[aaaa & ante]

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 & ante]

 

Affichage par année

264 affiches :

 

    [De l’ombre des villes… aux lueurs de l’insurrection]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    De l’ombre des villes… aux lueurs de l’insurrection]. — [S.l.] : [s.n.], [ & ante]. — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (deux  : noir , jaune , papier blanc ) ; 62 × 24 cm.

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    notes :
    descriptif :


    [ texte ; dessin (1/2 masque japonais ?) ]

    texte :

    De l’ombre des villes…

    Dans ce meilleur des mondes, quand on ne rentre pas dans le rang, plane très vite la menace d’être enterrés dans des prisons, des camps de rétention ou des hôpitaux psychiatriques...

    Pour s’engraisser sur nos côtes et bien nous tenir en laisse, on nous propose à volonté des crédits à court ou long terme, des drogues légales ou illégales, des écrans petits ou grands, des bouffons de gauche comme de droite.

    Écrasés par les rapports de domination et d’exploitation, le seul horizon possible serait de continuer à crever en silence, et de reproduire la guerre de tous contre tous.

    Beaucoup d’autres chemins s’offrent pourtant à nous. la révolte et la solidarité, le sabotage et l’auto-organisation restent par exemple des armes de choix pour affronter tout ce qui nous opprime.

    Quand les uniformes se font dégager, c’est un peu d’oxygène en plus... quand la production est bloquée, c’est un peu d’exploitation en moins... quand les lieux de réclusion brûlent, c’est un peu de liberté en plus... quand les réfractaires trouvent des complicités, c’est un peu d’isolement en moins...

    Chaque jour, ici et ailleurs, nombre d’individus sont contraints de s’éloigner de leurs liens, des lieux et des personnes qu’ils aiment, pour échapper à la répression ou tout simplement pour tenter de survivre à la misère.

    La condition d’indésirable et de hors-la-loi devenant le lot d’une partie toujours plus importante de la population, se solidariser et se battre n’est pas une question de mots. c’est un enjeu pour la liberté de toutes et tous.

    Cessons de raser les murs, détruisons-les !

    …aux lueurs de l’insurrection


    sources :
     



    [Depuis dix ans Euromed vous fait chantier… avec Marseille2013, capitale européenne de la culture vous allez aussi danser…]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Depuis dix ans Euromed vous fait chantier… avec Marseille2013, capitale européenne de la culture vous allez aussi danser…]. — Marseille : [s.n.], [ & ante]. — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (deux  : noir , orange , papier blanc ) ; 54 × 37 cm.

    • Affiches par pays  : France
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    notes :
    descriptif :


    texte en noir

    filigrane orange (gravure de ville en flammes et inondée — avec humains et guitare dans le flux)

    cadre noir

    texte :

    depuis dix ans Euromed vous fait chantier…

    … avec Marseille2013, capitale européenne de la culture vous allez aussi danser…

    Depuis 1995, l’opération Euromed impose aux habitants de Marseille une réorganisation totale du centre-ville, aseptisé et sécurisé. Du sur mesure pour les cadres nouvellement installés à la Joliette et les touristes toujours plus abondants dans la capitale pressentie de la future Union euro-méditerranéenne (vaste entreprise de pompage d’énergie et de main d’œuvre des pays du Sud). Cela se traduit pour une grand nombre d’entre nous par la nécessité de partir se loger dans des zones périphériques, chassés pas l’augmentation des loyers et bien d’autres dispositifs de répression économique, quand il ne s’agit pas de rafles et de déportations pour les sans-papiers. Le but du jeu : canaliser encore mieux la circulation de la marchandise, évidemment.

    La nouvelle carte sortie du chapeau : « marseille2013capitaleeuropéennedelaculture », bond en avant dans la mortification de l’ambiance urbaine.

