Belgique
Voir aussi : Belgique (1 affiche) – Géographie, géopolitique et HistoireVoir aussi : Belgique : histoire (1 affiche) – Géographie, géopolitique et Histoire
501 affiches :
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
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[ texte (en défonce sur fond rouge brique) ; photo (ruines) ]
- texte :
À Gaza comme ailleurs…
De Gaza en Palestine à Nasiriya en Iraq, du Kivu au Congo à Grozny en Tchétchénie, les massacres de milliers d’êtres humains sont quotidiens. Sous les différentes formes qu’il prend aux quatre coins du monde, ce système capitaliste et autoritaire dévaste des zones entières par la famine, la privation, la pollution, la guerre. Qu’ils servent à fixer la main d’œuvre ou à la déporter, les camps sont désormais la condition de millions de personnes : camps de réfugiés, zones franches, centres de déportation, bidonvilles...
Comme à Gaza, ce camp bombardé et encerclé par l’armée israélienne ; dominé par les autorités religieuses, nationalistes ; soumis à la misère et au désespoir. Opposer une logique de guerre contre tout un « peuple » à la terreur de l’État israélien ne sert qu’à faire oublier aux rejetés de Gaza comme aux exploités de Tel Aviv qu’il ne leur reste qu’une possibilité pour s’en sortir : se battre contre toute autorité, que ce soit celle de l’uniforme du soldat israélien ou du policier palestinien, de la camisole religieuse — ce vieil ennemi de la liberté —, du costume des capitalistes démocratiques et des usuriers qui, dans les camps comme ailleurs, spéculent sur la misère.
Comme en Tchétchénie, où dans les décombres suite aux bombardements de l’armée russe vient s’ajouter à la terreur de l’État russe un régime de seigneurs de guerre.
Comme au Congo, où des affamés travaillent dans les mines de métaux précieux aux avancées technologiques du capital et crèvent dans des conditions d’esclavage. Ces mêmes mineurs et leurs familles sont massacrés à coups de fusils et de machettes par des armées (officielles ou non) qui s’y battent pour garantir les profits de leurs maîtres. Tandis que les banques belges financent les deux partis rivaux pour faire baisser les coûts de production.
Avec une autre intensité, mais suivant la même logique, en Europe, des milliers d’indésirables sont raflés, incarcérés et déportés selon les besoins de l’économie et du contrôle social. Des milliers de personnes trouvent la mort sur leur lieu de travail ou des suites de l’exploitation (cancers, dépressions, etc.). Dans les quartiers où les conditions sont de plus en plus dures, il n’y a pas que la police qui tabasse et assassine, mais aussi le développement toujours plus accentué de la guerre entre pauvres. La logique de la concurrence règne passant par différents rackets religieux, nationalistes ou mafieux : s’arnaquer, se vendre de la came, s’allier au premier chef de bande venu pour mieux survivre dans la jungle du capital où viols et autres brutalités font partie intégrante de la misère qui rend ce monde insupportable.
Dans ce monde, il est dans l’intérêt des puissants et des exploiteurs que la guerre civile éclate partout… Cette guerre entre pauvres leur va très bien, parce qu’elle fait oublier qu’une autre guerre est possible : celle contre ce monde de fric et d’autorité et celle pour la liberté de chacun.
Il est urgent d’opposer à la guerre entre États, entre religions, entre ethnies, la guerre sociale contre toute exploitation et toute domination.
Désertons les guerres des États et des puissants, refusons la guerre entre pauvres !
Armons-nous contre les manipulations nationalistes, démocratiques et religieuses !
Attaquons ici et maintenant tout ce qui nous rend esclaves !
Des anarchistes
Affiche diffusée sur http://www.non-fides.fr/?A-Gaza-comme-ailleurs : « Affiche trouvée sur les murs de plusieurs villes en Belgique, janvier 2009 » (12 janvier 2009).
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
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[ texte ; photo (femme allongée sur le dos, fumant une cigarette) n&b ]
- texte :
Trois années de mutineries dans les prisons
À propos de la destruction du quartier d’isolement à la prison de Bruges
La prison n’est rien d’autre que le reflet de la société dans laquelle on vit. La société elle-même est une vaste prison où la plupart des gens sont enfermés dans la nécessité de trouver de l’argent, dans l’absence de perspectives de vie, dans des rôles de servitude et de soumission que les valeurs dominantes leur ont donnés. Tout comme dans la rue, il y a dans les prisons, les asiles psychiatriques et les centres fermés, des personnes qui ne se résignent pas et qui ne perdent pas un certain goût pour la liberté et pour une vie meilleure simplement parce qu’un juge l’a ordonné. Des personnes qui, quotidiennement, refusent l’humiliation d’obéir aux matons et aux chefs. Des personnes dans les cerveaux desquelles les murs et les barbelés de la prison ne sont pas encore imprimés et qui, bien au contraire, les considèrent plutôt comme des obstacles à franchir. Car la punition que la société, à travers ses juges et sa justice, leur a offerte, n’est que la conséquence d’un monde basé sur l’exploitation et l’oppression.
Alors, depuis trois ans déjà, une petite tempête de révolte a laissé des traces dans des dizaines de prisons et de centres fermés en Belgique. En se mutinant, en boutant le feu à l’infrastructure carcérale, en attaquant les gardiens, en s’évadant, certains prisonniers ont retrouvé ce que le système a voulu leur enlever définitivement : le courage, un désir de liberté et une audace qui rêve de balayer toute la merde que cette société produit.
Comme réponse, l’État a entre autre ouvert deux modules d’isolement à Lantin et à Bruges, de véritables prisons dans les prisons, pour mieux isoler et briser les « réfractaires ». Mais même dans ces cages, certains n’ont pas perdu le goût du combat. Le 2 avril 2009, des prisonniers à Bruges ont inondé les cellules de ce module et l’ont détruit presque entièrement. À l’heure où le gouvernement a annoncé ses plans de construction de sept nouvelles prisons, ils se retrouvent contraints de fermer le module d’isolement de Bruges. La machine carcérale n’est donc pas si bien rodée qu’elle parait.
Force et courage et pour rous ceux qui se battent pour le liberté, dehors comme dedans !
Attaquons, nous aussi, tout ce qui nous enferme, exploite et opprime !
Affiche diffusée sur http://www.non-fides.fr/?Affiche-a-propos-de-la-destruction (29 avril 2009).
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[ texte (2 couleurs) bilingue ; fond (papier et/ou carte de couleur parfois dessiné) ]
- texte :
23-29 juin / 23-29 June
discussions / actions
rencontres / meetings
manifs / demogrande manif / big demo
Calais, camp No border / Calais No border camp
Liberté de circulation pour tous et toutes, fin des frontières et des contrôles migratoires
Freedom of movement for all end to borders and all migration controls
http://calaisnoborder.eu.org / contact@calaisnoborder.eu.org
L’affiche est sérigraphiée sur plusieurs qualités et couleurs de carte.
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
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[ texte (long) ; dessin (personnage masqué de BD, bras croisés) ]
- texte :
En lutte contre les élites
Depuis qu’ils nous ont annoncé leur crise, le capital, les patrons et toutes les machines à se faire du fric sur le dos des autres sont passés à une offensive encore plus sauvage, dévoilant sans trop de complexe leurs vrais visages.
Licenciement à gogo, chômage technique, travail le week-end, délocalisation… Voilà le quotidien de milliers de personnes utilisées comme de vulgaires pièces interchangeables qui devraient faire fonctionner la machine à fric sans jamais en voir le moindre sous.
On nous dit de nous serrer la ceinture, d’être responsables et que cela va passer, alors qu’au même moment la plupart des chiffres d’affaires des entreprises continuent à être conséquents. Ce genre de mépris ne peut rester sans réponse.
