1974

 

 

57 affiches :

 




    [Après Puig Antich garrotté par l’État espagnol, deux révolutionnaires risquent la peine de mort !]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Après Puig Antich garrotté par l’État espagnol, deux révolutionnaires risquent la peine de mort !]. — Toulouse : [s.n.], . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (une  : noir , papier jaune ) ; 47 × 67 cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  : CIRA (Lausanne)
    • Liste des thèmes  : procès
    • Géographie, géopolitique et Histoire  : Espagne  ; Peine de mort
    • Noms cités (± liste positive)  : MIL_ (Movimiento Ibérico de Liberación-Grupos Autónomos de Combate, 1971-1973)  ; Pons LLobet, José Luis  ; Puig Antich, Salvador (1948-1974)  ; Solé Sugranyes, Oriol (….-1976)
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  :
    notes :
    descriptif :


    [ texte ; photos des trois personnages ]

    texte :

    Après Puig Antich garrotté par l’État espagnol, deux révolutionnaires risquent la peine de mort !

    Oriol-Sole-Sugranyes, 25 ans, typographe

    Jose-Luis-Pons-Llobet, 18 ans, étudiant

    procès vers mi-avril (16 ?)

    Solidarité !

    Mouvement ibérique de libération s’est formé en 1971

    Le groupe initial participa à la grève de l’usine Harry Walker, de Barcelone, début 71, où elle rompt avec les Commissions ouvrières pour former des Groupes ouvriers autonomes (GOA). En mars 71 apparait le sigle « 1000 » à côté de celui des GOA. Le groupe détermine sa ligne politique en fonction des Communistes de conseils de Pannekoek : « Parti et classe ouvrière ». En 72, le MIL devient une organisation clandestine des Groupes autonomes de combat (GAC) ; ses actions : expropriations de banques pour financer des activités révolutionnaires ; soutien aux luttes ouvrières radicales ; éditions « Mayo 37 », etc.

    Mais en août 73, le congrès du MIL décide de la dissolution, après une sévère autocritique :
    — Les risques de dégénérescence en une organisation politico-militaire coupée de la réalité quotidienne de la lutte des classes, évoluant vers un affrontement direct avec l’État ;
    — C’est alors que des groupes ouvriers de base proposent un financement « légal » des Edit. « Mayo 37 ».

    Malgré cela un GAC continue la même action qui échoue le 15 septembre 73 entraînant 12 arrestations.

    La situation politique en Espagne rend inévitable l’organisation clandestine des révolutionnaires. la répression est une réalité quotidienne entraînant des arrestations en chaîne et des procès où les peines vont de 5 à 40 ans de prison ! Après l’assassinat de Puig, Sole Sugranyes et Pons Llobet risquent la peine de mort ! La solidarité envers eux : d’abord briser la conspiration du silence ; faire la vérité sur leur combat ; informer sur leur situation. Mais plus que jamais nos camarades espagnols ont besoin d’une solidarité active dans le combat commun contre le capitalisme international ! Développons nos luttes contre le capital et l’État là où nous sommes ; dénonçons le Pouvoir espagnol dans ses banques, ses consulats, son tourisme, etc.

    Le sort de Sugranyes et de Llobet dépend de nos luttes !


    sources :

    Paru à Toulouse en mars-avril 1974.


    1974
    Affiche liée





    [BASTA !!]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    BASTA !!]. — Biella : Gruppi anarchici riuniti piemontesi, . — 1 affiche (impr. photoméc.) : n. et b. ; 43 × 33 cm.

    • Affiches par pays  : Italie
    • Lieux d’archivages  : CIRA (Lausanne)
    • Liste des thèmes  : fascisme et antifascisme  ; terrorisme
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  : Pinelli, Giuseppe (1928-1969)  ; Serantini, Franco (1951-1972)
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  :
    notes :
    descriptif :
    Symbole(s) utilisé(s) :

    [ texte (entouré d’un cadre noir) ; « a cerclé » rouge et noir collé bas de page ]

    texte :

    15-12-’69 — L’anarchico Giuseppe Pinelli cade dal quinto piano della questura di Milano, ucciso da agenti di pubblica sicurezza.

