Paris

 

 
 

Affichage par année

2013 affiches :

 

    [Drogues, légalisons]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Drogues, légalisons]. — Nantes ; Paris : FA__ [2] (Fédération anarchiste : 1953-....) : FA__. Groupe de Nantes, . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (deux  : rouge , noir ) ; 72 × 45 cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  :
    • Liste des thèmes  : censure  ; criminalité et délinquance  ; drogue  ; répression  ; santé
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  :
    notes :
    descriptif :
    Symbole(s) utilisé(s) :

    [ texte ; dessin (personnage derrière une prote barreautée de prison) ]

    texte :

    Drogues

    Nous condamnons la prohibition car :

    • elle entretien une mafia étatique et privée qui dynamise la marché ;
    • elle marginalise les usagers (délinquance, prison, …) ;
    • elle introduit des produits coupés encore plus toxiques ;
    • elle empêche, par le mensonge, toute politique sérieuse d’information et de prévention.

    Nous voulons :

    • un système coopératif afin que les drogues ne puissent pas devenir officiellement, comme l’alcool et le tabac, un marché juteux empêchant toute prévention ;
    • des produits purs et des produits de substitution avec une politique d’accompagnement et de soutien ;
    • un changement de société car le système capitaliste engendre une société de « consommation », une société toxicomaniaque et inégalitaire.

    Légalisons

    FA — Fédération anarchiste - 145, rue Amelot - 75011 Paris — FA


    sources :

    Affiche annoncée dans Le Monde libertaire n° 1042 (9-15 mai 1996).


    1998
    Affiche liée





    image indisponible

    [Abrogation des lois Pasqua-Debré]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Abrogation des lois Pasqua-Debré]. — Paris : FA__ [2] (Fédération anarchiste : 1953-....) ; [et al.], . — 1 affiche (photocop. ) : n. et b. ; 40 × 30 cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  :
    • Liste des thèmes  : émigration et immigration  ; racisme et antiracisme
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  : meetings et manifestations
    notes :
    descriptif :


    [ texte ]

    texte :

    Abrogation des lois Pasqua-Debré

    Non au projet Chevènement-Guigou

    Meeting débat unitaire

    Mardi 18 nov. - 20 h

    Salle de l’Indépendance

    48, rue Duhesmes, 75018 Paris

    Le ""livre vert"" du programme socialiste distribué avant les élections prévoyait l’abrogation des lois Pasqua-Debré. En fait, aujourd’hui, non seulement ces lois ne sont pas abrogées, mais les projets de lois Chevènement-Guigou qui vont être mis en discussion par les députés ne constituent pas un changement radical.
    - Entrée des immigrés : la politique de visas mise en place par Pasqua en 1986 est maintenue.
    - Regroupement familial : les étrangers doivent remplir les mêmes conditions de ressources, de solvabilité, de logement que du temps de Pasqua.
    - Double peine : elle n’est pas remise en cause. La double peine permet d’expulser de France des personnes qui y ont tout leur passé etc...

    Ni dans la lettre, ni dans l’esprit les lois Pasqua-Debré ne sont abrogées. La logique de défiance à l’égard des étrangers est maintenue.

    Pour une vraie loi de régularisation.

    Le 24 juin, le ministre de l’Intérieur du nouveau gouvernement de gauche a rendu publique une circulaire devant permettre la régularisation de centaines de sans-papiers. Cette annonce a suscité de grands espoirs. Quel est le constat après trois mois d’application de la circulaire ?
    - Les sans-papiers sont livrés aux caprices de l’administration et de l’arbitraire, ils sont confrontés à de grandes différences de traitement d’une préfecture à l’autre : documents demandés dans certaines et pas dans d’autres, dépôts groupés acceptés pour certains collectifs et pas pour d’autres...
    - Les sans papiers doivent fournir une multitude de documents officiels et administratifs (bulletins de paie, quittances de loyers, déclarations d’impôts, cartes d’assuré social...) que des personnes en situation irrégulière n’ont pas toujours.
    - Les expulsions continuent : un nombre croissant d’étrangers sont interpellés et placés en rétention alors que leur dossier est en cours d’étude. Certains ont même été arrêtés à la préfecture alors qu’ils ont été convoqués pour leur régularisation. Les expulsions doivent cesser et les expulsés doivent pouvoir revenir.
    - Les titres de séjour accordés aux ""régularisés"", récépissés de trois ou six mois, carte temporaire d’un an, maintiennent les étrangers dans la précarité : comment peut-on prétendre intégrer quelqu’un en ne lui remettant qu’un titre provisoire de séjour dont le renouvellement n’est pas garanti ?
    - L’inquiétude grandit pour ceux qui ne seront pas régularisés : que doivent-ils devenir ?

