2020

 

 

49 affiches :

 




    [Ceci n’est toujours pas une bavure]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Ceci n’est toujours pas une bavure]. — Lille : [s.n.], . — 1 affiche (photocop. ) : n. et b. ; 42 × 90 cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  :
    • Liste des thèmes  : police
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  :
    notes :
    descriptif :


    [ texte ; dessin (placage musclé par deux policiers antiémeutes) montage de 3 format A3 ]

    texte :

    202-2020, 284 personnes tuées kirs d’interventions policières

    fig. 1 : bis repetita placent

    « Ceci n’est toujours pas une bavure »


    sources :

    Collage d’octobre 2020
    https://iaata.info/Lille-Collage-de-soutien-aux-7-de-Toulouse-4452.html :

    Lille : Collage de soutien aux « 7 de Toulouse »

    A l’image de ce qui a été fait à Marseille le 13 octobre (https://iaata.info/Solidarite-avec-les-sept-de-toulouse-4444.html), nous voulions nous aussi manifester notre soutien aux toulousain-e-s ayant subit la répression étatique.

    Nous nous sommes donc baladés dans différents quartiers de Lille pour coller les fameuses affiches : « le feu tue les virus brûle ton comico », « ne relevons pas l’économie détruisons-la ! », « avec ou sans masques ce monde est irrespirable, détruisons ce qui nous étouffe », etc.

    Nous avons aussi collé des affiches dénonçant les violences policières et citant le nom de toutes les victimes tuées par la police, sous Chirac, Sarkozy, Hollande et Macron.

    Le collage a été accompagné de quelques tags de soutien, dans le centre-ville, à Fives, Moulins, Wazemmes, ou encore Lille-Sud.

    Une pensée pour les personnes accusé-e-s.
    Crève la taule !
    Force aux copaines à l’ombre et à celles qui se battent à l’extérieur.



    [Chèr.e.s frères et sœurs ; chèr.e.s ennemi.e.s et ami.e.s]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Chèr.e.s frères et sœurs ; chèr.e.s ennemi.e.s et ami.e.s]. — [S.l.] : [s.n.], . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (deux  : rouge , noir , papier blanc ) ; 42 × 15 cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  :
    • Liste des thèmes  : insurrectionnalisme
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  :
    notes :
    descriptif :


    [ texte ; gravure (manifestation de black bloc, caméra de surveillance brisée par un avion en papier, drone capturé par un oiseau, …) par rox ? ]

    texte :

    Chèr.e.s frères et sœurs ; Chèr.e.s ennemi.e.s et ami.e.s. Pourquoi sommes nous si seul.e.s ici ? Tout ce dont nous avons besoin est d’un peu plus d’espoir, un peu plus de joie. Tout ce dont nous avons besoin est d’un peu plus de lumière, un peu moins de poids, un peu-plus de liberté.

    Si nous étions une armée, et si nous pensions que nous étions une armée et si nous croyons que tout le monde avais peur comme de jeunes enfants perdus dans leurs habits et. leurs postures d’adultes. Alors nous sommes arrivé.e.s ici seules, flottant.e.s• à travers de longues journées perdues et de grandes tribulations pendant que tout semblait faux.

    Des bons mots, des mots forts, des mots qui auraient pu bouger des montagnes ! Des mots que personne n’a jamais dit et que nous attendions tou.te.s d’entendre. Personne ne les a dit, et les tactiques n’ont jamais éclos, les.. plans n’ont jamais été faits, et nous avons appris à ne pas croire. Et d’étranges monstres solitaires galopent dans les collines se demandant pourquoi, mais il vaux mieux ne jamais au grand jamais, jamais, jamais, jamais se demander pourquoi.

    Alors enveloppe, O enveloppe nous de rubans écarlates ! Ayons une parade. ça fait si longtemps que nous n’en avons pas eu. Faisons une parade ! Invitons tou.te.s nos ami.e.s et les ami.e.s de nos ami.e.s ! Promenons nous en descendant les boulevards avec une fierté terrible et de la lumière dans les yeux. Géant.e.s et titubant.e.s, malades de joie, avec les anges et de la lumière dans nos yeux.

    Frères et sœurs, l’espoir attends toujours au tournant, comme une vieille mégère. Impatiente, seule et tremblante, dans l’attente de construire ses glorieuses flammes.

    C’est à cause de nos plans, nos plans ridiculement magnifiques. Faisons les décoller comme des avions à réactions, les fracassant tous dans la rivière. Construisons des machines étranges et radieuses contre cette Jericho qui n’attend que de tomber. »

    Thee Silver Mt. Zion
    Built then burin (Hourra !)


    sources :

    Lille ?, 2020. Imprimé sur des chutes d’impressions de cahiers de livre.



