Grèce

 

 

Affichage par année

28 affiches :

 



    [Grecia in libertà]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Grecia in libertà]. — Carrara Carrare : FAI_ (Federazione anarchica italiana), (Tipolitografica, stampa la Coop (Carrara)). — 1 affiche (impr. photoméc. ), coul. (deux  : rouge , noir ) ; 78 × 49 cm.

    • Affiches par pays  : Italie
    • Lieux d’archivages  : Biblioteca Archivio Germinal (Carrara)
    • Liste des thèmes  : répression
    • Géographie, géopolitique et Histoire  : Espagne  ; Grèce
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  : journal mural
    notes :
    descriptif :


    testo e grafica

    texte :

    Il clima di guerra che le superpotenze hanno instaurato con le loro azioni militari (Afghanistan e Iran) trova puntuale conferma nell’area mediterranea dove la presenza attiva della direttiva americana condiziona sempre più l’evoluzione politica dei paesi membri della NATO :
    In Italia i rastrellamenti polizieschi portano in carcere decine di compagni ed evidenziano l’instaurarsi di una repressione totalizzante su tutto il territorio nazionale ;
    In Spagna dove si attaccano militarmente le manifestazioni e le sedi dell’organizzazione anarcosindacalista CNT provocando morti, decine di feriti ed arresti (1° maggio a Madrid) ;
    In Grecia soprattutto, dove la caduta dei colonnelli non ha mutato molto gli orientamenti istituzionali, dove la polizia continua a reprimere, torturare ed uccidere i militanti libertari e dell’intera sinistra.
    Di fronte al massiccio uso della tortura e del manicomio criminale, in cui si evidenzia l’opera degli aguzzini dei tempi dei colonnelli, è in atto, nelle carceri del Pireo e dell’isola di Eubea un compatto sciopero della fame di decine di detenuti politici libertari e comuni i quali reclamano la fine dell’uso della tortura.
    Spicca al riguardo il black-out totale che la stampa democratica fa su queste questioni indaffarata com’è a coprire la normalizzazione repressiva in atto in Italia e nell’area mediterranea.

    Contro l’uso della tortura in tutto il mondo, contro l’internazionale degli stati
    solidarietà internazionalista per il comunismo libertario !

    Grecia in Libertà

    FAI Federazione Anarchica Italiana
    Commissione di relazioni internazionali


    sources :
     


    [Sur le procès en Assises des anti-franquistes…]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Sur le procès en Assises des anti-franquistes…] / André-François Barbe. — Toulouse : [s.n.], . — 1 affiche (impr. photoméc.) : n. et b. ; 61 × 44 cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  :
    • Liste des thèmes  : prison  ; procès  ; répression
    • Géographie, géopolitique et Histoire  : Chili  ; Espagne  ; Grèce  ; Portugal  ; URSS
    • Noms cités (± liste positive)  : Alberola Suriñach, Octavio (1928-....)  ; Chitti, Annie  ; GARI (Groupes d’action révolutionnaire internationalistes, 1974)  ; Gransac Sadori, Ariane  ; Guibert, Pierre  ; Haas, Danièle  ; Rivière, Georges  ; Urtubia Jiménez, Lucio (1931-2020)  ; Urtubia, Anne
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  : soutien à militants
    notes :
    descriptif :


    [ texte ; dessin (tête de mort avec calot à pompon — les yeux sont occupés par des barreaux de prison auxquels deux mains s’agrippent, le crane est graffité avec une croix celtique, une croix gammée et une potence) par Barbe ]

    texte :

    Sur le procès en Assises des anti-franquistes…

    Ce matin, 19 janvier 1981, nous rentrons dans nos prisons respectives, afin de comparaître comme prévenus dans un procès d’assises que jusqu’alors personne n’aurait cru possible. Nous avons été arrêtés il y a sept ans, relâchés assez rapidement. Les militants espagnols, arrêtés en Espagne en 74 ont, eux, été amnistiés.

