
Collectif pour l’affichage libre "Murs blancs peuple muet !" [et/puis] « Murs blancs - Peuple muet ! »
Collectif créé à Lyon en 2001 et qui vit jusqu’en juin 2002.
Un historique est paru sur rebellyon.info en mars 2004 :
Petit historique d’un éphémère collectif : le collectif pour l’affichage libre (octobre 2001 à juin 2002) Publié le 6 mars 2004En ce temps là les français-es avaient peur : l’insécurité régnait dans les rues qui étaient aux mains des « sauvageon-nes » (dixit Jean-Pierre Chevènement, ministre, de gauche, de l’intérieur de la France entière) : le PS pluriel au
pouvoir apprenait le surf sur la vague sécuritaire.En 2001, à Lyon, l’ancien maire, Raymond Barre, créateur entre autres des décrets anti-bruits (de fêtes de jeunes) et surtout installateur de la vidéo-surveillance dans le centre ville (52 caméras pour commencer modestement) était poussé hors de l’hôtel de ville par la fameuse gauche plurielle et Gérard Collomb s’installait sur le trône. Gérard nous rassura tout de suite : il poursuivra bien le travail de mise en place de mesures totalitaires. Ouf !
Par exemple, en automne 2001, la gauche s’attaque à la saleté : crottes de chien , ordures sauvages et pendant qu’on y est, tags et affichage sauvage. Ca s’appelle « plan propreté ». Certain-e-s se disent alors : « tiens ! voilà la liberté d’expression poussée dans le caniveau avec la merde d’un même coup de balai ». En effet bon nombre d’assoces, de groupes (culturels, politiques), de syndicats, d’individu-e-s usent et abusent de l’affiche sauvage comme moyen économique et assez efficace pour diffuser idées et infos. Mais aussi, un bon nombre les lit. Du coup ces personnes créent, en oct. 2001, le collectif pour l’affichage libre (CAL). De fait, elles et ils ne s’adressaient pas à la mairie : le but n’était pas d’obtenir 30 ou 40 panneaux. Le CAL a été une caisse résonance pour revendiquer la pratique de l’affiche libre et encourager son extension : tolérance zéro pour (les géants de) la pub et tout le pouvoir aux modestes et créatifs formats A3 et A4.
Un appel est lancé : « Collomb nos affiches, toutes et tous ensembles, pendant une manif » (nov. 2001). Celle-ci est violemment attaquée par la police (matraquages, coups et arrestations) et une personne, stéphane, sera convoquée devant le tribunal pour violences et insultes envers les douces forces de l’ordre.
Désormais les activités du CAL s’orientent selon plusieurs axes principaux. Soutenir Stéphane (recueil de témoignages de manifestant-es et de passant-es, récolte d’argent, rassemblement dans le tribunal). Dénoncer le système de répression et de contrôle sur toute forme d’expression jugée non conforme ou non commerciale. Le CAL organisa des campagnes d’affiches et de tracts, un concert de soutien, des expos d’affiches, des restos, des manifs, …
On s’intéressa à nos activités : une vingtaine d’articles dans la presse militante, locale et nationale. Même la CGT flics municipaux fut touché par le débat sur l’affichage libre. Un panel assez représentatif des médias en action (T.V., presse, radio) se fit remarquer le jour du procès.
Stéphane, à la fin de l’épisode est condamné, pour un classique « outrage et rébellion », à payer 2 000 € (amende, dommages et intérêts, frais d’avocats des flics).Les activités du CAL cessent finalement vers juin 2002, malgré le maintien du plan de la mairie. Cet automne 2003, 3 personnes ont été condamné (sans peine) pour affichage sauvage. Et les murs de certains quartiers sont toujours aussi couverts d’affiches. À suivre…
Gissédéco
Le visuel-slogan « Murs blancs - Peuple muet ! » continue à être utilisé sur Lyon plusieurs années après la fin du collectif.
10 affiches :
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
[ texte ; logo (« murs blancs, peuple muet ! ») ; dessin d’après photo célèbre (poing levé depuis une prison) ]
- texte :
La prison, miroir d’une société d’enfermement
Au même titre que les centres de rétention, les camps de réfugiés, les zones d’attente pour les clandestins, les prisons nous dessinent la carte du monde des États et de l’économie.
Les ghettos où l’on enferme la misère, où l’on enterre la révolte sont les véritables visages de notre présent.
