1920

 

 

12 affiches :

 

    [1.º Maggio 1920]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    1.º Maggio 1920]. — [S.l.] : Frusta, la (Fano, 1919-1922), . — 1 affiche (impr. photoméc.) : n. et b. ; x × y cm.

    • Affiches par pays  : Italie
    • Lieux d’archivages  :
    • Liste des thèmes  : Premier Mai
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  : Frusta (1919-1922)
    • Vie des mouvements  :
    notes :
    descriptif :


    testo

    texte :

    1.º Maggio 1920

    Il tempo, col suo ritmo uguale ed incessante, ci porge, ancora una volta, l’allegra giornata di sole e d’amore che ha sempre infuso negli uomini turgide speranze e torrenti d’energia. Durante il ridestarsi della natura - il Primo Maggio - il lavoratore ne volle fare il simbolo della sua festa, la festa della sua integrale redenzione.

    E dopo le titaniche lotte combattute, lasciando lembi della sua vita sulle forche di Chicago, nelle garote di Spagna, sulle piazze e nelle bastiglie d’Italia, di Francia e di tutto il mondo, ottenne finalmente la sua giornata, che la Francia ed il Belgio legalizzò, e tutte le altre nazioni tollerarono.

    E per quattro o cinque lustri il lavoratore d’ogni paese ha goduto della sua festa, indisturbato, fra gli inni, le fanfare, i canti ed i vessilli infiammanti, dimenticando il martirologio dei suoi caduti e lo scopo della giornata.

    L’intento della borghesia fu raggiunto.

    Il Primo Maggio, esplicazione di forze rivoluzionarie, divenne il simbolo delle divagazioni epicuree.

    Poi venne la guerra capitalista che sospinse il riluttante proletariato ad uccidersi in olocausto della patria, animato dalle promesse mendaci.

    E alla sospirata tregua d’arme, i lavoratori, tornando - quelli che son tornati - invece del lavoro, della pace, della giustizia, trovò i focolari spenti, i congiunti famelici, i campi incolti, le officine deserte, e fame, desolazione, disoccupazione ovunque.

    Allora si. rammentò delle promesse ’fattegli durante il pericolo e reclama ora il suo diritto, che il governo compensa cori piombo e galera ; e s’avvide che il prode soldato di ieri è diventato la teppa di oggi.

    Ed ora che in Italia gli eccidi di popolo non si contano più, che i morti si moltiplicano di giorno in giorno, il tempo col suo ritmo eguale ed incessante, ci porta ancora il Primo Maggio, la festa della nostra riscossa, e l’affida alla nostra coscienza rivoluzionaria.

    Sapremo, noi, approfittare della data fatidica da tanto attesa ? O ci perderemo in oziose coreografie ?

    La "dolce pasqua dei lavoratori „ la celebreremo domani, dopo la lotta, se ci saremo, non oggi, polche gl’insepolti caduti da mano omicida, son là, che attendono la nostra promessa.

    Rivoluzionari, siamo una volta degni di questo nome !

    Non deludiamoli,

    “La Frusta”


    sources :

    Vd. : Balsamini, Luigi ; Sora, Federico. — Periodici e numeri unici del movimento anarchico in provincia di Pesaro e Urbino : dall’Internazionale al fascismo, 1873-1922 : bibliografia e collezione completa. — Fano : ABET (Archivio-Biblioteca Enrico Travaglini), 2013. — P. 547-832 :
    quarta e quinta pagina di La Frusta, a. 2, n. 10 (1 mag. 1920).



    [Amiens veut l’amnistie]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Amiens veut l’amnistie]. — Amiens : Fédération Libertaire de la Somme ; [et al.], [ca ]. — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (une  : noir , papier jaune ) ; 120 × 80 cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  :
    • Liste des thèmes  : justice  ; pacifisme
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  : Bastien, Georges (1885-1940)  ; Cottin, Émile (1896-1936)  ; Goldsky, Jean (1890-1969)  ; Graux, Lucien (1890-1950)  ; Morand, Jeanne (1883-1969)
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  :
    notes :
    descriptif :


    [ texte ]

    texte :