    Et en 1981, en France, notre procès sera celui d’individus qui hier ont refusé le franquisme, comme ils ont refusé le régime des colonels grecs et de Caetano.

    Notre procès sera celui d’individus qui, aujourd’hui refusent le régime de Pinochet au Chili, de Videla en Argentine, de Brejnev en URSS.

    Oui, nous condamnons toutes les dictatures et les états totalitaires. Oui, nous soutenons tous les mouvements de lutte qui cherchent à arrêter la main du bourreau, comme c’était le cas lors de l’affaire Suarez.

    Aujourd’hui, à deux mois des élections présidentielles, le gouvernement français se dévoile :
    — en faisant notre procès,
    — en faisant celui de GARI le 14 mars 1981,
    — en enfermant des militants anti-franquistes de l’ETA (Etchave),
    - en permettant que des groupes d’extrême-droite espagnols, liés à des membres de l’OAS tuent et blessent en France en toute impunité,
    — en permettant l’assassinat de Goldmann,
    — en permettant l’attentat de la rue Copernic…

    Devant cette réalité, ce procès est d’autant plus absurde et scandaleux que c’est nous, anti-franquistes, qui sommes considérés comme des criminels et non pas Franco.

    les inculpés signataires : Georges Rivière, Annie Chitti, Lucio Urtobia, Anne Urtubia, Pierre Guibert, Danièle Haas, Ariane Gransac-Sadori, Octavio Alberola

    [… ?]


    sources :

    Couleurs ?
    Paru en décembre 1980 à Toulouse d’après Les GARI, 1974 : la solidarité en actes (CRAS, 2013).


    1977

    1981
    Affiches liées


    [In de ban van het subversieve boek]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    In de ban van het subversieve boek]. — Bruxelles = Brussels Bruxelles : [s.n.], . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (deux  : noir , brun , papier blanc ) ; 48 × 36 cm.

    • Affiches par pays  : Belgique
    • Lieux d’archivages  : Anarchief (Gent)
    • Liste des thèmes  : édition  ; lutte armée  ; lutte des classes  ; révolte
    • Géographie, géopolitique et Histoire  : Chili  ; Espagne : histoire : 1939-1975  ; Grèce
    • Noms cités (± liste positive)  : Alberola Suriñach, Octavio (1928-....)
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  : conférence, débat…  ; salon, foire
    notes :
    descriptif :


    [ texte ; dessin (main avec cutter) ]

    texte :

    In de ban van het subversieve boek

    24-25 mei 2008

    Pianofabriek — Fortstraat 35, Brussel (Sint-Gillis)

    Vrije toegang

    zaterdag 24 mei vanaf 12u boekenbeurs

    13u Furieuse dagen, woedende nachten
    Een blik op de recente sociale explosies in Chili.

    18u Defense Interior, één mei-groep en GARI
    Discussie over de internationale revolutionaire actie in 1961-1975 met Octavio Alberola.

    zondag 25 mei vanaf 12u boekenbeurs

    13u Tegen de THT en hun wereld.
    Discussie met kameraden betrokken bij de strijd tegen de hoogspanningslijnen in Normandië en Catalonië.

    15u Rock’n roll and class struggle.
    Discussie over de stakingen, rellen en agitatie in het Verenigd Koninkrijk in de jaren 80.

    18u Discussie met Griekse kameraden over sociale strijden, staatsdepressie en solidariteit met opgesloten kameraden en gevangenen in strijd.

    voor meer informatie : thesubversivebook@gmail.com


    sources :
     


    [Les feux de la révolte]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Les feux de la révolte]. — Paris : [s.n.], . — 1 affiche (photocop. ), coul. (quadri ) ; 30 × 21 cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  :
    • Liste des thèmes  : émigration et immigration  ; prison  ; révolte
    • Géographie, géopolitique et Histoire  : Grèce
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  : Non fides (2007-2009-....)
    • Vie des mouvements  : meetings et manifestations  ; soutien à militants
    notes :
    descriptif :


    [ texte (blanc, jaune, rouge) ; photo couleurs en fond (jeunes courant près d’une voiture en flammes) ]

    texte :

    Les feux de la révolte

    Les fins de mois sont de plus en plus difficiles. On se fait de plus en plus exploiter au boulot pour toujours moins de fric, sucrer les allocs et emmerder sans fin au RMI. Des milliers de personnes sont licenciées, l’âge de la retraite est encore reculé… et pendant ce temps-là l’État arrose les banques et les patrons à coups de milliards.