Loin de la résignation, des formes de lutte à la hauteur de l’exploitation et de l’affront subi réapparaissent : séquestration de patrons, occupation du lieu de travail, blocage, sabotage… Autant de moyen jugés adéquats par les personnes qui les mettent en place ; sans trop se préoccuper de la notion de légalité, mais parce que dans ce corps à corps qui les oppose à leurs patrons, c’est ce qui leur a semblé utile et nécessaire.
Évidemment, la justice — fidèle aux logiques de ce système — viendra vite sanctionner les personnes qui s’organisent, sonnant ainsi le rappel à l’ordre. Tout comme — à travers ses prisons, ses centres fermés pour étrangers et sa Constitution — elle rappelle à l’ordre chaque personne qui ne suit pas les règles du jeu imposées par le capitalisme. Mais cet ordre c’est celui de vies de restrictions au profit de quelques exploiteurs alors, franchement, cet ordre-là ils peuvent bien se le garder.
La pression sur les personnes qui se mettent en lutte est de plus en plus pesante. Les astreintes sont en passe de devenir monnaie courante pour toutes formes d’actions sortant de la fameuse “table des négociations”. La marge de manœuvre se restreint de plus en plus, dans l’idée d’affaiblir rapport de force qui se constitue.
En renvoyant chacun au “dialogue démocratique”, aux libertés individuelles ou en jouant des pressions financières, ils voudraient nous laisser manifester notre mécontentement tout en s’assurant que notre voix soit inoffensive.
Il est important de montrer notre solidarité avec les personnes qui tombent sous les différentes sanctions judiciaires. Non pas parce que ces sanctions porteraient atteintes aux quelques “droits” que le pouvoir à bien voulu nous laisser, mais pour que la lutte puisse continuer et s’étendre à toutes les sphères de nos vies.
Parce que l’État, le patronat et le capital veulent nous priver de nos vies, osons lutter sans entraves et de manière autonome.
Nous n’aurons que ce que nous prendrons
Affiche annoncée dans Tout doit partir nº 5 (juil. 2009) : « Affiche collée dans Bruxelles. »
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- notes :
- descriptif :
[ texte ; dessin (homme, mains dans les poches, tapant du pied dans une cannette) ]
- texte :
Et toi ! T’as pris parti ?
Pour qui tu préfères te sacrifier ? Pour l’État colonial d’Israël ou pour les autorités religieuses et nationalistes de Palestine ?
Sous quel drapeau meurtrier tu préfères tuer ou être tué ? Quelle idéologie va te recruter pour anéantir tous ceux qui n’appartiennent pas à ton camp ? Dans les deux cas tu devras obéir aux autorités de l’un ou l’autre. Tu devras t’allier avec ton pire ennemi : ton patron, le flic, le général, l’autorité religieuse...
Sous prétexte que les inégalités sociales auraient disparu. La Nation, le Peuple avant tout !
Il n’y a pas de place pour la liberté dans ce genre de choix. En Israël, l’armée réprime les actions anti-guerre, enferme ceux qui refusent de faire le service militaire ; à Gaza, le Hamas recrute tous ceux qui se révoltent contre les chars israéliens et élimine ceux qui le contestent.
Dans les deux cas cette guerre profite aux chefs !
Et ici ? Pareil. Les chefs religieux et politiques profitent de la rage et de la révolte pour asseoir leur pouvoir, d’autant plus quand la misère s’accentue et que chacun cherche une cible à sa rage.
Mais justement, il s’agit de ne pas se tromper de cible. Peu importe notre origine, notre but c’est la liberté de chacune et chacun, c’est d’en finir une fois pour toute avec les profiteurs, en finir avec les autorités de tous bords qui voudraient nous recruter, nous soumettre et nous réprimer quand on ne les sert plus ou qu’on s’avise de les contester.
Guerre à la guerre !
Contre les chefs, liberté de chacune et chacun !
Affiche diffusée sur http://www.non-fides.fr/?Et-toi-T-as-pris-parti : « Affiche trouvée sur les murs de Bruxelles en période de manifs pro-palestiniennes » (18 septembre 2009). Extrait de Tout Doit Partir nº 4.
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- notes :
- descriptif :
- Symbole(s) utilisé(s) : A cerclé (A encerclé) Ⓐ — étoile (noire …) ★ — squelette humain / crâne — tête de mort ☠ /B_tout>
[ texte ; dessins (« A cerclé » lisant un livre dans une étoile noire ; femme démolissant un mur ; livres ; deux squelettes en discussion) ]
- texte :
Zaterdag 5 december
14u tot 18u : receptie & boekverkoop & anarchistische films
Open deur dag Infotheek
Avond :
Benefietcafé in ’t Zwarte Gat met optreden van Platzak (folk uit Tilburg, 21u)Hapjes en broodjes
Infotheek, Annonciadenstraat 16 ; 9000 Gent
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
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[ texte ; visuel absent ]
- texte :
Vacances à vie !
On est une fois de plus le premier septembre. Pour beaucoup, c’est le début d’une année éreintante et chiante derrière les bancs d’écoles. La joie d’une libération temporaire, le temps des vacances, s’achève à nouveau, et réapparaît le jeu de l’obéissance et de la punition.
Mais on nous rabâche trop souvent les côtés « positifs » des institutions scolaires. La dite scolarité est décrite comme un privilège (alors qu’en fait, il s’agit d’un enseignement obligatoire), qui se soucierait de l’avenir des jeunes. Mais dans le monde réel, les écoles sont les lieux où l’on nous prépare à marcher comme des esclaves salariés au rythme de cette société capitaliste. On nous y apprend à accepter les ordres, à obéir ; on y est disciplinés et habitués au rythme « de 9 à 5 » dans lequel nous devons perdre notre vie. L’épanouissement personnel est soumis aux besoins du marché du travail. Aucun choix n’est laissé pour que nous puissions apprendre ce que, nous, nous trouvons important et intéressant, mais par contre on nous apprend à nous prostituer dans un bureau d’intérim ou pour des patrons. Derrière les bancs de l’école, pendant 15 ans, on nous forme à devenir les marionnettes dont ont besoin les patrons pour maintenir leurs usines, leurs firmes, leurs entreprises. Et donc à garantir l’existence de ce système capitaliste.
On encourage la compétition entre les élèves et le contrôle social est récompensé. De sorte que les élèves se dénoncent entre eux et oublient que le véritable ennemi siège face à la classe.
Les écoles sont les lieux où la rébellion est punie ou étiquetée comme une caractéristique de la puberté, niant ainsi que la rébellion est une conséquence de l’instinct humain de liberté. Un instinct qu’on s’efforce aussi vite que possible de contenir. Nous avons la permission d’émettre des critiques limitées sur la société mais pas d’en remettre l’existence en question. Les écoles sont les lieux par excellence où apprendre à être critique sans trop faire trembler les fondements.
Les fondements d’une société qui use, ou mieux abuse, de ses institutions scolaires pour nous enfoncer dans le crâne ses valeurs et ses normes comme elle nous offrirait des pains sucrés ; pour construire des prisons mentales dans nos têtes et tout cela pour nous faire suivre le droit chemin. C’est une société qui réprime la différence, enferme et déporte des gens parce qu’ils n’ont pas les bons papiers, exclut les plus faibles socialement et économiquement ou les étouffe dans ses filets soi-disant sociaux mais qui veut surtout déterminer les limites dans lesquelles nos vies peuvent pourrir. Et, comme si ce n’était pas encore suffisant, elle nous harcèle avec le contrôle (comme les caméras à chaque coin de rue et des flics) et, pour les gens qui osent encore en attaquer les bases, il y a toujours les camps de punitions comme les institutions pour jeunes, les centres fermés et les autres prisons. À l’école, on nous apprend à nous contenter de ce genre de vie, une vie pleine de rêves et de désirs diminués. Une vie où les rêves consistent à faire carrière, à consommer à en crever et à finir au fond de l’oubliette.