La prison n’est ainsi que l’iceberg d’une condition d’enfermement bien plus large et massive de la société toute entière, elle en est une partie intégrante et toutes deux interagissent ensemble.
Aujourd’hui nous nous trouvons en face d’un système social qui se base sur le vol du plus grand nombre, sur l’extermination de masse pour garantir les privilèges d’une minorité, un système aussi basé sur la négation de la liberté, la torture et l’enfermement de ceux qui se rebellent contre leurs conditions de servage ou refusent les mécanismes qui leurs sont offerts pour devenir partie intégrante du système de mort que la société impose pour garantir certaines libertés à quelques individus.
Le « droit à la sécurité » n’est donc pas une condition de la liberté comme l’affirment les propagandistes du régime. Cette sécurité n’est que l’autre nom de la violence d’État par laquelle se perpétuent l’exploitation et la misère du plus grand nombre.
Ainsi la construction de nouveaux centres pénitentiaires accompagne une surveillance et un contrôle social plus en plus sophistiqué sous le couvert d’une nécessaire sécurité. : urbanisme de ghetto, vidéo-surveillance, cohortes de vigiles et de flics, fichage systématique, citoyen-flic...
De plus le secteur carcéral avec sa main d’œuvre captive et presque gratuite est susceptible d’engendrer de larges profits au lieu d’engloutir des fonds publics : salaires défiant toute concurrence, charges sociales et couverture sociale inexistantes, aucun droit (du travail, syndical, ou autre). Vive le libéralisme intra-muros.
Aujourd’hui on ne peut se contenter de belles phrases, de vœux pieux, de slogans : si la critique de la prison se limite à « à bas la prison ! », elle reste particulièrement inoffensive.
Les attaques théoriques contre l’univers carcéral ne peuvent remplacer les urgences constantes que sont les liens, les passerelles existantes ou à faire exister entre le « dehors » et le « dedans ».
La lutte contre la prison commence au quotidien dans tout ce qui peut être arraché au quotidien de l’enfermement.
Lier les luttes de ceux et celles qui ne se résignent pas au projet d’anéantissement qui leur est réservé avec celles qui se déroulent dans cette autre prison qu’est la société doit constituer un de nos objectifs principaux.
Car chaque brique que l’on ôtera à la prison, chaque fois que son exorbitant pouvoir de nuisance lui sera contesté ce sera un mur entier de l’édifice social qui s’effondrera.
La moindre défaite des enfermeurs est une baffe à la face de l’État, un pas vers la liberté qui sape la toute puissance des propriétaires de ce monde et nous rapprochera de notre désir, un monde sans État, sans argent et sans classes.
Débat avec Yves Peyrat, samedi 17 mai à 15 h
[logo poing avec pinceau à encoller :] « Murs blancs, peuple muet ! » La Gryffe est membre du collectif Affichage libre - [logo] Librairie libertaire La Gryffe
Librairie libertaire La Gryffe
5, rue Sébastien Gryphe, 69007 Lyon - Métro Saxe-Gambetta - Tél. / fax : 04 78 61 02 25. www.lagryffe.net
Ouverture du lundi au vendredi de 14 à 19 h - le samedi de 10 h à 12 h 30 et de 14 h à 19 hhttp://lagryffe.net/LA-PRISON-MIROIR-D-UNE-SOCIETE-D,120.html
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
[ texte ; logo (« murs blancs, peuple muet ! ») ; photo (ouvrier penché dans une machinerie) ]
- texte :
On recherche 7 millions d’ouvriers
« Ça me tombe dessus, comme une vague de désespoir, comme une petite mort, comme la brûlure de la balle sur la tempe. »
Ça, c’est le travail à l’usine où de plus en plus on perd sa vie à la gagner, dans des conditions qui empirent.
Ça, dans la peur de l’accident, de la mort qui rôde dans cette usine chimique déglinguée classée « Seveso » de la banlieue de Rouen, sœur de l’usine AZF de Toulouse.
Ça, c’est l’ennui des tâches répétitives, la fatigue absolue du travail posté ou l’alcoolisme, les cachets permettent de tenir.
Ça, c’est le travail toujours plus rude, plus précaire, plus fragile entre dégraissages, rumeurs de fermeture, pressions de la hiérarchie, management oppressant et déstabilisant.
Ça, c’est l’isolement, la disparition de la solidarité, de l’esprit de lutte collective face au patron.
