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445 affiches :

 

    [Tabula rasa : journal mural contre la prison et tous les enfermements, n° 1, mai 2019]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Tabula rasa : journal mural contre la prison et tous les enfermements, n° 1, mai 2019]. — Caen : [s.n.], . — 1 affiche (photocop. ) : n. et b. ; 42 × 60 cm.

    • Affiches par pays  : France
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    • Liste des thèmes  : émigration et immigration  ; presse  ; prison
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    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  : Tabula rasa (Caen)
    • Vie des mouvements  :
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    descriptif :
    Symbole(s) utilisé(s) :

    texte

    texte :

    Tabula rasa

    journal mural contre la prison et tous les enfermements
    Parution irrégulière
    N° 1, mai 2019
    Caen

    Nous SOMMES CONTRE LES PRISONS, les frontières et tous les enfermements parce que nous pensons que le seul remède aux maux de cette société, c’est la liberté, la destruction de toute op-pression et exploitation, la destruction des fondements même de cet ordre social.

    Nous désirons faire payer à la mesure de nos moyens ce nouvel affront à notre liberté que constitue la construction d’une nouvelle prison à Caen, nous en prendre à ce système répressif, notamment à toutes les entreprises, les services publics et les associations, qui se font du fric avec la construction ou l’administration quotidienne de nouvelles prisons, de centres de rétention, qui participent de loin ou de plus près à administrer et contrôler nos vies au profit de l’État et du capital.

    Nous NE NOUS FAISONS PAS POUR AUTANT D’ILLUSIONS. Il y a peu de chance que nous arrivions à repousser ce projet de nouvelle prison. Et même si nous en venions à bout, nous n’aurions alors réussi qu’à ajourner une des trop nombreuses infrastructures de ce système répressif.

    Or, la répression ne s’exerce pas uniquement dans des infrastructures — taules, Centre de Rétention Administratifs, caméras, Hôpitaux Psychiatriques, etc. — ni seulement par ceux et celles qui les administrent, mais s’inscrit dans des rapports sociaux, un maillage de relations, des appareils idéologiques qui sont aussi importants à détruire.

    Nous avons également pleinement conscience que nous embourber dans un combat asymétrique et inégal avec l’État serait pour nous suicidaire, et que seul un mouvement insurrectionnel généralisé animé de perspectives révolutionnaires reste en mesure d’abattre ce tissu oppressif. Bref qu’on n’abat pas l’enfermement et le contrôle sans détruire le monde qui les produit.

    Cela ne suffira pas pour autant à nous résigner à supporter cette énième construction, parce qu’elle nous est insupportable. C’est dans cette perspective que nous souhaitons nous y attaquer pour rendre visible ce qu’État et capital veulent laisser invisible. Et participer à notre mesure à faire table rase de ce qui nous détruit.

    Tabula Rasa est l’un des moyens de faire vivre ce combat.

    Humaniser les prisons pour toujours plus enfermer !

    […]

    À Condé-sur-Sarthe, enfermement rime avec vengeance

    […]

    Pour bâtir des prisons, il faut des architectes

    […]


    sources :

    https://sansattendre.noblogs.org/archives/8158
    https://cras31.info/IMG/pdf/caen_tabula_rasa_1_et_2.pdf



    [Tabula rasa : journal mural contre la prison et tous les enfermements, n° 2, octobre 2019]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Tabula rasa : journal mural contre la prison et tous les enfermements, n° 2, octobre 2019]. — Caen : [s.n.], . — 1 affiche (photocop. ) : n. et b. ; 42 × 60 cm.

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    texte

    texte :

    Tabula rasa

    journal mural contre la prison et tous les enfermements
    Parution irrégulière
    N° 2, octobre 2019
    Caen

    Nous SOMMES CONTRE LES PRISONS, les frontières et tous les enfermements parce que nous pensons que le seul remède aux maux de cette société, c’est la liberté, la destruction de toute op-pression et exploitation, la destruction des fondements même de cet ordre social.

    Nous désirons faire payer à la mesure de nos moyens ce nouvel affront à notre liberté que constitue la construction d’une nouvelle prison à Caen, nous en prendre à ce système répressif, notamment à toutes les entreprises, les services publics et les associations, qui se font du fric avec la construction ou l’administration quotidienne de nouvelles prisons, de centres de rétention, qui participent de loin ou de plus près à administrer et contrôler nos vies au profit de l’État et du capital.