    Avec « marseille2013 », il s’agit pour les gouvernants et les entrepreneurs non seulement d’étendre, vers la Belle-de-mai et Arenc, cette refonte de l’espace, mais aussi de créer un décor scintillant pour faire passer la pilule de la destruction des cultures de résistances et de solidarités (lutter, c’est vivre) : l’alibi culturel n’est qu’un masque jovial, nous divertissant du contrôle et de la collaboration toute citoyenne. Mais l’idée qu’ici le capital n’avance plus à un coup de canon mais précédé d’une milice dansante, bruissante, bigarrée, d’artistes en costumes et de branchés, ne nous est pas encore familière. Pourtant, les artistes (même les « scandaleux » ou les « rebelles ») ont trop souvent été l’avant-garde dévoyée à la pacification des quartiers les plus agités : il suffit de voir comment le Panier, envahi par les ateliers d’artistes et les boutiques d’artisanat subventionnés par la mairie, a été ravalé en « quartier typique et authentique ». Et cela nous rappelle la fonction des acteurs socioculturels, des salles de sport et de concert, après les grandes émeutes du début des années 1980. Avec leurs « armes culturelles de dialogue et de collaboration », ce projet est clairement une bataille de plus dans la guerre sociale en cours, à Marseille comme ailleurs.

    Alors face à cette nouvelle machine de guerre, dont le redéploiement des forces d’occupation du territoire est l’aspect le plus visible, il ne s’agit pas de ne pas collaborer ou d’en profiter pour grappiller quelques subventions, mais bien de passer dans les rangs ennemis, d’imaginer, organiser et diffuser tous les gestes mutins d’une résistance offensive.

    urbanistes, flics, artistes nous construisent ce monde de merde

    détruisons ce qui nous détruit


    sources :

    https://fr.wikipedia.org/wiki/Eurom%C3%A9diterran%C3%A9e
    https://fr.wikipedia.org/wiki/Marseille-Provence_2013





    [L’État nous observe, crevons lui les yeux !]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    L’État nous observe, crevons lui les yeux !]. — [S.l.] : [s.n.], [ & ante]. — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (deux  : rouge , noir , papier blanc ) ; 63 × 21 cm.

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    notes :
    descriptif :


    [ texte ; dessin (personnes abattant un pylône de caméras (à la hache !) sur fond de ville à gratte-ciels) ]

    texte :

    L’État nous observe, crevons lui les yeux !

    Des milliers de caméras quadrillent les villes

    Ajoutées à un urbanisme du contrôle, aux uniformes en tout genre, au fichage de la population, aux cartes à puce et aux portables, les caméras en disent long sur le monde dans lequel on vit : une prison à ciel ouvert.

    L’État et les patrons voudraient nous faire croire que c’est pour « notre » sécurité qu’ils renforcent le contrôle, mais c’est « eux » et « leur » système qu’ils veulent protéger…

    Ils voudraient nous obliger à filer droit, et pire, qu’on n’ait plus la possibilité de les affronter :

    soyons incontrôlables !


    sources :
     

    [ 2013 & ante]

    [s.d.]
    Affiches liées





    [Transports gratuits pour tous et toutes]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Transports gratuits pour tous et toutes]. — Paris : FA__ [2] (Fédération anarchiste : 1953-....), [ & ante] (Expressions 2 (Paris : 2000-2020 ?)). — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (deux  : rouge , noir , texte en défonce , papier blanc ) ; 85 × 60 cm.

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    descriptif :


    [ texte ; dessin (silhouettes) ]

    texte :

    Transports gratuits pour tous & toutes

    Zéro euro, zéro fraude

    — arrêt des poursuites en cours ;
    — suppression des contrôles et des amandes.

    Pour que personne ne décide à notre place, gestion directe du service public par les usagers et les salariés des entreprises de transports.

    Fédération anarchiste
    145, rue Amelot, 75011 Pairs

    Impr. Expressions2, Paris


    sources :

    Reprise de l’affiche sortie pour la campagne de septembre 2001, avec « zéro franc, zéro fraude », juste avant le passage à l’euro. Cette affiche de 2001 était sortie avec de faux tickets de transport avec le même slogan.

    Un retirage est fait en octobre ou novembre 2001.

    Le visuel a été retrouvé sur une source de 2013.


    2001
    Affiche liée





    [Bericht aan de bevolking]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Bericht aan de bevolking]. — [S.l.] : [s.n.], [ & ante]. — 1 affiche (photocop. ) : n. et b. ; 42 × 30 cm.

