Michel, Louise (1830-1905)

 

https://fr.wikipedia.org/wiki/Louise_Michel
https://maitron.fr/spip.php?article24872

Au moins 19 ouvrages recensés dans le Catalogue général des éditions et collections anarchistes francophones.
Au moins 73 revues francophones parues sous ce nom (voir sur le site Bianco).
Au moins 121 cartes postales anarchistes parues avec ce nom. Voir sur Cartoliste.
Almeno 1 periodico in lingua francese italana su questo nome (vedere sul sito Bettini).
Au moins 1 périodique espagnol publié avec ce nom entre 1869 et 1939 (vedere sul sito Madrid-Santos).
Au moins 54 objets recensés dans Ephemera.
chansons / poesies (Voir : site Canto).

 

Affichage par année

52 affiches :

 

    [Appel suprême aux électeurs de Paris : plus de scrutin d’arrondissement ni de scrutin de liste, rien que le scrutin par rues]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Appel suprême aux électeurs de Paris : plus de scrutin d’arrondissement ni de scrutin de liste, rien que le scrutin par rues]. — Paris : [s.n.], [ ?]. — 1 affiche (impr. photoméc.) : n. et b. ; x × y cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  :
    • Liste des thèmes  : délégation de pouvoir (élections)  ; littérature : satires
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  : Hugo, Victor (1802-1885)  ; Michel, Louise (1830-1905)  ; Naquet, Alfred (1834-1916)
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  :
    notes :
    descriptif :


    [ texte ]

    texte :

    Appel suprême aux électeurs de Paris

    Plus de scrutin d’arrondissement ni de scrutin de liste, rien que le scrutin par rues

    Considérant que le scrutin d’arrondissement est une erreur et le scrutin de liste un rêve ;

    Nous, simple citoyen de la Ville de Paris et membre du comité de dégustation de la maison Richer, Lesage et Cie, proposons aux masses populaires le mode de Scrutin par Rues.

    Chaque rue pourra être représentée par plusieurs députés, et plusieurs députés pourront représenter une seule rue.

    Les femmes sont éligibles. En conséquence, la liste suivante a été dressée, et chaque électeur est prié de s’en inspirer avant le vote du 21 Août.

    Candidats du scrutin par rues.

    Ville de Paris.
    1e PARTIE.
    Rue de la Beauté … … Louise Michel.
    Rue des Bassins … Gavardie.
    Avenue de la Mothe Piqué … Mme de Kaula.
    Esplanade des Invalides … Général de Cissey.
    Rue des Martyrs … … Colonel Yung.

    2e PARTIE.
    Passage des Deux-Sœurs … Capitaine Voyer.
    Rue Taitbout … Thérésa.
    Rue de la Pompe … … Thérésa.
    Passage des Filles-Dieux … Le Dr. Charles Albert.
    Chemin des Vaches … … Suzanne Lagier.
    Rue des Déchargeurs … Francisque Sarcey, Berthelier, Baron, Dupuis, Burani, Mettra.

    3e PARTIE.
    Rue Vide-Gousset … Pion-Pion.
    Rue de l’Arbre-Sec … Sarah-Bernhardt.
    Passage du Grand-Cerf et rue des Cornes … … Mac-Mahon.
    Rue des Petites-Écuries … Bapaume, Archimède, Duffieux.
    Rue Alphonse … … Humbert.

    4° PARTIE.
    Rue de l’Ancienne-Comédie … Andrieux
    Rue du Centre … … … la Schneider.
    Carrières d’Amérique … Philippart, David, Adrien de la Valette.
    Rue Taillepain … Darblay.
    Rue de l’Abbaye … … Mgr Freppel.

    5e PARTIE.
    Rue Fessard … … Germiny.
    Rue de la Lune … … Chouard.
    Chemin de la Grotte … … Théo.
    Rue aux Ours … … Bidel.
    Rue du Chaudron … … Buffet.

    6° PARTIE.
    Rue de Charenton … Albert Millaud, Auguste Vitu, Adrien Marx, Périvier.
    Rue de Mademoiselle … Albert Wolff.
    Passage du Désir … Albert Wolff.
    Rue du Faucon… Albert Wolff.
    Rue Chauchat … Judic.
    Impasse Chevalier … … Coquelin ainé.
    Passage Chausson … Mlle Angèle.

    7° PARTIE.
    Rue du Midi … … Armand Sylvestre, Dumont, Richeffin, Don Pedro Garcias, Emile Blain.
    Rue de la Lancette … … Ricors.
    Rue du Cygne … … La Comtesse d’Ange.
    Rue Lantier … … Duplessis.
    Rue de la Gaieté… … Camescasse.

    8e PARTIE.
    Impasse de la Folie … … Félix Piat
    Rue des Chiens-Hargneux … … Rochefort.
    Rue Ste.-Anne … … Hubertine Auclerc.
    Rue de la Banque … … Magnier, Gaston Vassy, Mayer
    Rue du Puits-qui-Parle… … Tony-Révillon.

    9e PARTIE.
    Rue Jean-sans-Peur … … Vacquerie.
    Impasse de la Bonne-Graine… Clémenceau.
    Rue du Dragon … … Mme Olympe Audouard.
    Rue des Quatre Vents… … Victor Hugo.
    Rue du Génie… … Victor Hugo.
    Rue au Lard … … Gambetta.

    10e PARTIE.
    Rue de l’Épée-de-Bois … … Innocenti.
    Rue de la Goutte … … Général Faidherbe.
    Rue de la Victoire … … Ducrot.
    Rue de la Félicité … … Jeanne Granier.
    Rue de Sédan … … Colonel Wimffhen.

    11e PARTIE.
    Rue Basse … … De Broglie.
    Rue Plate … … De Broglie.
    Rue des Catacombes … … Rouher.
    Avenue des Soupirs … … Ex-Impératrice Eugénie.
    Rue des Solitaires … … Jolibois, Robert Mitchel, duc de Padoue, Laroche-Joubert.
    Rue de la Pirouette … … Jules Simon

    12e PARTIE.
    Jardins des Plantes … … Baragnon, de Mun, La Rochefoucauld.
    Rue de l’Abreuvoir … … Cunéo d’Ornano.
    Avenue de Plaisance … … Céline Montalan,
    Rue du Vieux-Chemin … … Maréchal Canrobert.
    Rue des Fourneaux … … Duc Descazes, de Fourtou, Caillaux, Magne.

    13e PARTIE.
    Rue Richer … … Constant.
    Rue du Roule … … Jules Ferry.
    Rue de l’Oursine … … Angèle Moreau.
    Rue des Singes … … Eugène Gainé, Simon Max, Heymann.
    Rue de la Grêle … … Louis Veuillot.

    14e PARTIE.
    Rue du Ruisseau … … Émile Zola.
    Rue de l’Égoût… … Émile Zola.
    Rue des Jeûneurs … … Michelon, de Lizaranzu, Bresson, Leseurre.
    Rue de la Tour… … Élise Faure.
    Rue des Ternes… … Achille Secondigné, Olivier Pain, Casimir Bouy, Arbouin, Anezo.
    Route de Versailles … … Maxime-du-Camp.

