Canada
Voir aussi : Canada (3 affiches) – Géographie, géopolitique et Histoire
199 affiches :
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
- /B_tout>
[ texte (façon manuscrite) ; photo (homme d’une peinture début 19e s plus dessin d’une cravate et de ciseaux la coupant) ]
- texte :
Usines sans patrons
Conférence
La réponse des classes populaires argentines face à la crise économique de 2001 : récuparation d’usines, assemblées populaires, manifestations, etc.Par un militant de l’organisation argentine Red Libertaria
[cadre vide noir, à remplir]
Organisée par l’Union communiste libertaire
www.causecommune.net
ucl@caudecommune.netCette conférence prévue en octobre 2009 est alors annulée malgré les affiches déjà collées : http://voixdefaits.blogspot.fr/2009/10/usines-sans-patron-une-tournee.html (un compagnon de Red Libertaria n’a pu être présent).
La tournée a lieu finalement en février 2010 : http://voixdefaits.blogspot.fr/2010/01/tournee-usines-sans-patron-une-premiere.html- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
[ texte ; photos (lac forestier, magasin en liquidation) ]
- texte :
Visitez le Québec en crise !
un million de lacs…
des millions de précaires !
Les patrons, les bureaucrates et les politiciens tentent de faire porter le fardeau de cette crise mondiale aux travailleuses et aux travailleurs. Comme si nous avions à payer pour les excès indécents de ces profiteurs !
La course aux profits et la surproduction sont les seuls responsables de cette crise. Contre le chômage, la précarité et l’exploitation, organisons-nous dans nos quartiers, nos écoles et nos lieux de travail pour lutter ![logo UCL à l’étoile rouge et noire] Union communiste libertaire
www.causecommune.net [Logo UCL]http://voixdefaits.blogspot.fr/2009/09/lucl-en-campagne.html
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
- /B_tout>
[ texte ; image (carte rouge du Québec découpée par des ciseaux sur fond noir) ]
- texte :
Assemblée publique
Dimanche le 7 novembre à 13 h
1212, rue PanetCoupures, tarifs, privatisation…
Comment lutter contre le dernier budget de Jean Charest ?
Faites-vous entendre !
Présentations par
Marie-Ève Rancourt (MÉPACQ)
Gabriel Nadeau-Dubois (ASSÉ)
Aldo Miguel Paolinelli (militant de la CSN)Suivi d’une assemblée à micro ouvert
Organisé par l’Union Communiste Libertaire
www.causecommune.net- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
[ texte ; photo (banderole de manifestation « N’attendons rien de l’État… Seule la lutte paie », signée causecommune.net) ]
- texte :
Budget antisocial : faisons reculer le gouvernement
[logo UCL à l’étoile rouge et noire] UCL
action directe
perturbation économique,Grève sociale !
Union communiste libertaire (UCL) www.causecommune.net
http://voixdefaits.blogspot.fr/2010/12/bye-bye-2010-bilan-de-la-nuit.html
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
- Symbole(s) utilisé(s) : A cerclé (A encerclé) Ⓐ — étoile (noire …) ★ — chat noir — poing levé /B_tout>
[ texte ; dessin (lampe de bureau, projetant un « A cerclé » sur le mur, posée sur des livres aux titres formant le slogan « Ni dieux ; Ni maîtres ; Ni patrons ; Ni frontières ») ]
- texte :
Le Salon du libre anarchiste de Montréal
2010
Ni dieux, ni maîtres, ni patrons, ni frontières
Sam-dim 29+30, 10 h à 17 h, maintenant à deux jours
2515 rue Delisle
[logo Métro] Lionel-Groulx
Service de garde pour les enfants disponible sur place.Le rez-de-chaussée est accessible aux fauteuils roulants.
Contactez-nous pour tout besoin d’accessibilité supplémentaire.Pour les anarchistes et ceux/celles qui s’intéressent à l’anarchisme.
Avec des distributeurs de partout au Québec et en Amérique du Nord, des ateliers, des films, des discussions, des expositions, des activités pour les enfants et bien plus !
Bienvenue à toutes et tous
gratuit
www.salonanarchiste.ca
514-679-5800- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
- Symbole(s) utilisé(s) : A cerclé (A encerclé) Ⓐ — étoile (noire …) ★ — chat noir — poing levé /B_tout>
[ texte ; dessin (lampe de bureau, projetant un « A cerclé » sur le mur, posée sur des livres aux titres formant le slogan « No gods ; No masters ; No bosses ; No borders ») ]
- texte :
Montreal anarchist bookfair
2010
No gods, no masters, no bosses, no borders
May 29th+30th, Sat-Sun, 10ap-5pm, now tabling 2-days
2515 rue Delisle
[logo Métro] Lionel-GroulxWelcome to all !
Childcare on site. Bring your kids.Main floor is wheelchair accessible. Contact us for further accessibility needs.
For anarchists, and people curious about anarchism.
Booksellers, workshops, films, discussions, kids activities, art exhibits and more !
Free
www.anarchistbookfair.ca
514-679-5800- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
[ texte (façon manuscrite) ; photo (homme d’une peinture début 19e s plus dessin d’une cravate et de ciseaux la coupant) ]
- texte :
Usines sans patron
Conférence
La réponse des classes populaires argentines face à la crise économique de 2001 : récuparation d’usines, assemblées populaires, manifestations, etc.Par un militant de l’organisation argentine Red Libertaria
Mardi 2 février 2010, 20 h
au café-bar l’AgitéE
(251 Dorchester)
Dans le cadre des Mardis de l’anarchie
[logo chat noir] Collectif anarchiste La Nuit
voixdefaits.blogspot.com[logo UCL à l’étoile rouge et noire ]
Organisée par l’Union communiste libertaire
www.causecommune.net
ucl@causecommune.nethttp://voixdefaits.blogspot.fr/2010/01/tournee-usines-sans-patron-une-premiere.html
L’affiche est recyclée d’une précédente pour la même conférence alors annulée : http://voixdefaits.blogspot.fr/2009/10/usines-sans-patron-une-tournee.html (un compagnon de Red Libertaria n’a pu être présent).- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
[ texte ; photo (atelier de couture : femmes sous la surveillance d’un homme) ]
- texte :
Conférence AESS — UCL
Sebastián Darraidou, militant argentin
En Argentine, pour contrer la crise économique, il y a des…
Usines sans patrons
Conférence - mardi 2nfévrier 2010
11 h 30 @ DKN-1231
Soyez-y !Affiche de l’Union communiste libertaire (UCL) et de l’Association des Étudiants de Sciences Sociales (AESS) : http://voixdefaits.blogspot.fr/2010/01/usines-sans-patrons-conference.html
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
- /B_tout>
texte
vignette (caméra de vidéo-surveillance)
- texte :
Actions à Montréal contre les prisons, la police, et le monde qui en ont besoin
“Vu la misère qui nous entoure, nous refusons de nous complaire. La police est une armée qui occupe nos rues. Tout acte qui la repousse un peu plus loin de nos vies nous réchauffe le cœur."
2011
Juillet :
• Les bureaux d’une compagnie de construction et de promotion de condos ont été attaqués ; les vitrines ont été brisées et de la peinture a été lancée sur le bâtiment.Juin :
• Manifestation en réponse aux deux meurtres commis par le SPVM. La police a été attaquée à coups de roches et de balles de peinture alors que des barricades se construisaient et que des vitres éclataient.Mai :
• Des voitures de police ont été attaquées au décapant à peinture.
• Nuit de graffitis anarchistes et perturbation du consulat Grec en solidarité avec les anarchistes en Grèce qui combattent la police et les fascistes.Avril :
• Une banque a été attaquée et trois bannières exposées en solidarité avec les anarchistes qui font la grève de la faim au Chili.Mars :
• Les vitrines de deux compagnies de sécurité ont été fracassées et de la peinture lancée sur leurs murs et leurs caméras. En solidarité avec les anarchistes de Puget Sound qui combattent la police et les anarchistes de Montréal qui font face à la répression.
• Plusieurs véhicules du ministère de la sécurité publique du Québec ont été aspergés de décapant à peinture et leurs pneus ont été crevés. Ce ministère supervise les prisons provinciales et les forces policières.
• La manifestation annuelle anti-flic a eu lieu. Des projectiles ont étés lancés aux policiers et des fenêtres d’entreprise ont été brisées.Janvier-Mars :
• Quelques incendies criminels de condos en développement sont survenus. Les auteur(e)s sont
resté(e)s inconnu(e)s.Nouvel An :
• La troisième manifestation de bruit anti-prison en six mois a eu lieu à l’extérieur des prisons
de Laval. Feux d’artifices, bannières et chants.“Il va sans dire que nous avons fait cela parce que nous haïssons la police, et nous ne sommes certainement pas seuls dans cette haine. Continuons le combat."
2010
Décembre :
• 12 véhicules de Bell ont été couverts de décapant à peinture et leurs pneus ont été crevés pour souligner l’anniversaire de la mort de Mohamed-Anas Bennis. Sous les ordres du SPVM, Bell avait refusé de rendre les images caméras de la scène du meurtre disponibles pour l’enquête publique.
