barbelés

 

 
 

Affichage par année

121 affiches :

 





    [Noborderfest #7]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Noborderfest #7]. — Timișoara : Gluga Neagră : No Border, . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (quadri ) ; x × y cm.

    • Affiches par pays  : Roumanie - România
    • Lieux d’archivages  : Anarhiva
    • Liste des thèmes  : art : musique  ; émigration et immigration
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  : galas et actions de soutien  ; spectacle, concert, fête…
    notes :
    descriptif :
    Symbole(s) utilisé(s) :

    texte
    dessin : personne franchissant un mur avec des barbelés

    texte :

    Gluga Neagră - AKA Black Hood Society — www.gluganeagra.ro - AKA Black Hood Society

    ora 19:00, atelier DIY, Str. Pestalozzi Nr. 20

    Gattaca - liberated hardocre/crust (Cehia)
    Tyranie Identity - freedom fronted folk punks (Cehia)
    Iluzia - melodic punk rock in struggle (Slovacia)
    Livia Sura - balckened sludge / crust (România)

    + films & workshops
    Food not bombs in Prague and Timișoara
    www.realita.tv

    Vegan Buffet

    Photo Exhibition “Animal liberation-human liberation”
    “shots from the local hardcore punk scene” Distro’s

    Noborderfest #7

    Do it yourself Eastern European Festival
    26 Martie 2011

    Atelier DIY 32 […]


    sources :

    Atelier DIY/Gluga Neagră, “Afiș Noborderfest # 7 (2011),” Anarhiva, accessed May 31, 2024, https://anarhiva.com/items/show/362.




    [Feu aux prisons et au monde qui en a besoin]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Feu aux prisons et au monde qui en a besoin]. — Montréal : Montréal contre-information = Montreal counter-information = MTL Contre-info, . — 1 affiche (impr. photoméc.) : n. et b. ; [28 ?] × [43 ?] cm.

    • Affiches par pays  : Canada
    • Lieux d’archivages  :
    • Liste des thèmes  : prison  ; répression  ; révolte
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  : Coutel, Serge  ; Dimitrakis, Yiannis  ; Weir, Jean
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  :
    notes :
    descriptif :
    Symbole(s) utilisé(s) :

    texte

    photo (porte de cellule de prison, barbelés)

    texte :

    Feu aux prisons et au monde qui en a besoin

    La prison n’est rien de plus qu’un reflet de la société dans laquelle nous vivons. Notre société ressemble à une grande prison à ciel ouvert ; avec la menace de mourir de faim si vous ne dépensez pas votre énergie pour le capitalisme dans un travail dépourvu de sens, avec des caméras à chaque coin de rue, avec la police intimidant et assassinant dans la rue comme les screws font pour ceux et celles enfermé.es dans des cages et avec des frontières tracées en tant que murs par nos dirigeant.es. L’intérieur et l’extérieur de la prison ne diffèrent que par leur degré d’intensité, mais les deux sont basés sur la domination, l’aliénation et le contrôle.

    L’État n’est pas intéressé à réduire le crime, mais à augmenter le contrôle social. L’emprisonnement décent, comme un capitalisme humain, n’existe pas. L’emprisonnement – être pris en otage par l’État – est une raison en soi pour se rebeller contre les screws et leurs barbelés. Tout comme dans la rue, il y a des gens dans les prisons, les établissements psychiatriques et les centres de détention qui ne sont pas en paix avec leurs conditions, qui n’ont pas enterré un certain goût pour la liberté simplement parce qu’un.e juge a décidé qu’ils vivraient dans une cage. Au sein de ces murs, il y a celles qui refusent le quotidien d’humiliation d’obéir aux gardes, dont les murs et les barbelés ne sont pas encore gravées dans leur cerveau, et qui plutôt les observent comme des obstacles qui doivent encore être surmontés. Le châtiment que le juge leur impose est une conséquence d’un monde qui est basé sur l’exploitation et l’obéissance, un monde qui ne pourrait pas fonctionner sans la menace constante de prison pour ceux qui choisissent de ne pas se soumettre à la misère qui les entourent.

    Des vagues de révoltes, d’émeutes et de rébellions sont très répandues dans le système pénitentiaire. En se soulevant, en brûlant les infrastructures de la prison, en attaquant les gardes et en s’échappant, certains prisonnier(ère)s ont redécouvert ce que le système a essayé de leur enlever : le courage, le désir de liberté et la volonté de mettre un terme à au moins une partie de cette société de domination par la rébellion contre elle.

    Notre désir de vivre libre de l’exploitation est sans valeur si nous ne sommes pas disposés à agir. La machine de la prison n’est pas aussi bien huilée qu’elle le semble, et celles à l’extérieur peuvent retrouver ses engrenages à chaque coin de rue – des architectes de prisons aux banques qui financent les prisons. Notre passion pour la liberté est plus forte que leurs prisons !

