Noir éditions
Au moins 27 ouvrages recensés dans le Catalogue général des éditions et collections anarchistes francophones.
14 affiches :
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- notes :
- descriptif :
[ texte ; dessin (caricature d’un âne élu à la tribune) de Steinlen ]
- texte :
Aux électeurs...
Électeurs,
Je m’appelle Nul, comme le sont mes concurrents les candidats.Je suis blanc, comme le sont nombre de bulletins qu’on s’obstinait à ne pas compter et qui, maintenant, me reviendront.
Mon élection est assurée.
Vous comprendrez que je parle franc.
Citoyens,
On vous trompe. On vous dit que la dernière Chambre composée d’imbéciles et de filous ne représentait pas la majorité des électeurs. C’est faux.Une Chambre composée de députés jocrisses et de députés truqueurs représente. au contraire, à merveille, les électeurs que vous êtes. Ne protestez pas : une nation a les délégués qu’elle mérite.
Pourquoi les avez-vous nommés ?
Vous ne vous gênez pas, entre vous, pour convenir que plus ça change et plus c’est la même chose, que vos élus se moquent de vous et ne songent qu’a leurs intérêts, à la gloriole ou à l’argent.
Pourquoi les renommerez-vous demain ?
Vous savez très bien que tout un lot de ceux que vous enverrez siéger vendront leurs voix contre un chèque et feront le commerce des emplois, fonctions et bureaux de tabac.
Mais pour qui les bureaux de tabac, les places, les sinécures si ce n’est pour les Comités d’électeurs que l’on paye ainsi ?
Les entraineurs des Comités sont moins naïfs que le troupeau.
La Chambre représente l’ensemble.
Et ça, c’est vous !
On vous trompe, bons électeurs, on vous berne, on vous flagorne quand on vous dit que vous êtes beaux, que vous êtes la justice, le droit, la souveraineté nationale, le peuple-roi, des hommes libres. On cueille vos votes et c’est tout. Vous n’êtes que des fruits… des poires.
On vous trompe, on vous trompe sans cesse. On vous parle de fraternité, et jamais la lutte pour le pain ne fut plus âpre et meurtrière.
On vous parle de patriotisme, de patrimoine sacré — à vous qui ne possédez rien.
On vous parle de probité ; et ce sont des écumeurs de presse, des journalistes à tout faire, maitres fourbes ou maîtres chanteurs, qui chantent l’honneur national.
Les tenants de la République, les petits bourgeois, les petits seigneurs sont plus durs aux gueux que les maîtres des régimes anciens. On vit sous l’œil des contremaîtres.
Les ouvriers aveulis, les producteurs qui ne consomment pas, se contentent de ronger patiemment l’os sans moelle qu’on leur a jeté, l’os du suffrage universel.
Et c’est pour des boniments, des discussions électorales qu’ils remuent encore la mâchoire — la mâchoire qui ne sait plus mordre.
L’ignominie de l’heure présente est telle qu’aucun candidat n’ose défendre cette Société. Les politiciens bourgeoisants, réactionnaires ou ralliés, masques ou faux-nez républicains vous crient qu’en votant pour eux, ça marchera mieux, ça marchera bien. Ceux qui vous ont déjà tout pris vous demandent encore quelque chose :
Donnez vos voix, citoyens !Les mendigots, les candidats, les tirelaines, les soutire-voix, ont tous un moyen spécial de faire et refaire le Bien public.
Écoutez les braves ouvriers, les médicastres du parti : ils veulent conquérir les pouvoirs .. afin de les mieux supprimer.
D’autres invoquent la Révolution, et ceux-là se trompent en vous trompant. Ce ne seront jamais des électeurs qui feront la Révolution. Le suffrage universel est créé précisément pour empêcher l’action virile, Charlot s’amuse à voter...
Et puis quand même quelque incident jetterait des hommes dans la rue, quand bien même, par un coup de force, une minorité ferait acte, qu’attendre ensuite et qu’espérer de la foule que nous voyons grouiller — la foule lâche et sans pensée.
Allez ! allez. gens de la foule ! Allez, électeurs ! aux urnes... Et ne vous plaignez plus. C’est assez. N’essayez pas d’apitoyer sur le sort que vous vous êtes fait. N’insultez pas, après coups, les Maîtres que vous vous donnez.
Ces Maîtres vous valent, s’ils vous volent. Ils valent, sans doute, davantage ; ils valent vingt-cinq francs par jour, sans compter les petits profits. Et c’est très bien :
L’Électeur n’est qu’un Candidat raté.Au peuple du bas de laine, petite épargne, petite espérance, petits commerçants rapaces, lourd populo domestiqué, il faut Parlement médiocre qui monnoie et qui synthétise toute la vilenie nationale.