• Le bureau de Sodexo, une compagnie qui prépare de la nourriture pour les prisonniers, a été attaqué avec des roches et de la peinture en bombe aérosol. En solidarité avec Roger Clément qui a posé une bombe à la Banque Royale du Canada ; John Graham, un prisonnier autochtone ; et Giannis Dimitrakis, un prisonnier anarchiste en Grèce.Novembre :
• Les vitres de l’ambassade Russe ont été fracassées et de la peinture lancée sur sa façade, en solidarité avec les anarchistes en Russie qui font face à la répression de l’État pour des actions de défense écologique.Juillet :
• Les vitres d’un poste de police de la GRC ont été fracassées par des anarchistes masqués. • Les fenêtres et les guichets d’une banque Laurentienne ont été brisés avec des roches et un marteau en solidarité avec la résistance au G20.Juin-Juillet :
• 3 Banques Royales du Canada ont été fracassées, en solidarité avec l’incendie de la BRC d’Ottawa et avec ceux qui font face à la répression suite au G20 à Toronto.Juin :
• Les vitres de la compagnie Sodexo ont été fracassées.Mai :
• Les chemins de fer de CN dans l’Ouest de Montréal ont été bloquées.Mars :
• 15 mars, manifestation annuelle anti-flic. Les manifestants ont attaqué les flics avec des roches, des feux d’artifices et de la peinture. Des barricades ont été construites dans les rues. 6 voitures de police ont été vandalisées.
• Un groupe de personnes a attaqué un poste de police. 11 voitures de police ont été vandalisées : leurs vitres brisées, leurs pneus crevés et leurs ordinateurs défoncés. On a écrit FTP et ACAB sur le bâtiment, dont les fenêtres ont aussi été fracassées.“La prison est beaucoup plus que les quatre murs d’une horrible institution ; la prison est une condition qui nous cerne. La prison, c’est les caméras posées à chaque coin de rue qui surveillent nos allées et venues. C’est les frontières et la menace constante de détention et de déportation nous empêchant de choisir librement où nous voulons vivre."
2008-2009
Décembre :
• Deux BRC ont été attaquées en solidarité avec la résistance contre la colonisation perpétuée par les Olympiques.Avril :
• Une voiture de police a flambé.Août :
• Émeute à Montréal-Nord suite au meurtre de Freddy Villanueva par le policier Jean-Loup Lapointe. Les émeutiers ont mis le feu et ont attaqué les flics avec des roches, des bouteilles et des coups de fusils.Mars :
• Le 15 mars, pendant la manifestation anti-flic, une douzaines de vitrines d’entreprises au centre-ville ont été fracassées, un cocktail Molotov a été utilisé contre une voiture de police et des graffitis anti-flics ont été peints sur les murs.
• Les pneus de 23 voitures neuves d’un concessionnaire Mazda ont été crevés.
• Le feu a été mis à 3 machines distributrices de la Banque Nationale du Canada.
• Six voitures de police du poste 23 dans le quartier Hochelaga ont été incendiées.“Ces chemins de fer sont partie intégrante des fondements d’un monde que nous détestons, construit par les colonisateurs qui ont introduit les juges, les flics et leurs prisons sur ces terre. Nous approchons cela ainsi que tout autre élément fondateur du capital, en visant sa destruction : pour chaque blocage de chemin de fer, une caméra de surveillance est détruite. Pour chaque voiture de flic mise à la ruine, une prison se fait raser."
Mtlcounter-info.org
Une des 24 affiches parue avec Montréal contre-information n° 1 (hiver 2015-hiver 2017).
https://mtlcontreinfo.org/wp-content/uploads/2017/03/MTLCI-affiches.pdf
https://mtlcounterinfo.org/montreal-actions-against-prisons-police-and-the-world-that-needs-them/
https://mtlcontreinfo.org/wp-content/uploads/2015/06/20082011fr.pdf- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
texte
photo (homme lançant un casque de policier)
- texte :
The soldiers with their specialists and the pig with their guns
cannot stop
the lost ones and the desperate ones and the driven ones
Come on friends - to the barricades again Ⓐ
More info on struggling towards total freedom against capitalisme and the State
mtlcounter-info.org (fr / eng)
crimething.com (eng)
submedia.tv (eng)May Day Montréal 2011
Une des 24 affiches parue avec Montréal contre-information n° 1 (hiver 2015-hiver 2017).
https://mtlcontreinfo.org/wp-content/uploads/2017/03/MTLCI-affiches.pdf
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
- /B_tout>
[ texte ; dessin (fête de rue, rue et oiseaux sur montgolfière distribuant des livres) ]
- texte :
des idées pour changer le monde
Soirée de financement
75 c par pinte au profit de La Page Noire * librairie sociale *
265, rue DorchesterMercredi 5 janvier, 21 h, au bar Le Sacrilège, 447 rue Saint-Jean
http://voixdefaits.blogspot.fr/2011/01/soiree-de-financement-de-la-page-noire.html
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
- /B_tout>
text
vignette (caméra de vidéo-surveillance)
- texte :
Montréal actions against prisons, police, and the world that needs them
“We refuse to be complacent in the misery around us. The police are an occupying army in our streets and any act to further remove them from our lives warms our hearts.”
2011
July :
• Condo developer attacked ; its windows were broken and building was painted.
June :
•Demo in response to two murders by the SPVM that attacked police with rocks and paint bombs, built street barricades, and broke windows.
May :
•Police cars attacked with paint stripper.
•Night of anarchist graffiti and disruption of the Greek consulate in solidarity with anarchists in
Greece fughting the police and fascists.
April :
•Bank attacked and three banner drops in solidarity with anarchists in Chile on hungerstrike.
•Unclaimed long-term sabotage of 61 personal cars of police.
March :
•Two security companies had their windows broken and paint thrown on their walls and cameras
in solidarity with anarchists in Puget Sound fighting the police and Montréal anarchists facing state
repression.
•Several Public Security Ministry of Québec vehicles were doused in paintstripper and had their
tires slashed. The Ministry oversees provincial prisons and police forces.
•Annual anti-police demo in which people threw projectiles at police and smashed corporate windows.
January-March :
•Slew of unclaimed condo development arsons.
New Year :
•Third anti-prison noise demo in six months outside federal prisons with fireworks, banners, and chants.“Prison is much more than four walls of a vile institution ; prison is a condition that surrounds us. It is the cameras on every street corner surveilling our comings and goings, it is the borders and constant threat of detention and deportation that would keep us from freely choosing where we want to live.”
2010
December :
•12 Bell vehicles were covered in paintstripper and had their tires slashed on the anniversary of the police murder of Mohamed-Anas Bennis. Bell refused to make camera footage available to the public inquiry at the behest of the SPVM.
•Sodexo, a corporation that manufactures food for prisons, was attacked with rocks and spraypaint in solidarity with : Roger Clement, who firebombed an RBC ; John Graham, an indigenous prisoner ; and Giannis Dimitrakis, an anarchist prisoner in Greece.
November :
•The Russian Embassy in Montréal had its windows smashed and paint thrown against its façade in solidarity with anarchists in Russia facing state repression for defense of the earth.July :
•An RCMP station had it’s windows smashed by masked anarchists.
•Banque Laurentienne had atms, windows, and a sign smashed with a hammer and rocks in solidarity with those who resisted the G20.
June-July :
•3 RBCs smashed in solidarity with the RBC firebombing and those facing G20 repression in Toronto.
June : •Sodexo had its windows smashed.
May : •CN rail lines west of Montréal were blocked.
March :
•Annual anti-police demo in which people attacked cops with stones, fireworks, and paint, built barricades in the street, and vandalized 6 police cruisers.
•A group of people attacked a police station. 11 police cars suffered broken windows, slashed tires, and had their computers smashed. FTP and ACAB were written on the building, and its windows were broken.“It goes without saying that we did this because we hate the police, and we certainly aren’t alone in this hatred...
continue the fightback.”2008-09
December :
•Two RBCs attacked in solidarity with resistance to the colonial Olympics.
April :
•Police car was torched.
August :
•Riot in Montréal-Nord after Fredy Villanueva was murdered. Fires were set, and police were attacked with stones, bottles, and guns.
March :
•During annual anti-police demo, dozens of downtown corporate windows were smashed, a molotov was used against a police vehicle, and anti-police graffiti was painted.
•23 cars at Mazda dealership had their tires slashed.
•Three ATMs of National Bank of Canada set on fire.
•Six police vehicles set on fire in Hochlaga.mtlcounter-info.org
“These rails are an integral part of the underpinnings of a world we hate, built by the colonizers who introduced judges, police, and their prisons to this land. We approach this and other bedrocks of capital with an eye for destruction : for every rail blocked, a camera smashed. For every cop car put to ruin, a prison razed.”
https://mtlcontreinfo.org/wp-content/uploads/2017/03/MTLCI-affiches.pdf
https://mtlcounterinfo.org/montreal-actions-against-prisons-police-and-the-world-that-needs-them/
https://mtlcontreinfo.org/wp-content/uploads/2015/06/20082011en.pdf- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
- Symbole(s) utilisé(s) : A cerclé (A encerclé) Ⓐ — flèche cerclée (intersquatt) ⚡ — chat noir — poing levé — slogan : Ni dieu ni maitre /B_tout>
[ texte (en partie en défonce dans le dessin) ; dessin n&b maniériste de Benjamin Mege avec motifs d’oiseaux, livres, poings levés, chats noirs, a cerclés, flèches cerclées, triples flèches, etc. ]
- texte :
Montreal Anarchist Bookfair 2011
May 21 and 22, 10am-5pm, 2515 rue Delisle ; subway Lionel-Groulx
For anarchists and for peaple who are curious about anarchism
Booksellers, workshops, films, discussions, kids activities, art exhibits and more !
Free. Welcome to all
Childcare on site.
Bring youy kids.
Main floor is wheelchair accessible.
Contact us for further accessibility needs.