    « C’est la plus terrible institution de notre époque que cette justice, fatiguée de surenchérir sur le crime qu’elle prétend punir ; ne crucifiant plus, n’écartelant plus, de dépeçant plus, n’empalant plus, ne brûlant plus et, même, ne décapitant plus. Il n’y a plus ni fer, ni roue, ni gibet, ni bûcher, ni rien. Ce qui remplace tout, c’est le temps. La vie amputée du temps ! C’est ça la prison : du temps infligé dans sa nudité. On ne tue pas, on laisse mourir. »
    – Serge Coutel

    « Même si les prisons étaient transformées d’entrepôts d’humain.es en hôtels de luxe, même si les prisonnier(ère)s de toutes les prisons recevaient des « réductions de peine », même si le passage à tabac à tous les jours des prisonnier(ère)s était remplacé par des accords sournois et assimilés par les politiques correctionnelles, conformément au modèle des « droits humains », même si les cellules blanches étaient peinturées en rose et que la méthadone remplaçait l’héroïne, nous resterions à jamais les ennemi.es de toute structure qui nous prive de notre liberté. Nous serons les rebelles à l’intérieur de vos hôtels de luxe et les incendiaires de la justice légale. Nous serons combattant.es éternel.les en amour avec la liberté. Des meilleures conditions de détention ne signifient rien de plus que l’amélioration des conditions de captivité. Pour nous, la question reste dans son essence, l’état de captivité en soi. »
    – Yiannis Dimitrakis, anarchiste brigand de banques emprisonné en Grèce

    « La prison n’est pas simplement un endroit, c’est aussi une condition : l’antithèse de ce qu’est la liberté. Par la même, l’absence de liberté est la prison et c’est seulement lorsque cette dernière est perçue comme condition propre qu’il devient possible d’entrer dans la dimension destructrice, sans mesure. »
    – Jean Weir

    sabotage.anarkhia.org - mtlcounter-info.org


    sources :

    https://mtlcounterinfo.org/prison/
    https://mtlcontreinfo.org/wp-content/uploads/2012/06/prison.pdf
    https://mtlcontreinfo.org/la-prison/
    https://mtlcontreinfo.org/wp-content/uploads/2012/06/feuxprison.pdf


    2012

    2012
    Affiches liées


    [Fire to the prisons and the world that needs them]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Fire to the prisons and the world that needs them]. — Montréal : Montréal contre-information = Montreal counter-information = MTL Contre-info, . — 1 affiche (impr. photoméc.) : n. et b. ; [28 ?] × [43 ?] cm.

    • Affiches par pays  : Canada
    • Lieux d’archivages  :
    • Liste des thèmes  : prison  ; répression  ; révolte
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  : Coutel, Serge  ; Dimitrakis, Yiannis  ; Weir, Jean
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  :
    notes :
    descriptif :
    Symbole(s) utilisé(s) :

    text

    photo (porte de cellule de prison, barbelés)

    texte :

    Fire to the prisons and the world that needs them

    Prison is nothing more than a reflection of the society in which we live. Our society resembles a great open-air prison ; with the threat of starvation if you don’t spend your energy on meaningless work for capitalism, with cameras on every corner, with the police intimidating and murdering in the streets like the jailers do to those locked in cages, and with borders drawn by our rulers serving as walls. The inside and outside of prison only differ in their degree of intensity, but both are based on domination, alienation, and control.

    The state is not interested in reducing crime, but in increasing social control. Decent imprisonment, like a humane capitalism, does not exist. Imprisonment – being held hostage by the state – is a reason in itself to rebel against jailers and their barbed wire. Just like on the street, there are people in the prisons, psychiatric institutions, and detention centres who do not come to peace with their conditions, who do not bury a certain taste for freedom just because a judge decides that they will live in a cage. Within these walls, there are those who refuse the daily humiliation of obeying the guards, for whom the walls and the barbed wire are not yet seared into their brains, and who rather observe them as obstacles that have yet to be overcome. The punishment that the judge imposes upon them is a consequence of a world that is based on exploitation and obedience, a world that would not function without the constant threat of prison for those who choose to not submit to the misery surrounding them.

    Waves of revolts, riots, and rebellions are widespread within the prison system. By rising up, by burning the prison’s infrastructure, by attacking guards, and by escaping, some prisoners have rediscovered what the system has tried to take from them : courage, the desire for freedom, and the will to put an end to at least a part of this society of domination through rebellion against it.

