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Affichage par année

179 affiches :

 

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    [Libérez ma décheterie]

    notice :
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    [
    Libérez ma décheterie]. — [S.l.] : [s.n.], [ ?]. — 1 affiche (sérigr. ), coul. (une  : bleu , papier blanc ) ; 42 × 31 cm.

    • Affiches par pays  : Suisse
    • Lieux d’archivages  : CIRA (Lausanne)
    • Liste des thèmes  :
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  :
    notes :
    descriptif :


    [1999-2000] [ texte ; dessin ]

    texte :

    Libérez ma décheterie


    sources :

    Photo indisponible






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    [Prague, Nice, Montpellier…]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Prague, Nice, Montpellier…]. — Montpellier : CNT_ - AIT_ (France), . — 1 affiche (impr. photoméc.) : n. et b. ; x × y cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  :
    • Liste des thèmes  : syndicalisme : anarchosyndicalisme
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  :
    notes :
    descriptif :
    Symbole(s) utilisé(s) :

    [ texte ; dessin (hommes main levés — avec labels « Fédération anarchiste », « LCR », « Confédération paysanne » (avec livre siglé « politique »), « communistes » — face à un ouvrier en salopette CNT-AIT montrant une usine et hurlant « Organise-toi ! ») d’origine étasunienne ? ]

    texte :

    Pragues, Nice, Montpellier…

    Certains manifestent, espérant contraindre les pouvoirs politiques à édicter des lois.

    La CNT-AIT, elle, s’organise sur une base anarchosyndicaliste de lutte de classe, dans les lieux de travail et les quartiers.

    La CNT-AIT s’attaque au seul vrai pouvoir, le pouvoir économique.

    Confédération Nationale du Travail
    Association Internationale des travailleurs

    BP 51142 - 34008 Montpellier cdx 1


    sources :

    Affiches collées les lundi 11 et mardi 12 décembre 2000 ? [d’après Le Lien bulletin intérieur de la Fédération anarchiste n° 380 (février 2001)].


    2000
    Affiche liée


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    [Prague, Nice, Montpellier…]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Prague, Nice, Montpellier…]. — Montpellier : CNT_ - AIT_ (France), . — 1 affiche (impr. photoméc.) : n. et b. ; x × y cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  :
    • Liste des thèmes  : syndicalisme : anarchosyndicalisme
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  :
    notes :
    descriptif :
    Symbole(s) utilisé(s) :

    [ texte ; dessin (hommes main levés — avec labels « Fédération anarchiste », « LCR », « Confédération paysanne » (avec livre siglé « politique »), « communistes » — face à un ouvrier en salopette CNT-AIT montrant une usine et hurlant « Organise-toi ! », sur fond d’étoiles et planètes) d’origine étasunienne ? ]

    texte :

    Pragues, Nice, Montpellier…

    À ces grandes messes entre États, la gauche de la gauche afflue. Elle espère amener les pouvoirs politiques à prendre des mesures salutaires.

    La CNT-AIT, elle, s’organise sur une base anarchosyndicaliste de lutte de classe, dans les lieux de travail et les quartiers.
    Elle s’attaque au seul vrai pouvoir, le pouvoir économique.

    CNT — AIT

    BP 51142 — 34008 Montpellier cedex 1


    sources :

    Affiches collées les lundi 11 et mardi 12 décembre 2000 ? [d’après Le Lien bulletin intérieur de la Fédération anarchiste n° 380 (février 2001)].


    2000
    Affiche liée



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    [Transports gratuits pour tous et toutes]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Transports gratuits pour tous et toutes]. — Paris : FA__ [2] (Fédération anarchiste : 1953-....), (Expressions 2 (Paris : 2000-2020 ?)). — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (deux  : rouge , noir , texte en défonce , papier blanc ) ; 85 × 60 cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  :
    • Liste des thèmes  : autogestion  ; économie : transports  ; répression
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  :
    notes :
    descriptif :


    [ texte ; dessin (silhouettes) ]

    texte :

    Transports gratuits pour tous & toutes

    Zéro franc, zéro fraude

    — arrêt des poursuites en cours ;
    — suppression des contrôles et des amandes.