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    descriptif :


    tekst

    texte :

    Bericht aan de bevolking

    Wees niemands knecht, niemands meester.
    Wie zijn eigen mesters aanduidt maakt zichzelf tot slaaf.

    Weiger langer deel uit te maken van dit circus ! treed uit de kudde en

    stem niet denk zelf

    Ga over tot actie ! Saboteer de verkiezingspropaganda. Verscheur de affiches die ons proberen te bedriegen. Beklad de tronie van de politiekers die ons uitlachen !

    De anarchisten


    traduction :

    Message au peuple

    Ne soyez le serviteur ni le maître de personne.
    Ceux qui désignent leurs propres maîtres s’asservissent eux-mêmes.

    Refusez de faire partie de ce cirque plus longtemps ! Sortez du troupeau et ne votez pas, pensez par vous-même.

    Agissez ! Sabotez la propagande électorale. Détruisez les affiches qui tentent de nous tromper. Dégradez les tronies des politiciens qui se moquent de nous !

    Les anarchistes


    sources :

    België of Nederland.













    [easyCity.org]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    easyCity.org]. — [S.l.] : [s.n.], [ & ante]. — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (une  : orange , texte en défonce , papier blanc ) ; 42 × 60 cm.

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    descriptif :


    text

    icons

    texte :

    easyTerrorist
    choose from our pre-designed packages

    easyPoor
    no annual fee

    easyFat
    design to suit your needs

    easyHomeless
    combine benefits most important to you

    easyJunk
    puts you in control

    easyWheelchair
    in balance transfers

    easyCity.org


    sources :
     





    [Flikken aanvallen ; is het een sport ?]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Flikken aanvallen ; is het een sport ?]. — Bruxelles = Brussels Bruxelles : [s.n.], [ & ante]. — 1 affiche (photocop. ) : n. et b. ; 42 × 30 cm.

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    descriptif :


    tekst

    photo (scène de golf sur un toit d’immeuble)

    vignette (chien pissant sur le jambe d’un policier)

    texte :

    Molenbeek, 8 april 2014. Een politiepatrouille merkt rond 22 uur een vijftal jongeren op die met golfclubs rondlopen. Wanneer de agenten hen willen tegenhouden, wordt hun voertuig omsingeld door een veertigtal jongeren. Die beginnen de wagen met stenen te bekogelen en op het voertuig in te slaan. De achterruit van de wagen wordt verbrijzeld en één agent krijgt een slag met een golfclub op het hoofd. Een andere agent raakt gewond in het gezicht door rondvliegend glas.

    Flikken aanvallen ; is het een sport ?

    Politie is nodig. Dat wordt ons toch verteld. Anders zouden mensen elkaar uitmoorden. Of elkaar toch vreselijke dingen aandoen. De argumenten verwoorden een diep wantrouwen tegenover de medemens.

    Dus wordt een bepaalde groep van die medemensen een opleiding in geweld gegeven, georganiseerd als gewapende militie, de straat opgestuurd en krijgen ze de boodschap mee dat ze met zo goed als alles onbestraft wegkomen.

    De medemens wordt gewantrouwd, dus krijgt die medemens een vrijbrief om geweld te plegen en macht te verwerven over anderen. Bizarre redenatie.

    Verwachten we dan dat de politie moreel superieur is aan de rest van de mensheid ? Zijn ze betere mensen dan wij ? Of zijn ze soms aliens ? Waarom zouden ze niet hun eigen belangen of die van hun broodheer voorop zetten ? Is dat niet wat er feitelijk gebeurd en wat er onvermijdelijk gebeurd ? Het zijn immers ook maar mensen, daarenboven mensen die legaal geweld mogen uitoefenen op andere mensen. Het legale geweld, het geweld van de staat, dient bepaalde belangen. Of we die belangen nu democratie, meerderheid, publieke opinie of regime, elite, natie noemen, ze worden ons opgelegd. Anders had de staat geen nood aan het geweldsmonopolie.