    Le pouvoir lâche ses cow-boys en uniforme qui se croient tout permis à coups de flash-ball, de rafles, d’expulsions, de rackets et de contrôles… tandis que toujours plus de personnes se retrouvent enfermées, que ce soit en hôpital psychiatrique, en centre de rétention ou en prison. Le système impose sa paix sociale en nous vidant le cerveau à l’aide de Prozac, de télévision et de crédits… bref, tout ce qui constitue la violence du quotidien.

    Les tensions sociales s’exacerbent et rien n’indique que cela va aller en s’amenuisant.

    Les actes de révoltes collectives et individuelles se multiplient aussi :

    En mai 2007 par exemple, lors du joyeux bordel des élections présidentielles, un véhicule de police a bien failli être incendié dans le 18e. Trois personnes suspectées dans cette affaire croupissent encore en prison sous l’accusation d’ « association terroriste ».

    De même, en juillet dernier après plusieurs mois de révoltes collectives, de mutineries et d’affrontements, des prisonniers ont détruit par le feu le centre de rétention de Vincennes. Sept sans-papiers (peut-être plus) sont inculpés et incarcérés.

    Depuis décembre en Grèce, après l’assassinat d’un jeune par les flics, des milliers de révoltés attaquent banques, commerces et commissariats. Occupations, pillages et destructions, manifestations et affrontements se poursuivent.

    Solidarité avec les révoltés incarcérés.
    Que les feux de la révolte se propagent partout.

    Manifestation samedi 24 janvier 2009, 15 h à Barbès


    sources :

    Affiche diffusée sur http://www.non-fides.fr/?Les-feux-de-la-revolte (8 janvier 2009).



    [Nous ne sommes pas des esclaves, nous sommes de la dynamite]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Nous ne sommes pas des esclaves, nous sommes de la dynamite]. — [S.l.] : [s.n.], . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (deux  : noir , violet , papier blanc ) ; x × y cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  : Tanneries (Dijon)
    • Liste des thèmes  : insurrectionnalisme
    • Géographie, géopolitique et Histoire  : Grèce
    • Noms cités (± liste positive)  : Bonanno, Alfredo Maria (1937-2023)  ; Stratigopoulos, Christos = Στρατηγόπουλου, Χρήστου
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  : soutien à militants
    notes :
    descriptif :


    [ texte ; photo (femme « pin-up » années 40-45 allumant une fusée de feu d’artifices) ]

    texte :

    Nous ne sommes pas des esclaves, nous sommes de la dynamite

    Ce sont de vieilles histoires, d’un autre siècle. La misère, que le progrès semblait avoir bannie de l’Occident, assène de nouveau ses morsures. Les banquiers ne se jettent pas encore par la fenêtre, mais les rues se remplissent de pauvres. Les usines et les commerces ferment leurs portes. Des millions de gens n’ont plus les moyens d’affronter l’avenir. On leur avait pourtant promis qu’une vie entière passée à genoux, entre un travail au profit d’un patron et l’obéissance aux exigences du gouvernement, leur assurerait pour le moins une survie tranquille. Aujourd’hui, il est clair pour tout le monde qu’il s’agissait d’un mensonge.