No gods, no masters ; no bosses, no borders ! — http://www/anarchistbookfair.ca — 514-679-5800
traduction :Salon du livre anarchiste de Montréal 2011
21 et 22 mai, 10 h-17 h, 2515 rue Delisle ; métro Lionel-Groulx
Pour les anarchistes et ceux/celles qui s’intéressent à l’anarchisme
Avec des kiosques, des ateliers, des films, des discussions, des expositions, des activités pour les enfants et bien plus !
Gratuit. Bienvenue à toutes et tous.
Service de garde pour les enfants, disponible sur place.
Rez-de-chaussée accessible aux fauteuils roulants.
Contactez-nous pour tout besoin d’accessibilité supplémentaire.
Ni dieu, ni maître ; ni patron, ni frontière ! — http://www/salonanarchiste.ca — 514-679-5800
Infos récoltées sur : http://www.anarchistbookfair.ca/
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
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[ texte (en partie en défonce dans le dessin) ; dessin n&b maniériste de Benjamin Mege avec motifs d’oiseaux, livres, poings levés, chats noirs, a cerclés, flèches cerclées, triples flèches, etc. ]
- texte :
Salon du livre anarchiste de Montréal 2011
21 et 22 mai, 10 h-17 h, 2515 rue Delisle ; métro Lionel-Groulx
Pour les anarchistes et ceux/celles qui s’intéressent à l’anarchisme
Avec des kiosques, des ateliers, des films, des discussions, des expositions, des activités pour les enfants et bien plus !
Gratuit. Bienvenue à toutes et tous.
Service de garde pour les enfants, disponible sur place.
Rez-de-chaussée accessible aux fauteuils roulants.
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traduction :Montreal Anarchist Bookfair 2011
May 21 and 22, 10am-5pm, 2515 rue Delisle ; subway Lionel-Groulx
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- notes :
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texte
vignettes phot. (menottes, caméras de vidéo-surveillance, policiers anti-émeute)
- texte :
Contre la loi, la police, les prisons et les ‘bon.nes citoyen.nes’
La police, les juges, les riches et leurs prisons défendent le monde actuel du travail et de la misère et seulement à travers le conflit ec elles/eux, nous créons un monde où ces systèmes de domination n’existent pas. Un monde où nous sommes libres de poursuivre nos besoins en commun avec les autres en absence de la rareté imposée du capitalisme et la police occupant nos rues, enfermant la menace de la liberté partout où elle commence à fleurir. Jusque-là, nous nous trouverons de l’autre côté des lois qu’ils maintiennent. Nous savons que l’égalité devant la loi est un mythe, construit par les puissant.es afin de dissimuler que ces lois s’appliquent à une réalité de profondes inégalités maintenues grâce à la domination. La loi, dans un grand souci d’égalité, interdit aux riches comme aux pauvres de coucher sous les ponts, de mendier dans les rues et de voler du pain.
Pour les dirigeant.es de ce monde, nous sommes, en effet, tous des criminel.les – du moins potentiellement. Nous sommes capables de menacer le sommeil tranquille du pouvoir parce que nous pouvons voir à travers le voile de la loi, choisir de l’ignorer et reprendre les moments de nos vies, quand nous le pouvons, en nos propres termes. Après tout, nous sommes qu’ils policent et surveillent. On peut se demander si ce n’est pas parce que c’est trop évident que les gens y sont aveugles.
Si les banques sont attaquées, c’est parce que l’argent est la cause principale de la misère. Si les vitres sont brisées, ce n’est pas parce que la vie est chère, mais parce que l’existence de marchandises empêchent de vivre à tout prix. Si les machines sont sabotées, ce n’est pas à cause d’un désir de protéger le travail, mais pour attaquer l’esclavage du salaire. Si la police et les prisons sont attaquées, ce n’est pas juste pour les faire sortir de nos quartiers, mais pour les faire sortir de nos vies. Les anarchistes sont ceux et celles qui mettraient le feu à un bulldozer ou une maison de luxe plutôt que de laisser une forêt être rasée, qui préfèrent entendre le bruit du verre qui se brise plutôt que le discours d’un politicien. Les criminel.les sont ceux et celles qui s’en soucient. Et le plus grand crime est de sympathiser avec eux et elles. Le plus grand acte de servitude est de faire semblant qu’ils sont des monstres.
Dans les yeux des puissant.es, nous sommes à domestiquer. Quelle meilleure façon de prouver que nous sommes bien dressé.es que de nous faire nous prosterner devant l’absurdité ? Nos patron.nes tuent des gens chaque année dans ce pays par des accidents de travail facilement évitables, par des maladies liées aux professions et en libérant des poisons dans l’air et l’eau. Pourtant, on nous enseigne à avoir peur des plus faibles que nous et de nous accrocher plus fortement à nos dirigeant.es pour se protéger. Les bon.nes citoyen.nes collaborent avec l’autorité, rapportent les activités suspectes, suivent les règles et travaillent fort pour rendre plus facile la protection du gouvernement contre les supposées menaces qui ne peuvent pas, ne doivent pas, être comprises.
Le bon citoyen ne remarque pas quelque chose de suspect lorsque les politicien.nes et les PDG prennent crédit pour « la création d’emplois » et reprochent aux immigrant.es les « emplois volés ». La bonne citoyenne peut se plaindre quand les banques volent des millions, mais elle sera d’accord que c’est du terrorisme si quelqu’un brûle la banque et aura peur de la personne qui la vole. Le bon citoyen va à la guerre pour les ambitions des politicien.nes et les profits des corporations.
Le bon citoyen oublie d’où il vient.
La bonne citoyenne s’identifie à ses propriétaires.
Le bon citoyen suit les règles qui sont contre lui.
La bonne citoyenne n’a rien à cacher et est prête à être fouillée pour le prouver.
Le bon citoyen est un délateur, un mouton, un vendu.Les grands empires ne se sont pas seulement construits dans l’oppression. Ils ont également été construits sur le consentement des masses les applaudissant dans les stades romains intemporels de chaque dictateur. Le bon citoyen est l’exécuteur de la loi et de l’ordre où la police n’a pas le nombre pour être présent.e et sans lui nous serions plus près de déterminer nos vies dans la liberté totale. La bonne citoyenne trahira ceux et celles qui se rebellent. Surtout, elle se trahit elle-même, parce que le système qu’elle protège n’offre rien d’autre que des mensonges pour inspirer la loyauté
FAISONS DE NOUS DES CAMARADES DANS LA LUTTE CRIMINELLE POUR LA LIBERTÉ –
CONTRE TOUTE MENTALITÉ QUI EST EN PAIX AVEC LE POUVOIR ET CHAQUE CONSCIENCE QUI LE TOLÈRE.
TUONS LE FLIC DANS NOS TÊTES ET REFUSONS DE PORTER UNE PRISON À L’INTÉRIEUR DE NOUS-MÊMES.« Dans ma vie, j’ai appris à ne pas ramper à gauche et à droite comme un délateur et un informateur, j’ai appris à ne pas trahir mes ami.es et camarades, à ne pas les abandonner, à ne pas les dénoncer en face de mes persécuteur(rice.s pour me sauver. Dans ma vie, j’ai appris à garder la tête haute, à être une personne fière et à ne pas ramper, même si cela a un prix. Si certaines personnes agissent comme des délateurs, j’ai vraiment honte pour eux. » -Vaggelis Stathopoulos, prisonnier anarchiste en Grèce
mtlcounter-info.org / sabotage.anarkhia.org
https://mtlcontreinfo.org/la-loi/
https://mtlcontreinfo.org/wp-content/uploads/2012/06/loi.pdf
https://mtlcounterinfo.org/law/
https://mtlcontreinfo.org/wp-content/uploads/2012/06/law.pdf- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
- /B_tout>
text
vignettes phot. (menottes, caméras de vidéo-surveillance, policiers anti-émeute)
- texte :
Against the law, police, prisons, and the ‘good citizen’
The police, judges, the rich, and their prisons defend the present world of work and misery, and only through conflict with them will we create a world where these systems of domination don’t exist : where we are free to pursue our needs in common with others in the absence of the scarcity imposed by capitalism and the police who occupy our streets, caging the threat of freedom wherever it begins to bloom. We will always find ourselves on the other side of the laws they maintain ; there is no way to destroy the state and capital legally. We know that equality before the law is a myth, constructed by the powerful in order to disguise that these laws apply to a reality of deep-seated inequality. The law, in its majestic equality, forbids the rich as well as the poor to sleep under bridges, to beg in the streets, and to steal bread.
To the rulers of this world, we are, indeed, all criminals – at least potentially. We are capable of threatening the tranquil sleep of power, because we can see through through the veil of the law, choose to ignore it and take back the moments of our lives, whenever we can, on our own terms. After all, we are the ones they are policing and monitoring. One can only wonder if it is the fact that this is so glaringly obvious that makes people blind to it.
If the banks are attacked, it’s because money is the central cause of misery. If the windows are smashed, it’s not because life is expensive, but because the existence of commodities prevents living at all costs. If the machines are broken, it’s not out of a desire to defend work, but to attack the slavery of salary. If police and prisons are attacked, it’s not just to get them out of our neighborhoods, but to get them out of our lives. Anarchists are those who would set fire to a bulldozer or a new luxury home rather than let a forest be cut down, who would rather hear the sound of shattering glass than a politician’s speech. The criminals are those who care. And the greatest crime is to sympathize with them. The greatest act of servitude is to pretend they are monsters.
In the eyes of the powerful, we, all of us, are to be domesticated. What better way to prove that we are well trained than to make us bow down to absurdity ? Our bosses kill many people every year in this country through easily preventable work accidents, occupational diseases, and the release of poison into the air and water. Yet, we are taught to fear those weaker than us and to cling closer to our leaders for protection. The ‘good citizen’ collaborates with authority, reports suspicious activity, follows the rules and works hard, to make it easier for the government to protect him from shadowy threats that he cannot, and must not, understand.
