France **
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Dynamite et Panama
Il y a quelques semaines, la dynamite parlait. Sa forte voix, agréable à nos oreilles, faisait défaillir toute la haute pègre des dirigeants et des exploiteurs. La bande des politiciens à étiquette socialiste, genre Ferroul, fantoches révolutionnaires d’autrefois, braves encore loin du danger, opportunistes devant l’assiette au beurre, se montrait, dans sa lâcheté, plus abjecte encore que les bourgeois. Un de ces ôte-toi-de-là-que-je-m’y-mette, — son nom, Lons mérite de passer à la postérité, — ne proposait-il pas d’organiser l’assommade des anarchistes qui osent s’attaquer à la police ! Touchante fraternisation de la préfecture et du socialisme autoritaire.
Le presse des pots-de-vin et des mouchardages, la presse des escrocs de finance, des charlatans politiques et des fonds secrétiers de tout poil, la presse qui s’agenouille devant Carnot, s’aplatit devant Q. de Baurepaire et couvre de fleurs le brigand galonné Dodds, massacreur de négresses, énumérait avec une hypocrite pitié les mouchards étripés. Elle larmoyait toute son encre, la gueuse qui enregistre froidement, chaque jour, les drames de la misère, les suicides de la faim, l’agonie des malheureux, broyés par notre organisation sociale.
Une fois de plus, les gens honnêtes, — honnêtes à la façon du Grand Français de Lesseps, — hurlaient à l’anarchiste et demandaient l’extermination pure et simple du seul parti qui, luttant contre toute autorité, toute exploitation, tout mensonge, poursuive l’émancipation des êtres humains, l’affranchissement du travail, l’avènement d’une société sans maîtres.
Ils ne parlaient pas, ces honnêtes gens, des victimes autrement intéressantes du patron, du propriétaire, du juge, des martyrs de la caserne dont on fait peu à peu des assassins après en avoir fait des souffre-douleurs. Ils ne rappelaient ni les trente cinq mille assassinés de la Semaine sanglante, ni les fusillés de Fourmies, ni les Tonkinois qu’on dépouille et les Dahoméennes qu’on éventre à l’ombre du frapeau français et au nom de la civilisation.
Qu’ils ravalent leurs glapissements de chacals, car un commissariat pulvérisé et une demi-douzaine de mouchards écrabouillés sont un bien faible avant-goût des représailles qui les attendent. Les coups des justiciers seront d’autant plus terribles qu’ils sont dictés non par l’amour du sang, — que les bourgeois conservent le monopole de ce goût animal, — mais par l’amour de l’humanité que les anarchistes veulent rendre libre en la débarrassant des maîtres, heureuse en la purgeant des exploiteurs.
Et comme la tourbe des policiers patentés et amateurs, des prostitués de la plume, des dirigeants et de ceux qui aspirent à le devenir foudroyait de loin l’anarchie, bredouillant les vieux clichés : patrie, ordre social, honneur, morale, voici qu’éclate, comme un coup de tonnerre, le scandale du Panama.
Donc vous avez volé, vertueux Floquet, vous avez volé, inflexible Reinach, tout comme papa beau-père, vous avez volé révisionniste Laguerre, vous avez volé ex-ministre Proust, vous avez volé radical Clémenceau, vous avez volé Béral, vous avez volé Cassagnac, vous avez volé Sans-Leroy, vous tous, soutiens et souteneurs de la famille, la religion et la propriété (!) vous volé, tripoté, trafiqué, ruinant les crédules qui avaient mordu à l’hameçon de vos promesses.
Elle va bien la valse des millions ! Monarchistes, conservateurs, opportunistes, radicaux, paillasses diversement bariolés qui se combattent sur les [tréteaux ?] de la Chambre, se désaltèrent, dans la coulisse, au même pot-de-vin.
Et cependant, la Seine coule à deux pas du Palais-Bourbon. Peuple, qu’attends-tu pour y pousser cete racaille ?
Eh bien, nous anarchistes, que les honnêtes gens de cette espèce appellent bandits et pourchassent comme des fauves, nous venons, une fois de plus, dire aux exploités, aux bernés, aux miséreux ce que nous voulons.
