Espagne
187 affiches :
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[ texte ; vignette (allégorie « Vive la Commune ») ]
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The Commonweal
A revolutionary journal of
Anarchist Communism.
One penny weeklyAmerica and Spain
Ravachol : his autobiography
We are all socialists now
by P. Kropotkine.
Morality and wealth getting.
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Bibliothèque sociologique des travailleurs communistes libertaires du XIIe arrondissement
Lundi 16 mars 1896, à 8 heures 1/2 très-précises
Salle Genti, 16, rue des Colonnes-du-Trône (place de la Nation)
Grand meeting public d’indignation
contre l’expulsion de Pierre Kropotkine
avec le concours assuré de
Sébastien Faure, Fortuné He[nr]y, Tortelier, etc.
Ordre du j[ou]r :
1.L’expulsion du compagnon Pierre Kropotkine ; les gouvernements républicains [devant ?] les valets du Czar russe.
2. Les évènements d’Italie et d’Espagne ; la guerre sociale à Cuba.
3. le 18 mars 1871 et la décadence de la bourgeoisie française en 1896.Prix d’entrée : 50 centimes au profit du journal Les Temps nouveaux
Lire : Les Temps nouveaux, 140, rue Mouffetard — La Sociale, 15, rue Lavieuville. — Le Libertaire, 5, rue Eugène-Sue
Paris. — Imp. Vert aîné, rue François-Miron, 8
Trouvé sur Gallica (affiche http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/btv1b9017848b.r= ?).
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Au Tivoli-Waux-Hall, reu de la Douane, le mardi 5 janvier 1897, à 8 h 1/2 du soir
Grand meeting public
Organisé par la Libertaire
sur l’Inquisition en Espagne
Conférence
par Charles Malato et Sébastien Faure
Prendront également la parole :
Buteaud, Girault, Murmain, Prost, Tennevin, Tortelier, etc., etc.Camarades !
Il se passe en Espagne des choses épouvantables dont, à part l’Intransigeant, la presse quotidienne n’a presque pas parlé.
Voici les faits :
On n’a pas oublié qu’au cours d’une procession religieuse, à Barcelone, une bombe éclata. L’auteur de cet attentat restant inconnu, le Gouvernement Espagnol profita de la circonstance pour arrêter plusieurs centaines de personnes suspectes de tendances républicaines ou de convictions anarchistes.
Incarcérés dans la forteresse de Montjuich, ces malheureux y subirent les horribles tortures en usage durant les siècles maudits de l’Inquisition : les prisonniers furent soumis au régime de la morue salée et privés de toute boisson ; on les força à marcher nuit et jour et, quand la fatigue les terrassait, c’est à l’aide des lanières déchirant la peau des suppliciés, des tisons rougis pénétrant dans leur chair, des ongles arrachés, des testicules comprimés et broyés, des lèvres tailladées, qu’on leur faisait rouvrir les yeux et reprendre leur marche. Bref, le récit plein d’horreur des raffinements barbares auxquels recoururent les tortionnaires dépasse l’imagination.
Sans autres preuves que les vagues aveux et dénonciations arrachés aux patients entre deux cris de douleur ou deux râles d’agonie, une Cour Martiale vient de condamner huit accusés à la peine de mort, quarante à vingt ans de prison et vingt-sept à huit années de la même peine
Camarades !
C’est contre cet arrêt infâme et les procédés qui en ont été la préface que nous en appelons à vos sentiments de justice.
Il ne s’agit pas seulement d’exprimer la pitié que nous ressentons pour les victimes et l’horreur que nous inspirent les bourreaux.
Cette manifestation — qu’il faut imposante — doit surtout avoir pour objet : d’affirmer à la face des oppresseurs l’étroite union des foules opprimées ; d’affermir et de développer dans le peuple Espagnol ses sentiments de fierté, de révolte et de haine contre l’Espagne monarchique et catholique ; enfin de faire savoir à notre gouvernement de curés que, s’il était jamais tenté de raire revivre en France la tradition des Torquemadas que le clérical Canovas acclimate en Espagne, il trouverait devant lui debout et insurgé, le peuple des journées révolutionnaires.
Si nous voulons, camarades, que notre clameur d’indignation soit entendue, il faut que des milliers de poitrines la profèrent.
Soyez donc en foule au meeting public du mardi 5 Janvier.
Les organisateurs
Pour couvrir les frais, entrée : 50 centimes.— (Nota : les dames sont admises)
Cette page ne peut être affichée que revêtue d’un timbre de 12 centimes.
Paris. — Imprimerie spéciale du Libertaire, 58, rue Greneta.
Dernière page de : Le Libertaire n° 60 (31 décembre 1896-5 janvier 1897).
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Germinal
Germinal
Dans le champ noir des affamés,Comme une plaie héréditaire,Les grains que vous avez semés,O Bourgeois ! vont sortir de terre.La haine, cette fleur du mal,Germe vivace en nos entrailles.Il en jaillira ce qu’il pourra.Hardi les gars !C’est GerminalQui fera pousser les semailles !Tout ce qui vient des malheureux,Leur amour même, vous tourmente ;Le coït de ces ventres creuxVous écœure et vous épouvante.Que chaque accouplement brutalFasse un soldat pour nos batailles.Plus il en naîtra, mieux ça vaudra.Hardi les gars !C’est GerminalQui fera pousser les semailles !Quand les pauvresses réprouvés,Martyrs en butte à la détresse,Se seront enfin soulevés, Réclamant leur part de richesse ;Au tronc du vieux monde inégalOn fera de larges entraillesIl en jaillira ce qu’il pourra.Hardi les gars !C’est GerminalQui fera pousser les semailles !Les forgerons et les mineurs,Va-nu-pieds sortant de leurs bouges,Seront de rudes moissonneursLorsque viendront les moissons rouges.Guerre aux repus du Capital !Il faut égaliser les tailles ;Il en coulera ce qu’il pourra.Hardi les gars !C’est GerminalQui fera pousser les semailles !Quand les meurt de faim rassemblésSe dresseront pour la Révolte,Serrés, nombreux comme les blés,Les fusils feront la récolte.Pour changer l’ordre SocialIl faut de vastes funérailles.Plus on en tuera, mieux ça vaudra.Hardi les gars !C’est GerminalQui fera pousser les semailles ![gravure portrait :] Michel Angiolillo
Ils ont été bien interdits ceux à qui Angiolillo, sur le point de payer de sa vie l’acte de justice accompli sur la personne du monstre Canovas, demanda la permission de prononcer un mot, un seul.
Et leur stupéfaction s’est accrue, quand, d’une voix vibrante, forte, claironnant, le supplicié proféra ;
« Germinal ! »
Ce mot, les bourreaux ne l’ont point compris. Ils ne le pouvaient comprendre. Mais ce n’est pas pour eux qu’Angiolillo poussa son cri suprême, c’est pour tous ceux qui, disséminés à travers la planète, ont voué à notre Société de sang et de boue une haine inextinguible.
Le condamné savait que, passant au-dessus des murs de la prison, franchissant la haie barbare des policiers et des soldats, son Germinal irait, solennel et formidable, frapper l’oreille des hommes de pensée haute et de conviction ardente qui composent la génération nouvelle, présageant magnifiquement les révoltes implacables.
Il savait que ce Germinal les anarchistes le répéteraient, l’expliqueraient, le commenteraient, appelant les foules à recueillir tout ce qui s’en dégage de colère et d’espérance.
Germinal ! cela voulait dire : « Débarrassez-vous de ma personne. Je vous défie de supprimer l’idée que j’affirme avant de disparaître. Assassinez-moi, vous êtes les plus torts. Elle, vous ne la tuerez jamais !
« Germinal ! Le grain monte. Dans le champ des intelligences, le sol crève sous l’effort irrésistible de la semence en fermentation. Les terres se couvrent d’épis. Ils sont durs, lourds, superbes.
« Germinal ! C’est le renouveau perpétuel. C’est la vie sortant de la mort. C’est l’éternel et ininterrompu pêle-mêle des naissances et des disparitions ! C’est la transformation fatale et séculaire ! C’est l’imprimable enchaînement des assauts et des résistances. C’est l’enfantement confus, mystérieux, mais irréfragable des effets et des causes !
« Germinal ! C’est le printemps sans commencement et sans fin : c’est la Nature en constante élaboration ; c’est l’univers en travail depuis les hivers les plus inconnus jusques aux demain les plus insoupçonnés.
« Germinal ! C’est l’histoire s’écrivant sous la dictée des événements que nulle force humaine ne saurait enchaîner, que nulle puissance n’est de taille a dominer !
« Germinal ! C’est, au travers des larmes amères, la douceur des sourires ; c’est, au sein des ténèbres qui enveloppent l’humanité ignorante, la lueur qui perce l’obscurité et oriente les foules vers les horizons de clarté. C’est, malgré le cliquetis des armes, le grondement des canons, le crépitement de la mitraille et les vociférations des soldats, c’est le calme bienfaisant des apaisements définitifs et des réconciliations sans retour.
« Germinal ! Les cerveaux vont être conquis ; les cœurs sont sur le point d’être gagnés ; les volontés s’arment de résolution ; les bras s’apprêtent. Dans les palais des tyrans, dans les temples des imposteurs, dans les demeures des riches, dans les tribunaux, les prisons, les casernes, les couvents, partout où se concerte et s’accomplit le crime, partout où gémissent les tourmentés, d’un bout de la terre à l’autre, s’annonce la prochaine tourmente, pleine de terreurs pour les uns, emplie d’espoirs pour les autres !
