Michel, Louise (1830-1905)
https://fr.wikipedia.org/wiki/Louise_Michel
https://maitron.fr/spip.php?article24872
Au moins 19 ouvrages recensés dans le Catalogue général des éditions et collections anarchistes francophones.
Au moins 74 revues francophones parues sous ce nom (voir sur le site Bianco).
Au moins 124 cartes postales anarchistes parues avec ce nom. Voir sur Cartoliste.
Almeno 7 periodici in lingua italiana pubblicati su questo nome (vedere sul sito Bettini).
Au moins 1 périodique espagnol publié avec ce nom entre 1869 et 1939 (vedere sul sito Madrid-Santos).
Au moins 85 objets recensés dans Ephemera.
chansons / poesies (Voir : site Canto).
52 affiches :
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Appel suprême aux électeurs de Paris
Plus de scrutin d’arrondissement ni de scrutin de liste, rien que le scrutin par rues
Considérant que le scrutin d’arrondissement est une erreur et le scrutin de liste un rêve ;
Nous, simple citoyen de la Ville de Paris et membre du comité de dégustation de la maison Richer, Lesage et Cie, proposons aux masses populaires le mode de Scrutin par Rues.
Chaque rue pourra être représentée par plusieurs députés, et plusieurs députés pourront représenter une seule rue.
Les femmes sont éligibles. En conséquence, la liste suivante a été dressée, et chaque électeur est prié de s’en inspirer avant le vote du 21 Août.
Candidats du scrutin par rues.
Ville de Paris.
1e PARTIE.
Rue de la Beauté … … Louise Michel.
Rue des Bassins … Gavardie.
Avenue de la Mothe Piqué … Mme de Kaula.
Esplanade des Invalides … Général de Cissey.
Rue des Martyrs … … Colonel Yung.2e PARTIE.
Passage des Deux-Sœurs … Capitaine Voyer.
Rue Taitbout … Thérésa.
Rue de la Pompe … … Thérésa.
Passage des Filles-Dieux … Le Dr. Charles Albert.
Chemin des Vaches … … Suzanne Lagier.
Rue des Déchargeurs … Francisque Sarcey, Berthelier, Baron, Dupuis, Burani, Mettra.3e PARTIE.
Rue Vide-Gousset … Pion-Pion.
Rue de l’Arbre-Sec … Sarah-Bernhardt.
Passage du Grand-Cerf et rue des Cornes … … Mac-Mahon.
Rue des Petites-Écuries … Bapaume, Archimède, Duffieux.
Rue Alphonse … … Humbert.4° PARTIE.
Rue de l’Ancienne-Comédie … Andrieux
Rue du Centre … … … la Schneider.
Carrières d’Amérique … Philippart, David, Adrien de la Valette.
Rue Taillepain … Darblay.
Rue de l’Abbaye … … Mgr Freppel.5e PARTIE.
Rue Fessard … … Germiny.
Rue de la Lune … … Chouard.
Chemin de la Grotte … … Théo.
Rue aux Ours … … Bidel.
Rue du Chaudron … … Buffet.6° PARTIE.
Rue de Charenton … Albert Millaud, Auguste Vitu, Adrien Marx, Périvier.
Rue de Mademoiselle … Albert Wolff.
Passage du Désir … Albert Wolff.
Rue du Faucon… Albert Wolff.
Rue Chauchat … Judic.
Impasse Chevalier … … Coquelin ainé.
Passage Chausson … Mlle Angèle.7° PARTIE.
Rue du Midi … … Armand Sylvestre, Dumont, Richeffin, Don Pedro Garcias, Emile Blain.
Rue de la Lancette … … Ricors.
Rue du Cygne … … La Comtesse d’Ange.
Rue Lantier … … Duplessis.
Rue de la Gaieté… … Camescasse.8e PARTIE.
Impasse de la Folie … … Félix Piat
Rue des Chiens-Hargneux … … Rochefort.
Rue Ste.-Anne … … Hubertine Auclerc.
Rue de la Banque … … Magnier, Gaston Vassy, Mayer
Rue du Puits-qui-Parle… … Tony-Révillon.9e PARTIE.
Rue Jean-sans-Peur … … Vacquerie.
Impasse de la Bonne-Graine… Clémenceau.
Rue du Dragon … … Mme Olympe Audouard.
Rue des Quatre Vents… … Victor Hugo.
Rue du Génie… … Victor Hugo.
Rue au Lard … … Gambetta.10e PARTIE.
Rue de l’Épée-de-Bois … … Innocenti.
Rue de la Goutte … … Général Faidherbe.
Rue de la Victoire … … Ducrot.
Rue de la Félicité … … Jeanne Granier.
Rue de Sédan … … Colonel Wimffhen.11e PARTIE.
Rue Basse … … De Broglie.
Rue Plate … … De Broglie.
Rue des Catacombes … … Rouher.
Avenue des Soupirs … … Ex-Impératrice Eugénie.
Rue des Solitaires … … Jolibois, Robert Mitchel, duc de Padoue, Laroche-Joubert.
Rue de la Pirouette … … Jules Simon12e PARTIE.
Jardins des Plantes … … Baragnon, de Mun, La Rochefoucauld.
Rue de l’Abreuvoir … … Cunéo d’Ornano.
Avenue de Plaisance … … Céline Montalan,
Rue du Vieux-Chemin … … Maréchal Canrobert.
Rue des Fourneaux … … Duc Descazes, de Fourtou, Caillaux, Magne.13e PARTIE.
Rue Richer … … Constant.
Rue du Roule … … Jules Ferry.
Rue de l’Oursine … … Angèle Moreau.
Rue des Singes … … Eugène Gainé, Simon Max, Heymann.
Rue de la Grêle … … Louis Veuillot.14e PARTIE.
Rue du Ruisseau … … Émile Zola.
Rue de l’Égoût… … Émile Zola.
Rue des Jeûneurs … … Michelon, de Lizaranzu, Bresson, Leseurre.
Rue de la Tour… … Élise Faure.
Rue des Ternes… … Achille Secondigné, Olivier Pain, Casimir Bouy, Arbouin, Anezo.
Route de Versailles … … Maxime-du-Camp.15e PARTIE.
Rue de Poissy… … Millaud (du Petit-Journal).
Rue Gaillon … … Millaud (du Petit-Journal).
Rue Bergère … … … Sarry.
Rue des Cascades … … Céline Chaumont.
Rue Chabanner… … Duhamel.
Rue du Petit-Carreau… … Aurélien Scholl.16e PARTIE.
Rue Bel-Homme … … Perrin.
Rue du Battoir … … … Hyacinthe.
Place Beauveau … … Mlle Tassyli.
Rue de la Chandelle … … Ducastel.
Rue des Deux-Ermites … … Erkmann-Chatrian.17e PARTIE.
Bould. du Combat … … Lhullier.
Rue de la Chopinette… … Le Guillois.
Rue Gracieuse… … … Mlle Gérard
Chemin du Cimetière… … Henri V.
Marché aux Chevaux… … Comte de Lagrange18e PARTIE
Rue du Croissant … … Journauld (député).
Rue de Paris…. … … Charles Laurent.
Rue de la Femme-sans-Tête … Ma Belle-mère.
Rue de Lyon … … Barodet.
Rue du Dauphin … … Alfred Naquet.19e PARTIE.
Rue de la Monnaie … … Rothschild.
Rue de la Limace … … Mlle Abadie.
Rue du Juge-sévère … … Cartier.
Rue de l’Église … … Henri des Houx
Rue de la République … … Louis Blanc.20° PARTIE ;
Rue Fouarre … … … Paul de Cassagnac.
Rue de la Faisanderie… … Tous les vieux Sénateurs.
Rue de l’Empereur … … Mlle Bélanger.
Avenue de la Grande-Armée… Général Farr.
Rue de la Paix… … … Grévy.Dernière heure :
Mme Louise Michel nous écrit qu’elle se retire de la lutte en faveur de M. Albert Wolff. Nous sommes désormais assurés que ce dernier n’a plus à craindre le ballotage.Signé : JEAN MANGE-TOUT, Citoyen Français, Vidangeur.
Affiche satirique, parodique.
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Prix 10 centimes — Prix 10 centimes
La candidature de Louise Michel
Programme
Citoyens et citoyennes,
Voici venir les élections.
J’aime à supposer que cette fois les électeurs en ont assez et qu’ils ne vont pas se faire rouler suivant la déplorable habitude contractée par eux depuis que le suffrage universel fait semblant d’exister.
Je dis : « Fait semblant d’exister » et je maintiens ce mot, car en réalité, le suffrage universel n’existe pas.
Est-il logique, en effet, que dans notre pays la partie mâle de la population ait seule le droit de voter, tandis que la partie féminine doit se contenter de raccommoder les chaussettes de ses conjoints et les fonds de culottes de ses moutards ?…
Est-il juste que des avortons sans finesse, sans cœur au ventre et sans aucune des connaissances sérieuses du cœur humain que nous possédons à un si haut degré, nous autres femmes, aient seuls le droit de confectionner des lois ineptes ou infâmes dont le plus souvent notre sexe enchanteur est la première victime.
Non, mille fois non… cela n’est pas logique !…
Re-non, re-mille fois re-non, cela n’est pas juste !!…
Et le moment est venu où tout cela doit changer.
C’est pourquoi, citoyens et citoyennes, militaires et bonnes d’enfants, je me suis décidée à poser ma candidature à la députation… et mon poing sur la figure au premier qui me blaguera.
