Montréal
152 affiches :
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
texte
photo (« À la suite de l’attaque contre la bourse d’Athènes, septembre 2009 »)
fond (noir et jaune)
- texte :
Dans les jours d’avril 2010, quand le gouvernement grec a finalement accepté un prêt du Fonds monétaire international qui a débuté la reprise de force du pays par les financiers internationaux, les services de sécurité avaient préparé un spectacle médiatique pour célébrer l’occasion : la capture de 6 combattantEs anarchistes afin de soumettre la lutte sociale.
Les combattantEs anarchistes, qui avaient en eux-mêmes/elles-mêmes été une source d’irritation, étaient maintenant des otages. Des otages qui humilièrent les services d’intelligence démoralisés et brutaux, les divisions anti-terroristes ainsi que l’équivalent de l’occupant américain, la CIA, qui recherchaient Lutte révolutionnaire (‘Epanastatikos Agwnas’ –EA – en langue grecque) pour une attaque au lance-roquettes contre l’ambassade des États-Unis à Athènes. Cette action chérie et symbolique a eu lieu dans le contexte d’une série d’attaques qui durèrent pendant des années avec un fort impact destructeur contre les institutions du capitalisme et du gouvernement, accompagnées de tonnes de pages critiques, brillantes et articulées d’analyse anarchiste des structures institutionnelles qui pillent (ou parasitent) la richesse sociale produite par le travail ainsi que par l’auto-organisation mise de l’avant comme une alternative égalitaire anti-État et anti-capitaliste. Lutte révolutionnaire, c’est Nikos Maziotis, Pola Roupa, Kosta Gournas et le défunt Lambros Foundas, qui a été tué dans une bataille contre la police. Ensemble, elles/ils formèrent un groupe d’anarchistes sociaux basé dans la capitale occupée, Athènes, qui ont dirigé leurs activités armées dans l’intérêt de leur classe de travailleuses/travailleurs exploitéEs de Grèce dans le cours et au sein de l’important mouvement anarchiste/anti-autoritaire des années 2003 à 2010.
Maintenant, elles/ils continuent leur lutte dans les cours et dans les prisons du régime grec, leur lutte est encore plus intense contre la légitimité du système capitaliste. Le procès-spectacle contre les camarades a commencé en octobre 2011 et fût accompagné d’une campagne de répression contre le mouvement anarchiste/anti-autoritaire en général et spécialement contre plusieurs anarchistes qui nient toute responsabilité. Ce que les services de sécurité grecs et leurs collègues étrangers veulent prévenir par l’intimidation, la surveillance et l’emprisonnement, c’est la contagion. La contagion des tactiques qui ridiculisent leur système et démontrent facilement comment n’importe qui peut les attaquer. La contagion des idées qui maintenant se répandent au-delà du mouvement anarchiste/anti-autoritaire dans les grèves de masses des gens en colère contre tout, qui veulent mettre ce système à terre et voir quelque chose de plus humainE commencer.
Liberté pour les prisonnier.ères ! – Honorons la mémoire de Lambros Foundas !
[photo :] À la suite de l’attaque contre la bourse d’Athènes, septembre 2009
Soirée de solidarité avec les prisonnier.ères du groupe Lutte révolutionnaire et celles ainsi que ceux accuséEs pour des raisons similaires
Session d’information / souper / écriture de lettres
revolutionarystrugglecase.blogspot.com // fr.contrainfo.espiv.netMercredi 28 mars à 19 h
La Belle Époque
Espace sociale anarchiste
1984 rue Wellington, metro Charlevoix
epoquemtl.org
en anglais avec traduction chuchotée vers le françaishttps://mtlcontreinfo.org/soiree-de-solidarite-avec-les-prisonnier-eres-du-groupe-lutte-revolutionnaire/
https://mtlcontreinfo.org/wp-content/uploads/2012/04/revstrug12x18fr.cleaned.pdf- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
texte
photo (caméra de surveillance visé par un lance-pierre)
dessin (barbelés, mirador fracassé)
- texte :
En juin 2010, la mobilisation contre le sommet du G20 à Toronto a eu pour conséquence la plus large arrestation de masse de l’histoire du Canada. Une opération sécuritaire ayant coûté 1.6 milliard de dollars a procuré l’infrastructure et le personnel nécessaires pour emprisonner plus de 1100 personnes dans le but de défendre une réunion de bureaucrates des économies capitalistes les plus riches. Pour avoir organisé contre le sommet, 17 personnes ont été préventivement arrêtées et accusées de « conspiration ». Parmi celles-ci, 6 personnes ont reçu des sentences d’emprisonnement. D’autres ont été emprisonnées après avoir été accusées d’avoir commis des actions dans les rues, qui incluent des attaques contre la police et contre la propriété corporative.
Solidarité & complicité
avec les prisonnier.ères du G20
Prisonnier.ères dans la rue !
guelphabc.noblogs.org - conspiretoresist.wordpress.com - sabotagemedia.anarkhia.org
https://mtlcontreinfo.org/solidarite-et-complicite-avec-les-prisonnier-eres-du-g20/
https://mtlcontreinfo.org/wp-content/uploads/2012/04/g20solidarityfr.cleaned.pdf- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
text
photo (surveillance camera targeted by a slingshot)
drawing (barbed wire, shattered watchtower)
- texte :
In June 2010, the mobilization against the G20 summit in Toronto resulted in the largest mass arrest in Canadian history. A $1.6 billion security operation provided the infrastructure and personnel to cage over 1100 people in order to defend a meeting of the bureaucrats from the richest capitalist economies. As a result of organizing against the summit, 17 people were preventatively arrested on charges of ‘conspiracy’ for which six were sentenced to prison terms. Others have been locked up for actions in the streets, which included attacks on police and corporate property.
Solidarity & complicity with the G20 prisoners
Prisoners to the streets !
guelphabc.noblogs.org - conspiretoresist.wordpress.com - sabotagemedia.anarkhia.org
https://mtlcounterinfo.org/solidarity-and-complicity-with-the-g20-prisoners/
https://mtlcontreinfo.org/wp-content/uploads/2012/04/g20solidarity.cleaned.pdf- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
text
photo (“Aftermath of the Athens stock exchange bombing, Sept 2009”)
background (black and yellow)
- texte :
In the days of April 2010, when the Greek government finally agreed to accept a loan from the International Monetary Fund to begin the take-over of the country into the hands of the international financiers, the security services had prepared a media spectacle to mark the occasion : the capture of 6 anarchist fighters for the purpose of the submission of the social struggle.
Anarchist fighters who had been a thorn in their side for some time, were now hostages. Hostages who had humiliated the demoralised and brutal Greek intelligence services, anti-terrorist divisions and their American occupier counterparts, the CIA, who had sought out the Revolutionary Struggle (‘Epanastatikos Agwnas’ – EA – in Greek language) for a Rocket Propelled Grenade attack against the US Embassy in Athens. This daring and symbolic action came amongst scores of other targeted attacks which struck for years with symbolically definitive high-impact blows against the institutions of capitalism and government, accompanied by dozens and dozens of pages of critical, thoughtful and articulate anarchist analysis of the institutional structures that parasite on the social wealth produced by labour, with social and economic self-organisation put forward as an anti-capitalist and anti-state egalitarian alternative. Revolutionary Struggle are Nikos Maziotis, Pola Roupa, Kostas Gournas and the fllen Lambros Foundas, who was killed in a battle with the police. Together they formed a group of social-libertarian anarchists based in the busy capital, Athens, who directed their armed activities in the class interests of the exploited workers of Greece and within/alongside the specific mass anarchist/anti-authoritarian movement from 2003-2010.
