[aaaa & ante]

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 & ante]

 

Affichage par année

254 affiches :

 











    [Tag Y ist Tag der Räumung]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Tag Y ist Tag der Räumung]. — Papenburg : Anatopia (1991-1995), [ & ante]. — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (une  : noir , papier rose ) ; 60 × 42 cm.

    • Affiches par pays  : Allemagne
    • Lieux d’archivages  :
    • Liste des thèmes  : squatt
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  :
    notes :
    descriptif :

    Text

    dessin (3 maisons-poing brisant le logo Mercedez-Benz)

    texte :

    Tag Y ist Tag der Räumung

    für das Hüttendorf

    Anatopia

    Gegen Daimler-Benz-Teststrecke und Konzerne !

    Meldet euch zum Aufbau von Telefonketten !

    Solidarität ist eine Waffe !

    Mehr infos bei : Ⓐnatopia bei Walker - Spillmannsweg 5 - 2990 Papenburg

    Demo in Hannover am Freitag nach der Räumung (Sofern 2 Tage zeit sonst die woche Drauf) 15 Uhr Kröpcke
    Anschliessend Aktionsnachmittag

    Infotelefon Oldenburg : 0441/14402


    sources :
     














    [Braquons l’existant]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Braquons l’existant]. — [S.l.] : [s.n.], [ & ante]. — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (deux  : rouge , noir , texte en défonce , papier blanc ) ; x × y cm.

    • Affiches par pays  : Belgique
    • Lieux d’archivages  : CIRA (Lausanne)  ; Tanneries (Dijon)
    • Liste des thèmes  : illégalisme  ; insurrectionnalisme
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  :
    notes :
    descriptif :
    Symbole(s) utilisé(s) :

    [ texte ; photo (femme et pistolet) ]

    texte :

    Braquons l’existant

    Nous n’attendons plus rien de cette société. Ce qu’elle nous impose nous dégoûte ; ce qu’elle nous offre ne nous intéresse pas. Nous ne voulons plus succomber à la routine du travail pour gagner quelques miettes en échange de notre obéissance ; nous ne voulons plus avoir comme seuls rêves ce que la télévision nous montre.

    Ils nous ont déjà tués des milliers de fois. À l’école, où ils nous ont inculqué que suivre le troupeau est mieux que de créer obstinément son propre chemin. Au travail, où les rythmes de la production et les exigences de l’argent étouffent le battement de nos cœurs qui aspirent à la liberté. À la maison, où les antidépresseurs et la tradition familiale nous noient dans l’habitude de la résignation. En prison ou centre fermé, où la société nous confirme que nous sommes indésirables. À l’église, la mosquée ou la synagogue, où la promesse d’un paradis en échange d’une morale autoritaire fait oublier que c’est que dans le présent que nous vivons. Ce monde aime la mort et refoule la vie.

    Cette société tient tout le monde en laisse ; la seule différence, c’est la longueur. Nous ne sommes pas de ceux qui se battent pour un collier moins serré, un salaire plus élevé, une police moins brutale, des politiciens et des patrons plus soucieux et honnêtes. Nous voulons simplement ce que tout être tenu en laisse devrait avoir à cœur : nous voulons la couper, foutre le feu à la cage, écraser tous ceux qui nous tiennent ou voudraient nous tenir en laisse.

    Ce déchaînement de la passion pour la vie n’est pas un grand moment final à attendre patiemment ; il est quotidien et s’intensifie à mesure qu’il incite et se diffuse. Peut-être est-il parfois confus, ne sachant pas toujours où frapper pour briser les chaînes de l’esclavage et de l’adhésion, mais il est vivant. La révolte, ce cri de vie contre une société de morts, s’exprime des milliers de couleurs d’un arc-en-ciel : des attaques contre les polices qui quadrillent les rues aux atteintes à la sacro-sainte propriété, des sabotages de structures de la domination comme les banques, les intérims, les supermarchés, les institutions en tout genre aux refus clairs et nets de se laisser contrôler, humilier, enrégimenter.