    Our desire to live free of exploitation is worthless if we are unwilling to act on it. The prison machine isn’t as well oiled as it seems, and those on the outside can find its gears on every street corner – from prison architects to banks that finance prisons. Our passion for freedom is stronger than their prisons !

    It’s the most terrible institution of our era, this justice, tired of outbidding the crime it pretends to punish ; it no longer crucifies, tears apart, skins, impales, brands, and even beheads. There is no longer the iron, the wheel, the gallows, the stake, or anything. What replaces them is time. Life amputated by time ! This is prison : time imposed in its nakedness. We no longer kill, we let die.
    – Serge Coutel

    Even if prisons were transformed from human storerooms into luxury hotels, even if the prisoners of all prisons are satisfied with ‘reduced sentences’, even if the everyday beatings of prisoners are replaced by sly agreements and assimilated by correctional policies in accordance with the ‘human rights’ model, even if the ‘white cells’ turn ‘pink’ and heroin gives way to methadone we will remain forever enemies of any structure that denies us our freedom. We will be the rebels inside your luxury hotels and the arsonists of legal justice. We will be eternal fighters in love with freedom. Better prison conditions mean nothing more than improved conditions of captivity. For us the issue remains in its essence, the condition of captivity in itself.
    – Yiannis Dimitrakis, anarchist bank robber imprisoned in Greece

    Prison is not simply a place, it is also a condition, the antithesis of which is freedom. By the same token, the absence of freedom is prison, and only when the latter is perceived as one’s own condition does it become possible to enter the destructive dimension without measure…Nothing less will do.
    – Jean Weir

    sabotage.anarkhia.org - mtlcounter-info.org


    sources :

    https://mtlcounterinfo.org/prison/
    https://mtlcontreinfo.org/wp-content/uploads/2012/06/prison.pdf
    https://mtlcontreinfo.org/la-prison/
    https://mtlcontreinfo.org/wp-content/uploads/2012/06/feuxprison.pdf


    2012

    2012
    Affiches liées


    [La Biblibre : Bibliothèque libertaire, anticapitaliste et antiautoritaire]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    La Biblibre : Bibliothèque libertaire, anticapitaliste et antiautoritaire]. — Bruxelles = Brussels Bruxelles : la Biblibre, [ ?]. — 1 affiche (photocop. ), coul. (quadri ) ; 41 × 29 cm.

    • Affiches par pays  : Belgique
    • Lieux d’archivages  :
    • Liste des thèmes  : édition  ; littérature (généralités)
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  : lieux — librairies...
    notes :
    descriptif :
    Symbole(s) utilisé(s) :

    [ texte ; dessin couleur (maison-livres avec personnages, lisant, jardinant et se protégeant contre des barbelés, menottes et caméra de surveillance) ]

    texte :

    La Biblibre

    Bibliothèque libertaire, anticapitaliste et antiautoritaire

    Tout est lisse et bien rangé, dans nos vies comme dans nos têtes. Le chemin est tout tracé, notre rôle : le suivre, sans trop (y) penser.

    Quittons un instant l’asphalte de l’ordre étable. Soyons ces mauvaises herbes qui poussent sans qu’on leur en donne le droit, et trouvons un temps et un lieu pour la contestation, pour sortir des sentiers battus et des entraves de la vie qu’on nous a choisie. Notre but n’est pas seulement de bousculer ces frontières mais bien de les détruire, une par une, jusqu’à la dernière.

    C’est autour du livre que nous voulons entamer cette démarche : que la Biblibre soit un laboratoire d’idées, de rencontres et d’initiatives à la recherche de nos propres solutions. Les textes choisis ont pour but de donner à penser, et tous les types d’écrits y ont donc leur place, les plus théoriques comme les romans et la poésie. Dans ce monde qui ne nous laisse guère de place pour vivre, nous voulons créer cet espace de liberté et de réflexion dans lequel les livres prendraient sens en étant lus et discutés. Nous souhaitons, par nos lectures et nos débats, contribuer à la construction, d’autres formes de pensée et d’action, d’un point de vue libertaire, anticapitaliste et antiautoritaire.

    Afin de rester fidèles à ces principes, la Biblibre constitue un espcae autonome et autogéré, qui n’est soumis à aucune règle extérieure, libre de tout système hiérarchique ou économique. Son existence n’est due qu’à la volonté de chacun et aux donations libres.

    Bibliothèque libre et autogérée
    Ouverte du lundi au vendredi
    de 12 h à 14 h et le mardi de 17 h à 21 h
    131 av. Buyl, 1050 Bruxelles.
    labiblibre@riseup.net


    sources :

    Affiche parue en plusieurs formats


    [ 2011 ?]