    Nous NE NOUS FAISONS PAS POUR AUTANT D’ILLUSIONS. Il y a peu de chance que nous arrivions à repousser ce projet de nouvelle prison. Et même si nous en venions à bout, nous n’aurions alors réussi qu’à ajourner une des trop nombreuses infrastructures de ce système répressif.

    Or, la répression ne s’exerce pas uniquement dans des infrastructures — taules, Centre de Rétention Administratifs, caméras, Hôpitaux Psychiatriques, etc. — ni seulement par ceux et celles qui les administrent, mais s’inscrit dans des rapports sociaux, un maillage de relations, des appareils idéologiques qui sont aussi importants à détruire.

    Nous avons également pleinement conscience que nous embourber dans un combat asymétrique et inégal avec l’État serait pour nous suicidaire, et que seul un mouvement insurrectionnel généralisé animé de perspectives révolutionnaires reste en mesure d’abattre ce tissu oppressif. Bref qu’on n’abat pas l’enfermement et le contrôle sans détruire le monde qui les produit.

    Cela ne suffira pas pour autant à nous résigner à supporter cette énième construction, parce qu’elle nous est insupportable. C’est dans cette perspective que nous souhaitons nous y attaquer pour rendre visible ce qu’État et capital veulent laisser invisible. Et participer à notre mesure à faire table rase de ce qui nous détruit.

    Tabula Rasa est l’un des moyens de faire vivre ce combat.

    Contre l’enfermement, abattons les frontières !

    […]

    Brèves de révoltes en centres de rétention

    […]


    sources :

    https://sansattendre.noblogs.org/archives/9328
    https://cras31.info/IMG/pdf/caen_tabula_rasa_1_et_2.pdf





    [Lisez l’info pour les mouvements sociaux : Rapports de force]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Lisez l’info pour les mouvements sociaux : Rapports de force]. — Montpellier : Rapports de force, . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (quadri ) ; 60 × 42 cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  : FACL (Fonds d’archives communistes libertaires)
    • Liste des thèmes  : communication : Internet  ; presse
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    texte

    photo (manifestant avec fumigène)

    texte :

    Lisez l’info pour les mouvements sociaux

    grève — lutte — sans-papiers - solidarité - féminisme - syndicats - répression - environnement - extrême droite - capitalisme - libertés

    Rapports de force

    [logo du site] — rapportsdeforce.fr — [lien QR Code]


    sources :

    Il existe une version autocollant
    https://rapportsdeforce.fr/le-coin-des-fans :

    Notre affiche
    Idéale sur votre panneau d’affiche syndical, pas si mal sur le frigo de votre colloc, parfaite dans le local militant ou la librairie sympa de votre commune, voici notre dernière production : l’affiche Rapports de force. Notre arme anti-algorithme pour 2022. Une façon de contourner les plateformes de type Facebook ou Twitter qui décident à votre place de ce que vous allez voir. Ici, du direct, les yeux dans les yeux. Ou plutôt les yeux sur nos affiches.
    – Nous vous la proposons en téléchargement dans sa version couleur. Il suffit de cliquer sur l’image. Vous pouvez donc en imprimer autant de copies que de lieux à décorer. Et pourquoi pas, en grand nombre pour égayer les rues de votre ville.
    – Il est également possible de la commander dans son format 60 cm par 40 cm ou dans sa version autocollant que nous vous enverrons par La Poste. Il suffit de faire un paiement ICI en précisant la nature de votre commande dans les commentaires.
    Affiches (frais de ports inclus)
    Lot de 3 affiches pliées : 2.50 €
    Lot de 7 ou 8 affiches pliées : 5 €
    (Pour des lots de 30, 60 ou 150 affiches à coller dans votre villes, nous contacter).
    Autocollants (frais de ports inclus)
    5 autocollants : 2€
    30 autocollants : 5€
    80 autocollants : 8€
    150 autocollants : 12€


    [Tabula rasa : journal mural contre la prison et tous les enfermements, n° 4, mai 2020]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Tabula rasa : journal mural contre la prison et tous les enfermements, n° 4, mai 2020]. — Caen : [s.n.], . — 1 affiche (photocop. ) : n. et b. ; 42 × 60 cm.

    • Affiches par pays  : France
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    • Presse citée  : Tabula rasa (Caen)
    • Vie des mouvements  :
    notes :
    descriptif :
    Symbole(s) utilisé(s) :

    texte

    texte :

    Tabula rasa

    journal mural contre la prison et tous les enfermements
    Parution irrégulière
    N° 4, mai 2020
    Caen

    Nous SOMMES CONTRE LES PRISONS, les frontières et tous les enfermements parce que nous pensons que le seul remède aux maux de cette société, c’est la liberté, la destruction de toute op-pression et exploitation, la destruction des fondements même de cet ordre social.