Bavarde comme le premier avocat venu ;
Tapant du poing sur la tribune comme n’importe quel Gambetta ;
Ni plus ni moins maboule qu’un Gavarnie ou qu’un Lorgeril ;
J’ai toutes les qualités requises pour remplacer à moi toute seule au moins 340 des fameux 363 qui ont fait si peu de besogne en sept ans de temps.
De plus, habituée que j’ai été à Nouméa à ne boire que de l’eau pas sucrée, mes électeurs pourront être assurés que je ne négligerai pas mon mandat législatif pour aller licher des verres de Néré à la buvette de l’Assemblée pendant qu’on discutera une loi sur le divorce ou l’abolition du concordat…
Électeurs !
Je vous parlais tout à l’heure de ce gros repu qu’on appelle Gambetta.
Eh bien, nommez-moi à sa place, et je ne vous dis que ça.
Je ne m’engraisserai pas comme il l’a fait, à seule fin de pouvoir cacher entièrement mon « programme de Belleville » en m’asseyant dessus plus tard.
D’abord des programmes, il n’en faut plus ; ça sent la comédie ; et puis nous savons tous ce qu’en vaut l’aune. Ce que je réclamerai même tout d’abord, c’est le rétablissement du mandat impératif, grâce auquel les électeurs ont au moins le moyen de casser aux gages ceux de leurs employés — car les députés sont les employés du peuple, ne l’oublions pas, — qui voteraient la suppression des urinoirs publics alors qu’on les aurait élus pour réclamer la création supplémentaire de latrines pour dames.
Pour en revenir à Gambetta, à cet homme qui prenait tant de ventre pendant que moi, je perdais ma gorge de jeune fille, je crois que le moment est opportun de le reléguer à jamais dans le magasin des accessoires avec tous les opportunistes ses amis, et de remplacer tout ce monde-là par des socialistes neufs et garantis bon teint… pendant au moins quatre ans.
Et surtout, puisque les hommes ont montré leur impuissance absolue, de nommer des femmes à leur place, beaucoup de femmes, rien que des femmes !…
Les femmes, il n’y a que ça !…
Nous seules, citoyens pouvons faire votre bonheur.
Nous seules sommes assez fortes pour vous octroyer toutes les libertés qu’il vous plaira.
Ainsi, tenez, moi qui vous parle, une fois élue, voici les différents projets de lois que je sortirai de mon sac à ouvrage et que je ficherai sur la tribune de l’Assemblée au moyen de fortes épingles.
1° Suppression du sénat, composé d’un tas de vieux ramollis incapables de rien créer et bons tout à plus à baver sur leurs pupitres pour y faire pousser des champignons ;
2° Suppression de la Présidence de la République, et le Président remplacé par un timbre à signature de trois francs soixante quinze centimes une fois payé ;
3° Abolition des armées permanentes, et les soldats employés à la culture des pommes de terre ou à pomper l’eau des rivières pour le cas où,comme cette année, la sécheresse deviendrait inquiétante pour les populations ; — comme conséquence, suppression des ministres de la guerre et de la marine.
4° Abolition du capital et obligation pour tous les hommes de travailler de douze à quarante ans d’une façon quelconque ; versement des salaires dans les caisses de l’État, qui serait tenu de nourrir, loger, habiller et fournir de l’argent de poche à tout homme ou femme ayant atteint l’âge de la retraite ;
5° Plus de patrons ni d’employés, rien que des égaux devant la loi, et même derrière ou à côté ;
6° Suppression de la Magistrature et du Clergé, composés d’un tas de blagueurs qui passent leur temps à se f…icher de leurs concitoyens ;
7° Le droit pour tout citoyen d’entrer gratuitement dans les tramways et dans les établissements tarifés à quinze centimes jusqu’à ce jour ;
8° Suppression du Mariage et l’union libre reconnue comme seule légale. Conséquence : suppression des belles-mères ;
9° Le droit pour tout le monde de sortir en caleçon de bain pendant les grandes chaleurs, l’obligation de se vêtir poussant à la dépense le pauvre prolétaire ; d’ailleurs, au moyen de ce système, les mœurs ne pourraient que s’améliorer, et l’on ne verrait plus des crevés idiots et pornographes suivre pendant trois heures une femme qui montre la moitié d’un mollet, ou une autre dont le costume recherché n’a d’autre but que d’exciter les passants à désirer la voir avec ledit costume… déposé sur une chaise, à côté ;
10° La permission pour tout le monde d’écrire indifféremment « arico » ou « haricaud », sans s’exposer à se faire moquer de soi par ceux qui écrivent « haricot » sans trop savoir pourquoi ;
11° Le meurtre d’un roi, d’un prince du sang ou d’un prince héritier quelconque considéré comme un droit sacré et comme un acte de justice ;
12° Les députés payés à raison de douze sous l’heure de travail tout comme le premier galochier venu ; de cette façon, nos représentants feraient peut-être plus d’ouvrage et gagneraient au moins leur salaire ;
13° Les Œuvres d’Émile Zola répandues dans les écoles en remplacement des œuvres classiques devenues par trop rococo ;
14° Enfin, le droit pour la femme de porter la culotte et aussi celui de la poser quand le besoin s’en ferait sentir, droit dont, héla ! elle n’est que trop privée bien souvent.Voilà, mes chers concitoyens, mes principales réformes économiques et les différentes questions sociales que je me réserve de résoudre dès le lendemain du jour où vous m’aurez donné vos suffrages.
Car vous me les donnerez. Vous le devez :
D’abord par patriotisme ;
Ensuite parce que je suis femme et qu’avec les dames, il faut toujours être garant ;
Enfin, parce que, je le répète, moi seule ai assez d’énergie pour mener à bien toutes ces choses.
Un dernier mot, et j’ai fini.
Vous le savez, je suis demoiselle encore, je ne suis pas jolie, jolie, mais j’ai du nerf, et pour une femme, le nerf, c’est tout.
Eh bien, de même que les vierges mystiques ne veulent d’autres époux que le Christ, je m’engage à devenir l’épouse de l’arrondissement qui me donnera le plus de voix !!!!
Qu’on se le dise !!…
Et maintenant,
Électeurs, aux urnes !!!
Et surtout pas d’abstentions, car il y va du bonheur de la France !
Vive la sociale !!!…
Voilà mon cri de ralliement.
Signé : Louise Michel
Pour copie qu’on forme : sa secrétaire particulière, Maltena Domigina
Vente en gros : 5, rue du Croissant.
Saint-Germain. — Imprimerie D. Hardin. — Ne peut être affiché
Affiche parodique et écrite par un homme ?
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[ texte ; dessins (scènes du roman) ]
- texte :
Gratis partout, la 1re livraison illustrée
La Misère
Roman dramatique par Louise Michel
Superbes gravures
En vente aujourd’hui, la 2e livraison à 5 Cts
Toutes les livraisons suivantes 5 Cts seulement
A. Fayard, éditeur, Bvard St-Michel, 78 - Paris
[…]
Affichette publicitaire pour le roman de Louise Michel et Jean Guêtré (alias Victoire Tinayre / Marguerite Tinayre)..
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- notes :
- descriptif :
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[ texte ]
- texte :
Salle de la Perle
Vendredi 19 janvier, à 8 heures du soir
Grande réunion publique
au profit des familles des détenus politiques
la citoyenne
Louise Michel
traitera du
SocialismeQuestions diverses
Entrée : 0,25 c.
Pour la commission de répartition des secours :
Le secrétaire : Eug. Sauzet.Lyon. — Imprimerie Pastel, 10, petite rue du Caire.
Tiré d’un des dossiers des AD Rhône (4 M 308) sur le « procès des 66 ».
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
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[ texte ]
- texte :
Salle de l’Élysée, rue Basse-du-Port-au-Bois
Dimanche 4 mars, à 1 heure 1/2 du soir,
Grande réunion publique contradictoire
au bénéfice des familles des détenus politiques
la citoyenne
Louise Michel
traitera :
Les travailleurs sous le république des radicauxQuestions diverses
Entrée : 25 cent.
Pour la commission de répartition des secours :
Le secrétaire : Eug. Sauzet.Lyon. — Imprimerie Pastel, 10, pet. rue du Caire.
Tiré d’un des dossiers des AD Rhône (4 M 308) sur le « procès des 66 ».
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
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[ texte ]
- texte :
Salle de l’Élysée, rue Basse-du-Port-au-Bois
Jeudi 18 courant, à 8 heures du soir,
Grande réunion publique contradictoire
au profit des familles des détenus politiques
La citoyenne Louise Michel
traitera de
République bourgeoise et révolutionquestions diverses
Entrées : 0,25 c.
Pour la commission de répartition de secours, le secrétaire Eug. Sauzet.
Lyon. — Imprimerie Pastel, 10, petite rue du Caire.
Tiré d’un des dossiers des AD Rhône (4 M 308) sur le « procès des 66 ».
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- notes :
- descriptif :
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[ texte ]
- texte :
Meeting public
Organisé par La Vengeance anarchiste
Le mardi 20 février 1883, à 8 heures et demie du soir
Salle des Folies-Montrouge, 7 bis, avenue d’Orléans
Ordre du jour :
La crise gouvernementale
Le nouveau procès de Lyon
Les prétendants & leurs complices
La citoyenne Louise Michel
et plusieurs orateurs anarchistes prendront la parole
Prix d’entrée : 30 centimes
Affichette timbrée. Ce meeting a été organisé par Émile Vaillat et Mege/Meige d’après :
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- notes :
- descriptif :
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[ texte ]
- texte :
Salle de l’Élysée
Rue Basse-du-Port-au-Bois (Guillotière)Mardi 13 mars, à 8 h du soir,
Réunion publique contradictoire
au profit des familles des détenus politiques
Conférence donnée par la citoyenne
Louise Michel
sur les Manifestations à Paris et les arrestations
Entrée : 20 centimes
La presse lyonnaise est invitée à venir soutenir la contradiction
Pour la commission de répartition de secours, le secrétaire : E. Sauzet.