    15e PARTIE.
    Rue de Poissy… … Millaud (du Petit-Journal).
    Rue Gaillon … … Millaud (du Petit-Journal).
    Rue Bergère … … … Sarry.
    Rue des Cascades … … Céline Chaumont.
    Rue Chabanner… … Duhamel.
    Rue du Petit-Carreau… … Aurélien Scholl.

    16e PARTIE.
    Rue Bel-Homme … … Perrin.
    Rue du Battoir … … … Hyacinthe.
    Place Beauveau … … Mlle Tassyli.
    Rue de la Chandelle … … Ducastel.
    Rue des Deux-Ermites … … Erkmann-Chatrian.

    17e PARTIE.
    Bould. du Combat … … Lhullier.
    Rue de la Chopinette… … Le Guillois.
    Rue Gracieuse… … … Mlle Gérard
    Chemin du Cimetière… … Henri V.
    Marché aux Chevaux… … Comte de Lagrange

    18e PARTIE
    Rue du Croissant … … Journauld (député).
    Rue de Paris…. … … Charles Laurent.
    Rue de la Femme-sans-Tête … Ma Belle-mère.
    Rue de Lyon … … Barodet.
    Rue du Dauphin … … Alfred Naquet.

    19e PARTIE.
    Rue de la Monnaie … … Rothschild.
    Rue de la Limace … … Mlle Abadie.
    Rue du Juge-sévère … … Cartier.
    Rue de l’Église … … Henri des Houx
    Rue de la République … … Louis Blanc.

    20° PARTIE ;
    Rue Fouarre … … … Paul de Cassagnac.
    Rue de la Faisanderie… … Tous les vieux Sénateurs.
    Rue de l’Empereur … … Mlle Bélanger.
    Avenue de la Grande-Armée… Général Farr.
    Rue de la Paix… … … Grévy.

    Dernière heure :
    Mme Louise Michel nous écrit qu’elle se retire de la lutte en faveur de M. Albert Wolff. Nous sommes désormais assurés que ce dernier n’a plus à craindre le ballotage.

    Signé : JEAN MANGE-TOUT, Citoyen Français, Vidangeur.


    sources :

    Affiche satirique, parodique.



    [La candidature de Louise Michel]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    La candidature de Louise Michel]. — Paris : [s.n.], . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (une  : papier de couleur ) ; 62 × 43 cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  : IISG (Amsterdam)
    • Liste des thèmes  : critique de l’anarchisme  ; délégation de pouvoir (élections)  ; féminisme  ; littérature : satires
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  : Michel, Louise (1830-1905)
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  :
    notes :
    descriptif :


    [ texte ]

    texte :

    Prix 10 centimes — Prix 10 centimes

    La candidature de Louise Michel

    Programme

    Citoyens et citoyennes,

    Voici venir les élections.

    J’aime à supposer que cette fois les électeurs en ont assez et qu’ils ne vont pas se faire rouler suivant la déplorable habitude contractée par eux depuis que le suffrage universel fait semblant d’exister.

    Je dis : « Fait semblant d’exister » et je maintiens ce mot, car en réalité, le suffrage universel n’existe pas.

    Est-il logique, en effet, que dans notre pays la partie mâle de la population ait seule le droit de voter, tandis que la partie féminine doit se contenter de raccommoder les chaussettes de ses conjoints et les fonds de culottes de ses moutards ?…

    Est-il juste que des avortons sans finesse, sans cœur au ventre et sans aucune des connaissances sérieuses du cœur humain que nous possédons à un si haut degré, nous autres femmes, aient seuls le droit de confectionner des lois ineptes ou infâmes dont le plus souvent notre sexe enchanteur est la première victime.

    Non, mille fois non… cela n’est pas logique !…

    Re-non, re-mille fois re-non, cela n’est pas juste !!…

    Et le moment est venu où tout cela doit changer.

    C’est pourquoi, citoyens et citoyennes, militaires et bonnes d’enfants, je me suis décidée à poser ma candidature à la députation… et mon poing sur la figure au premier qui me blaguera.

    Bavarde comme le premier avocat venu ;

    Tapant du poing sur la tribune comme n’importe quel Gambetta ;

    Ni plus ni moins maboule qu’un Gavarnie ou qu’un Lorgeril ;

    J’ai toutes les qualités requises pour remplacer à moi toute seule au moins 340 des fameux 363 qui ont fait si peu de besogne en sept ans de temps.

    De plus, habituée que j’ai été à Nouméa à ne boire que de l’eau pas sucrée, mes électeurs pourront être assurés que je ne négligerai pas mon mandat législatif pour aller licher des verres de Néré à la buvette de l’Assemblée pendant qu’on discutera une loi sur le divorce ou l’abolition du concordat…

    Électeurs !

    Je vous parlais tout à l’heure de ce gros repu qu’on appelle Gambetta.

    Eh bien, nommez-moi à sa place, et je ne vous dis que ça.

    Je ne m’engraisserai pas comme il l’a fait, à seule fin de pouvoir cacher entièrement mon « programme de Belleville » en m’asseyant dessus plus tard.

    D’abord des programmes, il n’en faut plus ; ça sent la comédie ; et puis nous savons tous ce qu’en vaut l’aune. Ce que je réclamerai même tout d’abord, c’est le rétablissement du mandat impératif, grâce auquel les électeurs ont au moins le moyen de casser aux gages ceux de leurs employés — car les députés sont les employés du peuple, ne l’oublions pas, — qui voteraient la suppression des urinoirs publics alors qu’on les aurait élus pour réclamer la création supplémentaire de latrines pour dames.

    Pour en revenir à Gambetta, à cet homme qui prenait tant de ventre pendant que moi, je perdais ma gorge de jeune fille, je crois que le moment est opportun de le reléguer à jamais dans le magasin des accessoires avec tous les opportunistes ses amis, et de remplacer tout ce monde-là par des socialistes neufs et garantis bon teint… pendant au moins quatre ans.

    Et surtout, puisque les hommes ont montré leur impuissance absolue, de nommer des femmes à leur place, beaucoup de femmes, rien que des femmes !…

    Les femmes, il n’y a que ça !…

    Nous seules, citoyens pouvons faire votre bonheur.

    Nous seules sommes assez fortes pour vous octroyer toutes les libertés qu’il vous plaira.

    Ainsi, tenez, moi qui vous parle, une fois élue, voici les différents projets de lois que je sortirai de mon sac à ouvrage et que je ficherai sur la tribune de l’Assemblée au moyen de fortes épingles.

