Girault, Ernest (1871-1933)

 

in Dictionnaire des militants anarchistes : GIRAULT, Ernest, Louis, dit Émile, “ANGILLERAS” ou “ANGELLERAS”
Né le 15 juin 1871 (Paris, Xe) - mort le 15 ou le 16 décembre 1933 - Ouvrier typographe - AIA – CGT - Paris - Bezons (Val d’Oise)

C’est au moment de l’Affaire Dreyfus qu’Ernest Girault — dont le père, Alexandre Girault, fut militant blanquiste, —, fit ses premières armes et collabora à L’Aurore de Clemenceau. De 1895 à 1899, il écrivit dans Le Libertaire. Il y défendait alors une position hostile au mouvement syndical : “C’est la masse des sans-travail et des affamés qui doit servir de point de départ aux revendications anarchistes”, écrivait-il dans Le Libertaire des 3-9 juin 1897.
Le 11 mars 1897 il avait (...)

Au moins 21 ouvrages recensés dans le Catalogue général des éditions et collections anarchistes francophones.
Au moins 22 revues francophones parues sous ce nom (voir sur le site Bianco).

 

Affichage par année

11 affiches :

 

    [Grand meeting public sur l’Inquisition en Espagne, par Charles Malato et Sébastien Faure]

    notice :
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    Grand meeting public sur l’Inquisition en Espagne, par Charles Malato et Sébastien Faure]. — Paris : Le Libertaire (1895-1939), . — 1 affiche (impr. photoméc.) : n. et b. ; [54 ?] × [40 ?] cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  :
    • Liste des thèmes  : religion et spiritualité (en général)  ; répression  ; terrorisme  ; torture
    • Géographie, géopolitique et Histoire  : Espagne
    • Noms cités (± liste positive)  : Butaud, Georges (1868-1926)  ; Faure, Sébastien (1858-1942)  ; Girault, Ernest (1871-1933)  ; Malato, Charles (1857-1938)  ; Murmain, Élie (1862-1913)  ; Prost, Francis (1873-1948)  ; Tennevin, Alexandre (1848-1908)  ; Tortelier, Joseph (1854-1925)
    • Presse citée  : Libertaire (1895-1939), Le
    • Vie des mouvements  : conférence, débat…  ; soutien à militants
    notes :
    descriptif :


    [ texte ]

    texte :

    Au Tivoli-Waux-Hall, reu de la Douane, le mardi 5 janvier 1897, à 8 h 1/2 du soir

    Grand meeting public

    Organisé par la Libertaire

    sur l’Inquisition en Espagne

    Conférence

    par Charles Malato et Sébastien Faure

    Prendront également la parole :
    Buteaud, Girault, Murmain, Prost, Tennevin, Tortelier, etc., etc.

    Camarades !

    Il se passe en Espagne des choses épouvantables dont, à part l’Intransigeant, la presse quotidienne n’a presque pas parlé.

    Voici les faits :

    On n’a pas oublié qu’au cours d’une procession religieuse, à Barcelone, une bombe éclata. L’auteur de cet attentat restant inconnu, le Gouvernement Espagnol profita de la circonstance pour arrêter plusieurs centaines de personnes suspectes de tendances républicaines ou de convictions anarchistes.

    Incarcérés dans la forteresse de Montjuich, ces malheureux y subirent les horribles tortures en usage durant les siècles maudits de l’Inquisition : les prisonniers furent soumis au régime de la morue salée et privés de toute boisson ; on les força à marcher nuit et jour et, quand la fatigue les terrassait, c’est à l’aide des lanières déchirant la peau des suppliciés, des tisons rougis pénétrant dans leur chair, des ongles arrachés, des testicules comprimés et broyés, des lèvres tailladées, qu’on leur faisait rouvrir les yeux et reprendre leur marche. Bref, le récit plein d’horreur des raffinements barbares auxquels recoururent les tortionnaires dépasse l’imagination.

    Sans autres preuves que les vagues aveux et dénonciations arrachés aux patients entre deux cris de douleur ou deux râles d’agonie, une Cour Martiale vient de condamner huit accusés à la peine de mort, quarante à vingt ans de prison et vingt-sept à huit années de la même peine

    Camarades !

    C’est contre cet arrêt infâme et les procédés qui en ont été la préface que nous en appelons à vos sentiments de justice.

    Il ne s’agit pas seulement d’exprimer la pitié que nous ressentons pour les victimes et l’horreur que nous inspirent les bourreaux.

    Cette manifestation — qu’il faut imposante — doit surtout avoir pour objet : d’affirmer à la face des oppresseurs l’étroite union des foules opprimées ; d’affermir et de développer dans le peuple Espagnol ses sentiments de fierté, de révolte et de haine contre l’Espagne monarchique et catholique ; enfin de faire savoir à notre gouvernement de curés que, s’il était jamais tenté de raire revivre en France la tradition des Torquemadas que le clérical Canovas acclimate en Espagne, il trouverait devant lui debout et insurgé, le peuple des journées révolutionnaires.