The good citizen doesn’t notice anything suspicious when politicians and CEOs take credit for “creating jobs” and blame immigrants for “stealing jobs”. The good citizen may complain when the banks steal millions, but he will agree that it is terrorism if someone burns the bank down, and he will be afraid of the person who robs a bank. The good citizen goes to war for the ambitions of politicians and the profits of corporations.
The good citizen forgets where he came from.
The good citizen identifies with her owners.
The good citizen follows the rules that are stacked against him.
The good citizen has nothing to hide, and is willing to be strip-searched to prove it.
The good citizen is a snitch, a follower, a sellout.The great empires weren’t just built on oppression. They were also built on the consent of the applauding masses in the timeless Roman stadiums of every dictator. The good citizen is the enforcer of law and order where the police don’t have the numbers to be present, and without them we become one step closer to determining our lives in total freedom. The good citizen will betray those who rebel. Most of all, he betrays himself, because the system he protects offers nothing to inspire loyalty other than lies
LET’S FIND EACH OTHER AS COMRADES IN THE CRIMINAL STRUGGLE FOR FREEDOM –
AGAINST EVERY MENTALITY THAT WELCOMES POWER, AND EVERY CONSCIENCE THAT TOLERATES IT.
LET’S KILL THE COP IN OUR HEADS, AND REFUSE TO CARRY A PRISON INSIDE OURSELVES.“In my life, I haven’t learned to crawl left and right like a snitch and informer, I haven’t learned to betray my friends and comrades, to abandon them, to denounce them in front of my persecutors to save myself. In my life I’ve learned to keep my head high, to be a proud person and not to crawl, even if that has a cost. If some people have learned to live like snitches, I really feel ashamed for them.”
Vaggelis Stathopoulos, anarchist prisoner in Greecemtlcounter-info.org / sabotage.anarkhia.org
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texte
photo (manifestants dépavant une protection d’arbre urbain)
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ANTI-AUSTÉRITÉ SIGNIFIE ANTI-ÉTAT
« Sous les pavés, la plage. » – graffiti à Paris, mai ‘68
aus·té·ri·té
Les politiques gouvernementales qui coupent systématiquement l’aide sociale, la santé, les prêts étudiants et autres services sociaux.
Il est évident pourquoi nous devrions être contre les mesures d’austérité. Certain.es d’entre nous sont des étudiant.es, certain.es d’entre nous sont sur l’aide sociale et beaucoup d’entre nous dépendent du système de santé provincial. D’une manière ou d’une autre, la plupart d’entre nous dépendent de l’État-providence ; sa destruction menace notre survie. Mais c’est seulement parce que le capitalisme et le colonialisme ont arraché nos connaissances collectives de comment nous nourrir et prendre soin de nos connexions à la terre sur laquelle nous vivons, nos liens les un.es aux autres. L’État-providence a été créé à une époque où le mode capitaliste de production avait besoin de travailleur(se)s obéissant.es et fidèles pour produire des biens, construire des bâtiments, mourir dans des guerres et fournir du travail intellectuel. Mais dans un monde de raréfaction des ressources, de croissance démographique et de machines toujours plus efficaces, nous devenons chaque jour moins nécessaire à l’entretien de ce système. Nous sommes, en fait, une menace pour lui – au moins potentiellement.
La situation est trop dangereuse pour nous permettre d’être dirigé.es par des valets bureaucrates qui négocient avec l’État que nous devrions chercher à détruire. Nos ennemi.es ont la pleine intention de protéger les privilèges que leur offre le capitalisme et maintenant la survie du capitalisme dépend d’une exploitation plus profonde et plus efficace. Les gens vont résister, bien sûr, et en conséquence le gouvernement fédéral élargit le système carcéral (il y aura cinq expansions fédérales et sept provinciales au Québec seulement) et renforce l’appareil de contrôle social avec des patrouilles de police et la surveillance routinière dans les rues de chaque ville. Bien sûr, ce malgré la chute des taux de criminalité déclarée par la police et une diminution de la gravité de ces crimes à travers le pays.
Déjà beaucoup d’entre nous ne pouvons pas payer la nourriture ou le loyer, d’autres arrivent à peine à s’en sortir. Déjà beaucoup d’entre nous sommes structurellement empêché.es d’améliorer nos vies de manière significative. Ceci est la vie sous le capitalisme. Et pour que le capitalisme puisse survivre à la présente crise, le cercle des personnes qui en bénéficient doit être réduit. L’âge du New Deal, de l’État-providence et de la classe moyenne est terminée.
Nous n’allons pas mendier pour aucune réforme de l’État qui fasse de nous de bons travailleur(se)s, de bons citoyen.nes et de bons producteur(rice)s pour le capital. Nous allons libérer toute la fureur et la peur qui se sont construites à l’intérieur de nous au cours des jours et des années que nous avons perdus dans nos rôles de servitude passive. Lorsque nous attaquons les structures qui quotidiennement nous rendent misérables et nous humilient, nous trouvons une force unique qui brise notre solitude et détruise l’identité de travailleur(se) ou d’étudiant.e, de bon.ne ou mauvais.e citoyen.ne. Nous avons choisi de lutter contre l’infrastructure d’aujourd’hui plutôt que d’exiger sa maintenance.
C’est la guerre contre le capital et l’État, l’austérité et l’autoritarisme – qu’ils soient explicites ou médiés par la démocratie. Lorsque les rebelles de Paris en 1968 ont inventé leur fameux slogan de jeter les pavés, ils impliquaient que le monde de leurs rêves était enterré sous les générations de défaites qui composent l’histoire du capitalisme – mais que tout ce qu’il faut pour commencer à dévoiler ce monde est de résister.
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photo (manifestants dépavant une protection d’arbre urbain)
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ANTI-AUSTERITY MEANS ANTI-STATE
“Beneath the paving stones, the beach”. – graffiti from Paris, May ‘68
aus·ter·ity
Government policies that systematically cut welfare, healthcare, student loans, and other social services.
It’s obvious why we should be against austerity measures. Some of us are students, some of us are on welfare, and a lot of us are dependent on the provincial healthcare system. In one way or another, most of us are dependent upon the welfare state ; its destruction threatens our survival. But that is only because capitalism and colonialism have ripped away our collective knowledge of how to feed and care for ourselves, our connections to the land we live on, our connections to each other. The welfare state was created at a time when the capitalist mode of production needed obedient and loyal workers to produce goods, construct buildings, die in wars, and provide intellectual labour. But in a world of dwindling resources, growing populations, and increasingly efficient machines, we become less necessary to the maintenance of this system every day. We are, in fact, a threat to it – at least potentially.
The situation is too dangerous to allow ourselves to be led by bureaucratic hacks who negotiate with the state that we should be seeking to destroy. Our enemies have every intention of protecting the privileges that capitalism affords them, and now the survival of capitalism depends on an even deeper and more efficient exploitation. People will resist, of course, and to that end the federal government is expanding the prison system (there will be five federal and seven provincial expansions in Québec alone) and strengthening the apparatus of social control, with police patrols and routine surveillance on the streets of every city. Of course, this is despite falling police-reported crime rates and a decrease in severity of these crimes across the country.
Already many of us can’t afford food or rent ; others barely get by. Already many of us are structurally prevented from improving our lives in any meaningful way. This is life under capitalism. And for capitalism to survive the current crisis, the circle of people who benefit from it must be reduced in size. The age of the New Deal, the welfare state, and the middle class is over.
We will not beg for any reform from the state that trains us to be good workers, good citizens, and good producers for capital. We will unleash all of the fury and fear that has built up inside of us over the days and years that we have wasted in our roles of passive servitude. When we attack the structures that daily make us miserable and humiliated, we find a unique strength that breaks our loneliness and removes the label of worker or student, good or bad citizen. In our collective conflict with this system, we become uncontrollable. We choose to fight against the infrastructure of today rather than to demand its maintenance.
This is war against capital and the state, austerity and authoritarianism – whether explicit or mediated as democracy. When the rebels of Paris 1968 coined their famous slogan about throwing paving stones, they were implying that the world of their dreams lay buried beneath the generations of defeat that comprise capitalist history – but that all it takes to begin to uncover that world is to resist.
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photo (manifestation) ; dessins (émeute)
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BLACK BLOC
attaquer l’autorité, le capital et l’État dans les rues pour que toutes et tous nous joignent
depuis 1981*
C’est vrai que l’État n’est pas une vitrine, mais ce n’est pas non plus qu’un concept abstrait. Briser des vitrines n’est pas une action révolutionnaire. En fait, aucune action prise hors contexte et présentée en tant qu’abstraction n’est révolutionnaire. Nous ne pouvons ignorer les intentions et la stratégie de ceux et celles qui brisent des vitrines. L’État et le capital ne peuvent être attaqués en tant qu’abstractions. Ils peuvent être attaqués seulement dans leurs manifestations matérielles, leur existence sociale et leurs institutions. Il est impossible d’attaquer toutes les manifestations matérielles du pouvoir en même temps, elles doivent donc être attaquées une pièce à la fois.
Lorsque l’intention d’être dans les rues est simplement de revendiquer poliment plus de liberté à nos dirigeant.es, les manifestations deviennent des événements contrôlables et ultimement symboliques. Passivité et obéissance sont de règle du début à la fin lors de ces marches qui ne posent aucune menace à la continuité des systèmes de pouvoir. Nous devons nous débarrasser du rôle du dissident et de la dissidente démocratique qui demande la réforme du système qui doit être détruit. Le but n’est pas de demander à nos ennemi.es d’arrêter, mais de les forcer à arrêter.