Votez, électeurs ! Votez ! Le Parlement émane de vous. Une chose est parce qu’elle doit être, parce qu’elle ne peut pas être autrement. Faites la Chambre à votre image. Le chien retourne à son vomissement — retournez à vos députés.
Chers électeurs
Finissons-en. Votez pour eux. Votez pour moi.
Je suis la Bête qu’il faudrait à la Belle Démocratie.
...il est élu
Reproduction d’un numéro de La Feuille de Zo d’Axa (1897-1899), dessin de Steinlen.
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[ gravure (illustration du roman de Jules Verne, Robur le Conquérant) ]
- texte :
[vide]
Illustration de fond du Dos au mur n°2 : Aff0588 (cira L).
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
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[ Bakounine remplit le pot-de-chambre-État ]
- texte :
Contre l’État
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
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[ texte tapuscrit ]
- texte :
Le Dos au mur
journal mural — numéro 1 — décembre 1976
Dire la vie courante, la parler couramment, c’est la vivre. Ce n’est pas simple : la confusion généralisée, celle dans laquelle on trempe quotidiennement, nous en empêche. Cette organisation du quotidien, ,fui en majeure partie nous est imposée, s’étend à fatiguer notre vie.
Plus que le travail c’est le quotidien, organisé en taches séparées, distinctes, confusément amalgamées dans la journée, qui nous épuise. C’est la voiture, le supermarché, le journal, la télé, la famille, la bouffe pré-mâchée.
On ne se retrouve dans rien, on consomme de tout. Le travail se consomme comme des petits pois : seule la marque change, nous pas. Un étrange glissement s’est opéré : le travail a pris notre place et noue, nous ne sommes plus qu’un engrenage de la machine sociale.
Aujourd’hui on tente, par la diminution du nombre d’heures de travail, de revaloriser notre boulot. Mais c’est trop tard. Nous ne sommes plus. On a déjà donné. On a tout donné. Notre force de travail, y a cent ans qu’on nous l’a volée. Notre vie, y a cinquante ans qu’on l’a rachetée sous forme de gadgets. Ça nous aide à survivre.
Alors, le travail, on s’en fout pas mal. Faut simplement tuer le temps au boulot. Faut savoir s’économiser si on veut pas crever jeune. Mais quarante heures à donner à cette racaille, c’est déjà trop.
C’est davantage savoir ce qu’on fait de notre temps qui importe. 4 à 5 heures de moins au boulot pour 4 à 5 heures de plus à la télé. On perd encore au change. La bagarre est ailleurs. C’est notre vie qu’on veut, c’est pas l’aménagement de notre survie.
La gauche, les syndicats, le patronat, les bourgeois, la droite sont identiques pour nous. Ils veulent posséder notre vie. Ils sont unanimes dans un discours confus, imprécis et mensonger. Il y a toujours une catastrophe qui va nous tomber sur le coin de la gueule si on ne fait pas ci, si on ne fait pas ça, qu’ils disent. On leur fait plaisir, et la catastrophe se produit quand même. Ils nous ont tout piqué, en échange on peut jouer avec leur Marchandise.
Les 40 heures, la droite est plutôt contre, la gauche plutôt pour, mais c’est pas clair. Car les 40 heures, ça pourrait être une mesure de relance économique (diminution du chômage, amélioration de la productivité, baisse de l’indice du coût de la vie comme en 1920-1922 augmentation de la consommation, enfin relance de la production).
Mais les politiciens ont ceci de commun (qu’ils soient de gauche ou de droite) : leur bêtise et leur manque d’audace.
La décadence de la bourgeoisie ne vaut que par le spectacle qu’elle nous donne.
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
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[ texte tapuscrit ; filigrane (bateau de Robur le Conquérant) ]
- texte :
Le Dos au mur
journal mural — numéro 2 — décembre 1976
La vie s’écoule, la vie s’enfuit,Les jours défilent au pas de l’ennuiParti des rouges, parti des gris,Nos révolutions sont trahies.Le travail tue, le travail paie,Le temps s’achève au supermarché,Le temps payé ne revient plus,La jeunesse meurt de temps perdu.Les yeux fait pour l’amour d’aimerSont le reflet d’un monde d’objetsSans rêve et sans réalité,Aux images nous sommes condamnés.Les fusillés, les affamés,Viennet vers nous du foud du passéRien n’a changé, mais tout commence,Et va mûrir dans la violence.Brûlez, repaires de curés,Nids de marchands, de policiers !Au vent qui sème la tempêteSe récoltent les jours de fête.Les fusils sur nous dirigésContre les chefs vont se retourner.Plus de dirigeants, plus d’État,Pour profiter de nos combats.- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
[ Publicité pour un ouvrage, reproduisant la couverture par Jean-Pierre Ducret : Bakounine regarde travailler Schwitzguebel au tour ]
- texte :
Michel Bakounine, une vie d’homme
Jeanne-Marie
noires éditions
Affiche imprimée pour l’édition d’un ouvrage : Michel Bakounine : une vie d’homme (1976), éditions Noir (Genève).
