Dijon

 

 
 

Affichage par année

45 affiches :

 

    [L’État arnaque ; la démocratie bourgeoise vient de reconnaître un statut spécial pour les 5 emprisonnés pro-GARI]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    L’État arnaque ; la démocratie bourgeoise vient de reconnaître un statut spécial pour les 5 emprisonnés pro-GARI]. — Dijon : [s.n.], (Imprimerie autonome (Dijon)). — 1 affiche (impr. photoméc.) : n. et b. ; 42 × 30 cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  : CIRA (Lausanne)
    • Liste des thèmes  : prison  ; répression  ; sexualité et genre
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  : Camilleri, Michel  ; Delgado, Raymond  ; GARI (Groupes d’action révolutionnaire internationalistes, 1974)  ; Ines Torres, Mario  ; Martinez, Jean-Michel  ; Menrique, Victor  ; Rouillan, Jean-Marc (1952-....)
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  : soutien à militants
    notes :
    descriptif :
    Symbole(s) utilisé(s) :

    [ texte ; dessin (prisonnier nu se masturbant) ]

    texte :

    L’État arnaque

    La démocratie bourgeoise vient de reconnaître du bout des lèvres (cf ci-contre), un statut spécial nominatif, pour les 5 emprisonnés pro-GARI ; peut-on vraiment parler d’un statut politique, comme ce fut le cas lors de la guerre d’Algérie ou pendant d’autres périodes d’agitation gauchiste (Geismar, Krivine, etc.).

    Les militants du GARI ont cessé la grève de la faim. — Les cinq membres des Groupes d’action révolutionnaire internationalistes (GARI). MM. Michel Camilleri, Raymond Delgado. Mario Ines, Jean-Michel Martinet, Victor Menrique et Jean-Marc Rouillan, inculpés d’atteinte à la sûreté l’État et incarcérés à la Santé, ont interrompu, le 7 février. la gréve de la faim qu’ils avaient commencée le 27 décembre dernier. Ils ont, en effet, obtenu satisfaction de leurs revendications : repas en commun, réunion libre et une heure de parloir pu jour. (le Monde du 9 janvier)
    [logo :]Le Monde - 15 février 1975

    Pourquoi ne veut-elle pas reconnaitre cette réalité politico-sociale ?
    — Parce qu’elle veut sauvegarder le mythe des libertés politiques sous le règne de la démocratie.
    — Parce qu’elle veut garder un "prestige de la liberté" sous sa défroque libérale.

    Pour nous la démocratie n’est que la dictature de la bourgeoisie sur le prolétariat et un système de gestion du capital quelle que soit la clique de droite ou de gauche au pouvoir.

    Car sous son règne l’oppression par le salariat sur la classe exploitée demeure la même.

    Pour elle la dictature c’est : Franco le partenaire d’Hitler et on lui tend la main. Notre but étant la destruction de toutes les prisons (Famille, Écoles, Casernes, Usines, Prisons), etc. Mais cela ne peut être le fait que de la Révolution Sociale.

    L’action réformiste juridique entreprise par certains révolutionnaires aujourd’hui pour arracher un statut politique social à la bourgeoisie française ne s’inscrit pas comme une volonté de privilège de la part de ceux-ci.

    Mais plutôt son but est d’ouvrir une brèche dans l’expression extrémiste de la société de classe : La prison.

    Cette brèche pouvant être utilisée par tout ce qu’on appelle "les droits communs" à la condition qu’ils s’expliquent politiquement et socialement leurs actes. Qu’ils accèdent par eux-mêmes et pour eux-mêmes à la conscience de classe de leurs actes. Contribution nécessaire,à l’accentuation des luttes de classe dans les taules. Dans la mesure où 95 % des prisonniers sont des prolétaires qui enfreignent la loi capitalo-bureaucratique de la propriété privée et de la morale liée à celle-ci. Les 596 étant des capitalistes trop expéditifs dans l’exploitation de la force de travail (maquereaux, escrocs, truands de la drogue et du rackett, etc.).