    Ce sont de vieilles histoires, d’un autre siècle. Les queues s’allongent devant les soupes populaires. Le nombre de vols dans les supermarchés augmente constamment. Les saisies judiciaires se multiplient. Et tandis qu’en bas on cherche à ne pas crever de faim, en haut ils se préparent au pire, à l’explosion sociale tant redoutée. On promet d’appliquer la « tolérance zéro » à ceux qui transgressent la loi, on construit de nouvelles prisons et centres de rétention, on place les quartiers sous vidéosurveillance, on les militarise, et surtout lorsque la rage commence à sévir. Qu’ils soient anciens ou nouveaux, les pauvres doivent savoir que mourir de privations ou se suicider sera le seul choix qui leur sera concédé.

    Ce sont de vieilles histoires, d’un autre siècle. Aujourd’hui, de plus en plus d’individus vont chercher l’argent là où il se trouve en abondance. Certains ont également un rêve qui leur colle à la peau, comme ces deux anarchistes, Christos et Alfredo, arrêtés le 1er octobre en Grèce après une attaque de banque. Le premier l’a braquée, arme à la main. On prétend que le deuxième l’aurait aidé en recelant le butin. Ces deux anarchistes, l’un grec et l’autre italien, se trouvent maintenant derrière les barreaux. La prison est le destin promis à ceux qui ne se résignent pas à crever dans la misère, c’est le destin promis aux ennemis de l’exploitation et de l’autorité.

    Ce sont de vieilles histoires, d’un autre siècle. Une économie en difficulté, un chômage endémique, la détérioration des conditions de vie, une guerre entre pauvres fomentée par les larbins des puissants, les nationalismes, les religions et les racismes qui gagnent du terrain, une planète menacée par le développement technologique, les États qui combinent aussi bien la carotte de la démocratie que le bâton du totalitarisme… Dans ce retour improvisé vers le passé, il manque encore quelque chose. Que la dignité salie chasse le désespoir et se transforme en actes. Que la liberté cesse d’être le droit d’obéir à l’autorité et redevienne un affront envers n’importe quelle forme de pouvoir. Que le désir de vivre ne se contente pas de ce qui existe déjà mais parte à l’assaut pour arracher ce qui n’a jamais été.

    Ce sont de vieilles histoires, d’un autre siècle, l’insurrection

    des anarchistes


    sources :

    Avant 2018








    [Le travail libère-t-il ? Libérons-nous du travail]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Le travail libère-t-il ? Libérons-nous du travail]. — Poitiers : FA__ [2] (Fédération anarchiste : 1953-....) : FA__. Groupe Pavillon noir (Poitiers), . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (quadri  : texte en défonce ) ; 42 × 30 cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  :
    • Liste des thèmes  : travail, emploi
    • Géographie, géopolitique et Histoire  : Grèce
    • Noms cités (± liste positive)  : Savvanidis, Kleomenis (Κλεομένης Σαββανιδη)  ; Syrianos, Rami (Ραμί Συριανό)
    • Presse citée  : Non fides (2007-2009-....)
    • Vie des mouvements  : soutien à militants
    notes :
    descriptif :


    [ texte ; photo (silhouette avec chaines brisées aux bras) ]

    texte :

    Le travail libère-t-il ?

    Le travail pénètre et détermine toute notre existence. Le temps coule impitoyablement à son rythme alors que nous faisons la navette entre d’identiques environnements déprimants à une allure toujours croissante. Le temps de travail… Le temps productif… Le temps libre…

    La moindre de nos activités tombe dans son contexte : on considère l’acquisition de la connaissance comme un investissement pour une carrière future, la joie est transformée en divertissement et se vautre dans une orgie de consommation, notre créativité est écrasée dans les limites étroites de la productivité, nos relations — même nos rencontres érotiques — parlent la langue de la performance et de la rentabilité… Notre perversion a atteint un tel point que nous recherchons n’importe quelle forme de travail, même volontairement, pour remplir notre vide existentiel, pour « faire quelque chose ».

    Nous existons pour travailler, nous travaillons pour exister.

    L’identification du travail avec l’activité humaine et la créativité, la domination complète de la doctrine du travail comme destin naturel des humains a pénétré notre conscience à une telle profondeur que le refus de cette condition forcée, de cette contrainte sociale, semble être devenu un sacrilège pour le concept même d’humanité.