    Amiens veut l’amnistie

    Au mépris d’un vote formel de la Chambre des Députés et du Sénat, qui exigeait l’amnistie pour tous les marins de la Mer Noire ;
    Au mépris de la volonté des électeurs qui, par trois fois, ont élu Marty ;
    Écoutant les suggestions des réactionnaires du “Bloc National” ; le gouvernement a refusé d’amnistier Marty, alors qu’il libérait les autres marins de la mer Noire. Le crime de Marty, aux yeux des réactionnaires, c’est d’avoir refusé de massacrer les populations russes, alors que la France n’était pas en guerre avec la Russie.
    Marty n’a fait que son devoir constitutionnel. Le garder en prison pour apaiser la haine des réactionnaires, C’est un défi jeté au peuple tout entier.

    Nous demandons la libération de Marty

    D’un autre côté, Cottin qui n’a pas tué agonise en prison, alors que Villain, l’assassin de Jaurès, est libre.

    Nous demandons l’amnistie pour Cottin

    Jeanne Morand, pour avoir affirmé son désir de paix en pleine guerre ; Goldsky, accusé faussement de trahison par les Daudet et leurs pareils, et bien d’autres nombreuses victimes de la réaction, restent enfermés dans les geôles républicaines.

    Nous demandons l’amnistie pour tous

    Pour tous les Emprisonnés pour Délit d’opinion ;
    Pour tous les Condamnés des Conseils de guerre ;
    Pour tous les Travailleurs frappés pour avoir revendiqué leurs droits.

    Amnistie ! Amnistie !

    Puisque les mercantis, profiteurs, accapareurs, spéculateurs, condamnés pour avoir volé le public, sont amnistiés, c’est bien le moindre qu’on amnistie les braves gens qui se sont soulevés pour la cause du peuple.

    L’Action- Française a osé écrire que la France était le pays le plus réactionnaire du monde.

    Il tient à nous de prouver que ce n’est pas vrai, en réclamant l’amnistie pour tous ceux qui sont déjà frappés et la liberté d’opinion pour tous.

    G. BASTIEN, pour la Bourse du Travail d’Amiens ; L. DUTILLOY, pour la Ligue des Droits de l’Homme ; G. AUBRY, pour l’Union Départementale Unitaire des Syndicats de la Somme ; G. SELLIER, pour l’Union Départementale des Syndicats Confédérés de la Somme ; C. GUILLOT, pour la Fédération Socialiste de la Somme (SFIO) ; L. GRAUX, pour la Fédération Libertaire de la Somme ; J. DUPUIS, de la Fédération Socialiste de la Somme (SFIO)

    [marque syndicale] [xxx ?] — Amiens, Imprimerie nouvelle, 78-80, rue des [Vergers ?]


    sources :

    Archives nationales F/7/13165, A216 :
    https://www.siv.archives-nationales.culture.gouv.fr/siv/media/FRAN_IR_050130/c-azsomwcay-172zmi6uhuv1n/FRAN_0020_15830_L



    [Aux travailleurs ! : amnistie pleine et entière]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Aux travailleurs ! : amnistie pleine et entière]. — Lyon : CDS_ (Comité de défense sociale : 1903-....), . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (une  : noir , papier de couleur ) ; 124 × 85 cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  : Mundaneum (Mons)
    • Liste des thèmes  : bagne  ; justice  ; répression
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  : Berthet, Nicolas (1875-1930)  ; Burdet  ; Fourcade, Henri (1889-1974)  ; Journet, Claude (1880-194.?)  ; Larapidie, Fernand (1885-....)
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  : meetings et manifestations
    notes :
    descriptif :


    [ texte ]

    texte :

    Bourse du Travail de Lyon

    Syndicat des métallurgistes de Lyon

    Comité de Défense Sociale
    (section lyonnaise)

    Aux travailleurs !

    Au lendemain de l’hécatombe sans nom, de l’assassinat en masse de centaines de mille des nôtres, nous étions en droit d’attendre de la part des responsables de ce crime de lèse-humanité un geste qui eût apporté au peuple de France meurtri, un peu de calme et la guérison d’une de ses multiples souffrances.