    Pratiquement :
    La lutte se poursuit pour :
    a) Amnistie générale pour les copains libertaires emprisonnés.
    b) assistance juridique pendant la garde à vue.
    c) Droit à la liberté d’expression pour les révolutionnaires emprisonnés (camarades pro-GARI et les divers Autonomistes).
    d) Droit de pouvoir rencontrer d’autres personnes que leur famille (journaliste, médecin, copains).
    e)Droit de rapport sexuel en prison (hétéro et homo) ceci par l’établissement de chambre sexuelle comme dans les taules du capitalisme avancé. Cela étant une exigence humaine minimale. Ceci avec l’application des possibilités contraceptives et avortives.
    f) Droit au SMIG comme pécule pour tous les emprisonnés quel que soit leur régime, unification des deux catégories sous l’appellation de Travailleurs. Ceci implique pour les travailleurs restés à l’extérieur des murs une lutte commune contre les mêmes exploiteurs. (Qu’ils s’appellent Parti Communiste avec les boulots sur-exploités sur les gadgets du journal Pif ou les épingles Bonus etc...) travaux exécutés dans les prisons.

    Des individualistes libertaires solidaires

    Le 15/2/75 Imp. Autonome Dijon


    sources :

    Texte commentant une coupure du Monde du 15 février 1975. Image déjà parue dans CAP : journal des prisonniers, n° 38 (juillet 1976).




    [Journées portes ouvertes aux Tanneries]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Journées portes ouvertes aux Tanneries]. — Dijon : Espace autogéré des Tanneries, . — 1 affiche (impr. photoméc.) : n. et b. ; x × y cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  : Tanneries (Dijon)
    • Liste des thèmes  : luttes urbaines
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  : galas et actions de soutien  ; lieux — librairies...  ; spectacle, concert, fête…  ; opendeurdag -journée portes ouvertes
    notes :
    descriptif :


    [ texte ; dessin (famille : détournement de dessin publicitaire des années 50) ]

    texte :

    Journées portes ouvertes aux Tanneries

    ven. 6, sam. 7 et dim ; 8 octobre

    entrée libre (en soutien aux travaux)

    Pour des alternatives au système capitaliste, prenons des espaces de vie, de création et de lutte !

    Vendredi 6 octobre à partir de 21 h

    • Courts métrages sur les manifs de Washington et de Seattle
    • Kaophonie Tribu (afro transe percus / Luzy)
    • Rude Boy Systeme(ska reggae rock steady)
    • Moon Up (rock steady / Bordeaux)
    • Vömit for Breakfäst (grindpunk / St-Étienne)

    Samedi 7 octobre
    • 14 h place du Bareuzai : manif anticapitaliste et fête de rue
    au centre ville accompagnée du “grand jeu de la spéculation” (théâtre de rue)
    • à partir de 19 : forum-débat-expos-vidéos
    proposés par la “Caravane anticapitaliste” de mobilisation contre le sommet du FMI et de la Banque Mondial à Prague

    • René Binamé et les roues de secours (punk festif & chansons révolutionnaires / Bruxelles)
    • Piloophaz (hip-hop / St-Étienne)
    • NCA (punk hardcore / Bretagne)

    Dimanche 8 octobre à partir de 15 h

    • hip-hop
    • graphs
    • breakdance
    • atelier pratique sur l’action directe non-violente
    • Dans la solitude des champs de coton pièce de théâtre

    Pendant les 3 jours : expos variées - tables de presse - possibilité d’hébergement - bouffe végétalienne

    Espace autogéré des Tanneries
    15, bd de Chicago, 21000 Dijon
    Tél. 03 80 66 64 81

    + surprises !

    Évitez d’amener vos chiens

    [CBI ?] 58170 Luzy 03 86 30 05 45


    sources :
     
















    [Intervento : Italie 70’s… un mai 68 qui a duré 10 ans]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Intervento : Italie 70’s… un mai 68 qui a duré 10 ans]. — Dijon : [s.n.], . — 1 affiche (photocop. ) : n. et b. ; 30 × 42 cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  :
    • Liste des thèmes  : autonomie  ; luttes urbaines
    • Géographie, géopolitique et Histoire  : Italie
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  :
    notes :
    descriptif :


    [ texte ; photo (manifestations de femmes, années ’70) ]

    texte :

    Mardi 14 décembre - 19 h, à l’amphi Roupnel, université droit-lettres

    Intervento : Italie 70’s… un mai 68 qui a duré 10 ans

    [photo]

    Mise en scène (en lectures, films, chansons…) sur les mouvements révolutionnaires italiens

    luttes dans les usines, universités, quartiers, prisons, occupations de logements, auto-réductions, comités de base et autonomies ouvrières, féminismes, révoltes des marges, radios libres, indiens métropolitains, action directe et illégalité diffuse…

    suivi d’une discussion sur ce que ces fragments d’histoires souvent occultées, leurs failles et leurs forces, peuvent faire émerger dans des stratégies de lutte ; mouvements à venir et projets de transformation radicale de la société aujourd’hui…


    sources :

    Cette tournée « Intervento » a fait naitre d’autres affiches comme à Lausanne pour le 25 avril 2010, à Lille pour le 8 mai 2011.