Il est important de ne pas se résigner pour montrer que nous ne laissons pas paralyser nos rêves et nos désirs, que nous avons décidé pour nous-mêmes de ne plus nous laisser faire la leçon ! Il est important de montrer que nous sommes bien plus qu’un rouage du processus de production de masse.
Pense par toi-même, apprends par toi-même, fous le boxon dans ta classe !!
Texte d’affiche diffusé sur http://www.non-fides.fr/?Vacances-a-vie : « Texte d’une affiche trouvée sur les murs de Gand [en langue française ou néerlandaise ?] » (25 décembre 2009).
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
[ texte (typo) ; dessin n/b (divers personnages monstrueux lisant — dont « Politcs for kids » — ou poussant des livres géants ; un A cerclé discret dans l’image) ]
- texte :
9de internationale alternative boekenbeurs
Gent
gratis inkom
Zaterdag 17 april 2010 — 10-20u
’De Centrale’ — Kraankindersstrat 2, 9000 Gent
Boekenbeurs — Libertair cultuurfestival
lezingen — tentoonstelling — performances
stands uit België, Nederland, Frankrijk, Engeland & Duitsland
vanaf 21u : La Femme Belge (swing, BE), Rotterdam Ska-Jazz Foundation (ska-jazz, NL) & DJ Government’s Kryptonite (5 €)
Informatie : www.aboekenbeurs.be • aboekenbeurs@yahoo.com
Organisatie : Ilia vzw i.s.m. Ak-Univ & Infomania
v.u. : Isabelle Berkman, Sint-Pietersnieuwstraat 45, 9000 Gent
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
[ texte (typo) ; dessin n/b (divers personnages monstrueux lisant — dont « Politcs for kids » — ou poussant des livres géants ; un A cerclé discret dans l’image) ]
- texte :
9ième foire internationale du livre alternatif & libertaire
Gand
Entrée libre
[ ill. Joris ]
Samedi 17 avril 2010 — 10-20 h
’De Centrale’ — Kraankindersstraat 2, 9000 Gent
Foire du livre — Festival des arts
conférences — exposition — performances
stands de Belgique, France, Pays-Bas, Angleterre & Allemagne
Informations : www.aboekenbeurs.be • aboekenbeurs@yahoo.com
Organisation : Ilia vzw en collaboration avec AK-Univ & Infomania
dès 21 h : La Femme Belge (swing, BE), Rotterdam Ska-Jazz Foundation (ska-jazz, NL) & DJ Government’s Kryptonite (5 €)
v.u. : Isabelle Berkman, Sint-Pietersnieuwstraat 45, 9000 Gent
Repéré sur : http://www.anarchy.be.
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- notes :
- descriptif :
tekst
fond gris
photo (avec coupe-boulons/pince monseigneur, barbelés et main avec « doigt d’honneur » par dessus un mur)
5 photos couleurs d’actions et manifestation- texte :
Against deportation centres
Against all prisons
Against borders
Against the State
1 October 2010
Demonstration
4pm - Gare du Midi (South Station) — Brussels Belgium
In Steenokkerzeel, at the end of the airstrip of the airport of Zaventem, the State is buiding a new closed centre (a prison for people without official papers). Constructed like a normal prison (with individual cels and advanced control mechanisms), it is made to imprison the most insubordinate and to serve as a means of pression to suppress the revolts in the other closed centres.
We want neither this new center, nor any prison.during the No Border Camp 25 September - 3 October
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
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[ texte ; image (silhouette d’homme avançant contre le vent, parapluie retourné) ]
- texte :
Avis de tempête contre les centre fermés, contre toute prison
Il arrive qu’une bourrasque réchauffe l’atmosphère glacée de la résignation quotidienne. Depuis des années, en Belgique comme ailleurs, le temps est à l’orage dans les prisons et les centres fermés pour migrants : mutineries, évasions, incendies…
De l’autre côté des murs, des luttes cherchent à se frayer des chemins dans la rue, des grains de sable tentent d’enrayer les rouages de la machine à expulser.
En mai dernier, des détenus du centre fermé 127bis mettent une nouvelle fois le feu à leurs cellules.Pour garder la température en dessous de zéro, l’État fait construire un nouveau centre fermé spécialement conçu pour les détenus trop chauds. Il viendra s’ajouter aux 6 centres déjà en fonctionnement en Belgique.
Dans le même temps, 10 nouvelles prisons sont en projet de construction, la présence policière augmente dans les rues, les dispositifs de prévention et de contrôle sont perfectionnés pour éviter tout pic de chaleur à l’intérieur comme à l’extérieur des murs.Nous, nous préférons la chaleur d’une révolte à celle d’une couette où nous cacher à jamais pour oublier la froideur du monde.
Nous nous reconnaissons dans l’embrasement d’un quartier quand la police assassine ; dans une grève des écoliers qui refusent d’être formatés ; dans un « Soyons ingouvernables » tagué sur un mur ; dans l’attaque d’un portillon de la STIB ; dans une auto-réduction d’un supermarché où le contenu des caisses est brûlé ; dans le sabotage d’un chantier d’une entreprise qui construit le nouveau centre fermé…
Autant d’actes issus d’histoires, de contextes différents qui peuvent prendre des formes diverses mais qui partagent des désirs en contradiction totale avec ce monde glacé.
Ce sont des coups de vent chauds qui dégagent l’espace pour reparler d’un vieux désir : la liberté. La liberté partagée, celle qui se construit en refusant d’écraser l’autre.
Pour qu’ici, là-bas ces actes de révolte se multiplient et se diffusent,
Pour qu’ici, là-bas, on reprenne l’espace d’expérimenter et de reprendre goût à cette liberté.Que souffle le vent de la révolte !
Paru vers le mois d’août 2010. Même papier que Un camp No Border à Calais (2009).
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
[ texte ; photo (femme et pistolet) ]
- texte :
Braquons l’existant
Nous n’attendons plus rien de cette société. Ce qu’elle nous impose nous dégoûte ; ce qu’elle nous offre ne nous intéresse pas. Nous ne voulons plus succomber à la routine du travail pour gagner quelques miettes en échange de notre obéissance ; nous ne voulons plus avoir comme seuls rêves ce que la télévision nous montre.
Ils nous ont déjà tués des milliers de fois. À l’école, où ils nous ont inculqué que suivre le troupeau est mieux que de créer obstinément son propre chemin. Au travail, où les rythmes de la production et les exigences de l’argent étouffent le battement de nos cœurs qui aspirent à la liberté. À la maison, où les antidépresseurs et la tradition familiale nous noient dans l’habitude de la résignation. En prison ou centre fermé, où la société nous confirme que nous sommes indésirables. À l’église, la mosquée ou la synagogue, où la promesse d’un paradis en échange d’une morale autoritaire fait oublier que c’est que dans le présent que nous vivons. Ce monde aime la mort et refoule la vie.
Cette société tient tout le monde en laisse ; la seule différence, c’est la longueur. Nous ne sommes pas de ceux qui se battent pour un collier moins serré, un salaire plus élevé, une police moins brutale, des politiciens et des patrons plus soucieux et honnêtes. Nous voulons simplement ce que tout être tenu en laisse devrait avoir à cœur : nous voulons la couper, foutre le feu à la cage, écraser tous ceux qui nous tiennent ou voudraient nous tenir en laisse.