And now, they continue their fight in the court rooms and prisons of the Greek regime, where they push an even harder fight to the legitimacy of the capitalist enemy. The show-piece trial against the comrades began in October 2011 and is partnered by a campaign of repression against the anarchist/anti-authoritarian movement in general and specifically to several anarchists who deny responsibility. What the Greek security services and their foreign colleagues wish to prevent through intimidation, surveillance and imprisonment is contagion. Contagion of tactics which made a mockery of their system and showed how easily it could be struck by anyone. Contagion of ideas which have now spread far beyond the world-wide anarchist/anti-authoritarian movement into the general masses of people who are angry with everything, wishing to see it all come down and something much more humane begin.
Freedom for the prisoners – honour to Lambros Foundas
[photo ;] Aftermath of the Athens stock exchange bombing, Sept 2009
Solidarity evening with the anarchist prisoners of the group Revolutionary Struggle and those accused in the same case.
Info-session // dinner // letter writing
For case updates : revolutionarystrugglecase.blogspot.com // actforfree.nostate.net7 PM ,Wednesday March 28 th
La Belle Époque
Anarchist social space
1984 rue Wellington, metro Charlevoix
epoquemtl.org
whisper-translation to french availablehttps://mtlcounterinfo.org/solidarity-evening-with-the-anarchist-prisoners-of-the-group-revolutionary-struggle/
https://mtlcontreinfo.org/wp-content/uploads/2012/04/revstrug12x18.cleaned.pdf- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
- /B_tout>
text
photos (demonstrations + slogan « Loi 78=guerre ! »)
- texte :
The state’s laws & the cop’s clubs won’t stop the revolt
Solidarity with those facing repression for participation in the struggle !
Since the strike began, the state has tried through its courts and the clubs of its cops to stifle the wave of revolt that has swept across Québec and found solidarity internationally. What started as a student strike has transformed into a massive social movement that the state is trying to crush with its “special law”. This law reveals the true nature of Democracy in a time of crisis where we have effectively confronted the state in a struggle to better our lives in conflict with the interests of capital.
Throughout this struggle, many comrades have faced the repression of the state through mass detentions now numbering in the thousands, preventative detentions, house raids, and severe conditions (ranging from non-association to exile from the island of Montréal).
Comrades are also being prosecuted under post-9/11 terrorism charges for minor acts of sabotage in the metro system. There are also all those who, in the course of resisting in the streets, the police have sent to the hospital with broken arms, lost eyes, or in comas. In this society, the position of the cops is clear : they are the guard dogs of the rich, the ones who protect their property and who enforce the social peace which allows the inequalities of society to continue.
We must hold our heads high and never back down in the face of this repression. Strength to those who continue the struggle in the streets through active resistance and self-defense against the cops ! We express solidarity to all those beaten, jailed, and repressed through the courts. Nothing is forgiven. Nothing is forgotten.
No to the prosecutions !
No justice in the courts of the rich !
traduction :Les lois de l’État et les matraques de la police n’arrêteront pas notre révolte
Solidarité avec celles et ceux qui font face à la répression pour leur participation à la lutte !
Depuis que la grève est commencée, l’État essaie à travers ses tribunaux et par les matraques de ses flics d’arrêter dans son élan même la vague de révolte qui souffle dans tout le Québec et fait l’objet d’une solidarité internationale. Ce qui a commencé comme une grève étudiante s’est transformé en un mouvement social de masse que l’État essaie de détruire avec sa « loi spéciale ». Cette loi révèle la vraie nature de la « démocratie » dans un temps de crise où les gens confrontent efficacement la paix sociale imposée en s’engageant dans une lutte pour améliorer leurs vies en conflit avec les intérêts du capital.
À travers cette lutte, plusieurs camarades ont fait face à la répression de l’État : par les détentions de masse qui se chiffrent maintenant à des milliers, les détentions préventives, les descentes dans les domiciles et les conditions sévères (allant de la non-association à l’exil de l’île de Montréal). Des camarades ont aussi été poursuiviEs sous des accusations de terrorisme post-9/11 pour des offenses mineures de sabotage dans le métro. Il y a aussi ceux/celles qui, résistant dans la rue, ont été envoyé par la police à l’hôpital avec des bras cassés, des yeux perdus ou dans le coma. Dans cette société, la position des policiers est claire : ils sont les chiens de garde des riches, ceux qui protègent leur propriété et qui imposent la paix sociale qui permet aux inégalités sociales de se reproduire.
Nous devons nous tenir la tête haute et ne pas nous écraser devant la répression. Force à ceux/celles qui continuent la lutte dans les rues à travers la résistance active et l’auto-défense contre les policiers ! Nous exprimons notre solidarité à toutes celles/tous ceux qui ont été battuEs, ont été emprisonnéEs et ont été répriméEs dans les tribunaux. Rien n’est pardonné. Rien n’est oublié.
Pas de poursuites judiciaires !
Pas de justice dans les tribunaux des riches !
https://mtlcounterinfo.org/the-states-laws-the-cops-clubs-wont-stop-the-revolt/
2 formats : 11″x17″ 12″x18″ (Copies in print available at La Belle Époque and L’insoumise)
https://mtlcontreinfo.org/wp-content/uploads/2012/08/solidarity11x17.cleaned.pdf
https://mtlcontreinfo.org/wp-content/uploads/2012/08/solidarity12x18.cleaned.pdf
https://mtlcontreinfo.org/les-lois-de-letat-et-les-matraques-de-la-police-narreteront-pas-notre-revolte/- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
- /B_tout>
text
photo (travail en usine de conserverie de poissson ?)
- texte :
Work is wage slavery
Property is theft
The history of the economy is the history of theft.
Look at the piece of land you’re standing on. It was once tended by people who knew how to provide for themselves and their communities without destroying the environment. The possibility of dignified life and work was killed by the governments and land owners who organized colonizing armies and brought over labour gangs of indebted European immigrants and kidnapped African slaves.In both cases, we see the pattern of forced dependence. People who were actually working in a dignified way – which is to say, for themselves, for their communities, at their own pace – were prevented from doing so through the organized violence of colonisation. Land that had belonged to everyone was divided up and usurped by the elite, the ancestors of many of those who are still wealthy today. Even after colonization, labour was little more than a tax. Give up a certain amount, more if you were black and less if you were white, and keep the rest to feed yourself. You could at least still see the product of your labour, and nourish yourself with it.
But then something happened. Slavery gradually ended – not in a sudden moment of liberation, as the history books tell it, but through a gradual shift towards the more profitable system of wage slavery. While no longer forced to work at gunpoint, the end
result is the same with all of the means of survival out of reach without money ; people are forced to work, spending their time in the service of capital. Prisons and police await those who disobey. No one was liberated. Rather, black and white were transformed into machines.
Where’s the use in outright slavery when the bank can own your house, the boss can own your time, the collection agency contracted by the credit card company or the National Student Loans Centre can own your future, fashion companies can own your insecurities, Hollywood producers can own your heart, and the newspapers can own your mind ? The daily life of a worker-consumer only consists of scrambling around to appease her owner’s needs.
The factory system makes workers a part of the process. The service sector jobs of today go even further, making demands of our very moods. No longer do we owe our bosses merely a certain amount of product, or even a certain amount of time, but a measured quantity of enthusiasm. Service with a smile. Who can imagine a more intimate form of violence ? We’re not even allowed to be depressed by our total lack of power over our own lives. Already by the age of five, the sullen and the impatient ones are screened out for Prozac and Ritalin prescriptions. Kids diagnosed with disorders are often suddenly “cured” when they are allowed to organize their own lives, or determine their own rhythms. But once the needs of the economy send them back to work, back to school, suddenly they relapse and have to go back on pills.
The disorder is the society that sends bodies through a meat grinder, that demands we become interchangeable parts. The blackmail is the society that demands everything from us – not just our time, our obedience, and our energies, but also our friendliness and good faith – and gives us nothing in return but the means to participate in it more fully, on its terms, spending our meager wages on resources stolen from across the entire planet ; the right wardrobe, the right diet, the right music collection. In fact, this careful assemblage of mass-produced goods is the only legal way we have to express our individuality.