Imprimerie nouvelle (association syndicale des ouvriers typographes), rue Ferrandière, 52, Lyon
Tiré d’un des dossiers des AD Rhône (4 M 308) sur le « procès des 66 ».
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- descriptif :
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[ texte ]
- texte :
Anniversaire du 18 mars 1871
Conférence concert
Organisé par le Groupe Anarchiste « Le Tocsin »
Mercredi 17 mars 1886, à 8 heures du soir
Salle du Commerce, 94, Faubourg du Temple
Première partie
Conférence par le citoyenne Louise Michel
Conférence sur la famille par le citoyen Georges Roussel
- - -
Deuxième partie
Séance de prestidigitation par le citoyen Albert
Chants révolutionnaires
Plusieurs artistes des Concerts de Paris prêteront leurs concours
Entrée 50 Centimes en consommations
Paris. — Imprimerie Vert aîné, Rue François-Miron, 8.
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- notes :
- descriptif :
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[ texte ]
- texte :
Ligue des anti-patriotes
(section des 9e et 18e arrondissements)
Mercredi 24 novembre 1886, à 8 heures 1/2
Salle Simonot, 48, rue Pigalle
Grande réunion publique et contradictoire
organisée au profit des Inondés du midi
Avec le concours de la citoyenne
Louise Michel
Et des citoyens : Tortelier, Duprat, Thénevin [Tennevin], Gouzien, Junius, Leclerc, Adhémar
Ordre du jour :
Charité gouvernementale et solidarité sociale.
La bourgeoisie devant les catastrophes.
Le droit capitaliste et le droit de l’ouvrier.Entrée facultative
Nota. — La section des 9e et 18e arrondissements se réunit tous les mercredis, salle Simonot, 49, rue Pigalle. Les jeunes gens peuvent y assister [librement]
Paris. — Imp. Vert aîné, rue François-Miron, 8
Adhémar : est-ce Adhémar Schwitzguébel plutôt qu’Adhémar Leclère (parti au Cambodge courant 1886) ?
https://militants-anarchistes.info/?article13561
https://militants-anarchistes.info/IMG/jpg/ligue_antipartiote_meeting_pour_inondes_du_midi.jpg- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
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[ texte ]
- texte :
Grand meeting révolutionnaire
Organisé par les groupes anarchistes du XXe arrondissement
au profit des victimes de la police
Le jeudi 9 août 1888, à 8 heurs 1/2 du soir
Salle du Commerce
84, faubourg du Temple, 94
Ordre du jour :
La grève générale, sa nécessité, son but et ses conséquences
Les assommades policières et gouvernementales
Les expulsions des ouvriers étrangersOrateurs inscrits : Louise Michel, Tortelier, Leboucher, Tennevin, Malato, Gouzien, J. Prolo, Espagnac, etc.
entrée 30 centimes
Lire tous les samedis La Révolte organe communiste anarchiste — En vente chez les libraires : 0,05 cent., le numéro
Paraît tous les 15 juins la Ça ira organe anarchiste — En vente chez les libraires : 0,10 cent., le numéro
Paris. — Typographie Vert Aîné, 8, rue François-Miron
Autres orateurs : Pausader, Lutz, et G. Roussel d’après le Dictionnaire internationale des militants anarchistes.
https://militants-anarchistes.info/?article3188
https://militants-anarchistes.info/IMG/jpg/meeting_1888.jpg- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
- /B_tout>
[ text ]
- texte :
The people’s martyrs
an anniversary meeting
in commemoration of the above who were murdered and imprisoned in Chicago and London (Trafalgar Square) in November 1887, will be held at
Milton Hal
Hawley Crescent, Kentish Town Road,
on Tuesday, November 11, 1890.
The following speakers will address the meeting — W. Morris, F. Kitz, R. W. Burnie, J. Turner, Mrs. Lahr, Miss Lupton, Mrs. Schack, D. Nicoll, C. W. Mowbray, and Louise Michel.
The choir of the Socialist League will sing revolutionary songs during the evening.
Doors open at 8 p.m. — Commence at 8.15 p.m.
admission free.
Miss Lupton = Frances Elizabeth Lupton (1821-1892), née Greenhow ?
R. W. Burnie = Robert William Burnie (1851-1933) ?, English barrister-at-law, Middle Temple- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
- /B_tout>
[ text ]
- texte :
International socialist workers and trade union congress 1896.
Anarchist-socialsit and anti-parliamentary committee
Welcome to delegates
An international
mass meeting
will be held at Holborn Town Hall, Grays inn Road, W.C. on
Tuesday, July 28th 1896,
all delegates are invited to attend
The following have consented to speak :
Élisée Reclus, J. C. Kenworthy, A. Hamon, Peter Kropotkine, Touzeau Parris, Morrison Davidson, Tom Mann, Ben Tillett - LCC, Bernard Lazare, Pietro Gori, Amilcare Cipriani, Errico Malatesta, Gustave Landauer, Keir Hardie, Louise Michel, Frnak Kitz, James Tochatti, H. H. Duncan, Alfred Barton, J. Caplan.
All communications to be addressed to J. Perry, 7, lamb’s Conduit street, Theobald’s road, W.C.
Admission free — Doors open at 7 p.m. — / Commence at 7.30.
The Socialist choir will be in attendance during the evening
All trade unionists specially invited.
Co-operative Printing Society Limited, Tudor street, New Bridge street, London, E.C.
See also : « The Labour Leader : peace demonstration ».
Poster consists of 2 parts.
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
- /B_tout>
[ text ]
- texte :
International socialist workers and trade union congress 1896.
Anti parliamentary committee.
Welcome to delegates
On Tuesday, July 28th at Holborn Town Hall.
A mass meeting will be held at the above hall to welcome delegates attending the forthcoming congress.
Among the speakers will be
Amilcare Cipriani, E. Malatesta, Ben Tillett, Tom Mann, F. Kitz, Peter Kropotkine, Morrison Davidson, Keir Hardie, Louise Michael, J. C. Kenworthy.Doors open at 7. — Admission free — Commence at 7.30.
All trade unionists invited.
Ernest Young, Trade Union Printer, 127, Ossulston street, Euston road, London, N.W.
See also : « The Labour Leader : peace demonstration ».
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
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[ texte ; dessin (jeune fille) par A. Webster ]
- texte :
The Labour Leader
Saturday, 25th July, 1896
Peace demonstration.
Enlarged number.
demonstration arrangements
Foll list of speakers and chairmen.
Articles by prince Kropotkin, professor Alfred Russell Wallace, Mr Grant Allen, Mrs Isa Fyvie Mayo (Edward Garrett).
Portraits and biographies of Louise Michel, Cipriani, Hamon, Lazare, Merlino, Reclus, Nieuwenhuis.
In prison Ho’ Clough. by The Pilgrim.
International congress notes
One penny.
Of all newsagents.
See also :
— https://en.wikipedia.org/wiki/Labour_Leader
— https://en.wikipedia.org/wiki/International_Socialist_Workers_and_Trade_Union_Congress,_London_1896
— International socialist workers and trade union congress 1896, anti parliamentary committee, welcome to delegates- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
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[ texte ]
- texte :
Au Tivoli Waux-Hall
12, rue de la Douane, 12
Le samedi 15 janvier 1898, à 8 heures et demie du soir
Grande réunion publique et contradictoire : le huis clos
organisée par le journal Le Libertaire
Ordre du jour
Le huis clos
Orateurs inscrits :
Sébastien Faure — Louise Michel
Henri Dhorr — Broussouloux — Tortelier
Aux hommes libres !
Ce n’est pas en raison des intérêts particuliers en jeu que l’ignoble comédie judiciaire du Cherche-Midi nous passionne.
C’est à cause des questions d’ordre général qu’elle soulève.
De Dreyfus ou d’Esterhazy, quel est le traitre ? — Nous l’ignorons.
Hormis ceux qui sont résolus à ne rien dire, nul n’est en état d’apporter des preuves.
Ce qui est certain, c’est que ces deux affaires restent enveloppées dans les ténèbres du Huis clos.
Qu’il s’exerce contre nos amis ou nos ennemis, qu’il innocente ou frappe, qu’il soit complet ou partiel.
Le huis clos est une infamie
Car le huis clos, c’est la voix étouffée, c’est l’impossibilité pour celui qu’étreignent les griffes judiciaires de présenter librement sa défense ; c’est la lettre de cachet sournoisement rétablie, avec cette circonstance terriblement aggravante : la lettre de cachet avait un caractère nettement arbitraire, le huis clos se couvre des oripeaux de la légalité.
La clameur anarchiste a toujours protesté contre ce mode de jugement ; aussi notre réprobation contre le huis clos, s’appliquât-il à un ennemi, à un officier, reste entière.
Le huis clos, on s’en est servi, on s’en sert, on s’en servira pour condamner les anarchistes ; il a permis de flétrir, de déporter un juif ; demain, on peut le mettre à profit contre les socialistes, les radicaux, les pensées libres, les volontés hautaines, contre tout ce qui vibre, sait et veut.
Ici, on invoquera la raison d’État ; là, les intérêts de la patrie ; ailleurs, la saine morale ; partout, la sécurité publique ou nationale. C’est ainsi que, demain, un gouvernement aux abois peut l’appeler à son aide contre tous ceux dont il voudra se débarrasser.