    5-7-’72 — A Pisa, l’anarchico Franco Serantini, per impedire un comizio del fascista Nicolai, è ucciso dai colpi infertigli dai tutori delle leggi “democratiche” et “antifasciste”.

    Noi anarchici rendiamo omaggio a questi ed a tutti i compagni caduti per la libertà.
    Denunciamo la criminalità del potere democratico.
    Accusiamo quali diretti responsabili ed assassini di stato coloro che con il proprio silenzio permettono che fatti simili accadano e si ripetano.
    Chi riconosce come false e respinge le “verità” di stato, chi non si piega al fascismo che ci opprime ogni giorno nella scuola, nella fabbrica e nella società, si unisca a tutti gli sfruttati per dire :

    « Basta !! »

    CICL in propr.
    Biella - Dic’74
    via Scaglia, 9

    Gruppi anarchici riuniti piemontesi


    sources :

    Affiche en deux parties.





    [Contre le camp de Canjuers, 13-14 juillet]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Contre le camp de Canjuers, 13-14 juillet]. — Paris : Comité antimilitariste (CAM_), . — 1 affiche (impr. photoméc.) : n. et b. ; 60 × 40 cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  : FACL (Fonds d’archives communistes libertaires)
    • Liste des thèmes  : antimilitarisme
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  : conférence, débat…  ; meetings et manifestations  ; spectacle, concert, fête…
    notes :
    descriptif :


    texte

    texte :

    Contre le camp militaire de Canjuers

    (près de Draguignan)

    les 16 et 14 juillet

    avec
    • Chansons : Kirjuhel, Beltram, Mans de Breizh, Daumas, Brigitte Fontaine, Areski

    • Musique : François Tusques et le collectif « Le Temps des cerises », Zéro de Conduite, Ligeia, Le Coucou, Les Blaguebolle (ex Stromboli), Moby Dick

    • Théâtre : collectif théâtral « La Commune » de Dario Fo, Troupe Z, Théâtre de L’Olivier, Théâtre de Trasibule, etc.

    avec la participation de paysans du Larzac, de travailleurs de Lip, des Banques, etc.

    Soutenu par : Comité AntiMilitariste , Comité de soutien à la lutte révolutionnaire du peuple chilien, Front des mouvements des travailleurs immigrés, Antinorm, CSOC, MDPL (Toulon), Collectif pour un front culturel révolutionnaire

    Politique hebdo, Lutte occitane, Révolution, Révolution Afrique, AMR

    Pour tous renseignements, téléphoner à 742.06.58 à Paris

    Supplément à Révolution ! n° 61 — Imp. SIM


    sources :
     

    1974
    Affiche liée









    [Espagne aujourd’hui ; Qu’il aille au diable !]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Espagne aujourd’hui ; Qu’il aille au diable !]. — Limoges : Comité pour l’Espagne libre : Escuela moderna (Calgary & Montréal : La), [ ?] (EP [Éditions Polyglottes]). — 1 affiche (impr. photoméc.) : n. et b. ; 43 × 28 cm.

    • Affiches par pays  : Canada  ; France
    • Lieux d’archivages  : CIRA (Lausanne)
    • Liste des thèmes  : mort
    • Géographie, géopolitique et Histoire  : Espagne
    • Noms cités (± liste positive)  : Bontemps, Charles-Auguste (1893-1981)  ; Bourdet, Claude (1909-1996)  ; Breton, André (1896-1966)  ; Cotereau-Viala, Jean (1898-1979)  ; Forestier, Denis (1911-1978)  ; Galtier-Boissière, Jean (1891-1966)  ; Joyeux, Maurice (1910-1991)  ; Lebesque, Morvan (1911-1970)  ; Lecoin, Louis (1888-1971)  ; Montaron, Georges (1921-1997)
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  :
    notes :
    descriptif :


    1964 1 affiche n/b Comité pour l’Espagne libre

    [ photo Franco et Hitler + texte (voir aussi autres versions) ; au dos, Espagne aujourd’hui : dessin d’un bourreau et d’un garrot ]

    texte :

    [recto]

    Espagne aujourd’hui

    [dessin de garotté :] Spagna oggi

    Escuela Moderna - Montréal - Canada


    [verso]

    Qu’il aille au diable !