Ça, c’est le mépris de l’encadrement, des gestionnaires pour lesquels on n’est qu’un coût, un moyen de production, bon à rouler dans la farine à la moindre occasion.
Cependant dans cet endroit, on tente de vivre pour soi : moments arrachés en douce au patron, apéros, belote, jeux vidéos...
C’est la lutte dans un atelier qui tourne à la victoire des ouvriers.
C’est la montée à Paris en car, la manif devant le siège social, le saccage, l’occupation des locaux, la crainte sur le visage des chefs petits, moyens, grands, face à cette perturbation inimaginable de leur ordre.
C’est aussi la grève courte, longue, catégorielle ou non qui montre qu’on vit, qu’on résiste, qu’on pense, qu’on refuse.
Jean-Pierre Levaray, ouvrier dans la chimie depuis 30 ans, parle de ce qu’il vit.
Il raconte le quotidien des ouvriers sur lesquels la télévision ne se penche qu’exceptionnellement, à l’occasion d’un plan social plus brutal que les autres ou quand les ouvriers menacent de faire sauter leur usine.
Cette classe ouvrière chargée dans les discours politiques et syndicaux d’un passé pas si lointain de changer le monde est devenue une véritable classe fantôme, absente, niée, transformée par la magie des mots en « opérateur », « salarié », voire « France d’en bas ». Ils sont absents des débats des plateaux de télévision, des films, des livres, de la radio, des chansons.
Et pourtant ce sont près de 7,8 millions d’individus qui sont des ouvriers soit 27,6 % de la population active. Si on y ajoute , 3,7 millions de travailleurs précaires et 7,8 millions d’employés, cela fait du monde et cela pose beaucoup de questions sur le travail,le salariat,les projets de transformation sociales...
Jean-Pierre Levaray est ouvrier, militant syndical CGT, animateur du label de musique « On a faim », libertaire. Il a publié : Putain d’usine et Après la catastrophe (sur l’explosion de l’usine AZF) aux éditions l’Insomniaque. Classe fantôme, chroniques ouvrières vient de sortir aux éditions du Reflet.
Débat avec Jean-Pierre Levaray, samedi 13 décembre à 15 h
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- notes :
- descriptif :
[ texte ; logos (« murs blancs, peuple muet ! », « copy = right ») ]
- texte :
SIDA, l’autre guerre
Quand 10 000 personnes meurent chaque jour du sida, ce qui se joue, c’est une guerre.
En décembre 2002 et après un an de négociations, l’OMC n’est pas parvenue à trouver une solution dans la controverse concernant l’accès aux génériques dans les pays en développement et cela malgré l’objectif clairement fixé durant la conférence de Doha en novembre 2001 et malgré de nombreux accords internationaux signés par les membres de l’OMC déclarant que l’accès au standard de soins médicaux le plus élevé est un droit humain fondamental.
L’heure est au bilan : cette année 15 millions de personnes sont mortes de maladies infectieuses pour lesquelles existent des médicaments, plus de 3 millions sont mortes du sida en l’absence de tout accès aux traitements.
Les médicaments génériques sont essentiels parce qu’abordables dans les pays en développement où les gens ne peuvent payer les prix exorbitants imposés sur le marché international par les multinationales pharmaceutiques.
Il a été démontré que l’application aveugle des règles de protection intellectuelle qui prévalent dans les pays du Nord est inadaptée aux pays en développement et a des conséquences néfastes sur leurs populations. Dans le domaine de la santé, les multinationales n’ont pas besoin des marchés des pays d’Afrique, d’Asie, d’Amérique latine et des Caraïbes pour rentabiliser la recherche et le développement de leurs produits et faire de très grands profits. En revanche, leurs monopoles tuent.
L’échec cuisant des négociations à l’OMC portant sur l’exportation de génériques s’explique simplement. Pendant un an, un certain nombre de pays riches n’ont poursuivi qu’un objectif : revenir sur le principe acquis à Doha selon lequel la santé publique doit primer sur les intérêts commerciaux. Les pays riches, en refusant une véritable réflexion et de véritables négociations, ont prouvé l’inefficacité et la dangerosité du système qu’ils ont souhaité imposé au reste du monde.
Cependant, un autre monde est possible, un monde où les gens peuvent avoir accès aux médicaments essentiels. Les multinationales pharmaceutiques font d’énormes profits sur le marché des pays riches. Pendant ce temps, les pays en développement peuvent développer les échanges Sud-Sud entre pays et le partage des technologies afin de produire ou d’importer des copies de n’importe quel produit de santé dont ils ont besoin pour leurs populations. (extraits d’un communiqué commun d’associations contre le SIDA à Porto Alegre).
