Révolution [sociale]

 

 
 

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    [Repas gratuit pour tous et toutes, dimanche 27 mai 2012]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Repas gratuit pour tous et toutes, dimanche 27 mai 2012]. — Besançon : Food not bombs : Resto Trottoir (Besançon), (Imprimerie spéciale [Impr. spéc.]). — 1 affiche (impr. photoméc.) : n. et b. ; x × y cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  :
    • Liste des thèmes  : alimentation  ; capitalisme et anticapitalisme  ; Révolution [sociale]
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  : repas, cantine, …
    notes :
    descriptif :


    [ texte ; photo (président François Hollande, récemment élu) ]

    texte :

    Resto Trottoir

    collectif Food not bombs, Besançon
    blog : restotrottoir.blogspot.com

    Dim. 27 mai 2012

    Repas gratuit pour tous et toutes !

    Dès 12 h 30 place Marulaz

    Repas végétalien issu de récupérations

    + zone de gratuité : vêtements, chaussures, objets, libres, jouets…
    + infokiosque : tracts et brochures… discussions, échanges…
    + venez avec des jeux, des instruments, des animations !

    Il pleut ou neige fortement : cherchez-nous quai Vauban ou aux Arènes

    La vie en rose ??? Ne rêvons pas !

    Avoir viré Sarkozy c’est bien mais monsieur Hollande n’est ni plus ni moins qu’un valet d’une sociale démocratie à la solde du capital.

    Restons mobilisé(e)s car nous tous avons le pouvoir de faire changer les choses et créer une société de liberté, solidarité, proximité, respect, tolérance, d’entraide et d’égalité…

    Nous rejoindre : place Marulaz : participer à l’installation (11 h 30) et au repas…

    Participer librement : venir à la réunion d’organisation (pour participer à la diffusion de l’information, à la collecte, à la cuisine) : chaque premier mercredi de chaque mois à 19 h à la librairie L’Autodidacte au 5 de la rue Marulaz.

    Nous contacter : par mail : resto-trottoir@herbesfolles.org

    Papier recyclé le plus qu’on peut. Imprimerie spéciale. À coller où on peut ! À ne pas jeter sur la voie publique.


    sources :

    https://restotrottoir.blogspot.com/2012/05/prochain-resto-trottoir-le-27-mai-2012.html




    [Ni de leur guerre, ni de leur paix : pour la révolution sociale]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Ni de leur guerre, ni de leur paix : pour la révolution sociale]. — [S.l.] : [s.n.], [ & ante]. — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (quadri ) ; 60 × 42 cm.

    • Affiches par pays  : Belgique
    • Lieux d’archivages  : Anarchief (Gent)
    • Liste des thèmes  : contrôle social  ; guerre (généralités)  ; Révolution [sociale]
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  :
    notes :
    descriptif :


    [ texte ; photo (personnes courant dans la nuit, au flanc d’une prairie en pente) ]

    texte :

    Ni de leur guerre, ni de leur paix

    La guerre arrive maintenant jusque devant les portes de vos maisons. Les militaires postés dans la rue vous en donnent la preuve. Les contrôles renforcés dans la rue font disparaître des centaines de sans-papiers dans les camps de déportation. Les flics sont sur les nerfs, appliquant une tolérance zéro pour écraser tous ceux qui ne restent pas dans les rangs. Les journalistes font pénétrer le message du pouvoir dans nos têtes. Et l’argent pleut pour financer la lutte contre « la menace ».

    Le plan annoncé par le gouvernement de contrôler chaque maison à Molenbeek, et ensuite, on n’en doute pas, chaque maison dans les quartiers populaires est révélateur de ce qui est réellement visé : les exclus, les pauvres, les sans-papiers, les révoltés. L’État se saisit de l’occasion d’un acte de guerre sanglant à Paris pour serrer la vis. Et il serre les vis avant tout au niveau mental : soit vous êtes avec les soldats de Daech, soit vous êtes avec les soldats de l’État belge. C’est la logique pure de la guerre. Les deux camps nous dégoûtent, et pour la même raison : tous les deux cherchent à nous imposer leur pouvoir et leur loi. L’un au nom du capitalisme et du régime démocratique, l’autre au nom de la religion et de la construction du nouveau État du califat. Et tous les deux commettent des massacres. La seule différence, c’est que l’un a des bombardiers tandis que l’autre se sert de kamikazes.