    [Chroniques sur cordes : rencontre et discussion avec Éric Louis]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Chroniques sur cordes : rencontre et discussion avec Éric Louis]. — Lille : Anamorphose, . — 1 affiche (impr. photoméc.) : n. et b. ; x × y cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  :
    • Liste des thèmes  : édition  ; luttes ouvrières
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  : Louis, Éric
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  : conférence, débat…
    notes :
    descriptif :


    texte

    photo (chantier de charpenterie métallique)

    texte :

    Le métier de cordiste est mal connu. Pourtant les occasions ne manquent pas de nous apercevoir. Nous sommes celles et ceux qui s’agitent suspendu.e.s à nos cordes au dessus des têtes passantes, pansant ici un bout de cheminée récalcitrante, intervenant là pour un casse-goutte en fin de vie, un dispositif anti-pigeon ou une peinture inhospitalière… Nous contribuons à la survie de la ville en repoussant son délitement permanent… Mais aussi au bon fonctionnement de la production industrielle dans un envers conduisant parfois à de graves accidents…

    Dans la profession les tentatives d’organisation sont timides, voir inexistantes. Dans un secteur où une large partie des ouvrier.es sont intérimaires, difficile de se rencontrer et de tisser des complicités pouvant permettre de se défendre collectivement. D’autant que la multiplicité des couches nous séparant de nos patrons (boite-d’intérim, client, entreprise utilisatrice…) semblent volontairement destinées à empêcher tout conflit direct.

    L’Anamorphose
    48, rue du Long-Pot, Lille Fives
    anamorphose.noblogs.org
    alille@riseup.net

    samedi 01 février - 16 h

    Depuis 1 an un îlot de résistance tente de faire face. Regroupé.es autour de l’association « Cordistes en colère, cordistes solidaires » des cordistes s’organisent pour construire une lutte et créer un réseau de solidarité sur l’ensemble du territoire.

    Rencontre et discussion avec Éric Louis co-fondateur de l’association, en partant de la présentation de son dernier livre
    Chroniques sur Cordes


    sources :

    https://anamorphose.noblogs.org/chroniques-sur-cordes/
    https://anamorphose.noblogs.org/files/2020/01/Affiche2-768x543.jpg






    [Discussion publique autour des livres « Fragmenter le monde » et « Itinérances »]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Discussion publique autour des livres « Fragmenter le monde » et « Itinérances »]. — Lille : Anamorphose, . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (quadri ) ; x × y cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  :
    • Liste des thèmes  : édition
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  : Rafanell i Orra, Josep
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  : conférence, débat…
    notes :
    descriptif :


    texte

    dessin

    texte :

    Discussion publique

    samedi 20 avril à 16 h

    autour des livres
    Fragmenter le monde
    et
    Itinérances

    en présence de Josep Rafanell i Orra

    À l’Anamorphose

    48, rue du Long-Pot - Lille - Ⓜ Fives


    Fragmenter le monde

    Le régime de l’économie tend à unifier les être, les choses et les territoires en réduisant chacun à une valeur, dans un seul monde Un. Paradoxalement, cette unification est indissociable d’un processus d’atomisation, construisant les êtres en autant d’individus isolés, censés ne pouvoir se lier que dans le prisme de la valeur.

    Dès lors, se battre contre ce régime que l’on nomme communément « capitalisme », consisterait à faire le geste de fragmentation, c’est-à-dire à adopter et cultiver une perception fragmentée du monde.

    Le livre Fragmenter le monde de Josep Rafanell i Orra nous invite à repenser les termes du politique, en percevant des mondes différents, ayant leur langage propre et leur singularité. La notion de monde désigne ici la façon que les êtres ont de se rapporter à leur milieu. Il s’agit de quitter la vision anthropocentrée posée par le régime capitaliste pour considérer la manière dont les humains habitent leur territoire, se rapportent aux êtres qui le peuplent et aux histoires de ces lieux. Si une multiplicité de monde existe, il s’agit de savoir comment naviguer à travers eux, comment faire des passerelles entre des mondes, et à l’inverse construire un rapport antagoniste contre ceux qui dénient la possibilité des mondes amis.