Nous recevrons des militants d’Act-Up Paris samedi 12 avril afin de discuter des dernières évolutions de cette guerre, de partager leurs expériences de lutte, et pourquoi pas, envisager des initiatives dans le cadre du prochain G8 à Évian…
Débat avec des militants d’Act-Up Paris
Samedi 12 avril à 15 h
[logo poing avec pinceau à encoller :] « Murs blancs, peuple muet ! » La Gryffe est membre du collectif Affichage libre - [logo] Librairie libertaire La Gryffe
Librairie libertaire La Gryffe
5, rue Sébastien Gryphe, 69007 Lyon - Métro Saxe-Gambetta - Tél. / fax : 04 78 61 02 25. www.lagryffe.net
Ouverture du lundi au vendredi de 14 à 19 h - le samedi de 10 h à 12 h 30 et de 14 h à 19 h- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
- Symbole(s) utilisé(s) : flèche cerclée (intersquatt) ⚡ — +O miroir de Vénus ♀ — chat noir — poing levé /B_tout>
[ texte ; logos (« murs blancs, peuple muet ! », chat noir cerclé lisant) ; dessin (pingouin du libre avec pied de biche et fléche cerclée des squarts) ]
- texte :
Le propriétaire c’est le vol !
Debout les octets de la terre !
La première fois que vous vous êtes servis de l’alphabet pour écrire vos premières phrases, on ne vous pas demandé de payer l’utilisation des lettres. De toute façon à 5 ans vous aviez la tête ailleurs. La première fois que vous vous êtes servis d’un ordinateur pour faire votre CV, ou faire un graphique, on ne vous a pas demandé de payer. De toute façon on vous avait copié Word et Excel.
Mais la différence c’est que si l’alphabet est gratuit, le traitement de texte ne l’est pas. Un jour son format peut changer et vous serez obligé de passer à la nouvelle version en payant, pour ne pas être coupé des messages du monde extérieur.
Internet qui avait été inventé au départ pour permettre à des utilisateurs de machines différentes de communiquer entre elles est aussi en train de se refermer, puisque de plus en plus de sites réclament impérativement le navigateur web de Microsoft pour fonctionner.
Avec l’extension des brevets sur le logiciel et la course effrénée aux mises à jour payantes beaucoup se posent la question de la libre circulation des informations dans le monde.
Des logiciels libres ont donc vu le jour, qui sont gratuits et modifiables, comme OpenOffice.org pour le traitement de texte, Mozilla pour l’Internet, GNU Linux pour le système d’exploitation. Ils sont développés par des collectifs de bénévoles sur Internet.
Pour découvrir ce que sont les logiciels libres et ce ce qui les menace actuellement - brevetage, loi sur l’économie numérique - nous vous invitons à venir rencontrer Blouk Blouk, atelier d’informatique libre lyonnais qui veut rapprocher militantEs politiques et militantEs des logiciels libres.
Débat organisé dans le cadre du festival FELE-E-S ! du Collectif Lyonnais Après Gênes (Clag)La technique ne concerne pas que les techniciens !
Débat avec BloukBlouk, jeudi 13 mai à 18 h
[logo poing avec pinceau à encoller :] « Murs blancs, peuple muet ! » La Gryffe est membre du collectif Affichage libre - [logo chat noir lisant] La Gryffe
Librairie libertaire La Gryffe
5, rue Sébastien Gryphe, 69007 Lyon - Métro Saxe-Gambetta - Tél. / fax : 04 78 61 02 25.
Ouverture du lundi au samedi de 14 à 19 h - www.lagryffe.net- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
[ texte ; dessin (logo du CLAS!! dont l’ombre portée sur un mur de moellons donne un "A cerclé") ]
- texte :
Soirée de présentation et de soutien du CLAS !!
Collectif Libertaire Anti-Sexiste
samedi 24 novembre
17 h : présentation - discussion du collectif et du manifeste + exposition de dessins
19 h 30 : repas
21 h : concert avec Damn’dynamite (punk)
prix libre
Aux bienvenus - 47, rue des Bienvenus, 69100 Villeurbanne - Métro Gratte-Ciel, T1 arrêt Einstein, Bus 38, 27, 37
[logo CLASS !!] [logo "Murs blancs, peuple muet !"]
