

    Domingo 14 de abril 1957, a 9 h. 30

    La dignidad del Pueblo Español.
    Ni si hambre ni los asesinatos decretados por los Tribunales al servicio de Falange, han logrado someter al pueblo obrero a la obediencia del Dictador. La Rebelión es perenne. Perdura y germina en las conciencias la acción directa revolucionaria. Estudiantes y Obreros unidos hacen frente a las turbias maniobras de falangistas y monárquicos. España esta en pie !

    Que espera Franco y la Falange ?
    Es completa la decadencia del régimen falangista. En las universidades y logares de trabajo actúan alevonamente las Bandas Negras. La administración esta en manos de los vampiros de la economía nacional. Franco se tambalea. La falange esta inhabilitada por sus crímenes, hablar públicamente. Las frentes falangistas y monárquicos se ven salpicadas de sangre obrera. España esta en pie !

    Oradores :
    Cristóbal Parra por la FIJL en el exilio
    A. Lapeyre por la CNT francesa
    Sans-Ricard por la CNT Despenola exiliada

    Presidirá : S. Mompo

    Compañeros, acudid todos ! No faltéis a esta gran concentración confederal del Núcleo Rhône-Loire. Todos al Mitin !

    Grandioso festival

    14 abril a las 3 de la tarde

    Sala de fiesta de Victor-Hugo, mairie de 6° Arrt, 58, rue de Sèze - Lyon

    Bajo la dirección del grupo Artístico “Tierra y Libertad” de Lyon, sera presentado por primera ves en la región, la comedia de A. Quintero y P. Guillen, con un Prologo y tres Actos

    Morena Clara
    Este acto este organizado por Solidaridad Internacional Antifascista de Lyon

    Final de Fiesta por la rapsoda Lurdes Plu

    Alegría de España
    […]

    Chevalier-Claude
    […]

    4 horas de resonante éxito musical y teatral !…
    El mas completo repertorio artístico del ano !…

    Leed Solidaridad obrera y CNT — Adquirid Nueva senda órgano de la FIJL

    [imp. …]


    sources :
     






    [Galleria internazionale : Prima Internazionale, 1864-1964. No alla guerra. Parlera Hem Day Collettiva dei pittori]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Galleria internazionale : Prima Internazionale, 1864-1964. No alla guerra. Parlera Hem Day Collettiva dei pittori]. — Venezia Venise : Collettiva dei pittori : Galleria internazionale, . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (deux  : rouge , noir , papier blanc ) ; 100 × 70 cm.

    • Affiches par pays  : Italie
    • Lieux d’archivages  : CDA (FA, Paris)  ; CIRA (Lausanne)
    • Liste des thèmes  : antimilitarisme  ; art : chanson  ; art : musique  ; art : peinture  ; guerre (généralités)  ; Internationales  ; marxisme  ; syndicalisme
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  : Association internationale des travailleurs  ; Bakounine, Michel (1814-1876)  ; Baroni, Franco  ; Day_, Hem_ (1902-1969)  ; Drogoz, Philippe  ; Ronchini, Luisa
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  : conférence, débat…  ; exposition  ; galas et actions de soutien  ; spectacle, concert, fête…
    notes :
    descriptif :
    Symbole(s) utilisé(s) :

    [ main qui tient un drapeau rouge avec l’inscription « nè servi, nè padroni » et texte ]

    texte :

    Galleria internazionale

    San Polo, Rio terra dei Nomboli 25074 - Tel 700707 - Venezia

    1864-1964 : Marx, Bakunin, Cafiero

    [ dessin : drapeau rouge « Ne servi ne padroni »] Da una xilographia del "Le Réveillé" - 1870

    28 settembre 1864

    St. Martin’s Hall, Inghilterra : nasceva la Prima internazionale

    Marx, Bakunin, Engels, Cafiero… per citare qualche nome. Furono riaffermati i principi della uguaglianza della pace, della cooperazione, della fratellanza che univano i proletari di tutto il mondo : operai di tutto unitevi ! venne proclamato.