    1° Suppression du sénat, composé d’un tas de vieux ramollis incapables de rien créer et bons tout à plus à baver sur leurs pupitres pour y faire pousser des champignons ;
    2° Suppression de la Présidence de la République, et le Président remplacé par un timbre à signature de trois francs soixante quinze centimes une fois payé ;
    3° Abolition des armées permanentes, et les soldats employés à la culture des pommes de terre ou à pomper l’eau des rivières pour le cas où,comme cette année, la sécheresse deviendrait inquiétante pour les populations ; — comme conséquence, suppression des ministres de la guerre et de la marine.
    4° Abolition du capital et obligation pour tous les hommes de travailler de douze à quarante ans d’une façon quelconque ; versement des salaires dans les caisses de l’État, qui serait tenu de nourrir, loger, habiller et fournir de l’argent de poche à tout homme ou femme ayant atteint l’âge de la retraite ;
    5° Plus de patrons ni d’employés, rien que des égaux devant la loi, et même derrière ou à côté ;
    6° Suppression de la Magistrature et du Clergé, composés d’un tas de blagueurs qui passent leur temps à se f…icher de leurs concitoyens ;
    7° Le droit pour tout citoyen d’entrer gratuitement dans les tramways et dans les établissements tarifés à quinze centimes jusqu’à ce jour ;
    8° Suppression du Mariage et l’union libre reconnue comme seule légale. Conséquence : suppression des belles-mères ;
    9° Le droit pour tout le monde de sortir en caleçon de bain pendant les grandes chaleurs, l’obligation de se vêtir poussant à la dépense le pauvre prolétaire ; d’ailleurs, au moyen de ce système, les mœurs ne pourraient que s’améliorer, et l’on ne verrait plus des crevés idiots et pornographes suivre pendant trois heures une femme qui montre la moitié d’un mollet, ou une autre dont le costume recherché n’a d’autre but que d’exciter les passants à désirer la voir avec ledit costume… déposé sur une chaise, à côté ;
    10° La permission pour tout le monde d’écrire indifféremment « arico » ou « haricaud », sans s’exposer à se faire moquer de soi par ceux qui écrivent « haricot » sans trop savoir pourquoi ;
    11° Le meurtre d’un roi, d’un prince du sang ou d’un prince héritier quelconque considéré comme un droit sacré et comme un acte de justice ;
    12° Les députés payés à raison de douze sous l’heure de travail tout comme le premier galochier venu ; de cette façon, nos représentants feraient peut-être plus d’ouvrage et gagneraient au moins leur salaire ;
    13° Les Œuvres d’Émile Zola répandues dans les écoles en remplacement des œuvres classiques devenues par trop rococo ;
    14° Enfin, le droit pour la femme de porter la culotte et aussi celui de la poser quand le besoin s’en ferait sentir, droit dont, héla ! elle n’est que trop privée bien souvent.

    Voilà, mes chers concitoyens, mes principales réformes économiques et les différentes questions sociales que je me réserve de résoudre dès le lendemain du jour où vous m’aurez donné vos suffrages.

    Car vous me les donnerez. Vous le devez :

    D’abord par patriotisme ;

    Ensuite parce que je suis femme et qu’avec les dames, il faut toujours être garant ;

    Enfin, parce que, je le répète, moi seule ai assez d’énergie pour mener à bien toutes ces choses.

    Un dernier mot, et j’ai fini.

    Vous le savez, je suis demoiselle encore, je ne suis pas jolie, jolie, mais j’ai du nerf, et pour une femme, le nerf, c’est tout.

    Eh bien, de même que les vierges mystiques ne veulent d’autres époux que le Christ, je m’engage à devenir l’épouse de l’arrondissement qui me donnera le plus de voix !!!!

    Qu’on se le dise !!…

    Et maintenant,

    Électeurs, aux urnes !!!

    Et surtout pas d’abstentions, car il y va du bonheur de la France !

    Vive la sociale !!!…

    Voilà mon cri de ralliement.

    Signé : Louise Michel

    Pour copie qu’on forme : sa secrétaire particulière, Maltena Domigina

    Vente en gros : 5, rue du Croissant.

    Saint-Germain. — Imprimerie D. Hardin. — Ne peut être affiché


    sources :

    Affiche parodique et écrite par un homme ?
















    [Grande réunion publique et contradictoire : le huis clos]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Grande réunion publique et contradictoire : le huis clos]. — Paris : Le Libertaire (1895-1939), . — 1 affiche (impr. photoméc.) : n. et b. ; [54 ?] × [40 ?] cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  :
    • Liste des thèmes  : justice
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  : Broussouloux, François Jean-Baptiste (1863-....)  ; Dhorr, Henri (1865-1914)  ; Faure, Sébastien (1858-1942)  ; Lafond, Claude  ; Michel, Louise (1830-1905)  ; Tortelier, Joseph (1854-1925)
    • Presse citée  : Libertaire (1895-1939), Le
    • Vie des mouvements  : affaires : Dreyfus  ; conférence, débat…  ; meetings et manifestations
    notes :
    descriptif :


    [ texte ]

    texte :

    Au Tivoli Waux-Hall

    12, rue de la Douane, 12

    Le samedi 15 janvier 1898, à 8 heures et demie du soir

    Grande réunion publique et contradictoire : le huis clos

    organisée par le journal Le Libertaire

    Ordre du jour

    Le huis clos

    Orateurs inscrits :

    Sébastien Faure — Louise Michel

    Henri Dhorr — Broussouloux — Tortelier

    Aux hommes libres !

    Ce n’est pas en raison des intérêts particuliers en jeu que l’ignoble comédie judiciaire du Cherche-Midi nous passionne.

    C’est à cause des questions d’ordre général qu’elle soulève.

    De Dreyfus ou d’Esterhazy, quel est le traitre ? — Nous l’ignorons.

    Hormis ceux qui sont résolus à ne rien dire, nul n’est en état d’apporter des preuves.

    Ce qui est certain, c’est que ces deux affaires restent enveloppées dans les ténèbres du Huis clos.

    Qu’il s’exerce contre nos amis ou nos ennemis, qu’il innocente ou frappe, qu’il soit complet ou partiel.

    Le huis clos est une infamie

    Car le huis clos, c’est la voix étouffée, c’est l’impossibilité pour celui qu’étreignent les griffes judiciaires de présenter librement sa défense ; c’est la lettre de cachet sournoisement rétablie, avec cette circonstance terriblement aggravante : la lettre de cachet avait un caractère nettement arbitraire, le huis clos se couvre des oripeaux de la légalité.

    La clameur anarchiste a toujours protesté contre ce mode de jugement ; aussi notre réprobation contre le huis clos, s’appliquât-il à un ennemi, à un officier, reste entière.

    Le huis clos, on s’en est servi, on s’en sert, on s’en servira pour condamner les anarchistes ; il a permis de flétrir, de déporter un juif ; demain, on peut le mettre à profit contre les socialistes, les radicaux, les pensées libres, les volontés hautaines, contre tout ce qui vibre, sait et veut.

    Ici, on invoquera la raison d’État ; là, les intérêts de la patrie ; ailleurs, la saine morale ; partout, la sécurité publique ou nationale. C’est ainsi que, demain, un gouvernement aux abois peut l’appeler à son aide contre tous ceux dont il voudra se débarrasser.

    Le huis clos, c’est en conséquence la prescription, la prison, la peine capitale suspendues sur tous.

    C’est abominable ! C’est révoltant !