    Alors n’importe quel travail devient meilleur que pas de travail du tout.

    Ceci est le message répandu par les évangélistes de l’existant, sonnant les trompettes pour la course à la compétition toujours plus frénétique entre les exploités pour quelques miettes tombées de la table des patrons ; pour l’instrumentalisation et le nivelage complet des relations sociales en échange d’un peu de travail misérable dans les galères de la survie.

    Ce ne sont pas, cependant, seulement les conditions générales de travail qui créent l’impasse. C’est le travail comme une totalité, comme un processus de commercialisation de l’activité humaine qui réduit les humains à des composants vivants d’une machine qui consomme des images et des produits. C’est le travail comme condition universelle dans laquelle les relations et la conscience sont formées, comme la colonne vertébrale qui maintient et reproduit cette société basée sur la hiérarchie, l’exploitation et l’oppression. Et en tant que tel, le travail doit être détruit.

    Alors nous ne voulons pas simplement devenir des esclaves plus heureux ou de meilleurs managers de la misère. Nous voulons redonner son sens et son essence à l’activité humaine et à la créativité en agissant ensemble, conduits par la recherche de la joie de la vie à travers la connaissance, la conscience, la découverte, la camaraderie, la solidarité.

    Pour la libération individuelle et collective…

    Libérons-nous du travail

    Affiche du 17 janvier 2012
    En solidarité avec les compagnons Rami Syrianos et Kleomenis Savanidis
    Traduit du grec vers l’anglais par Angry news from around the world, puis de l’anglais vers le français par Non Fides


    sources :

    https://fa86.noblogs.org/?page_id=40
    https://fa86.noblogs.org/files/2012/05/travail.cleaned.pdf


    2012
    Affiche liée



    [Soirée de solidarité avec les prisonnier.ères du groupe Lutte révolutionnaire]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Soirée de solidarité avec les prisonnier.ères du groupe Lutte révolutionnaire]. — Montréal : la Belle époque, . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (quadri ) ; 46 × 31 cm.

    • Affiches par pays  : Canada
    • Lieux d’archivages  :
    • Liste des thèmes  : insurrectionnalisme  ; répression
    • Géographie, géopolitique et Histoire  : Grèce
    • Noms cités (± liste positive)  : Foundas, Lambros  ; Gournas, Kosta  ; Maziotis, Nikos  ; Roupa, Pola
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  : soutien à militants
    notes :
    descriptif :

    texte

    photo (« À la suite de l’attaque contre la bourse d’Athènes, septembre 2009 »)

    fond (noir et jaune)

    texte :

    Dans les jours d’avril 2010, quand le gouvernement grec a finalement accepté un prêt du Fonds monétaire international qui a débuté la reprise de force du pays par les financiers internationaux, les services de sécurité avaient préparé un spectacle médiatique pour célébrer l’occasion : la capture de 6 combattantEs anarchistes afin de soumettre la lutte sociale.

    Les combattantEs anarchistes, qui avaient en eux-mêmes/elles-mêmes été une source d’irritation, étaient maintenant des otages. Des otages qui humilièrent les services d’intelligence démoralisés et brutaux, les divisions anti-terroristes ainsi que l’équivalent de l’occupant américain, la CIA, qui recherchaient Lutte révolutionnaire (‘Epanastatikos Agwnas’ –EA – en langue grecque) pour une attaque au lance-roquettes contre l’ambassade des États-Unis à Athènes. Cette action chérie et symbolique a eu lieu dans le contexte d’une série d’attaques qui durèrent pendant des années avec un fort impact destructeur contre les institutions du capitalisme et du gouvernement, accompagnées de tonnes de pages critiques, brillantes et articulées d’analyse anarchiste des structures institutionnelles qui pillent (ou parasitent) la richesse sociale produite par le travail ainsi que par l’auto-organisation mise de l’avant comme une alternative égalitaire anti-État et anti-capitaliste. Lutte révolutionnaire, c’est Nikos Maziotis, Pola Roupa, Kosta Gournas et le défunt Lambros Foundas, qui a été tué dans une bataille contre la police. Ensemble, elles/ils formèrent un groupe d’anarchistes sociaux basé dans la capitale occupée, Athènes, qui ont dirigé leurs activités armées dans l’intérêt de leur classe de travailleuses/travailleurs exploitéEs de Grèce dans le cours et au sein de l’important mouvement anarchiste/anti-autoritaire des années 2003 à 2010.