« Noires éditions » au lieu de « Noir éditions ».
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
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[ texte ; dessin (homme avec fusil couché/mort sur sigle CNT saignant, présentation d’une publication) ]
- texte :
Fernando Gomez-Pelaez
Santiago Carrillo ou l’histoire falsifiée
Si vous voulez perdre vos illusions, lisez toute la production des éditions Noir - Case 67 - 1211 Genève 4
Prix : 3 francs
Noir
GenèveGroupe 1er Mai
Annecyoriginal de la couverture (1re et 4e page) de la brochure Santiago Carrillo ou l’histoire falsifiée (1976).
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- notes :
- descriptif :
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[ texte ; dessin (reproduction d’une œuvre de Costantini représentant le massacre de Chicago de mai 1886 : les traits des policiers sont ceux de quatre présidents des États-Unis) ]
- texte :
Chicago, mai 1886
L’année 1886 fut, aux États-Unis, une année de durs conflits sociaux. Une loi « des 8 h. de travail par jour » était à l’origine d’une lutte entre patrons et travailleurs. Une grève générale fut décidée pour le 1er mai, par l’Union Nationale des Travailleurs, afin d’obtenir leur droit par l’action directe.
À Chicago :
Le 1er mai, un meeting de plus de 25.000 travailleurs se termina par des brutalités policières inouïes.
Le 2 mai, une foule immense protesta contre la démence policière.
Le 3 mai, environ 8.000 grévistes étaient rassemblés devant l’usine de Mac Cormick, afin de protester contre ces salauds de patrons (1.200 licenciements dans l’usine) et cette vermine policière, lorsque les flics leurs tirèrent dessus tuant 6 ouvriers et en blessant plus de 50.
Le 4 mai, nouveau meeting de protestation qui s’était pourtant déroulé dans le calme, avant que les flics commencent à charger. Soudain, une bombe explosa, tuant un flic et en blessant 7 autres.
Les jours suivants, un vent de panique souffle chez les capitalistes, qui interdisent aussitôt les meetings, les publications anarchistes et socialistes. Qui arrêtent différents éditeurs et imprimeurs et qui accusent de meurtre les responsables des récents meetings.
Le 11 novembre 1887, Fischer, Engel, Parsons et Spies (principaux orateurs de mai 1886) sont pendus à Chicago. Ling s’était suicidé en prison.
En juin 1893, un décret du gouvernement de l’Illinois a remis en liberté Schwab, Fielden et Neebe en reconnaissant que tout le procès des anarchistes avait été une abominable crapulerie : faux témoignages, jurés achetés, verdict rendu d’avance…- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
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[ texte (couverture de livre) ; dessin (labyrinthe) ]
- texte :
Jacques Probst
Jamais la mer n’a rampé jusqu’ici
L’Amérique
Douze face à moi
Considérant l’étendue du désastre, le désert ouvert devant, derrière lui, à main droite.
gauche
il s’assit. Décapsule la bouteille. Le première gorgée ravagea son estomac, mais la seconde, troisième, quinzième, vingt-huitième peuplèrent bientôt le désert d’être familiers, amicaux. Tous y allaient à son égard d’un signe, consolation, encouragement. Courage ? Quel besoin de quel courge ? Autour de lui, toute surface est plane. La bouteille fur vide. Dernière bouteille.Éditions Noir
case postale 167 CH-1211 Genève 4
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
[ Publicité pour un ouvrage, reproduisant la couverture par Jean-Pierre Ducret : Bakounine regarde travailler Schwitzguebel au tour ]
- texte :
Michel Bakounine, une vie d’homme
Jeanne-Marie
volume en vente chez les bons libraires
Noir - case 167 — 1211 Genève 4
Affiche imprimée pour l’édition d’un ouvrage : Michel Bakounine : une vie d’homme (1976), éditions Noir (Genève).
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
[ texte ; dessin (ouvrier et son vélo) ; A cerclé ]
- texte :
Dimanche : votation
Lundi : à l’usine
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- notes :
- descriptif :
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affiche n/b
[ visage d’un probable politicien plus texte ]
- texte :
Votez Con
[dessin]
Vous n’avez pas le choix
Le texte est repris d’un dessin de Wolinski sur la « Une » de Charlie hebdo n° 17 (14 mars 1971).