« Germinal ! Ils sont venus les temps — ah ! pourquoi ont-ils tant tardé ? — des responsabilités et des représailles ! Les temps où les écrasés et les vaincus demanderont des comptes aux triomphateurs et aux bourreaux ! les temps où les esclaves se rueront sur les maîtres ! les temps des haines vengeresses et des exécutions salvatrices !
Germinal ! Germinal !! Germinal !!!
Telle est la signification de ce seul mot Germinal sur ces lèvres qui allaient pour toujours devenir muettes.
Germinal ! C’est le nunc dimittis de cette bouche qui, avant d’être glacée par la mort, évoque si puissamment la vie universelle, annonce le crépuscule d un passé de misère, d’horreur et de violence et l’aurore d’un présent de douceur, de beauté et d’abondance.
Germinal ! Ce sera le cri de ralliement pour la levée de boucliers des exploités contre les exploiteurs, des opprimés contre les tyrans, des maigres contre les gras, des déshérités contre les privilégiés !
Ce sera la diane des grands jours de bataille ! C’est bref, c’est farouche, c’est entraînant !
Germinal ! Germinal !! Germinal !!!
Le Libertaire.
Ce placard ne peut être affiché que revêtu d’un timbre de 12 centimes.
Imp. Léon Barrier, 120, rue Lafayette, Paris
Dernière page de : Le Libertaire n° 95 (du 5 au 12 septembre 1897).
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Au profit des martyrisés de Montjuich
et de leurs famillesThéâtre de la République
rue de MalteLe dimanche 8 août 1897, à 2 h. très-précises de l’après-midi
Matinée-spectacle
Organisée par le journal Le Libertaire
Avec le concours de L’Intransigeant, de La Lanterne, de La Justice, des Temps nouveaux, du Père Peinard, de La Revue blanche, du TrimardAllocutions
F. Tarrida Del Marmol, au nom des Martyrisés de Montjuich — Aristide Briand, au nom de La Lanterne — Marcel Sembat, au nom de La Petite République — Charles Malato, au nom de L’IntransigeantAuditions
de mesdames Duparc, de Parisiana-Consert ; Kamouna, des Quat’-z’Arts ; Louise France ; Bob Walter, des Concerts de Paris ; Jeanne Descrains, professeur de diction
de messieurs Marcel Legay, chansonnier ; Yon Lug, chansonnier ; Charles Lesbros, du Théâtre de Monte-Carlo ; Xavier Privas, chansonnier ; Paul Paillette, poète-philosophe ; F. Dufor, dans ses créations ; P. Laforest, de la Porte Saint-Martin ; Georges Tiercy, chansonnier ; Frédy, de Parisiana-Concert ; Buffalo, chanteur populaire
Les Bohémiens de MontmartreLe programme détaillé illustré par A. Willette sera vendu dans la salle au profit des Martyrisés de Monjuich et de leurs familles
Prix des places :
Avant-scène de rez-de-chaussée et de balcon : 3 fr. la place — Avant-scène de 1re galerie, loges de balcon, fauteuils d’orchestre et de balcon de face : 2 fr. — Fauteuils de balcon de côté et fauteuils de foyer : 1 fr. — Les autres places : 50 centimes
Le Bureau de Location est ouvert au Théâtre tous les jours, de 2 à 5 h.En raison du but que nous proposons et de la nécessité absolue où nous sommes de recueillir le plus d’argent possible pour les espagnols bannis, aucune place de faveur ne sera donnée pour la matinée du 8 août.
À tous
La forteresse de Montjuich s’est ouverte devant le peloton d’exécution, puis de nouveau pour les départs au bagne, enfin sur la route de l’exil !
Après les victimes dont le sang rougit l’aube du 4 mai, après l’enchainement définitif des forçats, après le renvoi des acquittés comme innocents, brisés et mutilés par un an d’épuvantables tortures, on aurait pu croire le monstre satisfait.
Non pas ! Son appétit de souffrances est insatiable et les malheureux, qua les bourreaux ou la chiourme épargnent, sont condamnés à la plus désespérante des libertés.
Ceux d’entre eux d’abord qui ne peuvent trouver, chez leurs parents et leurs amis, des ressources suffisantes pour le paiement de leurs frais d’exil, sont gardés dans l’effroyable prison toute pleine encore de cris d’agonies et de sanglots douloureux.
Ils sont encore cent-vingt neuf malheureux attendant qu’un effort de splidarité leur ouvre des cachots où ils sont détenus acquittés ! attendant qu’une main humaine les arrache des griffes monstrueuses d’une justice (!) qui dut les reconnaitre innocents !
Quant à ceux qui, plus favorisés par leurs ressources personnelles, ont pu tenter leur délivrance en exil, leurs yeux ont du chercher quel pays voisin voudrait bien les accueillir. C’est à qui, des Maîtres de peuples civilisés, affirmerait haut et vite sa volonté formelle de leur refuser tout abri.
Un État ou le mot de liberté est écrit sur tous les murs, un autre État où cette liberté, sans être écrite est accordée parfois, protestèrent contre l’invasion de ces douleurs, et dénoncèrent à leurs polices l’arrivée’ des martyrs.
Et les membres encore endoloris, les plaies à peine refermées, le corps labouré de meurtrissures cuisantes, affaibli par d’horribles mutilations, secoués d’accès de fièvre, les plus heureux (!) de ces acquittés sont parvenus tant bien que mal à quitter leur pays.
Tous naturellement sans travail, la plupart à peine vêtus et ne parlant aucune langue étrangère, arrivent ici ou là, dans l’impossibilité même de conter leur infortune et de solliciter un outil ou un refuge.
Presque tous appartiennent aux familles les plus pauvres de Barcelone. Quand la justice a besoin de victimes, razzia ou rafles sont toujours faites aux quartiers de misère.
Aussi quand des groupes se formèrent pour venir en aide à ces abandonnés et ces traqués, les premiers efforts furent-ils bien insuffisants pour tant à panser, tant à soulager, tant à nourrir, tant à loger !
À Paris, des fonds recueillis pour les exilés qui arrivaient et pour ceux qui restent à délivrer de Montjuich, la plus large part fut promptement dépensée.
En faisant appel dimmanche prochain, d’une part au concours des paroles les plus indépendantes, d’autre part aux talents les plus généreux, en faveur de cette œuvre de solidarité humaine, nous faisons aussi, nous faisons surtout appel au concours de tous. Au concours non pas seulement de nos camarades et des amis de notre cause qui n’est point seule en jeu, mais de tous les hommes sans exception, quel que soit leur pays, la place qu’ils peuvent y occuper et dont le cœur n’est pas fermé à tout sentiment de pitié, d’indépendance et de dignité.
Nous faisons appel à tous pour un double concours.
La présence à cette manifestation sera la plus éloquente façon de protester contre une des plus sauvages atteintes de l’Autorité, et qu’on ne s’y trompe pas aussi, une de ses plus cyniques menaces ! Les sommes versées à cette réunion pour chaque entrée, permettront de faire faxe aux nécessités les plus immédiates, intéressant l’existence des bannis et la libération (!) du plus grand nombre possible de ceux que Montjuich retient encore.
Nous convions donc, au nom de l’humanité, tous ceux qui ne connurent pas, grâce au silence généreusement payé de certaine Presse, l’affreux et trop indéniable réveil de l’Inquisition espagnole, à s’informer des témoignages que nous en avons fournis et que nous pouvons en fournir.
Ceux qui connurent le drame de Barcelone, nous les convions, à plus juste titre encore, à répandre autour d’eux l’horreur et l’indignation que soulèvent de tels crimes !
Et les uns et les autres, et tous, au nom de l’Humanité, nous les convions par leur présence au théâtre de la République, le dimanche 8 août, par leur participation payante, à protester contre l’infamie de l’inquisiteur Canovas et de la sanguinaire Christine, en même temps qu’ils assureront notre œuvre de libération et de véritable fraternité.
Le peuple d’Espagne, qui pourra comme nous au jour de son émancipation, arracher de son histoire tant de pages souillées et sanglantes, n’apprendra pas sans émotion ni joie que les fiers amants et les courageux lutteurs de la Pensée arrachés à ses rangs, ont trouve chez les autres peuples l’accueil hospitalier, gage de solidarité dans la haine de leurs maîtres et dans la marche à la conquête des libertés !
Les organisateurs
lm. Léon Barrier, 120, rue Lafayette, Paris.
(Cette feuille ne peut être affichée que revêtue d’un timbre de 12 centimes).
Dernière page de : Le Libertaire n° 91 (du 7 au 14 août 1897).
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Famine… et arrestation de mille républicains, socialistes et anarchistes en Italie. — Le peuple espagnol trompé, enrégimenté et poussé à une guerre nationale par les dirigeants. — De Montjuich à Cuba — Duperie du suffrage universel — Le pain cher.
Meeting public
Salle de l’harmonie, 94, rue d’Angoulême
Samedi 11 juin, à 8 h 1/2 du soir
avec le concours de
Louise Michel
Laurent Tailhade, Charles Malato
Les accapareurs de blé, financiers, valets des despotes,ajoutent la famine à la guerre. Les révoltes des prolétaires italiens et espagnols,qui veulent vivre sont noyés dans le sang. La réaction internationale affame et saigne séparément les peuples. Le tour de la France est arrivé. Les gens de l’ordre moral et clérical se démasquent à la Chambre et dans le pays.