At the base, those who extol the virtues of work are the same old blackmailers : work for us or starve in the gutters. But once we begin negotiating those who call themselves leaders, they only start to make more demands of us. Let’s not negotiate with the world of work and misery that we desire only the end of, but attack it in order to destroy it…
While misery exists, we choose rebellion.
mtlcounter-info.org — sabotage.anarkhia.org
https://mtlcounterinfo.org/work/
https://mtlcontreinfo.org/wp-content/uploads/2012/06/work.pdf
https://mtlcontreinfo.org/le-travail/
https://mtlcontreinfo.org/wp-content/uploads/2012/06/travail.pdf- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
texte
point levé
Acerclé
- texte :
Contre la répression de l’État, tous et toutes dans la rue !
Les flics, chiens de garde des patrons
Pour chaque manifestant.e blessé.e,
pour chaque migrant.e emprisonné.e,
pour chaque jeune tué.e,
pour chaque blocage assailli,
pour chaque grève brisée sous la menace d’un ba^ton,
pour chaque sentiment de peur éveillé la nuit par le bruit des sirènes…15/2/2013
coin St-Urbain / Ontario, 17 h
La solidarité, c’est l’arme du peuple toutes
Ⓐ
https://mtlcontreinfo.org/manif-contre-la-police/
https://mtlcontreinfo.org/wp-content/uploads/2013/02/march15fr.pdf- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
text
point levé + A cerclé
- texte :
Everyone to the streets against state repression !
Cops are the dogs of the bosses
For every youth killed,
demonstrator injured,
blockade broken,
migrant jailed,
strike ended under
the threat of the baton,
for every feeling of fear in the night from the sounds of the sirens…15/3/2013
Corner of St-Urbain / Ontario, 17h
Solidarity is the people’s weapon
Ⓐ
https://mtlcounterinfo.org/demonstration-against-the-police/
https://mtlcontreinfo.org/wp-content/uploads/2013/02/march15eng.pdf- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
[ texte ; dessin (personnes s’envolant tirées par des livres au dessus d’une ville derrière une banderole “No gods no masters no bosses no borders”) ]
- texte :
Montreal anarchist bookfair
2013
Saturday, May 25 & Sunday, May 26 10am-5pm
Welcome to all — free
For anarchists, and people curious about anarchism
Booksellers, workshops, films, discussions, kids activities, art exhibits and more !
www.anarchistbookfair.ca
514-679-5800[logo Métro] Lionel-Groulx
CÉDA, 2515 rue Delisle
main floor is wheelchair accessible.Centre culturel Georges-Vanier, 2450 rue Workman
Centre culturel Georges-Vanier is enterely wheelchair accessible.Childcare on site. Bring your kids. Contact us for further accessibility needs.
https://mtlcounterinfo.org/montreal-anarchist-bookfair-2013/
https://mtlcontreinfo.org/wp-content/uploads/2013/04/affiche-CL-en.jpg- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
[ texte ; dessin (personnes s’envolant tirées par des livres au dessus d’une ville derrière une banderole “No gods no masters no bosses no borders”) ]
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Montreal anarchist bookfair
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- notes :
- descriptif :
- Symbole(s) utilisé(s) : A cerclé (A encerclé) Ⓐ — chat noir — poing levé — usine — slogan : Ni dieu ni maitre /B_tout>
[ texte ; dessin (personnes s’envolant tirées par des livres au dessus d’une ville derrière une banderole « Ni dieu, ni maître, ni patron, ni frontière ») ]
- texte :
Salon du livre anarchiste de Montréal
2013
Samedi 25 et dimanche 26 mai de 10 h à 17 h
Bienvenue à toutes et tous — gratuit
Pour les anarchistes et ceux/celles qui s’intéressent à l’anarchisme
Avec des distributeurs de partout au Québec et en Amérique du Nord, des ateliers, des films, des discussions, des expositions, des activités pour les enfants et bien plus !
www.salonanarchiste.ca
514-679-5800[logo Métro] Lionel-Groulx
CÉDA, 2515 rue Delisle
Le rez-de-chaussée est accessible aux fauteuils roulantsCentre culturel Georges-Vanier, 2450 rue Workman
Le bâtiment est accessible aux fauteuils roulantsService de garde pour les enfants disponible sur place. Contactez-nous pour tout besoin d’accessibilité supplémentaire.
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- notes :
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[ texte ; dessin (personnes s’envolant tirées par des livres au dessus d’une ville derrière une banderole « Ni dieu, ni maître, ni patron, ni frontière ») ]
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Salon du livre anarchiste de Montréal
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- notes :
- descriptif :
- Symbole(s) utilisé(s) : A cerclé (A encerclé) Ⓐ — flèche cerclée (intersquatt) ⚡ — +O miroir de Vénus ♀ — drapeau noir ⚑ /B_tout>
[ texte ; dessin (personnages humains remplacés par des animaux — chat, lapins, raton-laveur, écureuil, souris, devant un lieu occupé — servant de serre-livres — avec drapeau noir, livres et slogan “no bosses no borders, No gods no masters”) ]
- texte :
Montreal anarchist bookfair
2014
Free ! — Welcome to all
Saturday, May 24 & Sunday, May 25 10am-5pm
For anarchists, and people curious about anarchism
Booksellers, workshops, films, discussions, kids activities, art exhibits and more !
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Centre culturel Georges-Vanier, 2450 rue Workman
Wheelchair accessibleCÉDA, 2515 rue Delisle
Main floor is wheelchair accessiblewww.anarchistbookfair.ca — 514-679-5800
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- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
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- descriptif :
text
photo (lynx in snowed forest)
- texte :
Revolutionary Solidarity with Amélie, Fallon and Carlos
“There is a universe of possibilities, here as elsewhere. All forms of domination are to be fought, those that create the structures and institutions as much as those who interfere in our relationships. There is no heaven or perfect world. Freedom is the permanent movement and conflict, in confrontation with the world of images, symbols and appearances. Freedom is the destruction of the structures of domination over our lives. In Mexico, Montreal, France, Vancouver, United States, Spain, Greece, Chile, Egypt, Belgium, Italy, Germany, England, Holland. I greet my friends and comrades of struggle. For total freedom. I wish for links to be forged in the struggle.”
- Letter from Amélie
Ⓐ
sabotagemedia.anarkhia.org | fuegoalascarceles.wordpress.com
https://mtlcontreinfo.org/solidaridad-con-fallon-carlos-y-amelie/
https://mtlcontreinfo.org/wp-content/uploads/2014/05/137149849fea833874ed4450b84ebf3f1.jpg- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
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[ texte ; dessin (personnages humains remplacés par des animaux — chat, lapins, raton-laveur, écureuil, souris, devant un lieu occupé — servant de serre-livres — avec drapeau noir, livres et slogan « ni patrons, ni frontières, Ni dieu ni Maitre ») ]
- texte :
Salon du livre anarchiste de Montréal
2014
Gratuit ! — Bienvenue à toutes et tous
Samedi le 24 mai et dimanche le 25 mai — 10 h à 17 h
Pour les anarchistes et ceux/celles qui s’intéressent à l’anarchisme
Avec des distributeurs de partout au Québec et en Amérique du Nord, des ateliers, des films, des discussions, des expositions, des activités pour les enfants et bien plus !
Avec des éditeurs, des ateliers, des films, des discussions, des expositions, des activités pour les enfants et bien plus !
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Accessible aux fauteuils roulantsCÉDA, 2515 rue Delisle
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Service de garde pour les enfants disponible sur place. Contactez-nous pour tout besoin d’accessibilité supplémentaire.