    Dat de mensen die dat legale geweld elke dag in de straten uitoefenen, ook geweld terug in hun gezicht krijgen is een goed idee. Het geweldsmonopolie - fundament van de onderdrukking - saboteren is een bevrijdende daad. Het tast de arrogantie. de machtspositie van de staat aan. We wantrouwen namelijk de medemensen die inzicht proberen uitoefenen over andere mensen.

    De staat noemt haar eigen geweld wet ; het gweld van het individu noemt ze misdaad.


    traduction :

    Molenbeek, 8 avril 2014. Vers 22 heures, une patrouille de police a remarqué qu’environ cinq jeunes se promenaient avec des clubs de golf. Lorsque les policiers veulent les arrêter, leur véhicule est encerclé par une quarantaine de jeunes. Ceux-ci commencent à lancer des pierres sur la voiture et à la percuter. La vitre arrière de la voiture est brisée et un policier est frappé à la tête avec un club de golf. Un autre policier est blessé au visage par des éclats de verre.

    Attaquer des policiers : est-ce un sport ?

    On a besoin de policiers. C’est en tout cas ce qu’on nous dit. Sinon, les gens s’entretueraient. Ou se feraient des choses terribles de toute façon. Ces arguments expriment une profonde méfiance à l’égard des autres êtres humains.

    C’est pourquoi un certain groupe de ces semblables est formé à la violence, organisé en milice armée, envoyé dans les rues et informé qu’il peut faire n’importe quoi en toute impunité.

    On se méfie des autres êtres humains, alors on leur donne le droit de commettre des actes de violence et de prendre le pouvoir sur les autres. C’est un raisonnement étrange.

    Attendons-nous alors de la police qu’elle soit moralement supérieure au reste de l’humanité ? Sont-ils meilleurs que nous ? Ou sont-ils parfois des extraterrestres ? Pourquoi ne feraient-ils pas passer leurs propres intérêts ou ceux de leur seigneurie en premier ? N’est-ce pas ce qui se passe en réalité et ce qui se passe inévitablement ? Après tout, ils ne sont que des humains, en plus d’être des personnes qui sont légalement autorisées à utiliser la violence sur d’autres personnes. La violence légale, la violence d’État, sert certains intérêts. Que nous appelions ces intérêts démocratie, majorité, opinion publique ou régime, élite, nation, ils nous sont imposés. Sinon, l’État n’aurait pas besoin du monopole de la violence.

    Que les personnes qui exercent cette violence légale tous les jours dans la rue se voient également renvoyer la violence au visage est une bonne idée. Saboter le monopole de la violence - fondement de l’oppression - est un acte libérateur. Il érode l’arrogance et la domination de l’État. En effet, nous nous méfions des êtres humains qui tentent d’exercer leur pouvoir sur d’autres êtres humains.

    L’Etat appelle sa propre violence « loi » ; la violence de l’individu « crime ».


    sources :
     

    [ 2014 & ante]
    Affiche liée


    [Flikken aanvallen ; is het niet menselijk ?]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Flikken aanvallen ; is het niet menselijk ?]. — Bruxelles = Brussels Bruxelles : [s.n.], [ & ante]. — 1 affiche (photocop. ) : n. et b. ; 42 × 30 cm.

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    • Vie des mouvements  :
    notes :
    descriptif :
    Symbole(s) utilisé(s) :

    tekst

    photo (paysage vallonné avec vaches ; panneau de signalisation “Attention, vaches”)

    vignette (chien pissant sur le jambe d’un policier)

    texte :

    Lasne, 26 november 2013. Een koe breekt uit haar omheining en besluit het op een lopen te zetten. Helaas verklikt een burger, die alles gezien heeft, haar bij de lokale politie. Na een korte achtervolging, slagen de agenten erin om de koe terug naar de weide te dwingen. Waarop de koe zich op het politievoertuig uitleeft. De motorkap en de voorruit van de gloednieuwe wagen zijn om zeep.

    Flikken aanvallen ; is het niet menselijk ?

    Politie is nodig. Dat wordt ons toch verteld. Anders zouden mensen elkaar uitmoorden. 01 elkaar toch vreselijke dingen aandoen. De argumenten verwoorden een diep wantrouwen tegenover de medemens.