Le huis clos, c’est en conséquence la prescription, la prison, la peine capitale suspendues sur tous.
C’est abominable ! C’est révoltant !
N’y aurait-il que cette circonstance en la question Dreyfus-Esterhazy qu’il faudrait s’y intéresser.
Le Libertaire
Prix d’entrée : 50 centimes
L’imprimeur-Gérant : Lafond, 55, rue d’Hauteville, Paris
Ce placard ne peut être affiché
Parue au dos du Libertaire n° 113 (8-22 janvier 1898).
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
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[ texte ]
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Famine… et arrestation de mille républicains, socialistes et anarchistes en Italie. — Le peuple espagnol trompé, enrégimenté et poussé à une guerre nationale par les dirigeants. — De Montjuich à Cuba — Duperie du suffrage universel — Le pain cher.
Meeting public
Salle de l’harmonie, 94, rue d’Angoulême
Samedi 11 juin, à 8 h 1/2 du soir
avec le concours de
Louise Michel
Laurent Tailhade, Charles Malato
Les accapareurs de blé, financiers, valets des despotes,ajoutent la famine à la guerre. Les révoltes des prolétaires italiens et espagnols,qui veulent vivre sont noyés dans le sang. La réaction internationale affame et saigne séparément les peuples. Le tour de la France est arrivé. Les gens de l’ordre moral et clérical se démasquent à la Chambre et dans le pays.
Le suffrage universel est une duperie atroce. — Ne comptons que sur nous-mêmes, ne nous laissons pas surprendre.
Les organisateurs
Entrée : 0 fr. 50 centimes
Paris — Imprimerie [… ?] Marchal, [96 ?], rue d’H[… ?]
http://www.iisg.nl/collections/louisemichel/inventory59fr.php
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- notes :
- descriptif :
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- texte :
[Le Libertaire]
À partir du 6 février 1899
Le Journal du peuple
grand quotidien à 5 centimes
Rédaction et administration : 17, rue du Faubourg-Montmartre, Paris
Directeur : Sébastien Faure
Rédaction :
Tribune : Jean Ajalbert, Jean Allemane, Bernard Lazare, Pierre Bertrand, Mme Bradamante, Aristide Briand, Henry Leyret, Charles Malato, Octave Mirbeau, Francis de Pressensé, Pierre Quillard, Adolphe Retté, Zo d’Axa.
Chronique : Zo d’Axa, Laurent Tailhade, Xavier de Ricard, Adolphe Retté, H. Rainaldy, Jean Psichari, É. Pouget, Lucien Perrin, Ludovic Malquin, Louis Lumet, Théodore Jean, André Girard, J. Ferrière, Raphaël Dunois, J. Degalvès, René Chaughi, Charles Albert.
Vulgarisation : Atome, Henri Dagan, J. Degalvès, J. Ferrière, André Girard, Eugène Guérard, Ludovic Malquin, Élie Murmain, Jacques Liber, F. Pelloutier, É. Pouget, Pierre Quillard, André Veidaux.
Divers : Mme Véra, J. Valéry, A. Tennevin, Louise Michel, M. Jollit, E. Joindy, L. Grandidier, E. Girault, Henri Dhorr, H. Couthier, P. Comont, Broussouloux, A. Antignac.
Secrétaire de rédaction : Hugues Moreau
Échos : Michel Zévaco. — Vie parlementaire : J. Ferrière. — Faits-divers : Constant Martin. — Tribunaux : Lucien Perrin. — Informations et départements : J. Degalvès. — Reportage : Perfettini. — Mouvement social : Eugène Guérard et Fernand Pelloutier. — Critique dramatique : Laurent Tailhade. — Critique musicale : Jean Séver. — Correspondants particuliers : en Algérie, Angleterre, Hollande, Belgique, Suisse, Autriche, Roumanie, Allemagne, Russie, Italie, Espagne, Amérique et dans toutes les grandes villes de France.
Feuilletons écrits spécialement pour Le Journal du peuple :
La Prochaine, par Charles Malato ; Le Chevalier de La barre, par Michel Zèvaco.À tous :
Le Peuple n’a pas, il n’a jamais eu son journal.
Celui-ci sera le sien, parce qu’il exprimera ses intérêts, ses indignations, ses révoltes, ses besoins, ses revendications.
Le Journal du Peuple écrira au jour le jour, simplement, sans la dramatiser, la sombre histoire des miséreux, des prolétaires, des déshérités.
N’ayant rien à ménager, ni personne, Le Journal du Peuple dira toujours la vérité, toute la vérité, même quand celle-ci lui sera défavorable.
Le Journal du Peuple fera une large place au mouvement social ; il s’occupera de la vie des ateliers ; il sera l’organe du monde travailleur.
Le Journal du Peuple s’éloignera scrupuleusement de cette horrible et répugnante chose qui toujours et fatalement condamne à mentir, qui fatalement et toujours souille et stérilise : La Politique.
Le Journal du Peuple combattra sans défaillance et sur tous les terrains les sottises du Nationalisme, le banditisme antisémite, l’hypocrisie cléricale, les mensonges des politiciens, l’exploitation capitaliste, l’oppression sous toutes ses formes.
Le Journal du Peuple disputera le cœur et l’esprit des foules aux criminels qui les empoisonnent.
Il disputera la rue — cette patrie du révolutionnaire et du sans-toit — aux bandes des réacteurs.
Telle est la tâche magnifique à laquelle, mes amis et moi, nous allons consacrer la fermeté de nos consciences, l’ardeur de nos convictions, notre vie, s’il le faut.
Hommes de bonne volonté, de vérité et de justice, aidez-nous !
Sébastien Faure.
Dernière page de Le Libertairen° 167 (5-11 février 1899).
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À partir du 6 février 1899
Le Journal du peuple
grand quotidien à 5 centimes
Rédaction et administration : 17, rue du Faubourg-Montmartre, Paris
Directeur : Sébastien Faure
Rédaction :
Tribune : Jean Ajalbert, Jean Allemane, Bernard Lazare, Pierre Bertrand, Mme Bradamante, Aristide Briand, Henry Leyret, Charles Malato, Octave Mirbeau, Francis de Pressensé, Pierre Quillard, Adolphe Retté, Zo d’Axa.
Chronique : Zo d’Axa, Laurent Tailhade, Xavier de Ricard, Adolphe Retté, H. Rainaldy, Jean Psichari, É. Pouget, Lucien Perrin, Ludovic Malquin, Louis Lumet, Théodore Jean, André Girard, J. Ferrière, Raphaël Dunois, J. Degalvès, René Chaughi, Charles Albert.
Vulgarisation : Atome, Henri Dagan, J. Degalvès, J. Ferrière, André Girard, Eugène Guérard, Ludovic Malquin, Élie Murmain, Jacques Liber, F. Pelloutier, É. Pouget, Pierre Quillard, André Veidaux.
Divers : Mme Véra, J. Valéry, A. Tennevin, Jacques Prolo, Louise Michel, M. Jollit, E. Joindy, L. Grandidier, E. Girault, Henri Dhorr, M. Couthier, P. Comont, J.-B. Broussouloux, A. Antignac.
Secrétaire de rédaction : Hugues Moreau
Échos : Michel Zévaco. — Vie parlementaire : J. Ferrière. — Faits-divers : Constant Martin. — Informations et départements : J. Degalvès. — Tribunaux : Lucien Perrin. — Reportage : Perfettini. — Mouvement social : Eugène Guérard & Fernand Pelloutier. — Critique dramatique : Laurent Tailhade. — Critique musicale : Jean Séver.
Correspondants particuliers : en Algérie, Angleterre, Hollande, Belgique, Suisse, Autriche, Roumanie, Allemagne, Russie, Italie, Espagne, Amérique et dans toutes les grandes villes de France.
Feuilletons écrits spécialement pour “Le Journal du peuple” :
“La Prochaine”, par Charles Malato ; “Le Chevalier de La Barre”, par Michel Zèvaco.À tous :
Le Peuple n’a pas, il n’a jamais eu son journal.
Celui-ci sera le sien, parce qu’il exprimera ses intérêts, ses indignations, ses révoltes, ses besoins, ses revendications.
“Le Journal du Peuple” écrira au jour le jour, simplement, sans la dramatiser, la sombre histoire des miséreux, des prolétaires, des déshérités.
N’ayant rien à ménager, ni personne, “Le Journal du Peuple” dira toujours la vérité, toute la vérité, même quand celle-ci lui sera défavorable.
“Le Journal du Peuple” fera une large place au mouvement social ; il s’occupera de la vie des ateliers ; il sera l’organe du monde travailleur.
“Le Journal du Peuple” s’éloignera scrupuleusement de cette horrible et répugnante chose qui toujours et fatalement condamne à mentir, qui fatalement et toujours souille et stérilise : La Politique.
“Le Journal du Peuple” combattra sans défaillance et sur tous les terrains les sottises du Nationalisme, le banditisme antisémite, l’hypocrisie cléricale, les mensonges des politiciens, l’exploitation capitaliste, l’oppression sous toutes ses formes.
“Le Journal du Peuple” disputera le cœur et l’esprit des foules aux criminels qui les empoisonnent.
Il disputera la rue — cette patrie du révolutionnaire et du sans-toit — aux bandes des réacteurs.
Telle est la tâche magnifique à laquelle, mes amis et moi, nous allons consacrer la fermeté de nos consciences, l’ardeur de nos convictions, notre vie, s’il le faut.