    En accordant une amnistie pleine et entière, les gouvernants eussent racheté une petite part des multiples qu’ils ont sur leur conscience.

    Leurs victimes sont toujours dans les bagnes et les prisons, souffrant tous les maux que les féroces tortionnaires galonnés et alcooliques, dignes représentants du militarisme français, font souffrir à nos malheureux camarades, qui attendent que la mort vienne les délivrer.

    Les gouvernants n’ont pas assez de victimes à leur actif ; ils en augmentent le nombre déjà grand en emprisonnant de nouveaux camarades, sous le fallacieux prétexte de complot, et appliquant les infâmes Lois scélérates de 1893-1894, pour obtenir des condamnations en étouffant la Défense.

    Devant toutes ces iniquités, et pour que disparaissent à jamais les conseils de guerre militaires et maritimes, les camps de répression de France et d’Algérie ;

    Amnistie pleine et entière

    Contre les poursuites envers les militants syndicalistes et révolutionnaires et l(abrogation des Lois scélérates de 1893-1894

    Vous assisterez en masse au

    Grand Meeting

    qui aura lieu le samedi 19 juin 1920, à 20 heures 30, Gde Salle de la Bourse du travail

    où prendront la parole les camarades :

    Berthet, du Comité de Défense Sociale de Lyon
    Larapidie, du Comité de Défense Sociale de Paris
    Burdet, du Comité de Défense Sociale des marins
    Fourcade, de l’Union des syndicats ouvriers du Rhône
    C. Journet, du groupe des Causeries Populaires

    Il sera perçu un droit d’entrée de 0 fr. 25 pour participation aux frais

    [marque syndicale] Lyon. — Imprimerie de Perrache. A. Traquet, cours Suchet, 13


    sources :
     




    [Grand meeting antimilitariste]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Grand meeting antimilitariste]. — Lyon : CDS_ (Comité de défense sociale : 1903-....), . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (une  : noir , papier de couleur ) ; 123 × 85 cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  : Mundaneum (Mons)
    • Liste des thèmes  : antimilitarisme  ; justice
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  : Berthet, Nicolas (1875-1930)  ; Pioch, Georges (1873-1953)
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  : meetings et manifestations
    notes :
    descriptif :


    [ texte ]

    texte :

    Bourse du Travail
    Comité de Défense Sociale
    section lyonnaise

    Camarades

    le militarisme, que l’on croyait vaincu sur les charniers humains, jette à nouveau son cri de victoire.

    Des milliers d’hommes, qui avaient eu l’espérance de devenir libres, sont toujours sous ses griffes, et le Moloch en absorbe à nouveau des dizaines de milliers sous sa férule, pendant que les bras manquent de partout pour subvenir aux besoins des humains.

    Cependant, la militarisme n’est facteur que de haines et de guerres, et l’exemple est encore récent à la mémoire de tous de ses crimes innombrables.

    Le laisser subsister n’est pour la classe ouvrière que l’annonce de nouveaux deuils et pour le monde de plus grandes misères.

    Ses victimes :
    Ceux des prisons militaires, ceux des bagnes d’Afrique et de France, les morts crient justice et châtiment.

    Pour marquer votre haine et votre mépris de cette institution surannée, vous assisterez tous au

    Grand meeting antimilitariste

    qui aura lieu le
    samedi 27 mars 1920, à 20 h 30
    Grande salle de la Bourse du travail

    avec le concours des camarades

    Georges Pioch

    du Comité de Défense Sociale de Paris

    Berthet, Fourcade

    du Comité de Défense Sociale de Lyon

    et des camarades du Comité de Défense Sociale

    Participation aux frais : 0,50

    [marque] Lyon. — Imprimerie de Perrache, A. Traquet, cours Suchet, 18


    sources :
     

    [ca  1920]
    Affiche liée


    [Le règne de la barbarie continue !]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Le règne de la barbarie continue !]. — Lyon : CDS_ (Comité de défense sociale : 1903-....), (Association typographique (Lyon & Villeurbanne)). — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (une  : noir , papier de couleur ) ; 124 × 85 cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  : Mundaneum (Mons)
    • Liste des thèmes  : répression  ; révolution
    • Géographie, géopolitique et Histoire  : Égypte  ; Espagne  ; guerres : Guerre mondiale , 1 (1914-1918)  ; Hongrie  ; Irlande  ; Maroc  ; Syrie
    • Noms cités (± liste positive)  : Berthet, Nicolas (1875-1930)  ; Branche, Me
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  : conférence, débat…  ; meetings et manifestations
    notes :
    descriptif :


    [ texte ]

    texte :

    Syndicat des métallurgistes de Lyon

    Comité de Défense Sociale (section lyonnaise), 86, cours Lafayette

    Le règne de la barbarie continue !