    Dus wordt een bepaalde groep van die medemensen een opleiding in geweld gegeven, georganiseerd als gewapende militie, de straat opgestuurd en krijgen ze de boodschap mee dat ze met zo goed als alles onbestraft wegkomen.

    De medemens wordt gewantrouwd, dus krijgt die medemens een vrijbrief om geweld te plegen en macht te verwerven overanderen. Bizarre redenatie.

    Verwachten we dan dat de politie moreel superieur is aan de rest van (Ie mensheid ? Zijn ze betere mensen dan wij ? Ot zijn ze soms aliens ?

    Waarom zouden ze niet hun eigen belangen of die van hun broodheer voorop zetten ? Is dat niet wat er feitelijk gebeurd en wat er onvermijdelijk gebeurd ? Het zijn immers ook maar mensen, daarenboven mensen die legaal geweld mogen uitoefenen op andere mensen.

    Het legale geweld, het geweld van de staat, dient bepaalde belangen. Of we die belangen nu democratie, meerderheid, publieke opinie of regime, elite, natie noemen, ze worden ons opgelegd. Anders had de staat geen nood aan het geweldsmonopolie.

    Dat de mensen die dat legale geweld elke dag In de straten uitoefenen, ook geweld terug in hun gezicht krijgen is een goed idee. Het geweldsmonopolie - fundament van de onderdrukking - saboteren is een bevrijdende daad. liet tast de arrogantie, de machtspositie van de staat aan. We wantrouwen namelijk de medemensen die macht proberen uitoefenen over andere mensen.

    De staat noemt haar eigen geweld wet ; het gweld van het individu noemt ze misdaad.


    traduction :

    Lasne, 26 novembre 2013. Une vache sort de son enclos et décide de s’enfuir. Malheureusement, un citoyen, ayant tout vu, la dénonce à la police locale. Après une courte course-poursuite, les agents parviennent à forcer la vache à retourner au pâturage. La vache s’en prend alors au véhicule de la police. Le capot et le pare-brise de la voiture flambant neuve sont renversés.

    Attaquer les policiers, n’est-ce pas humain ?

    La police est nécessaire. C’est en tout cas ce qu’on nous dit. Sinon, les gens s’entretueraient. 01 se font des choses terribles de toute façon. Ces arguments expriment une profonde méfiance à l’égard des autres êtres humains.

    C’est pourquoi un certain groupe de ces semblables est formé à la violence, organisé en milice armée, envoyé dans les rues et informé qu’il peut faire n’importe quoi en toute impunité.

    On se méfie des autres humains, alors on leur donne le droit de commettre des actes de violence et de prendre le pouvoir sur les autres. C’est un raisonnement étrange.

    Attendons-nous donc de la police qu’elle soit moralement supérieure au reste de l’humanité ? Sont-ils meilleurs que nous ? Ou sont-ils parfois des extraterrestres ?

    Pourquoi ne privilégieraient-ils pas leurs propres intérêts ou ceux de leur seigneurie ? N’est-ce pas ce qui se passe en réalité et ce qui se passe inévitablement ? Après tout, ce ne sont que des êtres humains, qui plus est des êtres humains qui sont légalement autorisés à utiliser la violence sur d’autres personnes.

    La violence légale, la violence d’État, sert certains intérêts. Que nous appelions ces intérêts démocratie, majorité, opinion publique ou régime, élite, nation, ils nous sont imposés. Sinon, l’État n’aurait pas besoin du monopole de la violence.

    Que les personnes qui exercent cette violence légale tous les jours dans les États se voient également renvoyer la violence au visage est une bonne idée. Saboter le monopole de la violence - fondement de l’oppression - est un acte libérateur. éroder l’arrogance, la position de pouvoir de l’État. En effet, nous nous méfions des êtres humains qui tentent d’exercer un pouvoir sur d’autres personnes.

    L’Etat appelle sa propre violence « loi » ; la violence de l’individu « crime ».


    sources :
     

    [ 2014 & ante]
    Affiche liée




    [Geen sluiting kleine Ring !]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Geen sluiting kleine Ring !]. — Antwerpen Anvers : [s.n.], [ & ante]. — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (deux  : noir , bleu , papier blanc ) ; 42 × 60 cm.