    Importanti concetti venivano stabiliti, decisivi per la evoluzione della classe operai mondiale la cui emancipazione sociale, veniva dichiarato è inseparabile dalla sua emancipazioni politica.

    Cento anni di lotte da allora per pervenire al possesso di fondamenti diritti e sociali di cui ormai si ha coscienza chiarissima.

    Ed è certamente una grossa occasione quella del centenario della Internazionale, per la continuazione di un discorso da noi già iniziato e portato avanti sempre con più forza in questi mesi di attività densi di lavoro, iniziative, incontri e… scontri.

    Costituisce inoltre l’occasione per procedere all’importante verifica dell’influenza che l’evento storicio ha determinato.

    L’ampliamento del significato della mostra alla protesta contro la guerra non è arbitrario dato che il pacifismo costituisce elemento indubbio dell’internazionalismo.

    I pittori : hanno riposto anche in questa occasione il che dimostra che sono attenti e impegnati in un lavoro che non è solo e limitatamente artistico pur non prescindendo da esso. Ci pare petanto errato generalizzare e riteniamo fenomeno isolato e circoscritto quello del decadentismo neocapitalistico espresso in più ambienti ufficiali.

    La sera della inaugurazione avremo fra noi per una breve conferenza il famoso internazionalista e pacifista Hem Day, Luisa Ronchini e Philippe Drogoz canteranno canzoni popolari contro la guerra.

    Galleria Internazionale

    No ! Alla guerra !

    Parlerà : Hem Day

    Collettiva dei pittori : Basaglia, Boscolo, Bussotti, Eulisse, Fullin, Gianquinto, Guadagnino, Pagnacco, Renzini, Sartorelli, Scarpa, Zancanero

    Ore 21, mardeti 8 settembre 1964

    Inaugurazione della mostra - Conferenza di Hem Day - Luisa Ronchini e Philippe Drogoz canteranno canzoni popolari italiane e francesi contro la guerra - Alla chitara Franco Barini

    Tip. Veneto - Venezia - [tel.] 31.658

    — [Esente da bollo à sensi degli Arti. 14 a 15 D.P. 342 del 24.6.54]


    sources :
     




















    [6 heures pour la presse libre]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    6 heures pour la presse libre]. — [S.l.] : [s.n.], [ ?] (Tautin, impr. Gilles (Paris)). — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (deux  : rouge , noir ) ; x × y cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  : CDA (FA, Paris)
    • Liste des thèmes  :
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  : autre presse
    • Vie des mouvements  : galas et actions de soutien
    notes :
    descriptif :


    [ texte (soutien au journal mao Libération ; visuel : chaine s’effritant sous le chant d’un chanteur guitariste sur un mont ]

    texte :

    6 heures de chanson non-stop

    Libération Libération Libération

    dimanche 2 février de 18 h à minuit

    6 heures pour la presse libre

    Avec la participation amicale de :

    François Béranger, Michel Buhler, Jean-Michel Caradec, Jean-Roger Caussimon, Richard Cocciante, Jacques Debronckart, Patrick Font, Jacques Higelin, Imago, Maxime Le Forestier, Jean-Yves Luley, Michèle Mally, Marti ; Alain Meilland, Mouloudji, Georges Moustaki, Véronique Nordet, Hubert Pagani, Quatre-Vents, Catherine Sauvage, Patrick Siniavine, Jean Sommer, Alan Stivell, Anne Sylvestre ; Teca et Ricardo, Pierre Tisserand, Philippe Val, Jacques Yvart

    Chapiteau Galaxy (chauffé) Métro Porte de Pantin - Prix des places : 20 F - Billet de soutien : 30 F… ou plus ! - En vente : Libé, 27 rue de Lorraine, Paris 19e de 10 à 20 h (métro Laumière) et Imprimerie Tautin, 4, passage Dieu, Paris 20e de 10 à 18 h

    […]


    sources :