    Et qu’avec lui disparaisse pour toujours son abominable régime, chancre de l’Europe

    Trente années de crimes accompagnant les pas de Franco, plus de trois cents mois de forfaits perpétrés dans son sillage, c’est assez, c’est trop, cela ne peut durer. Il faut accourir au secours d’une population écrasée de malheurs par un potentat papelard, fasciste de surcroît et hitlérien également.

    Que Franco subisse le sort de Mussolini ou celui des condamnés à mort de Nuremberg, qu’il se retire dans une lointaine et obscure retraite, peu nous chaut, pourvu que les Espagnols débarrassés du poids de son odieuse présence retrouvent au plus tôt le goût et les possibilités de vivre.

    Franco le protégé et le complice d’Hitler aurait d’ailleurs intérêt à se faire oublier

    Hitler créa Franco en 1936-1939

    Voyez-le en compagnie de l’autre monstre en gare d’Hendaye à la fin de 1940.

    [photo d’Hitler et Franco saluant des soldats allemands à Hendaye]

    Honteuse collusion, héritage sanglant qui ne lui donnent pas le droit de martyriser les antifascistes supportant mal son joug accablant.

    Franco prolonge Hitler en 1964

    Une entente entre nations a toujours été souhaitable, mais pas entre deux misérables gredins et scellée dans le sang des hommes. Celle qui s’amorce présentement entre la France et l’Allemagne remporte, au contraire, notre adhésion et nous en saluons l’aurore, tout en regrettant qu’elle ne se fit pas au début du siècle — alors qu’elle nous eût valu une ère de paix éminemment profitable aux individus comme aux peuples.

    Franco ayant bouclé ses malles et quitté le pays à jamais ; la liberté ayant reconquis ses droits dans la péninsule ibérique enfin purifiée ; la presse, les syndicats, les diverses organisations, la pensée ayant retrouvé leur expression première ; les prisons ayant largement ouvert leurs portes et les exilés étant de retour dans leur patrie d’origine, un très long cauchemar aura cessé et la paix mondiale y trouvera son compte.

    Nous n’aurons de cesse que ce soit vrai ! Que la dictature soit répudiée en Espagne !

    Le Comité pour l’Espagne libre et tous ses membres : Colette Audry, Vincent Auriol, Claude Autant-Lara, Robert Barrat, Ch.-Aug. Bontemps, Claude Bourdet, André Breton, Jean Cassou, Jean Cotereau, Denis Forestier, Jean Galtier-Boissière, Maurice Joyeux, Alfred Kastler, Henri Laugier, Morvan Lebesque, Louis Martin-Chauffier, Georges Montaron, Jean Paulhan, André Philip, Emmanuel Roblès, Laurent Schwartz, Manès Sperber, le bâtonnier Thorp, Henry Torres, Robert Treno.

    S’adresser, pour le Comité, à Louis Lecoin, 20, rue Alibert, Paris 10e

    Imp. « EP », 232, rue de Charenton, Paris 12e


    sources :

    Reproduction de l’affiche du Comité pour l’Espagne libre (1964), probablement après le garrotage de Puig Antich (1974) qui semblait avoir été imprimée au dos d’une autre (« Qu’il aille au diable ! Et qu’avec lui disparaisse pour toujours son abominable régime Nous n’aurons de cesse... que la dictature soit répudiée en Espagne », 160 × 115 cm)






    [Free religion’s prisoners]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Free religion’s prisoners]. — Evanston (Ill.) : Mayday, [ca ]. — 1 affiche (impr. photoméc.) : n. et b. ; 72 × 53 cm.