    La révolte ne relève pas du simple dégoût, mais parle aussi de joie. La joie d’affirmer que malgré tout, nous sommes vivants. Que malgré l’aliénation régnante, nos chemins de révolte se croisent encore et que les possibilités de tisser des liens de complicité ne sont jamais entièrement anéanties.

    Dans la fureur de l’action, nous forgeons, petit à petit, nos rêves d’un monde sans maîtres et sans esclaves. L’attaque est nécessaire car elle crée des fissures, mais ce sont les désirs qui sapent l’édifice social.

    Ⓐ Que souffle le vent de la liberté, que se déchaîne la tempête de l’insurrection


    sources :
     



    [Histoires Z]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Histoires Z]. — Fouloir (Saint-Herblain), le (2006-2011) : POL’n (Nantes), [ & ante]. — 1 affiche (sérigr. ), coul. (une  : noir ) ; x × y cm.

    • Affiches par pays  :
    • Lieux d’archivages  : Tanneries (Dijon)
    • Liste des thèmes  : art : musique  ; culture  ; squatt
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  : spectacle, concert, fête…
    notes :
    descriptif :


    [ texte ; dessin (« Alice » punk — bras couvert de sang, l’autre avec tatouage : « À force d’être tordues nos réalités vont finir par se rencontrer » — et lapin paniqué [« White Rabbit » de Lewis Caroll] tendant sa montre ; fond de manifestation violence) ]

    texte :

    Histoires Z

    Ateliers • Concerts • Projections

    à Pol’n (Nantes) et au Fouloirs (St-Herblain)

    « À force d’être tordues nos réalités vont finir par se rencontrer »

    le 13, 14, 15 nov.


    sources :
     


    [Résister, c’est créer]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Résister, c’est créer]. — Paris : No Pasaran (réseau), [ & ante] (ipns). — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (deux  : noir , jaune , papier blanc ) ; 70 × 50 cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  :
    • Liste des thèmes  : militantisme
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  :
    notes :
    descriptif :
    Symbole(s) utilisé(s) :

    [ texte ; photo (jeune homme, t-shirt avec “A cerclé”, avec drapeau au -dessus d’une manifestation contre la guerre en Irak) ]

    texte :

    Contre : le productivisme, le capitalisme, les idéologies et pratiques sécuritaires, la domination patriarcale et sexiste, le nationalisme et le racisme

    Pour : la démocratie directe, l’autogestion, la gratuité des services sociaux, l’égalité, la solidarité entre les peuples, une activité socialement utile

    Résister, c’est créer

    Réseau No Pasaran — Solidaires - Égalitaires - Libertaires
    21ter, rue Voltaire, 75011 Paris — 06 11 29 02 15 — nopasaran@samidat.net

    À ne coller que sur les endroits autorisés, conformément à la loi du 29 décembre 1979.

    imprimé par nos soins


    sources :

    L’affiche existe en plusieurs nuances de seconde couleur (jaune, rouge, au moins).


    [ca  2010]
    Affiche liée













    [Prince Ringard en concert]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Prince Ringard en concert]. — [S.l.] : [s.n.], [ & ante]. — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (deux  : rouge , noir , texte en défonce ) ; 60 × 40 cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  : CIRA (Lausanne)
    • Liste des thèmes  : art : musique
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  : Prince Ringard
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  :
    notes :
    descriptif :


    [ texte ; dessin (face de chat blanc sur le portrait de "Che" Guevara ) ]

    texte :

    Prince Ringard en concert

    Contact : 02 98 93 82 54

    www.princeringard.lautre.net

    Imprimerie Le Fur - Carhaix - 02 98 93 77 94


    sources :
     



    [Attaquons la vidéosurveillance !]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Attaquons la vidéosurveillance !]. — [S.l.] : [s.n.], [ & ante]. — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (deux  : rouge , noir , papier blanc ) ; 60 × 21 cm.