Ce déchaînement de la passion pour la vie n’est pas un grand moment final à attendre patiemment ; il est quotidien et s’intensifie à mesure qu’il incite et se diffuse. Peut-être est-il parfois confus, ne sachant pas toujours où frapper pour briser les chaînes de l’esclavage et de l’adhésion, mais il est vivant. La révolte, ce cri de vie contre une société de morts, s’exprime des milliers de couleurs d’un arc-en-ciel : des attaques contre les polices qui quadrillent les rues aux atteintes à la sacro-sainte propriété, des sabotages de structures de la domination comme les banques, les intérims, les supermarchés, les institutions en tout genre aux refus clairs et nets de se laisser contrôler, humilier, enrégimenter.
La révolte ne relève pas du simple dégoût, mais parle aussi de joie. La joie d’affirmer que malgré tout, nous sommes vivants. Que malgré l’aliénation régnante, nos chemins de révolte se croisent encore et que les possibilités de tisser des liens de complicité ne sont jamais entièrement anéanties.
Dans la fureur de l’action, nous forgeons, petit à petit, nos rêves d’un monde sans maîtres et sans esclaves. L’attaque est nécessaire car elle crée des fissures, mais ce sont les désirs qui sapent l’édifice social.
Ⓐ Que souffle le vent de la liberté, que se déchaîne la tempête de l’insurrection
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
[ texte sur fond gris (avec coupe-boulons/pince monseigneur, barbelés et main avec « doigt d’honneur » par dessus un mur) ; 5 photos couleurs d’actions et manifestation ]
- texte :
Contre les centres fermés, contre toutes les prisons
Contre les frontières, contre l’État
1 octobre 2010, manifestation
19 h, gare du Midi, Bruxelles, Belgique
À Steenokkerzeel, en bout de piste de l’aéroport de Zaventem, l’État fait construire un nouveau centre fermé (prison pour sans-papiers). Bâti selon le modèle carcéral (avec cellules individuelles et moyens de contrôle avancés), il a pour but d’enfermer les plus récalcitrants et de se servir de moyen de pression afin de mater les révoltes dans les autres centres fermés.
Nous ne voulons pas de ce nouveau centre, ni d’aucune prison.
pendant le No Border Camp 25 septembre - 3 octobre
Paru vers aout 2010.
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
[ texte ; dessins (dont détournement d’un dessin de Quick et Flucke - Kwik en Flupke - d’Hergé) ]
- texte :
Vrijdag 25 juni ’10
Infotheekbenefiet
met René Binamé25/6/10 René Binamé @Barbaar
René Binamé
chansonnette anarcopunk wallonne
Support acts : (20u tot 21u30)
Life is Damage (punk, Luik)
Suit Side vs. Veda Plight (chaos punk met drumcomputer, Luik/Dinant)
René Binamé (22u)
& afterparty met DJ’s (Mr. Anoniem, Houtsnip & Swinging Mispel.)
Den Barbaar, Kortrijksepoortstraat 215, Gent
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
[ texte ; dessins (dont détournement d’un dessin de Quick et Flucke - Kwik en Flupke - d’Hergé) ]
- texte :
Infotheek benefietfeest
Vrijdag 25 juni
René Binamé
& support act (21u)
& DJ’s
René Binamé
chansonnette anarcopunk wallonne
In den Barbaar
Kortrijksepoortstraat Gent
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
- /B_tout>
[ texte ; photo (portrait d’homme avec chapeau) ]
- texte :
Le travail
Le travail est avant tout un compromis que nous acceptons pour pouvoir survivre financièrement. Parce que nous n’avons jamais choisi le fonctionnement de ce monde, et parce que nous avons été élevés avec le message qu’il nous fallait ou marcher ou crever.
Le travail nous vole notre temps et notre énergie ! Il essaye de déterminer une partie hallucinante de nos occupations et sollicite en permanence nos corps et nos esprits.
Le travail tend de plus en plus à se confondre avec notre identité. Lorsqu’on nous demande qui nous sommes, on veut en fait savoir ce qu’est notre boulot. Parce qu’en dehors du travail, il ne reste plus grand chose.
Notre statut social est aussi jaugé à la hauteur de notre travail. La société nous fait bien sentir que nous ne valons rien tant que nous ne travaillons pas, et que nous ferions mieux de rentrer dans le rang au plus vite, comme tout le monde.Le travail s’efforce continuellement à semer la confusion en nous faisant croire que les intérêts des patrons sont aussi nos propres intérêts ; que nous faisons partie prenante de l’entreprise, que nous devons nous réjouir quand les affaires vont bien (et que l’entreprise fait beaucoup de bénéfices), et que nous devons fournir des efforts supplémentaires quand ça va moins bien.
Le travail nous considérera pourtant toujours comme de la matière jetable. Lorsque les chiffres le demandent on nous jette à la poubelle et nous pouvons alors à nouveau mettre notre dignité de côté pour nous vendre à quelqu’un d’autre.
Le travail est cette chose pour laquelle nous restons à transpirer dans les salles d’attente d’Actiris ou dans les salles d’auditions de l’ONEM. Comme une armée de réserve, nous devons toujours nous montrer prêts à aller au casse-pipe de l’offre et de la demande. Et si nous ne le faisons pas, la menace financière revient vers nous au galop.
Le travail est cette chose sur laquelle les travailleurs crachent quand ils sabotent les machines pour pouvoir rester un jour à la maison.
Le travail est ce que les chômeurs essayent d’éviter par tous les moyens imaginables, que ce soit à l’aide de fausses sollicitations ou d’ingénieux mensonges.
Le travail est cette chose que les braqueurs rejettent quand ils vont chercher l’argent là où il est. Chez les banquiers ou les bijoutiers, chez ceux qui s’enrichissent sur le dos des autres.
Le travail est ce à quoi ils essayent, encore et encore, de nous contraindre. En tant que soldats à la rescousse de la sainte économie et de son déclin. Une économie de produits et services qui ne nous intéresse peut-être pas, mais qui nous fait quand même un odieux chantage et qui essaye de nous faire plier tous autant que nous sommes.
Refusons ce chantage. Fraudons, volons et sabotons ! Foutons en l’air l’économie et changeons le monde… Pour qu’à travers notre résistance nous puissions redécouvrir ce que respirer librement veut dire.
Affiche diffusée sur http://www.non-fides.fr/?Affiche-de-Belgique-contre-le (23 avril 2010).
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
[ texte ; dessin (mégaphone) ]
- texte :
27 fév. 2010 - 14 h
centre fermé de Bruges
Manifestation bruyante, non aux centres fermés
Chaque année des centaines de personnes sont enfermés dans les centres de détention comme l“e Refuge” à Bruges, uniquement pour avoir choisi un futur meilleur en Belgique. Pour leur montrer notre soutien et notre solidarité on fera le plus de bruit possible. noiseagainstborders@vluchteling.be
Ni frontières - Ni nations
Liberté de circulation !
Rendez-vous à l’arrière de la gare de Bruges, 13 h 45
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
- Symbole(s) utilisé(s) : barbelés — slogan : Personne n’est illégal / Auncun être humain n’est illégal /B_tout>
[ texte ; dessin (Deux bras se touchant. Sur celui de gauche personnage avec baluchon tenant la main d’une fillette. Sur celui de droite femme à capuche tenant une tenaille. En bas : barrière surmontée d’une caméra de vidéosurveillance protégée par deux flics et un hélicoptère. Ils éclairent et crient sur un chat à ressort) par Titom ]
- texte :
Manifestation
sa. 2 octobre - 13 h
no border
Parc Maximilien - chaussée d’Anvers 59
derrière l’Office des étrangers - BruxellesLiberté de circulation et d’installation pour tous !
Personne n’est illégal !