Les personnes reconnaissant l’État et le capital en tant qu’ennemis jurés de la liberté – et qui veulent les détruire plutôt que de faire des compromis ou de dialoguer avec eux – utilisent parfois la tactique du « black bloc » dans les rues. Les « black blocs » sont des groupes de personnes portant des hoodies, pantalons, souliers et masques de la même couleur pour préserver leur anonymat et empêcher la police d’identifier et d’isoler qui commet une action particulière. Tout ce que vous avez besoin pour participer est un esprit de combat, des ami.es en qui vous avez confiance et divers vêtements pour se changer. Un « black bloc » n’est pas une gang – à moins qu’une gang soit un groupe partageant un désir d’agir ensemble pour la liberté. Ce n’est pas une organisation, mais une tactique pouvant être utilisée par toutes et tous voulant attaquer ce monde de misère, de travail, de dévastation écologique et de domination dans lequel ils et elles doivent vivre. Un bloc est uni par des intention communes de se révolter et non par adhésion à un groupe ou allégeance à un.e dirigeant.e ; parce que les anarchistes s’organisent eux- et elles-mêmes et n’ont pas de dirigeant.es.
Depuis leur popularisation en Allemagne dans les années 1980*, les black blocs ont été utilisés par des anarchistes pour réaliser leurs désirs d’attaque tout en minimisant les risques de répression des prisons et des tribunaux qui utilisent leurs lois pour protéger la propriété et les système du pouvoir. Cet ordre social qui nous emprisonne, nous exploite et nous domine peut être déstabilisé par des attaques et les black blocs permettent d’attaquer et de développer des forces communes. C’est pendant ces moments, où le pouvoir perd le contrôle que des points de références sont créés pour les révoltes qui viennent, que nous pouvons mettre le cap sur les insurrections.
C’est la police qui est la première ligne de défense de cet ordre social et le mythe de leur invincibilité est promulgué partout. Il y a un effort constant pour nous convaincre que les attaquer est tout simplement du voyoutisme. Nous savons mieux. Nous pouvons réclamer nos vies ensemble et nous rapprocher de la liberté en agissant contre les ennemi.es de notre liberté : la police et leur société-prison, les banques et autres institutions du capital ainsi que les bon.nes citoyen.nes délateurs.
Ceux et celles qui se révoltent sont souvent presenté.es en tant que voyous. Les autorités disent que nous sommes violent.es parce que nous sommes ceux et celles qui veulent vivre en liberté, qui refusent de reproduire les rôles oppressifs, qui veulent l’abolition des propriétés, du capital et de l’autorité pour un monde de liberté totale et de solidarité. Tout cela est pour nous distraire de l’immense et constante violence systématique par laquelle les pouvoir du capitalisme et de l’État maintiennent leur contrôle. En luttant pour mettre fin à cet ordre social, qui nous décrira toujours en tant que « violent.e », nous pouvons récupérer nos vies et notre dignité.
Dans une société qui priorise la propriété à la place de la vie, la propriété doit être détruite pour que nous puissions vivre.
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photo (manifestation) ; dessins (émeute)
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BLACK BLOC
Black bloc : attacking authority, capital, and the state openly in the streets for all to join
since 1981*
“It is true that the state is not a window, but neither is it just an abstract concept. Breaking windows is not a revolutionary act and neither is any other act if taken out of context and presented as an abstraction, ignoring the intentions and strategy of those who break the windows. The state or capital or colonialism cannot be attacked as abstractions. They can only be attacked in their material forms, their social relations, and their institutions. It is not possible to attack all forms and material components of power at once, so they must be attacked in pieces at different times and locations.”
When the intention of being in the streets is merely to politely ask something of our rulers, demonstrations become reproduced as controllable and purely symbolic events. Enforced passivity and obediance characterize these marches from point a to point b which then pose no threat to the continuation of power. The role of the democratic dissident, who pleads for power to reform the system that should be destroyed, is something to be shed. The point is not to ask for our enemies to stop, but to make them stop.
People who recognize the state and capital as total enemies of freedom – and who want to destroy them rather than engage in compromise or dialogue with them – sometimes use the black bloc tactic in the streets. Black blocs are when people wear hoodies, pants, shoes, gloves, and masks of the same colour in order to conceal their identity, preventing the police from identifying and isolating which actions are commited by whom. Participating is as easy as bringing a fighting spirit, trusted friends, and certain clothing to change into and out of. A black bloc is not a gang – unless a gang can mean a group that shares the desire to act for freedom together. It is not an organization but a tactic open to anybody who wants to participate in attacking this world of misery, work, ecological devastation, and domination imposed upon them. A bloc is united by shared intentions to revolt, not by membership or allegiance to leaders, because anarchists self-organize and have no leaders.
Since the 1980s* when it became popular in Germany, black blocs have been used by anarchists so that people can act as they desire while minimizing the threat of repression from the prisons and courts, which use their laws to protect power and property. This social order which imprisons, exploits, and dominates us can be subverted by attacks, and black blocs allow people to attack and develop their strength with others. These moments, during which power loses control to enforce itself, create social points of reference for rebellions to come, pushing towards insurrection.
It is the police who are the front line of defense for this social order, and everywhere is propagated the myth that they are invincible. There is a constant effort to convince us that attacking them is senseless hooliganism. We know otherwise. Our lives can be reclaimed together in an empowering way and brought closer to freedom by acting against the enemies of our freedom : the police and their prison society, the banks and other institutions of capital, the good citizen snitches.
Those who revolt are presented as “thugs”. The authorities tell us that we are violent, because we are those who want to live our lives freely on our own terms, who refuse to reproduce the roles forced down our throats, who seek the abolition of property, capital, and authority for a world of total freedom and solidarity. This is all to distract us from the immense and systematic violence with which the power of capitalism and the state maintains its control. By struggling to put an end to this social order, which will always condemn us as “violent”, we can steal back our lives and dignity.
In a society that values property over life, property must be destroyed for us to live.
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photos (events : Montreal, Egypt, Greece)
Ⓐ circled A
black and red background
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All across the world
...the politicians and capitalists have put us in a situation of economic and environmental precarity.
Yet on a global level, people are resisting and fighting for their freedom – from Egypt to Greece, and even in North America – with strikes, occupations, riots, and revolutions.
Here in Montréal, the tuition fee hikes are just one example of the politicians and capitalists making us pay for their crisis, along with the rising costs of food, transit fare hikes, and social service cuts. They even discuss sucking two more years of work from us by increasing the retirement age.
Don’t be fooled into “shouldering the burden”. These measures only protect the interests of the bosses.
[photo :] Montréal : May Day demonstration
[photo :] Egypt : anti-government protesters attack a riot police van
[photo :] Greece : strike demonstration against austerityCapitalism is the crisis !
Let’s struggle for life and freedom,
not for survival !Ⓐ
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photos (scènes d’émeutes)
- texte :
Cops, pigs, murderers
The police claim their purpose is to “serve and protect”, but the 60 people who the SPVM have murdered since 1987 remindus that it is not us who the police serve and protect. We are told that we need the police, that their actions are excusable and necessary for our protection, that without them we’d all be killing each other. The truth is that we don’t need them at all. We know well enough who the killers are.
The police exist to maintain social order in the service of capitalism and the state ; they’re not interested in reducing crime, but increasing social control. They are the ones firing tear gas and rubber bullets whenever a demonstration escapes their control, who attack striking workers or students. They’re the ones who stand between every hungry person and the grocery shelves stocked with food, between every homeless person and the buildings standing empty, between immigrants and their families on the other side of the border. The police literally put people in cages. They also convince many to live in cages of their own, made out of fear. They protect the rich, the bosses, and their property – not us.
Capitalism is a system that has been forced upon us. As long as anyone might defy the hierarchy of a ruling elite, the police are necessary to regulate, to discipline, to control. Police violence is not an accident – it’s business as usual. It cannot be separated from the larger context of increasing austerity measures, strengthening social control, new prisons, tougher laws, and omnipresent surveillance technologies. The problem is not just the violence of the police, but the police themselves, along with the courts, laws, and prisons which exist to maintain the misery of capitalism.
The police can only dominate us while we remain isolated. If everyone who hates them rose up at once, they would be powerless to stop us. In Egypt, it only took a week to burn down every police station and set every police department to flight. This is why our anger must be turned into action, such as when people rioted after the pigs murdered Fredy Villanueva in Montréal-Nord, when the Mohawks of Kanehsatake and Kahnawake erected armed barricades in 1990, or more recently during the combative demonstrations which have blossomed out of the student strike, where people regularly attack the police with anything from rocks to Molotov cocktails, smash their cars and equipment, and trash their stations.
The police are one of the most significant obstacles to the realization of anarchy – a situation which would require people to direct their lives according to their own initiatives, only implementing decisions they felt to be in their best interests. Conflicts would have to be resolved to the mutual satisfaction of all parties involved, not suppressed by a gang with a monopoly on force.
Until there are no police patrolling the streets, arresting our loved ones, and hassling us at every turn, the police will be attacked, along with their cages, and the systems of domination they seek to protect.
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[ texte ; photo (chanteur en scène) ]
- texte :
Le collectif anarchiste L’Atelier et l’AgitéE vous présentent
David Rovics
Indie, protest-folk - davidrovics.com
Jun Bustamante
Indie, flok jazz with a hint of blint end hiphop and electronic - www.junonlines.us12 octobre 2012
20 h à L’AgitéE (251, rue Dorchester)
10 $ (7 $ en prévente)L’AgitéE bar-coop
Pour toute information sur la soirée visitez quebeclibertaire.blogspot.com
http://voixdefaits.blogspot.fr/2012/09/folk-libertaire-quebec.html
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[ texte ; dessins (main-poing noire et rouge tirant une chasse d’eau, cuvette de WC d’où s’échappent les signes partisans : EA, PQ, QN, PLQ, QS, PI, CAQ, PCQ) ]
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En cas d’élections
Tirer la chasse
http://voixdefaits.blogspot.fr/2012/04/des-elections-en-lair.html
Affiche de l’UCL ?