    Maintenant, elles/ils continuent leur lutte dans les cours et dans les prisons du régime grec, leur lutte est encore plus intense contre la légitimité du système capitaliste. Le procès-spectacle contre les camarades a commencé en octobre 2011 et fût accompagné d’une campagne de répression contre le mouvement anarchiste/anti-autoritaire en général et spécialement contre plusieurs anarchistes qui nient toute responsabilité. Ce que les services de sécurité grecs et leurs collègues étrangers veulent prévenir par l’intimidation, la surveillance et l’emprisonnement, c’est la contagion. La contagion des tactiques qui ridiculisent leur système et démontrent facilement comment n’importe qui peut les attaquer. La contagion des idées qui maintenant se répandent au-delà du mouvement anarchiste/anti-autoritaire dans les grèves de masses des gens en colère contre tout, qui veulent mettre ce système à terre et voir quelque chose de plus humainE commencer.

    Liberté pour les prisonnier.ères ! – Honorons la mémoire de Lambros Foundas !

    [photo :] À la suite de l’attaque contre la bourse d’Athènes, septembre 2009

    Soirée de solidarité avec les prisonnier.ères du groupe Lutte révolutionnaire et celles ainsi que ceux accuséEs pour des raisons similaires

    Session d’information / souper / écriture de lettres
    revolutionarystrugglecase.blogspot.com // fr.contrainfo.espiv.net

    Mercredi 28 mars à 19 h
    La Belle Époque
    Espace sociale anarchiste
    1984 rue Wellington, metro Charlevoix
    epoquemtl.org
    en anglais avec traduction chuchotée vers le français


    sources :

    https://mtlcontreinfo.org/soiree-de-solidarite-avec-les-prisonnier-eres-du-groupe-lutte-revolutionnaire/
    https://mtlcontreinfo.org/wp-content/uploads/2012/04/revstrug12x18fr.cleaned.pdf


    2012

    2012
    Affiches liées


    [Solidarity evening with the anarchist prisoners of the group Revolutionary Struggle]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Solidarity evening with the anarchist prisoners of the group Revolutionary Struggle]. — Montréal : la Belle époque, . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (quadri ) ; 46 × 31 cm.

    • Affiches par pays  : Canada
    • Lieux d’archivages  :
    • Liste des thèmes  : insurrectionnalisme  ; répression
    • Géographie, géopolitique et Histoire  : Grèce
    • Noms cités (± liste positive)  : Foundas, Lambros  ; Gournas, Kosta  ; Maziotis, Nikos  ; Roupa, Pola
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  : soutien à militants
    notes :
    descriptif :

    text

    photo (“Aftermath of the Athens stock exchange bombing, Sept 2009”)

    background (black and yellow)

    texte :

    In the days of April 2010, when the Greek government finally agreed to accept a loan from the International Monetary Fund to begin the take-over of the country into the hands of the international financiers, the security services had prepared a media spectacle to mark the occasion : the capture of 6 anarchist fighters for the purpose of the submission of the social struggle.