    Jugez-en plutôt

    Quinze mois après la signature de l’armistice couronné finalement par une paix bâtarde, les soldats et civils condamnés par les tribunaux d’exceptions sont toujours embastillés ; l’amnistie, mot magique qui fit naitre tant d’espoir est lettre morte pour la plupart.

    La France plus réactionnaire que les monarchie de l’Entente, arme et entretient tous les réacteurs cyniques qui combattent la Russie des soviets et conserve dans les camps les soldats russes, coupables de na pas vouloir combattre la révolution.

    La paix qui devait donner aux peuples la “liberté de disposer d’eux-mêmes” voit se dresser dans tous les pays la réaction capitaliste et militariste.

    La Hongrie écrasée dans sa Révolution est le pays de la torture pour tous ceux qui sont soupçonnés de quelques sympathies pour le communisme.

    L’Irlande, l’Égypte, la Syrie, le Maroc, sont le siègent de sanglantes répressions.

    L’Amérique, l’Espagne, voient les arrestations, les déportations, les pendaisons, les fusillades en masse pour ceux qui défendent leur droit à la vie et à la liberté.

    Et devant ce tableau édifiant, que disent, que font les 1.700.000 électeurs du PSU et les 2.500.000 syndiqués de la CGT ?

    Rien… ou si peu de chose.

    C’est l’avilissante et dégradante complicité du silence qui rend possible la continuation de tels crimes contre lesquels se doit de protester tout homme qu n’a pas abdiqué toute dignité personnelle, au sein de l’aveulissement général des volontés, de abâtardissement des énergies, de l’aveuglement des cerveaux.

    C’est donc à ceux qui entendent crier haut et fort leur mépris pour de tels procédés et ne pas se solidariser par un silence approbateur des crimes ci-dessus énumérés, que nous nous adressons en les conviant au

    Grand Meeting

    qui aura lieu le samedi 14 février 1920, à 20 heures 30

    Grande salle de la Bourse du Travail

    avec le concours des orateurs

    Berthet, Comité de DS, section de Lyon
    Tomasi, CDS à Paris
    Marguerite Marion, Union des syndicats ouvriers du Rhône
    Georges Levy, Fédération socialiste du Rhône
    Branche-Vérillac, Association républicaine des anciens combattants [ARAC]
    Perrins, groupe “Clarté”
    Pavy, Comité 3e Internationale
    Roche, Fédération Libre Pensée

    Réunion tous les jeudis à 20 heures 30, Salle Chevrolat, 54, rue Moncey.

    [marque syndicale] Association Typographique, Lyon et Villeurbanne. — H. Gabrion, directeur [marque]


    sources :
     


    [Massen Versammlung, Emma Goldman]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Massen Versammlung, Emma Goldman]. — Paris : [s.n.], . — 1 affiche (impr. photoméc.) : n. et b. ; x × y cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  :
    • Liste des thèmes  : féminisme
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  : Goldman, Emma (1869-1940)
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  : conférence, débat…
    notes :
    descriptif :


    [ texte ]

    texte :

    Massen Versammlung

    Emma Goldman die bekannte Arbeiter Agitatorin aus Amerika spricht Samstag den 12 19 Mai um 8 Uhr Abends
    im Salon de l’Harmonie
    94, rue d’Angoulême, 94

    Thema :

    Befreiung der Frau

    Entrée 30 centimes


    traduction :

    Traduction de la police :

    Convocation des masses

    Emma Goldmann, l’agitateur ouvrière américaine bien connue, prendra la parole le samedi 19 mai à 8 heures du soir dans le salon de l’harmonie, 94 rue d’Angoulême.