    Pour que personne ne décide à notre place, gestion directe du service public par les usagers et les salariés des entreprises de transports.

    Fédération anarchiste
    145, rue Amelot, 75011 Pairs

    […]


    sources :

    Affiche sortie pour la campagne de septembre 2001, avec « zéro franc, zéro fraude », juste avant le passage à l’euro. Cette affiche de 2001 était sortie avec de faux tickets de transport avec le même slogan.

    Un retirage est fait en octobre ou novembre 2001.


    [ 2013 & ante]
    Affiche liée











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    [Vacances à vie !]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Vacances à vie !]. — Gent Gand : [s.n.], [ca ]. — 1 affiche (impr. photoméc.) : n. et b. ; x × y cm.

    • Affiches par pays  : Belgique
    • Lieux d’archivages  :
    • Liste des thèmes  : éducation
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  : Non fides (2007-2009-....)
    • Vie des mouvements  :
    notes :
    descriptif :


    [ texte ; visuel absent ]

    texte :

    Vacances à vie !

    On est une fois de plus le premier septembre. Pour beaucoup, c’est le début d’une année éreintante et chiante derrière les bancs d’écoles. La joie d’une libération temporaire, le temps des vacances, s’achève à nouveau, et réapparaît le jeu de l’obéissance et de la punition.

    Mais on nous rabâche trop souvent les côtés « positifs » des institutions scolaires. La dite scolarité est décrite comme un privilège (alors qu’en fait, il s’agit d’un enseignement obligatoire), qui se soucierait de l’avenir des jeunes. Mais dans le monde réel, les écoles sont les lieux où l’on nous prépare à marcher comme des esclaves salariés au rythme de cette société capitaliste. On nous y apprend à accepter les ordres, à obéir ; on y est disciplinés et habitués au rythme « de 9 à 5 » dans lequel nous devons perdre notre vie. L’épanouissement personnel est soumis aux besoins du marché du travail. Aucun choix n’est laissé pour que nous puissions apprendre ce que, nous, nous trouvons important et intéressant, mais par contre on nous apprend à nous prostituer dans un bureau d’intérim ou pour des patrons. Derrière les bancs de l’école, pendant 15 ans, on nous forme à devenir les marionnettes dont ont besoin les patrons pour maintenir leurs usines, leurs firmes, leurs entreprises. Et donc à garantir l’existence de ce système capitaliste.

    On encourage la compétition entre les élèves et le contrôle social est récompensé. De sorte que les élèves se dénoncent entre eux et oublient que le véritable ennemi siège face à la classe.

    Les écoles sont les lieux où la rébellion est punie ou étiquetée comme une caractéristique de la puberté, niant ainsi que la rébellion est une conséquence de l’instinct humain de liberté. Un instinct qu’on s’efforce aussi vite que possible de contenir. Nous avons la permission d’émettre des critiques limitées sur la société mais pas d’en remettre l’existence en question. Les écoles sont les lieux par excellence où apprendre à être critique sans trop faire trembler les fondements.

    Les fondements d’une société qui use, ou mieux abuse, de ses institutions scolaires pour nous enfoncer dans le crâne ses valeurs et ses normes comme elle nous offrirait des pains sucrés ; pour construire des prisons mentales dans nos têtes et tout cela pour nous faire suivre le droit chemin. C’est une société qui réprime la différence, enferme et déporte des gens parce qu’ils n’ont pas les bons papiers, exclut les plus faibles socialement et économiquement ou les étouffe dans ses filets soi-disant sociaux mais qui veut surtout déterminer les limites dans lesquelles nos vies peuvent pourrir. Et, comme si ce n’était pas encore suffisant, elle nous harcèle avec le contrôle (comme les caméras à chaque coin de rue et des flics) et, pour les gens qui osent encore en attaquer les bases, il y a toujours les camps de punitions comme les institutions pour jeunes, les centres fermés et les autres prisons. À l’école, on nous apprend à nous contenter de ce genre de vie, une vie pleine de rêves et de désirs diminués. Une vie où les rêves consistent à faire carrière, à consommer à en crever et à finir au fond de l’oubliette.