    Si nous voulons, camarades, que notre clameur d’indignation soit entendue, il faut que des milliers de poitrines la profèrent.

    Soyez donc en foule au meeting public du mardi 5 Janvier.

    Les organisateurs

    Pour couvrir les frais, entrée : 50 centimes.— (Nota : les dames sont admises)

    Cette page ne peut être affichée que revêtue d’un timbre de 12 centimes.

    Paris. — Imprimerie spéciale du Libertaire, 58, rue Greneta.


    sources :

    Dernière page de : Le Libertaire n° 60 (31 décembre 1896-5 janvier 1897).










    [Le Crime]

    notice :
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    [
    Le Crime]. — Alger = الجزائر (Al-Jazā’ir) Alger : la Révolte (Alger), . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (une  : papier de couleur ) ; x × y cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  :
    • Liste des thèmes  : antimilitarisme  ; délégation de pouvoir (élections)
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  : Flammarion, Camille (1842-1925)  ; Gilles, Maurice (1883-....)  ; Girault, Ernest (1871-1933)
    • Presse citée  : Révolte, La (Alger, ca1906)
    • Vie des mouvements  :
    notes :
    descriptif :


    [ texte ]

    texte :

    Le Crime

    Au peuple !

    Celui qui commande de tuer mérite le premier la mort. — E. Girault.

    Tous les candidats des présentes élections, quels qu’ils soient : royalistes, républicains, socialistes, etc., vous diront — chacun sous une forme différente, peut-être — qu’ils sont patriotes et militaristes.

    Nous aurons, nous, l’audace et la franchise de vous dire qu’être pour la Patrie, pour l’Armée, pour la Guerre, c’est être pour le Crime.

    Pourquoi ? Parce que ceux qui invoquent la Patrie, sont :
    1° Les ignorants, qui ne veulent pas voir l’Humanité en marche avec sont progrès, sa science, ses moyens de communication, ses arts ;
    2° Les potentats, orgueilleux et insolents, qui jouissent de la crédulité des peuples ;
    3° Les riches qui possèdent champs, usines, forêts, mines, châteaux
    4° Les fous nationalistes, qui ne rêvent que coups et blessures pour les autres, et veulent surtout derrière une armée forte, ériger un gouvernement absolu.

    Parce que ceux qui prônent l’Armée et veulent la Guerre, sont :
    1° Les gouvernants, rêvant d’écraser la révolution qui gronde, dussent-ils faire appel aux baïonnettes étrangères ;
    2° Les financiers, dont l’avidité sans scrupules poursuit l’accaparement des richesses mondiales et l’exploitation de tous les peuples ;
    3° Les soudards, dont l’avantage est de faire durer à leur profit une « profession » dégradante et odieuse.

    Mais vous les malheureux, les sans-gîte, les esclaves de l’usine et du champ, dont le lot est de travailler sans répit, sans profit, sans espoir, sans loisir ;
    Où donc est-elle, votre Patrie ? Qu’avez vous à défendre ? N’est-ce pas vous que l’Armée tue en Paix comme en Guerre, après vous avoir appauvris ?
    Oui être pour l’idée de patrie qui fait s’entre-tuer des hommes n’ayant aucun motif de s’en vouloir, c’est être pour le Crime !
    Oui, être pour la Guerre. — la revanche ou la conquête — folie ou ambition sanguinaire, — c’est être pour le Crime ;
    Oui être pour l’armée, qui fusille les grévistes, c’est être pour le Crime. Oui être pour la caserne, qui avilit, dégrade et avarie, c’est âtre pour le Crime ?

    Camarades,

    Pour que vous méditiez notre déclaration, pour que notre franchise ne pique pas votre défiance et que nos attaques à des idées sacro–saintes ne jettent pas sans réflexion dans vos esprits, le doute que nous noyions des énergumènes, lisez, lisez, femmes, jeunes filles ; lisez, vieillards, jeunes hommes, lisez ce qu’a écrit un homme connu, estimé, un paisible savant :

    Vous tous, à qui la caserne prend une affection ; à qui la guerre enlève une existence ; à qui la patrie fait verser des larmes de sang, lisez :

    Voilà un petit globe qui tourbillonne dans le vide infini autour de ce globule végètent un milliard quatre cent cinquante millions d’êtres soi-disant raisonnables — mais plutôt raisonneurs ; — qui ne savent ni d’où ils viennent, ni où ils vont ; et cette pauvre humanité a résolu le problème, non de vivre heureuse dans la lumière de la nature, mais de souffrir constamment par le corps et par l’esprit. Elle ne sort pas de son ignorance native, ne s’élève pas aux jouissances intellectuelles de l’art et de la science et se tourmente perpétuellement d’ambitions chimériques.