    N’y aurait-il que cette circonstance en la question Dreyfus-Esterhazy qu’il faudrait s’y intéresser.

    Le Libertaire 

    Prix d’entrée : 50 centimes

    L’imprimeur-Gérant : Lafond, 55, rue d’Hauteville, Paris

    Ce placard ne peut être affiché


    sources :

    Parue au dos du Libertaire n° 113 (8-22 janvier 1898).







    [Le Père Peinard parait tous les dimanches]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Le Père Peinard parait tous les dimanches]. — Paris : le Père Peinard (1889-1900), . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (une  : noir , papier de couleur ) ; 60 × 42 cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  :
    • Liste des thèmes  : presse
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  : Michel, Louise (1830-1905)
    • Presse citée  : Père Peinard (1889-1902), le
    • Vie des mouvements  :
    notes :
    descriptif :


    [ texte sur papier de couleur ]

    texte :

    Voici qui est chouette !

    Le Père Peinard

    parait tous les dimanches à

    cinq centimes

    Il astique ferme le cuir des richards et des gouvernants et il est indispensable pour se décrasser les boyaux de la tête

    Outre une tapée de tartines galbeuses

    Le Père Peinard

    publie chaque semaine un dessin d’actualité et

    Conte de Noël

    un chic feuilleton par

    Louise Michel

    Bons bougres, demandez Le Père Peinard à tous les marchands de journaux et cramponnez ceux qui ne l’ont pas !

    Paris, impr. Grandidier, 15, rue Levieuville.

    [Ne peux être affiché à… sans un timbre à …]


    sources :

    Affiche annoncée dans Le Père Peinard, 2e série n° 115 (1er-8 janvier 1899) :
    « Le “Père Peinard” à Un rond. Ohé les bons bougres, c’est la semaine prochaine que le Père Peinard va être à un sou. […] Afin d’attirer l’attention du populo, une affiche annonçant la transformation du Père Peinard est en chantier ; elle va être prête ces jours-ci et dera expédiée illico. Les copains qui voudront payer les timbres de ces affiches (qui seront du format à 12 centimes) n’ont qu’à le faire savoir et on leur enverra le nombre des affiches qu’ils désireront, sans être timbrées. Autre chose : dans le prochain numéro, le Père Peinard commencera la publication d’un feuilleton rupinskoff et inédit de Louise Michel : Conte de Noël. […] ».
     »




    [Peuple de Paris ! Louise Michel est morte !]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Peuple de Paris ! Louise Michel est morte !]. — Paris : AIA_ (Association Internationale Antimilitariste : 1904-ca1909) = Internationale Anti-Militaristische Vereeniging (IAMV), . — 1 affiche (impr. photoméc.) : n. et b. ; x × y cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  :
    • Liste des thèmes  :
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  : Berenger, Henri  ; Bousquet, Amédée (1867-1925)  ; Cipriani, Amilcare (1843-1918)  ; Dejeante, Victor (1850-1927)  ; Faure, Sébastien (1858-1942)  ; Fribourg, Paul (1868-....)  ; Hugues, Clovis (1851-1907)  ; Latapie, Jean  ; Le Grandais, Anatole (1838-1906)  ; Michel, Louise (1830-1905)  ; Roussel, Nelly (1878-1922)  ; Tailhade, Laurent (1854-1919)  ; Tennevin, Alexandre (1848-1908)  ; Turot, Henri (1865-1920)  ; Yvetot, Georges (1868-1942)
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  : anniversaire, commémoration  ; meetings et manifestations
    notes :
    descriptif :


    texte

    texte :

    Peuple de Paris !

    Louise Michel est morte !

    Admirable d’abnégation et d’héroïsme, elle a été une des créatures exceptionnelles qui sont l’honneur de l’humanité.

    À cet époque de décomposition sociale, d’arrivisme effréné et de groid égoïsme — gangrénant même les jeunes ! — cette femme restait, à 70 ans, l’ardente apôtre de l’émancipation sociale.

    Louise Michel a incarné et sublimé tout le beau humain : générosité, bravoure, abnégation rehaussées par une simplicité exquise.

    Sous l’Empire elle est déjà, jeune fille, l’éducatrice dévouée des Enfants du Peuple et son grand cœur s’émeut aux souffrances des déshérités. L’institutrice comprend que les joies des riches sont tissées du malheur des pauvres : elle se mêle aux lutteurs qui veulent détruire le Césarisme pour faire éclore une société meilleure.

    Aux heures sombres de 1870-71, Louise Michel, ambulancière, va relever les blessés sous la mitraille ; puis, lorsque la réaction versaillaise s’efforce d’étrangler Paris, elle prend le fusil et combat au fort d’Issy, aux Moulineaux, sur les Barricades, pour le Droit Social et la Liberté.

    Alors que les fusilleurs victorieux ont fait de Paris un charnier, la vaillante femme peur s’échapper, mais sa mère est prise en otage… Louise Michel n’hésite pas : elle se constitue prisonnière ! Devant le conseil de guerre, elle soufflète ses bourreaux de son mépris et leur crie son dédain de la mort.

    Elle n’échappe au Poteau de Satory que pour être jetée à la Déportation Calédonienne. Là, pendant neuf ans, elle donne un exemple de constante abnégation, en même temps que de stoïque fierté devant les geôliers.

    Rentrée en France à l’amnistie, Louise Michel reprend aussitôt son poste de combat social. Et cette République Bourgeoise en laquelle les déshérités mettaient naïvement leurs espoirs, continue à n’avoir pour elle que rigueurs : après la Déportation, la Prison ! Après le Prison, l’Exil !…

    Il serait trop long de narrer la vie de l’infatigable propagandiste. Rappelons seulement quel sublime exemple de générosité donna un jour celle qui fut tant de fois couverte d’ignominies : grièvement blessée à coups de révolver par un malheureux alcoolique, stipendié des jésuites, elle protège son meurtrier contre l’indignation populaire et vient à la barre de la Cour d’Assises réclamer son acquittement.

    Inlassable à 70 ans, comme aux jours de sa jeunesse, relevant à peine de maladie, Louise Michel continue son œuvre de prosélytisme et succombe dans un dernier effort de propagande.

    Telle fut la femme qui vien de mourir !

    Peuple de Paris

    Alors que les partis politiques, en lutte pour la conquête du pouvoir, nous montrent chaque jour la ruée écœurante des convoitises et des appétits, Louise Michel, toute de cœur et de simplicité, t’a donné l’exemple d’un apostolat ininterrompu.

    Peuple ! Toi qu’elle aime toujours, — malgré tes défaillances, — toi, pour qui elle rêvait un avenir de Liberté, de Bien-Être et de Dignité, tu sauras reconnaître en elle une de tes meilleurs amies.