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- notes :
- descriptif :
- /B_tout>
texte
- texte :
11 juin : souvenons-nous des anarchistes en prison et continuons le combat contre la dévastation
En Amérique du Nord, les organismes d’État et les entreprises poussent de l’avant avec des projets d’infrastructure massifs de l’extraction et du transport du pétrole. ces processus dévastateurs pour l’environnement causent la contamination des eaux souterraines et d’autres pratiques menant inévitablement à des déversements et des catastrophes ferroviaires. mais ils ne sont pas moins désastreux pour les humains ; des communautés autochtones dont les sources d’eau et les modes de vie ont déjà été dégradés par les pipelines et les déversements à ceux qui obtiennent un emploi précaire à travers ces projets, soumis aux caprices du marché mondial ainsi qu’à la toxicité des poisons qu’ils sont payés pour manipuler.
Dans la dernière décennie, l’État a emprisonné de nombreux rebelles qui attaquaient le régime de ces projets de la mort. aux États-Unis, Marius Mason purge 22 années pour des actes de sabotage contre du matériel d’exploitation forestière, de recherche sur les OGM ainsi que pour sa participation dans l’organisation radicale tout au long de sa vie, tandis que Eric McDavid a été condamné à près de 20 ans pour conspiration après avoir tout simplement discuté d’une action à prendre contre les infrastructures (il a été libéré plus tôt cette année après avoir purgé dix ans).
La menace de la prison est destinée à nous empêcher de rêver d’un monde dans lequel aucune entreprises ni gouvernements ne conspirent pour profiter de la destruction et de l’exploitation. mais nous aussi sommes capables de conspiré les uns avec les autres, en s’organisant contre, en attaquant et en bloquant les composantes physiques de ces projets. Marius, Eric et beaucoup d’autres ont fait face à une forte répression pour avoir fomenté de telles attaques. toutefois, d’innombrables autres individus ont réussi à passer au travers des mailles du filet.
Le 11 juin est un jour pour se souvenir de nos camarades anarchistes avec de longues peines de prison. que ce soit aussi un jour pour choisir d’agir contre un monde qui exige du carburant pour alimenter la machinerie même de notre exploitation, et qui nécessite des prisons et de la police pour nous garder dans le rang.
june11.org - appeldelest.org
Une des 24 affiches parue avec Montréal contre-information n° 1 (hiver 2015-hiver 2017).
https://mtlcontreinfo.org/wp-content/uploads/2017/03/MTLCI-affiches.pdf
https://mtlcontreinfo.org/11-juin/
https://mtlcounterinfo.org/june-11/
https://mtlcontreinfo.org/wp-content/uploads/2015/06/j11-print.pdf- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
- /B_tout>
text
photos (vitrines et bâtiments attaqués par des extincteurs à peinture)
- texte :
Anarchist attacks on gentrification
St. Henri, November 2014
“Although gentrification of a neighbourhood is more than just new businesses and nice-looking storefronts, we decided to render some of our disgust with gentrification by vandalizing two such examples with fire extinguishers filled with paint…”
“…These businesses play an active role in the ”revitalisation” of the neighbourhood, and contribute to pushing out the poor in favour of young yuppies with considerable income and who are always in search of the new trend – whether in terms of food, beer, fashion, or even neighborhood. Unable to afford the new price of living and facing greater police harassement, a method of social cleansing that pushes undesirables further and further from downtown and central areas, precarious workers, the unemployed, and all other marginalized of society are always on the losing end of this ‘revitalisation’.
We see this action as part of a struggle against colonialism and as a gesture of solidarity with indigenous self-determination and soverignty. While we recognize that our struggle in Montreal, occupied indigenous territory, isn’t at all comparable to indigenous struggles in form or content, we engaged in this action in solidarity with those in struggle against exploitative projects, including pipeline construction and other resource extraction schemes.
We think that one of the best ways to act in solidarity is to struggle in our own context against common enemies : the forces of repression and displacement, including capital and the police. In this sense, inspired in part by the struggles against threats to the territory and water on lands already stolen from indigenous peoples, the threats that participate in this ongoing process of colonisation and genocide of indigenous peoples in Canada, we attacked the forces that further alienate us from our surroundings and push us out of the spaces we inhabit.”
[phot.] Hochelaga, May 2012 - Place Valois
[phot.] St. Henri, 2014 - Campenelli’sHochelaga, November 2013
Le Chasseur restaurant and the Le Valois, In Vivo and Bagatelle bistros had their windows smashed and were graffitied. A flyer left strewn near the destruction read :
“ You and your collaborators of gentrification, you come here, in Hochelaga to rot us with your 25 bucks table d’hôte, your crap condos and your hip businessman ideals. It seems quite obvious that your not welcome here. Your presence makes us want to vomit. We know the song too well. Under your cheerful young entrepreneur and unscrupulous airs, your only goal is to colonize our neighborhoods and adapt them to your interests. You have big cash and the cops for your security and that’s how you plan to succeed. Well you better get the fuck out of here because we want nothing of your sanitized world...”Hochelaga, September 2013
“Over the night of september 5, we broke the window of the office of Carole Poirier, Partie Québécois representative in Hochelaga-Maisonneuve. With an extinguisher filled with paint (sprayed into the broken window) the interior of Carole’s office was completely covered. Walls, carpet, computers, everything. On the outside wall, “fuck la propriété privée - grève des loyers ” was written. This action was done in solidarity with those being evicted from the Moreau lofts, and as a fuck you to politicians who all work hand in hand with landlords to render the neighbourhood sterilized and policed.”More info at mtlcounter-info.org
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https://mtlcounterinfo.org/anarchist-attacks-on-gentrification/
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- notes :
- descriptif :
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photos (vitrines et bâtiments attaqués par des extincteurs à peinture)
- texte :
Attaques anarchistes contre la gentrification
[photo] St. Henri, 2014 - Campenelli’s
[photo] Hochelaga, Mai 2012 - Place ValoisSt. Henri, novembre 2014
« Bien que l’embourgeoisement du quartier se fait par plus que des nouvelles entreprises et des belles vitrines, nous avons décidé d’exprimer notre dégoût de celles-ci en vandalisant deux entreprises exemplaires avec des extincteurs de feu remplis de peinture... »
« ...Ces commerces, en tant que joueurs actifs de la « revitalisation » du quartier, contribuent à repousser les pauvres et les travailleurs-euses précaires pour favoriser la venue de jeunes yuppis ayant des revenus considérables et qui sont toujours à la recherche de la nouvelle tendance-autant en termes de nourriture, de bière, de mode vestimentaire que de quartier. Incapables de débourser le prix du nouveau coût de la vie, subissant plus de harcèlement par la police qui contribue au projet de nettoyage des rues en repoussant les indésirables de plus en plus loin du centre-ville et des aires centrales, les travailleurs-euses précaires, les sans-emploi ou tous autres marginaux de la société se retrouvent toujours perdant-e-s dans ce processus de « revitalisation ».
Nous percevons aussi cette action comme prenant part à la lutte contre le colonialisme et en solidarité avec l’autodétermination et la souveraineté autochtones. Alors que nous reconnaissons que notre lutte à Montréal, terre autochtone occupée, n’est comparable en aucun cas aux luttes autochtones dans sa forme ou son contenu, nous avons engagé cette action en solidarité avec celles et ceux qui luttent contre des projets extractivistes chez eux, tels que la construction des gazoducs et autres stratégies d’extraction de ressources naturelles.