    Tous les deux ont un ennemi en commun, un ennemi mortel : la liberté. L’État ici écrase la liberté pour garantir l’exploitation capitaliste et l’abrutissement technologique. L’État là-bas l’écrase pour imposer sa loi qu’elle considère divine. Dans la guerre qu’ils se font, ce sont les combats pour la liberté qui subissent les plus grandes pertes. Ici comme là-bas. Et n’oublions pas que c’est aussi ici que la guerre est littéralement produite : les entre-prises d’armement tournent à plein régime, les centres de recherche développent des armes encore plus meurtrières et perfides, les boîtes des sécurité connaissent un boom sans précédent.

    Face à l’état d’urgence, à la guerre qui s’apprête à nous dévorer toutes et tous, c’est l’heure de rompre les rangs. Rompre les rangs de tout pouvoir, qu’il s’appelle démocratique ou islamique. Rompre les rangs pour créer des espaces de lutte pour la liberté, pour ne pas succomber au fatalisme résignée des bains de sang.

    Le point de ralliement pour les déserteurs de leurs guerres et de leurs paix faits d’exploitation féroce, pour les révoltés contre tout pouvoir, c’est le combat pour la liberté. Ce combat se livre aujourd’hui avec les sans-papiers contre les frontières et les déportations, avec les insoumis qui luttent contre la construction d’une maxi-prison à Bruxelles, avec tous ceux qui se battent contre les mesures répressives et d’austérité (les deux faces de la même médaille) du gouvernement. C’est là qu’il faut souffler fort sur le feu. Car pendant que l’État décrète, la mobilisation totale et nous gave avec son idéologie de sécurité, pendant qu’il envoie son armé les rues où nous habitons, pendant qu’il s’apprête à étouffer tout combat pour la liberté, pas question de rester désarmés. Nos armes, ce sont celles de la liberté : le courage de penser par soi-même, la détermination de saboter leurs bâtiments, casernes, entreprises, prisons, la solidarité entre rebelles.

    Les temps à venir seront difficiles et sanglants. Mais c’est dans les ténèbres qu’on peut voir brûler plus radieusement les feux de la liberté, contre tout État et contre tout pouvoir.

    des anarchistes

    Pour la révolution sociale


    sources :
     




    [Manifeste aux ouvriers par le groupe d’études sociales de Dijon]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Manifeste aux ouvriers par le groupe d’études sociales de Dijon]. — Dijon : GES_ (Groupe d’études sociales), . — 1 affiche (impr. photoméc.) : n. et b. ; x × y cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  :
    • Liste des thèmes  : capitalisme et anticapitalisme  ; délégation de pouvoir (élections)  ; parlementarisme et antiparlementarisme  ; Révolution [sociale]
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  :
    notes :
    descriptif :


    [ texte ]

    texte :

    Manifeste aux ouvriers par le groupe d’études sociales de Dijon

    Travailleurs,

    Les ouvriers, membres du Groupe d’Études sociales de Dijon, croient de leur devoir d’adresser un manifeste à tous les travailleurs, étant donnée la gravité de la situation, pour leur dévoiler la manière d’agir de la Bourgeoisie, qui détient le pouvoir à son profit, ne permet pas qu’on enseigne à l’ouvrier sa destinée d’homme, et fait condamner par ses magistrats. ceux d’entre nous — Avant-garde de l’armée prolétarienne — qui osent dire aux rapaces bourgeois qui nous exploitent et nous gouvernent, que le temps est proche où les travailleurs, s’inspirant de l’énergique devise de leurs frères de Lyon « Vivre en travaillant ou mourir en combattant,  » anéantiront cet être vil, l’exploiteur, qui ne nous considère que comme un instrument qui doit lui procurer les jouissances de la vie.

    Gouvernés de telle sorte, vous saurez vous débarrasser de ces vaniteux autoritaires, affamés du pouvoir, qui sacrifient si audacieusement les intérêts sacrés de l’humanité à la cupidité de leurs souteneurs, et qui, par de perfides menées et de criminels compromis, provoquent la guerre, ce terrible fléau de l’humanité ! Puis, après avoir fait verser sur le champ de bataille le sang le plus pur des travailleurs, les divisent pour mieux les opprimer.