    Anarchist fighters who had been a thorn in their side for some time, were now hostages. Hostages who had humiliated the demoralised and brutal Greek intelligence services, anti-terrorist divisions and their American occupier counterparts, the CIA, who had sought out the Revolutionary Struggle (‘Epanastatikos Agwnas’ – EA – in Greek language) for a Rocket Propelled Grenade attack against the US Embassy in Athens. This daring and symbolic action came amongst scores of other targeted attacks which struck for years with symbolically definitive high-impact blows against the institutions of capitalism and government, accompanied by dozens and dozens of pages of critical, thoughtful and articulate anarchist analysis of the institutional structures that parasite on the social wealth produced by labour, with social and economic self-organisation put forward as an anti-capitalist and anti-state egalitarian alternative. Revolutionary Struggle are Nikos Maziotis, Pola Roupa, Kostas Gournas and the fllen Lambros Foundas, who was killed in a battle with the police. Together they formed a group of social-libertarian anarchists based in the busy capital, Athens, who directed their armed activities in the class interests of the exploited workers of Greece and within/alongside the specific mass anarchist/anti-authoritarian movement from 2003-2010.

    And now, they continue their fight in the court rooms and prisons of the Greek regime, where they push an even harder fight to the legitimacy of the capitalist enemy. The show-piece trial against the comrades began in October 2011 and is partnered by a campaign of repression against the anarchist/anti-authoritarian movement in general and specifically to several anarchists who deny responsibility. What the Greek security services and their foreign colleagues wish to prevent through intimidation, surveillance and imprisonment is contagion. Contagion of tactics which made a mockery of their system and showed how easily it could be struck by anyone. Contagion of ideas which have now spread far beyond the world-wide anarchist/anti-authoritarian movement into the general masses of people who are angry with everything, wishing to see it all come down and something much more humane begin.

    Freedom for the prisoners – honour to Lambros Foundas

    [photo ;] Aftermath of the Athens stock exchange bombing, Sept 2009

    Solidarity evening with the anarchist prisoners of the group Revolutionary Struggle and those accused in the same case.

    Info-session // dinner // letter writing
    For case updates : revolutionarystrugglecase.blogspot.com // actforfree.nostate.net

    7 PM ,Wednesday March 28 th
    La Belle Époque
    Anarchist social space
    1984 rue Wellington, metro Charlevoix
    epoquemtl.org
    whisper-translation to french available


    sources :

    https://mtlcounterinfo.org/solidarity-evening-with-the-anarchist-prisoners-of-the-group-revolutionary-struggle/
    https://mtlcontreinfo.org/wp-content/uploads/2012/04/revstrug12x18.cleaned.pdf


    2012

    2012
    Affiches liées



    [Ne vivons plus comme des esclaves : projection débat]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Ne vivons plus comme des esclaves : projection débat]. — [S.l.] : [s.n.], (Imprimerie 34__ (Toulouse : 1973-2014)). — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (quadri ) ; x × y cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  :
    • Liste des thèmes  : art : cinéma  ; révolte
    • Géographie, géopolitique et Histoire  : Grèce
    • Noms cités (± liste positive)  : Youlountas, Yannis
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  : conférence, débat…
    notes :
    descriptif :


    [ texte ; image (visuel du film de Yannis Youlountas en fond d’affiche) ]

    texte :

    Fest [Festival internationale Thessalonique : texte grec] — Festival Échos d’ici d’ailleurs Labastide-Rouairoux — Sélection Festival Résistances Foix — Festival Zones portuaires Marseille et Porc-de-Bouc — Festival international du film grolandais Toulouse — Festival internacional cinemagrante Buenos Aires

    Loin des sirènes médiatiques de la Grèce qui taisent résistances et alternatives

    bienvenue de l’autre côté !

    Ne vivons plus comme des esclaves

    Un film de Yannis Youlountas

    musiques Ta Limania Xena Cyril Gontier Serge Utgé-Royo Jean-François Brient Xasmwdia Raoul Vaneigem Madame Nesia Martyn Jacques Methismena Xotika Horror Vacui Alpha Bang

    coordination diffusion Maud Youlountas

    traductions Lisa Yannis et Lucas Youlountas — site internet informatique Minga Éric Jousse Anne Merlieux Frédéric Carlier

