CNT_F (France)

(1993-....)

La CNT-F (ou CNTF) est une des deux organisations nées d’une scission de la CNT-Confédération nationale du travail (France) en 1993. Elle est aussi appelée CNT-Vignoles.

Fin 2012, une scission crée la CNT-Solidarité Ouvrière (CNT-SO).

Au moins 4 ouvrages recensés dans le Catalogue général des éditions et collections anarchistes francophones.
Au moins 1 carte postale anarchiste parue avec ce nom. Voir sur Cartoliste.

 

Affichage par année

360 affiches :

 





    [Festival de la CNT, 2016 : Salon du livre]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Festival de la CNT, 2016 : Salon du livre]. — Montreuil (Montreuil-sous-Bois) ; Paris : CNT_F (France) : La Parole errante, . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (deux  : rouge , noir , papier blanc ) ; x × y cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  :
    • Liste des thèmes  : édition
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  : Davranche, Guillaume (1977-....)  ; Debeuf, Alain  ; Jacquier, Charles  ; Maricourt, Thierry (1960-....)
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  : salon, foire  ; spectacle, concert, fête…
    notes :
    descriptif :
    Symbole(s) utilisé(s) :

    [ texte ]

    texte :

    Confédération nationale du Travail — 33, rue des Vignoles, Paris XXe

    Festival CNT

    Salon du livre

    24-25-26 juin

    La Parole Errante — 9, rue François-Debergue — Montreuil

    Les éditeurs et revues
    Éditions CNT-TP, Éditions Libertalia, Éditions libertaires, L’Échappée, Éditions Ab-irato - Oiseau tempête, Éditions les Bons caractères, Éditions La Ville brûle, Les Fondeurs de brique, L’œil d’or, Éditions du Sextant, Éditions Albache, Éditions Repas, Éditions Entremonde, Éditions antisociales, Berg international, Éditions du Croquant, Éditions Plein Chant, La Digitale, Les Liens qui libèrent, Lux éditeur, Éditions Tirésias, Éditions Les Prairies ordinaires, Lignes (éditions et revue), Amsterdam, Éditions du Temps perdu, Éditions de L’Éclat, Raison d’agir, revue Ballast, Z, Article XXI, CQFD, Pages 2, Acratie éditions, L’Insomniaque, Infokiosque, Smolny, La Dispute, Parangon / revue Entropia, Hobo diffusion,
    et les librairies Quilombo et Publico

    Les auteurs
    Olivier Pinalie, Patrick Marcolini, Samuel Hayat, Michèle Riot-Sarcey, Julie Duchatel, Thierry Maricourt, Raphaële Perret, Miguel Benasayag, François Jarrigue, Céline Pessis, Renaud Garcia, Christophe Darmengeat, Anselme Jappe, Marin Ledun, Dominique Manotti, Christian Roux, Patrick Pécherot, Guillaume Davranche, Charles Jacquier, Alain Debeuf, William Blanc, Olivier Favier,
    et biens d’autres

    www.cnt-f.org/festival-cnt — br.rp@cnt-f.org — 06 95 45 67 62

    [logo chat cerclé CNT]

    Entrée prix libre


    sources :

    http://www.cnt-f.org/festival-cnt/


    2016

    2016

    2016
    Affiches liées















    [Non à la désintégration du Code du travail !]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Non à la désintégration du Code du travail !]. — Paris : CNT_F (France), . — 1 affiche (impr. photoméc.) : n. et b. ; x × y cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  :
    • Liste des thèmes  : grève  ; travail, emploi
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  :
    notes :
    descriptif :
    Symbole(s) utilisé(s) :

    [ texte ; dessin (affiche aux poissons vue en plongée : « C’est toutes et tous ensemble qu’il faut lutter : grève générale ! ») ]

    texte :

    « C’est toutes et tous ensemble qu’il faut lutter : grève générale ! — www.cnt-f.org »

    Non à la désintégration du Code du travail !

    Malgré les quelques miettes concédées aux syndicats réformistes pour acheter leur adhésion, rien n’a changé, l’objectif reste le même I Ce projet de loi est une véritable régression historique en matière de droits sociaux : de nombreux acquis des travailleurs pourront être renégociés à l’échelle des entreprises où le rapport de force sera systématiquement défavorable aux salariés.