    [ 2012 ?]
    Affiches liées


    [La Biblibre : Bibliothèque libertaire, anticapitaliste et antiautoritaire]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    La Biblibre : Bibliothèque libertaire, anticapitaliste et antiautoritaire]. — Bruxelles = Brussels Bruxelles : la Biblibre, [ ?]. — 1 affiche (photocop. ), coul. (quadri ) ; 53 × 37 cm.

    • Affiches par pays  : Belgique
    • Lieux d’archivages  : Anarchief (Gent)
    • Liste des thèmes  : édition  ; littérature (généralités)
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  : lieux — librairies...
    notes :
    descriptif :
    Symbole(s) utilisé(s) :

    [ texte ; dessin couleur (maison-livres avec personnages, lisant, jardinant et se protégeant contre des barbelés, menottes et caméra de surveillance) ]

    texte :

    La Biblibre

    Bibliothèque libertaire, anticapitaliste et antiautoritaire

    Tout est lisse et bien rangé, dans nos vies comme dans nos têtes. Le chemin est tout tracé, notre rôle : le suivre, sans trop (y) penser.

    Quittons un instant l’asphalte de l’ordre étable. Soyons ces mauvaises herbes qui poussent sans qu’on leur en donne le droit, et trouvons un temps et un lieu pour la contestation, pour sortir des sentiers battus et des entraves de la vie qu’on nous a choisie. Notre but n’est pas seulement de bousculer ces frontières mais bien de les détruire, une par une, jusqu’à la dernière.

    C’est autour du livre que nous voulons entamer cette démarche : que la Biblibre soit un laboratoire d’idées, de rencontres et d’initiatives à la recherche de nos propres solutions. Les textes choisis ont pour but de donner à penser, et tous les types d’écrits y ont donc leur place, les plus théoriques comme les romans et la poésie. Dans ce monde qui ne nous laisse guère de place pour vivre, nous voulons créer cet espace de liberté et de réflexion dans lequel les livres prendraient sens en étant lus et discutés. Nous souhaitons, par nos lectures et nos débats, contribuer à la construction, d’autres formes de pensée et d’action, d’un point de vue libertaire, anticapitaliste et antiautoritaire.

    Afin de rester fidèles à ces principes, la Biblibre constitue un espcae autonome et autogéré, qui n’est soumis à aucune règle extérieure, libre de tout système hiérarchique ou économique. Son existence n’est due qu’à la volonté de chacun et aux donations libres.

    Bibliothèque libre et autogérée
    Ouverte du lundi au vendredi
    de 12 h à 14 h et le mardi de 17 h à 21 h
    131 av. Buyl, 1050 Bruxelles.
    labiblibre@riseup.net


    sources :

    Affiche parue en plusieurs formats


    [ 2012 ?]

    [ 2011 ?]
    Affiches liées








    [Vers le centre de rétention de Vincennes, manifestation sonore et nocturne]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Vers le centre de rétention de Vincennes, manifestation sonore et nocturne]. — Paris : [s.n.], . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (trois  : noir , rose , jaune , papier blanc ) ; 61 × 42 cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  :
    • Liste des thèmes  : émigration et immigration  ; prison
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  : meetings et manifestations
    notes :
    descriptif :
    Symbole(s) utilisé(s) :

    texte

    dessin (silhouette de manifestation, mats de hauts-parleurs et de sirènes ?, feux d’artifices)

    photo (pavage de rue, barbelés)

    texte :

    Vers le centre de rétention de Vincennes

    manifestation sonore et nocturne

    Les centres de rétention comme les autres lieux d’enfermement sont un des moyens répressifs pour l’État d’asseoir son pouvoir et d’étendre le contrôle sur la société. Ils sont banalisés et admis comme faisant partie d’un système qui fonctionne du mieux qu’il peut. De toute évidence, la machine rodée de la politique migratoire fait face à des individus qui ne veulent pas subir leur exploitation et leur enfermement.
    Des révoltes ont lieu dans les prisons pour étrangers en Europe et ailleurs.
    S’organiser pour lutter contre les centres de rétention et les fronti !res, c’est s’opposer aux outils de contrôle et de répression qui vont avec.

    Nous refusions de nous laisser contrôler et enfermer dans des prisons et des frontières.
    Attaquons les lieux d’enfermement et le système qui les produit.

    liberté pour toutes et tous, avec ou sans papiers

    Vendredi 16 novembre à 18 h à l’heure !
    à la gare de Joinville-le-Pont (RER A)


    sources :
     




    [De la lutte en milieu urbain]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    De la lutte en milieu urbain]. — Paris : CNT_F (France), . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (quadri ) ; [41 ?] × [30 ?] cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  :
    • Liste des thèmes  : architecture  ; art : cinéma  ; contrôle social  ; syndicalisme : syndicalisme révolutionnaire  ; urbanisme
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  : Clerval, Anne  ; Debry, Jean-Luc (1954-....)  ; Fibre, La  ; Garnier, Jean-Pierre (1940-....)
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  : conférence, débat…  ; spectacle, concert, fête…
    notes :
    descriptif :
    Symbole(s) utilisé(s) :

    [ texte ; photo (barbelés) ; dessin (esquisse de ville moderne forteresse) ; empreinte de patte de chat avec griffes ]

    texte :

    De la lutte en milieu urbain

    Quelles stratégie pour la reconquête du « droit à la ville » ?