    • Affiches par pays  : États-Unis
    • Lieux d’archivages  : CIRA (Lausanne)
    • Liste des thèmes  : religion et spiritualité (en général)
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  :
    notes :
    descriptif :
    Symbole(s) utilisé(s) :

    [ texte (manuscrit) ; dessin (homme nu enchainé avec boulet au pied) ]

    texte :

    Free religion’s prisoners

    The idea of God implies the abdication of human reason and justice ; it is the most decisive negation of human liberty and necessarily ends in the enslavement of mankind both in theory and practice.

    He who desires to worship God must harbor no childish illusions about the matter but bravely renounce his liberty and humanity.

    Bakunin

    Mayday PO Box 176 Evanston, Ill. 60204


    sources :
     






    [Gardes fous]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Gardes fous]. — Paris : [s.n.], . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (une  : rouge ) ; 60 × 42 cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  : FACL (Fonds d’archives communistes libertaires)
    • Liste des thèmes  : presse  ; psychiatrie
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  :
    notes :
    descriptif :


    texte

    dessin (3 dessins grandissants d’un homme entravé dans une camisole)

    texte :

    gardes fous

    Cette revue est le résultat de la rencontre de militants, organisés ou non, qui, tout en se réclamant de courants politiques apparemment différents, manifestent tous par l’action, par la pratique quotidienne, par l’écriture, que la lutte en psychiatrie n’est qu’un des aspects d’une lutte plus générale contre l’oppression exercée par l’État capitaliste, par l’État de classe, par l’idéologie dominante.

    Il apparaît de plus en plus évident que la psychiatrie, née de l’ordre asilaire et contemporaine du colonialisme, a constitué et constitue
    — une des plus grandes supercheries
    — une des plus redoutables inventions de la bourgeoisie et de la société de classes,
    — une des plus odieuses machinations de l’homme contre l’homme.
    — une histoire faite d’escroqueries, de men songes, d’hypocrites, de fausses vérités et d’alibis scientifiques.

    L’appareil psychiatrique a son destin lié à l’ordre capitaliste : il disparaîtra avec lui.

    Cerre revue sera :

    Un instrument de dénonciation de la psychiatrie comme institution de classe.
    Pourquoi ?

    La remise en cause et l’éclatement de la psychiatrie ne proviennent pas d’une crise propre à celle-ci, mais du développement de la lutte des classes.

    Ordre moral et ordre social sont inscrits dans l’idéologie médicale : secret du savoir, hiérarchie du pouvoir, technocratie de la pratique, réadaptation comme finalité.

    La psychiatrie accroît encore son pouvoir par l’utilisation de la psychanalyse. Ainsi renforcée elle prétend désormais apporter des solutions à la crise d’autres institutions telle que la Famille, l’École, la Prison…

    Un instrument d’élaboration et de réflexion.
    Pourquoi ?

    Être fou ne pose pas de problèmes au niveau du technique, mais du politique : au niveau des formes de la famille, de l’éducation, du travail ; au niveau des formes de la sexualité ; au niveau du racisme, etc.

    La folie demande de trouver une autre approche, d’autres solutions que la psychiatrie, en liaison avec la transformation révolutionnaire de la société.

    Un instrument d’information et de coordiantion des multiples batailles dispersées.
    Pourquoi ?

    Le cloisonnement et la division sont les meilleures armes du capitalisme.

    Il faut dénoncer la soumission aux bhiérarchies administratives et médicales qui nous divisent. Il faut rompre la loi du silence imposée par les maffias asilaires, technocratiques et bureaucratiques, qui nous isolent.

    Un instrument de lutte où pourront être abordées les multiples contradictions du champ psychiatrique.
    Pourquoi ?

    C’est ici que se cristallisent les plus fortement les contradictions de classe et les illusions réformistes. C’est ici que l’aliénation de l’homme par l’homme est la plus évidente.

    C’est ici que se réfléchissent les multiples modes de relations entre l’individu et la société.

    C’est ici que la catégorie du désir interroge le mouvement révolutionnaire.

    C’est ici que liberté et folie s’accouplent et se menacent.