Le suffrage universel est une duperie atroce. — Ne comptons que sur nous-mêmes, ne nous laissons pas surprendre.
Les organisateurs
Entrée : 0 fr. 50 centimes
Paris — Imprimerie [… ?] Marchal, [96 ?], rue d’H[… ?]
http://www.iisg.nl/collections/louisemichel/inventory59fr.php
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[ texte ]
- texte :
Salle Rubens, rue des Brigittines
Mardi 22 décembre, à 8 heures du soir
Meeting de protestation
Ordre du jour :
Atrocités commises contre les socialistes libertaires ;
Affaires de BarceloneDes orateurs de diverses écoles socialistes y prendront la parole
L’élite du prolétariat est outrageusement traquée ! Le gant sera relevé.
Tous au meeting
Les citoyens Vandervelde et Lorand et M. l’abbé Daens sont invités. par lettre recommandées, à prendre la parole au Meeting.
La jeunesse libertaire
Bruxelles. - Impr. Vve Brismée, rue de la Prévôté, 7.
dates : 1903 ou 1896 ou 1891 ?
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[ texte ]
- texte :
[marque syndicale] Confédération générale du travail [marque syndicale]
Union des syndicats de la Seine
Aux travailleurs !
Le 12 mars dernier avaient lieu, non seulement en Espagne, mais en Suisse, en Belgique, en Autriche et dans les principales villes de France, des meetings de protestation contre les atrocités dont furent victimes les travailleurs agricole d’Alcalá del Valle et contre les condamnations prononcées contre eux par le Conseil de guerre.
L’Union des Syndicats, fidèle à sa ligne de conduite ne manqua pas de joindre sa protestation à toutes celles du monde du travail organisé, par le Meeting qu’elle organisa à cette date où elle clama son indignation contre les monstruosités dont se rendirent coupables les inquisiteurs et tortionnaires militaires espagnols contre les travailleurs.
L’anniversaire du célèbre procès de la Mano Negra, de même que les faits révoltants l’humanité qui se sont passés en Italie contre les Travailleurs, les fusillades dans les rues, les mots prononcés par les belles dames de Milan à la troupe : « Tuez bien et visez juste », sont encore présents à toutes les mémoires.
C’est afin que les Travailleurs Parisiens connaissent ce que fut ce fameux procès de la Mano Negra que l’Union des Syndicats de la Seine, profitant de cet anniversaire organise un
Grand meeting
Qui aura lieu le mercredi 12 octobre, à 8 h. 1/2 du soir
Grande salle de la Bourse du Travail
3, rue du Château-d’eau, 3Ordre du jour :
Le procès de la Mano Negra. — Les faits passés in Italie.Le comité général
La Cootypographie (Soc. ouv. d’imp. Ouv. synd.), 100, rue de la République, Puteaux 8837. — Téléphone 105
https://militants-anarchistes.info/IMG/jpg/affiche_cgt_mano_negra_1904.jpg
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[ texte ]
- texte :
Contre les bourreaux de la liberté
Nous avons tous admiré le beau geste par lequel les ouvriers d’Espagne se sont révoltés.
Qui donc pourrait blâmer, des pères de famille qui s’insurgèrent plutôt que de courir aux abattoirs du Maroc pour le profit des capitalistes internationaux ?
Ce fut un spectacle réconfortant que cette grève générale spontanée qui fit trembler tous les profiteurs de la monarchie cléricale et inquisitoriale.
Mais cette grève, trop localisée, malgré les actes héroïques de nos courageux camarades, fut vaincue.
C’est la Réaction sauvage, féroce, impitoyable qui sévit maintenant.
Tous les braves qui luttèrent, tous ceux qui ne sont pas morts en combattant expient leur acte sublime dans les cachots, dans les tortures, en attendant leur jugement, leur condamnation et leur exécution.
Les galonnés espagnols, vaincus sur tous les champs de bataille, prend bravement leur revanche sur les sièges des conseils de guerre.
Ils condamnent à mort tout ce que l’Espagne compte encore de noble, de généreux dans sa population.
Les hommes de progrès, les hommes de pensée libre sont voués au garrot ou au peloton d’exécution.
Laisserons-nous assassiner nos frères d’Espagne sans protester, sans crier notre admiration aux victimes, notre haine aux bourreaux…
Non !
Il faut qu’on nous entende !
Il faut que les tortureurs frémissent devant nos vibrantes protestations.
Toute l’Europe ouvrière proteste avec nous. Il faut que nos camarades en danger de mort reprennent espoir. Faisons tout pour les arracher aux cruelles et lâches vengeances des moines et des officiers
Travailleurs
Joignez-vous aux protestataires. Si vous êtes des hommes conscients, venez tous à la manifestation organisée par la CGT.
Le Comité confédéral
Appel d’octobre 1909, « affiché partout par les soins des Bourses du travail » (d’après Rapports des comités & des commissions pour l’exercice 1908-1910, présentés au XVIIe congrès corporatif, XIe de la CGT, tenu à Toulouse, du 3 au 10 octobre 1910, p. 13-15).
Il fait suite à un manifeste du Comité confédéral (en affiche ou non ?) en juillet 1909 :
Manifeste à nos frères d’Espagne
Dans un noble sentiment de fraternité internationale, dans un élan d’admiration et d’émotion, le prolétariat de France adresse à ses frères d’Espagne ses vœux les plus sincères pour le triomphe de leur lutte héroïque contre la guerre.
Nous comprenons trop bien, ouvriers de France, l’importance d’une aussi belle révolte du peuple espagnol pour ne pas nous réjouir aux moindres succès de la révolte ouvrière en Catalogne. Nous applaudissons aux actes d’insubordination militaire. Honneur à ceux qui refusèrent d’être des assassins !
Honneur aux femmes et aux jeunes gens d’Espagne, empêchant les hommes de partir pour la tuerie du Maroc !
Nous applaudissons de tout cœur à tous les actes révolutionnaires accomplis au delà des Pyrénées.
La Grève Générale proclamée par le monde ouvrier des centres industriels d’Espagne, aussitôt suivie d’un sabotage énergique des lignes téléphoniques, télégraphiques et de chemins de fer, c’est en somme, la réalisation des vœux émis en France, dans nos congrès ouvriers.
Il n’y a pas d’autres moyens en notre pouvoir pour empêcher les exploiteurs de partout d’arroser du sang du Peuple les territoires qu’ils convoitent, comme favorables à leurs opérations financières.
« Plutôt l’insurrection que la guerre ! » ont proclamé les socialistes au Parlement français.
« À la déclaration de guerre, nous répondrons par la Grève Générale ! » ont dit les ouvriers de France dans leurs congrès nationaux et internationaux.
Nos amis, nos frères d’Espagne mettent en pratique ce que nous avons mis en résolution. Nos souhaits les plus chaleureux les accompagnent et, s’ils sont vainqueurs, toute l’Internationale ouvrière voudra bientôt imiter leur exemple. S’ils sont vaincus,leur courage, leur héroïsme n’auront pas été inutiles. Le sang répandu ne l’aura pas été en vain : il fécondera, comme toujours, les idées de révolte, créatives de mieux-être et de liberté !
Quelle que soit l’issue de la lutte acharnée des ouvriers espagnols, un enseignement salutaire s’en dégage pour le Prolétariat universel.
Pour vous, braves camarades en lutte, c’est une expériences qui portera ses fruits.
Frères d’Espagne, courage !
Les travailleurs organisés de France sont avec vous !
Le Comité confédéral.
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[ texte ]
- texte :
Grande salle Handwerck
Vendredi 15 octobre, à 8 h 1/2 du soir
Grand meeting
de protestation
contre l’inquisition en Espagne
Travailleurs, Citoyens,
Un crime rappelant les pires atrocités d’un autre âge a été commis :
Ferrer
coupable uniquement d’avoir consacré tous ses biens et toute sa vie à l’éducation du peuple vient d’être fusillé. C’est un défi de la réaction cléricale et monarchique la plus odieuse, lancé à la face du monde civilisé, c’est une négation infâme de la liberté de pensée et de conscience nous ramènenet aux sombres époques de l’inquisition, des tortures et des bûchers.
Travailleurs, Citoyens,
L’humanité toute entière, qui voit ainsi compromises ses conquêtes les plus précieuses, ne peut que se soulever avec le même cri de douleur et dans un même élan d’indignation. D’autres hommes pas plus coupables que Ferrer avaient déjà été exécutés et l’œuvre de mort ne parait pas devoir s’arrêter en Espagne, si une manifestation de réprobation universelle ne se produit pas contre les bourreaux.
Unissons donc nos voix à celles de tous les hommes de cœur : affirmons cette grande solidarité humaine qui doit de plus en plus unir tous les peuples à travers toutes les frontières pour préparer un avenir meilleur. Que Ferrer soit le dernier martyr de la liberté de pensée et que sa grande mémoire soit impérissable ! Et préparons-nous à le venger en hâtant la réalisation du noble idéal de fraternité et de justice pour lequel il a donné sa vie.
Fédération des syndicats ouvriers.
Imprimerie des Unions ouvrières à base communiste - Pully-Lausanne
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[ texte ]
- texte :
Spaansche gruwelen !
De moord op Ferrer
Arbeiders, naar “Plancius”
Zaterdag 16 october,
des avonds hal negen, spreekt in en
Openbare vergadering
in “Plancius”, Plantage Kerklaan,
Mr. M. Mendels
over de Spaansche gruwelen in het algemeen en in het bijzonder over
de moord op Ferrer.