    Nous désirons faire payer à la mesure de nos moyens ce nouvel affront à notre liberté que constitue la construction d’une nouvelle prison à Caen, nous en prendre à ce système répressif, notamment à toutes les entreprises, les services publics et les associations, qui se font du fric avec la construction ou l’administration quotidienne de nouvelles prisons, de centres de rétention, qui participent de loin ou de plus près à administrer et contrôler nos vies au profit de l’État et du capital.

    Nous NE NOUS FAISONS PAS POUR AUTANT D’ILLUSIONS. Il y a peu de chance que nous arrivions à repousser ce projet de nouvelle prison. Et même si nous en venions à bout, nous n’aurions alors réussi qu’à ajourner une des trop nombreuses infrastructures de ce système répressif.

    Or, la répression ne s’exerce pas uniquement dans des infrastructures — taules, Centre de Rétention Administratifs, caméras, Hôpitaux Psychiatriques, etc. — ni seulement par ceux et celles qui les administrent, mais s’inscrit dans des rapports sociaux, un maillage de relations, des appareils idéologiques qui sont aussi importants à détruire.

    Nous avons également pleinement conscience que nous embourber dans un combat asymétrique et inégal avec l’État serait pour nous suicidaire, et que seul un mouvement insurrectionnel généralisé animé de perspectives révolutionnaires reste en mesure d’abattre ce tissu oppressif. Bref qu’on n’abat pas l’enfermement et le contrôle sans détruire le monde qui les produit.

    Cela ne suffira pas pour autant à nous résigner à supporter cette énième construction, parce qu’elle nous est insupportable. C’est dans cette perspective que nous souhaitons nous y attaquer pour rendre visible ce qu’État et capital veulent laisser invisible. Et participer à notre mesure à faire table rase de ce qui nous détruit.

    Tabula Rasa est l’un des moyens de faire vivre ce combat.

    Contre le virus de l’enfermement

    […]

    Pour construire des prisons, il faut une boîte de BTP

    […]

    Des révoltes dans les prisons

    […]


    sources :

    https://sansnom.noblogs.org/archives/3919
    https://sansnom.noblogs.org/files/2021/01/Tabula-Rasa-4.cleaned.pdf



    [Tabula rasa : journal mural contre la prison et tous les enfermements, n° 5, octobre 2020]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Tabula rasa : journal mural contre la prison et tous les enfermements, n° 5, octobre 2020]. — Caen : [s.n.], . — 1 affiche (photocop. ) : n. et b. ; 42 × 60 cm.

    • Affiches par pays  : France
    • Lieux d’archivages  :
    • Liste des thèmes  : émigration et immigration  ; presse  ; prison
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  : Tabula rasa (Caen)
    • Vie des mouvements  :
    notes :
    descriptif :
    Symbole(s) utilisé(s) :

    texte

    texte :

    Tabula rasa

    journal mural contre la prison et tous les enfermements
    Parution irrégulière
    N° 5, octobre 2020
    Caen

    Nous SOMMES CONTRE LES PRISONS, les frontières et tous les enfermements parce que nous pensons que le seul remède aux maux de cette société, c’est la liberté, la destruction de toute op-pression et exploitation, la destruction des fondements même de cet ordre social.

    Nous désirons faire payer à la mesure de nos moyens ce nouvel affront à notre liberté que constitue la construction d’une nouvelle prison à Caen, nous en prendre à ce système répressif, notamment à toutes les entreprises, les services publics et les associations, qui se font du fric avec la construction ou l’administration quotidienne de nouvelles prisons, de centres de rétention, qui participent de loin ou de plus près à administrer et contrôler nos vies au profit de l’État et du capital.

    Nous NE NOUS FAISONS PAS POUR AUTANT D’ILLUSIONS. Il y a peu de chance que nous arrivions à repousser ce projet de nouvelle prison. Et même si nous en venions à bout, nous n’aurions alors réussi qu’à ajourner une des trop nombreuses infrastructures de ce système répressif.

    Or, la répression ne s’exerce pas uniquement dans des infrastructures — taules, Centre de Rétention Administratifs, caméras, Hôpitaux Psychiatriques, etc. — ni seulement par ceux et celles qui les administrent, mais s’inscrit dans des rapports sociaux, un maillage de relations, des appareils idéologiques qui sont aussi importants à détruire.