    Décryptage :
    les principes fondamentaux du code du travail remis en cause

    1- L’inversion de la hiérarchie des normes, c’est livrer les pleins pouvoirs au patronat
    Un accord d’entreprise est un accord conclu entre un employeur et une ou plusieurs organisations syndicales en vue de fixer des règles relatives aux conditions de travail, à l’emploi ou aux garanties sociales des salariés. Jusqu’ici la loi primait sur l’accord de branche qui primait sur l’accord d’entreprise, sauf si l’accord de branche ou d’entreprise étaient plus favorables. Avec le projet de loi, c’est l’accord d’entreprise qui prévaut sur l’accord de branche, même si celui-ci est moins favorable aux salariés.

    2- Recours au référendum pour bâillonner les syndicats de lutte
    Les règles de la négociation collective ont été également modifiées pour recourir au référendum afin de contourner la discussion syndicale. Cette pratique, qui veut faire croire à plus de démocratie, prendra en réalité la forme d’un chantage pour les salariés en leur proposant de renoncer à une part plus ou moins importante de leurs acquis sociaux en échange du maintien de leur activité. La démocratie ne fonctionne qu’entre égaux, or dans une entreprise, il n’y a pas d’égalité entre le salarié et son patron, donc pas de démocratie réelle possible. De plus, le référendum d’entreprise sera également un outil formidablement pratique pour repérer et isoler les éléments contestataires puis briser l’action collective.

    3- Temps de travail et salaires modulables en fonction des besoins de l’entreprise
    Sur simple accord d’entreprise, les congés et les heures supplémentaires pourront être modifiés, assouplis, imposés. De plus désormais, refuser une modification de son contrat de travail (salaire, temps et lieux de travail) pourra mener à un licenciement pour faute grave sans contestation possible. Combien de salariés oseront encore s’opposer à leur employeur ? Combien de salariés oseront encore lutter pour de nouveaux droits ?

    4- Légalisation des licenciements abusifs
    Ce projet de loi a prévu de redéfinir le licenciement économique. Une entreprise pourra faire un plan social sans avoir de difficultés économiques. Une baisse ponctuelle des commandes ou du chiffre d’affaires permettra d’effectuer des licenciements. L’introduction à titre indicatif d’un barème des indemnités prud’homales en cas de licenciement illégal permettra à l’employeur de prévoir à l’avance les dépenses d’un licenciement sans motif réel, lui permettant ainsi de limiter les risques financiers. Combien de salariés oseront encore saisir les prud’hommes ?

    Confédération nationale du travail Nord Pas-de-Calais

    [logo « chat cerclé »] CNT


    sources :

    http://www.cnt-f.org/59-62/wp-content/uploads/affiche-cnt-decryptage-loi-travail.pdf
















    [5e Fête de l’autogestion]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    5e Fête de l’autogestion]. — Quimper : CNT_F (France), . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (quadri  : rouge , noir , papier blanc ) ; x × y cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  :
    • Liste des thèmes  : art : musique  ; autogestion  ; édition
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  : conférence, débat…  ; salon, foire
    notes :
    descriptif :
    Symbole(s) utilisé(s) :

    [ texte noir et rouge ; photo couleur (place urbaine avec meute sculptée de loups) ]

    texte :

    5e Fête de l’autogestion

    [logo "chat noir cerclé] CNT

    (L’Action directe en débat,

    des concerts, restauration sur place, des stands, des éditeurs, un marché gratuit et + encore !!!

    Samedi 22 septembre 2018

    11 h-20 h, entrée libre

    Esplanade F. Mitterrand, Quimper (entre la médiathèque et le théâtre de Cornouailles)

    L’action directe en débat

    11 h : « la désobéissance »

    14 h : « la réappropriation (squats, ZAD, milieux libres, …) »

    15 h : « les stratégies de propagande par le fait »

    17 h : « le syndicalisme »

    Des concerts

    Paul Cooper, chanson — Rrolande est furieuse, musique improvisée — Skaer Flaer, anarcho punk — Trio Cosa, musique improvisée — duo Diaminé, tarentelle — Platypus Theory, rock garage

    Des stands, des éditeurs, un marché gratuit

    Restauration : WhouAmap, Tri Martolod

    Éditeurs : La Digitale, Atelier de Création Libertaire, Publico, CNT-RP, Libertalia