Nous pensons que l’une des meilleures façons d’agir en solidarité est de lutter dans notre propre contexte contre des ennemis communs : les forces de répression et de déplacement de population, incluant le capital et la police. En ce sens, inspiré-e-s en partie des luttes contre des menaces du territoire et de l’eau qui se produisent sur des terres ayant déjà été volées aux peuples autochtones, des menaces qui perpétuent un processus sans fin de colonisation et de génocide des peuples autochtones au Canada, nous avons attaqué des forces qui nous rendent aliéné-e-s de ce qui nous entoure et qui nous poussent hors des espaces dans lesquels nous habitons. »
Hochelaga, novembre 2013,
Les vitrines du restaurant Le Chasseur et des bistros Le Valois, In Vivo et Bagatelle ont été fracassées et des graffitis ont été peints. Voici un tract laissé sur place :
« Toi et tes collaborateurs de la gentrification, vous venez ici, dans Hochelaga, pour nous pourrir avec vos tables d’hôte à 25 piasses, vos condos cheaps pis votre idéal hipe de businessman. Il semble que c’est assez clair que vous n’avez pas de place icitte. Votre présence nous donne envie de vomir. On connait trop bien la chanson. Sous vos airs de jeunes entrepreneurs joyeux et sans scrupules, votre seul but est de coloniser nos quartiers et de les adapter à vos intérêts. Vous avez du gros cash pis les flics pour vous SÉCURISER et c’est comme ça que vous prévoyez y arriver. Eh ben vous êtes mieux de décalisser parce qu’on veut rien savoir de votre monde aseptisé… »
Hochelaga, septembre 2013
« Dans la nuit du 5 septembre, nous avons brisé la fenêtre du bureau de Carole Poirier, députée du Parti Québécois dans Hochelaga-Maisonneuve. À l’aide d’un extincteur rempli de peinture (celle-ci a été projetée au travers de la vitre brisée), l’intérieur du bureau de Carole en a été complètement enduit. Mur, tapis, ordinateur, tout. Sur le mur à l’extérieur a été inscrit « fuck la propriété privée - grève des loyers ». L’action a été faite en solidarité avec les évincéEs des lofts Moreau et envoie chier les éluEs qui travaillent touTEs main dans la main avec les propriétaires pour rendre le quartier aseptisé et sécuritaire. » »
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Une des 24 affiches parue avec Montréal contre-information n° 1 (hiver 2015-hiver 2017).
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- notes :
- descriptif :
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photo (policier devant une voiture de police renversée sur le toit)
vignettes (voiture de police en feu, manifestants avec frondes, cocktails molotov)
- texte :
Chaque flic cache un secret : c’est que c’est facile d’attaquer
Partout où ils ne sont pas (parce qu’ils ne peuvent être partout en même temps), il y a des banques, des condos, des bureaux du gouvernement, des caméras de surveillance, des murs blancs et les infrastructures du capital (les chemins de fer, les barrages, les autoroutes et les projets de construction). Ceux qui attaquent, ce sont ceux qui ne croient pas que l’histoire n’a qu’un seul chemin, soit celui écrit par l’État et qui mène vers une société de plus en plus contrôlée et de plus en plus morte. La surveillance omniprésente qui nous cerne de plus en plus nous montre que l’État a peur de notre potentialité d’agir pour la liberté. En choisissant d’agir contre les institutions qui tiennent lieu d’obstacle entre nous et le monde que nous désirons, nous devenons capables de créer un monde nouveau et de détruire celui qui nous a été imposé.
Rendons-nous complices dans la lutte pour un monde libre de toutes formes de domination et d’exploitation — un monde où les gens sont libres de s’associer et de s’allier avec ceux qui partagent leurs besoins et leurs désirs, sans la coercition du capital — où les prisons sont rasées et où le patriarcat, la police, les politiciens, les frontières et les patrons sont choses du passé — où l’économie du don, de l’entraide et de la solidarité remplace l’esclavage salarié et la marchandisation de nos vies. Un monde où la terre n’est pas perçue comme exploitable au service de l’homme mais plutôt comme monde dont nous ne formons qu’une toute petite partie et dont nous dépendons.
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Each cop hides a secret: that it’s easy to attack
Everywhere they aren’t – and they can’t be everywhere all the time – there are banks, gentrifying condos, government offices, surveillance cameras, blank walls, and the infrastructure of capitalism (railroads, dams, expressways, construction projects). Those who attack are those who don’t believe history has only one path, written by the state, towards a society that is increasingly controlled and increasingly dead. The pervasive surveillance around us shows us that the state is afraid of our potential to act for freedom. By choosing to act against the obstacles that stand between us and the world we desire, we create a new world and destroy the one that has been imposed on us.
Let’s find each other as accomplices in a struggle for a world free from all forms of domination and exploitation. A world where people are free to build the networks and associations they desire to meet their needs in common with others, without the coercion of capital; where the prisons are razed to the ground, and patriarchy, the police, politicians, borders, and bosses are a thing of the past. Where gift economies of mutual aid and solidarity lay waste to wage slavery and the commodification of our lives. A world where the earth is understood not for us to exploit, but of which we are a small and dependent part.
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https://mtlcontreinfo.org/cest-facile-dattaquer/
https://mtlcounterinfo.org/its-easy-to-attack/
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- descriptif :
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photo (policier devant une voiture de police renversée sur le toit)
vignettes (voiture de police en feu, manifestants avec frondes, cocktails molotov)
- texte :
Chaque flic a un secret : attaquer le pouvoir est facile
Partout où il n’y a pas de flic – et ils ne peuvent pas être partout en même temps – il y a des banques, des condos gentrificateurs, des bureaux gouvernementaux, des caméras de surveillance, des murs blancs, et l’infrastructure du capitalisme (les chemins de fer, les autoroutes, les oléoducs, les projets de construction, etc.). Ceuzes qui attaquent ne croient pas que l’histoire ait un seul chemin, celui écrit par les autorités, celui vers une société de plus en plus contrôlée et morte. Autour de nous, la surveillance généralisée nous montre que les autorités ont peur du potentiel de nos actions pour vivre librement. En choisissant de nous révolter contre chaque chose qui nous empêche de vivre véritablement, nous pouvons contribuer à détruire ce monde imposé tout en en créant un autre.
Un monde où les gens sont libres de construire les réseaux et les relations qu’illes désirent pour répondre à leurs besoins, de manière commune et avec les autres, sans la coercition du capital. Où les prisons sont rasées et où le patriarcat, la police, les politiciens et les patrons sont choses du passé. Où les économies du don comme l’entraide et la solidarité dévastent l’esclavage salarié et la marchandisation de nos vies. Un monde où nous sentons que nous faisons partie de la Terre et que nous en dépendons, non pas qu’elle est à exploiter.
Un monde d’anarchie.
[photo]
le 15 mars, 2012mtlcounter-info.org
https://mtlcontreinfo.org/chaque-flic-a-un-secret-attaquer-le-pouvoir-est-facile/
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- descriptif :
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dessins (locomotive à vapeur jaillissant de la forêt ; horloge (ferroviaire ?) brisée ; renard sur un « a cerclé » feuillé)
- texte :
Chemins de fer bloqués en solidarité avec les communautés autochtones en lutte
« Tôt le matin du 8 avril, 2014, à montréal, huit chemins de fer traversant la ville ont été bloqués par des interférences électriques.
Cette action fait partie d‘une réponse à la répression et à la colonisation de la part de l’État, qui cible des communautés autochtones à travers l’Ile de la Tortue. C‘est grâce à la colonisation et à cette société raciste et impérialiste que les femmes autochtones assassinées et disparues ont perdu leur vie.
En tant qu’anarchistes, nous sommes solidaires avec une lutte pour l’autonomie qui dure depuis le début des processus colonialistes. Des rebelles, des autochtones et des travailleurs/travailleuses ont souvent ciblé les chemins de fer comme moyen de perturber les efforts du capital et de ces systèmes de domination.