    Ordre du jour : L’émancipation de la femme.

    Entrée 30 centimes.


    sources :

    Repéré aux Archives de la Préfecture de Police (Paris) dans le dossier sur Emma Goldman.



    [Qu’est-ce que le Foyer du XIe ?, conférence-controverse : « contre la dictature du prolétariat »]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Qu’est-ce que le Foyer du XIe ?, conférence-controverse : « contre la dictature du prolétariat »]. — Paris : Foyer du XIe : Le Libertaire (1895-1939), . — 1 affiche (impr. photoméc.) : n. et b. ; x × y cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  : CDA (FA, Paris)
    • Liste des thèmes  : anarchisme  ; dictature  ; marxisme
    • Géographie, géopolitique et Histoire  : Russie
    • Noms cités (± liste positive)  : Flotter  ; Le Meillour, Pierre (1884-1954)
    • Presse citée  : Libertaire (1895-1939), Le
    • Vie des mouvements  : conférence, débat…
    notes :
    descriptif :


    [ texte ]

    texte :

    Qu’est-ce au le Foyer du XIe ?

    C’est un groupement d’ouvriers du XIe Arrondissement qui, par ses efforts coordonnés, s’efforce de fournir aux individus ayant le souci de s’affranchir intégralement la facilité d’examiner les problèmes les plus variés.

    Dans quel but ?

    Dans le but de faire des Hommes conscients capables de se diriger seuls.

    Pour quelle raison ?

    parce que nous plaçons tous nos espoirs dans l’éducation de chaque individu pour l’acheminement vers une Humanité meilleure.

    Persuadés que l’Esclavage politique, économique et moral repose principalement sur l’Ignorance des Foules, sans laquelle aucun Gouvernement, aucune Exploitation ne sauraient exister.

    C’est pourquoi, Camarades, nous vous convions à assister à notre série de conférences pour la campagne d’hiver, qui aura lieu à partir d’octobre 1920.

    Tous les trois premiers mercredis de chaque mois

    dans la salle du 95, rue de Charonne (XIe)
    sur les sujets les plus divers.

    Révolutionnaires de toutes écoles, camarades de toutes professions qui aspirez à un peu plus de justice et de mieux-être, ne comptez- que sur vous-mêmes ; perfectionnez-vous, éduquez-vous ; alors seulement vous serez capables d’accomplir de profondes transformations sociales.

    Mercredi 20 octobre 1920, à 20 h 30

    Conférence-controverse

    Sujet traité

    Contre la dictature du prolétariat

    orateurs : Le Meillour, Flotter

    Adhésions au Groupe tous les mercredis. — Prêt de livres de la bibliothèque aux adhérents.

    Entrée libre et gratuite. — Tous les vendredis, lisez “Le Libertaire”.

    Impr. […] – [marque syndicale] […]


    sources :
     

    1920
    Affiche liée


    [Qu’est-ce que le Foyer du XIe ?, conférence-débat : « La dictature du prolétariat en Russie »]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Qu’est-ce que le Foyer du XIe ?, conférence-débat : « La dictature du prolétariat en Russie »]. — Paris : Foyer du XIe : Le Libertaire (1895-1939), . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (une  : noir , papier de couleur ) ; x × y cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  : CDA (FA, Paris)
    • Liste des thèmes  : dictature  ; marxisme
    • Géographie, géopolitique et Histoire  : Russie  ; URSS
    • Noms cités (± liste positive)  : Pelletier, Madeleine (1874-1939)
    • Presse citée  : Libertaire (1895-1939), Le
    • Vie des mouvements  : conférence, débat…
    notes :
    descriptif :


    [ texte ]

    texte :

    Qu’est-ce au le Foyer du XIe ?

    C’est un groupement d’ouvriers du XIe Arrondissement qui, par ses efforts coordonnés, s’efforce de fournir aux individus ayant le souci de s’affranchir intégralement la facilité d’examiner les problèmes les plus variés.

    Dans quel but ?

    Dans le but de faire des Hommes conscients capables de se diriger seuls.

    Pour quelle raison ?

    parce que nous plaçons tous nos espoirs dans l’éducation de chaque individu pour l’acheminement vers une Humanité meilleure.