Entrée 10 cent. — Debat vrij.
Arbeiders, komt Zaterdagavond in massa
naar “Plancius” !
Voor de Federatie Amsterdam SDAP :
Th. van der Waerden, voorzitter.
G. H. Pieters, secrataris.- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
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[ texte ]
- texte :
Confédération générale du travail
Contre la guerre !
Pour protester contre les manœuvres dangereuses des bandits coloniaux du Maroc, la CGT organise pour le vendredi 4 août un grand meeting de protestation Contre la Guerre.
Après les incidents d’Agadir avec l’Allemagne, après ceux d’El-Ksar avec l’Espagne, il est nécessaire que la volonté ouvrière se manifeste.
Ces incidents peuvent demain se renouveler avec des conséquences plus tragiques.
Devant cette situation trouble, devant l’imminence du danger menaçant la paix du monde, rester indifférent serait lâche et dangereux.
En face de la coupable apathie du Parlement et la servilité gouvernementale, la classe ouvrière doit réagir.
Une guerre n’est possible qu’avec le consentement du peuple ; avec nous, avec les délégués, représentants les peuples frères, vous viendrez clamer votre volonté de vous opposer, par tous les moyens, à toutes les possibilités de guerre.
Pour faire cesser les agissements criminels des requins de la colonisation, vous assisterez à la
Grande manifestation ouvrière
qui aura lieu le vendredi 4 août, à 8 heures du soir, salle Wagram, 39.
Prendront la parole pour la France : L. Jouhaux, G. Yvetot, secrétaires de la CGT ; Merrheim, de la Métallurgie ; Savoie, de l’Union des syndicats de la Seine ; Péricat du Bâtiment.
Pour l’Allemagne : Robert Schmidt, député au Reichstag, de la General Komission ; Bauer des Employés de Berlin ; Silberschmidt, de la Fédération allemande du Bâtiment.
Pour l’Angleterre : Tom Mann, des Organisations syndicales anglaises.
Pour l’Espagne : Nègre, de la Conféderacion Nacional del Trabaja ; Vicente Barrio, de l’Union générale des Trabajadores.
Pour la Hollande : Koltkeck du Secrétariat du travail de Hollande.
[…]
Affiche contre la guerre au Maroc [1] (d’après Rapports des comités & des commissions pour l’exercice 1910-1912, présentés au XVIIIe congrès corporatif (XIIe de la CGT), tenu au Havre, du 16 au 21 septembre 1912, p. 12-15). Savoie = Auguste Savoie (1876-1949), secrétaire de l’Union des syndicats de la Seine de 1908 à 1913. Bauer = Gustav Bauer, vice-président de la GGD (futur chancelier, en 1919). Tom Man, délégué par l’ISEL. Koltkeck = Harm Kolthek, du NAS (Nationaal Arbeids-Secretariaat).
Voir aussi une précédente affiche de la CGT : « Contre la guerre » (1909).
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- texte :
Syndicat des métallurgistes de Lyon
Comité de Défense Sociale (section lyonnaise), 86, cours Lafayette
Le règne de la barbarie continue !
Jugez-en plutôt
Quinze mois après la signature de l’armistice couronné finalement par une paix bâtarde, les soldats et civils condamnés par les tribunaux d’exceptions sont toujours embastillés ; l’amnistie, mot magique qui fit naitre tant d’espoir est lettre morte pour la plupart.
La France plus réactionnaire que les monarchie de l’Entente, arme et entretient tous les réacteurs cyniques qui combattent la Russie des soviets et conserve dans les camps les soldats russes, coupables de na pas vouloir combattre la révolution.
La paix qui devait donner aux peuples la “liberté de disposer d’eux-mêmes” voit se dresser dans tous les pays la réaction capitaliste et militariste.
La Hongrie écrasée dans sa Révolution est le pays de la torture pour tous ceux qui sont soupçonnés de quelques sympathies pour le communisme.
L’Irlande, l’Égypte, la Syrie, le Maroc, sont le siègent de sanglantes répressions.
L’Amérique, l’Espagne, voient les arrestations, les déportations, les pendaisons, les fusillades en masse pour ceux qui défendent leur droit à la vie et à la liberté.
Et devant ce tableau édifiant, que disent, que font les 1.700.000 électeurs du PSU et les 2.500.000 syndiqués de la CGT ?
Rien… ou si peu de chose.
C’est l’avilissante et dégradante complicité du silence qui rend possible la continuation de tels crimes contre lesquels se doit de protester tout homme qu n’a pas abdiqué toute dignité personnelle, au sein de l’aveulissement général des volontés, de abâtardissement des énergies, de l’aveuglement des cerveaux.
C’est donc à ceux qui entendent crier haut et fort leur mépris pour de tels procédés et ne pas se solidariser par un silence approbateur des crimes ci-dessus énumérés, que nous nous adressons en les conviant au
Grand Meeting
qui aura lieu le samedi 14 février 1920, à 20 heures 30
Grande salle de la Bourse du Travail
avec le concours des orateurs
Berthet, Comité de DS, section de Lyon
Tomasi, CDS à Paris
Marguerite Marion, Union des syndicats ouvriers du Rhône
Georges Levy, Fédération socialiste du Rhône
Branche-Vérillac, Association républicaine des anciens combattants [ARAC]
Perrins, groupe “Clarté”
Pavy, Comité 3e Internationale
Roche, Fédération Libre PenséeRéunion tous les jeudis à 20 heures 30, Salle Chevrolat, 54, rue Moncey.
[marque syndicale] Association Typographique, Lyon et Villeurbanne. — H. Gabrion, directeur [marque]
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[ texte ]
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Comité de Défense Sociale
Siège : 86, cours Lafayette, Lyon
La prison ou la mort
Telle est la cruelle alternative devant laquelle sont placés Ascaso et Durruti.
Leur crime ? Être restés des militants révolutionnaires malgré la dictature de Primo de Rivera ; n’avoir pas voulu, malgré tous les dangers, malgré toutes les souffrances, abdiquer quoi que ce soit de leurs convictions.
Toutes les frontières leur sont fermées ; partout la prison et la mort les attendent. Et pourtant, nul plus qu’eux n’est digne de la solidarité humaine.
Mais la classe ouvrière, a laquelle cependant ils ont fait le sacrifice de leurs vies et de leur liberté, ne réagit pas ; ceux qui se réclament de cette liberté pour laquelle Ascaso et Durruti ont tout donné, laissent faire !
Cela ne peut plus durer.
Debout ! peuple qui tant de fois te dressas pour des causes parfois moins nobles, exige avec nous que les deux martyrs aient enfin
Un coin où reposer leurs têtes !
Pour votre honneur, pour votre sécurité même, vous assisterez en masse au
Grand meeting
qui aura lieu le jeudi 26 juillet, à 20 h 30, Grande Salle de la Bourse du travail, 39, cours Morand.
Orateurs :
Me Loyet, défenseur d’Ascaso et Durruti, président de la Fédération du Rhône de la Ligue des Droits de l’Homme
M° Kreher, avocat du Colité de Défesne Sociale
Vivier, secrétaire de l’Union des syndicats confédérés du Rhône
Huart, secrétaire de la CGTSRNota. — Pour éviter l’affluence aux portes, celles-ci seront ouvertes à 20 heures ; le meeting commencera à 20 heures 30 précises.
[marque syndicale] Imprimerie Nouvelle Lyonnaise. 3, rue Sainte-Catherine. Lyon.
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[ texte (bilingue castillan/italien) ]
- texte :
Trabajadores españoles
Salvamos a Sacco, Vanzetti y Torres Escartin
En la España de los imbéciles militares hay un hombre, TORRES ESCARTIN que es un honrado Trabajador, que por el solo hecho, de pensar en un porvenir mas justo lo acusaron de la MUERTE del Cardinal de Zaragoza.
Durante la celebración del Proceso se presento un sobrino de la victima con pruebas testigales, aprobando que los autores de la Muerte de su Tio, fueron los mismos Clericales.
A dicho testigo no se lo escucho echándole de la audiencia, y, condenando a MUERTE a nuestro compañero y luchador TORRES ESCARTÍN.
La libre America, país del dolar y de la democracia, para no ser menos que los países monárquicos condeno a la Silla Eléctrica hace cinco anos, a dos inocentes como nuestro companero Escartín, los dos conocidos luchadores SACCO y VANZETTI.
Y para evitar que los verdugos se manchen las manos con la sangre de tres inocentes trabajadores, se os invita a un
GRAN MITIN
que tendrá lugar a la
Bolsa del trabajo, Sábado día 5 de Junio a las 8 de la Noche, Sala de Conferencias
Uno de los Oradores hablará en Español
Salvamo Sacco, Vanzetti, Torres Escarti
Lavoratori Italiani,
La pena capitate ha da un ora all’attra per funzionare. Un grido di aiuto ci perviene dolla lontana Repubblica stellata, per Salvare due innocenti, il perfide e rapace, Capitalismo americano compreso il governo voglino ad ogni costo disparsi di Nicola SACCO e Bartolomeo VANZETTI ;
Col rigetto della rivesione del processo e la conferma della pena di MORTE che si vuole infliger la macchinazione più infamanti di ogri origini poliziesco sta per avere il suo epilogo.
Lavoratori Italiani,
Due onesti organizzatori della lotta di classe due militanti anarchici per colpa di essere tali dovranno affrontare la SEDIA ELETTRICA.