    Tout ceci restant à élaborer et à reformuler.

    Un instrument d’impulsion des nouvelles batailles liées à la radicalisation du milieu.
    Pourquoi ?

    Une avant-garde doit se dégager, où les psychiatrisés devront unir leur libération à celle de tous les exclus. Cette lutte est inséparable de tous les combats anti-autoritaires et anti-capitalistes. Elle ne peut être organisée que grâce à l’émergence d’une avant-garde radicalisée parmi les travailleurs de la Senté Mentale et plus particulièrement parmi les infirmiers. Garde Fous n’appelle pas à une critique mais à une rupture et à un renversement de l’ordre existant.

    L’appareil psychiatrique a son destin lié à l’ordre capitaliste : il disparaîtra avec lui.

    Gardes fous
    Cinq numéros par an
    Abonnement annuel : 20 francs
    Prix du numéro : 4 francs

    1, rue des Fossés-Saint-Jacques
    75005 Paris


    sources :

    Revue Gardes fous, ISSN 0339-6673 : n° 1 (févr.-mars 1974)-n° 11-12 (1978)
    http://ark.bnf.fr/ark:/12148/cb34377931b Gardes-fous pour la BnF
    https://lacriee51.blogspot.com/p/garde-fou.html (numérisés)







    [Larzac]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Larzac]. — [S.l.] : Comités Larzac, . — 1 affiche (sérigr. ), coul. (deux  : rouge , noir ) ; x × y cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  :
    • Liste des thèmes  : luttes rurales et paysannes
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  :
    notes :
    descriptif :


    [ titre ; dessin (silhouettes de manifestants sur fond de soleil-chardon rouge) ]

    texte :

    Larzac


    sources :

    Logo du mouvement de lutte contre l’extension du camp militaire du Larzac.





    [Les patrons sont-ils indispensables ?]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Les patrons sont-ils indispensables ?] / ATPOPLG (Atelier populaire de Liège). — Bruxelles = Brussels Bruxelles : [s.n.], [ ?]. — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (une  : bleu ) ; [59 ?] × [40 ?] cm.

    • Affiches par pays  : Belgique  ; France
    • Lieux d’archivages  : CIRA (Lausanne)  ; IISG (Amsterdam)
    • Liste des thèmes  : capitalisme et anticapitalisme
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  :
    notes :
    descriptif :
    Symbole(s) utilisé(s) :

    [ texte ; dessin (BD sur l’exploitation des travailleurs) ]

    texte :

    Les patrons sont-ils indispensables ?

    [BD]

    -- Qu’est-ce que vous avez dit à cet homme ?
    -- Je lui ai dit de travailler plus vite…
    -- Combien le payez-vous ?
    -- 15 dollars par jour…
    -- Où prenez-vous l’argent pour le payer ?
    -- Je vends les produits !!
    -- Qui fabrique les produits ?
    -- Lui !
    -- Combien de produits fabrique-t-il en un jour ?
    -- Pour une valeur de 50 dollars !
    -- Ainsi ce n’est pas vous qui le payez. C’est lui qui vous paye 35 dollars par jour pour lui dire de travailler plus vite !
    -- Hum !
    -- …
    -- Mais c’est moi le propriétaire des machines !!
    -- Et comment avez-vous eu ces machines ?
    -- J’ai vendu les produits et je les ai achetées !!
    -- Et qui a fabriqué ces produits-là ?
    -- Silence ! Il pourrait vous entendre !

    […]

    ATPOPLG


    sources :

    ca 1974 ?

    Une autre version [plus ancienne ?] — d’Yves Giroud — a été éditée par la Ligue marxiste révolutionnaire (1969-1980, Suisse) :

    « Les patrons sont-ils indispensables ? », affiche de la Ligue marxiste révolutionnaire (LMR, 1969-1980) en Suisse. Auteur : Yves Giroud

    [ 1995 ?]

    2009

    [ 1995 ?]

    [ 1995 ?]

    [ 1995 ?]
    Affiches liées