    L’une des manières d’aller à la rencontre d’un autre monde est de développer une politique de l’enquête, c’est-à-dire une manière de partager les expériences. L’enquête est indissociable du récit de l’enquêteur : « L’enquête est forcément une affaire de collectifs. Le retour d’expérience auquel est conduit l’enquêteur, la transmission, engage des communautés qui se transforment en réorientant les situations qu’elles habitent. ».

    Si Fragmenter le monde se situe sur un plan théorique, les réflexions que l’essai engage gagnent en consistance avec l’ouvrage collectif Itinérances. Réunissant une quinzaine de textes, ce recueil s’articule autour de différentes expériences, notamment autour de pratiques de soins, de manières de faire communauté et, ce faisant, nous pousse à repenser la question du communisme.

    Nous vous invitons à venir découvrir ces deux ouvrages et, à partir des réflexions qu’ils engagent, à discuter de nos manières de nous lier, de partager nos expériences et d’interroger nos pratiques politiques.

    alille@riseup.net


    sources :

    https://anamorphose.noblogs.org/discussion-publique-autour-des-livres-de-fragmenter-le-monde-et-itinerances/
    https://anamorphose.noblogs.org/files/2020/10/affiche2.cleaned-1024x724.jpg













    [Lisez l’info pour les mouvements sociaux : Rapports de force]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Lisez l’info pour les mouvements sociaux : Rapports de force]. — Montpellier : Rapports de force, . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (quadri ) ; 60 × 42 cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  : FACL (Fonds d’archives communistes libertaires)
    • Liste des thèmes  : communication : Internet  ; presse
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  :
    notes :
    descriptif :


    texte

    photo (manifestant avec fumigène)

    texte :

    Lisez l’info pour les mouvements sociaux

    grève — lutte — sans-papiers - solidarité - féminisme - syndicats - répression - environnement - extrême droite - capitalisme - libertés

    Rapports de force

    [logo du site] — rapportsdeforce.fr — [lien QR Code]


    sources :

    Il existe une version autocollant
    https://rapportsdeforce.fr/le-coin-des-fans :

    Notre affiche
    Idéale sur votre panneau d’affiche syndical, pas si mal sur le frigo de votre colloc, parfaite dans le local militant ou la librairie sympa de votre commune, voici notre dernière production : l’affiche Rapports de force. Notre arme anti-algorithme pour 2022. Une façon de contourner les plateformes de type Facebook ou Twitter qui décident à votre place de ce que vous allez voir. Ici, du direct, les yeux dans les yeux. Ou plutôt les yeux sur nos affiches.
    – Nous vous la proposons en téléchargement dans sa version couleur. Il suffit de cliquer sur l’image. Vous pouvez donc en imprimer autant de copies que de lieux à décorer. Et pourquoi pas, en grand nombre pour égayer les rues de votre ville.
    – Il est également possible de la commander dans son format 60 cm par 40 cm ou dans sa version autocollant que nous vous enverrons par La Poste. Il suffit de faire un paiement ICI en précisant la nature de votre commande dans les commentaires.
    Affiches (frais de ports inclus)
    Lot de 3 affiches pliées : 2.50 €
    Lot de 7 ou 8 affiches pliées : 5 €
    (Pour des lots de 30, 60 ou 150 affiches à coller dans votre villes, nous contacter).
    Autocollants (frais de ports inclus)
    5 autocollants : 2€
    30 autocollants : 5€
    80 autocollants : 8€
    150 autocollants : 12€




















    [Révolte féministe]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Révolte féministe]. — Paris : UCL_ (Union communiste libertaire), [ & ante] (Rotographie (Montreuil)). — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (trois  : rouge , noir , violet , texte en défonce , papier blanc ) ; 84 × 60 cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  :
    • Liste des thèmes  : féminisme  ; sexisme et homophobie
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  :
    notes :
    descriptif :
    Symbole(s) utilisé(s) :

    [ texte ; dessin (visage de femme et son poing levé) ]

    texte :

    Violences machistes

    Révolte féminine

    [logo merle noir et violet] Union communiste libertaire

    Antipatriarcat Autogestion
    www.unioncommunistelibertaire.org

    Ne coller que sur les endroits autorisés, conformément au Code l’environnement.

    [imprimerie Rotographie Montreuil]


    sources :

    Existe en deux formats : 84×60 (A1) et 60×42 (A2)


    2017

    [ 2020 & ante]
    Affiches liées


    [Révolte féministe]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Révolte féministe]. — Paris : UCL_ (Union communiste libertaire), [ & ante] (Rotographie (Montreuil)). — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (trois  : rouge , noir , violet , texte en défonce , papier blanc ) ; 60 × 42 cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  :
    • Liste des thèmes  : féminisme  ; sexisme et homophobie
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  :
    notes :
    descriptif :
    Symbole(s) utilisé(s) :

    [ texte ; dessin (visage de femme et son poing levé) ]

    texte :

    Violences machistes

    Révolte féminine

    [logo merle noir et violet] Union communiste libertaire

    Antipatriarcat Autogestion
    www.unioncommunistelibertaire.org

    Ne coller que sur les endroits autorisés, conformément au Code l’environnement.