Nous avons choisi les chemins de fer du CN parce que pour toute sa vie, le CN a choisi de construire son infrastructure sur les terres autochtones volées. Nous, des anarchistes, voudrions perturber les chemins de domination et pouvoir de l’État. On voudrait envoyer l’amour et la force envers ceux/celles qui font face à la répression pour leurs actions, et aussi pour ceux/celles qui ont perdu des ami(e)s et des membres de leur famille pendant cette guerre. »
Des anarchistes
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Une des 24 affiches parue avec Montréal contre-information n° 1 (hiver 2015-hiver 2017).
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dessins (renard sur « A cerclé » feuillé ; loup hurlant de la fumée ; renard masqué enflamant une voiture de police)
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Cop car set on fire after March 15 demo
“In the spirit of March 15’s past,a cop car was set on fire on the evening of March 15th, 2013, at the Poste 33 police station in Parc-Ex, Montreal. This action was taken to complement the 17th annual demonstration against police (and their brutality) that took place earlier that day.
We also send a message of support to Marco Camenisch in his struggles from inside prison in Switzerland.”
More info at
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dessin (chats géants violets-rose jouant dans un quartier de ville “Rue Notre-Dame”)
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Des gentrificateurs de St. Henri accueillis par un joyeux saccage !
« Nous n’avons jamais vu ou été témoins d’un groupe comme celui-ci, à une heure pareille, avec autant de témoins, armé et courant en masse au milieu de la rue. Ce n’est pas une zone de guerre ! » - un gentrificateur ébranlé
Vendredi le 22 mai 2015, plusieurs individus masqués et vêtus de noir ont lancé des fumigènes à l’intérieur d’un bar à jus haut de gamme de la rue Notre-Dame Ouest qui tenait une fête à l’occasion de son ouverture. Corey Shapiro, le propriétaire de la place, avait vu plusieurs de ses commerces gentrifiants être la cible de vandalisme dans les derniers mois. Lorsque Shapiro est sorti de son commerce ce soir-là pour voir ce qui se passait, il a été aspergé de poivre de Cayenne.
La nuit suivante, un groupe portant des masques entreprit un joyeux saccage le long de la rue Notre-Dame Ouest en fracassant les vitrines de nombreux commerces gentrifiants à l’aide de pieds-de-biche et de boules de billard. Les passants furent témoins de la destruction, qui eut lieu peu après minuit. Parmi les cibles figuraient Notorious, un salon de barbier appartenant à Corey Shapiro et Campanelli, un café et magasin de vêtements. Personne n’a été arrêté.
L’empire de petites entreprises de Shapiro (pour ne citer que cet exemple) sert seulement à rendre le quartier plus attrayant aux yeux des promoteurs, dont les grands projets de condos laids et dispendieux mènent la vie dure aux yeux et aux portefeuilles de tout le monde sauf eux-mêmes. Ceux et celles qui prennent ce genre de commerce pour cible nous rappellent que, malgré leur progression, les projets de développement capitalistes ne sont pas inévitables. Les gentrificateurs yuppies n’ont pas à être tolérés. Il n’est pas seulement possible, mais nécessaire, de riposter.
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communication autonome pour la lutte contre l’autoritéUne des 24 affiches parue avec Montréal contre-information n° 1 (hiver 2015-hiver 2017).
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- notes :
- descriptif :
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dessin (voie ferrée déformée & oiseaux)
Illustration from the beautiful “Economic Disruption” poster (by Stefan Pilipa, for Shawn Brant and the Tyendinaga Support Committee’s Defense Fund)
- texte :
Deux instances de sabotage de chemins de fer pétroliers
« Les infrastructures tentaculaires de l’état et du capital continuent de se prolonger, afin d’accélérer l’extraction et le transport des ressources vers le marché. Le vaste territoire du grand nord canadien, peu peuplé en grande partie en conséquence des stratégies de colonisation, de déplacement, d’isolement et de génocide des peuples autochtones, est une immense source de profit ; pétrole, gaz naturel, industrie forestière, barrages hydro-électriques, mines d’uranium, etc. De nombreux projets monstrueux d’expansion des infrastructures tentent présentement de connecter les sables-bitumineux de l’Alberta par des oléoducs qui longent le fleuve St-Laurent jusqu’à l’océan Atlantique. Ces projets impliquent la prolifération et l’expansion de nouvelles infrastructures comme les ports, les voies ferrées et les autoroutes le long des territoires colonisés.
Durant les trois dernières semaines, nous avons temporairement interrompu à deux reprises la circulation sur le chemin de fer du CN dans le quartier de Pointe St-Charles. Nous avons attaché un fil de cuivre connectant les deux rails du chemin de fer pour déclencher l’envoi d’un signal indiquant un blocage sur les voies et freinant la circulation des trains jusqu’à ce que les voies soient vérifiées et l’obstacle enlevé. Cette section des rails est en reconstruction pour améliorer le transport de pétrole vers l’est jusqu’au port de Belledune au Nouveau-Brunswick.
Pour bloquer un chemin de fer :
1. Obtenez au moins 8 pieds de fil de cuivre non-isolé 3AWG (habituellement utilisé pour connecter l’électricité à un panneau électrique résidentiel).
2. Entourez de fil les deux rails du chemin de fer, connectant les deux côtés, et assurez-vous d’un contact solide.
3. Couvrez le fil entre les deux cotés pour qu’il soit plus difficile à trouver.
4. Souriez à la possibilité de causer la perturbation de milliers de tonnes de trafic ferroviaire.Cet acte simple est facilement reproductible et démontre la vulnérabilité de leurs infrastructures malgré les technologies de surveillance et les efforts de l’appareil légal à émousser nos dents. Le renforcement récent des habiletés répressives de l’État canadien à travers le projet de loi C-51, maintenant effectif, comprend une législation ordonnant des sentences minimales de cinq ans pour ceux et celles trouvé-e-s coupables d’endommager les infrastructures capitalistes. Pour nous, cette législation met en lumière le rôle critique des infrastructures dans le bon fonctionnement des projets de dévastation écologique (et de la société qui en dépend) et à quel point un geste simple de sabotage peut être une contribution puissante à la lutte contre ces projets.
Nous concevons notre lutte comme étant contre la civilisation et la domestication totalisatrice qu’elle engendre ; nous désirons rien de moins que la destruction de toute forme de domination. À cet égard, nous espérons contribuer à la formation d’une lutte spécifique contre ces projets d’expansion industrielle. Nous voulons nous organiser pour combattre ces projets de manière décentralisée et autonome, incluant des blocages répétitifs et contagieux des chemins de fer. L’organisation autonome échappe à la logique de mouvement de masse (imposer un programme à travers la ‘mobilisation’ des autres en attendant le ‘bon moment’ pour agir) et à la récupération politique imposée par l’activisme écologique réformiste. Les convergences peuvent jouer un rôle critique dans l’épanouissement des initiatives, mais il est également critique que la lutte contre ces projets ne se résume pas à cela. Augmentons la tension contre ce monde, propageons les attaques. »
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communication autonome pour la lutte contre l’autoritéCette affiche n’encourage ni ne condamne des activités illégales.
https://mtlcounterinfo.org/two-moments-of-oil-railway-sabotage-in-montreal-2/
https://mtlcontreinfo.org/deux-instances-de-sabotage-de-chemins-de-fer-petroliers-2/
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photo (policier devant une voiture de police renversée sur le toit)
vignettes (voiture de police en feu, manifestants avec frondes, cocktails molotov)
- texte :
Each cop hides a secret : it’s easy to attack power
Everywhere the cops aren’t – and they can’t be everywhere all the time – there are banks, gentrifying condos, government offices, surveillance cameras, blank walls, and the infrastructure of capitalism (railroads, highways, pipelines, construction projects). Those who attack are those who don’t believe history has only one path, written by the authorities, towards a society that is increasingly controlled and increasingly dead. The pervasive surveillance around us shows us that the authorities fear our potential to act for freedom. By choosing to revolt against everything that keeps us from truly living, we can contribute to destroying this world that has been imposed on us while creating a new one.