    Tu lui feras des obsèques dignes d’elle !… Digne de la grande cause qu’elle a incarnée !…

    Les Amis de Louise Michel

    Inutile de dire que Louise Michel est morte pauvre. Ses amis le sont également. Aussi pour faire face aux frais des obsèques, ceux-ci ont ouvert une souscription publique. En outre, ils organisent un

    Grand meeting public

    qui aura lieu le jeudi 19 janvier 1905
    au Palais du Travail, 13, rue de Belleville, à 8 heures 1/2 du soir

    Orateurs :
    Amilcare Cipriani - Sébastien Faure — Paul Fribourg — Laurent Tailhade — Jean Latapie — Dejeante — Henri Berenger — Georges Yvetot — Le Grandais — Nelly Roussel — H. Turot — Bousquet — Clovis Hugues — Tennevin

    Entrée : 0,50 cent. — Au service des obsèques de Louise Michel

    Les souscriptions sont reçues à l’Association Internationale Antimilitariste, 45, rue de Saintonge, et à la Bourse du Travail, bureau 4, 4e étage

    Imprimerie de l’AIA - 45, rue de Saintonge


    sources :

    Image tirée de l’Almanach illustrée de la révolution pour 1906



    [Le Libertaire lance un appel]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Le Libertaire lance un appel]. — Paris : FA__ [1] (Fédération anarchiste : 1945-1953) : Le Libertaire (1944-1956), (ICC (Imprimerie Centrale du Croissant)). — 1 affiche (impr. photoméc.) : n. et b. ; [53 ?] × [37 ?] cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  :
    • Liste des thèmes  : presse
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  : Faure, Sébastien (1858-1942)  ; Michel, Louise (1830-1905)
    • Presse citée  : Libertaire (1944-1956), le
    • Vie des mouvements  : benefiet - collecte de fonds
    notes :
    descriptif :


    [ texte ]

    texte :

    Le Libertaire

    organe de la Fédération anarchiste
    Cinquante-cinquième année. — N° 245 vendredi 1er décembre 1950
    Le numéro : 10 francs
    Fondé en 1895 car Louise MICHEL et Sébastien FAURE — « Internationale anarchiste »

    lance un appel

    Camarades, amis lecteurs,

    Il faut en sortir…

    Car le « Lib » c’est bien autre chose qu’un journal comme les autres et c’est bien autre chose que l’œuvre passagère des équipes de compagnons qui se relayent pour l’animer.
    Le « Lib », c’est depuis plus de cinquante ans la tribune permanente où retentit la parole anarchiste ; où sont dénoncées les iniquités d’une société agonisante rivée à ses égoïsmes et ses tueries, où sont démasqués les faux prophètes d’une nouvelle religion de servitude baptisée socialisme.
    Le « Lib », c’est le merveilleux flambeau où, depuis un demi-siècle, des générations de jeunes gens sont venus réchauffer leur cœur et allumer en eux de généreuses aspirations de justice et de liberté par quoi se distingue la grandeur morale de l’Anarchisme.
    Le « Lib », c’est, depuis ce jour de l’an 1895 où Sébast et Louise le créèrent, le lien fraternel qui unit les membres de la grande famille libertaire et le porte-parole d’un magnifique idéal en lequel des milliers de compagnons ont puisé leur raison de vivre, et parfois de mourir.
    Le « Lib » enfin, c’est l’œuvre collective que, depuis cinquante-cinq ans, des centaines de compagnons se sont acharnés à faire vivre contre vents et marées, y épuisant leur bourse et, souvent, leur santé. Mais aussi, à travers son demi-siècle, quels coups a-t-il reçu : poursuites, saisies, amendes, peines de prisons pour ses militants.
    N’empêche qu’il fut toujours en avant pour défendre toutes les libertés.
    Depuis cinq ans, le « Libertaire », à travers des difficultés qui auraient été pour tout autre journal insurmontables, a survécu. Sans argent, sans local, sans nombreux services appointés, uniquement forgé par les efforts des militants après leur labeur quotidien, il a rassemblé les énergies révolutionnaires, les volontés anarchistes et aujourd’hui, la Fédération Anarchiste et son organe comptent. Fin juin, notre trésorerie était en dette de huit cent mille francs. Que fallait-il faire ? Disparaître, rester les bras croisés, puis attendre des jours meilleurs.
    Non ! Cela aurait été indigne de son passé.
    Nous avons parlementé avec nos créanciers, nous engageant passé le cap des congés à rembourser et, momentanément, nous n’avons paru que toutes les quinzaines.
    Aujourd’hui, il faut prendre des décisions, équilibrer notre budget. Certes, celui-ci serait facile à régler, nous contentant de faire un tirage limité ne servant que nos abonnés ou nos lecteurs certains, faire un journal ne touchant que les initiés.
    Or, c’est l’honneur de la FA, de ses militants, de vouloir que le « Libertaire » soit répandu partout dans la France entière et crie à tous ce qu’est l’Anarchisme.
    Mais cela coûte cher, extrêmement cher. Actuellement les hausses constantes du papier, de l’imprimerie, des envois, des frais généraux, portent la dépense pour un numéro à deux cent mille francs, dix millions par an !
    Et nos lecteurs, nos amis comprendront que, pour assurer sa vie matérielle, nous sommes dans l’obligation de porter le prix du numéro à quinze francs, l’abonnement de cinquante-deux numéros à sept [?] francs, celui de vingt-six numéros à trois cent soixante.
    Et pourtant, ce prix ne compense qu’une partie de nos dépenses, car nous ne récupérons après un long délai que la moitié de sa vente.

    LE “LIBERTAIRE” DOIT VIVRE

    Si le « Lib » disparaissait, une grande espérance s’éteindrait dans le cœur de nombreux compagnons. Et, dans ce monde où les raisons d’espérer ne sont pas si nombreuses, la disparition du « Lib » créerait un vide que nul autre organe ne pourrait combler.
    Tu le sais, toi, compagnon de l’Anarchie, et toi, lecteur sympathisant, vous tous qui, chaque semaine, attendez votre journal, ce journal modeste parmi les géants de la presse, mais dont le souffle révolutionnaire dissipe un peu ce brouillard fétide fait de mensonges et de relents de corruption, au sein duquel achève de se décomposer le régime capitaliste.
    Oui, vous le savez, vous tous, lecteurs fidèles à qui, chaque semaine le « Lib » vient redonner le courage de lutter « quand même », ce courage qui, parfois, et même chez les meilleurs, « [flanche ?] » au contact des quotidiennes et décevantes réalités.
    Vous le savez, vous aussi, compagnons de la lutte anarchiste qui, parfois, emportés par l’impétuosité de votre caractère, sortez du « Lib » en claquant la porte, avec des mots définitifs — ou presque.
    Si le « Lib » disparaissait, toute cette œuvre, somme de peines et de dévouements sans nombre, s’écroulerait. Et pour combien de temps ? Plus rien ne se dresserait face aux monstrueux totalitarismes, aux forces de mensonge et de corruption.
    Il faut avancer ! Il faut que la Fédération Anarchiste, par la voie du « Lib », fasse entendre une voix puissante, assez forte pour briser la conspiration du silence, pour réveiller l’enthousiasme et les énergies populaires. Les circonstances l’exigent et, d’ailleurs, elles sont plus propices qu’elles ne l’ont été depuis longtemps.
    Dans les milieux intellectuels, l’anarchie provoque un renouveau d’intérêt. Les moins aveugles commencent à réaliser l’énorme duperie du mirage bolchevik et, tournant le dos au socialisme autoritaire, ils ne peuvent que redécouvrir le socialisme libertaire.
    D’autre part, la position nette, exempte de toute équivoque de la Fédération Anarchiste sur le problème de la guerre, son refus de pactiser avec aucun des deux blocs en présence, sa résolution, maintes fois affirmée, de ne pas s’incliner devant les « fatalités historiques », commence de porter ses fruits et, peu à peu, de cristalliser autour de la formule du Troisième Front les premiers noyaux d’une Résistance des Hommes Libres, à la guerre et à la servitude.