    Venez participer à cet après-midi d’échanges et de réflexions entre militant-es, étudiant-es, universitaires et habitant-es, sur les résistances et alternatives aux politiques urbaines fondées sur la marchandisation, la privatisation et la remise en cause des solidarités de classe. Quatre débats seront organisés autour des questions de gentrification, de contrôle sécuritaire, d’étalement urbain et de résistances. Chaque débat commencera par une courte intervention d’un-e militant-e ou d’un-e universitaire, suivie par un débat avec les personnes présentes.

    Après-midi de rencontre et de débat autour des questions urbaines

    samedi 16 novembre 2013 à partir de 14 h

    à la CNT-F au 33 rue des Vignoles - Paris 75020
    Contact : cnt.esa@gmail.com
    entrée : prix libre

    Introduction de la journée par les membres de la section syndicale CNT de l’école spéciale d’architecture

    14h-15h : Le sens politique de la gentrification
    Débat introduit par Anne Clerval, géographe

    15h-16h : La ville sous contrôle sécuritaire
    Débat introduit par Jean-Pierre Garnier, sociologue

    16h-17h : L’étalement urbain
    Débat introduit par Jean-Luc Debry

    17h30-18h15 : Projection du film Marseille, capitale de la rupture
    Réalisation et production LA RABIA DEL PUEBLO (20’13) ©

    18h15-18h30 : Le 33, au cœur du droit à la ville…

    19h-20h : Les stratégies de lutte pour le droit a la ville

    21h00 : Concert de soutien - La Fibre
    (Cegi, Dayer, Gangrène, Sticky Snake) - Rap Rouge & Noir – Aveyron
    http://lafibre.bandcamp.com/album/s-t

    Table de presse assurée par la librairie Quilombo
    23 rue voltaire, 75011 Paris - www.librairie-quilombo.org

    Cet après-midi d’échanges et de débats est proposé par la section syndicale cnt-ste75 de l’École spéciale d’architecture.

    la journée se terminera par une soirée-concert avec petite restauration et bar autogéré.

    CNT ESA


    sources :

    http://www.cnt-f.org/IMG/pdf/affiche_lutte_final_bd.pdf


    2014
    Affiche liée







    [Mutins ! : Serge Utgé-Royo invite…]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Mutins ! : Serge Utgé-Royo invite…]. — Paris : [s.n.], . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (quadri ) ; 60 × 42 cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  :
    • Liste des thèmes  : art : chanson
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  : Utgé Royo, Serge (1947-....)
    • Presse citée  : Radio libertaire
    • Vie des mouvements  : spectacle, concert, fête…
    notes :
    descriptif :
    Symbole(s) utilisé(s) :

    texte

    peinture (fusil planté dans un champ de bataille) par Juan Chiara Ventura

    texte :

    Vingtième Théâtre, nouveau Théâtre de Novembre
    7, rue des Plâtriers 75020 Paris. Tél : 01 43 66 01 13. Métro Ménilmontant

    Mutins !

    Serge Utgé-Royo

    invite
    Jérémie Bossone
    Michel Bühler
    Frasiak
    Bernard Joyet
    Annick Roux
    Nathalie Solence
    Francesca Solleville…

    17-18 novembre 2014 - 20 h
    01 43 52 20 40

    www.utgeroyo.com
    [logos :] Mistiroux productions — l’autre distribution - Noirs coquelicots - SRC billetterie spectacles — fnac.com - Mistimusic shop - Mairie de Paris

    Peinture : Juan Chiara Ventura - Imprimé en France par Mistiroux Productions - Licence 2-1035881


    sources :
     






    [Bienvenue à Haren !]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Bienvenue à Haren !]. — Bruxelles = Brussels Bruxelles : [s.n.], [ & ante]. — 1 affiche (sérigr. ), coul. (deux ) ; 42 × 30 cm.

    • Affiches par pays  : Belgique
    • Lieux d’archivages  :
    • Liste des thèmes  : prison
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  :
    notes :
    descriptif :
    Symbole(s) utilisé(s) :

    titre

    dessin (caméra de surveillance, vue d’enfant jouant au ballon dans la rue, depuis une clôture barbelée)

    texte :

    Bienvenue à Haren !


    sources :

    Série de sérigraphie de 2015 contre la future prison de Haren (Bruxelles) qui ouvre en 2022.


