Jargon libre (Paris)

 

Le Jargon libre est une librairie ouverte de 1974 à 1984 (Paris, 6, rue de la Reine-Blanche), puis association (1990) qui publie Front : revue de prisonniers révolutionnaires emprisonnés (Avignon). La librairie réouvre en 1994-1995 en plusieurs lieux successifs : Paris, Montreuil-sous-Bois, Vincennes (12, av. du Châeau), Paris (32, rue Chevreau ; courrier au 264, rue des Pyrénées ; puis rue de la Mare). Elle devient ensuite une bibliothèque [1].

Au moins 3 ouvrages recensés dans le Catalogue général des éditions et collections anarchistes francophones.
Au moins 7 revues francophones parues sous ce nom (voir sur le site Bianco).

Notes

[1Source : Hellyette Bess, Indymedia Paris, 21 juin 2011. Depuis novembre 1994, « Le Jargon libre » est une nouvelle association.

 

Affichage par année

6 affiches :

 





    [Jargon libre, lieu d’archives, d’étude et de conspiration]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Jargon libre, lieu d’archives, d’étude et de conspiration]. — Paris : Jargon libre (Paris), . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (deux  : noir , orange , papier blanc ) ; x × y cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  : Tanneries (Dijon)
    • Liste des thèmes  :
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  : lieux — librairies...
    notes :
    descriptif :


    [ texte ; dessin (personnages conspirant dans les étagères d’une bibliothèque) ]

    texte :

    Jargon libre

    lieu d’archives, d’étude et de conspiration

    L’ordre des choses était intenable. Chacun en convenait. Si l’époque avait eu une voix, elle aurait dit : « Ça ne peut plus durer ! ».
    Mais elle était mutique sous son bavardage, malgré son cynisme. Comme à l’accoutumée, toutes sortes de bonimenteurs proposaient toutes sortes de solutions ; et s’offusquaient de la hâte grossière avec laquelle certains commençaient déjà par tout brûler, puisque tout cela devrait bien disparaître.

    Nous, nous disions que la question révolutionnaire était à reprendre depuis le cœur. Qu’il fallait tout partager, tout repenser, tout engager, ici et maintenant, non pour faire la révolution, mais pour nous faire révolutionnaires.
    Et que le reste en découlerait, naturellement.

    Permanences

    Mercredi — 15 h 30 - 19 h 30
    Vendredi — 15 h 30 - 19 h 30
    Samedi — 14 h 30 - 19 h 30

    18, rue St Ambroise
    Paris 11èem
    Métro St Ambroise ou Rue St Maur


    sources :