In piedi domine, e con mezzi rapidi e decesivi risponderemo occhio per occhio dente per per dente il mondo civile e con noi.
Se SACCO e VANZETTI e TORRES Escarti dovranno morire sapremo a chi dovremme rivolgersi per rivendicarli.
Lavoratori Italiani,
Uniti nell’umana protesta agitiamoci per impedire che questo delitto si compia.
Un Oratore che parla Italiano sarà con noi
SALBATO SERA_ALLE ORE 8 GIUGNO 1926
[marque syndicale] Imp. Nouvelle, 4, rue Balay, Saint-Étienne
Archives nationales F/7/13105, dossier n° 24, A52 :
https://www.siv.archives-nationales.culture.gouv.fr/siv/media/FRAN_IR_050130/c-8vos8fago--iue26c029ldv/FRAN_0020_15666_LAffiche diffusée par le Parti communiste (France).
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[ texte ]
- texte :
Comité de Défense Internationale Anarchiste
Contre la répression mondiale
pour la libération de Sacco et Vanzetti ; pour la mise en liberté de Ascaso, Durutti, Jover ; contre les expulsions ; pour le droit d’asile ; contre les traitements inhumains et barbares qui se commettent journellement sur les prisonniers en Pologne, en Bulgarie, en Roumanie, en Hongrie, en Espagne et en Italie, etc., etc. ; pour l’amnistie généralement en Russie également, des emprisonnés politiques, assistez au
Grand meeting
de protestation qui se tiendra dans la salle du “Lion d’Or” place Saint-Géry, 23
le samedi 23 avril 1927, à 8 heures du soir
y prendront la parole :
Férandel, du comité International de Défense Anarchiste.
Marchand, du Syndicat du bâtiment.Pour la Fédération anarchiste de Belgique,
in het vlaamsch Adamas
en français Hem DayComité International de Défense Anarchiste
Fédération belge - Groupe de Bruxelles
Secrétariat : Taverne des Alliés, rue de l’Amigo, 19Les Arts Graphiques [??] imp. 201, chaussée de Haecht, Shaerbeek - Téléphone : [586-78 ??] - Gérant : J. De [Wil. ?]
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[ texte ]
- texte :
Comité de Défense Sociale
Il est temps d’agir :
Pour le respect de la liberté individuelle
car, où la liberté individuelle est meurtrie — et c’est trop souvent le cas en France depuis quelques temps — la liberté de tous est menacée ;En faveur des proscrits Blanco, Berneri
victimes, l’un de la dictature espagnole, l’autre de la dictature italienne et que le gouvernement français persécute à son tour ;Pour la sauvegarde d’un véritable droit d’asile
de plus en plus précaire et que notre pays pourtant s’était, de tout temps, honoré de garantir aux exilés d’autres pays.Mais, pour lutter sérieusement et victorieusement en faveur de ces deux hommes et de ces deux droits naturels, ce n’est pas trop exiger de la population lyonnaise, intellectuelle et manuelle sans distinction d’opinion, que lui demander d’accourir au
Grand meeting
Salle Rameau, mardi 23 décembre, à 20 h 30
Prendrons la parole :
Charles Lambert, député du Rhône
Dr Clément Sahuc, publiciste
Me Loyet, président de la Fédération de la Ligue des Droits de l’Homme
B. Sarrazin, avocat à la Cour
André Février, député du Rhône
Me Branche, avocat à la Cour et du CDS
Vivier, secrétaire général de l’Union départementale CGT
H. Fourcade, de l’Union syndicale CGTSRParticipation aux frais d’organisation : 1 franc 50
[marque syndicale] Imprimerie Nouvelle Lyonnaise, 3, rue Sainte-Catherine, Lyon
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[ texte ]
- texte :
Comité de Défense du droit d’asile
Il est temps d’agir :
Pour le respect de la liberté individuelle
car, où la liberté individuelle est meurtrie — et c’est trop souvent le cas en France depuis quelques temps — la liberté de tous est menacée ;En faveur des proscrits Pons, Blanco, Berneri
victimes, l’un de la dictature italienne, les deux autres de la dictature espagnole et que le gouvernement français persécute à son tour ;Pour la sauvegarde d’un véritable droit d’asile
de plus en plus précaire et que notre pays pourtant s’était, de tout temps, honoré de garantir aux exilés d’autres pays.Mais, pour lutter sérieusement et victorieusement en faveur de ces trois hommes et de ces deux droits naturels, ce n’est pas trop exiger du Peuple de Paris que lui demander d’accourir au
Grand meeting
Salle Wagram, 38, avenue de Wagram, mercredi 12 novembre, à 20 h 30
Prendrons la parole :
Joseph Caillaux — de Moro Giafferri — Jean Piot — R. de Marmande — Pierre Cot — Henri Jeanson — Delépine — Lazurick — François-Albert — Georges Pioch — Besnard — Georges BastienNota. — Les portes ouvriront à 20 heures. — Descendre aux Ternes ou à L’Étoile. — Il sera perçu deux francs d’entrée pour ouvrir les frais.
[…]
Affiche non retrouvée mais du même modèle que celle du meeting du 23 décembre de Lyon. Texte pris dans Le Libertaire : organe de l’Union anarchiste-communiste n° 281 (samedi 8 novembre 1930).
Parmi autres noms : Maurice Delépine (juriste, militant), Vincent de Moro-Giafferri (avocat), Jean Cot (député) ?, Maurice “Robert” Lazurick (avocat, journaliste), etc.
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[ texte ]
- texte :
Bourse du travail — Syndicat des serruriers
Comité de défense sociale, 86, cours Lafayette, LyonOù est le droit d’asile ?
Nous vous adressons, au nom de la liberté de penser, du droit humain, de la justice, un dernier et suprême appel pour arracher des mains du bourreau espagnol, tortionnaires, larbins, soudoyés des dictateurs Primo-Bérenguer et d’Alphonse XVIII, deux de nos militants syndicalistes. Ils sont accusés d’avoir commis le crime de se défendre, en pleine période révolutionnaire (1920-1924) contre les saumaten, police patronale, et contre les policiers de la dictature.
ils sont accusés surtout d’avoir lutté pour la défense des intérêts matériels et moraux de la classe ouvrière, d’avoir revendiqué pour eux et leurs frères de misère le croit à la vie.
Voilà les crimes commis.
Arrêtés après évasion de la prison de Figueras, ils vont, sur avis favorable des juges français, être extradés.
Vous ne le permettrez pas, camarades !
Vous considérerez avec nous comme un devoir, à l’heure actuelle, sous le gouvernement réactionnaire-fasciste de Tardieu, de n’abandonner aucune des prérogatives du droit d’hospitalité qui furent la règle des vraies traditions de la nation française pour la protection de tous les proscrits victimes de la réaction internationale depuis la Révolution.
Tous à l’œuvre pour la liberté contre la dictature !
Contre l’extradition de nos camarades !
Assistez tous au
Grand meeting
qui aura lieu le
vendredi 13 juin, à 20 h 30, Bourse du travail
Orateurs :
M° Branche, avocat du CDS et de l’ARAC ; M° Loyet, avocat à la cour, président de la Fédération du Rhône de la Ligue des Droits de l’Homme ; H. Fourcade, de l’Union des syndicats du Rhône ; Béchard, délégué du SUB[Marque syndicale] Imprimerie Nouvelle Lyonnaise, 3, rue Sainte-Catherine, Lyon.
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[ texte ]
- texte :
Comité de Défense du droit d’asile
Protestons, il est encore temps
Car bientôt il sera trop tard si nous laissons la dictature larvée qui caractérise ce régime se transformer en dictature avouée et plus criminellement agissante.
En France, maintenant, c’est la police qui donne le ton toujours et partout. Elle régit le pays !
S’agit-il d.e la liberté individuelle : c’est la police qui la délimite, et l’on sait aussi de quels soins elle l’entoure…
S’agit-il du droit d’asile : c’est la police qui le règle, et seuls les étrangers noceurs séjournent en paix ici…
Et chaque fois qu’un attentat est perpétré contre la liberté humaine. les policiers en sont les fauteurs.
Aujourd’hui, nous nous efforçons d’arracher deux hommes aux griffes de la police : le syndicaliste espagnol BLANCO et le professeur italien BERNERI. Tous les deux sont les frères de centaines d’autres qui subissent constamment le même sort. C’en est trop ! Empêchons les puissants du jour et leurs policiers de continuer de ce pas dans la voie des exactions. Tous au
Grand meeting
Mercredi 17 décembre, à 20 h 20
Salle des Sociétés savantes, 8, rue DantonOrateurs :
Frossard, Député — Pierre Scize, publiciste — Eug. Frot, député — Martinaud-Deplat, secrétaire général du parti radical-socialiste — Zévaès, avocat — J.-C. Legrand, défenseur d’Almazian — G. Pioch, publiciste — Robert Lazurick, défenseur de Berneri — Augé, des jeunesses laïques et républicaines — Loréal du Comité du droit d’asile.Nota. — Les portes ouvriront à 20 heures. — Descendre Métro saint-Michel. — Il sera perçu deux francs pour les frais.
[…]
Affiche, dont la parution du texte est annoncée dans le précédent numéro, retranscrite dans Le Libertaire : organe de l’Union anarchiste-communiste n° 286 (samedi 15 décembre 1930).
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texte
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Peuple d’ici
Sous prétexte d’abattre le fascisme, tous les partis politiques de gauche ont épousé la cause de la Société des Nations.