    • Affiches par pays  :
    • Lieux d’archivages  :
    • Liste des thèmes  : contrôle social  ; luttes urbaines  ; révolte
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  :
    notes :
    descriptif :


    [ texte ; dessin (caméra de surveillance sabotée : « Blam Blam Blam ») ]

    texte :

    Des milliers de caméras quadrillent les villes, dans les travaux, dans les rues et les bâtiments.

    Elles sont pensées et installées par l’État, les mairies, les architectes, les promoteurs de la sécurité et du contrôle, les commerces…

    Attaquons la vidéosurveillance !

    Les caméras sont un moyen de surveillance supplémentaire. Elles traquent nos déplacements et captent nos corps dans les moindres détails.

    Ils veulent étendre le contrôle de l’État et du Capitalisme sur nos vies.

    Ils veulent nous empêcher de nous débrouiller, de nous rassembler et de les affronter.

    soyons incontrôlables !


    sources :
     

    [ 2013 & ante]
    Affiche liée



    [De l’ombre des villes… aux lueurs de l’insurrection]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    De l’ombre des villes… aux lueurs de l’insurrection]. — [S.l.] : [s.n.], [ & ante]. — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (deux  : noir , jaune , papier blanc ) ; 62 × 24 cm.

    • Affiches par pays  :
    • Lieux d’archivages  :
    • Liste des thèmes  : révolte
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  :
    notes :
    descriptif :


    [ texte ; dessin (1/2 masque japonais ?) ]

    texte :

    De l’ombre des villes…

    Dans ce meilleur des mondes, quand on ne rentre pas dans le rang, plane très vite la menace d’être enterrés dans des prisons, des camps de rétention ou des hôpitaux psychiatriques...

    Pour s’engraisser sur nos côtes et bien nous tenir en laisse, on nous propose à volonté des crédits à court ou long terme, des drogues légales ou illégales, des écrans petits ou grands, des bouffons de gauche comme de droite.

    Écrasés par les rapports de domination et d’exploitation, le seul horizon possible serait de continuer à crever en silence, et de reproduire la guerre de tous contre tous.

    Beaucoup d’autres chemins s’offrent pourtant à nous. la révolte et la solidarité, le sabotage et l’auto-organisation restent par exemple des armes de choix pour affronter tout ce qui nous opprime.

    Quand les uniformes se font dégager, c’est un peu d’oxygène en plus... quand la production est bloquée, c’est un peu d’exploitation en moins... quand les lieux de réclusion brûlent, c’est un peu de liberté en plus... quand les réfractaires trouvent des complicités, c’est un peu d’isolement en moins...

    Chaque jour, ici et ailleurs, nombre d’individus sont contraints de s’éloigner de leurs liens, des lieux et des personnes qu’ils aiment, pour échapper à la répression ou tout simplement pour tenter de survivre à la misère.

    La condition d’indésirable et de hors-la-loi devenant le lot d’une partie toujours plus importante de la population, se solidariser et se battre n’est pas une question de mots. c’est un enjeu pour la liberté de toutes et tous.

    Cessons de raser les murs, détruisons-les !

    …aux lueurs de l’insurrection


    sources :
     



    [Depuis dix ans Euromed vous fait chantier… avec Marseille2013, capitale européenne de la culture vous allez aussi danser…]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Depuis dix ans Euromed vous fait chantier… avec Marseille2013, capitale européenne de la culture vous allez aussi danser…]. — Marseille : [s.n.], [ & ante]. — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (deux  : noir , orange , papier blanc ) ; 54 × 37 cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  :
    • Liste des thèmes  : culture  ; urbanisme
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  :
    notes :
    descriptif :


    texte en noir

    filigrane orange (gravure de ville en flammes et inondée — avec humains et guitare dans le flux)

    cadre noir

    texte :

    depuis dix ans Euromed vous fait chantier…

    … avec Marseille2013, capitale européenne de la culture vous allez aussi danser…

    Depuis 1995, l’opération Euromed impose aux habitants de Marseille une réorganisation totale du centre-ville, aseptisé et sécurisé. Du sur mesure pour les cadres nouvellement installés à la Joliette et les touristes toujours plus abondants dans la capitale pressentie de la future Union euro-méditerranéenne (vaste entreprise de pompage d’énergie et de main d’œuvre des pays du Sud). Cela se traduit pour une grand nombre d’entre nous par la nécessité de partir se loger dans des zones périphériques, chassés pas l’augmentation des loyers et bien d’autres dispositifs de répression économique, quand il ne s’agit pas de rafles et de déportations pour les sans-papiers. Le but du jeu : canaliser encore mieux la circulation de la marchandise, évidemment.