    ATMF - Fédération anarchiste - Gauche Révolutionnaire - JRE - LCR - LDH - MRAP - Ras l’Front - Sud éducation - Les Verts.


    sources :

    Novembre 1997. ATMF = Association des travailleurs maghrébins de France

    http://odysseo.generiques.org/resource/a0113757097070g9whf
    http://odysseo.generiques.org/search/result#viewer_watch:a0113757097070g9whf/a011416308452gflxw7//





















    [Un Poulpe dans le Lac Léman ?]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Un Poulpe dans le Lac Léman ?] / Miles Hyman. — Paris : Baleine, . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (quadri ) ; 42 × 30 cm.

    • Affiches par pays  : France  ; Suisse
    • Lieux d’archivages  : CIRA (Lausanne)
    • Liste des thèmes  : littérature : bande dessinée  ; littérature : romans policiers
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  : Pouy, Jean-Bernard (1946-....)
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  : exposition
    notes :
    descriptif :


    [fin années ‘90] [ Présentation d’une exposition des couvertures et planches de la BD « Le Poulpe », copie d’une planche plus texte ] couleurs

    texte :

    Un poulpe dans le Lac Léman ?

    Expositions des couvertures de Miles Hyman et des planches de bandes dessinées de Mako, Balez et Cochet pour la série « Le Poulpe » aux éditions Baleine

    du 6 au 21 février
    Galerie Basta !, Lausanne
    Bibliothèque de la Cité, Genève

    Rencontre-dédicace avec J.-B. Pouy et les auteurs des épisodes du Poulpe en Suisse, J.-J. Busino, P. Milan et G. Carbasse

    le 6 février, à 19 h 00
    Bibliothèque de la Cité,
    Place des Trois-Perdrix, Genève

    Le 7 février, de 14 h 00 à 16 h 00
    Librairie Basta !
    Petit-Rocher 4, Lausanne


    sources :

    Jean-Jacques Busino (1965-....) a écrit Au nom du piètre qui a l’essieu (Le Poulpe ; 103), janvier 1998. Paul Milan (alias Pascal Praplan, 1956-....) a écrit Légitime défonce (Le Poulpe ; 104), janvier 1998. Grégoire Carbasse (pseudonyme) a écrit L’Helvète underground (Le Poulpe ; 105), janvier 1998.













    [Contre le monde de l’argent et des lois]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Contre le monde de l’argent et des lois]. — Paris : Sans patrie, . — 1 affiche (impr. photoméc.) : n. et b. ; 65 × 45 cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  :
    • Liste des thèmes  : contrôle social  ; répression
    • Géographie, géopolitique et Histoire  : Italie
    • Noms cités (± liste positive)  : Passamani, Massimo
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  : soutien à militants …
    notes :
    descriptif :


    [ texte ; dessin style BD (femme brisant une vitre) ]

    texte :

    Contre le monde de l’argent et des lois

    Il y a de plus en plus d’indésirables dans le monde. Il y a trop de femmes et d’hommes pour qui cette société n’a prévu qu’un rôle : celui de crever.
    Isolés, ils servent à faire croire aux citoyens se prétendant tels qu’ils ont une réelle vie commune (entre les paperasses de l’autorité et les rayonnages des marchandises).
    Immigrés, ils servent à alimenter l’illusion d’avoir des racines chez les pauvres seuls avec leur néant, au bureau, dans le métro ou devant la télévision.
    Clandestins, ils servent à rappeler que la soumission salariale, ce n’est pas le pire — il existe aussi le travail forcé et la peur qui serre le ventre à chaque contrôle de routine.
    Expulsés, ils servent à renforcer sur tous les réfugiés économiques du génocide capitaliste, le chantage du bannissement vers une misère sans retour.
    Prisonniers, ils servent à menacer avec le spectre de la punition ceux qui ne veulent plus de cette minable existence.
    Extradés, en tant qu’ennemis de l’État, ils servent à faire comprendre que dans l’internationale de la domination et de l’exploitation, il n’ y a aucun espace pour le mauvais exemple de la révolte.
    Pauvres, isolés, étrangers partout, incarcérés, hors-la-loi, bannis : les conditions de ces indésirables sont de plus en plus communes.
    Citoyens ou étrangers, innocents ou coupables, clandestins ou réguliers : ces distinctions de codes étatiques ne nous appartiennent pas. Pourquoi la solidarité devrait-elle respecter ces frontières sociales, alors que les pauvres sont continuellement trimballés de l’une à l’autre ?