Grâce à leur propagande, le bon peuple, naïf, a répété ces paroles d’un chef notoire “Contre le fascisme je mets sac au dos et je prends le fusil”.
Or, le peuple, une fois de plus a été odieusement trompé par ses chefs.
La Société des Nations n’est, pas plus aujourd’hui qu’hier, la Société des Peuples. Aujourd’hui. comme hier, elle reste, la Société des gouvernants, la Société des Capitalistes.
Lorsque la SDN a désigné comme l’agresseur : Mussolini, le Maître cruel, féroce, du peuple italien, elle a seulement exprimé la volonté des capitalismes d’Angleterre, de France etc. de participer au partage, à la curée, des richesses de l’Ethiopie.
Son premier acte a consisté à donner aux Ethiopiens des armes. Ainsi, ce peuple qui cossait la domination la plus effroyable, celle de ses Maîtres : ses Ras et son Négus, pour ne pas tomber sous la domination aussi douloureuse — mais pas plus — du tyran de l’Italie, aura la possibilité de se faire massacrer honorablement.
C’est le seul bénéfice que la S. D.N.accorde au peuple de l’Ethiopie en loi donnant des armes.
Et l’Ethiopie tombera, ensuite, aussi certainement que si elle ne s’était pas battue et n’avait pas fait tuer le meilleur de sa jeunesse, sous la coupe des négriers modernes, civilisés, blancs et Européens, les financiers de France, d’Angleterre, d’Italie et… d’Amérique.
Enfin, la S. D. N. a menacé Mussolini de sanctions. Et tous les politiciens de gauche, ont réclamé des sanctions. Duperie ! Les sanctions sont sans effet réel, diplomatiques, financières, économiques, tant qu’elles ne s’accompagnent pas d’un blocus très sévère de l’Italie et des pays neutres limitrophes. Or ce sont là sanctions militaires.
Et tout le monde sait que ces sanctions-là, c’est la guerre !
Les sanctions, c’est du chiqué, du bluff.
Ou les sanctions, c’est la guerre !En réclamant les sanctions, le peuple croyait-il demander, exiger la guerre ?
Non, certes ! Ses bergers. l’on trompé. Il croyait lutter contre le fascisme.
On ne supprime pas le fascisme par la guerre. Vaincue, l’Italie, vomirait sans doute son Duce et le fascisme aurait vécu dans ce pays.
Mais Victorieuse, la France se vautrerait aux pieds de ses militaires. de ses “glorieux héros”, de ses Ramollot ou de ses de La Rocque et connaîtrait à son tour le fascisme le plus abject.
“On ne porte pas la liberté aux peuples, à la pointe des baïonnettes”.
Peuple d’ici, jette tes regards autour de toi. À côté de richesses inconcevables, tu crèves de faim. Ta police et ton armée assurent “l’ordre” par l’éternelle méthode de la trique et du plomb. Tes prisons sont pleines de travailleurs, de penseurs, de pacifistes, cependant que cafés, théâtres, boites de nuit, casinos, regorgent de parasites, de viveurs de déséquilibrés.
Peuple d’ici, tandis que tes gouvernants festoient et merdoient avec les rois en rupture de ban, avec les militaires, tes financiers et les politiciens véreux des pays fascistes, leur police, par ordre, remet entre les mains de leurs bourreaux, les frères d’Italie, d’Espagne ou d’ailleurs, qui fuyant leurs tyrans venaient, confiants te demander asile.
Peuple d’ici, une à une on te vole tes libertés ! Ne cours pas chasser les fascismes d’au-delà des frontières, mais chez toi-même, chasse ton propre fascisme et donne au peuple éthiopien, comme eu peuple d’Italie, comme à tous les autres peuples, l’exemple d’une société fraternelle, sans Dieux, ni Maîtres.
Édition de La Révolte
Timbrer à 72 centimesLe Gérant, D. Fourton
Imprimerie spéciale
4 et 6, impasse du Square Palais-GallienAffiche parue en pages centrales de La Révolte : organe anarchiste du Sud-Ouest nº 17 (20 décembre 1935)
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[ texte ]
- texte :
Union anarchiste (Fédération Parisienne)
Il faut fermer la gueule a nos chiens fascistes.
En Espagne, les fascistes répandent à torrent le sang ouvrier. À Saragosse, tous les militants syndicalistes et anarchistes ont été massacré sans quartier.
ÀA Badajoz, près de 2000 miliciens antifascistes ont été passés par les armes, dès que les brutes du Tercio et les « regulares » sont entrés dans la ville.
En cent autres endroits, partout enfin où les fascistes l’emportent, ils se livrent à une véritable hécatombe des ouvriers et des paysans antifascistes.
Franco qui a déclaré être résolu à supprimer « la moitié de la population espagnole pour arriver à ses fins » applique ainsi son programme.
Cependant, on voit ici nos fascistes dénoncer les atrocités du « Frente Popular », et louanger cyniquement les abominations de leurs amis espagnols.
Le gouvernement du Front Populaire français demeure impuissant devant ces provocations immuables qui n’ont d’ailleurs pour but essentiel que d’empêcher l’aide directe que la classe ouvrière française voudrait apporter à nos frères d’Espagne.
Est-ce que les prolétaires français en général et parisien en particulier, qui ont toujours si vaillamment soutenu l’Espagne des révolutionnaires, vont tolérer sans riposte les formations anti-ouvrières de nos fascistes.
Nous pensons qu’ils doivent manifester d’une façon directe et immédiate leur réprobation indignée devant les agissements de tous ces chiens sanguinaires de la presse de droite et, puisque le Gouvernement ne peut plus désormais sortir de la « neutralité » traîtresse, où il s’est mis, c’est leur devoir de prendre eux-mêmes la défense du prolétariat d’Espagne. Ce sont les complices de Franco, de Mola, qu’il faut d’urgence neutraliser en les empêchant plus longtemps de nuire. C’est dans ce sens que la classe ouvrière doit, tout de suite, agir dans ses syndicats, ses groupements, ses organisations. Sinon elle n’en aura pas pour longtemps à connaître un sort identique à celui de l’Espagne ouvrière.
L’Union Anarchiste.
[Chaque semaine, lisez le »Libertaire », organe de l’Union anarchiste]
Sur le site Mouvement révolutionnaire angevin, « D’après ADML : 4M6/29. Collée à la mi-septembre 1936, cette affiche porte le tampon du Groupe Libertaire d’Angers. Elle fût imprimée par la Fédération parisienne de l’Union anarchiste. » :
https://revolutionnairesangevins.wordpress.com/textes-divers/affiches/affiches-anarchistes/affiche-17091936-contre-le-fascisme/- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
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[ texte ]
- texte :
Jeunesse Anarchiste Communiste
La faillite du Front populaire est consommée
Les crédits de guerre sont gonflés de nouveaux milliards.La préparation militaire obligatoire va être votée.Les ligues fascistes s’organisent, s’arment et provoquent ouvertement.Les avantages conquis en juin sont rognés peu à peu.La pause est en réalité le retour à la collaboration de classes.Le Front populaire pratique une politique d’Union nationale.Les représentants de l’industire patronale, Gignoux et Paul Reynaud, l’en félicitent publiquement.Mais du sang ouvrier est sur les mains du gouvernement.À Metlaoui, vingt grévistes tunisiens ont été assassinés. À Clichy, six travailleurs ont été massacrés par la garde mobile de Dormy.La preuve est faite que le ministère de gauche est en réalité un ministère de la bourgeoisie.La désillusion de la classe ouvrière ne doit pas profiter aux fascistes démagogues de Doriot ou de La Rocque !Il faut non reculer, mais accentuer l’action offensive.Il est temps qu’une politique prolétarienne indépendante soit menée.Nous appelons les jeunes socialistes, communistes, membres des jeunes qui n’abandonnent pas leurs doctrines révolutionnaires, à créer avec la Jeunesse Anarchiste Communistele Front Révolutionnaire de la Jeunesse
Contre la guerre, l’Union sacrée et la préparation militaire.Contre la politique de paix sociale.Pour la création de milices ouvrières.Pour le soutien effectif et pratique de la Révolution Espagnole par des manifestations de rues et la grève.Siège de la JAC, rue de Bondy, Paris Xe — Tous les jeudis, lisez Le Libertaire, organe de l’Union anarchiste, 0.50 le numéro
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[ texte ; montage photo (4 bras s’élevant au-dessus d’un canon pour demander de l’aide) par César Domela ]
- texte :
Des armes pour l’Espagne antifasciste
CNT — CGTSR — AIT — FAI — FAF
Affiche annoncée dans Le Combat syndicaliste n° 194 (5 février 1937).
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[ texte ]
- texte :
[…]
Comité d’aide et de secours aux victimes de la contre-révolution espagnole
[…]
Est-ce la trahison ?
Ceux qui ont lutté contre Franco, chassés d’Espagne par le gouvernement Negrin aux ordres de Moscou !
1936 […]
1937 […]
Travailleur parisien […]
[…]
[…], 2.000 compagnons de la CNT-FAI sont emprisonnés dans les geôles “républicaines”
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- descriptif :
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[ texto ]
- texte :
CNT — AIT
Gran mitin
El domingo, día 5 de septiembre, a las diez de la mañana, en el
Cine Pardiñas
retransmitido al Cine Bilbao, Cine Durrutti y Teatro popolar (antes Fontalba).Hablarán :
Lorenzo Íñigo
ex consejero de industria de guerraDavid Antona
secretario del Comite regional del CentroJuan García Oliver
ex ministro de JusticiaPresidirá :
Mariano R. Vászquez
secretario del Comite nacional¡Trabajadores ! ¡Antifascistas !