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[ texte ; photo (bourgeon feuillé en plein débourrement) ]
- texte :
Off
Festival de l’anarchie
Du 24 au 26 mai 2012 à Québec
Jeudi : film et soirée dansante
À l’AgitéE, 251 Dorchester5 à 7 d’ouverture
19 h 30 Projection (du film) documentaire Anarchroniques avec la cinéaste Karine Rosso
— Suivi d’une soirée dansante avec le collectif de DJ Zik Not BombZVendredi : livre et débat
À la librairie Saint-Jean-Baptiste, 265 rue Saint-Jean19 h Lancement du livre Perspective libertaire sur les services publics suivi d’un débat sur les services publics
Samedi :
À l’AgitéEConférence et atelier de 9 h 30 à 16 h
Ça prend des idées pour changer le monde — http://quebec-libertaire.blogspot.ca/
Une initiative du collectif l’Atelier, ucl.quebec@causecommune.nethttp://voixdefaits.blogspot.fr/2012/05/invitation-au-festival-off-de-lanarchie.html
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photo (porte de cellule de prison, barbelés)
- texte :
Feu aux prisons et au monde qui en a besoin
La prison n’est rien de plus qu’un reflet de la société dans laquelle nous vivons. Notre société ressemble à une grande prison à ciel ouvert ; avec la menace de mourir de faim si vous ne dépensez pas votre énergie pour le capitalisme dans un travail dépourvu de sens, avec des caméras à chaque coin de rue, avec la police intimidant et assassinant dans la rue comme les screws font pour ceux et celles enfermé.es dans des cages et avec des frontières tracées en tant que murs par nos dirigeant.es. L’intérieur et l’extérieur de la prison ne diffèrent que par leur degré d’intensité, mais les deux sont basés sur la domination, l’aliénation et le contrôle.
L’État n’est pas intéressé à réduire le crime, mais à augmenter le contrôle social. L’emprisonnement décent, comme un capitalisme humain, n’existe pas. L’emprisonnement – être pris en otage par l’État – est une raison en soi pour se rebeller contre les screws et leurs barbelés. Tout comme dans la rue, il y a des gens dans les prisons, les établissements psychiatriques et les centres de détention qui ne sont pas en paix avec leurs conditions, qui n’ont pas enterré un certain goût pour la liberté simplement parce qu’un.e juge a décidé qu’ils vivraient dans une cage. Au sein de ces murs, il y a celles qui refusent le quotidien d’humiliation d’obéir aux gardes, dont les murs et les barbelés ne sont pas encore gravées dans leur cerveau, et qui plutôt les observent comme des obstacles qui doivent encore être surmontés. Le châtiment que le juge leur impose est une conséquence d’un monde qui est basé sur l’exploitation et l’obéissance, un monde qui ne pourrait pas fonctionner sans la menace constante de prison pour ceux qui choisissent de ne pas se soumettre à la misère qui les entourent.
Des vagues de révoltes, d’émeutes et de rébellions sont très répandues dans le système pénitentiaire. En se soulevant, en brûlant les infrastructures de la prison, en attaquant les gardes et en s’échappant, certains prisonnier(ère)s ont redécouvert ce que le système a essayé de leur enlever : le courage, le désir de liberté et la volonté de mettre un terme à au moins une partie de cette société de domination par la rébellion contre elle.
Notre désir de vivre libre de l’exploitation est sans valeur si nous ne sommes pas disposés à agir. La machine de la prison n’est pas aussi bien huilée qu’elle le semble, et celles à l’extérieur peuvent retrouver ses engrenages à chaque coin de rue – des architectes de prisons aux banques qui financent les prisons. Notre passion pour la liberté est plus forte que leurs prisons !
« C’est la plus terrible institution de notre époque que cette justice, fatiguée de surenchérir sur le crime qu’elle prétend punir ; ne crucifiant plus, n’écartelant plus, de dépeçant plus, n’empalant plus, ne brûlant plus et, même, ne décapitant plus. Il n’y a plus ni fer, ni roue, ni gibet, ni bûcher, ni rien. Ce qui remplace tout, c’est le temps. La vie amputée du temps ! C’est ça la prison : du temps infligé dans sa nudité. On ne tue pas, on laisse mourir. »
– Serge Coutel« Même si les prisons étaient transformées d’entrepôts d’humain.es en hôtels de luxe, même si les prisonnier(ère)s de toutes les prisons recevaient des « réductions de peine », même si le passage à tabac à tous les jours des prisonnier(ère)s était remplacé par des accords sournois et assimilés par les politiques correctionnelles, conformément au modèle des « droits humains », même si les cellules blanches étaient peinturées en rose et que la méthadone remplaçait l’héroïne, nous resterions à jamais les ennemi.es de toute structure qui nous prive de notre liberté. Nous serons les rebelles à l’intérieur de vos hôtels de luxe et les incendiaires de la justice légale. Nous serons combattant.es éternel.les en amour avec la liberté. Des meilleures conditions de détention ne signifient rien de plus que l’amélioration des conditions de captivité. Pour nous, la question reste dans son essence, l’état de captivité en soi. »
– Yiannis Dimitrakis, anarchiste brigand de banques emprisonné en Grèce« La prison n’est pas simplement un endroit, c’est aussi une condition : l’antithèse de ce qu’est la liberté. Par la même, l’absence de liberté est la prison et c’est seulement lorsque cette dernière est perçue comme condition propre qu’il devient possible d’entrer dans la dimension destructrice, sans mesure. »
– Jean Weirsabotage.anarkhia.org - mtlcounter-info.org
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photo (porte de cellule de prison, barbelés)
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Fire to the prisons and the world that needs them
Prison is nothing more than a reflection of the society in which we live. Our society resembles a great open-air prison ; with the threat of starvation if you don’t spend your energy on meaningless work for capitalism, with cameras on every corner, with the police intimidating and murdering in the streets like the jailers do to those locked in cages, and with borders drawn by our rulers serving as walls. The inside and outside of prison only differ in their degree of intensity, but both are based on domination, alienation, and control.
The state is not interested in reducing crime, but in increasing social control. Decent imprisonment, like a humane capitalism, does not exist. Imprisonment – being held hostage by the state – is a reason in itself to rebel against jailers and their barbed wire. Just like on the street, there are people in the prisons, psychiatric institutions, and detention centres who do not come to peace with their conditions, who do not bury a certain taste for freedom just because a judge decides that they will live in a cage. Within these walls, there are those who refuse the daily humiliation of obeying the guards, for whom the walls and the barbed wire are not yet seared into their brains, and who rather observe them as obstacles that have yet to be overcome. The punishment that the judge imposes upon them is a consequence of a world that is based on exploitation and obedience, a world that would not function without the constant threat of prison for those who choose to not submit to the misery surrounding them.
Waves of revolts, riots, and rebellions are widespread within the prison system. By rising up, by burning the prison’s infrastructure, by attacking guards, and by escaping, some prisoners have rediscovered what the system has tried to take from them : courage, the desire for freedom, and the will to put an end to at least a part of this society of domination through rebellion against it.
Our desire to live free of exploitation is worthless if we are unwilling to act on it. The prison machine isn’t as well oiled as it seems, and those on the outside can find its gears on every street corner – from prison architects to banks that finance prisons. Our passion for freedom is stronger than their prisons !
“It’s the most terrible institution of our era, this justice, tired of outbidding the crime it pretends to punish ; it no longer crucifies, tears apart, skins, impales, brands, and even beheads. There is no longer the iron, the wheel, the gallows, the stake, or anything. What replaces them is time. Life amputated by time ! This is prison : time imposed in its nakedness. We no longer kill, we let die.”
– Serge Coutel“Even if prisons were transformed from human storerooms into luxury hotels, even if the prisoners of all prisons are satisfied with ‘reduced sentences’, even if the everyday beatings of prisoners are replaced by sly agreements and assimilated by correctional policies in accordance with the ‘human rights’ model, even if the ‘white cells’ turn ‘pink’ and heroin gives way to methadone we will remain forever enemies of any structure that denies us our freedom. We will be the rebels inside your luxury hotels and the arsonists of legal justice. We will be eternal fighters in love with freedom. Better prison conditions mean nothing more than improved conditions of captivity. For us the issue remains in its essence, the condition of captivity in itself.”
– Yiannis Dimitrakis, anarchist bank robber imprisoned in Greece“Prison is not simply a place, it is also a condition, the antithesis of which is freedom. By the same token, the absence of freedom is prison, and only when the latter is perceived as one’s own condition does it become possible to enter the destructive dimension without measure…Nothing less will do.”
– Jean Weirsabotage.anarkhia.org - mtlcounter-info.org
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texte
photos (scènes d’émeutes)
- texte :
Flics, porcs, assassins
La police dit que son but est de « servir et protéger », mais les 60 personnes que le SPVM a tuées depuis 1987 nous rappellent que ce n’est pas nous que la police sert et protège. On nous dit que nous avons besoin de la police, que leurs actions sont excusables et nécessaires à notre protection, que sans eux nous allons toutes/tous nous entretuer. La vérité est que nous n’avons pas besoin d’eux. Nous savons trop bien qui sont les assassins.