    DEUX VOIES S’OFFRENT A NOUS :

    VÉGÉTER
    Une feuille qui maintient son existence, mais dont la parution rate incertaine, irrégulière, est incapable d’élargir son audience et détendre son combat.
    Un brûlot qui combat pour l’honneur perd, forcément, pied à pied le terrain conquis. Un journal dont le déficit s’accroît de mois en mois est voué à la disparition, malgré les appels fréquents et lassants.

    S’AFFIRMER
    Un organe, à la mesure des possibilités qui s’offrent, doit être, pour pénétrer la grande masse, un journal attrayant, combatif et solide.
    Attrayant et combatif, faisant appel à toute la collaboration possible.
    Solide, pour cela nous faisons appel à vous, amis lecteurs.

    Il faut sortir de la gêne et de la médiocrité une fois pour toutes !

    Et bien, la Fédération Anarchiste a choisi : dès maintenant, Le Libertaire redevient hebdomadaire !
    Mais si cette décision a été prise, c’est que nous avons compté sur vous pour un effort important, mais définitif, c’est que nous savons que vous répondrez à cet ultime appel.

    Et pour cela, à ceux qui nous comprennent, à nos amis, aux groupes, de verser régulièrement un minimum de cent francs sur lequel nous pourrions compter pendant un certain temps. Cinq cents versements nous assureraient la certitude de sa parution et nous demandons à tous de faire cet effort.
    Cinq cents camarades s’engageant à souscrire un versement régulier de cent francs par semaine et, non seulement la vie du journal est assurée, mais dans un an, « Le Libertaire » aura cent mille lecteurs. Certes, nous connaissons les difficultés de la vie. Nous savons que tous ne pourraient assurer un tel effort. Et c’est pourquoi nous ne faisons appel qu’à cinq cents camarades.
    Il est impossible que nous ne les trouvions pas. Il est impossible que cinq cents militants ou sympathisants ne consentent pas chaque semaine de se priver d’une séance de cinéma, de deux rétifs ou d’un paquet de tabac pour que vive et se développe leur journal.
    Non ! Le journal de Sébastien Faure et de Louise Michel, de Pierre Martin et de Louis Lecoin, ce journal où écrivirent Kropotkine, Reclus, Malatesta, Makhno, Voline et tant d’autres de nos penseurs et de nos martyrs, ne doit pas disparaître. Compagnons ou sympathisants, vous ne permettrez pas que se taise cette grande vont libertaire.
    Et, après avoir apporté votre souscription, tu descendras, toi, compagnon, dans la rue pour y clamer les syllabes familières et toi, sympathisant, tu feras connaître à un ami qui l’ignore score, un journal dont le format modeste donne asile à une grande espérance de justice et de liberté.

    Ainsi, tous ensemble, unis dans un effort commun, nous surmonterons toutes les difficultés !
    Pour que se perpétue le cri de nos frères espagnols tombant en 36 : « Viva la anarquia ! »

    LE “LIBERTAIRE” VIVRA !

    Attention ! ! ! Le lib. reparaît hebdomadaire, chaque vendredi, au prix de 15 francs le numéro.
    Le Comité National de 1a Fédération Anarchiste.

    Prix de l’abonnement inchangé, jusqu’au 15 janvier 1951. Hâtez-vous !
    Avis aux groupes : Cette page peut être affichée surchargée d’un trait de couleur (crayon rouge ou bleu). Pour la vente à la criée, la page 4 de ce numéro a été aménagée spécialement


    sources :

    Affiche parue en Une : Le Libertaire n° 245 (1er décembre 1950, 55e année).




    [FAI ; non votare, ma autogoverno]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    FAI ; non votare, ma autogoverno]. — Carrara Carrare  ; Pisa Pise : FAI_ (Federazione anarchica italiana), (Tipolitografica, stampa la Coop (Carrara)). — 1 affiche (impr. photoméc.) : n. et b. ; 50 × 35 cm.

    • Affiches par pays  : Italie
    • Lieux d’archivages  :
    • Liste des thèmes  : autogestion  ; délégation de pouvoir (élections)  ; étudiants (et luttes étudiantes)
    • Géographie, géopolitique et Histoire  : Italie : histoire : 1968
    • Noms cités (± liste positive)  : Failla, Alfonso (1906-1986)  ; Malatesta, Errico (1853-1932)  ; Mazzucchelli, Ugo  ; Michel, Louise (1830-1905)
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  : journal mural
    notes :
    descriptif :


    [ texte (journal mural) ]

    texte :

    FAI

    Non votare ma autogoverno

    Cittadini

    Ancora una volta i partiti chiedono voti in nome della sovranità popolare. Gli anarchici a più riprese affermato la loro posizione astensionista : ancora una volta non voteranno.

    I candidati alla promissa legislatura non sono nè migliori nè peggiori dei loro predecessori. Non si tratta, quindi, degli uomini, ma delle istuzioni che non sono valide, del sistema che è marcio, dello Stato che divora le coscienze e vegeta in atti che si ispirano all’esperienza fascista, alle leggi del regime non defunto, malgrado il fallimento, per volontà di popolo, dei tentati colpi di Stato Tambroni e SIFAR, preparati sotto l’ampio mantello delle irresponsabilità parlamentari.

    Cittadini, lavoratori

    Lo Stato ci spoglia dei nostri averi e non dà conto del contributo che noi gli versamio : ci spoglia della sovranità popolare restringendola a potere direzionale di pochi, della libertà, soffocando le iniziative spontanee dell’individuo ed annullando la personalità umana nelle sue più genuine espressioni.

    Il voto non porta rimedio ai nostri mali. Il sistema rappresentativo, compresso nel frantoio dello Stato, si trasforma in strumento di potere.

    Cittadini

    Le avanguardie giovanili hanno compresso che una esigenza libertaria pervade il mondo contemporaneo, dall’occidente all’oriente, e non perdonano le acquiescenze al potere costituito, le concessioni al sistema autoritario, i paternalismi che intendono deviare dalla strada intrapresa. Esse respingono un gerarchismo anacronistico, schemi, leggi e ordinamenti di un mondo ormai superato ; esse danno un senso libertario a metodi di autogoverno, antiautoritari, con cui costruire, su proposte e progetti deddati da indirizzi costanti di libertà, di autodeterminazione, di sviluppo sociale, una prassi nuova, che conferisca alle assemblee compiti ieri riservati al corpo scelto direzionale, in funzione di autonomia e di contropotere. Gli universitari hanno ottenuto molto di più col metodo dell’azione diretta di quanto potranno attenere dalla consultazione elettorale.