    Nous avons également pleinement conscience que nous embourber dans un combat asymétrique et inégal avec l’État serait pour nous suicidaire, et que seul un mouvement insurrectionnel généralisé animé de perspectives révolutionnaires reste en mesure d’abattre ce tissu oppressif. Bref qu’on n’abat pas l’enfermement et le contrôle sans détruire le monde qui les produit.

    Cela ne suffira pas pour autant à nous résigner à supporter cette énième construction, parce qu’elle nous est insupportable. C’est dans cette perspective que nous souhaitons nous y attaquer pour rendre visible ce qu’État et capital veulent laisser invisible. Et participer à notre mesure à faire table rase de ce qui nous détruit.

    Tabula Rasa est l’un des moyens de faire vivre ce combat.

    Smart city : une ville en circuit fermé

    […]

    Besançon : sur l’incarcération d’un compagnon anarchiste

    […]


    sources :

    https://sansnom.noblogs.org/archives/3919
    https://sansnom.noblogs.org/files/2021/01/Tabula-rasa-5.cleaned.pdf






    [Agitación n°1, Perdida en la memoria condenada busca la manera de gritar]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Agitación n°1, Perdida en la memoria condenada busca la manera de gritar]. — Valladolid : [s.n.], . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (deux  : rouge , noir , texte en défonce , papier blanc ) ; 68 × 101 cm.

    • Affiches par pays  : Espagne
    • Lieux d’archivages  : CDA (FA, Paris)  ; CIRA (Lausanne)
    • Liste des thèmes  : communication : radio & audiovisuel*  ; éducation  ; police  ; presse
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  : Agitación
    • Vie des mouvements  : journal mural
    notes :
    descriptif :
    Symbole(s) utilisé(s) :

    [ texte ; dessins (homme avec porte-voix) ]

    texte :

    Agitación

    n°1 - Apartado 258 - 47080 Valladolid

    Perdida en la memoria condenada busca la manera de gritar

    insumisión, insumisión, insumisión

    SEGURIDAD CIUDADANA, LA ESTABILIDAD DEL PODER

    SEGURIDAD CIUDADANA, TODOS CON MIEDO TRAS LAS VENTANAS

    No salgas a la calle tarde y de noche ; las cosas están mal, amigo. Deja que el Estado se ocupe de todo. No salgas de casa tras el trabajo. La patrulla velará tu sueño. Ellos guardan tu puerta. Mejor no salgas de tu agujero. Afuera está el mundo entero. Es demasiado grande, puede que te pierdas. No salgas de tu vida, ciudadano. No te metas donde no te llaman. Deja las calles a la policía, deja la vida a quienes te cuidan.

    ... PERO NO ME ENGAÑES...

    El resplandor de tus ojos confirma los hechos. Con un cuerpo duro como el diamante. Con una mente clara como el litio. Toda la energía se libera cuando gritas. Con tus manos destrozas los poderes del Mundo. En los límites de la carne y de la sangre AVANZAS. No dudas. No aminoras tu paso.

    HOMBRE EN UNA ÉPOCA SIN HÉROES, EXPLORADOR DE UN NUEVO FIRMAMENTO, LUCHAS PARA EXPERIMENTAR TU LIBERTAD
    (A.D.) Versión libre

    MONOTIDIANA

    Hemos quedado a comer. Te espero sentado, desmigando el tiempo frente al televisor. Pienso en tu retraso. Sin pensar. La comida sobre la mesa, repartida entre los platos y el aburrimiento, fría.

    Llegas corriendo, los pulmones jadeando. Problemas en el curro. La mierda de las pelas. No hay suficiente aire para olvidar. Adelanto hacia ti mis manos. Me apartas. Te apartas. Quiero abrazarte. Insisto. Me empujas. Recuerdas la hora. Hay que comer deprisa. Tienes que volver al trabajo. Gritamos, nos gritamos. Mi rabia contra la pared. La tuya es un portazo.., y otro más. Te escapas a fumar un cigarrillo, a viajar siendo humo, a buscar más allá de lo que te alcanza la vista, empujando con la frente el sucio cristal.

    En silencio me acerco de puntillas. Te abrazo por detrás. Descansas un infinito instante. Lentamente te sueltas. Media vuelta. Nos miramos. Un beso. Y te vas.

    Caigo el cuerpo sobre el sillón. Como con desgana, mordisqueando la soledad.