    Stands : Enercoop, Quimper en roue libre, Food not bombs, AC !, Réseau Salariat, FASTI, Thomas Bouloù/ardecom29, Collectif entraide santé, Collectif Antifa29, Fraternité Quimper, Temps partagé, Stop Linky, CRABES, FA, Ensemble !, …


    sources :

    http://www.cnt-f.org/staf/wp-content/uploads/2018/08/Afficheprogramme.jpg













    [Non à la casse des conventions collectives !]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Non à la casse des conventions collectives !]. — Marseille : CNT_F (France) ; [et al.], . — 1 affiche (photocop. ) : n. et b. ; 42 × 30 cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  :
    • Liste des thèmes  : éducation  ; grève  ; luttes sociales (mouvement social)  ; santé
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  :
    • Vie des mouvements  :
    notes :
    descriptif :
    Symbole(s) utilisé(s) :

    texte

    texte :

    Non à la casse des conventions collectives !

    Dès aujourd’hui, commençons à préparer la riposte nationale du 31 mai et 1er juin !
    Grève et manifestation le 31 mai à 10h à la préfecture !
    Soirée de lutte à partir de 17 h 30

    En février 2022, le premier ministre annonçait l’élargissement du Ségur de la santé à l’ensemble du personnel éducatif dans le médico-social et le social. Plusieurs décrets publiés ce début mai montrent bien que le gouvernement nous a enfumé avec de "belles promesses" pour endormir la lutte.
    1. Il s’agit d’une prime calquée sur les accords Laforcade et non d’une revalorisation de salaire : pas de cotisation pour les retraites, et elle peut être supprimée à tout moment.
    2. Le secteur privé ne sera pas concerné par la prime Ségur sans accord préalable de fusion des conventions collectives.
    3. Ne sont concernés que les 3 fonctions publiques (d’État, hospitalière et territoriale)
    4. Pour ce qui est de la fonction publique territoriale, le choix est laissé aux départements et collectivités de verser ou non cette prime et de définir qui en seront les bénéficiaires.
    5. De nouvelles listes de professions ont été établies. Un tiers des profesionnel.les en seraient encore exclus.

    Destruction des conventions

    1- Les conventions collectives sont les textes qui définissent les règles particulières du droit du travail pour un secteur. Pour le social et médico-social, il existe 5 conventions principales garantissant certains droits (salaires, congés trimestriels etc).
    Il s’agit des CCNT66, Accords CHRS, CCNT 51, CCNT Croix Rouge et CCNT CLCC (en cas de doutes, votre convention de rattachement est indiquée sur vos fiches de paye).

    2 - La fusion de ces 5 conventions en une Convention Collective Unique Étendue est autorisée par la loi de 2014 (dite loi travail ou El Khomri). En réponse à cette initiative de l’État, les organisations patronales (NEXEM et FEHAPS rassemblées en AXESS) orchestrent cette fusion dans la continuité de la marchandisation de notre secteur.

    3- Aujourd’hui, AXESS dévoile son programme et ses grandes orientations : "réalisme" et "modularité". Des orientations libérales qui paraissent bien éloignées de nos demandes de fincancements pérennes à hauteur des besoins du public et de la valorisation de nos métiers.

    Un salaire à la "compétence"

    La CCUE instaure un isolement toujours plus grand des professionnel.les face à leur direction en instaurant une logique de négociation individuelle de son salaire (à partir de compétences évaluées directement par l’employeur).

    1- "Une rémunération minimale conventionnelle de l’emploi" calculée à partir des attendus de chaque poste. C’est la base de la rémunération mais à cela s’ajoute une part de salaire négociée au cas par cas.

    2- "Un complément de maîtrise de l’emploi" laissé à la liberté de la négociation employeur/salarié.e, ce complément vise à différencier les salarié.es selon des compétences non mesurables (aptitudes relationnelles, adaptabilité, travail en équipe etc). Ce complément "peut s’appuyer en partie sur le nombre d’années d’expériences", c’est-à-dire "une vision remaniée de l’ancienneté" dont on ne sait rien pour l’instant…

    En concret, c’est donc la mise en compétition des travailleur.euses du social sur un libre marché de l’emploi, où la négociation même de son salaire se fait seul.e face à son patron ! Accepter cette convention c’est aller vers des recrutements et des salaires injustes et inégaux. C’est aussi accepter la mise en danger des droits des personnes accompagnées et la baisse de qualification du personnel.

    Le social brûle

    facebook : le social brûle
    collectif 13 des travailleur-euses du social et du médico-social
    lesocialbrule@gmail.com


    sources :

    https://www.cnt-f.org/sam/IMG/png/34.png
    https://www.cnt-f.org/sam/IMG/png/34.png