Révision, non de la constitution, — que nous importe ce torche-cul ! — mais de l’ordre social tout entier. Plus de gouvernants nous emprisonnant dans leurs lois faites en dehors de nous et contre nous, plus de juges valets de tous les pouvoirs, plus d’armée, école d’assassinat, plus de prêtres abrutisseurs du peuple, plus de financiers et de patrons vivant en oisifs du labeur des esclaves.
On peut subsister sans maîtres, n’en déplaise aux amoureux de la servitude, — ce n’est pas le gouvernement qui fait pousser le blé : il se contente de le taxer. les patrons, ô ouvriers bénévoles ! n’ont inventé ni le travail ni les machines, mais ils en profitent : le jour où vous prendrez possession de l’atelier où l’on vous exploite, pour travailler en commun à votre compte, vous n’aurez que des parasites de moins à nourrir, et la production, organisée par vous-même selon vos besoins, n’en sera que plus abondante.
En place de toutes ces tyrannies, libre association des groupes travailleurs, se donnant la main par-dessus les cités et les frontières, reprise par tous de ce qui doit être à tous, possession commune (et non partage) de tout ce qui sert à produire, terre, mines, usines, outillage industriel, procédés scientifiques ; bien-être pour tous, pour tous aussi liberté, liberté tout entière, dussent quelques-uns en être aveuglés au début, comme des prisonniers rendus à la lumière du soleil !
Pour arriver à la réalisation de cet idéal, esclaves, révoltez-vous. Les seules libertés que l’on obtienne sont celles qu’on prend, non celles qu’on mendie. Espérer des puissants qu’ils renonceront à leurs privilèges, des gouvernants, gardiens forcés du statu quo, qu’ils aideront les gouvernés à s’émanciper, est un leurre : leur situation même les enchaîne, Rothschild ne peut pas plus faire le bonheur de ceux qu’il vole, que Carnot réaliser la devise liberté — égalité, que Léon XIII proclamer la vérité scientifique. De par leur fonction, prolétaire ! ces hommes sont les ennemis naturels et tous ceux, quels qu’ils soient, qui les remplaceraient dans la même fonction, seraient tes ennemis aussi.
Ce n’est pas seulement l’individu, c’est le rouage, l’institution même qu’il faut briser. Renverse le dirigeant mais non pour en établir un autre à la place ; chasse le patron de l’atelier mais pour en prendre possession avec tes frères de travail et non pour te donner un nouveau maître, même déguisé ; vomis le mensonge religieux mais que ce ne soit pas pour t’éprendre d’une religion nouvelle.
Révoltez-vous ; en masse lorsque vous le pouvez ; individuellement quand le cœur, ou l’occasion fait défaut au plus grand nombre. Protestation soit, mais autrement que par ce dérisoire bulletin de vote. Grèves oui, mais grèves offensives, menaçantes, forçant les tyrans industriels à capituler, et non point grèves de mendiants. Guerre, certes, mais contre ceux qui vous oppriment à l’intérieur et non contre des peuples inoffensifs.
Et ne vous dites pas que ce sont efforts perdus ; toutes ces insurrections, si infimes soient-elles, finiront, en se totalisant, par hâter l’heure de la révolution vengeresse.
Un groupe anarchiste
Imprimerie N. [Saish/Satish ?], Woburn Place, Londres
IN : dossier 4 M 2695 (archives départementales de Seine-Maritime).
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testo
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L’Alleanza libertaria
Autodifesa di Ravachol
Se io prendo la parola, non è già per scollatimi degli alti di cui mi, si accusa, perchè solo la società che con la sua organizzazione mette gli uomini in lotta continua gli uni contro gli altri, è responsabile : e infatti non si vedono oggi in tutte le classi delle persone che desiderano, non dirò la morte ; perchè ciò suona male all’orecchio, ma la disgrazia dei loro simili, de questa può recare vantaggio ? Una padrone non fa egli voti perchè un suo concorrente scompaia ? e in generale tutti i commercianti non vor ebbero essere soli ad esercitare il loro ramo di commercio ? e l’operaio senza impiego non augura — per avere del lavoro — che per un motivo qualunque, quello che è occupato venga licenziato dall’opificio ?
Ebbene, in una società in cui producono fatti simili, non si deve essere sorpresi di atti del genere di quelli che mi si rimproverano, i quali non sono che la conseguenza logica della lotta per l’esistenza che si fanno gli uomini, costretti, per vivere, ad impiegare ogni specie di mezzi.