Hommes de bonne volonté, de vérité et de justice, aidez-nous !
Sébastien Faure.
Imprimerie Bonne-Nouvelle. — Valéry, 97, rue de Cléry et rue Beauregard, 60. — Spécialité d’affiches.
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À partir du 6 février 1899
Le Journal du peuple
grand quotidien à 5 centimes
Rédaction et administration : 17, rue du Faubourg-Montmartre, Paris
Directeur : Sébastien Faure
Rédaction :
Tribune : Jean Ajalbert, Jean Allemane, Bernard Lazare, Pierre Bertrand, Mme Bradamante, Aristide Briand, Henry Leyret, Charles Malato, Octave Mirbeau, Francis de Pressensé, Pierre Quillard, Adolphe Retté, Zo d’Axa.
Chronique : Zo d’Axa, Laurent Tailhade, Xavier de Ricard, Adolphe Retté, H. Rainaldy, Jean Psichari, E. Pouget, Lucien Perrin, Ludovic Malquin, Louis Lumet, Théodore Jean, André Girard, J. Ferrière, Raphaël Dunois, J. Degalvès, René Chaughi, Charles Albert.
Vulgarisation : Atome, Henri Dagan, J. Degalvès, J. Ferrière, André Girard, Eugène Guérard, Ludovic Malquin, Élie Murmain, Jacques Liber, F. Pelloutier, E. Pouget, Pierre Quillard, André Veidaux.
Divers : Mme Véra, J. Valéry, A. Tennevin, Louise Michel, M. Jollit, E. Joindy, L. Grandidier, E. Girault, Henri Dhorr, H. Couthier, P. Comont, J.-B. Broussouloux, A. Antignac.
Secrétaire de rédaction : Hugues Moreau
Échos : Michel Zévaco. — Vie parlementaire : J. Ferrière. — Faits-divers : Constant Martin. — Informations et départements : J. Degalvès. — Reportage : Perfettini. — Mouvement social : Eugène Guérard et Fernand Pelloutier. — Critique dramatique : Laurent Tailhade. — Critique musicale : Jean Séver.
Correspondants particuliers : en Algérie, Angleterre, Hollande, Belgique, Suisse, Autriche, Roumanie, Allemagne, Russie, Italie, Espagne, Amérique et dans toutes les grandes villes de France.Feuilletons écrits spécialement pour “Le Journal du peuple” :
“La Prochaine”, par Charles Malato ; “Le Chevalier de La Barre”, par Michel Zèvaco.À tous :
Le Peuple n’a pas, il n’a jamais eu son journal.
Celui-ci sera le sien, parce qu’il exprimera ses intérêts, ses indignations, ses révoltes, ses besoins, ses revendications.
“Le Journal du Peuple” écrira au jour le jour, simplement, sans la dramatiser, la sombre histoire des miséreux, des prolétaires, des déshérités.
N’ayant rien à ménager, ni personne, “Le Journal du Peuple” dira toujours la vérité, toute la vérité, même quand celle-ci lui sera défavorable.
“Le Journal du Peuple” fera une large place au mouvement social ; il s’occupera de la vie des ateliers ; il sera l’organe du monde travailleur.
“Le Journal du Peuple” s’éloignera scrupuleusement de cette horrible et répugnante chose qui toujours et fatalement condamne à mentir, qui fatalement et toujours souille et stérilise : La Politique.
“Le Journal du Peuple” combattra sans défaillance et sur tous les terrains les sottises du Nationalisme, le banditisme antisémite, l’hypocrisie cléricale, les mensonges des politiciens, l’exploitation capitaliste, l’oppression sous toutes ses formes.
“Le Journal du Peuple” disputera le cœur et l’esprit des foules aux criminels qui les empoisonnent.
Il disputera la rue — cette patrie du révolutionnaire et du sans-toit — aux bandes des réacteurs.
Telle est la tâche magnifique à laquelle, mes amis et moi, nous allons consacrer la fermeté de nos consciences, l’ardeur de nos convictions, notre vie, s’il le faut.
Hommes de bonne volonté, de vérité et de justice, aidez-nous !
Sébastien Faure.
Imp. Valéry, 97, rue de Cléry.
http://cediasbibli.org/opac/doc_num.php?explnum_id=571
affiche ou feuille volante.
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
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[ texte sur papier de couleur ]
- texte :
Voici qui est chouette !
Le Père Peinard
parait tous les dimanches à
cinq centimes
Il astique ferme le cuir des richards et des gouvernants et il est indispensable pour se décrasser les boyaux de la tête
Outre une tapée de tartines galbeuses
Le Père Peinard
publie chaque semaine un dessin d’actualité et
Conte de Noël
un chic feuilleton par
Louise Michel
Bons bougres, demandez Le Père Peinard à tous les marchands de journaux et cramponnez ceux qui ne l’ont pas !
Paris, impr. Grandidier, 15, rue Levieuville.
[Ne peux être affiché à… sans un timbre à …]
Affiche annoncée dans Le Père Peinard, 2e série n° 115 (1er-8 janvier 1899) :
« Le “Père Peinard” à Un rond. Ohé les bons bougres, c’est la semaine prochaine que le Père Peinard va être à un sou. […] Afin d’attirer l’attention du populo, une affiche annonçant la transformation du Père Peinard est en chantier ; elle va être prête ces jours-ci et dera expédiée illico. Les copains qui voudront payer les timbres de ces affiches (qui seront du format à 12 centimes) n’ont qu’à le faire savoir et on leur enverra le nombre des affiches qu’ils désireront, sans être timbrées. Autre chose : dans le prochain numéro, le Père Peinard commencera la publication d’un feuilleton rupinskoff et inédit de Louise Michel : Conte de Noël. […] ».
»- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
[ texte Charles Malato ; dessin (image d’Épinal) Jules Hénault ]
- texte :
Propagande aux enfants
Éditée par l’Union ouvrière de l’ameublement - 4, passage Davy - Paris […]
La vie de Louise Michel
Bonne culture […] Bonne récolte […]
[…]
[…] Texte de Malato - Imprimerie Pernot […]
Affiche (impression en chromotypographie ; Épinal : Pernot, 1905))
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
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texte
- texte :
Peuple de Paris !
Louise Michel est morte !
Admirable d’abnégation et d’héroïsme, elle a été une des créatures exceptionnelles qui sont l’honneur de l’humanité.
À cet époque de décomposition sociale, d’arrivisme effréné et de groid égoïsme — gangrénant même les jeunes ! — cette femme restait, à 70 ans, l’ardente apôtre de l’émancipation sociale.
Louise Michel a incarné et sublimé tout le beau humain : générosité, bravoure, abnégation rehaussées par une simplicité exquise.
Sous l’Empire elle est déjà, jeune fille, l’éducatrice dévouée des Enfants du Peuple et son grand cœur s’émeut aux souffrances des déshérités. L’institutrice comprend que les joies des riches sont tissées du malheur des pauvres : elle se mêle aux lutteurs qui veulent détruire le Césarisme pour faire éclore une société meilleure.
Aux heures sombres de 1870-71, Louise Michel, ambulancière, va relever les blessés sous la mitraille ; puis, lorsque la réaction versaillaise s’efforce d’étrangler Paris, elle prend le fusil et combat au fort d’Issy, aux Moulineaux, sur les Barricades, pour le Droit Social et la Liberté.
Alors que les fusilleurs victorieux ont fait de Paris un charnier, la vaillante femme peur s’échapper, mais sa mère est prise en otage… Louise Michel n’hésite pas : elle se constitue prisonnière ! Devant le conseil de guerre, elle soufflète ses bourreaux de son mépris et leur crie son dédain de la mort.
Elle n’échappe au Poteau de Satory que pour être jetée à la Déportation Calédonienne. Là, pendant neuf ans, elle donne un exemple de constante abnégation, en même temps que de stoïque fierté devant les geôliers.
Rentrée en France à l’amnistie, Louise Michel reprend aussitôt son poste de combat social. Et cette République Bourgeoise en laquelle les déshérités mettaient naïvement leurs espoirs, continue à n’avoir pour elle que rigueurs : après la Déportation, la Prison ! Après le Prison, l’Exil !…
Il serait trop long de narrer la vie de l’infatigable propagandiste. Rappelons seulement quel sublime exemple de générosité donna un jour celle qui fut tant de fois couverte d’ignominies : grièvement blessée à coups de révolver par un malheureux alcoolique, stipendié des jésuites, elle protège son meurtrier contre l’indignation populaire et vient à la barre de la Cour d’Assises réclamer son acquittement.
Inlassable à 70 ans, comme aux jours de sa jeunesse, relevant à peine de maladie, Louise Michel continue son œuvre de prosélytisme et succombe dans un dernier effort de propagande.
Telle fut la femme qui vien de mourir !
Peuple de Paris
Alors que les partis politiques, en lutte pour la conquête du pouvoir, nous montrent chaque jour la ruée écœurante des convoitises et des appétits, Louise Michel, toute de cœur et de simplicité, t’a donné l’exemple d’un apostolat ininterrompu.
Peuple ! Toi qu’elle aime toujours, — malgré tes défaillances, — toi, pour qui elle rêvait un avenir de Liberté, de Bien-Être et de Dignité, tu sauras reconnaître en elle une de tes meilleurs amies.