    soutiens techniques Cristine Hudin - Radio Libertaire - Radio Entas’ - Mimh - collectif Nosotros - Le Monde libertaire - Siné mensuel - Antonin Dalmasso - Archipel production - Tasos Sagris - Institute for experimental arts - Bertrand Fraysse - studio Lieu-commun Toulouse Nibul.fr - Vangelis Nanos - Lili Sanchez - Franck Merat - Geomaticien.com - Catherine et Gunter Gorhan - Carole Boutet - Mario et Holmert - Grigoris Tsilimantos - Nicole Garrouste - Louise Guenfoud - festival Résistances Foix - Lilian Marlène Élodie Bastien - la Fontaine magique Durfort - Alexandros - collectif Optico-acoustique Alpha - Radio Escapade - Radio Albigès - Apostolos Karakasis - Annick et Éric Sirvin - Imprimerie 34 Toulouse

    www.nevivonspluscommedesesclaves.net

    Imprimerie 34 - Toulouse


    sources :

    www.nevivonspluscommedesesclaves.net


    2014

    2013
    Affiches liées



    [Ne vivons plus comme des esclaves : projection débat]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Ne vivons plus comme des esclaves : projection débat]. — Lille : CNT_- 59/62 (CNT-Union régionale Nord Pas-de-Calais) : CNT_F (France) ; [et al.], . — 1 affiche (photocop. ), coul. (quadri ) ; 30 × 21 cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  :
    • Liste des thèmes  : art : cinéma  ; révolte
    • Géographie, géopolitique et Histoire  : Grèce
    • Noms cités (± liste positive)  : Youlountas, Yannis
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  : conférence, débat…
    notes :
    descriptif :


    [ texte ; image (visuel du film de Yannis Youlountas en fond d’affiche) ]

    texte :

    Projection débat
    Fest [texte grec] — Festival Échos d’ici d’ailleurs Labastide-Rouairoux — Sélection Festival Résistances Foix — Festival Zones portuaires Marseille et Porc-de-Bouc — Festival international du film grolandais Toulouse — Festival internacional cinemagrante Buenos Aires

    En présence du réalisateur

    Proposé par l’An Zéro - Cap autogestion

    Loin des sirènes médiatiques de la Grèce qui taisent résistances et alternatives
    bienvenue de l’autre côté !

    Ne vivons plus comme des esclaves

    Au cinéma le Mélies
    le mercredi 5 mars à 19 h 30

    Un film de Yannis Youlountasmusiques Ta Limania Xena Cyril Gontier Serge Utgé-Royo Jean-François Brient Xasmwdia Raoul Vaneigem Madame Nesia Martyn Jacques Methismena Xotika Horror Vacui Alpha Bang

    coordination diffusion Maud Youlountas

    traductions Lisa Yannis et Lucas Youlountas — site internet informatique Minga Éric Jousse Anne Merlieux Frédéric Carlier

    soutiens techniques Cristine Hudin - Radio Libertaire - Radio Entas’ - Mimh - collectif Nosotros - Le Monde libertaire - Siné mensuel - Antonin Dalmasso - Archipel production - Tasos Sagris - Institute for experimental arts - Bertrand Fraysse - studio Lieu-commun Toulouse Nibul.fr - Vangelis Nanos - Lili Sanchez - Franck Merat - Geomaticien.com - Catherine et Gunter Gorhan - Carole Boutet - Mario et Holmert - Grigoris Tsilimantos - Nicole Garrouste - Louise Guenfoud - festival Résistances Foix - Lilian Marlène Élodie Bastien - la Fontaine magique Durfort - Alexandros - collectif Optico-acoustique Alpha - Radio Escapade - Radio Albigès - Apostolos Karakasis - Annick et Éric Sirvin - Imprimerie 34 Toulouse

    www.nevivonspluscommedesesclaves.net

    En partenariat avec [logo CNT] CNT — [logo ATTAC] ATTAC


    sources :

    http://www.cnt-f.org/59-62/2014/02/projection-du-film-grece-ne-vivons-plus-comme-des-esclaves-le-5-mars-a-v-dascq/


    2013

    2013
    Affiches liées