    Étrange organisation sociale ! Cette race s’est partagée en troupeaux livrés à des chefs, et l’on voit de temps en temps ces troupeaux atteint d’une folie furieuse, se déchirer les uns les autres, obéir au signal d’une poignée de malfaiteurs sanguinaires qui vivent à leurs dépens et l’Hydre infâme de la guerre moissonner des victimes qui tombent comme des épis mûrs sur les campagnes ensanglantées. Quarante millions d’hommes sont égorgés régulièrement chaque siècle pour maintenir le partage microscopique du petit globule en plusieurs fourmilières !…

    Lorsque les hommes sauront ce que c’est que la terre et connaîtront la modeste situation de leur planète dans l’Infini : lorsqu’ils apprécieront mieux la grandeur et la beauté de la nature, ils ne seront plus aussi fous, aussi grossiers, d’une part, aussi crédules, d’autre part ; — mais ils vivront en paix, dans l’étude féconde du vrai, dans la contemplation du beau, dans la pratique du bien, dans le développement progressif de la raison, dans le noble exercice des ’acuités supérieures de l’intelligence !…
    Camille FLAMMARION.

    Eh bien, camarades, oui, nous tuerons la guerre et le militarisme ! Cela ne demandera qu’une pensée à chaque individu.
    Mais pour cela, il faut que vous soyez conscients ; que vous mettiez vos actes d’accord avec cette pensée et que vous ne participiez en rien à l’édification des lois.
    Ne votez plus : puisque voter, c’est faire la Loi, et la Loi, c’est l’État.
    L’État c’est la Force contre l’Individu, contre la Justice, contre la Liberté.
    L’État, c’est l’armée qui le défend, c’est le militarisme, c’est la caserne, c’est l’obéissance, c’est la soumission de tous les citoyens à une fiction, à une entité, à un dogme : la Patrie.

    Ne votez plus ! ne votez plus ! ne votez plus !
    À bas patries ! armées ! militarisme et politique !

    Vu : le Candidat. Maurice GILLES.

    Camarades, Lisez LA RÉVOLTE


    sources :

    Parue page 4 de La Révolte, n° 1 (1er mai 1906)
    http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k6264014m/f6.item

    Affichée en vis-à-vis de « Élections législatives de mai 1906 ».



    [Les bandits continuent !! Conférence publique et contradictoire]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Les bandits continuent !! Conférence publique et contradictoire]. — Paris : FCA_/FCAR (Fédération communiste anarchiste), (Imprimerie spéciale [Impr. spéc.]). — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (une  : papier de couleur ) ; x × y cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  :
    • Liste des thèmes  : antimilitarisme  ; répression
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  : Aubin, Émile "Marat" (1886-....)  ; Bonnot, Jules (1876-1912)  ; Delaisi, Francis (1873-1947)  ; Girault, Ernest (1871-1933)  ; Jacklon [jacques Long] (1890-1921 ?]  ; Jacquemin, Eugène (1876-1930)  ; Martin, Pierre (1856-1916)
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  : meetings et manifestations
    notes :
    descriptif :


    [ texte ]

    texte :

    Fédération communiste anarchiste — Groupe du XVe

    Les bandits continuent !!

    Pendant que la mère sur son lit de souffrance est aux prises avec les douleurs de l’enfantement, des bandits, qui n’ont pas l’excuse d’un Bonnot, travaillent à la perfection des engins de massacre.

    Le meurtre est à l’ordre du jour.

    Les dirigeants foulent aux pieds la fraternité et nous mettent des baïonnettes dans les mains pour que nous satisfaisions leurs bas instincts, en massacrant nos camarades grévistes on nos frères d’Outre-Rhin.

    pour mieux encrer en nous l’amour de la patrie derrière lequel ils abritent leurs meurtres infâmes, ils veulent réappliquer le service de trois ans.

    Voilà l’aboutissement de quarante ans de parlementarisme, de quarante ans de promesses.

    Le peuple en a assez d’être dupe, il n’acceptera pas ce retour au chauvinisme idiot.

    Ce que les bourgeois appellent patrie, c’est ce qu’ils possèdent ; leurs coffre-forts, leurs champs, leurs forêts, leurs habitations d’où ils expulsent les ouvriers quand ils sont dans la misère.

    Ce que les ouvriers appellent leur patrie, c’est aussi ce qu’ils possèdent et comme ils n’ont rien, ils n’ont donc pas de patrie.

    Ah ! Les prolétaires ont des enfants et ce sont ces enfants que les bourgeois veulent prendre pour défendre leurs biens ou a[… voler ?] celui des autres.