A world where people are free to build the networks and associations they desire to meet their needs in common with others, without the coercion of capital. Where the prisons are razed to the ground, and patriarchy, police, politicians, borders, and bosses are a thing of the past. Where gift economies of mutual aid and solidarity lay waste to wage slavery and the commodification of our lives. A world where the earth is understood not for us to exploit, but of which we are a small and dependent part.
A world of anarchy.
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March 15, 2012mtlcounter- info.org
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dessin (chats géants violets-rose jouant dans un quartier de ville “Rue Notre-Dame”)
- texte :
Gentrifiers in St Henri welcomed with a joyous vandalism rampage !
We’ve never seen or witnessed a group like this, at this time, with so many witnesses, with weapons running en masse in the middle of the street, this isn’t a war zone !”
- a shook gentriftierOn Friday, May 22, 2015, several masked individuals dressed all in black threw smoke bombs into a newly-opened high-end juice bar on Notre-Dame St. W. owned by Corey Shapiro, whose gentrifying businesses have already seen several instances of vandalism in the past months. When Shapiro came out of the party to see what was going on, he was pepper-sprayed.
The next night, a group wearing masks undertook a joyous vandalism rampage, breaking windows of several gentrifying businesses along Notre-Dame St. W. with crowbars and billiard balls. Passersby bore witness to the destruction, which occurred shortly after midnight. Among the targets were Corey Shapiro’s barbershop, Notorious, and Campanelli, a coffee shop and clothing boutique. No one was caught.
Shapiro’s small business-empire (for example) only serves to make the neighborhood more attractive for developers, whose grand schemes of ugly, expensive condominiums make life harder on the eyes and the pocketbooks of everyone except themselves. Those who take direct action against these types of targets serve as a reminder that, while capitalist projects of development push forward, they are not inevitable. Yuppie gentrifiers do not have to be tolerated. It is not only possible, it is necessary, to fight back.
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autonomous communication for the struggle against authorityhttps://mtlcontreinfo.org/wp-content/uploads/2017/03/MTLCI-affiches.pdf
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texte
dessin (voiture de police en feu devant un poste de police)
- texte :
Hochelag’ nique la police
Mars, 2008 : 6 voitures de police ont pris feu au poste 23
Plus d’info sur mtlcounter-info.org
« Actions contre l’oppression qui s’intensifie dans le quartier de même que partout où se trouve et se reproduit l’exploitation. Nous agissons en solidarité avec les détenus politiques autochtones de l’Amérique qui luttent encore pour leur liberté et leur autonomie.
Nous appelons toutes les populations à se réaproprier le temps, l’espace, la rue, la ville et à cramer tout ce qui représente l’autorité. La ville c’est nous, ce n’est pas une prison appartenant aux capitalistes.
Nous ne sommes pas des esclaves, pourtant nous construisons leurs maisons, leurs banques, leurs routes, nous prenons soin de leurs enfants en leur servant leur café tous les matins, nous cueillons les fruits et les légumes qu’ils mangent. Le moins que l’on puisse faire c’est de brûler leurs voitures, SUVs, chars de police, leurs nouveaux développements immobilliers, leurs grosses maisons, leurs hôtels, les exposer publiquement tels qu’ils sont. Le plus qu’on puisse faire c’est de les rendre inexistants !...Feu au système capitaliste, créateur de cadavres ! »
Une des 24 affiches parue avec Montréal contre-information n° 1 (hiver 2015-hiver 2017).
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dessin (voiture de police en feu devant un poste de police)
- texte :
Hochelag’ nique la police
Mars, 2008 : 6 police cars arsoned at poste 23
“These are actions against the intensifying oppression in the neighbourhood and everywhere where exploitation exists and reproduces itself. We are acting in solidarity with Native political prisoners in America who are still struggling for their freedom and their autonomy.
We are calling on all populations to take back their time, space, the street, the city, and to torch everything that represents authority. The city is us, it is not a prison belonging to capitalism. We are not slaves, and yet we build their houses, their banks. their roads, we look after their children and serve them their coffee every morning, we pick the fruit and vegetables that they eat. The least we can do is to set fire to their cars, SUVs, police cars, their new real estate developments, their big houses, their hotels, expose them publicly for who they are. The least we can do is to abolish them !...Torch the capitalist system, that creator of corpses !”
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photo (forest)
- texte :
june 11th : remember imprisoned anarchists, continue to fight against ecological devastation
throughout north america, state agencies and companies are pushing forward with massive infrastructure projects for the extraction and transport of oil. these processes are environmentally devastating – contaminating groundwater and leading inevitably to spills and rail disasters. but they are no less disastrous for humans : from indigenous communities whose water sources and ways of life have already been degraded by pipelines and spills, to those who gain precarious employment through these projects, subjected to the whims of the global market and the toxicity of the poisons they are paid to handle.
in the past decade, the state has imprisoned many rebels for attacking the regime of these projects of death. in the united states, marius mason is serving 22 years for acts of sabotage against logging equipment and gmo research and a lifetime of radical organizing, while eric mcdavid was sentenced to nearly 20 years for conspiracy after simply discussing taking action against infrastructure (he was released earlier this year after serving ten).
the threat of prison is meant to deter us from dreaming of a world in which no companies and governments conspire to profit from destruction and exploitation. but we, too, are capable of conspiring with one another, by organizing against, attacking and blocking the physical components of these projects. marius, eric, and many others have faced heavy repression for plotting such attacks. countless others have gotten away.
june 11th is a day to remember our anarchist comrades with lengthy prison sentences. let it also be a day to choose to act against a world which requires oil to fuel the machinery of our exploitation, and which requires prisons and police to keep us in line.
june11.org • appeldelest.org
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https://mtlcontreinfo.org/wp-content/uploads/2015/06/j11-print.pdf- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
[ texte ; dessins (livre posé sur barbelés ; couple avec vélo et enfant sur les épaules ouvrant un livre) ]
- texte :
Free - Welcome to all
Montréal
Anarchist Book Fair 2015
Mai Sunday 23 — Saturday 24
Tables — Workshops — Filsm Artkiosques — Ateliers — Films + Expo d’art
10AM —> 5PM
CÉDA 2515, rue Delisle
CCGV 2450, rue Workman
[logo Métro] Lionel-Groulx
[logo fauteuils roulants] Accessible
[logo] Child care on siteAnarchistbookfair.ca
http://www.salonanarchiste.ca/telechargements-2015
http://www.anarchistbookfair.ca/wp-content/uploads/AFFICHE-EN.pdf- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
[Soirée de solidarité avec les prisonnier.ères du groupe Lutte révolutionnaire]
[Soirée de solidarité avec les prisonnier.ères du groupe Lutte révolutionnaire]. — Montréal : la Belle époque, . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (quadri ) ; 46 × 31 cm.
sources :
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[Solidarité et complicité avec les prisonnier.ères du G20]
[Solidarité et complicité avec les prisonnier.ères du G20]. — Montréal : sabotagemedia, . — 1 affiche (impr. photoméc.) : n. et b. ; 42 × 30 cm.
sources :
[Solidarity and complicity with the G20 prisoners]
[Solidarity and complicity with the G20 prisoners]. — Montréal : sabotagemedia, . — 1 affiche (impr. photoméc.) : n. et b. ; 42 × 30 cm.
sources :
[Solidarity evening with the anarchist prisoners of the group Revolutionary Struggle]
[Solidarity evening with the anarchist prisoners of the group Revolutionary Struggle]. — Montréal : la Belle époque, . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (quadri ) ; 46 × 31 cm.
sources :
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[The state’s laws & the cop’s clubs won’t stop the revolt]
[The state’s laws & the cop’s clubs won’t stop the revolt]. — Montréal : Montréal contre-information = Montreal counter-information = MTL Contre-info, . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (quadri : noir , orange , texte en défonce , papier blanc ) ; 43 × 28 cm.
sources :
[Work is wage slavery Property is theft]
[Work is wage slavery Property is theft]. — Montréal : Montréal contre-information = Montreal counter-information = MTL Contre-info, . — 1 affiche (impr. photoméc.) : n. et b. ; [28 ?] × [43 ?] cm.
sources :
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[Contre la répression de l’État, tous et toutes dans la rue !]