    2011

    2011

    2010

    2013

    2013
    Affiches liées




    [Maloka Fest 2012]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Maloka Fest 2012]. — Dijon : Espace autogéré des Tanneries : Maloka, . — 1 affiche (impr. photoméc.) : n. et b. ; 60 × 40 cm.

    • Affiches par pays  :
    • Lieux d’archivages  : CIRA (Lausanne)  ; Tanneries (Dijon)
    • Liste des thèmes  : alternative  ; art : musique
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  : Prince Ringard
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  : conférence, débat…  ; galas et actions de soutien  ; lieux — librairies...  ; spectacle, concert, fête…
    notes :
    descriptif :


    [ texte ; dessin (deux évangélistes contemporains, fleur puante, lombric sur compost) ]

    texte :

    Maloka Fest 2012

    Ven. 19 h
    Usual Suspects (B) — Fertil Miseria (Col) — Cop on Fire (B) — Kami Ada (D) — Heyoka — Oï Polloï (UK) — Human Compost (F)

    Sam. 15 h
    Conférence : les pratiques alternatives

    19 h
    Klasse Kriminale (I) — Psycho Squatt (F) — Moral Dilemma (UK) — Attentat Sonone (F) — Iner Terrestrials (UK) — Magic Lord (F) — Nabat (I) — Collectif Mary Read (F°

    Dim. 15 h
    Discussion : situation des Tanneries
    Le Prince Ringard (F) — Les Fées Minées (F)

    19 h
    Offenders (D) — Angry Cats (F) — 20 mn de chaos (F) — Les Ténias (F) — Ruins (D) — RDF (UK)

    25-26-27 mai

    Espace autogéré des Tanneries
    15, bd de Chicago, Dijon

    7 €/jour — 15 €/3 jours
    infos : malokadistro.com


    sources :
     















    [Maloka Fest]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Maloka Fest]. — Dijon : Espace autogéré des Tanneries : Maloka, . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (quadri ) ; x × y cm.

    • Affiches par pays  :
    • Lieux d’archivages  : Tanneries (Dijon)
    • Liste des thèmes  : art : musique
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  : lieux — librairies...  ; spectacle, concert, fête…
    notes :
    descriptif :


    [ texte ; dessin (personne assise, jupe relevée sur une bombe) ]

    texte :

    2 - 3 - 4 juin

    Maloka Fest

    aux Tanneries

    37, rue des Ateliers - Dijon

    Camping - Bouffe - Distros

    Vendredi 20 h

    Los Fastidios — The Varujers — Psycho Squatt — Autonomads — Congreed — Street Eaters

    Samedi 18 h

    James Bar Bowen — Dame Nerve — Omega Tribe — Icons of Filth — Zone Infinie — Human Dog Food — Gonnaget Yours — The Ready Mades — Vlaar

    Dimanche 20 h

    by Stanky Yard : Protect the Dub — S02E11 — Dub Master Clash

    feat Pilah - Fabbastone - Mayd Hubb - Full Dub - Antibypass - Dub Sheperds - Joe Pilerim - Jolly Joseph

    8 € / soit — 20 * / pass 3 jours


    sources :
     









    [Manifeste aux ouvriers par le groupe d’études sociales de Dijon]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Manifeste aux ouvriers par le groupe d’études sociales de Dijon]. — Dijon : GES_ (Groupe d’études sociales), . — 1 affiche (impr. photoméc.) : n. et b. ; x × y cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  :
    • Liste des thèmes  : capitalisme et anticapitalisme  ; délégation de pouvoir (élections)  ; parlementarisme et antiparlementarisme  ; Révolution [sociale]
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  :
    notes :
    descriptif :


    [ texte ]

    texte :

    Manifeste aux ouvriers par le groupe d’études sociales de Dijon

    Travailleurs,

    Les ouvriers, membres du Groupe d’Études sociales de Dijon, croient de leur devoir d’adresser un manifeste à tous les travailleurs, étant donnée la gravité de la situation, pour leur dévoiler la manière d’agir de la Bourgeoisie, qui détient le pouvoir à son profit, ne permet pas qu’on enseigne à l’ouvrier sa destinée d’homme, et fait condamner par ses magistrats. ceux d’entre nous — Avant-garde de l’armée prolétarienne — qui osent dire aux rapaces bourgeois qui nous exploitent et nous gouvernent, que le temps est proche où les travailleurs, s’inspirant de l’énergique devise de leurs frères de Lyon « Vivre en travaillant ou mourir en combattant,  » anéantiront cet être vil, l’exploiteur, qui ne nous considère que comme un instrument qui doit lui procurer les jouissances de la vie.