La police existe pour maintenir l’ordre social au service du capitalisme et de l’État ; elle n’est pas intéressée à réduire le crime, mais plutôt à augmenter le contrôle social. Ils sont ceux qui lancent des gaz lacrymogènes et qui tirent des balles de plastique à toutes les fois qu’une manifestation échappe à leur contrôle, qui attaquent les travailleur(euse)s et les étudiant.es en grève. Ils sont ceux qui séparent les affamé.es des étagères pleines de bouffe des marchés, les sans-abri.es des immeubles vacants, les immigrant.es de leurs familles de l’autre côté de la frontière. La police est celle qui met les gens en cage. Ils sont ceux qui en convainquent plusieurs de vivre en cage selon leurs propres volontés, mû.es par la peur. Ils sont ceux qui protègent les riches, les patrons, leurs propriétés – pas nous.
Le capitalisme est un système qui nous est imposé. Aussi longtemps que des gens pourront défier la hiérarchie de l’élite gouvernante, la police sera nécessaire pour réguler, discipliner, contrôler. La violence policière n’est pas un accident – c’est notre quotidien. Elle ne peut pas être séparée d’un contexte plus large où les mesures d’austérité s’accroissent et où le contrôle social s’intensifie avec les nouvelles prisons, des lois plus sévères, avec l’omniprésence des technologies de surveillance. Le problème n’est pas juste la violence de la police, mais la police elle-même tout comme les tribunaux, les lois et les prisons, qui maintiennent la misère que le capitalisme nous impose.
La police ne peut nous dominer que si nous demeurons isolé.es. Si tous ceux/toutes celles qui l’haïssent se soulèvent ensemble, ils seront impuissants à nous arrêter. En Égypte, cela n’a pris qu’une semaine pour faire brûler tous les postes de police et pour obliger les départements de police à s’évaporer. C’est pourquoi notre colère doit se transformer en action comme quand les gens ont pris la rue pour y vivre l’émeute après le meurtre de Freddy Villanueva par les cochons à Montréal-Nord, quand les Mohawks ont érigé des barricades armées à Kanehsatake et à Kahnawake en 1990 ou encore plus récemment durant les manifs confrontationnelles qui ont fleuri du terrain de la grève étudiante, où les gens attaquent régulièrement la police avec tout ce qu’ils/elles peuvent, des roches aux cocktails molotov, brisent leurs chars ainsi que leurs équipements et détruisent leurs postes.
La police est un des plus importants obstacles à la réalisation de l’anarchie – une situation qui requiert des gens qui vivent selon leurs propres initiatives, seulement mettant en application ce qu’elles/ils sentent comme étant dans le meilleur intérêt. Les conflits devront être résolus dans un but de satisfaction mutuelle pour toutes les parties impliquées, pas supprimés par un gang qui s’est approprié le monopole de la force.
Jusqu’à ce qu’il n’y ait plus de polices patrouillant les rues, arrêtant celles/ceux que nous aimons et nous harcelant à tous les coins de rue, la police sera attaquée tout comme leurs cages et les systèmes de domination qu’ils essaient de protéger.
sabotagemedia.anarkhia.org — mtlcounter-info.org
https://mtlcounterinfo.org/police/
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photos (protesters ; police)
- texte :
La vie de l’agent de police est pénible ; sa position au milieu de la société aussi humiliante et méprisée que le crime même… La honte et l’infamie l’enserrent de toutes parts, la société le chasse de son sein, l’isole comme un paria, lui crache son mépris avec sa paie, sans remords, sans regrets, sans pitié… la carte de la police qu’il porte dans sa poche est un brevet d’ignominie.
Fuck la police
« Avoir la vocation d’aider » ne pourra jamais être une excuse valable pour intégrer la police !
https://mtlcontreinfo.org/nik-la-police/
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- notes :
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photos (scènes d’émeute : Chili, Grèce, Toronto, Montréal, Égypte)
- texte :
Guerre sociale
Une guerre est déjà menée contre nous quotidiennement par l’État et le capital, par les rôles misérables de soumission qui nous sont imposées, par la police et leurs prisons. Une paix sociale pourrie est maintenue pour dissimuler que les gens se battent contre l’exploitation et la domination. Guerre sociale est la riposte à cette guerre déjà existante.
Guerre sociale veut dire nous contre l’État. L’existence de cette guerre est le plus grand secret gardé de notre civilisation. La nommer est le premier acte de rébellion, la première étape vers la reprise du contrôle sur nos propres vies.
Nous avons pensé.e qu’il s’agissait d’une guerre unilatérale ; menée par l’Autorité, contre nous. Nous avons pensé.e que nous n’avions aucun autre espoir que de l’ignorer, de rendre cette misère un peu plus tolérable. Nous espérions que ça passerait. Mais seulement ça nous encercle, de plus en plus serré, surveillant chacun de nos mouvements tout en nous offrant un million de façons de plus d’acheter notre place dans le système, de participer à notre propre domination. Et la plupart participent, tout d’abord en évitant d’admettre que cette guerre existe. Ils/elles parlent de changement, de politique, de réforme, de la corruption, mais elles/ils ne parleront jamais de la guerre à moins qu’ils/elles parlent de quelque chose qui se passe loin. Parce que d’admettre l’existence de la guerre menée contre nous est d’admettre qu’il y a une ligne qui divise entre agir pour la liberté ou collaborer avec le système et que les deux ne peuvent être réconciliées. Si nous voyons que nous ne ripostons pas, alors nous devons admettre que nous avons capitulé. Que nous avons déjà été vaincu.es. Que nous ne sommes pas libres ne signifie pas que nous sommes impuissant.es. En fait, la surveillance généralisée envoie un message évident : l’État a peur de notre capacité à le percevoir comme ennemi et d’agir par notre désir d’y mettre un terme. Parce que nous ne serons jamais impuissant.es. Nous avons le pouvoir, la responsabilité, de riposter.
La guerre menée contre nous tous/toutes peut devenir une guerre sociale lorsque nous nous joignons ensemble pour lutter contre ceux/celles qui ont volé nos vies, rompu nos communautés, empoisonné notre monde. En déclarant la guerre, l’humanité peut s’élever de sa tombe. Parce que pendant trop longtemps, nous avons fui la catastrophe de notre défaite originelle, à travers la ruine de générations empilées assez haut pour bloquer le soleil ; exilé.es dans un avenir devenu cauchemardesque par le manque de possibilité. L’état des choses qui fait semblant d’être quelque chose de complet – une civilisation perfectionnée où nous ne pouvons que prendre un siège et accepter – exige en fait de nous de faire un choix : se battre contre elle ou se rendre.
Beaucoup de gens combattent déjà, dans le monde entier. Nous luttons de toutes les manières qui s’offrent à nous. Détruisant le système morceau par morceau, que ce soit par l’incendie d’une banque ou le sabotage d’un oléoduc. Surmonter l’aliénation qui constitue les barreaux d’une prison invisible en prenant la rue en émeute ensemble ou en parlant avec nos collègues et en organisant ensemble une force collective contre le pouvoir des patron.nes. Désertant et désobéissant à toutes les règles écrites contre nous, en squattant et en volant pour notre survie, par le refus du service militaire, rejetant les rôles auxquels nous sommes assigné.es, comme bon•ne travailleur.euse, bon.ne élève, bon.ne citoyen.ne. Réécrire les fins habituelles en soutenant les prisonniers(ère)s plutôt que de les laisser disparaître dans l’isolement, en battant les violeurs et les homophobes plutôt que de subir leur violence, en créant des formes d’amour qui nous renforcent plutôt que de nous contenir et nous limiter. Prendre le contrôle de notre environnement par le graffiti sur les murs ou en occupant l’espace et en plantant des jardins, en s’armant avec la capacité de créer un monde nouveau et de détruire celui qui nous a été imposée.
Nous ne nous attendons pas à ce que vous commenciez cette bataille, pas tout de suite, car être honnête au sujet de votre place dans le monde et agir, c’est déclarer la guerre contre le système qui supporte votre vie, attaquer les chaînes qui vous confinent, mais aussi vous gardent en sécurité, balançant au-dessus de l’abîme que le système a creusé à partir de nos vies. Choisir votre propre camp dans la guerre sociale, c’est sauter dans l’abîme. Mais à moins que nous voulions une existence basée sur la servilité, c’est notre seul choix, il y a une différence entre la vie et la survie. Et dès que vous franchissez le pas, vous pourriez y trouver d’autres qui surveillent vos arrières, d’autres qui se battront à vos côtés. Vous pourriez peut-être alors savoir ce que cela signifie que de briser l’aliénation qui définit cette société, d’enfin avoir un certain contrôle sur votre vie.
Jusque-là, gardez les yeux ouverts. Ne croyez pas les mensonges qu’ils racontent sur nous. Vous pouvez penser qu’en ripostant nous sommes irresponsables, mais nous connaissont très bien les conséquences de nos actions. Chacun d’entre nous fait face à la possibilité de la répression de l’État ; d’une cellule de prison ou, dans l’avenir, d’un camp de concentration qui nous attend. Nous continuons à lutter, parce que nous sommes en amour avec tous les mondes possibles qui ne sont pas autorisés à fleurir. Vous pouvez penser que nous sommes idéologiques, que nous sommes des monstres de sang-froid comme ils/elles disent, mais entendez comment le sang se précipite bruyamment dans nos cœurs. Des gens calculés n’entreraient pas dans ce combat, parce que nous avons apparemment une si minime chance de gagner. Les froid.es, les calculé.es sont celles/ceux qui deviennent des politicien.nes. S’il y a un choix entre le cynisme et le désespoir ou une attaque déterminée et axée contre le présent système de domination, en tant qu’anarchistes, nous choisissons ce dernier…
Nous continuons la lutte parce que nous détestons toute autorité et aimons la liberté, qui ne peut être donnée mais doit être prise.
sabotage.anarkhia.org — mtlcounter-info.or
https://mtlcounterinfo.org/social-war/
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- notes :
[Usines sans patrons : conférence]
[Usines sans patrons : conférence]. — Québec : UCL_ (Union communiste libertaire : 2008-2014), . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (quadri ) ; x × y cm.
sources :
![]() 2010 |
![]() 2010 |
[Visitez le Québec en crise ! : un miliion de lacs… des millions de précaires !]