Soutien aux sans-papiers
contre les systèmes capitalistes et autoritaires qui entrainent exil forcé, guerres et misères !
www.noborderbxl.eu.orgTitom
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
[ texte ; dessin de Titom (voyageur à baluchon avec pinces, devant des barbelés dont deux fils représente le sillage d’avions ; texte et dessin en dégradé ; logo (cadenas avec étoiles de l’Union européenne) ]
- texte :
No Border camp in Brussels
Seven days of action, information, movies, debates, … on migration & migration policy
sept. 25>>Oktober 3 2010
Bank account : 880-4955551-62 — nobordercamp@vluchteling.be — www.noborderbxl.eu.org
[logo]
Titom
Imprimée au verso d’une affiche pour une exposition Rodin. Le dessin a été décliné en plusieurs affiches. Il existe notamment des versions en format A4 catalane, anglaise, etc. (française, allemande, italiene, espagnole, néerlandaise).
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
- /B_tout>
texte
dessin (oiseau blanc)
- texte :
Non au nouveau centre fermé
Ni à Steenokkerzeel, ni ailleurs !
La construction d’un nouveau centre fermé a commencé à Steenokkerzeel. Il viendra s’ajouter aux quatre centres fermés déjà existants, à la quarantaine de prisons et aux nombreux centres ouverts gérés par Fedasil et la Croix-Rouge. L’État belge complète ainsi son infrastructure, cherchant du même coup à raffiner le fonctionnement de la machine à expulser.
Sous couvert d’humanité, une immigration de plus en plus choisie est en voie de légalisation, laissant au reste des indésirables le circuit du travail au noir, tout aussi nécessaire au bon fonctionnement de l’économie. Avec ou sans papiers on se fera exploiter par un patron ’belge’ ou ’immigré’, tandis que les divers nationalismes et religions feront tout pour nous séparer, garantissant ainsi l’avenir radieux de ce monde de merde.
Pourtant, si l’on voit les révoltes qui éclatent depuis des années aussi bien dans les centres fermés que dans les prisons, dans la rue et les aéroports, force est de constater que la machine n’est pas si bien huilée que ça. Face à l’enfermement et à des conditions de vie qui s’apparentent souvent cruellement à celles qu’ils ont fui, de plus en plus d’indésirables prennent le chemin de la révolte.
Ainsi se sont succédées mutineries, évasions, attaques contre la police suite à des contrôles, représailles contre divers collaborateurs : ISS-Cleaning, la STIB ou encore la Banque de la Poste. Qui ne se souvient pas par exemple du beau feu de joie de l’été passé ? Le 127bis était presque entièrement parti en fumée. Et c’est justement là, à Steenokkerzeel, que l’État a choisi de construire son nouveau centre fermé spécialement conçu pour les récalcitrants.
L’Etat entretient un silence pesant autour de la construction de ce nouveau camp de concentration. Et pourtant les constructeurs de cette infamie - Besix, Valens, Michiels H. NV., etc. - y mettent les bouchées doubles. Alors n’attendons pas qu’il soit trop tard.
Sabotons la machine à expulser !
Détruisons toutes les frontières !
disponible en néerlandais
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
[ texte ; dessin (chat sur une pile de livres ; étoile noire, « A cerclé », chat noir hérissé) ]
- texte :
Opendeurdag Infotheek
Zaterdag 18/12/2010
Vanaf 14u.
In en boven café ’t Zwarte Gat — Annonciadenstraat 16 - Gent
Koffie - Hapjes - receptie
broodjes - anargenda’s…
Vanaf 20u.
Optreden & benefietcafé
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
- /B_tout>
tekst
tekening (staande man, ska look) Laweit
geblokte achtergrond
- texte :
Donderdag 8 april
19u : Volkskeuken
20u30 : Live bands
Spanner Ska/reggae/punk, UK.
PepperSeed Ska/reggae, be.
23u : heavyweight-afterparty
reggae/rocksteady/ska DJ’s TBC.Den BarBaar
Kortrijksepoortstraat 217 — Tram 1, halte veergrepSkanking against facism !
Donderdag 8 april 2004 of 2010 ?
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
[ texte sur fond gris (avec coupe-boulons/pince-monseigneur, barbelés et main avec « doigt d’honneur » par dessus un mur) ; 5 photos couleurs d’actions et manifestation ]
- texte :
Tegen de gesloten centra, tegen alle gevangenissen
Tegen alle grenzen, tegen de Staat
1 oktober 2010, betoging
19u, Zuidstation, Brussel, België
In Steenokkerzeel, pal naast de luchthaven, bouwt de Staat een nieuw gesloten centrum, een gevangenis voor mensen zonder papieren. Dit nieuwe centrum wordt gebouwd naar het klassieke model van een gevangenis met individuele cellen en geavanceerde controlemiddelen. Weerspannige gevangenen zullen voortaan dan daar opgesloten worden. De Staat wil op die manier de revoltes in de gesloten centra de kop indrukken.
Wij willen dit nieuwe centrum niet, noch eender welke gevangenis.
tijdens het No Border Camp, 25 september-3 oktober
Paru vers aout 2010.
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
- /B_tout>
tekst
tekening (witte vogel)
- texte :
Tegen het nieuw gesloten centrum !
Noch in Steenokkerzeel, noch elders !
In Steenokkerzeel is de bouw van een nieuw gesloten centrum begonnen. Dit nieuwe centrum komt bovenop de vier reeds bestaande gesloten centra, het veertigtal gevangenissen en de vele open centra die beheerd worden door Fedasil en het Rode Kruis. De Belgische Staat vervolledigt zo haar infrastructuur en probeert tegelijkertijd de werking van de deportatiemachine te verfijnen.
Onder het mom van menselijkheid wordt een alsmaar meer geselecteerde migratie beetje bij beetje gelegaliseerd waardoor aan de rest van de ongewensten het zwartwerk overgelaten wordt dat al even noodzakelijk is voor de goede gang van zaken van de economie. Met of zonder papieren word je uitgebuit door een ‘Belgische’ of ‘geïmmigreerde’ baas terwijl de verschillende nationalismes en religies er alles aan doen om ons te scheiden en zo de stralende toekomst van deze rotwereld zeker te stellen.
Als je nochtans kijkt naar de revoltes die sinds jaren zowel in de gesloten centra als in de gevangenissen, zowel in de straat als op de luchthavens, uitbreken, dan is het duidelijk dat de machine niet zo gesmeerd loopt. Tegenover een opsluiting en levensomstandigheden die vaak op een wrede wijze lijken op die waarvoor ze gevlucht zijn, nemen alsmaar meer ongewensten de weg van de revolte.
Opstanden, ontsnappingen, aanvallen tegen de politie na controles, represailles tegen verschillende collaborateurs zoals ISS Cleaning, De Lijn of de Bank van de Post volgden elkaar op. Wie herinnert zich bijvoorbeeld niet het mooie vreugdevuur van vorige zomer ? Het kamp 127bis ging bijna volledig in vlammen op. En net daar, in Steenokkerzeel, bouwt de Staat haar nieuwe gesloten centrum speciaal ontworpen voor de weerspannigen.
De Staat probeert de bouw van dit nieuwe concentratiekamp stil te houden. En nochtans zetten de bouwers van dit afgrijselijke project - Besix, Valens, Michiels NV etc. - er vaart achter. Laten we daarom niet wachten tot het te laat is.
Laten we de deportatie-machine saboteren !
Vernietig alle grenzen !
disponible en français
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
[ texte typo ; dessin (gravure : lecteur irradiant au milieu d’une chaussée sur fond de ville américaine ; nombreux piétons, bonneteau, policier, pas de véhicule) ]
- texte :
10de internationale alternative boekenbeurs
Gent
gratis inkom
[ ill. Drooker.com ]
Zaterdag 16 april 2011— 10-20u
’De Centrale’ — Kraankindersstrat 2, 9000 Gent
Boekenbeurs — Libertair cultuurfestival
lezingen — workshps — performance
stands uit België, Nederland, Frankrijk, Engeland & Duitsland
Namiddag : Vuile Mong (theather-monolog)
Informatie : www.aboekenbeurs.be • aboekenbeurs@yahoo.com
Organisatie : Ilia vzw i.s.m. Ak-Univ & Infomania
vanaf 21u : D’onderhond (folk, B), Spanner & AOS3 (dub/ska/punk, UK) & DJ : Balkan Hotsteppers (5 €)
v.u. : Isabelle Berkman, Sint-Pietersnieuwstraat 45, 9000 Gent
Repéré sur : http://www.anarchy.be.