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
[ texte ; dessin (capitaliste mettant du carburant dans un char qui écrase une homme) ]
- texte :
L’armée opprime et tue…
Pour défendre les intérêts économiques des riches…
Manifestation
mardi 11 novembre à 14 h 30
Place Lyautey - Lyon 6e
[logos :] CNT Confédération nationale du Travail — Librairie la Gryphe — Radio Canut — CGA Coordination des Groupes Anarchistes - OCL ★ Organisation Communiste Libertaire
[logo :] « Murs blancs, peuple muet ! »http://www.cnt-f.org/conf/IMG/png/affiche_11_11-2.png
http://rebellyon.info/Manifestation-antimilitariste-a.html- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
[ texte ; photo (mur couvert d’affiches de la CNT) ]
- texte :
Jeudi 30 avril 2009
Le syndicalisme comme projet de société
Débat à 20 h
18 h 30, ouverture bar et sandwichs
Crise = hold-up
Grève générale
Syndicalisme d’action directe
Autogestion des entreprises et des quartiers
Démocratie directe
Solidarité internationale
Lutte de classe
Anticapitalisme - Antifascisme - Antisexisme
Infos, vidéos, photos de la campagne de la CNT 69
Syndicats CNT du Rhône - 44, rue Burdeau - 69001 Lyon
[logo : main avec brosse à encoller] « Murs blancs, peuple muet ! » — [logo chat cerclé CNT] Confédération Nationale du Travail- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
[ texte ; logos ]
- texte :
[logo chat noir inversé] CNT 69 : s’unir pour résister
dimanche 21 juin 2009, concerts de rue
CNT du Rhône, 44, rue Burdeau, Lyon 1er
Protocol Rebel, punk-oi ! (Belley)
Les Maximum Porco, ska (Lyon)
Garuda’s Western Country Club, western rockstique (Lyon)
19 h - concerts
18 h - ouverture
Bar et barbecue
[logo main avec pinceau à encoller :] « Murs blancs, peuple muet ! »
http://www.cnt69.org/
http://www.cnt-f.org/IMG/jpg/affiche_concerts_21_juin_09.jpg
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
[ texte ; dessin (femme écartelée entre 4 bras d’hommes qui la déshabille) par Titom (voir aussi l’analogie avec la série d’affiche d’après un dessin de Cabu) ]
- texte :
[logo] La Plume noire, librairie, bibliothèque, salle de débats et projections
Deux jours contre le sexisme
Vendredi 16 décembre
20 h 30 - Projection
Tomboy (Céline Sciamma, Fr., 201, 1 h 22)
Laure a 10 ans, et sa famille vient de déménager.
Laure est ce qu’on appelle un garçon manqué, et s’habille en jeans/t-shirt/baskets.
Laure a décidé de se faire passer pour un garçon, et s’appelle maintenant Michael.Michael a 10 ans, et sa famille vient d’emménager.
Michael a des parents pas si compréhensifs que ça, qui préfèreraient avoir une fille.Entrée à prix libre
Samedi 17 décembre
Rencontre-débat :
Genre et patriarcat, quelles luttes antisexistes ?15 h
La Plume Noire — 8, rue Diderot, Lyon
[logo "poing au pinceau"] Murs blancs, peuple muet — [logo] CGA - Coordination des groupes anarchistes
http://www.c-g-a.org/content/deux-jours-contre-le-sexisme-la-plume-noire-genre-et-patriarcat-quel-les-luttes-antisexistes
http://www.c-g-a.org/sites/default/files/antisexiste.pdf- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
- /B_tout>
[ texte ; photo (manifestation avec banderole « ripostons au fascisme ») ]
- texte :
Local néo-nazi à Gerland
Multiplication des agressions fascistes
Racisme d’État
Stop !