¡Por el triunfo de la causa del pueblo !
¡Por la Alianza Obrera Revolucionaria !¡Acudid todos al mitin !
T. Socializados. - C.D.I.G - C.N.T. - [Brave Murilla ? ], 38, Teléf. 42124
In Diseña SIN diseño : cincuenta objetos anarquistas (Fundación Anselmo Lorenzo, 2013).
https://fal.cnt.es/documento-del-mes-junio-2022-gran-mitin-del-cine-pardinas/
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- notes :
- descriptif :
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[ texte ; dessin (homme regard vers le ciel et poing levé sur un fond de globe terrestre) ]
- texte :
Demandez :
L’Espagne nouvelle
Bulletin d’information paraissant tous les lundis
Le numéro : 0 fr. 30Faire connaître la vérité sur l’Espagne est le plus grand service qu’on puisse rendre à la révolution humaine.
En vente à partir du 19 avril 1937
L’imprimeur-gérant, 10, rue Émile-Jamais, Nîmes
« numéro affiche » r°/v°
http://archivesautonomies.org/IMG/pdf/anarchismes/entre-deux/espagnenouvelle/espagne-nouvelle-12-04-1937.pdf- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
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[ texte ; image (marin face à un navire de guerre avec croix gammée) par Vicente Ballester Marco ]
- texte :
[firma] V. Ballester Marco
[S.U.P.L. ?]
Cartelistas
CNT - AITCNT
[sello] Confederación nacional del trabajo - AIT — Comité nacional - Oficina de información y propaganda
Nuestras costas serán defendidas por nuestros
bravos marinos
Ortega […]-Intervenido - UGT-CNT
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
- /B_tout>
[ texte ]
- texte :
Des hommes vont périr
Les meilleurs et les plus vaillants
Nous pourrions encore les sauver.
Voici 21 mois que les plus grands révolutionnaires du monde luttent contre l’accumulation des forces fascistes en Espagne.
C’est sans pain et presque sans armes — 10 avions, 10 tanks fascistes (italiens et allemands) pour un tank, un avion républicains — ; c’est avec le sentiment de l’abandon même avec des solidarités ouvrières internationales que le peuple d’Espagne oppose encore son héroïsme à la ruée fasciste sur le dernier seuil de ses libertés.
Les routes de Valence et de Madrid sont menacées d’être coupées et les hordes de Franco sont entrées en Catalogne.
Est-ce la fin de ces libertés ? Les espoirs espagnols en l’aide antifasciste du monde seront-ils vraiment déçus ?
Et le rétablissement, le sursaut, qui sauveraient tant d’existences, et nos libertés mêmes, ne seront-ils pas enfin permis, au gouvernement qui mène tout le combat antifasciste, par un gouvernement fondé sur l’antifasciste ? L’Espagne ouvrière n’obtiendra-t-elle pas, après sa lancinante attente, le droit de se procurer, en France et ailleurs, tous les moyens propres à son salut ?
Ou faudra-t-il alors laisser couler sur l’Espagne entière un torrent de sang ? Car imagine-t-on le sort qui serait réservé aux populations catalanes si le premier et dernier bataillon de l’antifasciste, celui où se brisa le premier élan des généraux factieux, était livré à leur haine vengeresse ?
Assistera-t-on sans rien faire au massacre d’être humains par centaines de mille ?
Il est impossible que l’âme des grands peuples encore livre ne se sente pas déchirée par une barbarie dépassant en horreur celle des âges les plus sombres et ne jette pas sa clameur indignée.
La classe ouvrière française et sa CGT doivent secourir avec plus d’ardeur l’Espagne crucifiée ; elles doivent l’aider à vaincre s’il se peut. Elles doivent mettre tout en œuvre afin d’obtenir pour elle tous les concours, même les interventions diplomatiques appropriées en vue d’empêcher l’ultime et odieux massacre.
Il faut également que le droit d’asile soit ouvert sans restriction en France, sans rien des mesquineries indignes et hargnes administratives qui n’ont pas épargnés les récents réfugiés aragonais. Il faut qu’un accueil sans réserve soit assuré à toutes les victimes du fascisme assassin.
Le prolétariat français sera mis en branle pour cette solidarité à ses frères de classe malheureux.
Mais nous espérons encore que la simple reconnaissance enfin, des droits du gouvernement républicain et régulier d’Espagne apportera au peuple espagnol les suprêmes moyens de tout sauver : sa vie et sa liberté !
Vigne, Bard, Panissal (secrétaires de la Fédération syndicale des mineurs) ; Lorriot, Le Gall, Piquemall (secrétaires de la Fédération des ports et docks) ; Largentier (secrétaire de la typographie parisienne) ; Chambelland (secrétaire des correcteurs) ; Poëncin, Biso (secrétaires du Comité intersyndical du livre parisien) ; Liochon, Journeau, Micheneau (secrétaires de la Fédération du livre) ; Capocci, Bertrand, Cottet (secrétaires de la Fédération des employés) ; Delerue (secrétaire de la Fédération de la pharmacie) ; Digat, Garcin (secrétaires du Syndicat des agents des PTT) ; Bureau, Bonissel, Juliette Marzelec, Gisèle Bernadin (secrétaires des syndicats d’instituteurs de Seine et Seine-et-Oise) ; Lefèvre, Bornal, Jayat (secrétaires de la Fédération des services de santé) ; Savoie, Didaret (secrétaires de la Fédération de l’alimentation) ; Jaccoud (secrétaire de la Fédération des moyens de transports) ; Ehlers (secrétaire de la Fédération des inscrits maritimes).
[…]
Affiche rappelée dans SIA, № 1 (10 novembre 1938).
Affiche publiée en mars ou avril 1938 à 15 000 exemplaires. Juste après l’affiche « Moins de paroles pour la défense de l’Espagne ouvrière, du Blé et des Armes ».
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- notes :
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[ texte ]
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SIA — Solidarité internationale antifasciste — SIA
MOINS DE PAROLES pour la défense de l’Espagne ouvrière du Blé et des Armes
Peuple de France,
S’il est vrai qu’à l’heure du danger tu sais avoir de l’initiative, de l’énergie et te tirer des situations les plus compromises, c’est le moment de le montrer.Tu as été insouciant envers le peuple d’Espagne. Tu lui as fait l’aumône de quelques pistolets, d’un peu de lait condensé, alors qu’il avait besoin d’armes et de vivres en abondance. Tu es donc cause, en partie, de ses morts, responsable de ses souffrances, et sa défaite te serait imputable.
Tu pouvais sauver l’Espagne ouvrière en quelques semaines, et voilà près de deux années qu’elle réclame en vain ton aide.
Que vas-tu faire, enfin ?
Entendons leurs appels déchirants
Peuple de France,
Franco, soutenu par les fascistes du monde entier, tente un assaut suprême. Nos camarades antifascistes espagnols sont obligés de céder devant le matériel de mort mis en action contre eux.Malgré cela, ils ne désespèrent pas. Mais leurs appels au secours se font plus déchirants.
Ne les entends-tu point ?
Ils te disent que leurs enfants et leurs femmes meurent de faim, alors qu’en France des silos regorgent d’un blé que les minotiers brûleront sans doute un jour.
Ils te disent qu’ils sont démunis d’avions, d armes et de munitions, alors que tu t’apprêtes à faire des heures supplémentaires en vue d’intensifier un armement qui ne leur serait pas destiné.
Ils te disent qu’ils sont à bout, que les forces humaines ont des limites et qu’ils vont périr sans vaincre, par ta faute.
Le permettras-tu ?
Sauvons leur liberté et la nôtre
Peuple de France,
Ce sont les travailleurs des champs qui devraient être maîtres de disposer du blé stocké, les ouvriers des arsenaux qui devraient pouvoir indiquer la destination des armes qu’ils fabriquent. C’est la CGT qui devrait comprendre, enfin, que l’action directe reste l’ultime argument des prolétaires.Nos gouvernants s’inclineraient devant une volonté aussi nettement exprimée. Ils ouvriraient la frontière franco-espagnole, et les cheminots et douaniers syndiqués feraient le reste.
Ton avenir, peuple de France, se joue sur de nombreux points du globe. c’est sur l’Espagne, toutefois, que tu dois porter ton attention. elle attend son salut de ton action directe. n’hésite plus, jette-toi hardiment dans la mêlée. il y va du sort du prolétariat espagnol, de ta liberté et du maintien de la paix.
[…]
Affiche (quadruple colombier) annoncée dans Le Libertaire : organe hebdomadaire de l’Union anarchiste n° 594 (43e année, 4e série, jeudi 24 mars 1938), dans la rubrique « SIA ».
Affiche publiée en mars 1938 à 12 000 exemplaires. Suivie de l’affiche « Des hommes vont périr, les meilleurs et les plus vaillants » (15.000 ex.).