    [imprimerie Rotographie Montreuil]


    sources :

    Existe en deux formats : 84×60 (A1) et 60×42 (A2)


    [ 2020 & ante]

    2017
    Affiches liées



    [Tabula rasa : journal mural contre la prison et tous les enfermements, n° 4, mai 2020]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Tabula rasa : journal mural contre la prison et tous les enfermements, n° 4, mai 2020]. — Caen : [s.n.], . — 1 affiche (photocop. ) : n. et b. ; 42 × 60 cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  :
    • Liste des thèmes  : émigration et immigration  ; presse  ; prison
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  : Tabula rasa (Caen)
    • Vie des mouvements  :
    notes :
    descriptif :
    Symbole(s) utilisé(s) :

    texte

    texte :

    Tabula rasa

    journal mural contre la prison et tous les enfermements
    Parution irrégulière
    N° 4, mai 2020
    Caen

    Nous SOMMES CONTRE LES PRISONS, les frontières et tous les enfermements parce que nous pensons que le seul remède aux maux de cette société, c’est la liberté, la destruction de toute op-pression et exploitation, la destruction des fondements même de cet ordre social.

    Nous désirons faire payer à la mesure de nos moyens ce nouvel affront à notre liberté que constitue la construction d’une nouvelle prison à Caen, nous en prendre à ce système répressif, notamment à toutes les entreprises, les services publics et les associations, qui se font du fric avec la construction ou l’administration quotidienne de nouvelles prisons, de centres de rétention, qui participent de loin ou de plus près à administrer et contrôler nos vies au profit de l’État et du capital.

    Nous NE NOUS FAISONS PAS POUR AUTANT D’ILLUSIONS. Il y a peu de chance que nous arrivions à repousser ce projet de nouvelle prison. Et même si nous en venions à bout, nous n’aurions alors réussi qu’à ajourner une des trop nombreuses infrastructures de ce système répressif.

    Or, la répression ne s’exerce pas uniquement dans des infrastructures — taules, Centre de Rétention Administratifs, caméras, Hôpitaux Psychiatriques, etc. — ni seulement par ceux et celles qui les administrent, mais s’inscrit dans des rapports sociaux, un maillage de relations, des appareils idéologiques qui sont aussi importants à détruire.

    Nous avons également pleinement conscience que nous embourber dans un combat asymétrique et inégal avec l’État serait pour nous suicidaire, et que seul un mouvement insurrectionnel généralisé animé de perspectives révolutionnaires reste en mesure d’abattre ce tissu oppressif. Bref qu’on n’abat pas l’enfermement et le contrôle sans détruire le monde qui les produit.

    Cela ne suffira pas pour autant à nous résigner à supporter cette énième construction, parce qu’elle nous est insupportable. C’est dans cette perspective que nous souhaitons nous y attaquer pour rendre visible ce qu’État et capital veulent laisser invisible. Et participer à notre mesure à faire table rase de ce qui nous détruit.

    Tabula Rasa est l’un des moyens de faire vivre ce combat.

    Contre le virus de l’enfermement

    […]

    Pour construire des prisons, il faut une boîte de BTP

    […]

    Des révoltes dans les prisons

    […]


    sources :

    https://sansnom.noblogs.org/archives/3919
    https://sansnom.noblogs.org/files/2021/01/Tabula-Rasa-4.cleaned.pdf



    [Tabula rasa : journal mural contre la prison et tous les enfermements, n° 5, octobre 2020]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Tabula rasa : journal mural contre la prison et tous les enfermements, n° 5, octobre 2020]. — Caen : [s.n.], . — 1 affiche (photocop. ) : n. et b. ; 42 × 60 cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  :
    • Liste des thèmes  : émigration et immigration  ; presse  ; prison
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  : Tabula rasa (Caen)
    • Vie des mouvements  :
    notes :
    descriptif :
    Symbole(s) utilisé(s) :

    texte

    texte :

    Tabula rasa

    journal mural contre la prison et tous les enfermements
    Parution irrégulière
    N° 5, octobre 2020
    Caen

    Nous SOMMES CONTRE LES PRISONS, les frontières et tous les enfermements parce que nous pensons que le seul remède aux maux de cette société, c’est la liberté, la destruction de toute op-pression et exploitation, la destruction des fondements même de cet ordre social.