E poiché ciascuno è per sè, e quando è stretto dalla necessità non ha tanto di pensare, così io non ho esitato, quando ebbi fame, ad impiegare i mezzi che erano’ a mia disposizione, a rischio anche di fare delle vittime.
I padroni che licenziano degli operai, si inquietano se questi vanno a morire di fame ? Tutti quelli che hanno del superfluo si occupano della gente che manca il necessario ? V’hanno taluni che danno dei soccorsi, ma essi sono impotenti a sollevare tutti quelli che sono nella necessità e che morranno prematuramente in seguito ad ogni sorta di privazioni o volontariamente col suicidio, per mettere fine ad una esistenza miserabile e non aver più a soffrire la fame, le vergogne, lo umiliazioni innumerevoli, senza la speranza ch’esse finiscano.
Coni hanno fatto la famiglia Hayem o la donna Soubeim, che diede la morte ai suoi bambini per non vederli più a longo soffrire ; e cosi fanno tante donne che nella tema di non poter nutrire un bambino, non esitano a compromettere la vita e la salute pur di distruggere nel loro sono il frutto del loro amore.
Il tutto questo avviene in Francia deve regna l’abbondanza, dove le macellerie sono piene di carne, le panetterie di pane ; dove le vesti e le calzature sono ammassate nei magazzini, dove vi hanno appartamenti vuoti ; ma come ammettere che tutto va bene nella società, quando il contrario si vede così chiaro ?
Ci saranno colore che piangono queste vittime, ma poi diranno che essi non ne hanno colpa, o che ciascuno se la sbrogli come può, Ma che cosa può fare colui che manca del necessario, se non ha più lavoro, non ha che a lasciarsi morire di fame. Si getterà qualche parola di pietà sul suo cadavere, e tutto sarà finito. Ora io questo ho voluto lasciare ad altri ed ho preferito di farmi contrabbandiere, falso monetario, ladro o uccisore, assassino. Avrei potuto mendicare, ma ciò è degradante e vile : e ancora é punito dalle vostre leggi, che fanno un delitto della miseria.
Se tutti i bisognosi invece di attendere, prendessero dove ce n’è, non importa con quali mezzi, i soddisfatti capirebbero forse più presto che è pericoloso il voler consacrare lo stato sociale attuale, in cui l’inquietudine è permanente e la vita minacciata ad ogni istante ; e si finirebbe più presto col comprendere che gli anarchici hanno ragione quando dicono che per avere la tranquillità morale et fisica, bisogna distruggere le cause che generano i delitti e i delinquenti, e non già opprimere colui il quale, piuttosto che morire di morte lenta per le privazioni, preferisce — se ha un po’ d’energia — prendere violentemente ciò che può assicurargli il benessere, sia pure a rischio della vita.
Ecco perchè io ho commesso degli atti che mi si rimproverano e che non sono che la conseguenza dello stato barbaro d’una società che non fa che aumentare il numero delle sue vittime con il rigore delle sue leggi, le quali incrudeliscono contro gli effetti, sanza mai toccare alle cause.
Si dice che bisogna essere crudeli per dare la morte al proprio simile ; ma quelli che parlano così non pensano che non ci si decide a questo passo, se non per evitarla essi stessi. E voi pure, signore giurati, che certo mi condannerete a morte, perchè credete che questa è una necessità e che la mia scomparsa sarà una soddisfazione per voi che avete orrore di veder colare il sangue, voi stessi, quando crederete che sarà utile il versarlo, non esiterete più di me a farlo : con questa differenza, che voi lo farete senza correre alcun danno, mentre al contrario io agivo con rischio e pericolo della mia libertà e della mia vita.
Ebbene, signori, non vi hanno fin dei delinquenti da giudicare, ma della cause dei delitti ta togliere.
Creando gli articoli del Codice, i legislatori hanno dimenticato che essi non attaccavano le cause, ma solo gli effetti ; le cause persistendo sempre, anche gli effetti sempre ne deriveranno ; e sempre vi saranno dei delinquenti, perchè oggi voi ne distruggete uno, domani ne nasceranno dieci.
Che bisogna dunque fare ! Distruggere la miseria, questo germe del delitto, assicurando a ciascuno la soddisfazione di tutti i suoi bisogni. E come ciò sarebbe facile a realizzare ! Basterebbe stabilire la società sopre nuove basi, in cui tutto fosse in comune, producendo ciascuno secondo le sue attitudini e le sue forze, e consumando secondo i suoi bisogni.