[Contre la répression de l’État, tous et toutes dans la rue !]. — Montréal : Montréal contre-information = Montreal counter-information = MTL Contre-info, . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (deux : noir , orange , texte en défonce , papier blanc ) ; x × y cm.
sources :
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[Everyone to the streets against state repression !]
[Everyone to the streets against state repression !]. — Montréal : Montréal contre-information = Montreal counter-information = MTL Contre-info, . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (deux : noir , orange , texte en défonce , papier blanc ) ; x × y cm.
sources :
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[Montreal anarchist bookfair 2013]
[Montreal anarchist bookfair 2013] / Jennifer Galewski. — Montréal : Salon du livre anarchiste de Montréal = Montreal anarchist bookfair, . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (deux : rouge , noir , texte en défonce , papier blanc ) ; 43 × 28 cm.
sources :
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[Montreal anarchist bookfair 2013]
[Montreal anarchist bookfair 2013] / Jennifer Galewski. — Montréal : Salon du livre anarchiste de Montréal = Montreal anarchist bookfair, . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (une : noir , texte en défonce , papier blanc ) ; 43 × 28 cm.
sources :
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[Salon du livre anarchiste de Montréal 2013]
[Salon du livre anarchiste de Montréal 2013] / Jennifer Galewski. — Montréal : Salon du livre anarchiste de Montréal = Montreal anarchist bookfair, . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (deux : rouge , noir , texte en défonce , papier blanc ) ; 43 × 28 cm.
sources :
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[Salon du livre anarchiste de Montréal 2013]
[Salon du livre anarchiste de Montréal 2013] / Jennifer Galewski. — Montréal : Salon du livre anarchiste de Montréal = Montreal anarchist bookfair, . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (une : noir , texte en défonce ) ; 43 × 28 cm.
sources :
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[Montreal anarchist bookfair 2014]
[Montreal anarchist bookfair 2014]. — Montréal : Salon du livre anarchiste de Montréal = Montreal anarchist bookfair, . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (quadri : texte en défonce ) ; 43 × 28 cm.
sources :
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[Revolutionary Solidarity with Amélie, Fallon and Carlos]
[Revolutionary Solidarity with Amélie, Fallon and Carlos]. — Montréal : sabotagemedia, . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (quadri ) ; x × y cm.
sources :
[Salon du livre anarchiste de Montréal 2014]
[Salon du livre anarchiste de Montréal 2014]. — Montréal : Salon du livre anarchiste de Montréal = Montreal anarchist bookfair, . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (quadri : texte en défonce ) ; 43 × 28 cm.
sources :
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[11 juin : souvenons-nous des anarchistes en prison et continuons le combat contre la dévastation]
[11 juin : souvenons-nous des anarchistes en prison et continuons le combat contre la dévastation]. — Montréal : Montréal contre-information = Montreal counter-information = MTL Contre-info, . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (deux ) ; 43 × 28 cm.
sources :
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[Anarchist attacks on gentrification]
[Anarchist attacks on gentrification]. — Montréal : Montréal contre-information = Montreal counter-information = MTL Contre-info, . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (quadri ) ; 43 × 28 cm.
sources :
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[Attaques anarchistes contre la gentrification]
[Attaques anarchistes contre la gentrification]. — Montréal : Montréal contre-information = Montreal counter-information = MTL Contre-info, . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (quadri ) ; 43 × 28 cm.
sources :
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[C’est facile d’attaquer = It’s easy to attack]
[C’est facile d’attaquer = It’s easy to attack]. — Montréal : Montréal contre-information = Montreal counter-information = MTL Contre-info, . — 1 affiche (impr. photoméc.) : n. et b. ; [22 ?] × [36 ?] cm.
sources :
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[Chaque flic a un secret : attaquer le pouvoir est facile]
[Chaque flic a un secret : attaquer le pouvoir est facile]. — Montréal : Montréal contre-information = Montreal counter-information = MTL Contre-info, . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (trois : noir , orange , violet , papier blanc ) ; [43 ?] × [28 ?] cm.
sources :
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[Chemins de fer bloqués en solidarité avec les communautés autochtones en lutte]
[Chemins de fer bloqués en solidarité avec les communautés autochtones en lutte]. — Montréal : Montréal contre-information = Montreal counter-information = MTL Contre-info, . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (deux : rouge , noir , papier blanc ) ; 43 × 28 cm.
sources :
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[Cop car set on fire after March 15 demo]
[Cop car set on fire after March 15 demo]. — Montréal : Montréal contre-information = Montreal counter-information = MTL Contre-info, . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (deux : noir , bleu ) ; 43 × 28 cm.
sources :
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[Des gentrificateurs de St. Henri accueillis par un joyeux saccage !]
[Des gentrificateurs de St. Henri accueillis par un joyeux saccage !]. — Montréal : Montréal contre-information = Montreal counter-information = MTL Contre-info, . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (quadri ) ; 43 × 28 cm.
sources :
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[Deux instances de sabotage de chemins de fer pétroliers]
[Deux instances de sabotage de chemins de fer pétroliers] / Stephan Pilipa. — Montréal : Montréal contre-information = Montreal counter-information = MTL Contre-info, . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (trois : noir , jaune , violet , papier blanc ) ; [43 ?] × [28 ?] cm.
sources :
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[Each cop hides a secret : it’s easy to attack power]
[Each cop hides a secret : it’s easy to attack power]. — Montréal : Montréal contre-information = Montreal counter-information = MTL Contre-info, . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (trois : noir , orange , violet , papier blanc ) ; [43 ?] × [28 ?] cm.
sources :
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[Gentrifiers in St Henri welcomed with a joyous vandalism rampage !]
[Gentrifiers in St Henri welcomed with a joyous vandalism rampage !]. — Montréal : Montréal contre-information = Montreal counter-information = MTL Contre-info, [ ?]. — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (quadri ) ; 43 × 28 cm.
sources :
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[Hochelag’ nique la police]
[Hochelag’ nique la police]. — Montréal : Montréal contre-information = Montreal counter-information = MTL Contre-info, . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (quadri ) ; [43 ?] × [28 ?] cm.
sources :
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[Hochelag’ nique la police]
[Hochelag’ nique la police]. — Montréal : Montréal contre-information = Montreal counter-information = MTL Contre-info, . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (quadri ) ; [43 ?] × [28 ?] cm.
sources :
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[June 11th : remember imprisoned anarchists, continue to fight against ecological devastation]
[June 11th : remember imprisoned anarchists, continue to fight against ecological devastation]. — Montréal : Montréal contre-information = Montreal counter-information = MTL Contre-info, . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (deux ) ; 43 × 28 cm.
sources :
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[Montréal Book Fair 2015]
[Montréal Book Fair 2015] / Vincent Giard ; Nicholas Lachapelle. — Montréal : Salon du livre anarchiste de Montréal = Montreal anarchist bookfair, . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (trois : noir , rose , jaune , papier blanc ) ; 43 × 28 cm.
sources :
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[Pour vivre sans médiation de l’État, il nous faut défendre la terre]
[Pour vivre sans médiation de l’État, il nous faut défendre la terre]. — Montréal : Montréal contre-information = Montreal counter-information = MTL Contre-info, [ ?]. — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (quadri ) ; 43 × 28 cm.