    [ 2015 & ante]
    Affiche liée


    [Bienvenue à Haren !]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Bienvenue à Haren !]. — Bruxelles = Brussels Bruxelles : [s.n.], [ & ante]. — 1 affiche (sérigr. ), coul. (trois ) ; 28 × 25 cm.

    • Affiches par pays  : Belgique
    • Lieux d’archivages  :
    • Liste des thèmes  : prison
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  :
    notes :
    descriptif :
    Symbole(s) utilisé(s) :

    titre

    dessin (caméra de surveillance, vue d’enfant jouant au ballon dans la rue, depuis une clôture barbelée)

    texte :

    Bienvenue à Haren !


    sources :

    Série de sérigraphie de 2015 contre la future prison de Haren (Bruxelles) qui ouvre en 2022.


    [ 2015 & ante]
    Affiche liée



    [De werkelijke crisis is het dagelijks leven : vrijheid begint met de vernietiging van de gevangenismaatschappij]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    De werkelijke crisis is het dagelijks leven : vrijheid begint met de vernietiging van de gevangenismaatschappij]. — [S.l.] : [s.n.], [ & ante]. — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (deux  : noir , vert , papier blanc ) ; 42 × 60 cm.

    • Affiches par pays  :
    • Lieux d’archivages  :
    • Liste des thèmes  : liberté  ; prison  ; soumission  ; vie_ quotidienne
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  :
    notes :
    descriptif :
    Symbole(s) utilisé(s) :

    texte

    photo (Steve McQueen, en moto, franchissant des barbelés)

    texte :

    De werkelijke crisis is het dagelijks leven

    De zogenaamde keuzes die we maken, een veilige baan, een huis met hypotheek, een snelle auto en eenmaal per jaar een vakantie naar een exotisch oord om bij te komen van de dagelijkse stress, zijn allemaal vastgerot binnen hetzelfde kader, met de alsmaar toenemende tijdsdruk om zo snel mogelijk al onze taken af te krijgen om daarna te kunnen “genieten van het leven”.

    Maar wat valt er te genieten als het hele leven al bepaald is, als we weten dat dit zogenaamde geluk slechts van korte duur is, omdat we morgen onze “vrijheid” weer inruilen voor een slavenbestaan, aan de kettingen van de bazen en het geld ?

    Zou je niet liever met opgeheven hoofd weglopen in plaats van ontslagen te worden ? Zou je niet liever je baas in het gezicht spugen wanneer hij je vernedert, in plaats van het gelaten over je heen te laten gaan uit angst je miezerige baantje kwijt te raken ? Waar zijn we eigenlijk bang voor ?

    Zolang wij ons als geslagen honden blijven neerleggen bij het leven in een wereld die iedere dag meer de kenmerken van een gevangenis vertoont, en de regels accepteren die ons worden opgedrongen, zal het leven blijven wat het is : een valse werkelijkheid waarin al onze keuzes al voor ons gemaakt zijn.

    Onze verlangens treden buiten het veilige kader van de maatschappij, ze gaan er ver voorbij, tot aan een horizon waarvan we nu slechts kunnen dromen. Onze verlangens kunnen niet bevredigd worden door een wereld die uit alle macht probeert ze teniet te doen, een wereld die ons iedere dag meer opsluit binnen haar verstikkende grenzen.

    Vrijheid begint met de vernietiging van de gevangenismaatschappij


    sources :
     









    [Québec Ministry of Public Security vehicles attacked]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Québec Ministry of Public Security vehicles attacked]. — Montréal : Montréal contre-information = Montreal counter-information = MTL Contre-info, . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (deux  : noir , bleu ) ; 43 × 28 cm.

    • Affiches par pays  : Canada
    • Lieux d’archivages  :
    • Liste des thèmes  : insurrectionnalisme  ; police  ; prison  ; révolte  ; sabotage / sabottage
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  : soutien à militants
    notes :
    descriptif :
    Symbole(s) utilisé(s) :

    texte

    dessins (couteaux et barbelés)

    texte :

    Québec Ministry of Public Security vehicles attacked

    November 2013

    “Recently, we paid a visit to the parking lot of the Ministry of Public Security of Quebec at 600 Fullum, and doused their official vehicles with paint stripper and slashed the tires.

    The Ministry of Public Security of Quebec is responsible for, among other things, overseeing the municipal and provincial police and provincial prisons. Ultimately, it is the ministry that is responsible for all aspects of the conditions of imprisonment in Quebec – from the conduct of the police to the items available in canteen.