Allora non si vedrà più della gente mendicare un metallo di cui poi diviene lo schiavo, non si vedranno più le donne cedere le loro grazie come una volgare mercanzia in cambio di questo stesso metallo, che così spesso c’impedisce di riconoscere se l’affezzione è sincera : non si vedranno più nomini come Pranzini, Prado, Anastay e altri, che sempre per avere questo metallo, giungono a dare la morte. Ciò dimostra che la causa di tutti i delitti è sempre la stessa, e che bisogna essere insensati per non vederla. Sì : lo ripeto, è la società che fa i malfattori ; e voi, giurati, in luogo di colpirli, dovreste impiegare la vostra intelligenza e trasformare la società.
Io non sono che un operaio senza istruzione, ma ho vissuto l’esistenza dei miseri e sento l’iniquità delle vostre leggi repressive. Dove prendete voi il diritto di uccidere o di rinchiudere un uomo che, messo al mondo con la necessità di vivere, si è visto, nella necessità di prendere ciò di cui mancava per nutrirsi ?
Io ho lavorato per vivere e per far vivere i miei, e finchè io e i miei non soffrimmo troppo, sono rimasto quelle che voi dite onesto. Poi il lavoro è mancato ed è venuta la fame. Ed è allora che questa grande legge della natura, questa voce imperiosa che non ammette replica, l’istinto della conservazione, mi spinse a commettere certi delitti, che voi mi rimproverate e di cui mi riconosco l’autore. Giudicatemi, ma se voi mi avete compreso, giudicandomi, giudicate tutti i disgraziati di cui la miseria alleata alla fierezza naturale, ha fatto dei delinquenti, di cui la ricchezza, o solo l’agiatezza, avrebbe fatto degli uomini come tutti gli altri.
Ravachol
Giuseppe Ciaffarri, gerente responsabile
Tip. « Iride »Via Muzio Clementi, 70
Pubblicato nell’Alleanza libertaria : contro ogni forma di sfruttamento e di autorità, Roma, n. 130 (10 agosto 1911), p. 4.
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[ dessin d’Hitler, de l’Europe, de ses dictateurs et de la répression en Grèce, Tchécoslovaquie, Italie, États-Unis, Irlande, France ]
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Mes héritiers
Fédération anarchiste
Impr. spéc. du Monde libertaire
3, rue Ternaux, Paris XIe- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
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[ photo du mouvement étudiant de novembre décembre 1986 en France ]
- texte :
En France, comme en Belgique…
Le libéralisme n’est pas la liberté
Alternative libertaire mensuel ★ asbl 22 mars ★ 2, rue de l’Inquisition, 1040 Bruxelles, tél. 02/738.27.76
Cette photo, avec un autre cadrage mais ce même slogan, a illustré un article dans Alternative libertaire nº 86-87 (janvier-février 1987).
Serait d’abord parue en 1983 (d’après https://fr.wikipedia.org/wiki/Alternative_Libertaire_Belgique) ?
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[ photo du mouvement étudiant de novembre décembre 1986 en France ]
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Le libéralisme n’est pas la liberté
Alternative libertaire mensuel ★ asbl 22 mars ★ 2, rue de l’Inquisition, 1040 Bruxelles, tél. 02/738.27.76
Cette photo, avec un autre cadrage mais ce même slogan, a illustré un article dans Alternative libertaire nº 86-87 (janvier-février 1987).
Serait d’abord parue en 1983 (d’après https://fr.wikipedia.org/wiki/Alternative_Libertaire_Belgique) ?
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[ texte ; photo (silhouette de flics anti-émeutes) ]
- texte :
Espace débat
Luttes et répressions en France
Débat avec des libertaires français (AL, CNT).
La Commune présente une soirée du Chat Noir
Manifs anti-CPE et contre la loi sur l’égalité des chances, émeutes en banlieue, fauchages de champs d’OGM…
Qu’est-ce qui unit ces luttes a priori disparates ?
Quelles convergences de luttes peut-on envisager ?Samedi 18 novembre 2006
ouverture des protes 18 h 00, discussion à 18 h 30
Espace autogéré, César-Roux, 30, Lausanne
www.squat.net/ea
Conférence avec des militants d’Alternative libertaire (France) et de la CNT (France).