    Persuadés que l’Esclavage politique, économique et moral repose principalement sur l’Ignorance des Foules, sans laquelle aucun Gouvernement, aucune Exploitation ne sauraient exister.

    C’est pourquoi, Camarades, nous vous convions à assister à notre série de conférences pour la campagne d’hiver, qui aura lieu à partir d’octobre 1920.

    Tous les trois premiers mercredis de chaque mois

    dans la salle du 95, rue de Charonne (XIe)
    sur les sujets les plus divers.

    Révolutionnaires de toutes écoles, camarades de toutes professions qui aspirez à un peu plus de justice et de mieux-être, ne comptez- que sur vous-mêmes ; perfectionnez-vous, éduquez-vous ; alors seulement vous serez capables d’accomplir de profondes transformations sociales.

    Mercredi 6 octobre 1920, à 20 h 30

    Conférence

    par le doctoresse Madeleine Pelletier
    sur

    La dictature du prolétariat en Russie

    Adhésions au Groupe tous les mercredis. — Prêt de livres de la bibliothèque aux adhérents.

    Entrée libre et gratuite. — Tous les vendredis, lisez “Le Libertaire”.

    Impr. […– [marque syndicale] […]


    sources :
     

    1920
    Affiche liée



    [Redoublons d’énergie]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Redoublons d’énergie]. — Paris : CDS_ (Comité de défense sociale : 1903-....) : CSR_ (Comités syndicalistes révolutionnaires : 1919-1921) : UA__ - UAC_ - UACR (Union anarchiste… [communiste] [révolutionnaire]) ; [et al.], (Fraternelle (Paris), La). — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (une  : noir , papier de couleur ) ; 121 × 72 cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  : Mundaneum (Mons)
    • Liste des thèmes  : justice
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  : Badina, Louis (1898-....)  ; Cottin, Émile (1896-1936)
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  : conférence, débat…  ; meetings et manifestations  ; soutien à militants
    notes :
    descriptif :


    [ texte (avec espace à compléter) ]

    texte :

    Comité de Défense Sociale

    Redoublons d’énergie

    Toujours des demi-mesures !

    À le suite de l’ardente campagne de nos comités et d’autres groupements, le gouvernement sentant la volonté populaire vient de prendre, en faveur des marins de la Mer Noire, quelques mesures de grâce et des commutations de peine.

    Cinq sur vingt-trois de nos camarades sont libérés ; les autres — et quelques-uns pour 15 ans encore — restent à souffrir dans les prisons.

    Nous ne pouvons accepter cela !

    Les enrichis de la guerre, les généraux assassins (et nous prouverons qu’ils sont nombreux), tous les tripoteurs, les fourbes, sont en liberté pendant que leurs victimes innocentes souffrent dans les prisons.

    C’en est assez !

    Tous, unis, il nous faut redoubler d’énergie.

    Il faut que toutes ces courageuses victimes, de Badina à Cottin, en passant par Paul Meunier, soient arrachées des griffes de leurs bourreaux.

    Tous debout, unis, clamons notre volonté et notre impatience au

    - Grand Meeting -

    Après entente avec le Comité, les CSR, l’ARAC, l’Union anarchiste, le parti SFIC, les adhérents de ces organisations sont invités à assister à ces meetings et manifestations, à en assurer le succès et à en développer la portée.

    [marque syndicale] Imp. « La Fraternelle », 55, rue Pixerécourt, Paris (20e)


    sources :

    Est-ce plutôt l’affiche citée dans Le Libertaire du 24 février 1922 :

    Une affiche
    Pour permettre aux groupe d’organiser, dans les meilleurs conditions, des réunions en faveur de notre admirable Cottin, l’Union Anarchiste vient d’éditer trois mille affiches passe-partout (format colombier) avec place en blanc, pour l’indication du lieu et du jour de la réunion, du nom des orateurs et du groupe organisateur.
    L’Union Anarchiste laisse ces affiches au prix de 17 fr. le cent. Franco : 20 fr.
    Adresser les commandes et les fonds à Bertelletto, 69, boulevard de Belleville, Paris (11e).