    • Affiches par pays  : Belgique
    • Lieux d’archivages  :
    • Liste des thèmes  : économie : transports
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  : Kropotkin, Johny [pseud.]
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  :
    notes :
    descriptif :


    tekst

    dessin (« évolution de l’Homme » jusqu’à un politicien-autoroute)

    texte :

    Geen sluiting kleine Ring !

    Men zegt dat men de Antwerpse kleine Ring wil sluiten.
    Dit wil zeggen dat men hem gaat uitbreiden.
    Met een investering van 22 à 30 miljard doorheen groen, droogdokken en woonruimtes …
    Zodat nog meer auto’s naar de stad sullen komen …

    Homo asfalticus de ‘missing link’ gevonden

    Affiche aangeboden door Wildgroei en Spaak en Tandrad.

    v.u. Johny Kropotkin. Breughelstraat 31-33, 2018 A‘pen - Vrij van zegel art 198


    traduction :

    Pas de fermeture du petit ring !

    On dit qu’on veut fermer le petit ring d’Anvers.
    Cela signifie qu’ils vont l’agrandir.
    Avec un investissement de 22 à 30 milliards par le biais d’espaces verts, de cales sèches et d’espaces de vie ...
    Pour qu’encore plus de voitures viennent en ville ...

    Homo asfalticus le “chaînon manquant” retrouvé

    Affiche offerte par Wildgroei en Spaak en Tandrad.

    v.u. Johny Kropotkin. Breughelstraat 31-33, 2018 A’pen - Libre de timbrage art 198


    sources :
     


    [Handen af van onze panden !!]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Handen af van onze panden !!]. — Gent Gand : [s.n.], [ & ante]. — 1 affiche (photocop. ) : n. et b. ; 42 × 60 cm.

    • Affiches par pays  : Belgique
    • Lieux d’archivages  :
    • Liste des thèmes  : logement, habitat  ; squatt
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  :
    notes :
    descriptif :


    tekst

    fotomontage

    texte :

    Handen af van onze panden !!

    voor het behoud van de Hogepont en alle kraakpanden in België

    geen nieuw ghetto in Gentbrugge

    geen a-sociale woningen

    28 oktober 17.30 Blandijn - Gent

    (vlakbij st.pietersplein)


    sources :
     






    [Manifestatie op de avond vóór de ontruiming]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Manifestatie op de avond vóór de ontruiming]. — Amsterdam : [s.n.], [ & ante]. — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (deux  : noir , vert , papier blanc ) ; 67 × 23 cm.

    • Affiches par pays  : Pays-Bas
    • Lieux d’archivages  :
    • Liste des thèmes  : art : musique
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  : EX__ (1979-....), the
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  :
    notes :
    descriptif :


    tekst

    logo (vuur)

    texte :

    vuur licht geluid installaties op de kade

    een plezante aangelegenheid

    Amsterdam bloedt dood de
    kalenderpanden !

    Manifestatie

    op de avond vóór de ontruiming (datum niet bekend)

    geef je op via de website

    20.30 uur entrepotdok 92-98

    mmb Geert Mak, Herr Seele, de nachtzusters, Warner & Concerten, de 4 Tuoze Matroze, The Ex, AAA (Association of Autonomous Astronauts), het Eilandenkoor, De Kift, en vele anderen…

    www.kalenderpanden.nl


    sources :
     


    [Mc.......]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Mc.......]. — [S.l.] : [s.n.], [ & ante]. — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (trois  : rouge , noir , jaune , texte en défonce , papier blanc ) ; 49 × 32 cm.

    • Affiches par pays  :
    • Lieux d’archivages  :
    • Liste des thèmes  : alimentation  ; capitalisme et anticapitalisme
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  :
    notes :
    descriptif :


    text

    logo McDonalds with fires

    texte :

    Mc.......

    Destruction - Dollars - Junk - Profits - Murder - Wasteful - Slavery - Burnable

    Do ti yourself : Trash McDonalds


    sources :