Action directe

 

Voir aussi : Action directe (3 affiches) – 4b1 — Nom de l’éditeur (org. éditrice, ...)

 

Affichage par année

16 affiches :

 

    [Dans les prisons socialistes il reste des prisonniers politiques]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Dans les prisons socialistes il reste des prisonniers politiques]. — Paris : [s.n.], (Édit 71 (Paris)). — 1 affiche (impr. photoméc.) : n. et b. ; 64 × 45 cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  :
    • Liste des thèmes  : prison
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  : Action directe  ; Meins, Holger (1941-1974)  ; Sands, Bobby (1954-1981)
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  :
    notes :
    descriptif :


    texte

    photos de dirigeants (Helmut Kohl, Margaret Thatcher, François Mitterrand)
    photos de grévistes de la faim morts en prison (Holger Meins, Bobby Sands, « ? » )

    texte :

    Dans les prisons socialistes il reste des prisonniers politiques

    [portrait : Helmut Kohl]
    Le 9 novembre 1974, Holger Meins meurt au terme d’une grève de la faim entamée par les prisonniers de la Fraction Armée Rouge à Stammheim et dans les autres prisons spéciales de l’État socialdémocrate d’Allemagee Fédérale.
    [cadavre nu : Holger Meins]

    [portrait : Margaret Thatcher]
    Le 4 mai 1981, Bobby Sands meurt au terme d’une grève de la faim menée par les prisonniers républicains irlandais à Long Kesh, prison spéciale du colonialisme britannique. Neuf autres grévistes de la faim sont morts depuis.
    [affiche de soutien à Bobby Sands, tenu en manifestation]

    [portrait : Francois Mitterrand]
    Depuis le 21 août dernier, des prisonniers politiques, devenus, après avoir été exclus de l’amnistie, les droits communs de l’État PS, ont entamé une grève de la faim pour imposer leur libération immédiate et sans conditions. Mitterrand fait le mort…
    [gros point d’interrogation]

    Ils font la grève de la faim, imposons leur libération

    Comité unitaire pour la libération des prisonniers politiques

    Imprimerie Edit 71 - 22, rue d’Annam - 75020 Paris - tél. 636.89.09


    sources :
     


    [Le cul entre deux chaises ou la farce tranquille de M. Faure]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Le cul entre deux chaises ou la farce tranquille de M. Faure]. — Toulouse : [s.n.], (Imprimerie 34__ (Toulouse : 1973-2014)). — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (deux  : noir , rose ) ; x × y cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  : CDA (FA, Paris)
    • Liste des thèmes  : justice  ; prison
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  : Action directe  ; GARI (Groupes d’action révolutionnaire internationalistes, 1974)
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  : soutien à militants
    notes :
    descriptif :


    [ texte (long) ; dessin (bas de personne se tenant assise à cheval sur deux chaises) ]

    texte :

    Le cul entre deux chaises

    ou la farce tranquille de M. Faure

    Un gouvernement de gauche doit proclamer une Amnistie Générale !

    J’ai lutté sous Giscard contre le nucléaire, l’expulsion des immigrés, le QHS, la peine de mort, le franquisme, le centralisme ; on m’a bâillonné et on m’a jeté en prison.

    Je me suis dit « Comment la droite autoritaire et liberticide une fois balayée, les socialistes me traiteraient-ils en ennemi ! »

    Pourtant, Maurice Faure a parlé de simple remaniement de ce tribunal d’exception, la Cour de Sûreté de l’État. Pourtant Maurice Faure envisage que pour des actes de même nature on puisse amnistier ceux d’entre nous condamnés à 8 ans et garder en prison ceux d’entre nous condamnés à 8 ans et un jour. Alors il suffira que les Tribunaux aient prononcé des peines de 8 ans et un jour ! Pourtant Maurice Faure a permis aux flics d’arrêter et de faire inculper six camarades libertaires comme le pouvoir précédent se l’est toujours permis grâce à cette juridiction.

    Nous n’en pouvons plus d’avoir combattu pour plus de liberté et d’être encore dans les cachots du pouvoir giscardien devenu socialiste parce que Faure écoute flics et juges de l’ancien régime.

    On ne danse pas à la Bastille. On la détruit.

    Amnistie généreuse : non

    Amnistie générale : oui

    [… impr. ?]


    sources :