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[ texte ; montage photographique) ]
- texte :
[texte en caractères arabes ou farsi]
Calais
a DIY festival without borders September 6-12
A week of direct action
Music and art in solidarity with migrants in Calais (Northern of France)
get involved !
spontaneous performances from several international musicians, guerrilla art
Movies
Hot sugared tea + anarchy
sleeping places and peoples kitchen
Connect with migrants and listen to their storiesContact : hafla_la_hafa@lists.riseup.net
this is nol a public events, please do no publish as such !
Affiche non diffusée avant l’action pour éviter la répression (interdiction, …).
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- texte :
A BOESG apresenta :
Estragos do Terrorismo, da Guerra e da Religião
★ Cineclube BOEG
Todas as sextas a partir das 21hn grátis e sem intervalos.Fevereiro :
20
Il Divo : A vida espetacular de Giulio Andreotti
Dir. Paolo Sorrentino
(Il divo : La spettacolare vita di Giulio Andreotti, 2008)Il Divo... relata a vida de Giulio Andreotti, cobrindo o percurso do político italiano desde o início da década de 1980 até aos finais da seguinte. Este vibrante filme apresenta um vertiginoso drama até que Andreotti cede o poder a Silvio Berlusconi.
21
às 21h
Debate : Os anarquistas e a guerra
Reedição do texto Apontamentos sobre Os Anarquistas e a Guerra de José Tavares.
Apresentação da tradução do manifesto A internacional anarquista e a guerra, de 1915.Antes da guerra inter-Estados de 1914-18, os movimentos socialista, sindicalista e anarquista eram declaradamente anti-militaristas, anti-guerra. E, a greve geral revolucionária para impedir a guerra era geralmente aceite. Todavia, quando a guerra estalou rompe-se a solidariedade internacional do movimento operário, e, inclusive, muitos anarquistas adoptaram uma posição « menos intransigente em relação à guerra ». Fenómeno que se irá repetir nas guerras que se seguiram até aos dias de hoje.... O texto que vai ser apresentado e de novo lançado descreve, de modo sucinto, essa história.
A internacional anarquista e a guerra foi um manifesto contra a guerra de 1914-18 publicado em Fevereiro de 1915. Estava assinado por 36 anarquistas, entre os quais figuravam A. Berkman, E. Goldman. E. Malatesta e D. Nieuwenhuis.
Debate sobre alguns posicionamentos de anarquistas sobre conflictos actuais (Kobané/Síria/Iraque, Ucrânia, etc.).27
A honra perdida de Katharina Blumm
Dir. Volker Schloendorff e Margarethe von Trotta
(Die verlorene Ehre der Katharina Blum, 1975)Katharina Blum conhece Ludwig Göette numa festa de carnaval, depois da qual acabam por passar a noite juntos. Na manhã seguinte, o apartamento da jovem é invadido pela polícia. Ludwig desapareceu . Depois de ser interrogada, Katharina é imediatamente rotulada pela imprensa como cúmplice e como terrorista.
28
às 21h
Terrorismo (i)Lógico
Instalação sonora de José Meireles, José Neves e Mirró Pereira.Instalação sonora feita a partir de uma adaptação livre do texto Lógica do Terrorismo de Michel Bounan, uma análise acutilante dos vários actos de terrorismo do século XX. Aproveitando a ocasião será também apresentada uma reedição deste texto, publicado por ACDM/ Pandora.
Março :
6
Confissões de um polícia infiltrado
(Confessions of an Undercover Cop, 2011)Documentário que narra a história de Mark Kennedy, o agente da polícia inglesa que durante 7 anos trabalhou infiltrado em diversos grupos de activismo político em toda a Europa, levando uma vida dupla sem levantar qualquer suspeita durante vários anos.
7
às 21h
Debate : Guerra e Religião
Apresentação de colectânea de textos sobre os atentados de Paris de Janeiro de 2015.Na sequência do ataque ao jornal satírico Charlie Hebdo (e a seguinte recuperação espectacular por parte do mesmo sistema que aquela publicação sempre tinha ridicularizado), diversos colectivos anarquistas franceses redigiram comunicados. A proximidade de algumas das vítimas à galáxia anarquista “obrigaram” à rápida redacção de todo o tipo de textos e opiniões que apresentamos juntos numa brochura, para promover um debate sobre a guerra e a religião e de que “liberdades” ainda podemos falar quando estas duas realidades se misturam.