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
[ texte typo ; dessin (gravure : lecteur irradiant au milieu d’une chaussée sur fond de ville américaine ; nombreux piétons, bonneteau, policier, pas de véhicule) ]
- texte :
10ième foire internationale du Livre alternatif & libertaire
Gand
Entrée libre
[ ill. Drooker.com ]
Samedi 16 avril 2011 — 10-20 h
’De Centrale’ — Kraankindersstraat 2, 9000 Gand
Foire du livre — Festival des Arts
conférences — workshops — performances
stands de Belgique, France, Pays-Bas, Angleterre et Allemagne
Informations : www.aboekenbeurs.be — aboekenbeurs@yahoo.com
Organisation : Ilia vzm en collaboration avec Ak-Univ & Infomania
Dès 21 h : D’onderhond (folk, B), Spanner & AOS3 (dub/ska/punk, UK) & DJ : Balkan Hotsteppers (5 €)
v.u. : Isabelle Berkman, Sint-Pietersnieuwstraat 45, 9000 Gent
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
[ texte typo ; dessin (gravure : lecteur irradiant au milieu d’une chaussée sur fond de ville américaine ; nombreux piétons, bonneteau, policier, pas de véhicule) ]
- texte :
10th International Alternative Bookfair
Ghent (B)
Free access
[ ill. : Drooker.com ]
Saturday 16 April 2011 — 10-20h
’De Centrale’ — Kraankindersstraat 2, 9000 Ghent (B)
Anarchist Bookfair — Art happening
Lectures — Exhibition — Performances
Stalls from Belgium, The Netherlands, Britain, France & Germany
Information : www.aboekenbeurs.be • aboekenbeurs@yahoo.com
Organisation : Ilia vzw with Ak-Univ & Infomania
Dès 21 h : D’onderhond (folk, B), Spanner & AOS3 (dub/ska/punk, UK) & DJ : Balkan Hotsteppers (5 €)
Repéré sur : http://www.anarchy.be
seulement version électronique- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
- /B_tout>
[ texte (jaune sur fond brun) ; photos n&b (émeutes, tags) ]
- texte :
Beau comme le sourire des insurgés
Il n’y a rien d’aussi beau que les visages des insurgés. Rien dans ce monde n’est aussi attirant, n’est aussi rempli d’espoir. Aucun journaliste, aucun politicien, aucun leader religieux ou autre ne pourrait jamais effacer la beauté de la révolte ou l’enterrer sous des discours sans joie ni désir.
C’est tout d’abord cette beauté qui nous frappe quand nous apprenons des révoltes en cours dans le Nord de l’Afrique et ailleurs. De Tunisie au Liban, d’Égypte à l’Algérie, malgré les dizaines de morts et les milliers de blessés et d’arrestations, la peur est en train de laisser la place au courage ; la tristesse est surmontée par l’espoir ; la misère d’être réduit à survivre se trans-forme en cri de vie.
On pourrait s’interroger sur les conditions économiques dans ces pays, sur la hausse des prix des denrées alimentaires, sur le chômage, sur les régimes autoritaires et ses polices. On pourrait démontrer comment aussi ici, en Belgique, toujours plus de gens sont jetés par-dessus bord, con-damnés à croupir dans des centres fermés et des prisons, exploités à merci et dans des conditions toujours plus dures, subissants au quotidien l’autorité sous toutes ses formes.
Mais le temps de se lamenter doit prendre fin. Nous sommes nombreux, ici et ailleurs, à se retrouver coincés par ce monde où seul l’argent compte, où nos habi-tations ressemblent toujours plus à des taudis, où la pollution industrielle nous empoisonne petit à petit. Ceux d’en haut vont pousser leur exploitation et leur domina-ion encore plus loin, ils nous parlent de « crise économique » et nous appellent tous à accepter le durcissement de la vie sur tous les niveaux.
Évidemment, il y a des différences entre l’ici et le là-bas, même si le règne de l’argent ne connaît pas de frontières, même si un régime, tous les régimes, qu’ils soient démocratiques ou autoritaires, signifieront toujours oppression, enfermement, exploitation. Mais la révolte, elle, dans toute sa beauté, fait exploser les différences. Une banque cramée en Tunisie ou en Égypte appelle à une banque cramée à Bruxelles ; comme la libération de prisonniers par les insurgés en Tunisie appelle au rasement des murs des prisons ici ; comme des hommes et des femmes, côte à côte derrière la barricade, appelle à en finir avec la soumission et le patriarcat.
Ce qui alimente la révolte, ce n’est pas seulement le dégoût des conditions de misère. Non, l’oxygène du feu de la révolte, dans toutes les langues, c’est un début de liberté, cet inconnu qui est telle-ment absent dans ce monde, mais qui se relève fièrement lors de l’acte de s’insurger. Et alors là, tout peut commencer à changer.
Laissons donc de côté toutes les analyses des spécialistes politiques, des journalistes chevaliers-de-la-démocratie, de ceux qui s’apprêtent déjà à prendre la place des Ben Ali et des Moubarak de ce monde. Nous sommes simplement du côté de ceux qui, en Tunisie et en Égypte comme ailleurs savent que la liberté, c’est ni la loi ni la sharia, qui ne veulent ni patron ni gouvernement, qui veulent essayer de vivre en hommes libres, parce que, lors de la révolte, ils ont déjà goûté que c’est possible — et que c’est doux.
Amour et courage pour les rebelles de partout
Mettons, nous aussi, le feu à la poudrière
Affiche diffusée sur http://www.non-fides.fr/?Affiche-grand-format-de-solidarite (28 février 2011) et sur http://bxl.indymedia.org/articles/1089 : « Affiche en grand format (A2) de solidarité avec les soulèvements dans le monde arabe. Disponible entre autre à Acrata (32, rue de la grande ile // ouvert chaque mardi de 16h à 20h, chaque jeudi de 17h à 21h et chaque samedi de 14h à 18h) » (20 février 2011).
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
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[ texte ; dessin couleurs (visage de femme style années 50) ]
- texte :
Feu à toutes les prisons !
La prison... On en a tous vaguement une idée, un reportage à la TV, un énième assassinat de l’administration pénitentiaire à la rubrique faits divers des journaux du jour, de brèves indignations à peu de frais par-ci par-là. On en entend tous parler, et on fait comme si cela n’existait pas. Comme si chaque jour des dizaines de milliers d’entre-nous n’étaient pas les otages de l’État, seuls dans leurs périples carcéraux individuels, isolés de tous et réprimés en silence. Pourtant nous sommes tant à avoir un frère, une amie, un cousin en taule, à visiter un proche incarcéré au parloir, nous sommes tant à finir par trouver cela banal. Un petit séjour en taule, après tout, on est pas mal à y avoir gouté, une fois, deux fois, trois fois ou plus, de près ou de loin, dans les faits ou par procuration.
Enfermer des êtres humains dans des cages de quelques mètres carrés pendant des mois ou des années, annihiler toute volonté en eux, les presser comme des citrons, les briser, les empêcher d’aimer, les harceler, les droguer, les frapper, les juger, les tuer, les traiter comme personne n’ose traiter de la merde et les soumettre à un travail de forçat ; la taule, c’est la barbarie dans toute sa banalité, c’est le règne total d’une poignée de sadiques et de petits exécutants obéissants. C’est le dernier souffle d’une balle qui vient se loger droit dans notre tête pendant que tout le monde regarde ailleurs, trop préoccupé par sa propre misère. C’est la manière par laquelle ce monde se venge contre ton anormalité ou contre la concurrence. C’est une des manières par lesquelles ce monde force la paix.