    Recherché dans le cadre d’un procès contre plusieurs dizaines d’anarchistes en Italie — bâti sur une « bande armée » inexistante et avec l’appui d’une fausse « repentie » — Massimo Passamani a été arrêté et incarcéré à Paris. Une fois celui-ci relâché, l’État français a décidé de signer un décret d’extradition à son encontre.

    La menace de ce décret est une épée de Damoclès suspendue une fois de plus, au dessus de la tête d’un irrégulier. Elle nous confirme l’alternative qui nous attend partout en Europe sous l’ombre du contrôle unifié : la domestication ou la matraque policière.

    Mais les codes et les fichiers de tous les pouvoirs ont un défaut : c’est de la masse anonyme que sortent les mutinés de l’esprit et de l’action.

    Aucun contrôle ne peut nous empêcher de franchir les frontières qui séparent la résignation de la révolte.

    Contre toutes les expulsions, contre l’extradition de l’anarchiste italien Massimo Passamani

    Pour plus d’informations : Sans Patrie - c/o TCP - 21 ter rue Voltaire 75011 Paris / passemuraille@free.fr


    sources :
     


    [De la noirceur des geôles]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    De la noirceur des geôles] / Thierry Guitard. — Paris : Tout le monde dehors !, [ca ]. — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (une  : noir , texte en défonce , papier blanc ) ; 65 × 45 cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  :
    • Liste des thèmes  : prison
    • Géographie, géopolitique et Histoire  : Espagne
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  :
    notes :
    descriptif :


    texte

    dessin (ligne de prisonniers cicatrisés et robot-maton en colère) par Thierry Guitard ?

    photo (3 enfants armés nous mettant en joue)

    texte :

    De la noirceur des geôles

    Le F.I.E.S (l’équivalent des QHS en France) est un régime carcéral spécial des prisons espagnoles. C’est une abomination, où des dizaines d’individus subissent chaque jour toutes sortes de privations, brutalités et tortures.

    Dans les tréfonds des cellules du F.I.E.S, les surveillants ont carte blanche sur la vie du détenu. Dans les cellules, comme dans toutes celles des prisons spéciales du monde, on pratique un programme scientifique d’anéantissement de ceux qui ne se soumettent pas.

    Plusieurs prisonniers en Espagne ont commencé la lutte commune pour en finir avec le F.I.E.S pour s’opposer aux transferts continuels et pour obtenir la libération des détenus malades. Leur message s’adresse à tous ceux qui sont “dehors”, à ceux qui, dans les villes ou dans les campagnes, vivent l’existence des prisons comme une agression supplémentaire à leur propre liberté.

    C’est sur notre soumission quotidienne que s’érigent, mal cachés aux yeux de tout le monde, les prisons, les maisons de corrections, les centres de rétention, les asiles psychiatriques : ils représentent la menace extrême, le langage le plus clair par lequel s’exprime cette société bâtie sur le profit, la domestication collective, la normalisation.

    À ceux qui en ont assez d’une vie à coups de bâtons, décolorée par l’ennui et par le bon sens, une invitation de tout coeur à appuyer cette lutte.

    Une lutte qu’il faut étendre à tous les lieux fermés de ce monde, pour abattre les murs et les barreaux, pour conquérir toute la liberté qui est la nôtre.

    à la nuit des villes

    Tout le monde dehors !

    Pour plus d’informations - Tout le monde dehors ! - c/o TCP-21 ter, rue Voltaire 75011 Paris / passmuraille@free.fr


    sources :
     






    [Marée noire : logique de profit, logique de mort]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Marée noire : logique de profit, logique de mort]. — Paris : FA__ [2] (Fédération anarchiste : 1953-....), [ ?]. — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (deux  : rouge , noir , papier blanc ) ; x × y cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  : IISG (Amsterdam)
    • Liste des thèmes  : écologie
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  :
    notes :
    descriptif :
    Symbole(s) utilisé(s) :

    [ texte ; dessin (humain avec ciré, pelle et seau, englué dans le goudron devant la mer) par ? ]

    texte :

    Marée noire

    Logique de profit

    • À qui appartient le mazout qui pollue nos plages ?
    • Qui organise et profite des ventes de pétrole ?
    • Qui finance les régimes dictatoriaux afin de s’attribuer des ressources naturelles ?

    Grâce aux législations complaisantes des États, les multinationales transportent le pétrole et autres produits toxiques dans des conditions tellement précaires (bateaux poubelles, équipages surexploités…) que les pollutions graves se multiplient.

    Logique de mort

    [logo au drapeau noir] FA - Fédération anarchiste - 145, rue Amelot - 75011 Paris


    sources :

    Vers 2006 ?


    2003

    2012
    Affiches liées