    Si hubiéramos quedado a comer, estaría derrumbado frente al televisor, como ahora, sin pensar.

    NOS ROBÁIS LA VIDA Y CON MENTIRAS NOS LA CAMBIÁIS POR UN SUCEDÁNEO DE SEGURIDAD COTIDIANA ; DE MONOTONÍA REPETIDA HASTA LA VACIEDAD

    POR UNA COMUNICACIÓN ALTERNATIVA : RADIOS LIBRES

    La reciente aprobación de la LOT (Ley Orgánica de Telecomunicaciones) ha reavivado el enfrentamiento represivo del Estado hacia las radios libres, únicos cauces de información alternativa y de comunicación antiautoritaria en muchos puntos de la geografía estatal, desde barriadas populares de las grandes ciudades hasta pueblos y comarcas del medio rural. La auto-gestión informativa que define a todas ellas supone una respuesta contestataria a la manipulación interesada de todos los medios de comunicación de masas. Éstos, con su poder económico y publicitario, no pueden permitir que se socave su monopolio informativo, conformador de las mentes sumisas de los ciudadanos. Por esto, solidarizarse con las radios libres es luchar por mantener y ampliar la libertad de expresión en todos los ámbitos de la sociedad.

    ¿EDUCAR ?

    Conscientes de las contradicciones y la incoherencia de todo el proceso educativo, pero con la convicción de que es posible la utopía de conseguir una educación que esté al servicio de la persona para su libre realización : ser capaz de desarrollar su vida en solidaridad con los demás, sin la necesidad de gobernar o ser gobernado.

    Tratamos de recoger todas las alternativas realizadas y plantear un debate crítico del hecho educativo en todos sus aspectos : desde la pedagogía libertaria hasta las nuevas tecnologías, pasando por la problemática de la mujer y los jóvenes en la enseñanza, la sexualidad, la medicina natural, las fiestas populares, la ecología, el antimilitarismo...

    LATINOAMÉRICA : LA REPRESIÓN SANGRIENTA

    Ésta es la característica común de la mayoría de los regímenes latinoamericanos. Pero de la represión cotidiana pasan con harta frecuencia a la aplicación del terror de Estado. Este fenómeno, que allí se manifiesta sin el menor refinamiento, ocurre siempre que el poder burgués se siente amenazado por las luchas populares.

    A la trágica lista de países latinoamericanos represores —Argentina, Chile, El Salvador, Paraguay, etc.— se incorpora con todos los méritos Colombia, donde en los últimos meses más de 200 campesinos han sido asesinados en matanzas colectivas... No es casual que éstas se efectúen en la región de Urabá, con explotaciones bananeras y una alta concentración de campesinos, con organizaciones sindicales de fuerte implantación y de capacidad combativa contrastada.

    El Estado Colombiano aplica las lecciones impartidas por Estados Unidos para con los « Escuadrones de la Muerte » intentar imponer el orden, su orden. La historia se repite.


    sources :

    Imprimé au dos d’une affiche de 1978.

















    [Krakers : wat vindt u daar nou van ?]

    notice :
    Image (fixe ; à 2 dimensions)
    [
    Krakers : wat vindt u daar nou van ?]. — Den Haag La Haye : De blaauwe kraker, . — 1 affiche (impr. photoméc.), coul. (une  : noir , texte en défonce , papier blanc ) ; 55 × 31 cm.

    • Affiches par pays  : Pays-Bas
    • Lieux d’archivages  : Anarchief (Gent)
    • Liste des thèmes  : presse  ; squatt
    • Géographie, géopolitique et Histoire  :
    • Noms cités (± liste positive)  :
    • Presse citée  : blaauwe kraker, de (Nl)
    • Vie des mouvements  :
    notes :
    descriptif :
    Symbole(s) utilisé(s) :

    [ texte ; bande dessinée]

    texte :

    Krakers

    Wat vindt u daar nou van ?

    ... en in De Blaauwe Kraker
    staat ook al niets
    geen doorlopers
    geen sex
    geen hitlijst
    geen voetbal
    wel van dat
    gezeur over
    woningnood
    speculanten
    politieoptreden
    kraken krakers
    leegstand akties
    maar een lekkere
    blote meid ho maar

    De Blaauwe Kraker

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    gironummer 2776087
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    Den Haag, onder vermelding
    "Blaauwe Kraker"
    krijg je 10x die troep
    op de mat.
    waar je zin
    in hebt


    sources :