Tu lui feras des obsèques dignes d’elle !… Digne de la grande cause qu’elle a incarnée !…
Les Amis de Louise Michel
Inutile de dire que Louise Michel est morte pauvre. Ses amis le sont également. Aussi pour faire face aux frais des obsèques, ceux-ci ont ouvert une souscription publique. En outre, ils organisent un
Grand meeting public
qui aura lieu le jeudi 19 janvier 1905
au Palais du Travail, 13, rue de Belleville, à 8 heures 1/2 du soirOrateurs :
Amilcare Cipriani - Sébastien Faure — Paul Fribourg — Laurent Tailhade — Jean Latapie — Dejeante — Henri Berenger — Georges Yvetot — Le Grandais — Nelly Roussel — H. Turot — Bousquet — Clovis Hugues — TennevinEntrée : 0,50 cent. — Au service des obsèques de Louise Michel
Les souscriptions sont reçues à l’Association Internationale Antimilitariste, 45, rue de Saintonge, et à la Bourse du Travail, bureau 4, 4e étage
Imprimerie de l’AIA - 45, rue de Saintonge
Image tirée de l’Almanach illustrée de la révolution pour 1906
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- notes :
- descriptif :
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[ texte ]
- texte :
Le Libertaire
organe de la Fédération anarchiste
Cinquante-cinquième année. — N° 245 vendredi 1er décembre 1950
Le numéro : 10 francs
Fondé en 1895 car Louise MICHEL et Sébastien FAURE — « Internationale anarchiste »lance un appel
Camarades, amis lecteurs,
Il faut en sortir…
Car le « Lib » c’est bien autre chose qu’un journal comme les autres et c’est bien autre chose que l’œuvre passagère des équipes de compagnons qui se relayent pour l’animer.
Le « Lib », c’est depuis plus de cinquante ans la tribune permanente où retentit la parole anarchiste ; où sont dénoncées les iniquités d’une société agonisante rivée à ses égoïsmes et ses tueries, où sont démasqués les faux prophètes d’une nouvelle religion de servitude baptisée socialisme.
Le « Lib », c’est le merveilleux flambeau où, depuis un demi-siècle, des générations de jeunes gens sont venus réchauffer leur cœur et allumer en eux de généreuses aspirations de justice et de liberté par quoi se distingue la grandeur morale de l’Anarchisme.
Le « Lib », c’est, depuis ce jour de l’an 1895 où Sébast et Louise le créèrent, le lien fraternel qui unit les membres de la grande famille libertaire et le porte-parole d’un magnifique idéal en lequel des milliers de compagnons ont puisé leur raison de vivre, et parfois de mourir.
Le « Lib » enfin, c’est l’œuvre collective que, depuis cinquante-cinq ans, des centaines de compagnons se sont acharnés à faire vivre contre vents et marées, y épuisant leur bourse et, souvent, leur santé. Mais aussi, à travers son demi-siècle, quels coups a-t-il reçu : poursuites, saisies, amendes, peines de prisons pour ses militants.
N’empêche qu’il fut toujours en avant pour défendre toutes les libertés.
Depuis cinq ans, le « Libertaire », à travers des difficultés qui auraient été pour tout autre journal insurmontables, a survécu. Sans argent, sans local, sans nombreux services appointés, uniquement forgé par les efforts des militants après leur labeur quotidien, il a rassemblé les énergies révolutionnaires, les volontés anarchistes et aujourd’hui, la Fédération Anarchiste et son organe comptent. Fin juin, notre trésorerie était en dette de huit cent mille francs. Que fallait-il faire ? Disparaître, rester les bras croisés, puis attendre des jours meilleurs.
Non ! Cela aurait été indigne de son passé.
Nous avons parlementé avec nos créanciers, nous engageant passé le cap des congés à rembourser et, momentanément, nous n’avons paru que toutes les quinzaines.
Aujourd’hui, il faut prendre des décisions, équilibrer notre budget. Certes, celui-ci serait facile à régler, nous contentant de faire un tirage limité ne servant que nos abonnés ou nos lecteurs certains, faire un journal ne touchant que les initiés.
Or, c’est l’honneur de la FA, de ses militants, de vouloir que le « Libertaire » soit répandu partout dans la France entière et crie à tous ce qu’est l’Anarchisme.
Mais cela coûte cher, extrêmement cher. Actuellement les hausses constantes du papier, de l’imprimerie, des envois, des frais généraux, portent la dépense pour un numéro à deux cent mille francs, dix millions par an !
Et nos lecteurs, nos amis comprendront que, pour assurer sa vie matérielle, nous sommes dans l’obligation de porter le prix du numéro à quinze francs, l’abonnement de cinquante-deux numéros à sept [?] francs, celui de vingt-six numéros à trois cent soixante.
Et pourtant, ce prix ne compense qu’une partie de nos dépenses, car nous ne récupérons après un long délai que la moitié de sa vente.LE “LIBERTAIRE” DOIT VIVRE
Si le « Lib » disparaissait, une grande espérance s’éteindrait dans le cœur de nombreux compagnons. Et, dans ce monde où les raisons d’espérer ne sont pas si nombreuses, la disparition du « Lib » créerait un vide que nul autre organe ne pourrait combler.
Tu le sais, toi, compagnon de l’Anarchie, et toi, lecteur sympathisant, vous tous qui, chaque semaine, attendez votre journal, ce journal modeste parmi les géants de la presse, mais dont le souffle révolutionnaire dissipe un peu ce brouillard fétide fait de mensonges et de relents de corruption, au sein duquel achève de se décomposer le régime capitaliste.
Oui, vous le savez, vous tous, lecteurs fidèles à qui, chaque semaine le « Lib » vient redonner le courage de lutter « quand même », ce courage qui, parfois, et même chez les meilleurs, « [flanche ?] » au contact des quotidiennes et décevantes réalités.
Vous le savez, vous aussi, compagnons de la lutte anarchiste qui, parfois, emportés par l’impétuosité de votre caractère, sortez du « Lib » en claquant la porte, avec des mots définitifs — ou presque.
Si le « Lib » disparaissait, toute cette œuvre, somme de peines et de dévouements sans nombre, s’écroulerait. Et pour combien de temps ? Plus rien ne se dresserait face aux monstrueux totalitarismes, aux forces de mensonge et de corruption.
Il faut avancer ! Il faut que la Fédération Anarchiste, par la voie du « Lib », fasse entendre une voix puissante, assez forte pour briser la conspiration du silence, pour réveiller l’enthousiasme et les énergies populaires. Les circonstances l’exigent et, d’ailleurs, elles sont plus propices qu’elles ne l’ont été depuis longtemps.
Dans les milieux intellectuels, l’anarchie provoque un renouveau d’intérêt. Les moins aveugles commencent à réaliser l’énorme duperie du mirage bolchevik et, tournant le dos au socialisme autoritaire, ils ne peuvent que redécouvrir le socialisme libertaire.
D’autre part, la position nette, exempte de toute équivoque de la Fédération Anarchiste sur le problème de la guerre, son refus de pactiser avec aucun des deux blocs en présence, sa résolution, maintes fois affirmée, de ne pas s’incliner devant les « fatalités historiques », commence de porter ses fruits et, peu à peu, de cristalliser autour de la formule du Troisième Front les premiers noyaux d’une Résistance des Hommes Libres, à la guerre et à la servitude.DEUX VOIES S’OFFRENT A NOUS :
VÉGÉTER
Une feuille qui maintient son existence, mais dont la parution rate incertaine, irrégulière, est incapable d’élargir son audience et détendre son combat.
Un brûlot qui combat pour l’honneur perd, forcément, pied à pied le terrain conquis. Un journal dont le déficit s’accroît de mois en mois est voué à la disparition, malgré les appels fréquents et lassants.S’AFFIRMER
Un organe, à la mesure des possibilités qui s’offrent, doit être, pour pénétrer la grande masse, un journal attrayant, combatif et solide.
Attrayant et combatif, faisant appel à toute la collaboration possible.
Solide, pour cela nous faisons appel à vous, amis lecteurs.Il faut sortir de la gêne et de la médiocrité une fois pour toutes !
Et bien, la Fédération Anarchiste a choisi : dès maintenant, Le Libertaire redevient hebdomadaire !
Mais si cette décision a été prise, c’est que nous avons compté sur vous pour un effort important, mais définitif, c’est que nous savons que vous répondrez à cet ultime appel.Et pour cela, à ceux qui nous comprennent, à nos amis, aux groupes, de verser régulièrement un minimum de cent francs sur lequel nous pourrions compter pendant un certain temps. Cinq cents versements nous assureraient la certitude de sa parution et nous demandons à tous de faire cet effort.
Cinq cents camarades s’engageant à souscrire un versement régulier de cent francs par semaine et, non seulement la vie du journal est assurée, mais dans un an, « Le Libertaire » aura cent mille lecteurs. Certes, nous connaissons les difficultés de la vie. Nous savons que tous ne pourraient assurer un tel effort. Et c’est pourquoi nous ne faisons appel qu’à cinq cents camarades.
Il est impossible que nous ne les trouvions pas. Il est impossible que cinq cents militants ou sympathisants ne consentent pas chaque semaine de se priver d’une séance de cinéma, de deux rétifs ou d’un paquet de tabac pour que vive et se développe leur journal.
Non ! Le journal de Sébastien Faure et de Louise Michel, de Pierre Martin et de Louis Lecoin, ce journal où écrivirent Kropotkine, Reclus, Malatesta, Makhno, Voline et tant d’autres de nos penseurs et de nos martyrs, ne doit pas disparaître. Compagnons ou sympathisants, vous ne permettrez pas que se taise cette grande vont libertaire.