    Il est important de ne pas se résigner pour montrer que nous ne laissons pas paralyser nos rêves et nos désirs, que nous avons décidé pour nous-mêmes de ne plus nous laisser faire la leçon ! Il est important de montrer que nous sommes bien plus qu’un rouage du processus de production de masse.

    Pense par toi-même, apprends par toi-même, fous le boxon dans ta classe !!


    sources :

    Texte d’affiche diffusé sur http://www.non-fides.fr/?Vacances-a-vie : « Texte d’une affiche trouvée sur les murs de Gand [en langue française ou néerlandaise ?] » (25 décembre 2009).





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    [La Brique sort tous les mois]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    La Brique sort tous les mois] / Rémi. — Lille : la Brique, [ ?]. — 1 affiche (photocop. ), coul. (quadri ) ; 42 × 30 cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  :
    • Liste des thèmes  : presse
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  : Brique, La (Lille)
    • Vie des mouvements  :
    notes :
    descriptif :


    [ texte ; dessin de Rémi : histoire en 4 parties (deux personnes « biens mises » discutent devant un mendiant puis se battent pour récupérer les pièces que ce dernier a perdu en s’assoupissant ]

    texte :

    La Brique sort tous les mois

    …et y en aura pour tout le monde !

    [dessin]

    En vente ici


    sources :

    Affichette de kiosque pour la vente. 2010 ou 2009 ?





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    [Nous occupons des maisons…]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Nous occupons des maisons…]. — Lille : [s.n.], . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (trois  : noir , bleu , papier blanc ) ; 55 × 38 cm.

    • Affiches par pays  :
    • Lieux d’archivages  :
    • Liste des thèmes  : logement, habitat  ; propriété
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  :
    notes :
    descriptif :
    Symbole(s) utilisé(s) :

    [ texte (long) : dessins (bleu : une maison avec drapeau à la flèche cerclée devant des immeubles ; rouge sombre, en filigrane sous le texte : pince monseigneur et coupe-boulon croisés devant une étoile) ] deux ou trois couleurs [le noir est peut-être un bleu foncé]

    texte :

    Nous occupons des maisons parce qu’elles sont vides.
    Nous occupons des maisons parce que nous en avons besoin.
    Nous occupons des maisons pour en finir avec la propriété privée.
    Nous occupons des maisons pour êtres nombreux-ses au p’tit dèj de midi.
    Nous occupons des maisons pour ne pas perdre notre vie à gagner un loyer.
    Nous occupons des maisons pour casser les murs et changer les rapports sociaux.
    Nous occupons des maisons pour être nos propres maçons-es, architectes, plombier-es, jardiniers-es, dératiseurs-es, soudeur-ses…
    Nous occupons des maisons parce que vivre cloisonné-es nous ennuie terriblement.
    Nous occupons des maisons parce que nous ne croyons pas à la loi.
    Nous occupons des maisons parce que nous ne croyons pas à la loi.
    Nous occupons des maisons parce que nous ne voulons pas de régies ni de leurs règles.
    Nous occupons des maisons pas seulement pour ne pas payer de loyer mais pour faire payer ceux et celles qui font payer des loyers.
    Nous occupons des maisons pour que nos enfants uniques aient plein de frères et sœurs.
    Nous occupons des maisons parce que, un centre ville peuplé de banquiers ça fait chier.
    Nous occupons des maisons parce que nous occupons des maisons.


    sources :

    Imprimé à Lille ?






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    [Wir kommen oftmals, ohne dass man uns ruft !]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Wir kommen oftmals, ohne dass man uns ruft !]. — [S.l.] : [s.n.], . — 1 affiche (impr. photoméc.) : n. et b. ; x × y cm.

    • Affiches par pays  : Suisse
    • Lieux d’archivages  :
    • Liste des thèmes  : police
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  :
    notes :
    descriptif :


    [traduction : « Nous venons souvent sans qu’on nous appelle. »]

    [Visuel : policiers anti-émeutes en tenue anti-lacrymo, bouclier rond en osier]

    texte :

    « Wir kommen oftmals, ohne dass man uns ruft ! »


    sources :

    D’après Le Monde libertaire n° 474 (10 février 1983), page 9.