    As we write this, there are two ongoing shows of resistance to the prison system in Canada. One is a hunger strike undertaken by detained immigrants in Ontario who are not accused of any crime, but are detained awaiting deportation proceedings.

    Their demands include better treatment and an end to detention of immigrants without criminal charges. The hunger strike is now in its fifth week. The second is a work strike in many federal prisons across the country to protest the recent 30% pay cut for all federal prisoners. The government justifies the pay cut by claiming they are taking room and board from the prisoners. Not only do prisoners already have to work to maintain their own prisons but they will now have to pay to be imprisoned. This pay cut is part of a broader trend in which prisoners face worsening conditions – from longer sentences, stricter parole, double-bunking, and fewer programs in prison.

    Solidarity to prisoners in struggle ; for an end to all prisons and police. And to Youri and Guillaume, G20 prisoners, in Bordeaux provincial prison in Montreal.”

    More info at
    mtlcounter-info.org


    sources :

    Une des 24 affiches parue avec Montréal contre-information n° 1 (hiver 2015-hiver 2017).

    https://mtlcontreinfo.org/wp-content/uploads/2017/03/MTLCI-affiches.pdf
    https://mtlcounterinfo.org/quebec-ministry-of-public-security-vehicles-attacked-2/
    https://mtlcontreinfo.org/wp-content/uploads/2015/11/knives.pdf


    2015

    2015
    Affiches liées



    [Véhicules du ministère de la Sécurité publique du Québec attaqués]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Véhicules du ministère de la Sécurité publique du Québec attaqués]. — Montréal : Montréal contre-information = Montreal counter-information = MTL Contre-info, . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (deux  : noir , bleu ) ; 43 × 28 cm.

    • Affiches par pays  : Canada
    • Lieux d’archivages  :
    • Liste des thèmes  : insurrectionnalisme  ; police  ; prison  ; révolte  ; sabotage / sabottage
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  : soutien à militants
    notes :
    descriptif :
    Symbole(s) utilisé(s) :

    texte

    dessins (couteaux et barbelés)

    texte :

    Véhicules du ministère de la Sécurité publique du Québec attaqués

    Novembre 2013

    « Récemment, nous avons visité le stationnement du ministère de la sécurité publique du Québec situé au 600 rue Fullum. Nous avons versé du décapant à peinture sur leurs véhicules officiels et crevé les pneus. Le ministère de la sécurité publique du Québec est entre autres responsable de la supervision de la police provinciale, des polices municipales et des prisons provinciales. Ce ministère est responsable de tous les aspects des conditions d’emprisonnement au Québec – du comportement des flics aux items disponibles à la cantine.

    Au moment de la publication de ce texte, il y a deux démonstrations de résistance au système carcéral au Canada. La première est une grève de la faim engagée par des immigrant-e-s détenu-e-s en Ontario, accusé-e-s d’aucun crime, en attente de procédures de déportation. Leurs revendications incluent de meilleurs traitements ainsi que la fin des détentions d’immigrant-e-s sans accusation criminelle. La grève de la faim en est présentement à sa cinquième semaine. La seconde est une grève du travail en cours dans plusieurs prisons fédérales à travers le pays, protestant contre la coupure de salaire de 30% pour tou-tes les détenu-e-s des prisons fédérales. Le gouvernement justifie cette coupure en annonçant que les prisonnier-e-s doivent payer une pension. Non seulement les prisonnier-e-s doivent déjà travailler au maintien de leur propre prison, mais ils devront dorénavant payer pour leur emprisonnement. Cette coupure de salaire fait partie d’une tendance plus large à empirer les conditions d’emprisonnement - sentences plus longues, libérations conditionnelles plus strictes, cellules doublement occupées et diminution des programmes en prison.

    Solidarité avec les prisonnier.e.s en lutte ; pour en finir avec la police et toutes les prisons. Et avec Youri et Guillaume, prisonniers du G20 à la prison provinciale de Bordeaux à Montréal. »

    Plus d’info sur
    mtlcounter-info.org


    sources :

    Une des 24 affiches parue avec Montréal contre-information n° 1 (hiver 2015-hiver 2017).

    https://mtlcontreinfo.org/wp-content/uploads/2017/03/MTLCI-affiches.pdf
    https://mtlcounterinfo.org/quebec-ministry-of-public-security-vehicles-attacked-2/
    https://mtlcontreinfo.org/wp-content/uploads/2015/11/knives.pdf


    2015

    2015
    Affiches liées


    [Anarchistische muurkrant, #2, december 2016]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Anarchistische muurkrant, #2, december 2016]. — [S.l.] : Vrije Bond, . — 1 affiche (impr. photoméc.) : n. et b. ; 42 × 30 cm.