[logo : crâne-cuistot] Cantina BOESG
E sempre para acompanhar : jantares para paladares anti-gourmet.BOESG, Biblioteca e Observatório dos Estragos da Sociedade Globalizada
Rua das Janelas Verdes, n.º 13, 1.º esq. Santos
boesg.blogspot.pt
pt-br.facebook.com/Biblioteca.BOESG[Logo :] Biblioteca e Observatório dos Estragos da Sociedade Globalizada
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- notes :
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[ texte ; photo (manifestant en « gilet jaune » avec fumigène sur fond de Tour Eiffel)]
- texte :
Grupo de estudos do anarquismo :
Coletes Amarelos e os Anarquistas na França hoje
Participação de um companheiro anarquista francês
16/02/2020 às 15 horas
SINDSPREV
Rua Joaquim Silva, 98-A, Lapa
OATL
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
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[ texte ; photo (manifestants en « gilet jaune » )]
- texte :
Dos gilets jaunes às greves : 1 ano de insurgências na França
Conversa com um companheiro francês
Lançamento do zine “Coletes pretos, casacos amarelos”
Sábado 29/02 — 16hs
Kasa Invisivel
Av. Bias Fortes, 1034
[Dynamite et Panama]
[Dynamite et Panama]. — London Londres : un groupe anarchiste, [ ?]. — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (une : noir , rose ) ; x × y cm.
sources :
[Autodifesa di Ravachol]
[Autodifesa di Ravachol]. — Roma Rome : l’ Alleanza libertaria (1908-191), . — 1 affiche (impr. photoméc.) : n. et b. ; 54 × 38 cm.
sources :
[Mes héritiers]
[Mes héritiers]. — [S.l.] : FA__ [2] (Fédération anarchiste : 1953-....), [ca ] (Imprimerie spéciale [Impr. spéc.]). — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (une : noir , papier bleu ) ; 50 × 65 cm.
sources :
[En France comme en Belgique… le libéralisme n’est pas la liberté]
[En France comme en Belgique… le libéralisme n’est pas la liberté]. — Bruxelles = Brussels Bruxelles : Alternative libertaire mensuel (Bruxelles) : éditions du 22_Mars (Bruxelles), (22_mars, impr. du (Bruxelles)). — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (trois : noir , vert , jaune , papier blanc ) ; 61 × 42 cm.
sources :
![]() 1987 |
[Le libéralisme n’est pas la liberté]
[Le libéralisme n’est pas la liberté]. — Bruxelles = Brussels Bruxelles : Alternative libertaire mensuel (Bruxelles) : éditions du 22_Mars (Bruxelles), (22_mars, impr. du (Bruxelles)). — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (deux : rouge , noir , papier blanc ) ; 61 × 42 cm.
sources :
![]() 1987 |
[Luttes et répressions en France, débat avec des libertaires français (AL, CNT)]
[Luttes et répressions en France, débat avec des libertaires français (AL, CNT)]. — Lausanne : Espace autogéré (Lausanne), . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (une : bleu , papier blanc ) ; 43 × 31 cm.
sources :
![]() 2006 |
[A DIY festival without borders : September 6-12, Calais]
[A DIY festival without borders : September 6-12, Calais]. — Calais : No Border, . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (quadri ) ; x × y cm.
sources :
[Estragos do Terrorismo, da Guerra e da Religião]
[Estragos do Terrorismo, da Guerra e da Religião]. — Lisboa Lisbonne : BOESG (Biblioteca Observatório dos Estragos da Sociedade Globalizada), . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (deux : rouge , noir , texte en défonce , papier blanc ) ; x × y cm.
sources :
[Coletes Amarelos e os Anarquistas na França hoje]
[Coletes Amarelos e os Anarquistas na França hoje]. — Rio de Janeiro : OATL (Organização Anarquista terra e liberdade), . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (quadri : texte en défonce , papier blanc ) ; x × y cm.
sources :
[Dos gilets jaunes às greves : 1 ano de insurgências na França]
[Dos gilets jaunes às greves : 1 ano de insurgências na França]. — Belo Horizonte : Kasa Invisível, . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (quadri : texte en défonce , papier blanc ) ; x × y cm.
sources :