La prison a au moins un mérite, avec elle les choses sont claires : pas de bla-bla ou presque, une société qui a besoin de prisons pour se maintenir est une société qui a déclaré la guerre à une partie d’elle-même. Une société qui s’enorgueillit de gérer avec tant de violence ces usines de mort est une société qui offre son cou à la guillotine de la révolte, qui justifie la nécessité de sa destruction. Ils auront beau réformer les prisons en long et en large, plaquer les cellules d’or, les climatiser ou raccourcir la taille des matraques, les coups feront toujours aussi mal et la prison restera le même problème qu’elle aura toujours été. C’est l’audace de la liberté qui importe, pas la lâcheté du statu quo de l’aménagement de la contrainte.
Une prison acceptable est une prison qui brûle !
On parle déjà d’une trentaine de morts en détention depuis le début de l’année. On ose encore nous parler de suicides et d’accidents... On ose insinuer qu’il est anodin de se pendre dans une prison, qu’il est anodin de mourir « accidentellement » sous les coups des matons ou d’autres détenus. On nous parle de « suicides » pour faire croire que ce n’est pas l’Administration Pénitentiaire et l’État qui tuent. Mais nous affirmons que chaque mort en prison est un assassinat de l’Administration Pénitentiaire et de l’État. Considérer les choses autrement, c’est affirmer que les conditions de vie du dehors et du dedans sont les mêmes. C’est affirmer que la prison n’existe pas. Et pourtant le dedans et le dehors ne se différencient que par leur degré d’intensité. La prison n’est rien d’autre que le reflet exagéré de cette société qui se regarde dans un miroir grossissant.
Tout est pire que dehors en prison, et pourtant, tout est tellement pareil que dehors...
La même merde, les mêmes mécanismes autoritaires, la même domination, la même violence inhérente à la paix sociale, le même fichage, les mêmes rapports dégueulasses entre les gens, qu’ils soient économiques ou sociaux.
Il est si difficile de parler sereinement de la prison. Il est si difficile de ne pas se laisser plomber par l’atmosphère poisseuse qu’elle disperse autour de nos vies. Mais ce ne sont pas des larmes qui en viendront à bout, au contraire, on ne peut que se noyer avec des larmes. L’indignation, elle, n’a jamais fait tomber un seul mur, et l’on ne viendra jamais à bout de la prison par le biais du Droit ou de la Loi, puisque c’est de leurs pierres qu’elle est construite.
Dans cette société qui a besoin d’enfermer : prisons, psychiatrie, centres de rétention, gardes-à-vue, internats, écoles, maisons de retraite, camps humanitaires, usines, hôpitaux, centres éducatifs fermés, barres d’immeubles, établissements de réinsertion scolaire etc. Dans cette société où certains font le choix de devenir mâtons, juges ou flics, notre choix est clair : Feu à toutes les prisons. Feu à l’État.
Les prisons doivent être détruites une par une, pierre par pierre, maton par maton, juge par juge.
Détruisons les prisons en détruisant la société, parce qu’une société qui a besoin d’enfermer et d’humilier est elle-même une prison.
Détruisons les prisons avec rage et joie.
Affiche diffusée sur http://www.non-fides.fr/?Affiche-Feu-a-toutes-les-prisons : « Affiche trouvée sur les murs de plusieurs villes, juin 2011 » (10 juin 2011).
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
- notes :
- descriptif :
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[ long texte (sur l’incendie du centre fermé 127bis à Steenokkerzeel) ; photo (femme, en sous-vêtements et lunettes de plongée, tirant la langue) ; fondphoto (silhouettes écrivant « Liberté » dans la neige) ]
- texte :
Het gesloten centrum 127 bis in vuur en vlam…
Onlangs nog besloten enkele gevangenen kun cel in het asielkamp van Steenokkerzeel in brand te steken. Een slaapzaal gaat in vlammen op. Eens de flikken ter plaatse gekomen, werd een hele vleugel ontruimd en een veertigtal gevangenen snel overgeplaatst naar andere centra. Alles werd in het werk gesteld om ontsnappingen te voorkomen. Veel meer weten we niet. Maar we weten dat deze daad ons aanspreekt, hij heeft weinig verdere precisering nodig. Aangezien de Staat, en zijn lijkenpikkers van dienst de journalisten, tracht om de daden van rebellie aan mogelijks medeplichtige ogen te onttrekken, veranderde de versie van de feiten alvorens ze aan de marge van de nieuwtjes verdween. Het doet er ons weinig toe of één persoon dan wel vier personen gehandeld hebben die avond, of de materiële schade aanzienlijk was of niet ; wat ons inspireert is de keuze om te handelen, direct, zonder wat dan ook te vragen, tegen wat ons opsluit.
In een poging deze uitbarstingen van revolte uit te doven, presenteert de Staat zijn antwoorden. Tien nieuwe gevangenissen worden de komende jaren gebouwd. Op enkele stapper van het bestaande gesloten centrum bouwen verbeten of net gelaten arbeiders, voor de rekening van Besix en Valens aan een nieuw kamp voor weerspannigen. Zoals diegenen die net hun cel in de fik staken. Een daad die niet alleen staat.
Sinds jaren woedt de agitatie rondom de gevangenissen. Rebellieën volgen elkaar op, net zoals de ontsnappingen en de confrontaties met de cipiers. Buiten vinden de revoltes echo’s. Rellen breken uit in sommige buurten, de collaborateurs van de gevangeniswereld worden geviseerd. De bedrijven die de kerkers bouwen, diegenen die de deportatiemachine doen draaien, de flikken van alle slag, allen delen ze in de klappen.
Tegenover de bedwinging van éénieders vrijheid komt het erop aan om diegenen aan te vallen die zich inspannen om deze wereld van opsluiting in stand te houden, aan de haard, in de kerk, op school en op het werk.
Omdat het nooit te vroeg is om te revolteren, omdat een strijd tegen elke vorm van autoriteit en overheersing hetgene waar we naar verlangen reeds onthult.Maak kapot wat je kapot maakt
- notice : Image (fixe ; à 2 dimensions)
[À Gaza comme ailleurs…]
[À Gaza comme ailleurs…]. — [S.l.] : [s.n.], . — 1 affiche (impr. photoméc.) : n. et b. ; [38 ?] × [27 ?] cm.
sources :
[À propos de la destruction du quartier d’isolement à la prison de Bruges]
[À propos de la destruction du quartier d’isolement à la prison de Bruges]. — [S.l.] : [s.n.], . — 1 affiche (photocop. ) : n. et b. ; 42 × 30 cm.
sources :
![]() 2009 |
[Calais, no border camp, 23-29 juin-June]
[Calais, no border camp, 23-29 juin-June]. — [S.l.] : No Border, . — 1 affiche (sérigr. ), coul. (deux : noir , magenta , papier de couleur ) ; 35 × 50 cm.
sources :
[En lutte contre les élites]
[En lutte contre les élites]. — Bruxelles = Brussels Bruxelles : [s.n.], . — 1 affiche (impr. photoméc.) : n. et b. ; x × y cm.
sources :
[Et toi ! T’as pris parti ?]
[Et toi ! T’as pris parti ?]. — Bruxelles = Brussels Bruxelles : [s.n.], . — 1 affiche (photocop. ) : n. et b. ; 40 × 28 cm.
sources :
[Open deur dag Infotheek]
[Open deur dag Infotheek]. — Gent Gand : Infotheek (Gent), . — 1 affiche (photocop. ) : n. et b. ; 42 × 30 cm.
sources :
[Vacances à vie !]