    • Affiches par pays  : Pays-Bas
    • Lieux d’archivages  :
    • Liste des thèmes  : censure  ; police
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  : Anarchistische muurkrant (2016-....)
    • Vie des mouvements  : journal mural
    notes :
    descriptif :
    Symbole(s) utilisé(s) :

    tekst

    tekening

    texte :

    Anarchistische muurkrant


    #2, december 2016

    Vernietig de grenzen van fort Europa

    Over de militarisering van grenzn
    Terwijl producten en geldstromen vrij over de wereld kunnen reizen worden er hekken opgetrokken dwars door het Europese landschap. Militairen en agenten worden naar de grenzen gestuurd en duizenden mensen opgesloten in de concentratiekampen van het heden.

    De grenzen van fort Europa zijn gesloten, de hekken opgetrokken uit staal en prikkeldraad. de zeeën afgesloten door militairen. Mensen die een helse tocht hebben ondernomen opzoek naar een beter leven worden bestempeld als ongewenst. De hetze tegen migranten word volop gevoerd om maar niet te hoeven zien wat de werkelijke problemen zijn die ons allen aangaan. De nekken aan de grenzen en de militarisering van de straten zijn niet bedoeld om ons te beschermen tegen een zogenaamde vloedgolf van vluchtelingen. De grenzen zijn er voor om de elite te beschermen en zijn niets meer dan de tentakels van de al controlerende en repressieve staat. Die staat, die er alles aan doet om iedereen in het gareel te houden. het gareel van werk, uitbuiting en onderdrukking.

    Want aan de wortels van de grote migratiestromen liggen de westerse oorlogen om grondstoffen. de wapenhandel en uitbuiting. Deze oorlogen die onder het mom van oa terrorisme bestrijding worden gevoerd zijn niets meer dan een gewelddadige handelsmissie om de zakken te vullen van grote bedrijven, hun managers en bazen. En terwijl zij zich kunnen blijven verreiken mogen de mensen in Nederland en overal over de wereld elke dag zich kapot werken om te kunnen overleven. om zo diezelfde zakken te blijven vullen.

    En dat is nou juist wat ons verbind. niet alleen dat we allen mens zijn maar dat we allen onderhevig zijn aan dezelfde sociale constructie van uitbuiting en onderdrukking. We moeten niet meegaan in de zondebok-politiek van vluchtelingen de schuld geven van allerhande sociale problemen zoals huisvesting en armoede. Het zijn niet de migranten die deze problemen veroorzaken. Het zijn de bazen en de uitbuiters. Het gehele partijpolitieke spectrum van links tot rechts iaat het toe dat betaalbare woningen worden gesloopt en er alleen nog luxe appartementen voor terugkomen en houd armoede in stand. Omdat het niet in hun interesse is werkelijke gelijkheid te bewerkstelligen. omdat met werkelijke gelijkheid ze niet meer kunnen profiteren en hun vriendjes van grote bedrijven zich niet meer eindeloos kunnen verrijken.

    Door de grenzen en straten te militariseren met agenten met machinegeweren op de hoek van de straat en met militairenpolitie laat de staat slechts zien dat zij met geweld iedereen kunnen dwingen te doen wat zij willen. Dat ze iedereen in de rij kunnen laten lopen om hun belangen na te streven in plaats van werkelijke vrijheid. Maar niets is minder waar, we kunnen en moeten de kettingen van de onderdrukking verbreken. Willen we werkelijk vrij zijn dan moeten we juist die staat, die militarisering en hun grenzen aanvallen en vernietigen. Vernietigd de grenzen zodat we allen in vrijheid kunnen leven.

    Repressie tegen Muurkrant
    De eerste Anarchistische Muurkrant maakte de politie en het Openbaar Ministerie behoorlijk zenuwachtig. Bij het plakken van de eerste Muurkrant. met cie titel ’Weg met de politie en de staat ! Leve de opstand !’ over de opstand in de Schilderswijk in 2015 werd in Den Haag een kameraad opgepakt.

    Hij werd door het OM beschuldigd var opruiing tegen het gezag en aanzetten tot haat. In de rechtszaak die volgde werd acht weken celstraf geèist. Uiteindelijk kwam de rechter tot vrijspraak maar het OM legt zich daar niet bij neer en is in hoger beroep gegaan.

    Ondanks deze vervolging zijn er na de arrestatie nog volop Muurkranten geplakt en verspreid. We laten ons niet de mondsnoeren en zijn niet geinteresseerd wat de politie en het OM van de teksten die op de Muurkrant staan vind. Dus hier de nieuwe Anarchistische Muurkrant !

    Je kan de Muurkrant ook downloaden en zelf aanplakken en verspreiden. Kijk voor ie download en de vorige Muurkant op :
    autonomendenhaag.wordpress com


    sources :