    Et bien que les dirigeants le sachent, les enfants du peuple ne marcheront pas, parce que les enfants du peuple ne sont pas des assassins.

    Tu viendras, camarade, le crier bien haut, avec nous, à la

    Conférence publique et contradictoire

    Le samedi 29 mars 1913, à 8 heures 30 du soir

    Maison des Syndiqués du XVe, rue Cambronne, 18

    sera traité

    les crimes de la patrie

    orateurs inscrits

    F. Delaisi — E. Girault — Pierre Martin — E. Aubin — Jacklon — Jacquemin

    Entrée : 1,25 pour les frais. Gratuite pour les femmes et les enfants

    [marque syndicale] Imprimerie spéciale pour affiches


    sources :

    Affiche éditée en 1913 après le verdict des assises dans l’affaire des « bandits tragiques » (ou « bande à Bonnot »), (source : tropjeunespourmourir.com. Source : Archives de la préfecture de police de Paris).



    [Jeunesse anarchiste]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Jeunesse anarchiste]. — Paris : Le Libertaire (1895-1939) : UA__ - UAC_ - UACR (Union anarchiste… [communiste] [révolutionnaire]), . — 1 affiche (impr. photoméc.) : n. et b. ; x × y cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  :
    • Liste des thèmes  : presse  ; propagande
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  : Briand, Aristide (1862-1932)  ; Domela Nieuwenhuis, Ferdinand (1846-1919)  ; Faure, Sébastien (1858-1942)  ; France, Anatole (1844-1924)  ; Girault, Ernest (1871-1933)  ; Morat, E. D. (1882-1946)  ; Tolstoï, Léon (1828-1910)
    • Presse citée  : Libertaire (1895-1939), Le
    • Vie des mouvements  :
    notes :
    descriptif :


    [ texte (10 citations de Clemenceau, Laforgue, Anatole France, E. Renan, A. Briand, Tolstoï, E-D Morat, Domela Nienwenhuis, Sébastien Faure, E. Girault) ]

    texte :

    jeunesse anarchiste
    Après tout, les anarchistes ont raison : les pauvres n’ont pas de patrie.
    G. Clemenceau.
    camarade, lis « Le Libertaire »


    jeunesse anarchiste
    Les armées modernes, quand elles ne sont pas employées au brigandages coloniaux, ne servent qu’à protéger la propriété capitaliste.
    Laforgue.
    camarade, lis « Le Libertaire »


    jeunesse anarchiste
    L’armée c’est l’école du crime
    Anatole France.
    camarade, lis « Le Libertaire »


    jeunesse anarchiste
    Je n’aurais pu être soldat, j’aurais déserté ou je me serais suicidé.
    E. Renan.
    camarade, lis « Le Libertaire »


    jeunesse anarchiste
    Et alors, si l’ordre de tirer persistait, si l’officier tenace voulait quand même contraindre la volonté du soldat, ah ! sans doute les fusils pourraient partir, mais ce ne serait pas, peut-être, dans la direction indiquée.
    Aristide Briand.
    camarade, lis « Le Libertaire »


    jeunesse anarchiste
    Ressaisissez-vous, mes frères ! N’écoutez pas les scélérats qui vous contaminent dès votre enfance de l’esprit diabolique du patriotisme.
    Tolstoi.
    camarade, lis « Le Libertaire »


    jeunesse anarchiste
    Qu’est-ce que le soldat ?
    C’est l’être qui, croyant ou ne croyant pas en dieu croit en la patrie ; c’est l’être corrompu et asservi, la brute, c’est l’assassin professionnel, le fratricide.
    E.-D. Morat
    camarade, lis « Le Libertaire »


    jeunesse anarchiste
    Soldats, vous êtes les sentinelles devant les coffres-fort de la bourgeoisie.
    L’armée défend les richesses des banquiers.
    Domela Nienwenhuis.
    camarade, lis « Le Libertaire »


    jeunesse anarchiste
    Combattez la guerre, femme à qui elle enlève .les compagnons que vous aimez ! Mères, combattez la guerre qui assassine vos enfants.
    Sébastien Faure.
    camarade, lis « Le Libertaire »


    jeunesse anarchiste
    La guerre ne profite qu’aux gouvernants, aux capitalistes et aux prêtres ; c’est la ruine pour les paysans et les ouvriers ; ceux-ci ne doivent donc jamais y participer.
    E. Girault.
    camarade, lis « Le Libertaire »


    sources :

    Archives nationales F/7/13174, dossier n° 62 :
    https://www.siv.archives-nationales.culture.gouv.fr/siv/media/FRAN_IR_050130/c-22tl67joa--xv7uxwck1lis/FRAN_0020_01886_L

    Planche de « papillons » de juin 1925.