    Col non votare e operando l’avvio ad una rivoluzione liberatrice, gli anarchici vogliono anticipare i fattori di progresso che essa contiene, rivendicare la libertà come mezzo e come fine, lottare contro privilegi e monopoli, assicurare l’emancipazione dei lavoratori ad opera dei lavoratori stessi.

    La Federazione Anarchica Italiana

    A cura dei gruppi anarchici riuniti di Carrara, aderenti alla FAI. Piazza Matteoti, 31 - Tel. 70317, Carrara

    Perché gli anarchici non votano ?

    La dittatura esprimono il […] FAI Gruppi anarchici riuniti di Massa e Carrara

    Viva la lotta rivoluzionaria studentesca !

    […]

    Lavoratori, è ora di svegliarsi !

    […] Alfonso Failla

    Democrazia apparente fascismo operante

    […] Ugo Mazzucchelli

    L’Anarchia è une società basata sul libero accordo delle libere volontà dei singoli. Errico Malatesta

    Il potere è maledetto perciò io sono anarchica. Luisa Michel

    estratto da « Il Carrarese » del 15-5-68 — Giardini - Pisa


    sources :
     

    1968
    Affiche liée



    [Louise Michel ou les œillets rouges, création mondiale]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Louise Michel ou les œillets rouges, création mondiale] / Jean-Jack Martin ; André Néraudan. — Paris : [s.n.], [ ?]. — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (une  : noir , papier rouge ) ; 77 × 32 cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  : CIRA (Lausanne)
    • Liste des thèmes  : art : théâtre
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  : Houdart, Dominique  ; Michel, Louise (1830-1905)
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  :
    notes :
    descriptif :


    [ texte (annonce d’un spectacle) ; portrait (Louise Michel) d’après André Néraudan ]

    texte :

    Compagnie Dominique Houdart en coproduction avec le centre d’animation culturelle d’Orléans et du Loiret

    Louise Michel ou les Œillets rouges

    création mondiale

    Texte, mises en scène Dominique Houdart

    formes animées, dispositif scénique Marcel Violette

    musique de Michel Frantz

    interprété par Marie-France Delmas avec Jeanne Heuclin, Christian Betermin, Marie-Paul Jourdan, Hishem Rostom, Jean Bisilliat-Gardet, Baptiste Chapelot

    théâtre du Manitout

    phone 325.60.13 — 17, rue Campagne-Première 75014 Paris

    Tous les soirs à 20 h 15 — relâche dimanche et lundi

    prix des palce 25 F — groupes, étudiants, collectivités, cartes vermeil 18 F

    réservation par téléphone de 14 h à 20 h

    Imp. EV Tours r.c. 75 8 35 / Jean-Jack Martin


    sources :

    Ce portrait de Louise Michel (photo d’André Néraudan) a, un temps, été utilisé sans le titre du Monde libertaire.


    [ 1978 & ante]

    1980

    [ca  1987]

    1980
    Affiches liées



    [The Paris Commune… the defence of Louise Michel]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    The Paris Commune… the defence of Louise Michel]. — [S.l.] : [s.n.], [ & ante]. — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (une  : noir , papier jaune ) ; 44 × 62 cm.

    • Affiches par pays  : Grande-Bretagne / Royaume-Uni
    • Lieux d’archivages  : IISG (Amsterdam)
    • Liste des thèmes  :
    • Géographie, géopolitique et Histoire  : France : histoire : 1871 (La Commune)
    • Noms cités (± liste positive)  : Michel, Louise (1830-1905)
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  : anniversaire, commémoration
    notes :
    descriptif :


    [ texte ; photo (portrait de Louise Michel) ]

    texte :

    The Paris Commune… the defence of Louise Michel

    I do not wish to defend myself, I do not wish to he defended. I belong completely to the social revolution, and I declare that I accept complete responsibility t.r all my actions. I accept it completely and without reservations.

    You accuse me of having taken part in the ’corder of the generals ? To that I would reply Yes, if I had been in Montmartre when they wished to have the people fired on. I would not have hesitated to fire myself on those who gave such orders. But I do not understand why they were shot when they were prisoners. and I look on this action as arrant cowardice.

    As for the burning of Paris, yes, I took part in it. I wished to oppose the invader from Versailles with a barrier of flames. I had no accomplices in this action. I acted on my own initiative.

    I am told that I am an accomplice of the Commune. Certainly, yes, since the Commune wanted more than anything else the social revolution, and since the social revolution is the dearest of my desires. More than that, I have the honour of being one of the instigators of the Commune, which by the way had nothing—nothing, as is well known—to do with murders and arson.

    I who was present at all the sittings at the Town Hall, I declare that there was never any question of murder or arson. Do you want to know who are really guilty ? It is the politicians. And perhaps later light will be brought on to all these events wich today it is found quite natural to blame on all partisans of the social revolution. . . .

    But why should I defend myself ? I have already declared that I refuse to do so. ’ton are men who are going to judge me. You sit before me unmasked. You are men and I am only a woman, and yet I look you in the eye. I know quite well that everything I could say will not make the least difference to your sentence. So a single last word before I sit down. We never wanted anything but the triumph of the great principles of the revolution. I swear it my our martyrs who fell at Satory, by our martyrs whom I acclaim loudly, and who will one day have their revenge.

    Once more I belong to you. Do with me what you please. Take my life if you wish. I am not the woman to argue with you for a moment. . . .

    What I claim from you, you who call yourselves a Council of War, who sit as my judges. who do not disguise yourselves as a Commission of Pardons, you who are military men and deliver your judgement in the sight of all, is Satory where our brothers have already fallen.

    I must be cut off from society. You have been told to do so. Well, the Commissioner of the Republic is right. Since it seems that any heart which beats for freedom has the right only to a lump of lead. I too claim my share. If you let me live, I shall never stop crying for revenge, and I shall avenge ms brother, by denouncing the murderers in the Commission for Pardons. . . .

    I have finished. If you are not cowards, kill me !


    sources :

    Publié entre 1970 et 1978.

    Deux formats : 44 × 62 cm et 30 × 46 cm.


    [ 1977 ?]

    [ca  1987]

    1980

    1980

    1983
    Affiches liées









    [Le Monde libertaire hebdo]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Le Monde libertaire hebdo] / André Néraudan. — Paris : FA__ [2] (Fédération anarchiste : 1953-....), [ca ]. — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (une  : noir , texte en défonce ) ; x × y cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  : CDA (FA, Paris)
    • Liste des thèmes  :
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  : Michel, Louise (1830-1905)
    • Presse citée  : Monde libertaire (1954-…), le
    • Vie des mouvements  :
    notes :
    descriptif :


    [ texte (typo dactylographiée) ; image (photo [André Néraudan] basculée de Louise Michel) ]

    texte :

    Le Monde libertaire hebdo

    Chaque jeudi, dans les kiosques et dans les gares, le point de vue des anarchistes sur l’actualité hebdomadaire.