    Il faudrait désespérer de notre avenir, si nous ne nous hâtions d’unir nos efforts contre ceux qui spéculent sur notre ignorance et notre misère ; ayons donc le sentiment de notre force et la volonté d’en user à notre profit. Nous avons pour nous le droit, la justice et l’exemple des nombreux martyrs de notre noble cause !

    Vos frères du Groupe d’Études sociales de Dijon comptent sur vous pour arriver à notre complète émancipation. Ne continuons pas plus longtemps à remettre nos pouvoirs à ceux qui, sous le couvert de la République, nous trompent en nous promettant ce qu’ils ne tiennent jamais. Sachons même braver les dangers, lorsqu’il nous sera démontré qu’ils doivent avoir pour résultat le bonheur de tous. Nous sommes le nombre, nous avons la force, laissons de côté toutes rivalités mes-quines, toutes antipathies personnelles, et notre victoire est assurée.

    Pour nous, travailleurs, il est défendu de goûter le moindre plaisir ; notre repos est un sommeil de quelques heures sur un grabat en lambeaux, dans un taudis humide ou dans un grenier à tous vents. Travailler, toujours produire, sans posséder seulement le nécessaire, des aliments grossiers et malsains, et souvent falsifiés, voilà la situation qui nous est faite par la criminelle organisation de la Société actuelle. En admettant que notre existence ne soit jamais compromise par la stagnation du commerce ou par la morte-saison résultant de l’excès de notre travail, que nous soyons en tout temps suffisamment entretenus d’ouvrage, sans jamais être arrêtés par les maladies et les accidents de toutes sortes, le prix de notre travail est-il en rapport avec le prix de la consommation qui est nécessaire à la réparation de nos forces ? La continuité d’un travail excessif, qui ne permet pas à nos facultés de se développer, tel est le bilan de la position qui nous est faite sous le gouvernement de la soi-disant République.

    Par une trop longue durée de travail dans l’attitude la plus pénible et souvent périlleuse, notre corps se déforme et se brise, nos membres s’engourdissent et perdent leur souplesse et leur vigueur, notre santé se ruine et nous ne quittons l’atelier que pour entrer à l’hôpital, cet asile de retraite des travailleurs qui ont tout produit, tout construit. Comment exercer notre intelligence, éclairer notre esprit, adoucir nos mœurs ? Il nous faut rester exposés au mépris des insolents orgueilleux, à la fourberie des rhéteurs ! Si l’excès de nos malheurs nous rend parfois violents et colères, et si, animés d’une légitime indignation, nous nous révoltons contre la domination de nos maîtres, l’on nous traite de vile multitude, de canailles ; alors nos ennemis mettent tout en œuvre pour réprimer ces manifestations du droit populaire : exécution sommaire, conseil de guerre, déportation ; telle a été jusqu’ici la réponse faite à nos justes plaintes par ceux que trop naïvement nous avons acceptés pour nous gouverner.

    Que désormais notre souveraineté soit permanente et que les travailleurs ne délèguent jamais leurs pouvoirs aux bourgeois, c’est-à-dire à ceux dont les intérêts sont diamétralement opposés aux leurs.

    En attendant la transformation de la société actuelle par la Révolution sociale, qui nous assurera le bien-être par une juste répartition du produit du travail entre tous les travailleurs, nous serons heureux, n’en doutez pas, dès que l’union sera faite entre nous.

    Combinons donc tous nos efforts pour assurer notre triomphe et nous débarrasser de ces nombreux parasites qui nous rongent et exercent sur nous leur orgueilleuse autorité.

    Vive la République sociale !

    Nota. — Toutes communications et demandes au Groupe d’Études sociales de Dijon devront être adressées au Secrétaire du dit Groupe

    rue Berlier, 40, à Dijon.

    Dijon, imp. Carré.


    sources :
     




    [Révolution sociale et libertaire]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Révolution sociale et libertaire]. — [S.l.] : [s.n.], . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (deux  : noir , magenta , papier blanc ) ; 70 × 50 cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  :
    • Liste des thèmes  : Révolution [sociale]
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  :
    notes :
    descriptif :


    [ texte ; dessin (poings levés dans une manifestation) ]

    texte :

    Qui sème la misère, récolte la colère

    Révolution sociale et libertaire

    Réseau No pasaran […]


    sources :
     

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