Ripostons au fascisme
Samedi 9 avril - 14 h 30, Bellecour
À l’appel du Collectif69 de vigilance contre l’extrême-droite [logo : main avec pinceau à encoller :] « Murs blancs, peuple muet ! »
http://rebellyon.info/Ripostons-au-fascisme-le-9-avril.html
http://collectifvigilance69.over-blog.com/article-manifestation-samedi-9-avril-14h30-place-bellecour-70753749.html
http://www.cnt-f.org/IMG/pdf/afiche_antif_9_avril_2.pdf
[La prison, miroir d’une société d’enfermement]
[La prison, miroir d’une société d’enfermement]. — Lyon : Collectif pour l’affichage libre "Murs blancs peuple muet !" [et/puis] « Murs blancs - Peuple muet ! » : Librairie la Gryffe (Lyon : 1978-....), . — 1 affiche (impr. photoméc.) : n. et b. ; 30 × 21 cm.
sources :
![]() 1988 |
![]() [s.d.] |
![]() 1973 |
![]() [s.d.] |
![]() 1976 |
[On recherche 7 millions d’ouvriers]
[On recherche 7 millions d’ouvriers]. — Lyon : Collectif pour l’affichage libre "Murs blancs peuple muet !" [et/puis] « Murs blancs - Peuple muet ! » : Librairie la Gryffe (Lyon : 1978-....), . — 1 affiche (impr. photoméc.) : n. et b. ; 30 × 21 cm.
sources :
[SIDA, l’autre guerre : débat avec des militants d’Act-Up Paris]
[SIDA, l’autre guerre : débat avec des militants d’Act-Up Paris]. — Lyon : Collectif pour l’affichage libre "Murs blancs peuple muet !" [et/puis] « Murs blancs - Peuple muet ! » : Librairie la Gryffe (Lyon : 1978-....), . — 1 affiche (impr. photoméc.) : n. et b. ; 30 × 21 cm.
sources :
[Le propriétaire c’est le vol ! : debout les octets de la terre !]
[Le propriétaire c’est le vol ! : debout les octets de la terre !]. — Lyon : Collectif pour l’affichage libre "Murs blancs peuple muet !" [et/puis] « Murs blancs - Peuple muet ! » : Librairie la Gryffe (Lyon : 1978-....), . — 1 affiche (impr. photoméc.) : n. et b. ; 30 × 21 cm.
sources :
[Soirée de présentation et de soutien du CLAS !!]
[Soirée de présentation et de soutien du CLAS !!]. — Lyon : CLAS (Collectif Libertaire Anti-Sexiste) : Collectif pour l’affichage libre "Murs blancs peuple muet !" [et/puis] « Murs blancs - Peuple muet ! », . — 1 affiche (photocop. ) : n. et b. ; [42 ?] × [30 ?] cm.
sources :
[L’armée opprime et tue pour défendre les intérêts économiques des riches]
[L’armée opprime et tue pour défendre les intérêts économiques des riches]. — Lyon : CGA_ (Coordination des groupes anarchistes : 2002-2019) : CNT_F (France) : Collectif pour l’affichage libre "Murs blancs peuple muet !" [et/puis] « Murs blancs - Peuple muet ! » : Librairie la Gryffe (Lyon : 1978-....) : OCL_ (Organisation communiste libertaire : 1976-....) ; [et al.], . — 1 affiche (impr. photoméc.) : n. et b. ; x × y cm.
sources :
[Le syndicalisme comme projet de société]
[Le syndicalisme comme projet de société]. — Lyon : CNT_F (France) : Collectif pour l’affichage libre "Murs blancs peuple muet !" [et/puis] « Murs blancs - Peuple muet ! », . — 1 affiche (impr. photoméc.) : n. et b. ; 21 × 29 cm.
sources :
[Concerts de rue : dimanche 21 juin 2009]
[Concerts de rue : dimanche 21 juin 2009]. — Lyon : CNT_F (France) : Collectif pour l’affichage libre "Murs blancs peuple muet !" [et/puis] « Murs blancs - Peuple muet ! », . — 1 affiche (impr. photoméc.) : n. et b. ; x × y cm.
sources :
[Deux jours contre le sexisme]
[Deux jours contre le sexisme] / Titom. — Lyon : CGA_ (Coordination des groupes anarchistes : 2002-2019) : CGA_. Groupe de Lyon : Collectif pour l’affichage libre "Murs blancs peuple muet !" [et/puis] « Murs blancs - Peuple muet ! » : la (Lyon) Plume Noire, . — 1 affiche (photocop. ) : n. et b. ; 21 × 30 cm.
sources :
[Ripostons au fascisme]
[Ripostons au fascisme]. — Lyon : Collectif pour l’affichage libre "Murs blancs peuple muet !" [et/puis] « Murs blancs - Peuple muet ! » : Collectif69 de vigilance contre l’extrême-droite, . — 1 affiche (impr. photoméc.) : n. et b. ; [30 ?] × [21 ?] cm.
sources :