Et, après avoir apporté votre souscription, tu descendras, toi, compagnon, dans la rue pour y clamer les syllabes familières et toi, sympathisant, tu feras connaître à un ami qui l’ignore score, un journal dont le format modeste donne asile à une grande espérance de justice et de liberté.Ainsi, tous ensemble, unis dans un effort commun, nous surmonterons toutes les difficultés !
Pour que se perpétue le cri de nos frères espagnols tombant en 36 : « Viva la anarquia ! »LE “LIBERTAIRE” VIVRA !
Attention ! ! ! Le lib. reparaît hebdomadaire, chaque vendredi, au prix de 15 francs le numéro.
Le Comité National de 1a Fédération Anarchiste.Prix de l’abonnement inchangé, jusqu’au 15 janvier 1951. Hâtez-vous !
Avis aux groupes : Cette page peut être affichée surchargée d’un trait de couleur (crayon rouge ou bleu). Pour la vente à la criée, la page 4 de ce numéro a été aménagée spécialementAffiche parue en Une : Le Libertaire n° 245 (1er décembre 1950, 55e année).
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- notes :
- descriptif :
[ Texte sur un A cerclé ]
chablon noir et bordeaux sur blanc- texte :
Le pouvoir est maudit, c’est pourquoi je suis anarchiste. Louise Michel
Les anarchistes ne luttent pas pour la conquête du pouvoir, ils luttent pour son abolition
Fédération anarchiste — Groupe de Montreuil
renseignements, adhésions, 3, rue Ternaux Paris 11e
Peut-être la 1re affiche avec un « A cerclé » avec l’affiche« Le vote est un leurre, seule la révolution sociale fera une société libre et juste ».
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- notes :
- descriptif :
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[ texte (journal mural) ]
- texte :
FAI
Non votare ma autogoverno
Cittadini
Ancora una volta i partiti chiedono voti in nome della sovranità popolare. Gli anarchici a più riprese affermato la loro posizione astensionista : ancora una volta non voteranno.
I candidati alla promissa legislatura non sono nè migliori nè peggiori dei loro predecessori. Non si tratta, quindi, degli uomini, ma delle istuzioni che non sono valide, del sistema che è marcio, dello Stato che divora le coscienze e vegeta in atti che si ispirano all’esperienza fascista, alle leggi del regime non defunto, malgrado il fallimento, per volontà di popolo, dei tentati colpi di Stato Tambroni e SIFAR, preparati sotto l’ampio mantello delle irresponsabilità parlamentari.
Cittadini, lavoratori
Lo Stato ci spoglia dei nostri averi e non dà conto del contributo che noi gli versamio : ci spoglia della sovranità popolare restringendola a potere direzionale di pochi, della libertà, soffocando le iniziative spontanee dell’individuo ed annullando la personalità umana nelle sue più genuine espressioni.
Il voto non porta rimedio ai nostri mali. Il sistema rappresentativo, compresso nel frantoio dello Stato, si trasforma in strumento di potere.
Cittadini
Le avanguardie giovanili hanno compresso che una esigenza libertaria pervade il mondo contemporaneo, dall’occidente all’oriente, e non perdonano le acquiescenze al potere costituito, le concessioni al sistema autoritario, i paternalismi che intendono deviare dalla strada intrapresa. Esse respingono un gerarchismo anacronistico, schemi, leggi e ordinamenti di un mondo ormai superato ; esse danno un senso libertario a metodi di autogoverno, antiautoritari, con cui costruire, su proposte e progetti deddati da indirizzi costanti di libertà, di autodeterminazione, di sviluppo sociale, una prassi nuova, che conferisca alle assemblee compiti ieri riservati al corpo scelto direzionale, in funzione di autonomia e di contropotere. Gli universitari hanno ottenuto molto di più col metodo dell’azione diretta di quanto potranno attenere dalla consultazione elettorale.
Col non votare e operando l’avvio ad una rivoluzione liberatrice, gli anarchici vogliono anticipare i fattori di progresso che essa contiene, rivendicare la libertà come mezzo e come fine, lottare contro privilegi e monopoli, assicurare l’emancipazione dei lavoratori ad opera dei lavoratori stessi.
La Federazione Anarchica Italiana
A cura dei gruppi anarchici riuniti di Carrara, aderenti alla FAI. Piazza Matteoti, 31 - Tel. 70317, Carrara
Perché gli anarchici non votano ?
La dittatura esprimono il […] FAI Gruppi anarchici riuniti di Massa e Carrara
Viva la lotta rivoluzionaria studentesca !
[…]
Lavoratori, è ora di svegliarsi !
[…] Alfonso Failla
Democrazia apparente fascismo operante
[…] Ugo Mazzucchelli
L’Anarchia è une società basata sul libero accordo delle libere volontà dei singoli. Errico Malatesta
Il potere è maledetto perciò io sono anarchica. Luisa Michel
estratto da « Il Carrarese » del 15-5-68 — Giardini - Pisa
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[ Texte ]
- texte :
Théâtre Toursky
22, avenue Édouard Vaillant — Marseille (3e)
Dimanche 19 à 17 h, lundi 20 décembre à 21 h
La Commune à travers ses chansons
Pottier, Clément, Bruant
et ceux qui l’on vécue : Lissagaray, Louise Michel, A. Rimbaud
Location par téléphone : 50.75.91 — Collectivités voir TEC : 62.78.27
Mercredi 22 décembre à 21 h
Récital de guitare classique : Grigori Knop, compositeur
[impr.]
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[ texte (annonce d’un spectacle) ; portrait (Louise Michel) d’après André Néraudan ]
- texte :
Compagnie Dominique Houdart en coproduction avec le centre d’animation culturelle d’Orléans et du Loiret
Louise Michel ou les Œillets rouges
création mondiale
Texte, mises en scène Dominique Houdart
formes animées, dispositif scénique Marcel Violette
musique de Michel Frantz
interprété par Marie-France Delmas avec Jeanne Heuclin, Christian Betermin, Marie-Paul Jourdan, Hishem Rostom, Jean Bisilliat-Gardet, Baptiste Chapelot
théâtre du Manitout
phone 325.60.13 — 17, rue Campagne-Première 75014 Paris
Tous les soirs à 20 h 15 — relâche dimanche et lundi
prix des palce 25 F — groupes, étudiants, collectivités, cartes vermeil 18 F
réservation par téléphone de 14 h à 20 h
Imp. EV Tours r.c. 75 8 35 / Jean-Jack Martin
Ce portrait de Louise Michel (photo d’André Néraudan) a, un temps, été utilisé sans le titre du Monde libertaire.
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[ texte ; dessin (personnage couronné par une boite de conserve ouverte (?) et soulevant une couronne psée près d’un baton (sceptre ?)) ; citation de Louise Michel ]
Publicité pour le journal du même nom
- texte :
“Não podemos matar as idéias a tiros de canhão nem tampouco algemá-las”
Louise MichelO inimigo do rei
enfim um jornal antimonarquista
Já nas bancas - $10
Lançamento nacional
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[ texte ; photo (portrait de Louise Michel) ]
- texte :
The Paris Commune… the defence of Louise Michel
I do not wish to defend myself, I do not wish to he defended. I belong completely to the social revolution, and I declare that I accept complete responsibility t.r all my actions. I accept it completely and without reservations.
You accuse me of having taken part in the ’corder of the generals ? To that I would reply Yes, if I had been in Montmartre when they wished to have the people fired on. I would not have hesitated to fire myself on those who gave such orders. But I do not understand why they were shot when they were prisoners. and I look on this action as arrant cowardice.
As for the burning of Paris, yes, I took part in it. I wished to oppose the invader from Versailles with a barrier of flames. I had no accomplices in this action. I acted on my own initiative.
I am told that I am an accomplice of the Commune. Certainly, yes, since the Commune wanted more than anything else the social revolution, and since the social revolution is the dearest of my desires. More than that, I have the honour of being one of the instigators of the Commune, which by the way had nothing—nothing, as is well known—to do with murders and arson.
I who was present at all the sittings at the Town Hall, I declare that there was never any question of murder or arson. Do you want to know who are really guilty ? It is the politicians. And perhaps later light will be brought on to all these events wich today it is found quite natural to blame on all partisans of the social revolution. . . .
But why should I defend myself ? I have already declared that I refuse to do so. ’ton are men who are going to judge me. You sit before me unmasked. You are men and I am only a woman, and yet I look you in the eye. I know quite well that everything I could say will not make the least difference to your sentence. So a single last word before I sit down. We never wanted anything but the triumph of the great principles of the revolution. I swear it my our martyrs who fell at Satory, by our martyrs whom I acclaim loudly, and who will one day have their revenge.
Once more I belong to you. Do with me what you please. Take my life if you wish. I am not the woman to argue with you for a moment. . . .
What I claim from you, you who call yourselves a Council of War, who sit as my judges. who do not disguise yourselves as a Commission of Pardons, you who are military men and deliver your judgement in the sight of all, is Satory where our brothers have already fallen.
I must be cut off from society. You have been told to do so. Well, the Commissioner of the Republic is right. Since it seems that any heart which beats for freedom has the right only to a lump of lead. I too claim my share. If you let me live, I shall never stop crying for revenge, and I shall avenge ms brother, by denouncing the murderers in the Commission for Pardons. . . .
I have finished. If you are not cowards, kill me !
Publié entre 1970 et 1978.
Deux formats : 44 × 62 cm et 30 × 46 cm.