    La nouvelle carte sortie du chapeau : « marseille2013capitaleeuropéennedelaculture », bond en avant dans la mortification de l’ambiance urbaine.

    Avec « marseille2013 », il s’agit pour les gouvernants et les entrepreneurs non seulement d’étendre, vers la Belle-de-mai et Arenc, cette refonte de l’espace, mais aussi de créer un décor scintillant pour faire passer la pilule de la destruction des cultures de résistances et de solidarités (lutter, c’est vivre) : l’alibi culturel n’est qu’un masque jovial, nous divertissant du contrôle et de la collaboration toute citoyenne. Mais l’idée qu’ici le capital n’avance plus à un coup de canon mais précédé d’une milice dansante, bruissante, bigarrée, d’artistes en costumes et de branchés, ne nous est pas encore familière. Pourtant, les artistes (même les « scandaleux » ou les « rebelles ») ont trop souvent été l’avant-garde dévoyée à la pacification des quartiers les plus agités : il suffit de voir comment le Panier, envahi par les ateliers d’artistes et les boutiques d’artisanat subventionnés par la mairie, a été ravalé en « quartier typique et authentique ». Et cela nous rappelle la fonction des acteurs socioculturels, des salles de sport et de concert, après les grandes émeutes du début des années 1980. Avec leurs « armes culturelles de dialogue et de collaboration », ce projet est clairement une bataille de plus dans la guerre sociale en cours, à Marseille comme ailleurs.

    Alors face à cette nouvelle machine de guerre, dont le redéploiement des forces d’occupation du territoire est l’aspect le plus visible, il ne s’agit pas de ne pas collaborer ou d’en profiter pour grappiller quelques subventions, mais bien de passer dans les rangs ennemis, d’imaginer, organiser et diffuser tous les gestes mutins d’une résistance offensive.

    urbanistes, flics, artistes nous construisent ce monde de merde

    détruisons ce qui nous détruit


    sources :

    https://fr.wikipedia.org/wiki/Eurom%C3%A9diterran%C3%A9e
    https://fr.wikipedia.org/wiki/Marseille-Provence_2013





    [L’État nous observe, crevons lui les yeux !]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    L’État nous observe, crevons lui les yeux !]. — [S.l.] : [s.n.], [ & ante]. — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (deux  : rouge , noir , papier blanc ) ; 63 × 21 cm.

    • Affiches par pays  :
    • Lieux d’archivages  :
    • Liste des thèmes  : contrôle social  ; luttes urbaines  ; révolte
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  :
    notes :
    descriptif :


    [ texte ; dessin (personnes abattant un pylône de caméras (à la hache !) sur fond de ville à gratte-ciels) ]

    texte :

    L’État nous observe, crevons lui les yeux !

    Des milliers de caméras quadrillent les villes

    Ajoutées à un urbanisme du contrôle, aux uniformes en tout genre, au fichage de la population, aux cartes à puce et aux portables, les caméras en disent long sur le monde dans lequel on vit : une prison à ciel ouvert.

    L’État et les patrons voudraient nous faire croire que c’est pour « notre » sécurité qu’ils renforcent le contrôle, mais c’est « eux » et « leur » système qu’ils veulent protéger…

    Ils voudraient nous obliger à filer droit, et pire, qu’on n’ait plus la possibilité de les affronter :

    soyons incontrôlables !


    sources :
     

    [ 2013 & ante]

    [s.d.]
    Affiches liées