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
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[ texte (citation de Proudhon) ; photo (femme, portant un bouquet de fleurs, devant un drapeau noir/sombre ? dans un défilé, Budapest) ]
- texte :
Être gouverné, c’est être gardé à vue, inspecté, espionné, dirigé, légiféré, réglementé, parqué, endoctriné, contrôlé, estimé, oppressé, censuré, commandé
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
[ BD par Simon Zimon, reprise de l’édition Noir, Genève ; vignette par Soulas ]
- texte :
Histoire des choses molles et des trucs durs
par Simon Zimon
© Noir […][…]
Alternative libertaire
Mon Dieu, faites que l’anarchie réussisse !Reprise de l’édition Noir (Genève). Simon Zimon est un pseudonyme de Pierre Enckell. Affiche encartée dans Alternative libertaire n° 58 (janvier 1984).
[Aux électeurs... ...il est élu]
[Aux électeurs... ...il est élu] / Théophile Alexandre Steinlen. — Genève : Noir éditions, [ca ]. — 1 affiche (impr. photoméc.) : n. et b. ; 62 × 44 cm.
sources :
[Bateau de Robur le conquérant]
[Bateau de Robur le conquérant]. — Genève : Noir éditions, . — 1 affiche (impr. photoméc.) : n. et b. ; 44 × 31 cm.
sources :
[Contre l’État]
[Contre l’État] / Jean-Pierre Ducret. — Genève : Noir éditions, . — 1 affiche (impr. photoméc.) : n. et b. ; 62 × 44 cm.
sources :
[Le Dos au mur, journal mural, numéro 1, décembre 1976]
[Le Dos au mur, journal mural, numéro 1, décembre 1976]. — Genève : Noir éditions, . — 1 affiche (sérigr. ), coul. (une : brun ) ; 44 × 31 cm.
sources :
[Le Dos au mur, journal mural, numéro 2, décembre 1976]
[Le Dos au mur, journal mural, numéro 2, décembre 1976]. — Genève : Noir éditions, . — 1 affiche (sérigr. ), coul. (une : brun ) ; 44 × 31 cm.
sources :
[Michel Bakounine, une vie d’homme : Jeanne-Marie]
[Michel Bakounine, une vie d’homme : Jeanne-Marie] / Jean-Pierre Ducret. — Genève : Noir éditions, . — 1 affiche (impr. photoméc.) : n. et b. ; 63 × 43 cm.
sources :
![]() 1977 |
[Santiago Carrillo ou l’histoire falsifiée]
[Santiago Carrillo ou l’histoire falsifiée] / Jean-Pierre Ducret. — Annecy ; Genève : FA__. Groupe 1er Mai (Annecy) : Noir éditions, . — 1 affiche (impr. photoméc.) : n. et b. ; 30 × 21 cm.
sources :
[Chicago, mai 1886]
[Chicago, mai 1886] / Flavio Costantini. — Genève : Noir éditions, [ca ]. — 1 affiche (impr. photoméc.) : n. et b. ; 44 × 62 cm.
sources :
![]() 1974 |
[Jacques Probst, Jamais la mer n’a rampé jusqu’ici]
[Jacques Probst, Jamais la mer n’a rampé jusqu’ici]. — Genève : Noir éditions, . — 1 affiche (impr. photoméc.) : n. et b. ; 42 × 29 cm.
sources :
[Michel Bakounine, une vie d’homme : Jeanne-Marie]
[Michel Bakounine, une vie d’homme : Jeanne-Marie] / Jean-Pierre Ducret. — Genève : Noir éditions, . — 1 affiche (impr. photoméc.) : n. et b. ; 40 × 30 cm.
sources :
![]() 1976 |
[Dimanche : votation - Lundi : à l’usine]
[Dimanche : votation - Lundi : à l’usine]. — Genève : Noir éditions, . — 1 affiche (impr. photoméc.) : n. et b. ; 62 × 44 cm.
sources :
[Votez Con ; Vous n’avez pas le choix]
[Votez Con ; Vous n’avez pas le choix]. — Genève : Noir éditions, . — 1 affiche (sérigr. ) : n. et b. ; 62 × 44 cm.
sources :
[Etre gouverné, c’est être gardé à vue, inspecté, espionné, ...]
[Etre gouverné, c’est être gardé à vue, inspecté, espionné, ...]. — Genève : Noir éditions, [ca ]. — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (une : noir , papier de couleur ) ; 59 × 42 cm.
sources :
![]() 1993 |
![]() 1993 |
![]() 1983 |
![]() 1984 |
![]() 2006 |
![]() [s.d.] |
![]() 2013 |
![]() 2013 |
![]() 2013 |
[Histoire des choses molles et des trucs durs]
[Histoire des choses molles et des trucs durs] / Philippe Soulas ; Simon Zimon. — Bruxelles = Brussels Bruxelles : Alternative libertaire mensuel (Bruxelles) : Noir éditions, (22_mars, impr. du (Bruxelles)). — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (deux : noir , jaune , papier blanc ) ; 61 × 43 cm.
sources :
![]() 1991 |