    Nous désirons faire payer à la mesure de nos moyens ce nouvel affront à notre liberté que constitue la construction d’une nouvelle prison à Caen, nous en prendre à ce système répressif, notamment à toutes les entreprises, les services publics et les associations, qui se font du fric avec la construction ou l’administration quotidienne de nouvelles prisons, de centres de rétention, qui participent de loin ou de plus près à administrer et contrôler nos vies au profit de l’État et du capital.

    Nous NE NOUS FAISONS PAS POUR AUTANT D’ILLUSIONS. Il y a peu de chance que nous arrivions à repousser ce projet de nouvelle prison. Et même si nous en venions à bout, nous n’aurions alors réussi qu’à ajourner une des trop nombreuses infrastructures de ce système répressif.

    Or, la répression ne s’exerce pas uniquement dans des infrastructures — taules, Centre de Rétention Administratifs, caméras, Hôpitaux Psychiatriques, etc. — ni seulement par ceux et celles qui les administrent, mais s’inscrit dans des rapports sociaux, un maillage de relations, des appareils idéologiques qui sont aussi importants à détruire.

    Nous avons également pleinement conscience que nous embourber dans un combat asymétrique et inégal avec l’État serait pour nous suicidaire, et que seul un mouvement insurrectionnel généralisé animé de perspectives révolutionnaires reste en mesure d’abattre ce tissu oppressif. Bref qu’on n’abat pas l’enfermement et le contrôle sans détruire le monde qui les produit.

    Cela ne suffira pas pour autant à nous résigner à supporter cette énième construction, parce qu’elle nous est insupportable. C’est dans cette perspective que nous souhaitons nous y attaquer pour rendre visible ce qu’État et capital veulent laisser invisible. Et participer à notre mesure à faire table rase de ce qui nous détruit.

    Tabula Rasa est l’un des moyens de faire vivre ce combat.

    Smart city : une ville en circuit fermé

    […]

    Besançon : sur l’incarcération d’un compagnon anarchiste

    […]


    sources :

    https://sansnom.noblogs.org/archives/3919
    https://sansnom.noblogs.org/files/2021/01/Tabula-rasa-5.cleaned.pdf






    [« Surplus, terrorized into being consumers » : projection et débat]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    « Surplus, terrorized into being consumers » : projection et débat]. — Besançon : Food not bombs : Resto Trottoir (Besançon), . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (quadri ) ; 42 × 30 cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  :
    • Liste des thèmes  : art : cinéma  ; consommation
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  : Gandini, Erik  ; Zerzan, John (1943-....)
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  : conférence, débat…
    notes :
    descriptif :


    [ texte ; dessin (scène de « Cène » avec des chefs d’État et de gouvernement autour du président Bush : Chirac, Aznar, Berlusconi, Poutine, …) ]

    texte :

    Resto Trottoir : projection et débat

    le Food Not Bombs de Besançon

    entrée libre

    Surplus, terrorized into being consumers

    Mercredi 30 septembre 2020
    Librairie L’Autodidacte

    Surplus : Terrorized Into Being Consumers est un film documentaire suédois d’Erik Gandini sorti en 2003, qui porte sur les questions du consumérisme et de la mondialisation. Le film traite des arguments en faveur du capitalisme et du progrès technique, comme une plus grande efficacité qui laisserait plus de temps et permettrait de moins travailler, pour juger finalement que cet objectif n’est pas atteint.
    Cette conclusion est atteinte à travers un tour du monde passant entre autres par un retour sur les émeutes anti-G8 de Gênes de 2001, un panorama de la situation cubaine sous Fidel Castro et un reportage dans les chantiers de démantèlement de navires d’Alang.
    Un temps de parole important est également accordé au philosophe américain John Zerzan, défenseur du primitivisme.
    Collage, manipulation des sons et des synchronisations, répétitions suggestives, montage incisif, musique dub et électro, slogans martelés... le film utilise les mêmes techniques que la publicité et les shows télévisés. Ironique à souhait, le documentaire interroge (plus qu’il ne dénonce) sur notre rapport à la consommation et nos désirs de décroissance...

    blog : restotrottoir.blogspot.com
    contact mail : resto-trottoir@herbesfolles.org


    sources :

    https://restotrottoir.blogspot.com/2020/09/rentree-libertaire-surplus-terrorized.html