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
[Ravachol : his autobiography]
[Ravachol : his autobiography]. — London Londres : Commonweal (London), [ ?]. — 1 affiche (impr. photoméc.) : n. et b. ; 51 × 39 cm.
sources :
[Grand meeting public d’indignation contre l’expulsion de Pierre Kropotkine]
[Grand meeting public d’indignation contre l’expulsion de Pierre Kropotkine]. — Paris : Bibliothèque sociologique des travailleurs communistes libertaires du XIIe arrondissement (Paris), . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (une : noir , papier rouge ) ; x × y cm.
sources :
[Grand meeting public sur l’Inquisition en Espagne, par Charles Malato et Sébastien Faure]
[Grand meeting public sur l’Inquisition en Espagne, par Charles Malato et Sébastien Faure]. — Paris : Le Libertaire (1895-1939), . — 1 affiche (impr. photoméc.) : n. et b. ; [54 ?] × [40 ?] cm.
sources :
[Germinal]
[Germinal]. — Paris : Le Libertaire (1895-1939), . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (une : noir , papier de couleur ) ; [54 ?] × [40 ?] cm.
sources :
[Matinée-spectacle au profit des martyrisés de Montjuich]
[Matinée-spectacle au profit des martyrisés de Montjuich] / Willette, Adolphe (1857-1926) "> Adolphe Willette. — Paris : Le Libertaire (1895-1939), . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (une : noir , papier de couleur ) ; [54 ?] × [40 ?] cm.
sources :
[Meeting public : Louise Michel, salle de l’Harmonie]
[Meeting public : Louise Michel, salle de l’Harmonie]. — Paris : [s.n.], . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (une : noir , papier rouge ) ; x × 21 cm.
sources :
[Meeting de protestation : atrocités commises contre les socialistes libertaires ; affaires de Barcelone]
[Meeting de protestation : atrocités commises contre les socialistes libertaires ; affaires de Barcelone]. — Bruxelles = Brussels Bruxelles : Jeunesse libertaire (Ixelles ?), [ ?] (Brismée, impr. Vve). — 1 affiche (impr. photoméc.) : n. et b. ; x × y cm.
sources :
[Aux travailleurs ! Grand meeting : le procès de la Mano Negra ; les faits passés in Italie]
[Aux travailleurs ! Grand meeting : le procès de la Mano Negra ; les faits passés in Italie]. — Paris : [s.n.], . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (deux : rouge , noir , papier blanc ) ; x × y cm.
sources :
[Contre les bourreaux de la liberté]
[Contre les bourreaux de la liberté]. — Paris : CGT_ Comité confédéral (Confédération générale du travail : 1895-1914-…), . — 1 affiche (impr. photoméc.) : n. et b. ; x × y cm.
sources :
[Grand meeting de protestation contre l’inquisition en Espagne : Ferrer]
[Grand meeting de protestation contre l’inquisition en Espagne : Ferrer]. — Lausanne : [s.n.], (Unions Ouvrières, impr. des (Lausanne)). — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (une : noir , papier rouge ) ; x × y cm.
sources :
[Spaansche gruwelen ! De moord op Ferrer]
[Spaansche gruwelen ! De moord op Ferrer]. — Amsterdam : [s.n.], . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (une : papier de couleur ) ; x × y cm.
sources :
[Contre la guerre ! Grande manifestation ouvrière]
[Contre la guerre ! Grande manifestation ouvrière]. — Paris : CGT_ Comité confédéral (Confédération générale du travail : 1895-1914-…), . — 1 affiche (impr. photoméc.) : n. et b. ; x × y cm.
sources :Notes
[1] Celle placardée à Paris le 27 juillet 1911 citée (in : Guillaume Davranche, Trop jeunes pour mourir : ouvriers et révolutionnaires face à la guerre, 1909-1914, L’Insomniaque, Libertalia, 2014, p. 181). ?
[Le règne de la barbarie continue !]
[Le règne de la barbarie continue !]. — Lyon : CDS_ (Comité de défense sociale : 1903-....), (Association typographique (Lyon & Villeurbanne)). — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (une : noir , papier de couleur ) ; 124 × 85 cm.
sources :
[La prison ou la mort : grand meeting]
[La prison ou la mort : grand meeting]. — Lyon : CDS_ (Comité de défense sociale : 1903-....), (Imprimerie Nouvelle Lyonnaise (Lyon)). — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (une : noir , papier de couleur ) ; 118 × 80 cm.
sources :
[Salvamos a Sacco, Vanzetti y Torres Escartin = Salvamo Sacco, Vanzetti, Torres Escarti]
[Salvamos a Sacco, Vanzetti y Torres Escartin = Salvamo Sacco, Vanzetti, Torres Escarti]. — Saint-Étienne : [s.n.], . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (deux : rouge , noir , papier rouge ) ; 120 × 80 cm.
sources :
[Contre la répression mondiale : grand meeting]
[Contre la répression mondiale : grand meeting]. — Bruxelles = Brussels Bruxelles : CIDA (Comité International de Défense Anarchiste) : Fédération anarchiste de Belgique, (Arts graphiques (Bruxelles)). — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (une : noir , papier de couleur ) ; 55 × 73 cm.
sources :
[Il est temps d’agir : grand meeting]
[Il est temps d’agir : grand meeting]. — Lyon : CDS_ (Comité de défense sociale : 1903-....), (Imprimerie Nouvelle Lyonnaise (Lyon)). — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (une : noir , papier de couleur ) ; 118 × 80 cm.
sources :
![]() 1930 |
[Il est temps d’agir : grand meeting]
[Il est temps d’agir : grand meeting]. — Paris : CDS_ (Comité de défense sociale : 1903-....) : Comité de défense du droit d’asile (CDA / CDDA), . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (une : noir , papier de couleur ) ; x × y cm.
sources :
![]() 1930 |
[Où est le droit d’asile ?]
[Où est le droit d’asile ?]. — Lyon : CDS_ (Comité de défense sociale : 1903-....), (Imprimerie Nouvelle Lyonnaise (Lyon)). — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (une : noir , papier de couleur ) ; 85 × 62 cm.
sources :
[Protestons, il est encore temps : grand meeting]
[Protestons, il est encore temps : grand meeting]. — Paris : Comité de défense du droit d’asile (CDA / CDDA), . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (une : noir , papier de couleur ) ; x × y cm.
sources :
[Peuple d’ici]
[Peuple d’ici]. — Bordeaux : la Révolte (Bordeaux), . — 1 affiche (impr. photoméc.) : n. et b. ; 76 × 56 cm.
sources :
[Il faut fermer la gueule à nos chiens fascistes]
[Il faut fermer la gueule à nos chiens fascistes]. — Paris : UA__ - UAC_ - UACR (Union anarchiste… [communiste] [révolutionnaire]), . — 1 affiche (impr. photoméc.) : n. et b. ; x × y cm.
sources :
[La faillite du Front populaire est consommée]
[La faillite du Front populaire est consommée]. — Paris : JAC (Jeunesse anarchiste communiste) : UA__ - UAC_ - UACR (Union anarchiste… [communiste] [révolutionnaire]), [ ?]. — 1 affiche (impr. photoméc.) : n. et b. ; 28 × 22 cm.
sources :
[Des armes pour l’Espagne antifasciste]
[Des armes pour l’Espagne antifasciste] / César Domela. — Limoges ; Paris : AIT_-IWA_ : CGTSR / CGT_ - SR__ (Confédération générale du travail Syndicaliste révolutionnaire : 1926-1939) : CNT_ (España) : Comité Anarcho-Syndicaliste (Paris) : FAF_ (Fédération anarchiste de langue française) : FAI_ (Federación anarquista ibérica : 1927-….), . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (deux : rouge , noir , papier de couleur ) ; [120 ?] × [80 ?] cm.
sources :
[Est-ce la trahison ?]
[Est-ce la trahison ?]. — Paris : CNT_ (España) : Comité d’aide et de secours aux victimes de la contre-révolution espagnole, [ ?]. — 1 affiche (impr. photoméc.) : n. et b. ; 62 × 85 cm.
sources :
[Gran mitin, el domingo, dia 5 de Septiembre]
[Gran mitin, el domingo, dia 5 de Septiembre]. — Madrid : CNT_ (España), . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (une : noir , papier de couleur ) ; x × y cm.
sources :
![]() 2022 |
[L’Espagne nouvelle]
[L’Espagne nouvelle]. — Nîmes : l. (1937-1939) Espagne nouvelle, . — 1 affiche (impr. photoméc.) : n. et b. ; 31 × 21 cm.
sources :
[Nuestras costas serán defendidas por nuestros : bravos marinos]
[Nuestras costas serán defendidas por nuestros : bravos marinos] / Vicente Ballester Marco. — València Valence : CNT_ (España) : UGT_ (Unión general de trabajadores), [ca ] (Ortega (UGT-CNT - València)). — 1 affiche (lithogr. ), coul. (quatre ou plus ) ; 160 × 110 cm.
sources :
![]() 2022 |
[Des hommes vont périr, les meilleurs et les plus vaillants]
[Des hommes vont périr, les meilleurs et les plus vaillants]. — Paris : SIA_ (Solidaridad internacional antifascista - Solidarité internationale antifasciste), . — 1 affiche (impr. photoméc.) : n. et b. ; x × y cm.
sources :
[Moins de paroles pour la défense de l’Espagne ouvrière, du blé et des armes]
[Moins de paroles pour la défense de l’Espagne ouvrière, du blé et des armes]. — Paris : SIA_ (Solidaridad internacional antifascista - Solidarité internationale antifasciste), . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (deux ) ; [170 ?] × [128 ?] cm.
sources :
[Sauvons l’Espagne antifasciste]
[Sauvons l’Espagne antifasciste]. — Paris : Comité pour l’Espagne libre, [ ?] (Imprimerie spéciale [Impr. spéc.]). — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (une : papier de couleur ) ; 40 × 60 cm.