    Le Monde libertaire, hebdo de la Fédération anarchiste.

    145, rue Amelot - 75011 paris


    sources :

    Vers 1987 d’après Le Lien : bulletin intérieur, n° 245 (sept.-nov. 1987).

    Affiche déclinée est autocollant en 1988 (10 × 15 cm)) : d’après Zvonimir Nivak (La Lutte des signes : 40 ans d’autocollants politiques, Éditions libertaires, 2009).


    [ 1977 ?]

    1980

    [ 1978 & ante]

    1980

    1983
    Affiches liées





    [Louise Michel, le vierge rouge]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Louise Michel, le vierge rouge] / Ernest Pignon-Ernest. — Paris : [s.n.], . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (deux  : rouge , noir , papier blanc ) ; 72 × 33 cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  : FACL (Fonds d’archives communistes libertaires)
    • Liste des thèmes  : art : théâtre
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  : Humbert, Pierre  ; Michel, Louise (1830-1905)
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  :
    notes :
    descriptif :


    texte (souvent manuscrit)

    dessin (portrait de Louise Michel) signé Ernest Pignon-Ernest (2001)

    texte :

    Louise Michel, le vierge rouge

    Compagnie Humbert en coproduction avec la compagnie Mise en Acte

    Adaptation et mise en scène Pierre Humbert

    avec Claudine Baschet, Danièle Israël, Maud Narboni

    dessins Pignon-Ernest

    Avec le soutien du ministère de la Culture/DRAC Champagne Ardenne, de la région Champagne Ardenne/ARCCO, du conseil général de la Haute-Marne, de la ville de Langres, de la Maison du Boulanger/Centre culturel de la ville de Troyes, n° de licence : 5541 - Imp. Eurographic 01 49 68 31 00

    Du 18 au 29 septembre 2001 - 21 h (dauf dimanche)

    [logo] LMP Lavoir Moderne Parisien
    Direction : Hervé Breuil ; 35, rue Léon ; 75018 Paris ; Métro Château-Rouge

    Réservations : 01 42 52 09 14
    Plein tarif 90 F • Tarif réduit 60 F • Abonnés 50 F

    11 représentations exceptionnelles


    sources :
     



    [Café libertaire, rroms, gitans, manouches en danger]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Café libertaire, rroms, gitans, manouches en danger]. — Périgueux : Collectif libertaire Marius Jacob (Dordogne), (ipns). — 1 affiche (photocop. ), coul. (quadri ) ; 42 × 30 cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  :
    • Liste des thèmes  : émigration et immigration
    • Géographie, géopolitique et Histoire  : Rroms, gitans, tziganes…
    • Noms cités (± liste positive)  : Michel, Louise (1830-1905)
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  :
    notes :
    descriptif :
    Symbole(s) utilisé(s) :

    [ texte ; photo : gitane (du paquet de cigarette) sur bouclier (CRS Mai 68) ]

    texte :

    Vendredi 15 octobre 2010

    Café libertaire, rroms, gitans, manouches en danger

    Film-débat, 20 h 30

    Tandis que se poursuivent les expulsions et déportations de Sans-Papiers, les RROMS de Roumanie et Bulgarie sont à leur tour déportés. La sinistre campagne entamée au cours de l’été par le gouvernement français, dans la logique du fascisme d’état, à l’encontre de ces citoyens européens nous rappelle, s’il en est besoin, que les gérants du système sont capables du pire, dès qu’il est question de conserver leur pouvoir dont Louise Michel disait qu’il est « maudit »...

    Au café associatif Les Thétards, 7 rue de la Bride à Périgueux — [logo] Café libertaire : débats - projections - discussions

    Collectif libertaire Marius Jacob,

    collectif.libertaire@no-log.org — http://collectif-libertaire.net

    Permanences premier et troisième mercredi du mois de 20 h à 22 h, au 7 rue de la Bride, Périgueux

    Imprimé par nos soins


    sources :
     

    1998

    [ca  2006]

    [ca  2006]

    1998

    1980

    1985

    [s.d.]
    Affiches liées





    [CIGAL 12-16 juin 2019, Rabastens]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    CIGAL 12-16 juin 2019, Rabastens]. — Rabastens : Réseau des géographes libertaires, . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (quadri ) ; 59 × 42 cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  : CIRA (Lausanne)
    • Liste des thèmes  : géographie et géopolitique
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  : Michel, Louise (1830-1905)
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  : colloque  ; conférence, débat…
    notes :
    descriptif :


    [ texte ; photo (Louise Michel, une double planisphère sur les yeux) ]

    texte :

    CIGAL

    12-16 juin 2019, Rabastens

    Conférence internationale des géographes anarchistes & libertaires #2

    Ateliers — Conférences — Cinés-débats — info-kiosque — Bouquinerie — Concerts

    “Se réapproprier le territoire. Lutter contre les dominations”

    Ouvert à tous — Entrée libre — icagg.org

    [logos :] Réseau des géographes libertaires — Ville de Rabastens — Cinéma La Halle — Le Banc Sonore café-resto-solidaire — radio Octopus — Le Pré vert, tiers-lieu Rabastens — Ateliers la Fourmilière lieu culturel — Karland [bières]


    sources :

    Cette affiche a été imprimée sous plusieurs formats (A2, A3, A4 et A5) et en carte postale (A6).



    [Vive la Commune ! : Louise Michel]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Vive la Commune ! : Louise Michel] / Joëlle Jolivet. — Paris : [s.n.], . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (quadri ) ; 124 × 84 cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  :
    • Liste des thèmes  :
    • Géographie, géopolitique et Histoire  : France : histoire : 1871 (La Commune)
    • Noms cités (± liste positive)  : Michel, Louise (1830-1905)
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  :
    notes :
    descriptif :


    [ dessin (Louise Michel brandissant un drapeau) par Joëlle Jolivet ]

    texte :

    Vive la Commune !

    Louise Michel

    Joëlle Jolivet
    Illustratrice
    Ses linogravures, familières des étals des librairies et de leur rayon jeunesse, ont fait le tour du monde. Diplômée des Arts appliqués et des Beaux-Arts de Paris, elle a illustré de nombreux livres, mais travaille aussi pour la presse et la publicité. Elle a notamment publié 365 Pingouins (avec Jean-Luc Fromental ; rééd. Hélium, 2017), la bande dessinée Freak Parade (scénario Fabrice Colin ; Denoël, 2020) et signe les images de plusieurs récits pour enfants de Luis Sepúlveda parus aux éditions Métailié, dont Histoire d’un escargot qui découvrit l’importance de la lenteur (2014), Histoire d’un chien mapuche (2016) et Histoire d’une baleine blanche (2019).

    L’affiche du 1


    sources :

    Affiche parue en page centrale de la revue Le Un (https://le1hebdo.fr/), hors-série XL « Louise Michel » (printemps 2021).
    https://boutique.le1hebdo.fr/common/product-article/447