[Vacances à vie !]. — Gent Gand : [s.n.], [ca ]. — 1 affiche (impr. photoméc.) : n. et b. ; x × y cm.
sources :
[9de internationale alternative boekenbeurs, Gent]
[9de internationale alternative boekenbeurs, Gent] / Erik Buelinckx ; Joris. — Gent Gand : Ak-Univ (Anarchistisch kollektief) : Ilia : Infomania, . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (deux : rouge , noir , papier blanc ) ; 60 × 42 cm.
sources :
![]() 2010 |
[9e foire internationale du livre alternatif et libertaire, Gand]
[9e foire internationale du livre alternatif et libertaire, Gand] / Erik Buelinckx ; Joris. — Gent Gand : Ak-Univ (Anarchistisch kollektief) : Ilia : Infomania, . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (deux : rouge , noir , papier blanc ) ; 59 × 42 cm.
sources :
![]() 2010 |
[Against deportation centres, against borders, 1 October 2010]
[Against deportation centres, against borders, 1 October 2010]. — Bruxelles = Brussels Bruxelles : No Border, . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (quadri ) ; 60 × 42 cm.
sources :
![]() 2010 |
![]() 2010 |
[Avis de tempête contre les centre fermés, contre toute prison]
[Avis de tempête contre les centre fermés, contre toute prison]. — [S.l.] : No Border, . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (quadri ) ; 42 × 60 cm.
sources :
![]() [ca 2012] |
[Braquons l’existant]
[Braquons l’existant]. — [S.l.] : [s.n.], [ & ante]. — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (deux : rouge , noir , texte en défonce , papier blanc ) ; x × y cm.
sources :
[Contre les centres fermés, contre toutes les prisons ; contre les frontières, contre l’État : manifestation 1er octobre 2010]
[Contre les centres fermés, contre toutes les prisons ; contre les frontières, contre l’État : manifestation 1er octobre 2010]. — Bruxelles = Brussels Bruxelles : No Border, . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (quadri ) ; 63 × 43 cm.
sources :
![]() 2010 |
![]() 2010 |
[Infotheek benefietfeest, vrijdag 25 juni ’10]
[Infotheek benefietfeest, vrijdag 25 juni ’10] / Hergé. — Gent Gand : Infotheek (Gent), . — 1 affiche (photocop. ) : n. et b. ; 42 × 30 cm.
sources :
![]() 2010 |
[Infotheek benefietfeest, vrijdag 25 juni]
[Infotheek benefietfeest, vrijdag 25 juni] / Hergé. — Gent Gand : Infotheek (Gent), . — 1 affiche (photocop. ) : n. et b. ; 21 × 30 cm.
sources :
![]() 2010 |
[Le travail]
[Le travail]. — Bruxelles = Brussels Bruxelles : [s.n.], . — 1 affiche (photocop. ) : n. et b. ; 42 × 30 cm.
sources :
[Manifestation bruyante, non aux centres fermés, centre fermé de Bruges]
[Manifestation bruyante, non aux centres fermés, centre fermé de Bruges]. — Brugge Bruges ; Bruxelles = Brussels Bruxelles : [s.n.], . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (deux : noir , jaune , papier blanc ) ; 30 × 21 cm.
sources :
[Manifestation no border]
[Manifestation no border] / Titom. — Bruxelles = Brussels Bruxelles : No Border, . — 1 affiche (impr. photoméc.) : n. et b. ; 62 × 42 cm.
sources :
[No Border camp in Brussels]
[No Border camp in Brussels] / Titom. — Bruxelles = Brussels Bruxelles : No Border, . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (deux : rouge , noir , couleur en dégradé , papier blanc ) ; 62 × 42 cm.
sources :
![]() [s.d.] |
[Non au nouveau centre fermé, Ni à Steenokkerzeel, ni ailleurs !]
[Non au nouveau centre fermé, Ni à Steenokkerzeel, ni ailleurs !]. — Bruxelles = Brussels Bruxelles : [s.n.], [ca ]. — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (trois : rouge , noir , vert , texte en défonce , papier blanc ) ; 60 × 42 cm.
sources :
![]() [ca 2010] |
[Opendeurdag Infotheek, 18-12-2010]
[Opendeurdag Infotheek, 18-12-2010]. — Gent Gand : Infotheek (Gent), . — 1 affiche (photocop. ) : n. et b. ; 42 × 14 cm.
sources :
![]() 2011 |
![]() [ca 2012] |
[Skanking against fascism ! : donderdag 8 april]
[Skanking against fascism ! : donderdag 8 april] / Laweit. — Gent Gand : [s.n.], [ ?]. — 1 affiche (photocop. ) : n. et b. ; 42 × 30 cm.
sources :
[Tegen de gesloten centra, tegen alle gevangenissen ; Tegen alle grenzen, tegen de Staat]
[Tegen de gesloten centra, tegen alle gevangenissen ; Tegen alle grenzen, tegen de Staat]. — Bruxelles = Brussels Bruxelles : No Border, . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (quadri ) ; 63 × 43 cm.
sources :
![]() 2010 |
![]() 2010 |
[Tegen het nieuw gesloten centrum !, Noch in Steenokkerzeel, noch elders !]
[Tegen het nieuw gesloten centrum !, Noch in Steenokkerzeel, noch elders !]. — Bruxelles = Brussels Bruxelles : [s.n.], [ca ]. — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (trois : rouge , noir , vert , texte en défonce , papier blanc ) ; 60 × 42 cm.
sources :
![]() [ca 2010] |
[10de internationale alternative boekenbeurs, Gent]
[10de internationale alternative boekenbeurs, Gent] / Eric Drooker. — Gent Gand : Ak-Univ (Anarchistisch kollektief) : Ilia : Infomania, . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (deux : rouge , noir , papier blanc ) ; 60 × 42 cm.
sources :
![]() 2011 |
![]() 2011 |
![]() 2001 |
[10e foire internationale du Livre alternatif & libertaire, Gand]
[10e foire internationale du Livre alternatif & libertaire, Gand] / Eric Drooker ; Erik Buelinckx. — Gent Gand : Ak-Univ (Anarchistisch kollektief) : Ilia, . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (deux : rouge , noir , papier blanc ) ; 60 × 42 cm.
sources :
![]() 2011 |
![]() 2011 |
![]() 2001 |
[10th International Alternative Bookfair, Gent]
[10th International Alternative Bookfair, Gent] / Eric Drooker. — Gent Gand : Ak-Univ (Anarchistisch kollektief) : Ilia : Infomania, . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (deux : rouge , noir , papier blanc ) ; x × y cm.
sources :
![]() 2011 |
![]() 2011 |
![]() 2001 |
[Beau comme le sourire des insurgés]
[Beau comme le sourire des insurgés]. — Bruxelles = Brussels Bruxelles : Acrata (Bruxelles), . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (trois : noir , brun , jaune ) ; 60 × 42 cm.
sources :
[Feu à toutes les prisons !]
[Feu à toutes les prisons !]. — Paris : [s.n.], . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (quadri ) ; 61 × 42 cm.
sources :
![]() 2011 |
![]() 2009 |
![]() 2009 |
[Het gesloten centrum 127 bis in vuur en vlam… Maak kapot wat je kapot maakt]
[Het gesloten centrum 127 bis in vuur en vlam… Maak kapot wat je kapot maakt]. — [S.l.] : [s.n.], . — 1 affiche (photocop. ) : n. et b. ; 30 × 42 cm.
sources :
[In de ban van het subversieve boek, 15 & 16 oktober 2011]
[In de ban van het subversieve boek, 15 & 16 oktober 2011]. — Bruxelles = Brussels Bruxelles : Subversieve bookfair in Brussels, . — 1 affiche (sérigr. ), coul. (trois : rouge , noir , jaune ) ; 54 × 33 cm.