    Gouvernés de telle sorte, vous saurez vous débarrasser de ces vaniteux autoritaires, affamés du pouvoir, qui sacrifient si audacieusement les intérêts sacrés de l’humanité à la cupidité de leurs souteneurs, et qui, par de perfides menées et de criminels compromis, provoquent la guerre, ce terrible fléau de l’humanité ! Puis, après avoir fait verser sur le champ de bataille le sang le plus pur des travailleurs, les divisent pour mieux les opprimer.

    Il faudrait désespérer de notre avenir, si nous ne nous hâtions d’unir nos efforts contre ceux qui spéculent sur notre ignorance et notre misère ; ayons donc le sentiment de notre force et la volonté d’en user à notre profit. Nous avons pour nous le droit, la justice et l’exemple des nombreux martyrs de notre noble cause !

    Vos frères du Groupe d’Études sociales de Dijon comptent sur vous pour arriver à notre complète émancipation. Ne continuons pas plus longtemps à remettre nos pouvoirs à ceux qui, sous le couvert de la République, nous trompent en nous promettant ce qu’ils ne tiennent jamais. Sachons même braver les dangers, lorsqu’il nous sera démontré qu’ils doivent avoir pour résultat le bonheur de tous. Nous sommes le nombre, nous avons la force, laissons de côté toutes rivalités mes-quines, toutes antipathies personnelles, et notre victoire est assurée.

    Pour nous, travailleurs, il est défendu de goûter le moindre plaisir ; notre repos est un sommeil de quelques heures sur un grabat en lambeaux, dans un taudis humide ou dans un grenier à tous vents. Travailler, toujours produire, sans posséder seulement le nécessaire, des aliments grossiers et malsains, et souvent falsifiés, voilà la situation qui nous est faite par la criminelle organisation de la Société actuelle. En admettant que notre existence ne soit jamais compromise par la stagnation du commerce ou par la morte-saison résultant de l’excès de notre travail, que nous soyons en tout temps suffisamment entretenus d’ouvrage, sans jamais être arrêtés par les maladies et les accidents de toutes sortes, le prix de notre travail est-il en rapport avec le prix de la consommation qui est nécessaire à la réparation de nos forces ? La continuité d’un travail excessif, qui ne permet pas à nos facultés de se développer, tel est le bilan de la position qui nous est faite sous le gouvernement de la soi-disant République.

    Par une trop longue durée de travail dans l’attitude la plus pénible et souvent périlleuse, notre corps se déforme et se brise, nos membres s’engourdissent et perdent leur souplesse et leur vigueur, notre santé se ruine et nous ne quittons l’atelier que pour entrer à l’hôpital, cet asile de retraite des travailleurs qui ont tout produit, tout construit. Comment exercer notre intelligence, éclairer notre esprit, adoucir nos mœurs ? Il nous faut rester exposés au mépris des insolents orgueilleux, à la fourberie des rhéteurs ! Si l’excès de nos malheurs nous rend parfois violents et colères, et si, animés d’une légitime indignation, nous nous révoltons contre la domination de nos maîtres, l’on nous traite de vile multitude, de canailles ; alors nos ennemis mettent tout en œuvre pour réprimer ces manifestations du droit populaire : exécution sommaire, conseil de guerre, déportation ; telle a été jusqu’ici la réponse faite à nos justes plaintes par ceux que trop naïvement nous avons acceptés pour nous gouverner.

    Que désormais notre souveraineté soit permanente et que les travailleurs ne délèguent jamais leurs pouvoirs aux bourgeois, c’est-à-dire à ceux dont les intérêts sont diamétralement opposés aux leurs.

    En attendant la transformation de la société actuelle par la Révolution sociale, qui nous assurera le bien-être par une juste répartition du produit du travail entre tous les travailleurs, nous serons heureux, n’en doutez pas, dès que l’union sera faite entre nous.

    Combinons donc tous nos efforts pour assurer notre triomphe et nous débarrasser de ces nombreux parasites qui nous rongent et exercent sur nous leur orgueilleuse autorité.

    Vive la République sociale !

    Nota. — Toutes communications et demandes au Groupe d’Études sociales de Dijon devront être adressées au Secrétaire du dit Groupe

    rue Berlier, 40, à Dijon.

    Dijon, imp. Carré.


    sources :