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- notes :
[Appel suprême aux électeurs de Paris : plus de scrutin d’arrondissement ni de scrutin de liste, rien que le scrutin par rues]
[Appel suprême aux électeurs de Paris : plus de scrutin d’arrondissement ni de scrutin de liste, rien que le scrutin par rues]. — Paris : [s.n.], [ ?]. — 1 affiche (impr. photoméc.) : n. et b. ; x × y cm.
sources :
[La candidature de Louise Michel]
[La candidature de Louise Michel]. — Paris : [s.n.], . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (une : papier de couleur ) ; 62 × 43 cm.
sources :
[La Misère : roman dramatique par Louise Michel]
[La Misère : roman dramatique par Louise Michel] / Louis (1861-1942) Tinayre. — Paris : [s.n.], . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (deux : rouge , noir , papier blanc ) ; x × y cm.
sources :
[Grande réunion publique au profit des familles des détenus politiques]
[Grande réunion publique au profit des familles des détenus politiques]. — Lyon : Ccommission de répartition des secours aux familles des détenus politiques, . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (une : noir , papier de couleur ) ; x × y cm.
sources :
[Grande réunion publique contradictoire au bénéfice des familles des détenus politiques]
[Grande réunion publique contradictoire au bénéfice des familles des détenus politiques]. — Lyon : Ccommission de répartition des secours aux familles des détenus politiques, . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (une : noir , papier de couleur ) ; x × y cm.
sources :
[Grande réunion publique contradictoire au profit des familles des détenus politiques]
[Grande réunion publique contradictoire au profit des familles des détenus politiques]. — Lyon : Ccommission de répartition des secours aux familles des détenus politiques, . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (une : noir , papier de couleur ) ; x × y cm.
sources :
[Meeting public organisé par la Vengeance anarchiste]
[Meeting public organisé par la Vengeance anarchiste]. — Paris : la Vengeance anarchiste, . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (une : noir , papier de couleur ) ; x × y cm.
sources :
[Réunion publique contradictoire au profit des familles des détenus politiques]
[Réunion publique contradictoire au profit des familles des détenus politiques]. — Lyon : Ccommission de répartition des secours aux familles des détenus politiques, (Imprimerie Nouvelle Lyonnaise (Lyon)). — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (une : noir , papier de couleur ) ; x × y cm.
sources :
[Anniversaire du 18 mars 1871 : conférence concert avec Louise Michel]
[Anniversaire du 18 mars 1871 : conférence concert avec Louise Michel]. — Paris : le Tocsin, . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (une : noir , papier de couleur ) ; 31 × 42 cm.
sources :
[Grande réunion publique et contradictoire organisée au profit des Inondés du midi]
[Grande réunion publique et contradictoire organisée au profit des Inondés du midi]. — Paris : Ligue des antipatriotes (1886-....), . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (une : noir , papier de couleur ) ; x × y cm.
sources :
[Grand meeting révolutionnaire]
[Grand meeting révolutionnaire]. — Paris : [s.n.], . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (une : papier de couleur ) ; x × y cm.
sources :
[The people’s martyrs : an anniversary meeting]
[The people’s martyrs : an anniversary meeting]. — London Londres : Socialist league (1885-1901), . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (une : rouge ) ; 76 × 51 cm.
sources :
[International socialist workers and trade union congress 1896, anarchist-socialist and anti-parliamentary committee, welcome to delegates]
[International socialist workers and trade union congress 1896, anarchist-socialist and anti-parliamentary committee, welcome to delegates]. — London Londres : [s.n.], (Co-operative Printing Society (London)). — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (une : noir , papier rouge ) ; 152 × 101 cm.
sources :
![]() 1896 |
[International socialist workers and trade union congress 1896, anti parliamentary committee, welcome to delegates]
[International socialist workers and trade union congress 1896, anti parliamentary committee, welcome to delegates]. — London Londres : [s.n.], . — 1 affiche (impr. photoméc.) : n. et b. ; 77 × 51 cm.
sources :
![]() 1896 |
[The Labour Leader : peace demonstration]
[The Labour Leader : peace demonstration]. — [S.l.] : [s.n.], . — 1 affiche (impr. photoméc.) : n. et b. ; 58 × 45 cm.
sources :
[Grande réunion publique et contradictoire : le huis clos]
[Grande réunion publique et contradictoire : le huis clos]. — Paris : Le Libertaire (1895-1939), . — 1 affiche (impr. photoméc.) : n. et b. ; [54 ?] × [40 ?] cm.
sources :
[Meeting public : Louise Michel, salle de l’Harmonie]
[Meeting public : Louise Michel, salle de l’Harmonie]. — Paris : [s.n.], . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (une : noir , papier rouge ) ; x × 21 cm.
sources :
[À partir du 6 février 1899 : Le Journal du peuple, grand quotidien à 5 centimes]
[À partir du 6 février 1899 : Le Journal du peuple, grand quotidien à 5 centimes]. — Paris : Le Journal du peuple : Le Libertaire (1895-1939), . — 1 affiche (impr. photoméc.) : n. et b. ; x × y cm.
sources :
![]() 1899 |
![]() 1899 |
[À partir du 6 février 1899 : Le Journal du peuple, grand quotidien à 5 centimes]
[À partir du 6 février 1899 : Le Journal du peuple, grand quotidien à 5 centimes]. — Paris : Le Journal du peuple, . — 1 affiche (impr. photoméc.) : n. et b. ; x × y cm.
sources :
![]() 1899 |
![]() 1899 |
[À partir du 6 février 1899 : Le Journal du peuple, grand quotidien à 5 centimes]
[À partir du 6 février 1899 : Le Journal du peuple, grand quotidien à 5 centimes]. — Paris : Le Journal du peuple : Le Libertaire (1895-1939), . — 1 affiche (impr. photoméc.) : n. et b. ; [27 ?] × [21 ?] cm.
sources :
![]() 1899 |
![]() 1899 |
[Le Père Peinard parait tous les dimanches]
[Le Père Peinard parait tous les dimanches]. — Paris : le Père Peinard (1889-1900), . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (une : noir , papier de couleur ) ; 60 × 42 cm.
sources :
[La vie de Louise Michel : propagande aux enfants]
[La vie de Louise Michel : propagande aux enfants] / Jules Hénault. — Paris : Union ouvrière de l’ameublement, . — 1 affiche (lithogr. ), coul. (trois : rouge , noir , bleu ) ; 43 × 26 cm.
sources :
[Peuple de Paris ! Louise Michel est morte !]
[Peuple de Paris ! Louise Michel est morte !]. — Paris : AIA_ (Association Internationale Antimilitariste : 1904-ca1909) = Internationale Anti-Militaristische Vereeniging (IAMV), . — 1 affiche (impr. photoméc.) : n. et b. ; x × y cm.
sources :
[Le Libertaire lance un appel]
[Le Libertaire lance un appel]. — Paris : FA__ [1] (Fédération anarchiste : 1945-1953) : Le Libertaire (1944-1956), (ICC (Imprimerie Centrale du Croissant)). — 1 affiche (impr. photoméc.) : n. et b. ; [53 ?] × [37 ?] cm.
sources :
[Le pouvoir est maudit, c’est pourquoi je suis anarchiste. Louise Michel Les anarchistes ne luttent pas pour la conquête du pouvoir, ils luttent pour son abolition.]
[Le pouvoir est maudit, c’est pourquoi je suis anarchiste. Louise Michel Les anarchistes ne luttent pas pour la conquête du pouvoir, ils luttent pour son abolition.]. — [S.l.] : FA__ [2] (Fédération anarchiste : 1953-....) : FA__. Groupe de Montreuil, . — 1 affiche (chablon (pochoir) ), coul. (deux : rouge , noir , papier blanc ) ; 65 × 91 cm.
sources :
[FAI ; non votare, ma autogoverno]
[FAI ; non votare, ma autogoverno]. — Carrara Carrare ; Pisa Pise : FAI_ (Federazione anarchica italiana), (Tipolitografica, stampa la Coop (Carrara)). — 1 affiche (impr. photoméc.) : n. et b. ; 50 × 35 cm.
sources :
![]() 1968 |
[La Commune à travers ses chansons : Pottier, Clément, Bruant]
[La Commune à travers ses chansons : Pottier, Clément, Bruant]. — Marseille : Théâtre Toursky (Marseille), . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (une : rouge , papier blanc ) ; 120 × 80 cm.
sources :
[Louise Michel ou les œillets rouges, création mondiale]
[Louise Michel ou les œillets rouges, création mondiale] / Jean-Jack Martin ; André Néraudan. — Paris : [s.n.], [ ?]. — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (une : noir , papier rouge ) ; 77 × 32 cm.
sources :
![]() [ 1978 & ante] |
![]() 1980 |
![]() [ca 1987] |
![]() 1980 |
[O Inimigo do rei : enfim um jornal antimonarquista]
[O Inimigo do rei : enfim um jornal antimonarquista]. — Salvador (Bahia) : o Inimigo do rei, [ca ]. — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (deux : rouge , noir , papier blanc ) ; 64 × 46 cm.
sources :
[The Paris Commune… the defence of Louise Michel]
[The Paris Commune… the defence of Louise Michel]. — [S.l.] : [s.n.], [ & ante]. — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (une : noir , papier jaune ) ; 44 × 62 cm.
sources :
![]() [ 1977 ?] |
![]() [ca 1987] |
![]() 1980 |
![]() 1980 |
![]() 1983 |
[Le Pouvoir est maudit ! c’est pour cela que je suis anarchiste]
[Le Pouvoir est maudit ! c’est pour cela que je suis anarchiste] / André Néraudan. — Paris : FA__ [2] (Fédération anarchiste : 1953-....) : FA__. Union régionale du Centre, . — 1 affiche (impr. photoméc.) : n. et b. ; 70 × 56 cm.