[Visitez le Québec en crise ! : un miliion de lacs… des millions de précaires !]. — Québec : UCL_ (Union communiste libertaire : 2008-2014), . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (quadri ) ; x × y cm.
sources :
[Assemblée publique : comment lutter contre le dernier budget de Jean Charest ?]
[Assemblée publique : comment lutter contre le dernier budget de Jean Charest ?]. — Québec : UCL_ (Union communiste libertaire : 2008-2014), . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (deux : rouge , noir , texte en défonce , papier blanc ) ; x × y cm.
sources :
[Budget antisocial : faisons reculer le gouvernement]
[Budget antisocial : faisons reculer le gouvernement]. — Québec : Nuit (collectif anarchiste La) : UCL_ (Union communiste libertaire : 2008-2014), . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (deux : rouge , noir , texte en défonce , papier blanc ) ; x × y cm.
sources :
[Le Salon du livre anarchiste de Montréal 2010]
[Le Salon du livre anarchiste de Montréal 2010]. — Montréal : Salon du livre anarchiste de Montréal = Montreal anarchist bookfair, . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (quadri ) ; 59 × 28 cm.
sources :
![]() 2010 |
[Montreal anarchist bookfair 2010]
[Montreal anarchist bookfair 2010]. — Montréal : Salon du livre anarchiste de Montréal = Montreal anarchist bookfair, . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (quadri ) ; 59 × 28 cm.
sources :
![]() 2010 |
[Usines sans patron : conférence]
[Usines sans patron : conférence]. — Québec : AgitéE (L’) : Nuit (collectif anarchiste La) : UCL_ (Union communiste libertaire : 2008-2014) ; [et al.], . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (quadri ) ; x × y cm.
sources :
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![]() 2009 |
[Usines sans patrons : conférence]
[Usines sans patrons : conférence]. — Québec : Nuit (collectif anarchiste La) : UCL_ (Union communiste libertaire : 2008-2014) ; [et al.], . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (deux : rouge , noir , texte en défonce , papier blanc ) ; x × y cm.
sources :
![]() 2010 |
![]() 2009 |
[Actions à Montréal contre les prisons, la police, et le monde qui en ont besoin]
[Actions à Montréal contre les prisons, la police, et le monde qui en ont besoin]. — Montréal : Montréal contre-information = Montreal counter-information = MTL Contre-info, . — 1 affiche (impr. photoméc.) : n. et b. ; 28 × 43 cm.
sources :
![]() 2011 |
![]() 2011 |
[Come on friends - to the barricades again Ⓐ]
[Come on friends - to the barricades again Ⓐ]. — Montréal : Montréal contre-information = Montreal counter-information = MTL Contre-info, [ ?]. — 1 affiche (impr. photoméc.) : n. et b. ; [43 ?] × [28 ?] cm.
sources :
[La Page noire, librairie sociale : soirée de financement]
[La Page noire, librairie sociale : soirée de financement]. — Québec : La (2002-2011) Page noire, . — 1 affiche (impr. photoméc.) : n. et b. ; x × y cm.
sources :
[Montréal actions against prisons, police, and the world that needs them]
[Montréal actions against prisons, police, and the world that needs them]. — Montréal : Montréal contre-information = Montreal counter-information = MTL Contre-info, . — 1 affiche (impr. photoméc.) : n. et b. ; 28 × 43 cm.
sources :
![]() 2011 |
![]() 2011 |
[Montreal Anarchist Bookfair 2011]
[Montreal Anarchist Bookfair 2011] / Benjamin Mege. — Montréal : Salon du livre anarchiste de Montréal = Montreal anarchist bookfair, . — 1 affiche (impr. photoméc.) : n. et b. ; 44 × 28 cm.
sources :
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[Salon du livre anarchiste de Montréal 2011]
[Salon du livre anarchiste de Montréal 2011] / Benjamin Mege. — Montréal : Salon du livre anarchiste de Montréal = Montreal anarchist bookfair, . — 1 affiche (impr. photoméc.) : n. et b. ; 44 × 28 cm.
sources :
![]() 2011 |
[ Contre la loi, la police, les prisons et les ‘bon.nes citoyen.nes’]
[ Contre la loi, la police, les prisons et les ‘bon.nes citoyen.nes’]. — Montréal : Montréal contre-information = Montreal counter-information = MTL Contre-info, . — 1 affiche (impr. photoméc.) : n. et b. ; [43 ?] × [28 ?] cm.
sources :
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![]() 2012 |
[Against the law, police, prisons, and the ‘good citizen’]
[Against the law, police, prisons, and the ‘good citizen’]. — Montréal : Montréal contre-information = Montreal counter-information = MTL Contre-info, . — 1 affiche (impr. photoméc.) : n. et b. ; [43 ?] × [28 ?] cm.
sources :
![]() 2012 |
![]() 2012 |
[Austérité]
[Austérité]. — Montréal : Montréal contre-information = Montreal counter-information = MTL Contre-info, . — 1 affiche (impr. photoméc.) : n. et b. ; [43 ?] × [28 ?] cm.
sources :
![]() 2012 |
![]() 2012 |
[Austerity]
[Austerity]. — Montréal : Montréal contre-information = Montreal counter-information = MTL Contre-info, . — 1 affiche (impr. photoméc.) : n. et b. ; [43 ?] × [28 ?] cm.
sources :
![]() 2012 |
![]() 2012 |
[Black bloc]
[Black bloc]. — Montréal : Montréal contre-information = Montreal counter-information = MTL Contre-info, . — 1 affiche (impr. photoméc.) : n. et b. ; [43 ?] × [28 ?] cm.
sources :
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[Black bloc]
[Black bloc]. — Montréal : Montréal contre-information = Montreal counter-information = MTL Contre-info, . — 1 affiche (impr. photoméc.) : n. et b. ; [43 ?] × [28 ?] cm.
sources :
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![]() 2012 |
[Capitalism is the crisis !]
[Capitalism is the crisis !]. — Montréal : Montréal contre-information = Montreal counter-information = MTL Contre-info, . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (quadri : noir , orange , texte en défonce , papier blanc ) ; 43 × 28 cm.
sources :
![]() 2012 |
![]() 2012 |
[Cops, pigs, murderers]
[Cops, pigs, murderers]. — Montréal : sabotagemedia, . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (quadri ) ; [43 ?] × [28 ?] cm.
sources :
![]() 2012 |
[David Rovics à L’Agitée]
[David Rovics à L’Agitée]. — Québec : AgitéE (L’) : Atelier (collectif libertaire L’), . — 1 affiche (impr. photoméc.) : n. et b. ; x × y cm.
sources :
[En cas d’élections, tirer la chasse]
[En cas d’élections, tirer la chasse]. — [S.l.] : UCL_ (Union communiste libertaire : 2008-2014), [ ?]. — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (deux : rouge , noir , papier blanc ) ; x × y cm.
sources :
![]() 1988 |
![]() [s.d.] |
![]() [ 1980 ?] |
![]() [s.d.] |
![]() [ 1914 ?] |
![]() 1994 |
[Festival de l’anarchie : Off, du 24 au 26 mai 2012 à Québec]
[Festival de l’anarchie : Off, du 24 au 26 mai 2012 à Québec]. — Québec : AgitéE (L’) : Atelier (collectif libertaire L’) : UCL_ (Union communiste libertaire : 2008-2014), . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (quadri ) ; x × y cm.
sources :
[Feu aux prisons et au monde qui en a besoin]
[Feu aux prisons et au monde qui en a besoin]. — Montréal : Montréal contre-information = Montreal counter-information = MTL Contre-info, . — 1 affiche (impr. photoméc.) : n. et b. ; [28 ?] × [43 ?] cm.
sources :
![]() 2012 |
![]() 2012 |
[Fire to the prisons and the world that needs them]
[Fire to the prisons and the world that needs them]. — Montréal : Montréal contre-information = Montreal counter-information = MTL Contre-info, . — 1 affiche (impr. photoméc.) : n. et b. ; [28 ?] × [43 ?] cm.
sources :
![]() 2012 |
![]() 2012 |
[Flics, porcs, assassins]
[Flics, porcs, assassins]. — Montréal : sabotagemedia, . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (quadri ) ; [43 ?] × [28 ?] cm.
sources :
![]() 2012 |
[Fuck la police]
[Fuck la police]. — Montréal : Montréal contre-information = Montreal counter-information = MTL Contre-info, . — 1 affiche (impr. photoméc.) : n. et b. ; 43 × 28 cm.
sources :
[Guerre sociale]
[Guerre sociale]. — Montréal : Montréal contre-information = Montreal counter-information = MTL Contre-info, . — 1 affiche (impr. photoméc.) : n. et b. ; [43 ?] × [28 ?] cm.
sources :
![]() 2012 |
![]() 2012 |
[If we…]
[If we…]. — Montréal : Montréal contre-information = Montreal counter-information = MTL Contre-info, . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (une : noir , texte en défonce , papier blanc ) ; 43 × 28 cm.